- Durocortorum
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Reims
Reims
DétailAdministration Pays France Région Champagne-Ardenne Département Marne
(sous-préfecture)Arrondissement Reims
(chef-lieu)Canton Chef-lieu de 10 cantons Code Insee abr. 51454 Code postal 51100 Maire
Mandat en coursAdeline Hazan
2008-2014Intercommunalité Reims Métropole Site internet ville-reims.fr Démographie Population 188 078 hab. (2008) Densité 4 000 hab./km² Aire urbaine 291 375 hab. Gentilé Rémois Géographie Coordonnées Altitudes mini. 80 m — maxi. 135 m Superficie 47,02 km² Reims [ʀɛ̃s] (orthographe désuète : Rheims), appelée « la cité des sacres » ou « la cité des rois », est une commune française située dans le département de la Marne et la région Champagne-Ardenne.
Reims est une ville du nord-est de la France, à 141 km de Paris, dans la Champagne crayeuse. Elle bénéficie d'une position privilégiée au nord-est du bassin parisien, notamment parce que la ville se situe entre, d'une part, Paris et Strasbourg et, d'autre part, l'Allemagne, la Belgique et le Luxembourg. La ville représente donc une étape pour les touristes.
Avec 188 078 habitants, c'est la douzième ville de France par sa population (mais vingt-neuvième en comptant l'agglomération : 218 375 habitants). Elle est la ville la plus peuplée du département et de la région, bien que n'étant pas le chef-lieu du département ni de la région (cette place revient à Châlons-en-Champagne). Reims est aussi la deuxième ville (hors agglomération) la plus peuplée du nord-est de la France après Strasbourg. Selon le dernier recensement de l'Insee, elle est la sous-préfecture française la plus peuplée intra-muros devant Le Havre (185 427 habitants).
Sommaire
Géographie
Situation
La ville est située dans une plaine, sur les deux rives de la Vesle, un affluent de l'Aisne, et sur le canal de l’Aisne à la Marne. Au sud et à l'ouest s'élève la montagne de Reims, dont les versants abritent une partie des meilleurs crus du vignoble champenois.
Voies de communications
Routières : la ville est reliée aux grands centres urbains par les autoroutes :
- A4 Paris - Metz - Strasbourg
- A26 Londres - Lille - Dijon - Lyon
- A34 Charleville-Mézières - Sedan - Belgique
Reims se trouve par la route à (trajet le plus court):
- 141 km de Paris
- 154 km de Charleroi
- 179 km de Metz
- 180 km de Luxembourg
- 180 km de Lille
- 188 km de Nancy
Ferroviaires : la ville possède trois gares ferroviaires :
- La gare de Reims (gare principale et Multimodale)
- La gare de Reims - Maison-Blanche (halte TER de quartier desservant le Centre Hospitalier).
- La gare de Champagne-Ardenne - TGV
Toutes deux sont desservies par le TER Champagne-Ardenne et le TER Picardie. Et depuis le 10 juin 2007, le TGV Est dessert la ville, notamment via la gare de Reims (45 min. de Paris gare de l'Est) et via la gare de Champagne-Ardenne - TGV située dans Reims-Métropole (30 min. de la gare TGV aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, 35 min. de la gare TGV Marne-la-Vallée, des dessertes également pour Londres, Lille, Paris-Massy-Palaiseau, Rennes, Nantes, Bordeaux, Le Mans, Tours, Strasbourg, Metz, Nancy, Lyon, Marseille...).
Dès 2009, deux nouvelles haltes TER seront ouvertes : Franchet d'Espérey (sur la ligne d'Épernay) et Farman (sur la ligne de Châlons-en-Champagne), toutes deux à destination des étudiants des campus Croix-Rouge et Moulin de la Housse respectivement.
Aériennes :
- Depuis la fermeture de l'aérogare de Reims Champagne, la ville ne possède plus qu'un aéroport de tourisme, Reims-Prunay, situé à cinq kilomètres au sud-est de la ville.
Fluviales :
- le canal de l’Aisne à la Marne possède un relais nautique (boulevard Paul Doumer)[1].
Division de la commune
Depuis novembre 2008, treize conseils de quartiers ont un rôle d'écoute, de liaison entre eux et de proposition.
Liste des conseils de quartiers de Reims[2]Barbâtre - Saint-Remi - Verrerie Bois d'Amour - Porte de Paris - Courlancy Centre-ville Cernay Jamin - Jean Jaurès - Épinettes Clairmarais - Charles Arnould Châtillons Chemin Vert - Europe Croix-Rouge - Hauts de Murigny La Neuvillette - Trois-Fontaines Laon Zola - Neufchâtel - Orgeval Maison-Blanche - Sainte-Anne - Wilson Murigny Plus un "quartier virtuel", sous la forme d'un forum internet
Voirie
Les principales places de Reims sont:
- La place Drouet d'Erlon[3], la place la plus importante où se concentrent cafés, restaurants et commerces et au centre de laquelle, se trouve la fontaine Subé, surmontée de la Gloire, statue dorée.
- La place Royale, au centre de laquelle on peut voir une statue de Louis XV.
- La place du Cardinal-Luçon, parvis de la cathédrale, où se trouve une statue de Jeanne d'Arc (où d'ailleurs plusieurs vols de son épée ont été commis.)
On peut également citer la place de la République et la place des Droits-de-l'Homme, situées sur les grands boulevards ceinturant le centre et servant de portes d'entrée dans le centre-ville de Reims.
Communes limitrophes
Climat
Reims a un climat semi-océanique.
Reims subit des influences du climat continental venant de l'Est de l'Europe, ce qui explique ce climat océanique teinté d'un climat continental.
Moyenne de janvier : Min 0. record -22,3(1985); Max 4. record 16,6 (1999)
Moyenne de juillet : Min 13. record 1,2(1929); Max 24. record 39,3 (2003)
Nombre de jours de pluie : 210/an.
Ville Ensoleillement Pluie Neige Orage Brouillard Gel Paris 1 797 h/an 642 mm/an 15 j/an 19 j/an 13 j/an 29j/an Nice 2 694 h / an 767 mm / an 1 j / an 31 j / an 1 j / an 2j/an Strasbourg 1 637 h/an 610 mm/an 30 j/an 29 j/an 65 j/an 76j/an Reims 1 729 h / an 604 mm / an 21 j / an 22 j / an 66 j / an Moyenne nationale 1 973 h/an 770 mm/an 14 j/an 22 j/an 40 j/an Histoire
Rheims, cette orthographe ancienne est parfois encore utilisée en anglais.
Héraldique
Reims - D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or.
- Devise : « Dieu en soit garde »
Sur le blason figure la légion d'honneur (au centre), qui a été remise également à la ville en 1919.
Région de Reims à l'époque pré-romaine (préhistoire)
Les premières traces d'implantation humaine dans la région remontent au néolithique et au chalcolithique (fin du IIIe millénaire avant Jésus-Christ). Des champs d'urnes de l'âge du bronze y ont été retrouvés. La vallée de la Vesle a connu une occupation assez dense pendant l'âge du fer. Il y a cependant très peu de vestiges de ces époques sur le site actuel de Reims.
Vers 80 avant J-C, les Rèmes construisent l'oppidum de Durocorter[4] sur le site qui deviendra Reims.
Les Rèmes et Rome
En celtique Durocorter, la forteresse ronde, devient Durocortorum et est mentionnée dans les commentaires de Jules César. Strabon cite le nom de Duricortora (Δουρικορτόρα). Voyant l'avancée de l'armée de César, les Belges s'allient pour repousser cette invasion. Les Rèmes refusent cette alliance et choisissent d'aider Rome. L'alliance est votée par le Sénat de Rome. Les Belges sont battus sans grande difficulté. En 53 avant J-C, César ordonne au concilium Galliae de se réunir à Durocortorum pour y juger la conjuration des Sénons et des Carnutes.
Les Rèmes ayant prouvé leur fidélité à Rome, Durocortorum est classée dans les cités fédérées, considérées comme indépendantes. Sous Auguste (entre 16 et 13 avant J.-C.), les Rèmes sont placés dans la province de Belgique dont Durocortorum devint la capitale. Les nombreux monuments ou autres traces de l'époque romaine montrent que Reims est à l'époque très prospère[4] (de récents travaux archéologiques font même de la ville la deuxième plus vaste de l'Empire après Rome[5]). Sept grandes voies desservent la ville.
En 357 et en 366, des invasions germaniques sont repoussées dans la région avant qu'elles n'atteignent Reims. Mais en 406, les Vandales s'emparent de la ville et la pillent. Les Rémois sont réfugiés alors dans l'église chrétienne et l'évêque saint Nicaise est décapité sur le seuil de sa cathédrale[6]. Et en 451, ce sont les Huns qui attaquent la ville.
Le Moyen Âge
Le christianisme apparaît au milieu du IIIe siècle grâce à l'évêque Sixte et une première cathédrale est élevée au IVe siècle mais ce n'est qu'au Ve siècle que l'emplacement actuel commence à être occupé par l'Église qui y installe d'abord un ensemble épiscopal puis plusieurs cathédrales qui se succèdent jusqu'à celle qui existe aujourd'hui[7].
C'est à Reims que Clovis Ier est baptisé entre 496 et 499 par l'évêque saint Remi. Ultérieurement, et pour cette raison, elle devient la ville du sacre des rois de France et l'archevêque-duc, un pair de France.
Article détaillé : Sacre (France).À l'époque mérovingienne, Reims est l'une des capitales de l'Austrasie[8], avec Metz. En 719, Reims est démantelée par Charles Martel ; un grand nombre de monuments rappelant son ancienne puissance et sa prospérité du temps de l'époque gallo-romaine disparaissent.
En 804, Charlemagne y reçoit le pape Léon III.
Vers l'An mil, l'archevêque de Reims, Gerbert d'Aurillac, est élu pape sous le nom de Sylvestre II.
En 1119, la ville reçoit un concile.
En 1143, la ville obtient des franchises communales, qui lui sont retirées peu après[9].
La Renaissance
L'université de Reims est créée en 1548 par le cardinal de Lorraine. Supprimée à la Révolution, elle renaît progressivement durant la seconde moitié du XXe siècle.
Révolution française
Les massacres de septembre font neuf morts à Reims, tués le 3 septembre 1792 par des volontaires parisiens rejoignant l’armée en campagne contre les Prussiens qui venaient de faire tomber Verdun[10].
Le XXe siècle
Le début du XXe siècle est marqué par de retentissants événements aériens qui font de Reims l'un des berceaux de l'aviation dans le monde[11]. C’est dans la plaine située au nord de Reims, à l’emplacement de l’actuelle Base aérienne 112, que sont organisés certains de ces évènements :
- Le 21 septembre 1901, sur une esplanade longue de 1350 mètres et large de 800, a lieu la cérémonie mettant fin aux grandes manœuvres militaires de l’Est et au cours de laquelle le tzar Nicolas II de Russie, en présence du président de la République Émile Loubet, passe les troupes en revue – un peu plus de cent mille hommes.
- Le premier voyage aérien de l'histoire mondiale de l'aviation effectué par Henri Farman le 30 octobre 1908 entre Bouy et la Cité des Sacres (vingt-sept kilomètres), première Grande semaine d'aviation de la Champagne organisée du 22 au 29 août 1909 (premier meeting international d'aviation), seconde Grande semaine d'aviation de la Champagne organisée en juillet 1910, concours d'aéroplanes militaires de Reims d'octobre et novembre 1911 (autre première mondiale) et coupe internationale d'aviation de vitesse Gordon-Benett des 27, 28 et 29 septembre 1913 remportée par le Rémois Prévost avec 203 kilomètres à l'heure.
La garnison de Reims, importante depuis la fin du XIXe siècle, est, au siècle dernier, le lieu de stationnement de nombreuses formations militaires. Celles-ci totalisent plusieurs milliers de soldats logés dans de nombreuses casernes : caserne Colbert (boulevard de la Paix), caserne Jeanne d'Arc (boulevard Pommery), casernes Neufchâtel et Maistre (rue de Neufchâtel). En 2009, seule subsiste la caserne Colbert, désaffectée, dont la démolition semble inévitable.
La Première Guerre mondiale détruit une très grande partie de la ville. La cathédrale est incendiée en septembre 1914, puis gravement endommagée par de constants bombardements jusqu'en 1918. Le peintre officiel des armées François Flameng, réalisa de nombreux croquis et dessins de ces événements, qui parurent dans la revue L'Illustration. La ville a fait, depuis, l'objet d'importantes campagnes de restauration qui se poursuivent encore actuellement.
La reconstruction de la ville après la Première Guerre mondiale s'est principalement déroulée dans les années 1920. De nombreux bâtiments du centre-ville sont donc de cette période et beaucoup d'entre eux ont été construits dans un style Art Déco ([2]). Pendant les années 1920, Reims est le foyer d'un mouvement littéraire d'importance : Le Grand Jeu, animé principalement par René Daumal et Roger Gilbert-Lecomte.
De juin 1940 au 30 août 1944, Reims est occupée par l'armée allemande ; le général Eisenhower y installe son quartier général après la libération de la ville. La reddition de l'armée allemande est signée à Reims dans une salle du Collège technique et moderne (actuel lycée Roosevelt) le 7 mai 1945, à 2 h 41, par le maréchal allemand Alfred Jodl. Cette date correspond donc à la fin des combats en Europe. Le lendemain, le 8 mai 1945, à l'initiative de l'Union soviétique, une seconde signature a lieu à Berlin par le maréchal Wilhelm Keitel. Cette seconde date correspond à la capitulation sans conditions du régime allemand.
Au sortir de la guerre, comme une grande partie de la France, la ville de Reims connaît une forte urbanisation, notamment avec l'aménagement de quartiers populaires, surtout dans les années 1960-1970 (quartiers Wilson, Orgeval, Europe, Châtillons, Croix-Rouge, etc.).
En 1962, Charles de Gaulle et le chancelier allemand Konrad Adenauer participent à une messe pour la réconciliation franco-allemande à la cathédrale Notre-Dame de Reims[12].
Le 21 septembre 1996, le pape Jean-Paul II rend visite à la cathédrale de Reims pour commémorer le XVe centenaire du baptême de Clovis. Sur la base aérienne 112, il célèbre une messe devant plus de deux cent mille fidèles.
Dans la légende
Selon une tardive légende française, on dit que Reims correspondait au Rome de Rémus. Il s'agit tout simplement qu'au lieu d'être assassiné par son frère, Rémus aurait tout simplement été exilé pour aller fonder la ville de Reims. Dans une autre version de la même légende; Rémus ayant été tué par son frère; ses partisans auraient quitté Rome et se seraient exilés. Ayant trouvé en champagne une terre fertile, ils auraient fondé une ville, Reims, qu'ils ont dédié à Rémus.
Culture et patrimoine
Reims est classée ville d'art et d'histoire.
Patrimoine architectural
Elle comporte quatre édifices inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1991[13]'[14].
- Cathédrale Notre-Dame, dont les tours ont eu 13 548 visiteurs en 1999, a été édifiée au XIIIe siècle et a été le lieu du sacre de la plupart des rois de France.
- Palais du Tau, ancien palais de l'archevêque de Reims, reconstruit sous Louis XIV, et après l'incendie du 19 septembre 1914.
- Basilique Saint-Remi, construite à partir de 1007 et qui fête donc son millénaire[15] en 2007.
- Adjacent à la basilique, l'ancienne abbaye royale Saint-Remi où était conservée la Sainte Ampoule du sacre des rois de France[16].
D'autres monuments présentent aussi un intérêt :
- Porte Mars gallo-romaine
- Cryptoportique gallo-romain (Place du Forum) c'est une galerie gallo-romaine semi-enterrée du IIIe siècle, elle est classée monument historique.
- Chapelle Notre-Dame-de-la-Paix dite Chapelle Foujita (rue du Champ de Mars)
- Bibliothèque Carnegie
- Crématorium de Reims
- Hôtels particuliers du boulevard Lundy
- Hôtel de Brimont
- Hôtel-Château des Crayères
- Hôtel Mignot
- Hôtel Godbert
- Hôtel Werlé, dit Roederer
- Le Monument aux morts de Reims a été inauguré le 1er juin 1930 par le ministre de la Guerre André Maginot, en présence du maréchal Pétain, de Paul Marchandeau, maire de Reims et député, et de l'archevêque de Reims le cardinal Luçon.
- Hôtels du quartier des Moissons
- Place Royale
- Ancien Collège des Jésuites (place Museux), construit au XVIIe siècle, il est classé monument historique (43 240 visiteurs en 2002).
La reconstruction de la ville dans les années 1920 a permis de développer un riche patrimoine architectural Art Déco. Deux circuits pédestres (circuit historique, circuit Art Déco) permettent de profiter de ce patrimoine[17]. L'hôtel de Ville a été construit entre 1924 et 1927 par l'architecte Roger-Henri Expert.
- Cité-jardin du Chemin vert
Construite par l'architecte Jean-Marcel Auburtin entre 1920 et 1924 à l'initiative d'un groupe de patrons catholiques constitué en une société HBM : le Foyer rémois (fondé en 1912). 600 logements sont construits sur 30 hectares, dans un style régionaliste, logements répartis en 14 types de maisons, isolées ou groupées, toutes dotées d'un jardin. La cité est équipée d'écoles et de commerces et d'une maison commune abritant les bains-douches, une bibliothèque, une salle des fêtes, une école ménagère et l'administration de la cité. Elle possède surtout en son centre l'église Saint-Nicaise, décorée par les peintres Gustave-Louis Jaulmes et Maurice Denis, le ferronnier d'art Raymond Subes, les sculpteurs Emma Thiolliers et Roger de Villiers et le verrier René Lalique. La cité est toujours propriété de la même société HLM. Elle fut pendant très longtemps l'objet de visites venant du monde entier pour voir ce modèle de cité-jardin.
- À proximité de Reims
- Château de Condé (riches décors du siècle des lumières)
Patrimoine environnemental
Reims dispose de 82 parcs et de 14 aires de jeux[18] qui totalisent près de 220 hectares[19]. La ville compte aussi trois jardins remarquables classés dans la base Mérimée : le jardin Schneiter[20] (boulevard Louis-Roederer), le jardin des buttes Saint-Nicaise[21] (boulevard Diancourt), le parc Pommery[22] (avenue du Général-Giraud). Cinq parcours pédestres dont un dédié aux arbres de la ville[23] permettent d'en profiter.
Les jardins familiaux à Reims
À Reims, il existe neuf associations de jardins familiaux. Le but de ces associations est de fournir à des familles ou personnes seules des jardins pour leurs besoins personnels, à l'exclusion de toute activité commerciale. Les différentes associations sont situées sur la communauté d'agglomération de Reims (Reims Métropole).
Le tout représente environ 1 800 parcelles associatives. Certaines associations se sont regroupées en fédération locale[24]. Les jardins familiaux de Reims ont reçu le prix spécial 2005 du fleurissement des jardins familiaux collectifs du Conseil des villes et villages fleuris.
Listes des associations de jardins familiaux de Reims (Reims Métropole)- Association des jardins familiaux Pays de France.
- Association des jardins familiaux Croix du Sud.
- Association brico-corcellienne des jardins familiaux.
- Association rémoise des jardins familiaux.
- Jardins du Cheminot section Reims (Jardinot).
- Jardins associatifs de la Communauté d'agglomération de Reims.
- Association des jardins familiaux du quartier Maroc.
- Association des jardins familiaux Trois-Fontaines.
- Association des jardins familiaux Trois-Rivières.
Société d'horticulture
La Société d'horticulture de l'arrondissement de Reims[25] a été créée en 1877 et adhère à la Société Nationale d'Horticulture de France. Ses principales activités sont : greffage, jardinage, art floral, plantes potagères, fuchsias, orchidées, arboriculture fruitière, plantes vivaces, bassins et plantes aquatiques et parasitologie. Environ 450 personnes y adhèrent.
Patrimoine culturel
Plusieurs musées sont recensés à Reims parmi lesquels :
- Musée-abbaye Saint-Remi (rue Simon), installé dans l'ancienne abbaye royale bénédictine, classée patrimoine mondial par l'UNESCO, c'est le musée d'histoire et d'archéologie de la ville dont des collections gallo-romaines, etc. (42 788 visiteurs en 1999).
- Palais du Tau (place du Cardinal-Luçon)[26], il abrite notamment le trésor royal de la cathédrale et de nombreux objets utilisés à l'occasion du sacre du roi Charles X.
- Musée des Beaux-Arts (rue Chanzy), il est fondé en 1794 à partir des saisies révolutionnaires (34 638 visiteurs en 2002).
- Musée de la Reddition (rue Franklin-Roosevelt), la salle de la signature de la capitulation des armées du IIIe Reich le 7 mai 1945, cette salle est classée monument historique. (16 126 visiteurs en 2002)
- Musée de l'automobile de Reims Champagne (avenue Georges-Clemenceau), c'est le cinquième musée automobile de France par l'importance de sa collection (15 000 visiteurs en 2002).
- Musée dit Hôtel le Vergeur[27] (place du Forum), c'est le musée du vieux Reims abrité dans un hôtel particulier construit au XIIIe siècle et enrichi de parties Renaissance au XVIe siècle (11 547 visiteurs en 1999).
- Ancien Collège des Jésuites [28] (place Museux), ensemble architectural du XVIIe siècle comprenant une magnifique bibliothèque, également du XVIIème, ainsi qu’un réfectoire orné de boiseries et de peintures de Jean Hélart retraçant la vie de saint Ignace de Loyola et de saint François-Xavier. Ce bâtiment abrite également une collection de meubles régionaux. L'ancien Collège des Jésuites présente régulièrement des expositions temporaires. Le site de l’ancien collège des Jésuites abrite également le Planétarium, l’Atelier du Patrimoine et le FRAC Champagne-Ardenne.
- Fonds régional d'art contemporain Champagne-Ardenne (FRAC)[29] (Ancien Collège des Jésuites, place Museux) dont la vocation est, depuis 1982, de constituer et de diffuser une collection d'œuvres d'art contemporain (3 653 visiteurs en 2002).
La ville compte deux médiathèques (médiathèque Croix-Rouge, médiathèque Jean-Falala)[30], cinq bibliothèques[18] dont la bibliothèque Carnegie et un planétarium (ancien collège des Jésuites - planétarium de la Ville de Reims, place Museux).
Il existe quatre scènes[18] (la Cartonnerie, la Comédie de Reims, le grand théâtre[31] et le manège[32]).
Le conservatoire national de la région de Reims[33] dispense un enseignement artistique concernant la musique, le chant, le théâtre et la danse.
- À proximité de Reims
- Musée du fort de la Pompelle (à 5 km de Reims sur la RN 44 en direction de Châlons-en-Champagne), construit de 1880 à 1883, c'est un haut-lieu de la Première Guerre mondiale (23 700 visiteurs en 1999).
- Musée de la base aérienne 112 et de l'aéronautique locale (route départementale 966 en suivant la direction Bruxelles), il présente un siècle d'aviation à Reims et dans ses environs.
Gastronomie
Articles détaillés : Vin de Champagne et Biscuit rose de Reims.Le vin de Champagne est naturellement une spécialité de la région, comme les biscuits roses de Reims, tout désignés pour l'accompagner. La ville possède d'ailleurs une longue tradition de pâtisserie avec les biscuits Charles VII, le biscuit Rem[34], le pain d'épices et la nonnette. Le jambon de Reims ainsi que le vinaigre et la moutarde de Reims sont également connus et appréciés.
Sur le plan de la tradition, on trouve la potée champenoise[35] à base de chou, petit salé, lard maigre et jambonneau servie avec des tranches de pain mouillées au bouillon de légumes.
Économie
Reims est le premier pôle économique de la région Champagne-Ardenne devant Troyes et Châlons-en-Champagne.
Le taux d'activité entre 20 et 59 ans est de 74% pour une moyenne nationale de 82,2%.
Principaux secteurs d'activités économiques de Reims :
- Agroalimentaire (Champagne Céréales, Cristal Union, ARD et en particulier, le champagne) ;
- Santé / Beauté (Delpharm - avant Boehringer-Ingelheim Pharmaceuticals, AstraZeneca, Boiron, Diamed, Eugène Perma) ;
- Industrie automobile (Valeo, Treves, Trelleborg, Bosal, Brink...) ;
- Logistique et Emballage et Conditionnement avec la Packaging Valley (BSN, Alcan, Saint-Gobain, Smurfit, Seyfert) ;
- Banque, assurance, immobilier, services aux entreprises, call centers (HSBC, Natexis, ING Direct, Techcity, ICC, Chaire Banque, Kuoni, Taxi G7...);
- Construction, bâtiment et travaux publics ( CARI ) ;
- Santé et action sociale ;
- Enseignement et recherche ;
- Hôtellerie et restauration;
- Industrie des métaux (siège mondial d'Arcelor Mittal Distribution);
- Industrie du verre (Owens-Illinois) ;
Avec l'arrivée du TGV qui met Reims à seulement 45 minutes de Paris (gare de l'Est), 35 minutes de Marne-la-Vallée et 30 minutes de l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle, l'agglomération se positionne comme lieu d'accueil privilégié des entreprises parisiennes désirant se délocaliser avec des coûts de fonctionnement en moyenne inférieurs de 25%.
Une agence de développement économique appelée Invest in Reims[36] a été créée en 2003 pour favoriser la venue d'investissement sur l'agglomération rémoise. Celle-ci est financée par la ville de Reims, la Chambre de commerce et d'industrie et l'agglomération (Reims Métropole).
Reims est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Reims et d'Epernay. Elle gère le port fluvial et l'aéroport.
Démographie
- Commune (2004) : 184 400 habitants, 3 930 hab/ km²
- Unité urbaine (1999) : 215 581 habitants, 2 283 hab/ km²
- Aire urbaine (1999) : 291 735 habitants
Histogramme
(Évolution de la population de Reims - 1793-2006)Logements
Du fait de son potentiel touristique, Reims compte près de 60 hôtels ainsi qu'une aire de stationnement pour camping-cars (neuf places)[39] mais aussi un centre international de séjour[40] et une résidence séjour et affaire dans le quartier Clairmarais[18].
Il existe six offices HLM[18] 45 % des logements à Reims sont des logements HLM
Environ 900 nouveaux logements sont construits chaque année
Le nombre total de logement a reims est de 91720
le taux de propriétaires est de 25,1% pour une moyenne nationale de 55,3%
le taux de locataires est de 71,6% pour une moyenne nationale de 39,8%
le nombre de personnes logées gratuitement est de 3,3% pou une moyenne nationale de 4,9%
le nombre de maison individuelles est de 22,3% pour une moyenne nationale de 56,8%
le nombre d'appartements est de 74,4% pour une moyenne nationale de 40,4%
le nombre pour un autre type de logements est de 3,3% pour une moyenne nationale de 2,8%
Centres commerciaux, vie commerçante
La rue de Vesle, l'artère commerciale la plus importante (avec la place d'Erlon), traverse, sous différents noms et selon un schéma hérité du plan antique, la ville du sud-ouest au nord-est, en passant par la place Royale. Parmi les autres grandes rues commerçantes, on peut citer en centre ville : la rue de l'Étape, la rue du Cadran-Saint-Pierre, la rue des Élus, la rue Condorcet et la rue de Talleyrand.
Durant la semaine, six marchés se déroulent dans différents quartiers de la ville[18].
Reims compte sept parcs d'activités dont deux parcs d'activités à proximité immédiate des deux gares TGV de l'agglomération rémoise (Parc Reims Centre et Parc Reims Bezannes)[18].
Vivre à Reims
Le sport à Reims
La ville est historiquement liée au sport.
Reims est le berceau de l'hébertisme[41]. Le lieutenant de vaisseau Georges Hébert fut invité par le marquis Melchior de Polignac à mettre en pratique sa méthode naturelle dans le parc Pommery, créé en 1907 (aujourd'hui parc de Champagne), un espace de 22 ha consacré aux loisirs et aux sports. Une véritable École supérieure de formation des professeurs de gymnastique est alors créée, dont Hébert devient le directeur en 1913.
Reims a été la première ville sacrée « ville la plus sportive de France » par le quotidien L'Équipe en 1937.De nos jours, on y trouve aussi de nombreux équipements[18] : 18 grands équipements (stade ou complexe sportifs), 42 gymnases, six piscines, six courts de tennis, cinq terrains de sport, deux patinoires, un hippodrome, un boulodrome, un mur d'escalade, un skate-parc, un stand de tir, une piste pour auto radiocommandées.
Et la ville compte plusieurs équipes sportives de haut niveau.- Aviron : Régates Rémoises
- Basket-ball : Reims Champagne Basket (NM1) et Saint-Jacques Sport Reims (féminines - NF1)
- Canoë-kayak : ROCK Reims Olympique Canoe Kayak
- Football : Stade de Reims, club de National
- Hockey sur glace Division 1
- Sport automobile : Circuit de Reims-Gueux
- Water polo : Reims Natation 89
- Rugby : Stade de Reims Rugby (équipes féminine et masculine)
- Golf : Golf de Gueux.
- Handball : Reims Champagne Handball, N2
Listes des sportifs célèbres liés à Reims- Albert Batteux, footballeur au Stade de Reims ;
- Carlos Bianchi, footballeur au Stade de Reims ;
- Bruno Bonhuil, pilote moto français, né à Reims ;
- Albert Emon, footballeur au Stade de Reims ;
- Gilles Bosquet, rameur d'aviron aux Régates Rémoises ;
- Just Fontaine, footballeur au Stade de Reims ;
- Michel Hidalgo, footballeur au Stade de Reims ;
- Robert Jonquet, footballeur au Stade de Reims ;
- Raymond Kopa, footballeur au Stade de Reims ;
- Robert Pirès, footballeur au Stade de Reims ;
- Julien Siwiela, football américain, champion d'Europe junior 2006 ;
- Adeline Wuillème, escrimeuse (fleuretiste), née à Reims.
Événements sportifs
Reims organise chaque année de nombreux événements sportifs d'importance nationale ou internationale. Ainsi, la ville accueille régulièrement le Tour de France comme en 1936, 1938, 1949, 1951, 1956, 1973, 1985, 1988, 1991 et en 2002.
Elle organise aussi plusieurs événements de manière régulière.
- Le rallye Monte-Carlo historique, c'est une des villes de départ de l'étape de concentration.
- Le concours international de saut d'obstacles de Reims, se tient depuis 1929.
- Le meeting national d'athlétisme de Reims[42], qui est précédé du meeting jeunes d'athlétisme.
- Reims à toutes jambes ! (RATJ)[43] un événement dédié aux coureurs avec cinq courses dans la même journée dont marathon et semi-marathon.
Vie culturelle
La municipalité de Reims encourage les activités associatives et organise, tous les deux ans, le Forum des Associations et édite, dès le lendemain du forum, un annuaire des associations[44] qui dénombrait 801 associations dans l'édition 2005-2006. En alternance avec le forum, se tient les Assises des Associations, depuis 1996, afin d'instaurer un dialogue avec les associations.
La municipalité de Reims[45] met à disposition huit salles dans différents quartiers pour diverses manifestations festives, ludiques, informatives, etc. De plus, une maison des associations (à l'angle de la rue du Barbâtre et de la rue Eugène Wiet) permet d'accéder à neuf salles de réunion, deux salles d'activités physiques, plusieurs bureaux de permanence[46] et des boîtes aux lettres[47].
Festivités
Reims participe aux festivités culturelles nationales comme la nuit des musées, les journées européennes du patrimoine, la fête de la musique ou un été au cinéma.
En mars, se tiennent les Rencontres internationales de télévision (RITV)[48], un festival de créations télévisuelles où se rencontrent les professionnels et le public. Et Méli'môme[49] (depuis 1989) est un festival dédié au jeune public qui propose entre 25 et 30 spectacles.
En mai, c'est le festival Brut de scène[50], destiné aux amateurs de théâtre. Ainsi que Elektricity est un festival de musiques électroniques (depuis 2003).
En juin ont lieu les fêtes de Jeanne d'Arc qui drainent un nombreux public, ainsi que le festival international de folklore "Les Sacres du Folklore"[51] qui accueille chaque année une dizaine de troupes de danseurs et musiciens traditionnels des quatre coins du monde (depuis 1981).Durant l'été se tiennent les Flâneries musicales d'été[52] au cours desquelles sont donnés plus 100 concerts, dont de nombreux à l'entrée gratuite, dans divers lieux de la ville.
En septembre, c'est Jonglissimo (depuis 1994), une convention de jonglage.
En novembre, Reims jazz festival[53] (16° édition en 2009) qui est un festival dédié au jazz. Et Un automne au ciné, trois jours où les places des cinémas du centre-ville sont à un tarif préférentiel.
Novembre accueille également Reims, scènes d’Europe[54]
L’Europe culturelle envahit la Cité des Sacres ! La ville de Reims, métropole européenne active et attractive, participe à la saison culturelle européenne, organisée par CulturesFrance dans le cadre de la présidence française de l’Union Européenne. Pendant 1 mois, plus de 20 spectacles venant de 15 pays différents seront proposés aux Rémois.
Sous l’impulsion de la ville, les 7 structures culturelles parmi les plus importantes ont accepté de participer à cette manifestation « Reims scènes d’Europe » qui se déroulera du 6 au 30 novembre.
Son objectif est de présenter un large panorama de la création contemporaine en Europe dans le domaine du spectacle vivant.Une première en France C’est la première fois que différentes structures d’expressions artistiques comme le théâtre, la musique, la danse, le spectacle vivant de notoriété nationale acceptent de collaborer à un projet unique. Le résultat : une programmation riche et diversifiée.
Grâce à cette collaboration, Reims va vivre au tempo d’une culture européenne pendant tout le mois de novembre.
Du 6 au 29 novembre, une vingtaine de spectacles venant de quinze pays d’Europe pour une trentaine de représentations seront présentés aux Rémois. Des concerts, des rencontres et des débats sur le thème de l’Europe artistique et culturelle complèteront ce programme.
Des spectacles de qualité, rares, originaux seront présentés tout au long de cette manifestation.
Pour le public, ce sera avant tout l’opportunité d’accéder à une culture européenne et ce dans plusieurs expressions artistiques.Médias
Presse écrite
Télévision
- France 3 Lorraine Champagne-Ardenne
- Médiatour (chaîne destinée aux hôtels de tourisme)
- Cap Champagne-Ardenne (dès 2009)
Radios FM
Liste des fréquences(En gras : radios locales ou, en italique, avec décrochages locaux.)
- RCF Reims Ardennes (87,9)
- Virgin Radio Reims (88,8)
- France Musique (89,2)
- Happy FM (89,8)
- Cigale FM (90,5)
- Radio Bazarnaom (90,9) : Reims est une ville étape habituelle de la radio itinérante.
- France Maghreb 2 (91,3)
- Radio Primitive (92,4)
- Jazz FM (93,7)
- Nostalgie (94,1)
- FG DJ Radio (94,6)
- France Bleu Champagne (95,1)
- Soleil Média (96,2)
- France Inter (96,8)
- France Culture (98,8)
- RTL 2 (100,1)
- NRJ Reims (100,6)
- Le Mouv' (101,1)
- Fun Radio (101,7)
- Champagne FM (102,1)
- Radio Classique (103,0)
- Chérie FM (103,8)
- RTL (104,4)
- Skyrock (105,0)
- France Info (105,5)
- Radio Jeunes Reims (106,1)
- Europe 1 (106,5)
- RMC (107,0)
- 107.7 FM (107,7)
Transports
Article détaillé : Transports urbains de Reims.Les transports en commun de Reims Métropole sont assurés par la compagnie Transports urbains de Reims (TUR).
Il existe un service de transport (Transport REMois Adapté) porte à porte destiné aux personnes qui du fait d'un handicap, ne peuvent utiliser le réseau principal de bus et la ville propose 447 places réservées aux titulaires de la carte européenne GIC-GIG[55].Santé
Reims dispose d'un grand nombre d'équipement en termes de prévention[56] : quatre centres médico-psychologique, un foyer de post-cure (foyer Pierre-Hecquet, 15 places), un centre d'accueil et de soins pour les toxicomanes (rue Grandval), un hôpital de jour (rue Voltaire), un centre médico-psycho-pédagogique (CMPP, rue Kellermann), une consultation de dépistage anonyme et gratuit du sida (hôpital Robert-Debré), une maison de la nutrition, du cœur, de l'obésité et du diabète de Champagne-Ardenne (place Toulouse-Lautrec), une permanence du mouvement marnais pour le planning familial (MJC Maison-Blanche), etc. Il existe aussi des bains-douches publics (rue Paul-Vaillant-Couturier).
La ville compte 78 pharmacies[18].
Il existe 17 foyers logements pour personnes âgées valides offrant une capacité de 1 300 lits[57].
Petite enfance
Reims[58] dispose de neuf crèches collectives, gérées pour la plupart par la Société Protectrice de l'Enfance, et deux crèches familiales. Il y existe aussi dix halte-garderies, ainsi qu'un relai Assistantes Maternelles (20-22 rue du Ruisselet). Quatre antennes Protection maternelle et infantile (PMI) sont réparties dans la ville.
Enseignement
- Études supérieures
- Reims Management School (dont fait partie l' École supérieure de commerce de Reims) ;
- L'université de Reims Champagne-Ardenne, dont l'IUT Reims-Châlons-Charleville et l'École Supérieure d'Ingénieurs en Emballage et Conditionnement (ESIEC) ;
- L'IITBTP, Institut d'ingénieurs des techniques du bâtiment et des travaux publics ;
- Institut d'aménagement du territoire et d'environnement de l'université de Reims : Master urbanisme, aménagement, environnement de Reims.
- École supérieure en informatique appliquée (Exia)
- L'école supérieur d'art et de design. (ESAD)
- L'IEP de Paris (SciencesPo) installe un de ses campus délocalisés à Reims. Il ouvrirait ses portes en septembre 2009 à l'Ancien Collège des Jésuites, pour entre 200 et 600 étudiants avec comme orientation géographique l'Amérique du Nord.
Listes des lycées- Lycée Colbert
- Lycée Hugues-Libergier
- Lycée Saint-Michel
- Lycée Jean-XXIII
- Lycée Jean-Jaurès
- Lycée Marc-Chagall
- Lycée Franklin-Roosevelt
- Lycée Georges-Clemenceau
- Lycée Val-de-Murigny
- Lycée Le Sacré-Cœur
- Lycée Saint-Joseph
- Lycée François-Arago
- Lycée Joliot-Curie
Lieux de culte
- Culte catholique
voir la : liste des archevêques de Reims.- Archevêché
- Cathédrale Notre-Dame ;
- Basilique Saint-Remi ;
- Église Saint-Jacques ;
- Basilique Sainte-Clotilde ;
- Église Saint-Nicaise, classée parmi les monuments historiques ;
- Chapelle Notre-Dame-de-la-Paix (dite Chapelle Foujita) ;
- l'église Saint-Maurice (partiellement reconstruite en 1867 puis après l'incendie de 1943)
- l'église Saint-André, qui possède un vitrail du XVIe siècle ;
- l'église Saint-Thomas (bâtie entre 1847 et 1853 sous le patronage du cardinal Thomas Gousset qui repose maintenant entre ses murs) ;
- l'église Saint-Bruno dans le quartier Croix-Rouge
- Saint-Benoît du quartier Laon-Zola, construite vers 1910 ;
- Saint-Jean-Marie-Vianney du quartier Wilson, intéressant édifice des années 1960 malgré les vicissitudes ;
- Saint-Vincent-de-Paul du quartier Europe, exemple réussi d'architecture contemporaine en béton armé.
- Sacré-Cœur du quartier Clairmarais, autre exemple d'architecture en béton armé
- Culte protestant
- Culte juif
- Culte musulman
- Association Culturelle Musulmane de Reims, rue des Savoyards.
- Association De La Mosquée Et Du Centre Islamique De Reims, rue Clovis Chezelle.
- Mosquée De Reims, rue Charles Roche.
- Mosquée EL-MANSOUR, rue Sainte-Thérèse.
- Mosquée OTHMAN, rue de la Maison Blanche.
- Six Cimetières
- Cimetière du Nord
- Cimetière du Sud
- Cimetière de l'Est
- Cimetière de l'Ouest
- Cimetière de l'Avenue de Laon
- Cimetière paysager de La Neuvillette
Vie Administrative
Administration
Reims est une sous-préfecture du département de la Marne. C'est le chef-lieu de l'arrondissement de Reims et des dix cantons homonymes qui le composent. Elle compte 94 bureaux de vote.
Listes des cantons de Reims- Le 1er canton est formé d'une partie de Reims et des communes d'Ormes, Thillois et Tinqueux (29 898 habitants) ;
- Le 2e canton est formé d'une partie de Reims (23 796 habitants) ;
- Le 3e canton est formé d'une partie de Reims (16 769 habitants) ;
- Le 4e canton est formé d'une partie de Reims et de la commune de Bétheny (16 137 habitants) ;
- Le 5e canton est formé d'une partie de Reims et de la commune de Bezannes (22 257 habitants) ;
- Le 6e canton est formé d'une partie de Reims (24 847 habitants) ;
- Le 7e canton est formé d'une partie de Reims et des communes de Cormontreuil, Saint-Léonard, Taissy et Trois-Puits (20 148 habitants) ;
- Le 8e canton est formé d'une partie de Reims et des communes de Champigny et Saint-Brice-Courcelles (13 578 habitants) ;
- Le 9e canton est formé d'une partie de Reims (27 267 habitants) ;
- Le 10e canton est formé d'une partie de Reims (23 851 habitants).
Reims possède sa propre cour d'appel et sa chambre de commerce et d'industrie.
Le conseil municipal est composé de 59 conseillers municipaux, [59] (y compris le maire et seize adjoints[60]), proportionnellement au nombre d'habitants.
Intercommunalité
En 1964, Reims commence à s'associer avec les communes périphériques en un district urbain. Suite à la loi de 1999 sur l'intercommunalité (loi Chevènement), le district devient une structure caduque, et les communes doivent adopter une nouvelle forme d'intercommunalité. Les membres du district n'ayant pas réussi à se mettre d'accord sur les modalités de création d'une communauté d'agglomération (structure préconisée pour une agglomération de cette taille), le district est transformé par défaut, le 1er janvier 2002, en communauté de communes.
Ce n'est qu'au 1er janvier 2004, un accord ayant finalement été trouvé, que la communauté d'agglomération de Reims peut voir le jour. Elle comprend six communes : Bétheny, Bezannes, Cormontreuil, Reims, Saint-Brice-Courcelles, Tinqueux et compte 218 928 hab[61]. En 2005, la communauté d'agglomération de Reims prend le nom de Reims Métropole.
Liste des maires de Reims
Services publics sur place
Reims abrite de nombreuses administrations et services publics sur son territoire : bureaux de poste, centre des impôts, trésorerie principale, trois agences nationales pour l'emploi (ANPE), trois ASSEDIC, sécurité sociale (CPAM, rue du Ruisselet), caisse d'allocations familiales (CAF, rue des Capucins) ; un Centre communal d'action sociale (CCAS, rue Voltaire) ; etc.
- Sécurité
Reims regroupe deux casernes de sapeurs-pompiers (chaussée Bocquaine et route de Witry), un hôtel de police (boulevard Louis Roederer) et trois bureaux annexes, deux gendarmeries (rue du Général Carré et rue Bertrand de Mun) et une police municipale.
Diocèse de Reims
Article détaillé : Diocèse de Reims.Article détaillé : Liste des archevêques de Reims.Garnison de Reims
Les casernes et les unités ayant tenu garnison à Reims font l'objet d'un article détaillé : Garnison de Reims. Voir aussi
Article détaillé : 132e régiment d'infanterie de ligne.Personnages célèbres
Y sont nés
- René Alexandre, acteur ;
- Marc Alyn, de son vrai nom Alain-Marc Fécherolle, poète ;
- Adolphe d'Archiac, géologue et paléontologiste ;
- Jean-Baptiste Armonville, homme politique ;
- Arthur Baligot de Beyne, diplomate ;
- Émile Barau, artiste ;
- Jean Baudrillard, philosophe et sociologue ;
- Nicolas Bergier, historien ;
- Jean Berque, artiste ;
- Jackie Berroyer, acteur ;
- Paul Bocquet, artiste ;
- Jean-Baptiste Pierre Boudet, pharmacien ;
- Jean-François Boulart, général ;
- Eugène Bourgouin, artiste ;
- Andrée Brabant, actrice ;
- Jean-Baptiste Brunet, général ;
- Claude Buffet, criminel ;
- Roger Caillois, écrivain ;
- Robert Camelot, architecte ;
- Général Carré, maréchal de camp ;
- Hubert Martin Cazin, imprimeur ;
- Gustave Louis Chaix d'Est-Ange, homme politique ;
- Léon Chavalliaud, sculpteur ;
- René Chayoux (1892-1969), président de l'Union des Maisons de Champagne de 1942 à 1956;
- Simon Clicquot-Blervache, économiste ;
- Barbe-Nicole Clicquot-Ponsardin, surnommée Veuve Clicquot ;
- Pascal Collasse, musicien ;
- Jean-Baptiste Colbert, économiste ;
- Guillaume Coquillard, chanoine ;
- Remi Armand Coulvier-Gravier, astronome ;
- Eugène Courmeaux, homme politique ;
- Maurice Couve de Murville, homme politique ;
- Marquis de Croissy, diplomate ;
- Henri Dallier, organiste classique ;
- Nicolas David, écrivain ;
- Jules Denisot, journaliste ;
- Louis Émile Dérodé, homme politique ;
- Philippe Desouterre dit "goulou goulou" , écrivain incohérent
- Charles Desteuque dit l'Intrépide Vide-Bouteilles, critique dramatique ;
- Laurent Détouche, peintre ;
- Paul de Dinechin, violoncelliste ;
- Lucienne Suzanne Dhotelle, dite La môme Moineau, chanteuse française des années 1920;
- Eugène Doyen, médecin ;
- Jean-Baptiste Drouet d'Erlon, maréchal ;
- Eugène Dupont, écrivain ;
- Philippe Entremont, pianiste classique ;
- Jean-Pierre Esteva, amiral ;
- Les Sœurs Étienne, chanteuses ;
- Nicolas Remi Favart d'Herbigny, général ;
- Jean François Xavier Ferrand, homme politique ;
- Flin des Oliviers, écrivain ;
- Jean-Louis Forain, artiste ;
- Paul Fort, écrivain ;
- Foulquart, chroniqueur ;
- Jacques Frémin, religieux ;
- Bernard Fresson, acteur ;
- Gabriel Gabrio, acteur ;
- Fernand Gentin, homme politique;
- Alfred Gérard, industriel ;
- Nicolas Eugène Géruzez, historien ;
- Roger Gilbert-Lecomte, écrivain ;
- Gilles Gobelin, tapissiers ;
- Elodie Gossuin, mannequin, animatrice télé et styliste française. Elle a été Miss France 2001, et Miss Europe 2001.
- Jean Goulin, médecin ;
- Nicolas de Grigny, organiste ;
- Maurice Halbwachs, sociologue ;
- Philippe Henriot, homme politique ;
- Charles Auguste Herbé, peintre ;
- Jean François Jules Herbé, général ;
- Paul Herbé, architecte ;
- Jean Nicolas Houzeau-Muiron, chimiste ;
- Eugène Alexandre Husson, général ;
- Marie-Claire Jamet, harpiste
- Ernest Kalas, architecte ;
- Fernand Labori, avocat ;
- Louis Landouzy, médecin ;
- Jean-Baptiste de La Salle, pédagogue ;
- Achille Laviarde dit Achille Ier, roi d'Araucanie, monarche ;
- Adolphe Leclère, acteur ;
- Maria Legault, actrice ;
- Léo Lelièvre, compositeur ;
- Achille Lemot, artiste ;
- Jean-Marie Le Sidaner, écrivain ;
- Simon-Nicolas-Henri Linguet, écrivain ;
- Eugène Lion, archevêque ;
- Lucien Loizeau, général ;
- Julien Lorieux, dit "le dérailleur" poète ;
- Jean Charles Loriquet, écrivain ;
- Comtesse de Loynes, demi-mondaine ;
- Paul Marchandeau, homme politique ;
- Henri Marteau, acteur ;
- El Matador, rappeur français
- Olivier Métra, musicien ;
- Pierre Minet, écrivain ;
- André Morizet, homme politique ;
- Robert Nanteuil, artiste ;
- Hippolyte Nazet, écrivain ;
- Pol Neveux, écrivain ;
- Alexandre Noll, sculpteur ;
- James Ollivier, comédien, compositeur et chanteur ;
- Adrien Peltier, compagnon de la Libération ;
- Alphonse Périn, peintre ;
- Lié Louis Périn, artiste ;
- Robert Pirès, footballeur ;
- Noël-Antoine Pluche, naturaliste ;
- Patrick Poivre d'Arvor, journaliste ;
- Antoine-Rémy Polonceau, ingénieur ;
- Maurice Prévost, aviateur ;
- Nicolas Regnesson, artiste ;
- Michel Robin, acteur ;
- Nicolas Roland, bienheureux catholique ;
- Léon Rothier, chanteur d'opéra ;
- Thierry Ruinart Dom, savant, moine bénédictin de la Congrégation de Saint-Maur né le 10 juin 1657
- René de Saint-Marceaux, sculpteur ;
- Jules de Saint-Pol, général ;
- Pierre Schneiter, homme politique ;
- Vincent Ségal, violoncelliste et bassiste ;
- Émile Senart, orientaliste ;
- Adrien Sénéchal, peintre ;
- Nicolas Soret, poète et dramaturge.
- Jean-Frantz Taittinger, homme politique ;
- Jacques Tarbé de Saint-Hardouin, diplomate ;
- Louis Théron, producteur ;
- Tronsson-Ducoudray, avocat ;
- Corneille Trumelet, militaire ;
- Catherine Vautrin, femme politique ;
- René Viellart, jurisconsulte ;
- Raoul Villain, assassin de Jean Jaurès ;
- François Warnier, aviateur ;
- Jules Warnier, homme politique ;
- Paul Wenz, écrivain
- Yuksek, producteur de musique électronique
Y reposent ou y sont morts
- Frère Arnould, bienheureux catholique;
- Jean d'Aulan, président de la société des vins de Champagne Piper Heidsieck ;
- Adolphe Bellevoye, artiste graveur entomologiste ;
- Jean-Baptiste Caqué, médecin ;
- Louis de Chevigné, poète ;
- Jean Falala, homme politique ;
- Léonard Foujita, artiste peintre japonais ;
- René Girier, dit « René la Canne », bandit ;
- Théodore Goepp, homme politique ;
- Jean Goulden, artiste ;
- La famille Gruss, artistes de cirque;
- Henri Jadart, écrivain et bibliothécaire ;
- Hugues Krafft, voyageur et photographe ;
- Johann-Joseph Krug, qui fonde en 1843 la maison de Champagne Krug;
- Maurice Maillot, acteur de cinéma ;
- L'abbé Miroy, fusillé en 1871 par les Prussiens;
- Gustave Navlet. sculpteur;
- Albert Réville, homme politique ;
- Félix Désiré Soullié, homme politique ;
- Pierre Taittinger, fondateur de la société des vins de Champagne Taittinger ;
- Prosper Tarbé, historien ;
- Jacques Tarbé de Saint-Hardouin, homme politique ;
- Alfred Thomas, homme politique;
- Michel Wendling, sculpteur, notamment à la cathédrale Notre-Dame de Reims et à la basilique Saint-Remi;
- Félix-Henri Wendling, sculpteur, fils de Michel.
Y ont séjourné
- Nicolas Abraham, sieur de la Framboisière (1560-1636), professeur et doyen de la Faculté de médecine.
- Napoléon Bonaparte, empereur de France ;
- Georges Bidault, homme politique ;
- Gustave Bley, fondateur de la maison de vins de Champagne ;
- Louis Bréhier, historien ;
- Blanchette Brunoy, actrice française ;
- Marcel Déat, conseiller municipal ;
- Armand Dutertre, régisseur du Théâtre de Reims ;
- Lucienne Ercole, écrivain ;
- Guillaume d'Ercuis, chanoine de Reims ;
- Luc Étienne, écrivain ;
- Robert Hossein, metteur en scène ;
- Jacques Gaillot, homme d'Église.
- David Hume, philosophe écossais ;
- Paul Jamot, directeur du musée de Reims ;
- Jean-Paul Kurtz, auteur du premier Dictionnaire du génie Civil
- Sophie Manéglier, écrivain ;
- Musidora, professeur de diction au Conservatoire de musique de Reims ;
- Edith Piaf, chanteuse
- Gustave Pierre, artiste peintre ;
- Marie Charles Jean Melchior de Polignac, créateur du Parc Pommery ;
- Antoine Renard, ténor d'opéra ;
- Maurice Renard, écrivain ;
- Alexandre Gonsse de Rougeville, ou Chevalier de Maison-Rouge ;
- Marie Stuart s'y retire une fois veuve ;
- Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, a reçu la rente de l'abbaye de Saint-Remi de Reims ;
- Aimée Tessandier, actrice ;
- Roger Vailland, écrivain
- Jacques Gaillot, homme d'Église
Jumelages
- Florence (Italie) depuis 1954
- Canterbury (Royaume-Uni) depuis le 13 mai 1962
- Salzbourg (Autriche) depuis 1964
- Aix-la-Chapelle (Allemagne) depuis 1967
- Brazzaville (République du Congo) depuis le 5 juillet 1961
- Arlington (États-Unis) depuis 2004
- Kutná Hora (République tchèque) depuis le 23 février 2008
Citations
- « Il n'est de cité que je préfère à Reims : C'est l'ornement et l'honneur de la France. » Jean de La Fontaine
Notes et références
- ↑ C.I.S Reims
- ↑ http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/182419/
- ↑ que les Rémois appellent simplement place d'Erlon
- ↑ a et b Présentation sur le site de la mairie
- ↑ Mention sur le site de la mairie
- ↑ une dalle dans la nef de la cathédrale actuelle en indique l'emplacement
- ↑ Présentation sur le site de la mairie
- ↑ il est parfois question du royaume de Reims
- ↑ André Chédeville, « Le mouvement communal en France aux XIe et XIIe siècles, ses éléments constitutifs et ses relations avec le pouvoir royal » in Robert Favreau, Régis Rech et Yves-Jean Riou (directeurs), Bonnes villes du Poitou et des pays charentais (XIIe-XVIIIe siècles) : Actes du colloque tenu à Saint-Jean-d’Angély les 24-25 septembre 1999, publiés par la Société des antiquaires de l'Ouest in Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest et des Musées de Poitiers, 5e série, tome VIII (2002), à Poitiers. ISBN 2-9519441-0-1, p 20
- ↑ Frédéric Bluche, Septembre 1792. Logiques d'un massacre, Paris, Robert Laffont, 1986, ISBN 2-221-04523-8, p 103
- ↑ Présentation sur le site de la mairie
- ↑ Site de la mairie
- ↑ Description sur le site de l'UNESCO
- ↑ Présentation sur le site de la mairie
- ↑ Site officiel du millénaire de la basilique Saint-Remi de Reims
- ↑ brisée en 1793
- ↑ Présentation sur le site de la mairie
- ↑ a , b , c , d , e , f , g , h et i Plan interactif sur le site de la mairie
- ↑ Présentation sur le site de la mairie
- ↑ Présentation dans la base Mérimée
- ↑ Présentation sur la base Mérimée
- ↑ Présentation sur la base Mérimée
- ↑ Présentation sur le site de la mairie
- ↑ Fédération des Jardins Familiaux - Reims - Didier KLODAWSKI
- ↑ Société d'Horticulture de Reims
- ↑ http://www.palais-du-tau.com/
- ↑ Musée Le vergeur
- ↑ Ancien Collège des Jésuites
- ↑ Fonds Régional d'Art Contemporain Champagne-Ardenne
- ↑ Bibliothèque Municipale de Reims
- ↑ Grand Théâtre de Reims
- ↑ Manège de Reims
- ↑ Conservatoire national de Région de Musique et de Danse de la Ville de Reims
- ↑ créé à Reims en 1938
- ↑ Robert Sivade, Sentiers et randonnées de champagne, Éditions Fayard, 1980 (ISBN 2-213-00903-1)
- ↑ Reims Champagne Développement
- ↑ Reims sur le site de l'Insee
- ↑ Reims sur le site de Cassini
- ↑ Présentation sur le site de la mairie
- ↑ C.I.S Reims
- ↑ Présentation sur le site de la mairie
- ↑ EFSRA REIMS athletisme - Bienvenue à l' EFSRA - tout l'ATHLETISME à REIMS et en CHAMPAGNE
- ↑ Reims à toutes jambes - Le site du marathon de Reims
- ↑ [pdf] Annuaire des associations
- ↑ Présentation sur le site de la mairie
- ↑ une trentaine d'associations en 2007
- ↑ au nombre de 7O en 2007
- ↑ Rencontres Internationales de Télévision
- ↑ Meli’môme - Association NOVA VILLA
- ↑ Bienvenue sur le site de la maison de quartier Jean Jaurès
- ↑ jolivettes-sacresdufolklore
- ↑ 19e Flaneries Musicales de Reims
- ↑ djaz51 les dernieres nouvelles
- ↑ [1]
- ↑ Présentation sur le site de la mairie
- ↑ Présentation sur le site de la mairie
- ↑ Présentation sur le site de la mairie
- ↑ Présentation sur le site de la mairie
- ↑ Présentation sur le site de la mairie
- ↑ Présentation sur le site de la mairie
- ↑ Chiffres 1999
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- (fr) Site officiel
- (fr) Catégorie Reims de l’annuaire dmoz
- (fr) Office du tourisme de Reims
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