- Bastia
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Bastia
Vieux port et église saint Jean Baptiste
DétailAdministration Pays France Région Corse Département Haute-Corse (préfecture) Arrondissement Bastia (chef-lieu) Canton la commune est divisée en 6 cantons Code commune 2B033 Code postal 20200 et 20600 Maire
Mandat en coursÉmile Zuccarelli
2008-2014Intercommunalité Communauté d'agglomération de Bastia Site web www.bastia.fr Démographie Population 43 477 hab. (2008[1]) Densité 2 243 hab./km² Gentilé Bastiais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 0 m — maxi. 963 m Superficie 19,38 km2 Bastia est une commune française, préfecture du département de la Haute-Corse, dans la région Corse.
Ses habitants sont appelés les Bastiais en français et Bastiacci en corse.
Sommaire
Géographie
Site
Située dans le nord-est de la Corse, à la base du Cap Corse, entre mer et montagne, Bastia est le principal port de l'île et sa principale ville commerciale.
Urbanisme
Ramassée derrière murailles et bastions, autour de son palais des Gouverneurs, aujourd’hui musée, Terra-Nova veille sur le vieux port, en contrebas. Elle est maillée par un réseau d'étroites ruelles.
La ville basse, Terra-Vecchia, conquise par les Génois, s’est étirée le long de la côte. Malgré les constructions modernes très envahissantes, elle a conservé son cachet de port méditerranéen. Avec ses ruelles pittoresques, la cité a pour cœur la place Saint Nicolas qui est une longue esplanade ombragée où a été érigée une statue en marbre de Napoléon en toge 1853.
Ces dernières décennies Bastia s'est développée au travers d'une forte croissance démographique, qui pousse désormais hors des limites communales, en raison du site trop enserré de la ville centre.
Climat
Bastia possède un climat méditerranéen. La température moyenne annuelle s'élève à 15,5 °C et on y compte environ cinq jours de gel par an. Les vents y sont fréquents, et violents, la pluviométrie abondante (749,3 mm), mais on compte toutefois une moyenne de 340 jours de soleil par an.
Relevé météorologique de Bastia mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température moyenne (°C) 9,1 9,4 10,8 12,9 16,3 20,0 23,2 23,3 20,6 17,1 12,9 10,1 15,5 Précipitations (mm) 61,6 88,0 74,9 66,3 43,2 31,5 15,0 33,9 51,2 106,9 87,6 89,1 749,3 Source : Quid 2004, page 618Héraldique
Article connexe : Armorial des communes de la Haute-Corse.Blasonnement D'azur à une forteresse d'argent maçonnée de sable terrassée de sinople.Histoire
À l'origine, Cardo
Avant l'occupation de la Corse par les Génois, Cardo était un village immense . À ses pieds, il y avait un petit hameau où habitaient les pêcheurs de Cardo. Ce petit port s'appelait Porto Cardo qui veut dire « le port de Cardo ».
Au cours des cinquante dernières années, Cardo était la résidence secondaire de Bastiais aisés. Actuellement, Cardo est un quartier de Bastia, sur les hauteurs du Pigno. Il attire toujours de nombreuses personnes qui souhaitent s'y installer car il possède tous les avantages d'un village à la campagne tout en étant tout près de la ville .
L'époque génoise
Les Génois ont vite senti le besoin de se mettre à l'abri des invasions qui venaient de la mer et ont commencé à construire, du temps du gouverneur Léonello Lomellini, une bastiglia (une bastille), c’est-à-dire une place forte, une citadelle.
Avec le temps, la Bastiglia (Bastia) s'est développée, est devenue prospère et est devenue plus importante que Cardo.
Toute son histoire est comprise dans sa « bastiglia », la citadelle des origines qui constitue la ville close. Ce sont ici la mer et la montagne qui décident de l’implantation des lieux habités, comme l’exige le relief de l’île. Aussi, Bastia fut capitale au temps de la domination génoise. Elle s’est accrochée aux pentes pour s’étaler plus tard, en gagnant sur l’eau sa place Saint-Nicolas.
De la modeste marine qu’elle était au port de commerce qu’elle est devenue, son histoire a été jalonnée des gloires et des vicissitudes que connaissait toute ville fortifiée.
Élue par le patricien génois Léonello Lomellini, en 1353, pour assurer la liaison avec Gênes, elle naquit pour ainsi dire de son rocher sur lequel fut élevé un donjon (bastiglia, d’où son nom) et que, quelque cent ans plus tard, on ceintura de remparts.
Époque contemporaine
Le préside constitue le quartier noble, tandis que Terravecchia vit de son travail. Au début du XVIIIe siècle, de nombreux aménagements sont effectués dans le secteur de la Punta, qui voit émerger un grand nombre de magasins.
Française depuis ce même siècle, Bastia a subi de nombreux dommages durant la Seconde Guerre mondiale. L'Occupation italienne meurtrit la cité. Néanmoins la Corse fut le 1er département totalement libéré le 4 octobre 1943 grâce à la résistance corse, à la mission secrète Pearl Harbour (envoyée par les services secrets de la Défense militaire établis à Alger), et au glorieux sous-marin Casabianca.
Le commando de la mission secrète Pearl Harbour (Roger de Saule, Laurent Preziosi et les cousins Toussaint et Pierre Griffi) a été déposée dans la nuit du 13 au 14 décembre 1942 par le sous-marin Casabianca dans la baie de Topiti. Après avoir organisé un réseau dans cette région (Piana), elle est ensuite parvenue à Corte pour organiser un 2e réseau dirigé localement par Pascal Valentini, puis a rejoint Bastia pour le 3e réseau de la région de Bastia et du Cap Corse. C'est autour de Hyacinthe de Montera, au 35 du Bouvelard Paoli, que s'est organisé le mouvement. Laurent Preziosi participait déjà aux premières réunions en 1941 avant de retourner à Alger et être recruté pour la mission. Le mouvement s'est ensuite organisé dans le cadre du Front National. Le radio Pierre Griffi fut malheurement arrête à Ajaccio, atrocement torturé et fusillé à Bastia, sans avoir parlé, le 18 août 1943.
La tourelle du sous-marin Casabianca est exposée au coin de la Place St Nicolas, côté mer. Une stèle commémorative de cette 1re réunion est apposée au 35 boulevard Paoli (au dessus de la porte d'entrée).
Après guerre, Bastia s'est ensuite progressivement imposée comme un poumon économique essentiel de la Corse. L'agglomération bastiaise est aussi la plus étendue de l'île.
Économie
Le recensement de 2007 donne le chiffre de 43 315 habitants, en hausse de 11 % par rapport à 1999 (+3299 hts). On y compte 10 % d'étrangers.
Bastia concentre la majeure partie des rares industries que compte la Corse. Elle est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Bastia et Haute-Corse. Elle gère sur le territoire de la commune : le port de commerce et l'aéroport de Bastia Poretta.
Transports
Routiers
Bastia est accessible depuis le reste de la Corse par la RN 193, dont une portion est à 2 x 2 voies jusque Borgo.
Ferroviaires
La gare de Bastia, appartenant aux Chemins de fer de Corse, se situe en centre-ville, et permet des liaisons vers Ajaccio et Calvi. Il existe aussi sur Bastia 9 autres haltes ferroviaires pour les liaisons suburbaines vers Casamozza :
- gare de Lupino
- gare de Rivoli
- gare de Bassanese
- gare de L'Arinella
- gare de Montesoro
- gare de Sole-Meo
- gare d'Erbajolo
- gare de la Polyclinique
- gare de La Rocade
Maritimes
Bastia est le premier port français de Méditerranée en termes de passagers avec plus de 2,4 millions de passagers en 2007. C'est le deuxième port français derrière Calais (15 millions de passagers).
Aériens
Article détaillé : Aéroport de Bastia Poretta.L'aéroport est situé à 16 km au sud de la ville, sur la commune de Lucciana. Il dessert plusieurs villes européennes. Il est le deuxième aéroport Corse en termes de passagers après Ajaccio Napoléon Bonaparte.
Administration
Liste des maires
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1791 1794 Jean-Baptiste Galeazzini Dénonciateur public
(Réélu en 1793, 1797, 1830)... 1919 1937 Emile Sari 1959 1965 Jacques Faggianelli Radical 1965 1968 Sébastien Sirot SE 1968 1989 Jean Zuccarelli MRG député de la Corse puis de la Haute-Corse 1989 juillet 1997[2] Émile Zuccarelli PRG député de la Haute-Corse de 1986 à 2008, Ancien Ministre
26 juillet 1997 mai 2000 Albert Calloni PRS 25 mai 2000 Émile Zuccarelli PRG député de la Haute-Corse de 1986 à 2008, Ancien Ministre
Toutes les données ne sont pas encore connues. Intercommunalité
La Communauté d'agglomération de Bastia regroupe 5 communes, dont Bastia, pour une population totale estimée à 55 483 habitants en 2007.
Communes limitrophes
Cantons
Bastia est divisée en 6 cantons :
Démographie
Évolution de la population de Bastia
(Source : Cassini[3] et Insee[4],[5])Culture
Personnages célèbres
- Joseph-Marie Farinole (1789-1887), général et le « dernier chevalier de Saint-Louis ».
- Vincent-Marie Farinole (1832-1905), (fils du précédent) avocat, homme politique et sénateur de la gauche républicaine.
- Vincent Benedetti[6] : (1817-1900), diplomate, principal artisan de la déclaration de la guerre franco-allemande de 1870.
- Vincent de Moro Giafferi (Xavier Étienne dit Vincent) (1878-1956)
- César Campinchi (1882-1941) : avocat, ministre et homme d'État français, ministre de la marine et ministre des gouvernements Daladier et Reynaud entre autres en 1939 et 1940.
- César Vezzani (1888-1951) : une des voix les plus fameuses du XXe siècle, « Empereur des ténors » selon le tsar Nicolas II.
- Hyacinthe de Montera (ancien maire de Bastia, grand résistant, magistrat)
- Pierre Griffi (grand héros de la Résistance 1941-1943)
- Jean Nicoli (grand héros de la Résistance 1941-1943)
- Jean L'Herminier (commandant du sous-marin Casabianca)
- Yves Simonpaoli, dit Paoli (1928-) : peintre et professeur en chirurgie dentaire.
- Henry Padovani (1952-) : premier guitariste du groupe The Police
- François Piétri (1882-1966) : homme politique
- Henri Rieunier (1833-1918) : Ministre de la Marine, député
- Émile Zuccarelli (1940-) : homme politique
- Angelo Rinaldi (1940-) : romancier et critique littéraire
- Jean-Vitus Marcantéi (1913-) : Magistrat.
- Salvatore Viale (1787-1861) : écrivain corse, l'un des premiers à avoir écrit la langue corse.
- Jean-Paul Marcheschi (1951) : peintre et sculpteur
- Adil Rami (1985-) : footballeur international français, né à Bastia le 27 décembre
Histoire : Le Maire de Bastia et l'Escadre de la Méditerranée, en 1892
L'Escadre en Corse (de notre correspondant particulier) Presse Nationale[réf. nécessaire] :
- « Bastia, le 12 juin 1892. Partie lundi soir du Golfe-Juan, l'escadre de la Méditerranée, sous les ordres du vice-amiral Henri Rieunier, mouillait le lendemain matin vers 8 heures devant Bastia. Les avisos-torpilleurs sont entrés dans le nouveau port, les torpilleurs de haute mer dans le vieux port. Les cuirassés et les croiseurs sont allés s'embosser contre le mât sémaphorique du nouveau port et l'embouchure de l'étang de Biguglia. L'escadre était au grand complet.. Dans la matinée, M. le général Couston, gouverneur de la Corse, accompagné de son chef d'état-major et de ses officiers d'ordonnance, s'est rendu sur le vaisseau-amiral. Quelques moments après, M. le vice-amiral Henri Rieunier recevait la visite de MM. Gaudin maire ; Moussard, sous-préfet ; Magnon-Pujo, commandant de la marine en Corse ; Candelié-Bayle, premier président, etc. Dans l'après-midi, M. l'amiral Henri Rieunier a rendu les visites réglementaires aux autorités de Bastia. Durant toute la soirée une foule compacte a envahi les quais et la place Saint-Nicolas où se faisait entendre l'excellente musique du 61e. Les navires de l'escadre faisaient pendant ce temps des essais de lumière électrique. Mercredi soir a eu lieu dans la salle des fêtes du théâtre municipal la réception offerte par la ville de Bastia à l'amiral Henri Rieunier ainsi qu'aux officiers de l'escadre. À 9 heures, l'amiral en chef accompagné de MM. les contre-amiraux Dordollot des Essarts et Buge, suivis de leur état-major ainsi que de la plupart des officiers de l'escadre faisaient leur entrée au théâtre. A cette brillante réception assistaient de nombreux invités, parmi lesquels M. Couston gouverneur de la Corse et tous les officiers de la garnison. Après le punch, M. Gaudin, maire de Bastia, a souhaité la bienvenue à l'amiral et aux marins de l'escadre. S'adressant à l'amiral Rieunier, en ces termes : Nous savions déjà en quelles mains expérimentées et sûres, a dit M. Gaudin, la haute confiance du Chef de l'État Sadi Carnot avait placé la plus imposante des forces navales que la France ait jamais possédée - notre orgueil et notre espoir à la fois. Vos brillants états de service, vos remarquables qualités de marin vous désignaient pour la commander, et pour recevoir la garde des couleurs nationales dans les eaux de la Méditerranée et du Levant. - Veuillez me permettre, a répondu M. l'amiral Rieunier, d'être l'interprète des sentiments de toute l'escadre pour la gracieuse réception que vous nous faites. Après le punch qui a pris fin vers 10 heures, a commencé le bal qui a duré jusqu'au matin. L'escadre a appareillé jeudi matin pour Saint-Florent, île-Rousse et Calvi. Elle arrivera vendredi matin à Ajaccio et effectuera en route diverses manoeuvres. »
Monuments et lieux touristiques
Bastia est classée Ville d'Art et d'Histoire.
- Le musée
- L’ancien palais des gouverneurs génois héberge le musée municipal ancien musée d'ethnologie Corse. La ville a engagé un ambitieux programme de rénovation de ce palais classé monument historique sous la direction des architectes Daniel Cléris et Jean-Michel Daubourg. Outre la rénovation du palais les travaux ont permis de rebâtir un quart du monument qui avait été détruit en 1943 lors des combats pour la libération de la Corse. Le parti de reconstruction adopté par les architectes respecte les tracés régulateurs et les volumes d'origine mais s'affirme comme une architecture du XXIe siècle rejetant tout pastiche. Le nouveau musée a été inauguré en juin 2010.
- La forteresse appuyée au donjon et agrémentée d’un campanile du XVIe siècle, monte une garde séculaire sur Terra-Nova et par delà les remparts, sur le vieux port. Terra-Nova, la montagne et le littoral. Les collections du musée s'articulent autour de quatre thèmes, naissance et croissance urbaine, centre des pouvoirs, foyer culturel et le palais des Gouverneurs. De plus la conservation présente des expositions temporaires dans des espaces spécialement affectés.
Dans un lieu voué à la défense, le jardin des gouverneurs surprend. Aussi mérite-t-il visite, d’autant qu’il jouit d’une vue superbe sur les alentours, son accès se fait du musée.
Dans la cour était conservée jusqu'aux travaux de rénovation la tourelle du sous-marin Casabianca, échappé de Toulon en 1942 qui effectua ensuite la liaison entre l'île et l’Algérie. La tourelle dorénavant est placée sur un socle au bas de la place St Nicolas face au port de commerce et de la mairie.
- L’église Sainte-Marie, ancienne cathédrale édifiée à partir de 1495, fortement remaniée au début du XVIIe siècle. Derrière cette église, la chapelle Sainte-Croix avec une ornementation intérieure exubérante. La chapelle a son trésor : le Christ des Miracles, que vénèrent les Bastiais, trouvé en 1428, flottant sur les eaux, par deux pêcheurs.
- L'église Saint Jean-Baptiste à partir de 1583, près du Vieux-Port, arbore une noble façade classique, et son intérieur baroque du XVIIIe siècle. Le mobilier remarquable, orgue, chaire, tableaux de la collection du cardinal Fesch.
- La chapelle de l’Immaculée Conception 1611 à la voûte peinte au XIXe siècle et aux murs tendus de velours, elle réunit, dans sa sacristie musée, de nombreuses pièces d’art religieux du XVe siècle et XIXe siècle provenant de sanctuaires de la ville.
- On trouve de nombreux cafés et commerces sur la place Saint-Nicolas.
Gastronomie
Quelques spécialités :
- Sardines au brocciu : Sardines fraîches farcies de Brocciu, fromage constitué de lait caillé de brebis.
- Le baccalà : C'est simplement de la morue. Ce plat a été longtemps considéré comme le plat du pauvre en Corse car son prix était abordable et car, fortement salé, il se conservait facilement.
Films tournés à Bastia
- Cela s'appelle l'aurore, film franco-italien réalisé par Luis Buñuel en 1955.
- Rosebud, film américain réalisé par Otto Preminger en 1975.
- Forza Bastia, documentaire français réalisé par Jacques Tati et Sophie Tatischeff en 1978.
- L'Enquête Corse, film français réalisé par Alain Berbérian en 2004.
- L'Homme de Londres, film britannico-germano-hongrois réalisé par Bela Tarr et inspiré d'un roman de Georges Simenon.
Éducation
Bastia possède cinq collèges :
- quatre publics :
- Collège Giraud
- Collège Montesoro
- Collège Saint-Joseph
- Collège Simon Vinciguerra
- un privé : Collège Jeanne d'Arc
Bastia possède cinq lycées :
- quatre lycées généraux ou technologiques :
- trois publics :
- Lycée Giocante de Casabianca
- Lycée Paul Vincensini
- Lycée Scamaroni
- un privé : Lycée Jeanne d'Arc
- trois publics :
- un lycée professionnel : Lycée Jean Nicoli
Santé
Bastia possède un hôpital dans le quartier de paese novu (hôpital de Falconaja), ainsi qu'une clinique (clinique Maymard) en centre ville et une autre clinique spécialisée en ophtalmologie (clinique Filippi) quartier Saint-Antoine.
Aux alentours de la ville se trouve aussi la clinique Zuccarelli (quartier de Toga) ainsi que la polyclinique à 2 km du centre ville (sur la commune de Furiani).
Sécurité
Bastia possède un hôtel de police situé dans la rue du Commandant Luce de Casabianca.
Jumelages
Sport
Bastia s'est distingué au travers de son club de football le Sporting Club de Bastia. Le stade Armand-Cesari se situe sur la commune voisine de Furiani.
Le club a été finaliste de la Coupe UEFA en 1978 et vainqueur de la Coupe de France de football en 1981. Il a également été finaliste de cette dernière coupe en 1972 et 2002.
Notes et références
- Populations légales 2008 de la commune : Bastia sur le site de l'Insee
- démissionnaire après son entrée au gouvernement Jospin
- Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
- Recensement de 2006 des communes de la Haute-Corse - Insee [PDF]
- INSEE : Population depuis le recensement de 1962
- article de wikipédia
Bibliographie
- Stéphane Massiani, La Corse … et ses chapelles romanes, Imprimé sur les presses de l’imprimerie A. Robert, 13011 Marseille, mai 1991
Bastia : Chapelle San Sarorio, p. 45
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et fortifications de la France au Moyen Âge, Strasbourg, éditions Publitotal, 1978, reprint 1991, 1 287 p. (ISBN 2-86535-070-3).
Une vision d’ensemble de l’architecture castrale. Page 109 : Bastia : Enceinte de la « Terra Nova »
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- (fr) Site officiel
- (fr) Site officiel de l'office de Tourisme de la Communauté d'Agglomération de Bastia
- (fr) Bases Mérimée, Palissy, Mémoire sur le site officiel du ministère français de la Culture
- (fr) Patrimoine de la commune sur le site du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), photographies de Frères Neurdein, Georges Louis Arlaud, Guy Dauphin DRASSM, Ministère de la Culture (France), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service de l'inventaire général de la Région Corse. Le service de l'Inventaire recense, étudie et fait connaître le patrimoine culturel de la Corse. Il a été transféré à la Collectivité Territoriale de Corse en janvier 2004, conformément aux dispositions de la loi du 22 janvier 2002
Catégories :- Bastia
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- Ancien chef-lieu de district
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