- Lons-le-Saunier
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Lons-le-Saunier
Statue de Claude Jacques Lecourbe, place de la Liberté.Administration Pays France Région Franche-Comté Département Jura (préfecture) Arrondissement Lons-le-Saunier Canton Chef-lieu des cantons de Lons-le-Saunier-Nord et Lons-le-Saunier-Sud Code commune 39300 Code postal 39000 Maire
Mandat en coursJacques Pélissard
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du bassin lédonien Site web http://www.ville-lons-le-saunier.fr/ Démographie Population 18 122 hab. (2008[1]) Densité 2 360 hab./km² Gentilé Lédonienne, Lédonien Géographie Coordonnées Altitudes mini. 243 m — maxi. 415 m Superficie 7,68 km2 Lons-le-Saunier est une commune française, située dans le département du Jura et la région Franche-Comté.
Sommaire
Géographie
La ville est assise au cœur du Revermont au pied du premier plateau du massif jurassien à l'est et au sud, tandis que s'étend à l'ouest la plaine de la Bresse et au nord le vignoble.
La ville est traversée par la Vallière qui prend sa source dans une proche reculée typique du Jura. Autrefois à l'air libre, la rivière a été couverte dans les années 1960 pour des aspects de salubrité (les égouts s'y déversaient). Aujourd'hui, on ne trouve plus qu'un petit tronçon à ciel ouvert en amont de la ville et qui longe le parc des Bains et il ne subsiste qu'un seul pont : le pont de la Guiche.
La ville est située à des distances relativement similaires (60 à 80 kilomètres à vol d'oiseau) de Besançon, Dijon, Bourg-en-Bresse et Genève en traversant le massif. Lons-le-Saunier est desservie par l'autoroute A39, ce qui la met à une heure de Dijon et à une heure et demie de Lyon. Sa gare se trouve sur la ligne Strasbourg - Lyon.
La région viticole s'étendant au nord est particulièrement réputée, avec notamment les vignobles de l'Étoile, Château-Chalon et Arbois.
Le premier plateau au sud et à l'est offre un attrait touristique avec les lacs de Chalain, Clairvaux et Vouglans, et les stations de moyenne montagne assez proches comme Les Rousses.
À noter que Lons-le-Saunier est la deuxième plus petite préfecture de département de France par sa superficie après Bobigny.
On y trouve des eaux thermales froides (14 °C) et fortement salées (env 11g de NaCl/litre).Communes limitrophes
Histoire
Connu dès la préhistoire, les fondations remontent au moins à l'horizon 100 av JC. Les sequanes dominaient alors la région jusqu'à la conquête romaine.
À l'époque gallo-romaine, la ville s'appelait Ledo salinarius (en latin : la ville du sel)[2]. Les ressources en sel étaient déjà exploitées. La ville tirant son nom de la source Lédonia, autour de laquelle s'est constituée la ville dès le Moyen-Age. Les curistes bénéficient de ses bienfaits depuis 1892 au centre thermal Ledonia, situé dans le parc des bains.
Lons-le-Saunier est la préfecture du département du Jura, d'après la loi du 2 pluviôse an VIII (29 mars 1800).
Le Docteur Jean Michel (Jean-Marie-Vital Michel), chirurgien de l'hôpital de Lons-le-Saunier, a été torturé et abattu par l'occupant allemand le 27 avril 1944 en représailles des soins apportés à des maquisards blessés.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Lons-le-Saunier est libérée le 2 septembre par les troupes débarquées en Provence[3].
Héraldique
Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
Coupé : au premier parti de gueules à la bande d'or et d'or au huchet d'azur, embouché, virolé et enguiché de gueules, au second d'argent plain.
Administration
Liste des maires d’Ancien RégimePériode Identité Étiquette Qualité 1786 1790 Joseph Désiré Brillon Médecin 1783 1786 Jean Baptiste Guichard Juge 1764 1765 Pierre Désiré Deleschaux Avocat 1721 1721 Pierre II Couthaud Avocat 1719 1719 Jean François Couthaud Médecin 1716 1716 Joseph Ferdinand Couthaud Avocat Liste des maires de la Révolution française à la LibérationListe des maires de 1790 à 1944 Période Identité Étiquette Qualité 1936 1937 Charles Joseph Henri Cencelme Radical-socialiste Ingénieur agricole 1929 1936 Edouard Guenon Radical Négociant 1919 1929 Jules Lebrun Radical Avocat 1912 1919 Louis Jean Claude Legrand Pharmacien 1900 1912 Edmond Marie François Etienne Chapuis Radical Médecin 1888 1900 Camille Prost Banquier 1884 1888 Louis Cyprien Rousseau Architecte 1874 1884 Camille Prost Banquier 1870 1871 Jules Hermann Thurel Ingénieur civil des Mines 1859 1870 Ernest Gustave Charles Ragmey Médecin 1849 1859 Victor Nestor Lorain Avocat 1848 1849 Claude Pierre François Xavier Loiseau 1840 1847 Claude Marie Lucien Bouquet Avoué 1837 1840 Louis Clément Houry Géomètre 1831 1837 Jean Jacques Cuenne Avocat 1830 1831 Jean François Tamisier Avoué 1826 1830 François Joseph Jacquier Notaire 1817 1826 André Bonaventure Jobin Avocat 1816 1817 François Xavier Catherine de Champagne Ultra-royaliste 1815 1816 André Bonaventure Jobin Avocat 1815 1815 Jean François Tamisier Avoué 1815 1815 Claude Clair Gacon Avocat 1813 1814 François Xavier Catherine de Champagne Ultra-royaliste 1808 1813 François Ignace Prat Médecin 1805 1808 Pierre François Désiré Gerrier Avocat 1804 1805 Joseph Désiré Brillon Médecin 1798 1804 Jean Henri François Marion Curé 1798 1798 Claude André Delhorme Imprimeur 1795 1796 Joseph Désiré Brillon Médecin 1794 1795 Jean François Guyetant Médecin 1793 1794 Claude Etienne Ragmey 1791 1791 René-François Dumas Montagnard Avocat 1790 1791 Marie-Denis Vaucher Avocat Liste des maires depuis la Libération Période Identité Étiquette Qualité 1944 1965 Paul Seguin Radical Négociant 1965 1977 René Feït RI Député 1977 1989 Henri Auger PCF Conseiller général (1970-1982) mars 1989 réélu en 2008[4] Jacques Pélissard UMP Député / Président de l'AMF Démographie
Économie
Lons-le-Saunier est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie du Jura, qui gère, avec Kéolis (filiale de la SNCF), l’Aéroport de Dole - Tavaux.
Aujourd'hui, l'économie du Jura a considérablement progressé autour de deux principaux pôles : Dole et Lons-le-Saunier.
Lons-le-Saunier bénéficie de sa proximité avec la Suisse et se situe à l’entrée de zones touristiques fréquentées comme le Parc naturel régional du Haut-Jura. Par ailleurs, la position de carrefour de Lons-le-Saunier entre les ensembles géographiques de la plaine jurassienne et des premiers plateaux lui a conféré un rôle de place commerciale importante.
On trouve sur Lons et sa périphérie trois grandes zones d'activités :
- la zone commerciale de Chantrans, la plus récente, sur la commune de Montmorot
- la zone commerciale de la Vallière, dont la modernisation est à l'étude
- la zone industrielle à cheval sur Lons et Perrigny.
A proximité du centre-ville, se trouve l'usine Bel qui fabrique les célèbres portions de fromage fondu de marque La Vache qui Rit et l'usine de fabrication fromagère pour la marque Président. A la sortie de la ville sur la route de Bourg-en-Bresse, se trouve la fromagerie de l'AOC comté Rivoire-et-Jacquemin.
L'aérodrome de Lons-le-Saunier - Courlaoux a une vocation orientée vers le loisir (ULM notamment) et n'a pas de réelle vocation commerciale (frêt ou passager).
Patrimoine et musées[8]
- Le Théâtre
- Les Thermes et le Parc
- Le Puits-Salé
- L’Hôtel de ville, largement restauré ces derniers mois
- Préfecture – fontaine aux Daims
- Conseil général
- L'hôtel dieu - 1735
- La place de la Liberté
- La rue des Arcades ou rue du Commerce avec une petite centaine d arcades, bien pratiques pour faire ses courses à l'abri.
- La place de la Comédie
- La place Bichat
- La gare du tacot (station des CFV du Jura) devant la gare PLM
- La statue de Rouget de Lisle
- La statue du général Lecourbe
- La fontaine aux dauphins - rue Perrin
- La fontaine du cygne - place du 11 novembre
- La fontaine des Salines
- La fontaine aux lions
- La fontaine rue Lecourbe
- La fontaine place Bichat
- La fontaine de la rue du Commerce
- Maison de la Vache qui Rit : sur le site initial de fabrication en 1921 du célèbre fromage fondu, elle ouvre ses portes au printemps 2009 avec 60 000 visiteurs. D'un coût de plus de 10 M€, la maison a été financée à 90% par l'entreprise Bel et à 10% par le Département, la Région et la ville[9]
- Musée des Beaux-arts
- Musée d'archéologie (abritant le dinosaure le plus ancien de France - 210 millions d'années)
- Musée Rouget-de-Lisle
- Artisans 2000
- Orgue de l'église de Cordeliers construit par Joseph et Claude-Ignace Callinet (1843), Classé M.H.
Philatélie
- En 1936, un timbre de 20 centimes vert est émis. Il représente la statue de Rouget de Lisle à Lons-Le-Saunier. Il est le premier à avoir fait l'objet d'une vente anticipée le 27 juin 1936, à Lons-Le-Saunier. Il porte le n° YT 314.
- En 2006, c'est un timbre de 0,53 euro multicolore qui est émis. Il représente "Rouget de Lisle chantant la Marseillaise" d'après le tableau d' Isidore Pils avec à gauche le village de Montaigu et à droite la ville de Lons-Le-Saunier. Il a bénéficié de deux cachets 1er jour, un à Paris le 13 juillet et un second à Lons-Le Saunier le 14 juillet. Il porte le n° YT 3939[10].
Personnalités liées à la commune
(par ordre chronologique de naissance)
- Philibert de Chalon, prince Philibert de Chalon-Arlay (Lons-le-Saunier 1502 - Florence, Italie 1530) : prince d'Orange ; ancêtre de la reine Beatrix des Pays-Bas.
- Théodore Vernier, comte de Montorient (Lons-le-Saunier 1731 - Paris 1818) : jurisconsulte et homme politique.
- René-François Dumas (Jussey 1753 - Paris 1794) : maire de Lons-le-Saunier en 1791, révolutionnaire.
- Claude Joseph Rouget de Lisle (Lons-le-Saunier 1760 - Choisy-le-Roi, Val-de-Marne 1836) : poète ; auteur de La Marseillaise.
- Nicolas Philibert Desvernois (Lons-le-Saunier 1771 - id. 1859) : militaire.
- Nicolas Philippe Guye (Lons-le-Saunier 1773 - Saint-Dié, Vosges 1845) : général.
- Louis de Ronchaud (Lons-le-Saunier 1816 - Saint-Germain 1887) : poète et écrivain ; fut conservateur du musée du Louvre et directeur des Musées nationaux.
- Dom Gréa (Lons-le-Saunier 1828 - 1817) : ecclésiastique français fondateur des Chanoines réguliers de l'Immaculée Conception.
- Maurice Joly (Lons-le-Saunier 1829 - 1878) : avocat, journaliste, écrivain ; auteur du Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu (1864), qui servira, après sa mort, à la composition d'un faux célèbre : Protocoles des sages de Sion.
- André Renaudin (Lons-le-Saunier 1900 - 1997) : journaliste et écrivain.
- Paul-Émile Victor (Genève, Suisse 1907 - Bora Bora, Polynésie française 1995) : célèbre explorateur polaire, scientifique, ethnologue et écrivain ; patron (et fondateur en 1947) des Expéditions polaires françaises durant 29 ans. Il a passé une partie de son enfance à Lons-le-Saunier.
- Docteur Jean Michel (1908 - 1944) : chirurgien de l'hôpital de Lons-le-Saunier torturé et abattu par la gestapo le 27 avril 1944 en représailles des soins apportés à des maquisards blessés. Un lycée de la ville porte son nom.
- Nathan Hosanski (Wasilkow, Pologne 1914-Kaunas, Reval, Estonie 1944): Rabbin, Aumônier auprès des réfugiés alsaciens de 1940 à 1943. Membre de la Résistance, il est déporté et assassiné par les nazis.
- René Rémond (Lons-le-Saunier 1918 - Paris 2007) : historien et politologue.
- Bernard Clavel (Lons-le-Saunier 1923-2010) : écrivain.
- Michel Jouvet (Lons-le-Saunier 1925) : neurobiologiste ; l'un des pionniers de l'hypnologie.
- Michel Mathiot (Besançon 1926, Lons-le-Saunier 1999): Plusieurs fois champion de France de gymnastique, a participé à quatre jeux olympiques (1948,1952,1956,1960)
- Jean Amadou (Lons-le-Saunier 1929 - Paris 2011) : chroniqueur, humoriste, chansonnier, journaliste et écrivain.
- Antoine Prost (Lons-le-Saunier 1933) : historien.
- Guy Canivet (Lons-le-Saunier 1943) : magistrat ; membre du Conseil constitutionnel.
- Jean-François Stévenin (Lons-le-Saunier 1944) : acteur et réalisateur.
- Guy Breniaux (Lons-le-Saunier 1946) : artiste peintre.
- Jacques Pélissard (Lyon, Rhône 1946) : maire et député.
- Jean-Luc Mélenchon (Tanger, Maroc 1951) : homme politique ; a passé son enfance et a débuté son militantisme dans cette ville.
- Jean-Claude Romand (Lons-le-Saunier 1954) : assassin.
- Erik Lehmann (Lons-le-Saunier 1960) : entraîneur de basket-ball.
- André Berthozat (Lons-le-Saunier 1964) : rugbyman.
- Sylvain Curinier (Lons-le-Saunier 1969) : kayakiste (club d'Oyonnax) ; médaillé d'argent aux J.O. de Barcelone (1992).
- David Linarès (Lons-le-Saunier 1975) : jouer de football, champion de France en 2001 avec l'Olympique Lyonnais.
- Robinson Stévenin (Lons-le-Saunier 1981) : acteur.
- Hervé Charton (Lons-le-Saunier 1982) : auteur, metteur en scène, comédien, critique de livres et de théâtre.
- Salomé Stévenin (Lons-le-Saunier 1985) : actrice.
Transport
Routes
La ville est un nœud routier. Elle est traversée par la RD 1093 (ex-RN 83) reliant Bourg-en-Bresse au sud et Besançon au nord-est, la RD 678 (ex-RN 78) avec Louhans et Chalon-sur-Saône vers l'ouest et la Suisse vers l'est (via la RN 5) rejointe à Saint-Laurent-en-Grandvaux.
L'autoroute A39 passe à une dizaine de kilomètres à l'ouest (péage de Beaurepaire-en-Bresse sur la commune du même nom). D'autres routes départementales irriguent la campagne bressane et le premier plateau.
Trains
La gare de Lons-le-Saunier est située sur la ligne Besançon - Bourg-en-Bresse. Le tronçon entre Saint-Amour et Mouchard a été électrifié en 1997 seulement, ce qui permet aujourd'hui de voir passer les rames TGV (un train quotidien de Strasbourg à Marseille à 12h et dans le sens inverse à 16h). Les liaisons TER desservent surtout la capitale régionale Besançon avec un début de cadencement. La gare est également desservie par 3 à 4 Corail A/R Lyon - Strasbourg.
Projet
La branche sud de la LGV Rhin-Rhône passera à proximité de l'autoroute A39 et une gare entre Lons et Louhans (Gare Bressane). La ville disposera alors d'une gare TGV permettant de rejoindre Strasbourg en 2h, Lyon en 40 minutes et Paris en moins de 2h[11].
Bus et Cars
Une liaison routière en car (pelliculé en orange fluo) permet de rejoindre en 55 minutes la gare de Dole pour les liaisons TGV au départ ou à destination de Paris via Dijon.
La gare routière, sise sur le parking de la gare ferrée de Lons, est le point de départ des lignes de transport par cars du département.
La ville de Lons et quelques communes voisines sont reliées par le service de bus urbains Tallis[12].
Contournement routier
L'idée d'un contournement ouest de Lons-le-Saunier, lancée en 1963, n’avait jamais pu aboutir (avis défavorable à l'issue d'une enquête publique en 1997 (le tracé était dommageable par ses impacts environnementaux et urbanistiques et il était en outre d’« une fonctionnalité incomplète[13] »). À cause de la décentralisation, le projet porté par l'Etat a été transmis au conseil général du Jura qui en reprend la maîtrise d'ouvrage depuis 2007.[réf. souhaitée]
Le contournement prévu est une route bidirectionnelle à une voie (2x1 voie) avec quelques créneaux de dépassement. La Vallière et la Sorne seront franchies chacune par un viaduc. Le projet démarrera au nord au niveau du carrefour actuel RD 1083-RD 38, qui sera aménagé en giratoire. Après avoir croisé la RD 678 au niveau du carrefour avec la RD 470 (giratoire futur), il se terminera au sud au niveau du carrefour RD 1083 (ex-RN83)-RD 30[réf. nécessaire].
Le tracé passera sur les communes de Plainoiseau, L'Étoile, Montmorot, Courlans, Messia-sur-Sorne, Chilly-le-Vignoble et Gevingey. Mais pas sur la commune de Lons-le-Saunier.
Le coût du projet est de 46 M€. Le financement est assuré à parts presque égales par l'Etat (27,5 %), le conseil régional de Franche-Comté (24 %), le conseil général du Jura (24 %) et la Communauté de communes du bassin lédonien (23,5 %)[14]. Les travaux ont aujourd'hui[Quand ?] débuté au niveau de la jonction entre les deux tronçons du contournement, c'est-à-dire à proximité du futur carrefour giratoire du Rocher sur la RD 678 à Montmorot.
Un autre projet bien moins avancé vise à détourner le parcours actuel des camions qui empruntent la RD 678 en provenance ou à destination du massif. Ces camions traversent actuellement avec de lourdes nuisances les communes de Revigny, Conliège et Perrigny avant de rejoindre la rocade lédonienne, la RD 52 leur étant interdite à cause de la trop forte pente (13 %). Plusieurs tracés ont fait l'objet d'études préliminaires mais vu les coûts et les enjeux des territoires traversés, il est probable que le projet ne voie pas le jour avant 15 à 20 ans.
Vie militaire
Unité militaire ayant tenu garnison à Lons le Saunier
- 44e Régiment d'Infanterie, (avant) 1906 - jusqu'à ?; 1939-1940
- 60e régiment d'infanterie, dissous en 1984 (Coluche y a effectué une partie de son service militaire).
Jumelages
Voir aussi
Liens internes
Liens externes
- Site officiel de la ville de Lons-le-Saunier
- Lons-le-Saunier sur le site de l'Institut géographique national
- Office du tourisme de Lons et sa région
Sources
Notes
- Populations légales 2008 de la commune : Lons-le-Saunier sur le site de l'Insee
- D'après le site internet de la ville
- ISBN 2-7467-0495-1) , p 35 Stéphane Simonnet, Atlas de la Libération de la France, éd. Autrement, Paris, 1994, réimp. 2004 (
- Liste des maires élus en 2008, consultée le 2 mai 2010 Préfecture du Jura,
- http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
- INSEE : Population depuis le recensement de 1962
- Recensement de 2006 des communes du Jura
- Le site officiel de la ville Sources :
- d'après délibération n°6564 du CG39
- Catalogue Yvert et Tellier, Tome 1
- Le site sud.lgvrhinrhone
- Le site de Tallis
- La Voix du Jura - 29/01/2004
- Décision n° 6475 du 7 décembre 2007 du CG39
Catégories :- Lons-le-Saunier
- Commune du département du Jura
- Station thermale française
- Station thermale du massif du Jura
- Ancien chef-lieu de district
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