- Bar-le-Duc
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Bar-le-Duc
L'église Saint-Étienne et, à droite, le palais de Justice, sur la place Saint-Pierre.
Détail
DétailAdministration Pays France Région Lorraine Département Meuse (préfecture) Arrondissement Bar-le-Duc (chef-lieu) Canton Chef-lieu des cantons de Bar-le-Duc-Nord et Bar-le-Duc-Sud Code commune 55029 Code postal 55000 Maire
Mandat en coursNelly Jaquet
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes de Bar-le-Duc Site web http://www.barleduc.fr/ Démographie Population 15 757 hab. (2008[1]) Densité 667 hab./km² Gentilé Barisienne, Barisien Géographie Coordonnées Altitudes mini. 175 m — maxi. 327 m Superficie 23,62 km2 Bar-le-Duc est une commune française située dans le département de la Meuse et la région Lorraine.
Ses habitants sont appelés les Barisiens. Toutefois, à l’image de ce qui était le nom du terroir autrefois, on pourrait tout aussi légitimement les appeler Barrois. La ville est le point de départ de la Voie sacrée qui, lors de la Première Guerre mondiale, permettait un accès à Verdun pour ravitailler les troupes françaises engagées dans les combats.
Sommaire
Géographie
Bar-le-Duc est une ville de taille moyenne, située dans le nord-est de la France à 84 km de Nancy et à 251 km de Paris, elle est le chef-lieu du département de la Meuse.
L’accessibilité aux infrastructures de transport tend à se modifier. Initialement bien desservie par la ligne de chemin de fer Paris-Strasbourg, les dessertes se raréfient, à compléter avec celles de la Gare Meuse TGV (Paris en 58 min) à 25 km. En revanche, l’accès aux grandes voies routières est facilité par la mise en 2x2 voies de la RN135 (commencée, mais non encore terminée), lien entre la ville-préfecture et la voie expresse RN4.
La ville se situe donc au cœur du Barrois.
Elle est située sur les bords de l’Ornain et se développe sur les coteaux de la vallée. On peut donc la diviser en trois parties :
- du côté de la rive gauche (donc au sud-ouest), la ville haute, quartier « historique » de la ville,
- aux abords de l’Ornain, la ville basse,
- du côté rive droite (nord-est), la Côte Sainte-Catherine, qui a été urbanisée récemment (années 1960).
Climat
Données de Saint-Dizier située à 25 km de Bar-le-Duc.
Ville Ensoleillement
(h/an)Pluie
(mm/an)Neige
(j/an)Orage
(j/an)Brouillard
(j/an)Moyenne nationale 1 973 770 14 22 40 Saint-Dizier[2] 1682 826 24 25 54 Paris 1 630 642 15 19 13 Nice 2 668 767 1 31 1 Strasbourg 1 633 610 30 29 65 Brest 1 492 1 109 9 11 74 Bar-le-Duc a un climat de type Cfb (océanique) avec comme record de chaleur (à Saint-Dizier) 40,4 °C le 12/8/2003 et comme record de froid -22,5 °C le 14/2/1956. La température moyenne annuelle (1971/2000) est de 10,9 °C.
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) 0,3 0,4 2,6 4,3 8,6 11,5 13,5 13,2 10,3 7,2 3,1 1,6 6,4 Température moyenne (°C) 3,1 4 7 9,6 14 16,9 19,3 19,1 15,5 11,4 6,4 4,2 10,9 Température maximale moyenne (°C) 5,9 7,6 11,4 14,8 19,4 22,3 24,9 24,9 20,7 15,6 9,6 6,8 15,4 Précipitations (mm) 73,7 61,8 65,5 55,5 70,8 71,7 71,8 63,3 73,1 78,5 73,5 86,6 845,8 Nombre de jours avec pluie 12,67 10,49 12,28 10,57 11,3 10,89 9,3 8,31 9,83 11,45 11,94 13,03 132,07 dont nombre de jours avec pluie ≥ 5 mm 5,4 4,2 4,81 4,13 5,17 4,61 4,75 3,95 5,23 5,47 5,35 5,9 58,98 Nombre de jours avec gel 13,64 12,97 8,65 4,62 0,23 0 0 0 0 1,54 8,18 11,46 61,28 Record de froid (°C)
(année du record)-20,5
(9/1/1985)-22,5
(14/2/1956)-13,6
(1/3/2005)-6
(7/4/195612/4/1986)
-3
(6/5/1957)2,2
(4/6/2001)3,2
(1/7/1962)3,7
(26/8/1966)0,2
(21/9/1962)-5,1
(20/10/1972)-11,7
(23/11/1956)-17,3
(20/12/2009)-22,5 Record de chaleur (°C)
(année du record)17,7
(5/1/1999)22,6
(28/2/1960)25,2
(28/3/1968)29,4
(25/4/2007)31,4
(27/5/2005)35,4
(30/6/197617/6/2002)
39
(31/7/1983)40,4
(12/8/2003)33,7
(1/9/1961)29,2
(1/10/1985)21,3
(1/11/1968)18,6
(16/12/1989)40,4 Record de pluie en 24 h (mm)
(année du record)31,1
(12/1/1962)48
(25/2/1997)32,4
(16/3/1978)30,7
(8/4/1983)46
(8/5/2004)73,2
(23/6/1974)69,9
(5/7/1972)44,5
(30/8/1990)100
(11/9/2005)66
(28/10/1998)33
(2/11/2002)43,2
(30/12/1978)100 Source : Le climat à Saint Dizier (en °C et mm, moyennes mensuelles 1971/2000 et records depuis 1956)[1]Histoire
Les premières traces d’occupation humaines remontent à l’ère gallo-romaine. Diverses trouvailles ont été faites sur le territoire de la commune, aux environs de l’actuelle rue des Romains (le long du Canal). La ville portait le nom de Caturiges. Il en est par ailleurs fait mention sur la Table de Peutinger.
Il semble cependant que la ville n’ait vraiment commencé à se développer qu’à partir du haut Moyen Âge, avec la construction d’un château.
Baptisée Bar-le-Duc en référence au duc de Bar, elle est capitale du comté puis duché de Bar (quand il devient un duché en 1354). La ville prend le nom de Bar-sur-Ornain pendant la Révolution.
Les comtes puis ducs de Bar étaient vassaux du roi de France depuis 1301 pour la rive gauche de la Meuse. Bar-le-Duc faisait partie de ce territoire et ses habitants en profitaient pour faire appel au Parlement de Paris lors de divers litiges.
En 1419, le traité de Foug prévoit le mariage de l’héritier du duc de Bar avec l’héritière du duc de Lorraine. Désormais les deux pays, tout en gardant leur identité, auront un même souverain qui portera le titre de "Duc de Lorraine et de Bar".
Charles IX passe dans la ville lors de son tour de France royal (1564-1566), accompagné de la Cour et des Grands du royaume : son frère le duc d’Anjou, Henri de Navarre, les cardinaux de Bourbon et de Lorraine[3]. La ville appartient alors aux Guise qu’il faut séduire.
Le 21 février 1604, le Parlement de Paris rend un arrêt au profit des habitants des villes basses et faubourgs de Bar et bourg de Longeville, qui faisaient appel d’une décision du duc de Lorraine et de Bar Charles III au sujet de l’imposition de certaines taxes, qui avaient été décidées par une assemblée du clergé et de la noblesse à laquelle le tiers-état n’avait pas été convoqué.
Le 26 juillet 1789, la foule massacre le marchand de grains Pélicier, riche notable de la ville, lors d’une émeute de subsistance.
À l’issue des guerres de la Révolution, les coalisés occupent la ville de 1815 à 1818 (traité d’Aix-la-Chapelle).
Bar-le-Duc a remporté la finale des Jeux sans frontières en 1979.
Culture
- La sculpture Transi de René de Chalon attribuée à Ligier Richier, dans l’église Saint-Étienne de Bar-le-Duc.
- La majorité de l’œuvre artistique de Maréchal de Metz et ses élèves. Entièrement consacrée au vitrail, cette œuvre a démarré dès 1872. Aujourd’hui, c’est une histoire qui fait partie de la vie des Barisiens et de leur quotidien.
- La verrière l’Artiste conservée au musée de Metz.
Armoiries
Article connexe : Armorial des communes de la Meuse.Blasonnement Parti, en 1 d'azur semé de croisettes recroisetées au pied fiché d'or aux deux bars adossés d'argent brochant sur le tout, et en 2 aussi d'argent aux trois pensées tigées et feuillées au naturel.Commentaires : Armes parlantes. Devise de la ville : plus penser que dire.Décoration française
Économie
- Bonneterie ;
- Administrations ;
- Alimentaire ;
- Mécanique ;
- Imprimerie.
Bar-le-Duc est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de la Meuse. Elle gère l’aérodrome du Rozelier.
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 6 octobre 1853 25 décembre 1860 Louis Sainsère ? Il est nommé maire par l’Empereur. Il existe une rue Louis Saincere à Bar-le-Duc (avec une faute au nom Sainsère qui s’écrit en réalité avec un « s »), il est le père du célèbre homme politique Olivier Sainsère mars 1971 juin 1995 Jean Bernard PS … juin 1995 mars 2001 Bertrand Pancher UDF vice-président du conseil général mars 2001 mars 2008 Martine Huraut UMP … mars 2008 en cours Nelly Jaquet PS Conseillère régionale Toutes les données ne sont pas encore connues. Les environs de Bar-le-Duc se sont associés en une communauté de communes appelée CODECOM, qui compte quinze membres : Bar-le-Duc, Behonne, Beurey-sur-Saulx, Chardogne, Combles-en-Barrois, Fains-Véel, Longeville-en-Barrois, Naives-Rosières, Resson, Robert-Espagne, Rumont, Savonnières-devant-Bar, Trémont-sur-Saulx, Val-d'Ornain et, depuis le 1er janvier 2004, Vavincourt.
Bar-le-Duc est divisée en deux cantons :
- Le canton de Bar-le-Duc-Nord est formé d’une partie de Bar-le-Duc (rive droite de l'Ornain) et des communes de Fains-Véel et Longeville-en-Barrois (13 081 habitants);
- Le canton de Bar-le-Duc-Sud est formé d’une partie de Bar-le-Duc (rive gauche de l'Ornain) et des communes de Combles-en-Barrois, Robert-Espagne, Savonnières-devant-Bar et Trémont-sur-Saulx (10 206 habitants).
Démographie
Personnages célèbres
par ordre chronologique
- Antoine de Lorraine (1489-1544), duc de Lorraine et de Bar de 1508 à 1544 et duc titulaire de Gueldre de 1538 à 1541.
- Gilles de Trèves (1515-1582), doyen de la collégiale Saint-Maxe, dote Bar-le-Duc d’un collège qui porte son nom et il fait bâtir le château de Ville-sur-Saulx.
- François de Guise(1520-1563), duc de Guise, duc d’Aumale et pair de France.
- Jean Errard (c.1554-1640), ingénieur militaire.
- Didier Dounot (1574-1640), mathématicien.
- Nicolas Charles Oudinot, duc de Reggio, (1767-1847), maréchal d'Empire, commandant les grenadiers de la Garde.
- Isidore Exelmans (1775-1852), général sous Napoléon, il remporte la dernière victoire de l’Empire, le 1er juillet 1815 à Vélizy et à Rocquencourt. Il obtient le bâton de maréchal sous Napoléon III, en 1851.
- Nicolas-Charles-Victor Oudinot, duc de Reggio, (1791-1863), général.
- Laurent-Charles Maréchal dit Maréchal de Metz (1801-1887) et Charles Champigneulle (1820-1882), qui installèrent, en zone de Salvanges, le célèbre atelier de vitrail qui portait leurs noms.
- Ernest et Pierre Michaux (1813-1883 et 1842-1882), inventeurs du vélocipède à pédales.
- André Theuriet (1833-1907), romancier, poète, académicien, passa sa jeunesse à Bar-le-Duc où il situe l'action d'un grand nombre de ses romans.
- Edmond Laguerre (1834-1886), mathématicien
- Charles-Maurice Ernest Jacquelot de Moncets (1838-1906), général de division.
- Jules Develle (1845-1919), 12 fois ministre de la IIIe République.
- Jacques Onfroy de Bréville dit Job (1858-1931), illustrateur de livres d’enfants.
- Olivier Sainsère (1852-1923), célèbre homme politique et grand amateur d’art.
- Rudolf Diesel (1858-1913) ingénieur allemand qui crée en juin 1897 la Société française des moteurs Diesel à combustion interne, dont le siège est à Bar-le-Duc.
- Raymond Poincaré (1860-1934), 10e président de la République française, de janvier 1913 à janvier 1920.
- Charles Aimond, (1874-1968), mort à Bar le Duc, Prêtre et historien.
- Émile Bréhier (1876-1952), historien et écrivain.
- Georges Bernanos (1888-1948), écrivain. Il vécut à compter de janvier 1924 à Bar-le-Duc et y écrivit son premier roman Sous le soleil de Satan.
- Pierre Gaxotte, de l’Académie Française, Historien
- Pierre Camonin (1903-2003), organiste et compositeur
- André Grandvalet dit Ded Rysel (né 1903), comédien, surtout de radio (La famille Duraton) † 1975 à Paris
- Christian Pierret, maire de Saint-Dié-des-Vosges, ancien ministre, né à Bar-le-Duc en 1946.
- Isabelle Nanty actrice, réalisatrice et metteur en scène, née le 22 janvier 1962.
- Didier Gustin imitateur français, né le 26 avril 1966.
- Sophie Thalmann née le 7 mai 1976, animatrice de télévision et Miss France 1998.
Vues panoramiques
Monuments et lieux touristiques
Article détaillé : Liste des monuments historiques de Bar-le-Duc.La plupart des monuments ou bâtiments remarquables sont édifiés en pierre de Savonnières, donnant à la ville cette couleur blonde caractéristique. De nombreux hôtels particuliers de style Renaissance se trouvent dans la Ville Haute et son quartier Renaissance où demeuraient les riches familles de l’époque :
- L’Église Saint-Étienne (avec Le Transi, et, derrière le maître autel, Le Christ en Croix entre les deux Larrons, sculptures de Ligier Richier)
- La Place Saint-Pierre sur laquelle donne l’église Saint-Étienne mais également le Palais de Justice et les anciennes halles,
- Le Château des ducs de Bar (XVe et XVIe siècles), sur le bord de la ville haute, avec ses belvédères dominant la vallée de l’Ornain et la ville basse. Un musée est installé dans la dernière aile du château des ducs de Bar encore debout.
L’avenue du château longe les anciens remparts du château dont une seule tour (la tour Heyblot) est encore debout, admirer le belvédère sur le collège Gilles de Trèves (Renaissance).
- Le Collège Gilles-de-Trèves, magnifique bâtiment de la renaissance, construit dès 1573 fut l'un des lieux majeurs de l'enseignement lors de la contre-réforme en Lorraine Ducale.
L’avenue permet d’accéder à la ville basse, qui est certes moins attractive (maisons plus populaires et plus récentes) mais elle abrite l’essentiel des commerces et des bâtiments administratifs ainsi que quelques monuments remarquables :
- le pont Notre-Dame surmonté d’une chapelle.
- l’Église Notre-Dame, la plus ancienne de la ville.
- l’Église Saint-Antoine, ornée de fresques du XIVe siècle dont la nef enjambe un cours d’eau,
- l’hôtel de Ville, ancienne résidence d’Oudinot construite en 1803. Dans le parc statues dont Hydrorrhage d’Ipoustéguy.
- la rue du Bourg et ses magnifiques maisons Renaissance.
- la préfecture de la Meuse située entre le 40-42 rue du Bourg et la place Reggio. Le bâtiment a été construit à l'emplacement de l'ancienne commanderie des Antonistes datant du début du XVIIe siècle dont il subsiste la façade donnant sur le jardin. Le bâtiment est agrandi par l'architecte départemental Dubois en 1821. Il crée la façade sur la rue. La préfecture est de nouveau agrandie entre 1904 et 1908 par l'architecte départemental Charles Royer. Il conçoit la façade donnant sur la place Reggio réalisée par l'entreprise France-Lanord et Bichaton[7].
Un ensemble de monuments commémoratifs des guerres et surtout de la Première Guerre mondiale :
- en mémoire de la voie sacrée;
- en mémoire de la Guerre franco-prussienne, un monument aux morts dans le cimetière de la ville et un autre pour les morts allemands;
- une Nécropole nationale qui regroupe des tombes de soldats tombés entre 1914 et 1918 tant malgaches, indo-chinois, britanniques, africains et français avec un monument du 16 octobre 1927 inauguré par Raymond Poincaré, ainsi que des tombes de 1939-1945 françaises, belge et soviétique; quatre des cinq fusillés de l'esplanade de la fédération du 28 août 1944 .
En été, une scénographie lumineuse permet de redécouvrir totalement certains monuments à la nuit tombée : Église Saint-Étienne, Préfecture.
- Le temple protestant construit vers 1862, situé 9 rue du Docteur Nève
- La synagogue (1870-1872) de style romano-byzantin (15, Quai Sadi Carnot). architecte : Charles Demoget[8]. L'inscription en hébreu sur la façade est le verset biblique Genèse 28,17 : "Ce lieu n'est autre que la maison de Dieu, et c'est la porte du ciel", le même que sur le fronton de la Synagogue de la Victoire à Paris ainsi que sur la Synagogue de Reims. Il ne reste plus que quelques familles juives à Bar-le-Duc et la synagogue n'est plus utilisée. Il existe un petit cimetière israélite datant du XIXe siècle, en lisière de forêt, qui comporte 126 tombes. celui-ci a été vandalisé le 29 octobre 2010 (fête de Halloween) et 49 tombes ont été profanées, les stèles ont été renversées et les pierres tombales ont été brisées[9].
- Le château de Marbeaumont, aujourd'hui Médiathèque Jean Jeukens, a été construit par l'architecte barrisien Jules Renard pour le banquier Paul Varin-Bernier entre 1903-1905.
Manifestations culturelles
Fin juin, le festival RenaissanceS anime la vieille ville avec du théâtre de rue, de la musique, un marché artisanal…
Pour le sport, chaque année, le championnat de France des 200 kilomètres de marche athlétique a lieu au cœur de la ville.
Début juillet, le marché du terroir et des confitures accueille, depuis 2002, le championnat du monde d’épépinage de groseilles (à la plume d’oie), héritage d’une tradition dont les écrits les plus anciens datent de 1339.
Gastronomie
- Spécialité locale : la confiture de groseilles épépinées à la plume d'oie. A la fin du XIXe siècle, une vingtaine d'entreprises de la région conservaient cette tradition héritée du Moyen Âge ; elle sont beaucoup moins nombreuses aujourd'hui.
Vie militaire
Unités militaires ayant été en garnison à Bar-le-Duc :
- 94e Régiment d’Infanterie, (avant) 1906 - 1914; 1939 - 1940
- 154e Régiment d’Infanterie, (avant) 1906 - 1914
- ACM 150 annexe du 150e RI de Verdun c’était un centre de mobilisation en cas de guerre années 1960 à 1970.
Jumelages
Bibliographie
- Charles Aimond (Mgr), L’église prieurale et paroissiale Notre-Dame de Bar-le-Duc : histoire, description, rôle et importance dans l’histoire et la vie de la cité ducale, C. Lacour, Nîmes, 2006, 119 p. (ISBN 2-7504-1183-1) (fac simile)
- Ahmet Aydin, Bar-le-Duc pendant la Grande Guerre, Université de Metz, 2009, 299 p. (Mémoire de Master)
- François Alexis Théodore Bellot-Herment, Historique de la ville de Bar-le-Duc, Bar-le-Duc, 1863 (texte intégral en ligne [2])
- Jean Collot, Quelques clichés sur Bar-le-Duc, Imprimerie du Barrois, Bar-le-Duc, 1982, 51 p.
- Jean Dubois, L’Assistance dans le district de Bar pendant la Révolution, Imprimerie nationale, E. Leroux, Paris, 1930, 162 p.
- Études sur le budget de la ville de Bar-le-Duc (Meuse), 1837-1846, N. Rolin, Bar-le-Duc, 1849, 253 p.
- Georges Fréchet, Bar-le-Duc, église Saint-Étienne, Société française d’archéologie, Paris, 1995 (extr. du Congrès Les Trois-Évêchés et l’ancien duché de Bar, p. 34-47)
- Catherine Grosjean, Le château de Marbeaumont à Bar-le-Duc : la demeure éclectique d’un riche banquier au début du XXe siècle, Université de Strasbourg, 1996, 2 vol. (Mémoire de Maîtrise)
- Henri L’Huillier (Lt colonel), Bar-le-Duc : ses rues, places, ponts et cours d’eau, G. Duménil, Haironville, 1987 (nouvelle éd.), 285 p.
- Pierre Marizier, Le Coup de Bar : chronique d’une époque, 1958-1970, Montmédy, 1988, 167 p. (ISBN 2-9503047-0-2)
- Anne Masson Mercier, L’hôpital Saint-Denys de Bar-le-Duc, de sa fondation à nos jours, Université de Nancy 1, 1985, 193 p. (Thèse de médecine)
- Léon Maxe-Werly, Un sculpteur italien à Bar-le-Duc en 1463, Imprimerie nationale, Paris, 1896, 11 p. (extrait des Comptes rendus de l’académie des Inscriptions et Belles-lettres, 1896 p. 54-62)
- Jérôme Montchal (dir.), Le trait et le portrait : de Boucher à Camille Claudel : les plus beaux dessins du musée de Bar-le-Duc : Sortez de votre réserve !, Somogy éd. d’art, Paris ; Ville de Bar-le-Duc, 2004, 103 p. (ISBN 2-85056-825-2) (catalogue édité à l’occasion de l’exposition présentée au Musée barrois de Bar-le-Duc, du 15 décembre 2004 au 3 avril 2005)
- Georges Poull, La maison souveraine et ducale de Bar, Presses universitaires de Nancy, Nancy, 1994, 455 p. (ISBN 2-86480-831-5)
- Georges Weill et Jean Schmitt, Bar-le-Duc : ville haute, ville basse : guide touristique : notices historiques et archéologiques, Société des lettres, sciences et arts, Bar-le-Duc, 1966, 95 p.
Notes
- Populations légales 2008 de la commune : Bar-le-Duc sur le site de l'Insee
- Donnée climatiques de Saint-Dizier sur linternaute.com. Consulté le 18 octobre 2009
- Pierre Miquel, Les Guerres de religion, Club France Loisirs, 1980 (ISBN 978-2-7242-0785-9), p 252
- http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
- INSEE : Population depuis le recensement de 1962
- Population légale à bar-le-Duc en 2008 sur le site de l'INSEE
- ISBN 2-85822-190-1) Sous la direction de Bernard Toulier, Mille monuments du XXe siècle en France, p. 269, Éditions du patrimoine (collection Indicateurs du patrimoine), Paris, 1997 (
- Dominique Jarrassé, Une histoire des synagogues françaises, p.230
- BAR-LE-DUC - 49 tombes profanées dans un cimetière juif
Voir aussi
Bar-le-Duc a remporté la finale 1979 des Jeux sans Frontières
Lien interne
Liens externes
Catégories :- Bar-le-Duc
- Commune de la Meuse
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- Ville adhérant à l'association Les Plus Beaux Détours de France
- Ancien chef-lieu de district
- Renaissance
- Ville décorée de la Croix de guerre 1914-1918
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