- Nemetacum
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Arras
Arras
Détail
DétailAdministration Pays France Région Nord-Pas-de-Calais Département Pas-de-Calais (préfecture) Arrondissement Arras (chef-lieu) Canton Chef-lieu de trois cantons : Nord, Ouest et Sud Code Insee abr. 62041 Code postal 62000 Maire
Mandat en coursJean-Marie Vanlerenberghe
2008-2014Intercommunalité Communauté urbaine d'Arras Site internet http://www.ville-arras.fr/ Démographie Population 42 015 hab. (2006) Densité 3 613 hab./km² Aire urbaine 124 206 hab. Gentilé Arrageoise, Arrageois Géographie Coordonnées Altitudes mini. 52 m — maxi. 99 m Superficie 11,63 km² Arras (en néerlandais: Atrecht en latin : Nemetacum Atrebatum) est le chef-lieu du département du Pas-de-Calais, le second pôle administratif de la région Nord-Pas-de-Calais, et le centre urbain concentrant le plus d’emplois métropolitain supérieur dans le Nord Pas de Calais (Cf INSEE). Historiquement, Arras était sous l’Ancien Régime la capitale de la province d’Artois, un grand centre religieux et une cité prospère connue pour ses fabrications drapières.
La ville est connue en dehors des frontières de l’Hexagone pour ses deux magnifiques places baroques, formant un ensemble architectural exceptionnel, unique au monde. La ville a su conserver son charme et sa qualité de vie, tout en réussissant à créer de nombreux emplois. Elle est surnommée depuis plusieurs siècles « La Belle »[1].
La ville a été récompensée par quatre fleurs au palmarès 2004 du concours des villes et villages fleuris[2].
Arras est le siège de la communauté urbaine d'Arras.
L’agglomération d’Arras se caractérise par sa grande jeunesse, en effet, 33 % des habitants de l’agglomération ont moins de 25 ans.
Sommaire
Géographie
Arras est située en Artois au confluent de la Scarpe et du Crinchon.
L’agglomération bénéficie d’un emplacement stratégique au croisement des autoroutes A1 (Paris-Lille) et A26 (Reims-Calais le Tunnel).
Arras est également très bien desservie par sa gare SNCF (la seconde gare TGV de la région par son trafic et la première gare du Pas-de-Calais) qui propose 12 liaisons TGV vers Paris par jour étant soit origine Valenciennes ou Dunkerque (le trajet dure environ 50 min), des liaisons directes vers Lyon, Marseille, Bordeaux, Rennes, Nantes, Toulouse (sens Toulouse-Arras), Perpignan, Montpellier (sens Perpignan/Montpellier-Arras), Quimper (sens Quimper-Arras) Brest (sens Brest-Arras), La Rochelle (uniquement les samedis estivaux), Strasbourg, Bruxelles, Hendaye, Irun en Espagne… et pendant la saison hivernal vers les Alpes à savoir la Tarentaise (Bourg-Saint-Maurice), la vallée de l’Arve (Saint-Gervais-les-Bains). Depuis 2003, Arras est reliée à Lille en 20 min par le TERGV (un aller-retour par jour).
Histoire
- Nemetacum Atrebatum au temps de César et de la tribu des Atrébates.
- Saint Vaast fonde une abbaye en 685.
- Au IXe siècle, Arras devint la résidence privilégiée des comtes de Flandre qui y établirent une châtellenie héréditaire.
- Au XIIe siècle, le développement important des institutions et de l’économie grâce à l’abbaye Saint-Vaast permet à la ville de compter onze églises et de développer un commerce jusqu’à l’Orient grâce à l’industrie drapière : les tapisseries d’Arras étaient connues jusqu’en Italie sous le nom des arrazi et en Angleterre tout simplement sous le nom d’Arras. En Pologne, à Cracovie, le château royal du Wawel abrite la plus importante et la plus précieuse collection de tapisseries d’Arras de l’époque de la Renaissance (plus de cent pièces). Gengis Khan lui-même possédait des tapisseries d’Arras.[réf. nécessaire]
- La prospérité de la ville permit la reconstruction de la cathédrale en 1161.
- Traité d’Arras de 1191 : le territoire actuel du département entre dans le giron du domaine royal.
- Bourguignonne du XIVe siècle au XVe siècle.
- Paix d’Arras de 1435 qui réconcilia les Valois de France et de Bourgogne, et mirent fin aux guerres commencées en 1345.
- Sous la souveraineté espagnole de 1526 (suite au Traité de Madrid) à 1598.
- La ville est conquise par Louis XIII en 1640, assiégée par les Espagnols en 1654 (épisode du Secours d'Arras), Vauban participe à la défense (sans commander)[3] mais reprise par Turenne. Cependant, le rattachement à la France n’est définitif et ratifié qu’en 1659 par le traité des Pyrénées.
- L’élection aux États généraux porte Robespierre au premier plan. Lors de la Révolution française, la municipalité est d’abord dirigée par Dubois de Fosseux, hobereau érudit, secrétaire de l’Académie d’Arras et futur président du Pas de Calais. En compétition avec Aire-sur-la-Lys, Calais et Saint-Omer, Arras obtient finalement la préfecture du Pas-de-Calais.
- Dix mois de terreur de novembre 1793 à août 1794, la ville est alors sous la dictature de Joseph Lebon qui instaurera des restrictions alimentaires, ordonnera 400 exécutions et détruira beaucoup d’édifices religieux (la cathédrale notamment, l’abbatiale Saint-Vaast en tient lieu depuis lors).
- Malgré son dynamisme, Arras voit stagner sa démographie et son activité économique alors que Lille sous le coup de la révolution industrielle explose. Il faut dire qu’Arras n’a jamais été une cité industrielle comme le sera Lille par exemple. À cette époque Arras devient une ville éclairée, de culture. Sous l’impulsion d’Émile Legrelle, maire dynamique, Arras démantèle une partie de ses remparts pour établir de vastes boulevards périphériques, réaliser un nouveau réseau d’égouts, et se dote d’une nouvelle gare ferroviaire en 1898 (la précédente, ouverte pour l’ouverture de la ligne Paris - Lille, datant de 1846).
- La Grande Guerre inflige des destructions considérables au patrimoine arrageois car la ville était située à moins de 10 km du front, et elle était l’enjeu des coûteuses batailles d’Artois ; en secret les Britanniques rassemblèrent une formidable armée dans les boves : cette armée surgit de terre en avril 1917 et enfonce le front allemand.
La ville sera reconstruite à l’identique, et en profitera pour s’étendre avec une architecture toujours flamboyante, comme le veut la tradition arrageoise.
- Après la Seconde Guerre Mondiale et sous les mandats du maire socialiste Guy Mollet, Arras perd une partie de ses activités économiques et commerciales et sombre dans un sommeil profond. Le réveil sonnera à la fin du XXe siècle avec l’arrivée de l’Université d’Artois, la mise en service de l’autoroute A26 qui la relie à Calais, et l’arrivée d’une gare TGV (la seconde du Nord Pas de Calais). Depuis, Arras semble avoir retrouvé son dynamisme.
Héraldique
Économie
- Agroalimentaire avec l’arrivée à la fin des années 1990 d’Häagen-Dazs notamment (selon le magazine l’Entreprise, Arras est la capitale régionale de l’agroalimentaire).
- Industrie mécanique.
- Chimie.
- Industrie électrique.
- Zone Portuaire Saint Laurent.
- Commerces: le cœur de ville est connu pour ses commerces de qualité (vêtements, cosmétique, etc.)
- Arras possèdent de grandes enseignes en Centre-Ville comme Monoprix, IKKS, Kookaï, Cymbeline Paris, Dessange, Chevignon, One step, Top One, Brice, Devred, Okaïdi, Obaïbi, Devianne, kA international, Interior’s, Bocage, France Arno, André, Marionnaud, Jeff de Bruges, Scottage, Patrice Bréal, Camaieu, Marco Serrussi, Game, Dock Games, Esprit (x2), Gerry Weber, Christine Laure, Devernois, Shampoo, Jules, La Redoute, Nocibé, Xanaka, Caroll, Réserve Naturelle, Miss Coquine, The Phone House, Eram, Arthur, Subway, Babybotte, Douglas, Julien d’Orcel, Mexx, Geox, Carré Blanc, Tout Compte Fait, Philéas restaurant, Everstyl, Soleil sucrée, 1.2.3, Etam, New Man, Phildar, Jennyfer, Jetours, Mephisto, Hans Anders, Les bébés de Sabine, Spar, Comtesse du Barry, Valette, De Neuville…
- 4 Hypermarchés E.Leclerc (x3), Auchan.
- 13 Supermarchés Monoprix, Simply Market, Carrefour Market, Match, Leader Price, Lidl (x2), Aldi, Ed, 8 à Huit, Spar, Utile.
- Tourisme : ses célèbres places, ses ruelles médiévales, ses édifices flamboyants en font un lieu touristique important pour les Britanniques, les Hollandais, les Allemands… qui viennent toujours plus nombreux découvrir les charmes de la capitale du Pas-de-Calais.
- Très important secteur tertiaire.
Le renouveau de l’économie arrageoise est manifeste depuis 10 ans environ, avec l’arrivée d’Häagen-Dazs, la mise en place de la zone Actiparc, les créations de pépinières d’entreprises… Le magazine l’Entreprise a élu à plusieurs reprises l’agglomération d’Arras, l’agglomération moyenne (moins de 400 000 habitants) la plus dynamique de France. Avec l’ouverture du canal Seine-Nord Europe, 8 000 emplois vont être créés entre Arras et Cambrai d’ici à 2012. Arras est consciente de sa position géographique avantageuse, elle fait la jonction entre Paris, Bruxelles et Londres, elle est à « proximité » de Lille et Amiens… elle a donc un rôle à jouer sur la scène économique de l’Europe du Nord. Arras est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie d'Arras. Elle gère le port et l’aéroport.
Enseignement supérieur
- École privée des sciences informatiques (EPSI)
- Université d'Artois
- CESI
- École supérieure des métiers d'art d'Arras (en cours de fermeture)
Administration
C’est le siège de la communauté urbaine d’Arras qui regroupe 24 communes soit environ 100 000 habitants. 300 785 habitants pour l’arrondissement d'Arras. Celui-ci comporte 17 cantons (liste). Elle est également couverte par le Schéma Directeur de la Région d’Arras dont la transformation en Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) est en cours sur 41 communes, soit 100 854 habitants au recensement de la population de 1999 (Insee).
Préfecture et chef-lieu du Pas-de-Calais depuis 1789, Arras est une grande cité administrative : elle possède en outre la quasi totalité des sièges administratifs départementaux, et plusieurs sièges administratifs régionaux (la Chambre régionale des comptes du Nord-Pas-de-Calais par exemple).
Liste des maires successifs d’Arras Période Identité Parti Qualité 1945 1975 Guy Mollet PS député du Pas-de-Calais 1975 1995 Léon Fatous PS Sénateur du Pas-de-Calais
1995 2014 Jean-Marie Vanlerenberghe MoDem sénateur du Pas-de-Calais Toutes les données ne sont pas encore connues. Jumelage
La ville d’Arras est jumelée avec les villes de :
- Chemnitz (Allemagne) depuis 1967
- Herten (Allemagne) depuis 1984
- Audenarde (Belgique) depuis 1990
- Ipswich (Angleterre) depuis 1992
- Deva (Roumanie), jumelée depuis 1998 avec la Communauté urbaine d'Arras
Démographie
La mairie d’Arras et la Communauté urbaine ont mis en place un vaste ensemble de projets immobiliers (400 projets de haute qualité environnementale sur la communauté urbaine) qui va provoquer une hausse de la démographie de plusieurs dizaines de milliers d’habitants d’ici à 2010 (Source : Mairie d’Arras).- Avec ces 42 015 habitants (valeur 2006), Arras est la troisième plus grande ville du Pas-de-Calais après Calais (74 888 habitants) et Boulogne-sur-Mer (44 273 habitants).
- Agglomération : 102 000 habitants
- Aire urbaine : 130 000 habitants
Personnages célèbres
- Comm l’Atrébate, Communément reconnu comme le premier personnage historique arrageois, Comm l’Atrébate était un chef gaullois. Rallié à Jules César depuis la défaite Atrébate de Sabis en -57, Comm est apprécié par Jules César pour son intelligence et son courage. Il s’illustre dans les conseils qu’il a pu lui donner. Dans les mémoires de Jules César, Comm l’Atrébate apparait de manière plus importante que Vercingétorix. Il se retournera finalement contre les romains pour des raisons que nous ignorons allant même jusqu’à aider Vercingétorix durant la bataille d’Alésia. La bataille perdue, il finira par s’exiler en Bretagne où il fonde un nouveau royaume atrébate.
- La comtesse Mahaut d'Artois
- Mathieu d’Arras, maître-maçon, constructeur de cathédrale.
- Jean Bodel, trouvère de la fin du XIIe siècle, auteur de chansons de geste en ancien français
- Adam de la Halle
- Jean Bretel, poète lyrique, 'prince du Puy’d’Arras, mort en 1272.
- Hugues Baeza (Vieux Rouen sur Bresle 1317 - Arras 1368), Tour à tour ménestrel, bandit de grand chemin, il fut célèbre pour ses exploits aux concours de "pierre, papier, ciseaux", qui étaient monnaie courante à l’époque.
- Jean d'Arras, écrivain du XIVe, auteur de la première version écrite de la légende de Mélusine.
- Augustin-Joseph de Mailly, maréchal de France est guillotiné à Arras le 25 mars 1794.
- Maximilien de Robespierre, célèbre révolutionnaire, est né à Arras le 6 mai 1758
- Augustin Robespierre, frère du précédent, né à Arras le 21 janvier 1763
- Charlotte Robespierre, leur sœur, née à Arras le 5 février 1760
- Eugène-François Vidocq, aventurier français, est né à Arras le 23 juillet 1775 dans une maison voisine de celle où Robespierre était né
- Joseph Le Bon, maire d’Arras et député du Pas-de-Calais, envoyé en mission de la Convention nationale, né à Arras le 25 septembre 1765
- Mathias d’Arras, architecte
- Charles de l'Ecluse, dit Carolus Clusius, botaniste
- Alexandre Gonsse de Rougeville, dit le chevalier de Maison-Rouge
- Ferdinand Dubois de Fosseux, homme de lettres et personnage politique
- Camille Corot (1796-1875) posséda un atelier à Arras
- Crespel-Delisse (1780-1845), pionnier de l’industrie de la betterave
- François Robitaille (an VIII-1886), supérieur du Grand Séminaire d’Arras, doyen du chapitre d’Arras, membre de l’Académie d’Arras
- Alexis Hallette, (1788-1846) ingénieur qui construisit à Arras les premières locomotives
- Paul Verlaine (1844-1896) séjourna à Arras
- Charles Lecomte (1861-1934), président de la Société des poètes français.
- Philippe Pétain (1856-1951), colonel du 33e régiment d’infanterie à Arras en 1910, à la caserne Schram.
- François Flameng, (1856-1923), peintre officiel de l’armée à la Grande Guerre et qui réalisa des croquis et dessins des événements sanglants qui eurent lieu ici et parurent dans L'Illustration
- Lucien Gaudin, (1886-1934) banquier et champion olympique d’escrime à Amsterdam en 1928
- Charles de Gaulle (1890-1970), lieutenant à Arras sous le commandement de Philippe Pétain.
- Guy Mollet, (1905-1975) Président du Conseil sous la IVe République.
- Louise Weiss, (1893-1983), journaliste et écrivain
- Louis Brassart-Mariage (1875-1933), architecte né à Arras
- Constant Dutilleux (1807 - 1865), peintre, dessinateur et graveur français du XIXe siècle
- Pierre Jean Jouve (1887 - 1976), écrivain, poète, romancier et critique français
- Violette Leduc (1907 - 1972), écrivain, romancière française
- Félix Planquette (Arras 1873 - Paris 1964), peintre impressionniste.
- Charles Desavary, peintre, photographe
- Eugène Cuvelier, photographe
- René Huyghe (Arras 1906 - 1997), écrivain, conservateur du musée du Louvre, académicien.
- Franck Georgel, journaliste à M6, joker de Nathalie Renoux pour le 12:50.
- Gaspard Martin, (Arras 1947-1991) 2nd de la patrouille du guépard et attaquant centre pendant les siouls.
- Denise Glaser, journaliste
Monuments et lieux touristiques
- La Gare d'Arras.
Le beffroi
Le beffoi d’Arras la nuit.jpgLe beffroi la nuit
Les boves d’Arras.jpgDans les boves (souterrains)
Arras est classée ville d’Art et d’Histoire. Membre du Réseau des sites majeurs de Vauban.
- Les places (Grand’Place et Place des Héros), l’hôtel de ville et le beffroi (Classé au patrimoine mondial de l’Unesco.)
- La cathédrale et l’abbaye Saint-Vaast
- La maison du Wetz d’Amain
- L’octogonale place Victor-Hugo et son obélisque
- La citadelle de Vauban, surnommée "la belle inutile"[réf. nécessaire] du fait de sa position en deuxième ligne de défense (Classée au patrimoine mondial de l’Unesco depuis le 08 juillet 2008.)
- Le monument aux morts, œuvre du sculpteur Félix-Alexandre Desruelles
- Les souterrains appelés les Boves
- Musée des Beaux-Arts d'Arras
- Carrières Wellington
À proximité d’Arras, on pourra visiter les vestiges de l’abbaye du mont Saint-Éloi dans le village du même nom, sur une hauteur offrant un point de vue magnifique sur ce village.
Monuments historiques
Liste complète des Monuments historiques à ArrasClassement :
- Abbaye d’Hénin-Liétard 12 rue Victor-Hugo Portail sur la rue Victor-Hugo, façade sur cour, façade sur jardin et toiture de l’ancien refuge : inscription par arrêté du 23 novembre 1946
- Abbaye du mont Saint-Éloi place du Wetz-d’Amain. Bâtiment d’entrée de l’ancien refuge sur la place : inscription par arrêté du 15 janvier 1929. Ensemble des bâtiments de l’ancien refuge entourant la deuxième cour du Wetz-d’Amain : inscription par arrêté du 13 août 1946.
- Ancien hôtel de Gomiecourt 10 rue Émile-Legrelle. Façade sur cour, côté chapelle ; façade sur la rue des Portes-Cochères avec portail et balcon en fer forgé ; boiseries intérieures et cheminées en marbre des trois pièces de la dépendance ayant servi d’évêché au cardinal de la Tour-d’Auvergne ; cave voûtée d’arêtes dite salle d’armes : inscription par arrêté du 16 janvier 1947.
- Ancien hôtel de Lur-Saluces 50 rue Gambetta Façades et toitures : inscription par arrêté du 20 septembre 1946.
- Ancien hôtel du Bois de Fosseux 21 rue du Marché-au-Filet. Portail et façade sur la cour d’honneur : inscription par arrêté du 2 décembre 1946.
- Ancien hôtel du premier président du Conseil provincial d’Artois, dénommé actuellement hôtel de Guînes 2 rue des Jongleurs. Ancien hôtel (cad. AC 6) : inscription par arrêté du 31 décembre 1999.
- Ancien hôpital Saint-Eloy 11 place de l’Ancien-Rivage. Façade sur la place et toitures ; tour : inscription par arrêté du 2 décembre 1946.
- Ancien palais des États d’Artois. Façades sur la place des Etats, sur la rue Delansorne et sur la place Longlet et toitures qui les surmontent : classement par arrêté du 16 septembre 1946.
- Ancienne abbaye de Saint-Waast : classement par arrêté du 11 octobre 1907.
- Anciens pavillons des Officiers du quartier Schramm. Façades, toitures et souches de cheminées : inscription par arrêté du 31 décembre 1946.
- Anciens remparts. Vestiges comprenant les murs d’escarpe avec leurs courtines et leurs talus, les fossés, les contrescarpes et les glacis de toute l’ancienne fortification de la ville à l’ouest de cette dernière : inscription par arrêté du 5 octobre 1945.
- Beffroi : classement par liste de 1840- 18 04 1914 (J.O.).
- Cathédrale : classement par arrêté du 30 octobre 1906.
- Chapelle des Chariottes : classement par arrêté du 27 mai 1921.
- Citadelle. Chapelle de la citadelle : classement par arrêté du 17 février 1920 ; Citadelle (sauf chapelle classée) : inscription par arrêté du 2 août 1929.
- Couvent des Clarisses. Portail dit de l’œil de Dieu : inscription par arrêté du 19 novembre 1946.
- Ensemble théâtral. Façade du théâtre : inscription par arrêté du 19 novembre 1946. Ensemble des bâtiments formant le complexe théâtral (théâtre municipal, salle des concerts, salle des orphéonistes, salle de l’harmonie, salle de la Philharmonie) (cad. AB 1077) : inscription par arrêté du 18 octobre 2000.
- Fontaine du Pont-de-Cité ou fontaine Neptune le mur sur lequel elle est adossée et l’emprise du sol autrefois délimitée par une grille (cad. BE 746) : inscription par arrêté du 7 juillet 1988.
- Hospice Sainte-Agnès. Façade de la chapelle (datée 1700) sur la rue Sainte-Agnès avec son campanile ; façade sur la place Saint-Étienne (datée 1664) ; façade de l’entrée, 8 place Saint-Étienne ; pignon (daté 1676) sur la rue Saint-Étienne : inscription par arrêté du 16 janvier 1947.
- Hôtel Lefèbvre-Cayet 2 rue des Fours. Façades et toitures y compris le portail d’entrée ; escalier avec sa rampe en fer forgé ; salle à manger et salon avec leur décor au rez-de-chaussée. (cad. BD 22) : inscription par arrêté du 28 mars 1977.
- Hôtel de Ville Façades : classement par arrêté du 17 juillet 1921.
- Hôtel de la Basecque 12 rue Émile-Legrelle Façades et toitures (cad. DU 467) : classement par arrêté du 3 mars 1976.
- Hôtel de la Verdure 18 rue Émile-Legrelle Façades et toitures y compris le portail donnant sur la rue des Portes-Cochères ; grand salon avec son décor (cad. DU 466) : classement par arrêté du 3 mars 1976.
- Les façades des immeubles de la rue de la Taillerie, classement par arrêtés de 1919 à 1921.
- Les façades des immeubles de la place des héros classement par arrêtés de 1919 à 1921.
- Immeuble 4 rue du Marché-au-Filet. Façade : classement par arrêté du 19 octobre 1922.
- Les façades des immeubles de la Grand-Place, classement par arrêtés de 1919 à 1921.
- Maison 1 place Guy-Mollet ; anciennement 1 place Sainte-Croix. Salle à manger avec son décor de boiseries et de toiles peintes (cad. AB 433) : classement par arrêté du 2 novembre 1976. Façades et toitures ; escalier avec sa rampe en fer forgé (cad. AB 433) : inscription par arrêté du 2 novembre 1976.
Inscriptions :
- Magasin aux Allées Porte monumentale : inscription par arrêté du 24 octobre 1929
- Maison 6 rue Victor-Hugo Façade et toiture : inscription par arrêté du 24 mai 1948
- Maisons place Victor-Hugo Façade et toiture : inscription par arrêté du 24 mai 1948
- Maison 4 rue du Tripot Portail et partie de la façade avec balcon en fer forgé qui le surmonte : inscription par arrêté du 25 novembre 1946
- Maisons 14,12, rue Sainte-Croix Façade et toiture : inscription par arrêté du 23 novembre 1946
- Maison 9 rue Rohart-Courtin ; place Victor-Hugo Façade et toiture : inscription par arrêté du 24 mai 1948
- Maison 2 grande-rue du Rivage Façades et toitures : inscription par arrêté du 23 novembre 1946
- Maison 2 rue des Promenades ; rue Victor-Hugo Façade et toiture : inscription par arrêté du 24 mai 1948
- Maison 25 rue Paul-Doumer ; anciennement 15 Façade et toiture : inscription par arrêté du 23 novembre 1946
- Maison 97 rue Meaulens Façade et toiture : inscription par arrêté du 19 novembre 1946
- Maison 71 rue Meaulens Façade : inscription par arrêté du 8 juillet 1942
- Maison 6 rue des Jongleurs Façade : inscription par arrêté du 19 novembre 1946
- Maison 18 place Guy-Mollet ; anciennement 18 place Sainte-Croix Façades et toitures (cad. AB 287) : inscription par arrêté du 2 novembre 1976
- Maison 5bis place Guy-Mollet Façade et toiture sur rue (cad. AB 436) : inscription par arrêté du 5 décembre 1984
- Maison 5 place Guy-Mollet Façade et toiture sur rue (cad. AB 435) : inscription par arrêté du 5 décembre 1984
- Maison 3 place Guy-Mollet ; anciennement 3 place Sainte-Croix Façades et toitures ; deux pièces avec décor au rez-de-chaussée (cad. AB 434) : inscription par arrêté du 2 novembre 1976
- Maison 1 place Guy-Mollet ; anciennement 1 place Sainte-Croix Salle à manger avec son décor de boiseries et de toiles peintes (cad. AB 433) : classement par arrêté du 2 novembre 1976 ; Façades et toitures ; escalier avec sa rampe en fer forgé (cad. AB 433) : inscription par arrêté du 2 novembre 1976
- Maison Grand-Place 53 Façade : classement par arrêté du 20 août 1919 - Intérieurs, charpentes, toitures, caves et façades arrières (à l’exception de la maison du XVIIIe siècle dans la cour) (cad. AB 540) : inscription par arrêté du 12 août 1998
- Maison Grand-Place 51 Façade : classement par arrêté du 10 février 1921 - Intérieurs, charpentes, toitures, caves et façades arrières (à l’exception de la maison du XVIIIe siècle dans la cour), ainsi que la maison de fond de cour avec son premier niveau et sa tourelle (cad. AB 540) : inscription par arrêté du 12 août 1998
- Maison 77 rue des Augustines Façades et toitures sur rue et sur cour (cad. AB 268) : inscription par arrêté du 3 juillet 1987
- Maison 16 rue Aristide-Briand Façade sur pan coupé y compris le balcon en fer forgé : inscription par arrêté du 23 novembre 1946
- Maison 9 place de l’Ancien-Rivage Portail décoré et les cariatides qui l’entourent : inscription par arrêté du 25 novembre 1946
- Maison 48 rue d’Amiens Façade sur rue : inscription par arrêté du 19 novembre 1946
- Maison 41, 43 rue d’Amiens La partie XVIe siècle de la façade sur cour : inscription par arrêté du 25 novembre 1946
- Maison 17 rue des Agaches Façade sur rue : inscription par arrêté du 19 novembre 1946
- Maison canoniale 14 place de la Préfecture ; anciennement 14 place Saint-Nicolas-en-Cité Maison canoniale : inscription par arrêté du 11 juillet 1942
- Maison des Sirènes 16 place du Théâtre Façade : inscription par arrêté du 6 octobre 1942
- Maison à l’enseigne de La Charrette 18 rue du Marché-au-Filet Façade et toiture : inscription par arrêté du 19 novembre 1946
- Maison à l’enseigne de la Renommée 65 rue d’Amiens Façade sur rue et toiture : inscription par arrêté du 19 novembre 1946
- Maison à pignon jouxtant le Palais de Justice 16 rue Delansorne Façade : inscription par arrêté du 23 novembre 1946
- Porte Meaulens 119 rue Meaulens Ancien corps de garde : inscription par arrêté du 20 juillet 1942
- Préfecture du Pas-de-Calais, ancien palais épiscopal Façades et toitures des bâtiments sur la cour d’honneur antérieurs à 1850, sol de la cour d’honneur ; façades et toitures de l’hôtel particulier ; ensemble du parc, y compris le bois et à l’exception de l’ancien potager délimité par un mur de clôture (cad. BH 62) : inscription par arrêté du 28 février 1995
- Vestiges archéologiques du complexe métroaque (temple de Cybèle) Sol et sous-sol cadastrés BH 65 : inscription par arrêté du 23 mai 1995
- Vestiges de l’édifice paléochrétien Sol et sous-sol de la place de la Préfecture (cad. non cadastré, domaine public) : inscription par arrêté du 23 mai 1995
Renseignements issus de : Mérimée, base de données du Ministère de la culture
Culture
Arras est dotée de différentes structures culturelles telles que le théâtre d’Arras (direction Jean Michel Lejeune) ainsi que des compagnies de théâtre professionnelles et des espaces de diffusion culturelle (Le quai de la batterie).
Institutions
- Arras est le siège de l’université d'Artois, université multipolaire qui comprend les pôles de Lens, Liévin, Béthune, Douai et Arras.
Le pôle d’Arras « littéraire » est destiné aux Lettres, Langues, Sciences Humaines (Histoire-Géographie notamment) et depuis la rentrée 2006, aux Sciences Economiques. Arras est réellement devenue une cité universitaire comme en témoignent les nombreuses résidences universitaires en construction. Elle comporte aussi un service de formation. Le sépia, qui permet d’obtenir un diplôme d’accès aux études universitaires. Ainsi qu’une validation d’acquis par experience.
- La communauté urbaine d’Arras gère l'École supérieure des métiers d'art d'Arras dont l’excellence est reconnue pour l’enseignement du vitrail. De nombreuses associations d’art contemporain y ont aussi fait leur nid, comme la première d’entre elle, l’association TEA (Tendance évolution artistique) qui regroupe de nombreux artistes de tout horizon.
- Arras abrite le seul régiment de l’Armée de Terre du Pas de Calais, le 601e régiment de circulation routière dans la citadelle. Celui-ci est en passe de disparaitre dans le cadre de la réforme de la carte militaire annoncée en juillet 2008.
Festivités
- Arras possède un splendide théâtre à l’Italienne de 1785 rénové récemment comprenant une salle de concerts.
- La société France Leduc Productions, en collaboration avec Herman Schueremans, le père fondateur du festival de Wechter, en Belgique, organise un festival estival musical, le Main Square Festival, qui a une scène originale et particulièrement impressionnante : la Grand’place. Ce festival a attiré des groupes prestigieux : Muse, Depeche Mode, Tryo, Indochine, Mika, Radiohead. En 2009, la tête d’affiche sera Coldplay qui se produira le 2 juillet. Ainsi que Placebo, le 03 juillet et Lenny Kravitz, Moby et Duffy le 5 juillet. Certaines voix s’élèvent dans l’arrageois contre le coût de ces concerts qui peut être prohibitif (en 2008, 135 euros les trois soirées avec Radiohead, Mika et Justice en tête d’affiche, 66 euros pour Céline Dion et 79 euros pour Metallica). Les organisateurs de festivals français voient le Main Square Festival comme "l’entrée du loup dans la bergerie" [1].
- En 2008, Céline Dion s’est également produit le 7 juillet et Metallica le 14 août.
- Autre événement d’importance : le Festival International du Film d'Arras L'Autre Cinéma qui se déroule pendant dix jours chaque année en novembre. 18.401 spectateurs en 2008, 181 projections, 80 longs-métrages, des invités prestigieux : John Boorman en 2008, Bernadette Lafont, Andrzej Zulawski et Dario Argento en 2007, Arthur Penn en 2006, Sidney Lumet en 2005, Claude Chabrol et Enki Bilal en 2004, Rosanna Arquette et Jerry Schatzberg en 2003, Volker Schlöndorff en 2002, Bertrand Tavernier en 2001, Francesco Rosi en 2000. 45 inédits et avant-premières en présence de nombreux réalisateurs et comédiens venus du monde entier. Sélection de films européens en première française. Films pour les familles. Rétrospectives et Ciné-Concerts. 10ème édition du 6 au 15 novembre 2009.
- Salon du livre d'expression populaire et de critique sociale d'Arras.
- Tous les ans l'Université d'Artois et son service culturel proposent un festival international et universitaire des arts de la scène, en partenariat avec le théâtre d'Arras. Des jeunes artistes étudiants du monde entier viennent proposer leurs créations, créant un foisonnement culturel et artistique au sein de l'université et de la ville d'Arras pendant une semaine (au mois de mars). En 2010 aura lieu sa 13ème édition.
- Création d’un complexe de salles de Cinéma appelé « Cinémovida » situé en plein centre ville. Ce cinéma propose les grandes sorties mais également une programmation art et essai, et en partenariat avec Plan-Séquence qui organise le Festival International du Film d’Arras, un programme régulier de classiques et chaque semaine un film pour les enfants. C’est un ancien cinéma de la Grand’Place qui a été réhabilité, choix préféré par le conseil municipal à la création d’un complexe cinématographique en périphérie de ville.
- Projet de création d’un grand centre de loisirs comprenant notamment un bowling de 24 pistes, 20 billards, une salle de séminaire, des restaurants.
- A côté de Cité Nature, un centre de remise en forme et aquatique verra également le jour en attendant l’extension du stade d’eaux vives et d’un bassin d’eaux plates qui feront de cet ensemble le premier complexe nautique de France.
La ville d’Arras était canditate à l’implantation d’une antenne du musée du Louvre (Louvre II), mais le Premier Ministre Jean-Pierre Raffarin a préféré Lens afin de « tenter d’apporter un attrait touristique à une agglomération en grave crise économique » (selon le journal Le Parisien).Œuvres liées à Arras
Films
- L'Aveu de Costa Gavras avec Yves Montand, Simone Signoret
- Pas de scandale de Benoît Jacquot avec Fabrice Luchini, Isabelle Huppert, Vincent Lindon
Folklore
- Les géants Colas et Jacqueline, et leur fils Dédé, né en 1995.
Sport
- Basket : une équipe de basket féminin évolue en Ligue féminine de basket, l’ASPTT Arras, aussi nommée Arras Pays d’Artois Basket Féminin
- Canoë kayak : l’ASL Canoë Kayak basé à Saint-Laurent Blangy qui compte parmi ses membres plusieurs sélectionnés aux jeux Olympiques.
- Rugby : Le Rugby Club d'Arras évolue à l’heure actuelle en Fédérale 1 (équivalent 3e division) et a été pendant longtemps le club porte-drapeau du rugby dans le Nord - Pas-de-Calais.
- Handball : Arras possède un club évoluant en national 3 poule 4 : le Racing Club d’Arras Handball
- Joute : La Société des Jouteurs d’Arras est membre de la FFSN (Fédération de Joutes et Sauvetages Nautiques) depuis plus de 20 ans. Au championnat de France (1er et 2 septembre à Bischheim en Alsace) les membres de la société ont ramené, toutes catégories confondues, 6 titres de champion de France et 5 de vice-champion.
- Base-ball et softball : les Aigles d’Artois avec un stade de baseball dans Arras au riez
- Football : une équipe de football masculin évoluant en CFA 2, l’Arras Football et une équipe féminine en D3
- Hippisme : Arras possède un champ de course, l’Hippodrome des Hauts-Blancs-Monts
- Hockey sur gazon : racing club d’Arras au stade Degouve, équipes féminines et masculines.
Vie militaire
-
Article détaillé : Liste des villes fortifiées de la Région Nord Pas-de-Calais.
Unités militaires ayant tenu garnison à Arras :
- 33e régiment d’infanterie, 1906
- bataillon du génie, 1906
- bataillon du génie, 1906
- bataillon du génie, 1906
- 5e régiment d'infanterie territoriale
- 16e bataillon de chasseurs à pied
- 7e régiment de chasseurs d’Arras 1964-2007
- 233e régiment d'infanterie
- régiment du train
- 601e régiment de circulation routière depuis le 1er janvier 1994
- 625e régiment de circulation routière
Voir aussi
Articles de Wikipédia
- Arrondissement d'Arras
- Artois
- Comté d'Artois
- Communes du Pas-de-Calais
- Géants du Nord
- Première Guerre mondiale : Bataille d'Arras (1914) • Bataille de l'Artois (1915) • Troisième bataille d'Artois • Bataille d'Arras (1917)
- Siège d'Arras (1640)
Liens externes
- Site officiel de la ville d’Arras
- Site officiel de la communauté urbaine d’Arras
- Arras sur le site de l’Institut géographique national
- Arras sur le site de l’Insee
- Liens DMOZ sur Arras
Bibliographie
- A. Szczypiorski, Messe pour la ville d’Arras[6]. Traduit du polonais par F. Rosset. Éditions l’Âge d’Homme, 1987
- Anne Bernard, ARRAS, UNE BALLADE EN AQUARELLES, 2006
- Henry GRUY, HISTOIRE D’ARRAS, 1979
- Pierre BOUGARD, Yves-Marie HILAIRE, Alain NOLIBOS (sd.), HISTOIRE D’ARRAS, 1988
- Alain NOLIBOS, DE NEMECATUM A LA COMMUNAUTE URBAINE, 2003
- Commission départementale des Monuments historiques, DICTIONNAIRE HISTORIQUE ET ARCHEOLOGIQUE DU DEPARTEMENT DU PAS DE CALAIS, Tome I et II, 1979
- Edmond LECESNE, ARRAS SOUS LA REVOLUTION, 1977
- Edmond LECESNE, Histoire d’Arras
- Monseigneur LESTOCQUOY, ARRAS AU TEMPS JADIS, 1944
- C. LE GENTIL, LE VIEL ARRAS, 1980
Sources
Notes et références
- ↑ Dictionnaire du Nord et du Pas-de-Calais, éd. Larousse (ISBN 2-03-575098-9)
- ↑ Palmarès 2004 du 45e concours des villes et villages fleuris. Consulté le 23 septembre 2009.
- ↑ Martin Barros, Nicole Salat et Thierry Sarmant. Vauban - L’intelligence du territoire. Éditions Nicolas Chaudun et Service historique de l'armée, Paris, 2006. Préface de Jean Nouvel. 175 p, ISBN 2-35039-028-4, p 166
- ↑ http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
- ↑ INSEE : Population depuis le recensement de 1962
- ↑ A. Szczypiorski, né en 1924 et mort en 2000 à Varsovie. Auteur d’essais, de romans et d’articles.
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