- Finistère
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Finistère Administration Pays France Région Bretagne Code département 29 Création 4 mars 1790 Chef-lieu
(Préfecture)Quimper Sous-préfecture(s) Brest
Châteaulin
MorlaixPrésident du
conseil généralPierre Maille (PS) Préfet de département Pascal Mailhos Statistiques Population totale 890 509 hab. (2008) Densité 132 hab./km2 Superficie 6 733 km2 Subdivisions Arrondissements 4 Circonscriptions législatives 8 Cantons 54 Intercommunalités 26 Communes 283 Le Finistère est un département français situé en Bretagne. L'Insee et la Poste lui attribuent le code 29.
Il tire son nom de son positionnement géographique[1] ; certains évoquent l'abbaye bénédictine de Lokmazé dite en latin « de fine » ou de « finibus terræ »[2] (soit de la fin de la terre), ou plus probablement, vu l'époque, du cap auquel elle a donné son nom.
Sommaire
Histoire
Article détaillé : Histoire du Finistère.À l'époque antique le Finistère était habité par le peuple gaulois armoricain des Osismes (Celtes). Après la conquête romaine le territoire relevait de la province de Gaule lyonnaise. Le chef-lieu des Osismes fut installé à Vorgium (l'actuelle Carhaix). À la fin du IIIe siècle fut construit à Brest un castrum pour se protéger des pirates scots, saxons et frisons. Un siècle plus tard, il fera partie du système de défense et de contrôle de la Manche mis en place par le gouvernement impérial, le Tractus Armoricanus et Nervicanus.
Le territoire des Osismes aurait été concédé aux Bretons par l'empereur Maximus à la fin du IVe siècle. Augmenté de celui des Coriosolites, il formera la Létavie, bientôt appelée Nouvelle Bretagne ou Petite Bretagne. Ce berceau de la Bretagne continentale fut divisé en deux royaumes, la Cornouaille et la Domnonée qui avaient leurs correspondants insulaires. Ces royaumes doubles d'un côté à l'autre de la Manche étaient vraisemblablement régis par les mêmes dynasties à l'origine. Le Broërec (l'actuel département du Morbihan) se détacha de la Cornouaille et le Léon se détacha du royaume de Domnonée.
Le royaume de Cornouaille devint un comté sous l'influence franque avant de se fondre dans le domaine ducal de Bretagne lors de l'accession de la dynastie comtale au trône ducal en 1066.
Le Léon reste sous l'autorité de ses vicomtes, quoique fort écornée par les ducs Pierre Mauclerc et Jean le Roux. Les Rohan héritent du Léon par mariage. Le titre de prince de Léon est encore porté aujourd'hui par le fils de l'actuel duc Josselin de Rohan (c'est bien sûr un titre de courtoisie).
Le département est créé à la Révolution française, le 4 mars 1790 en application de la loi du 22 décembre 1789, à partir de la partie la plus occidentale de l'ancienne province de Bretagne. Il comprend l'ouest de l'évêché de Cornouaille, l'intégralité du Léon et le tiers ouest du Trégor, ainsi qu'un petit bout du Broërec ou Vannetais : communes de Rédené, Arzano et Guilligomarc'h situées à l'est de Quimperlé. Par ailleurs le département s'est agrandit en 1857, aux dépens du département voisin du Morbihan, en annexant la commune de Locunolé. Ce sera l'unique modification territoriale du département, après sa création, bien que d'autres communes réclameront en vain leur rattachement au Finistère pour des raisons à la fois géographiques, linguistiques et historiques. Ce sera notamment le cas des communes de l'ancienne sénéchaussée de Gourin : Gourin, Le Faouët, Guiscriff etc., qui dépendaient sous l'Ancien Régime de l'évêché de Cornouaille. La création du département ne s'est pas fait sans heurts, notamment pour le choix du chef-lieu, les deux villes de Landerneau et de Quimper s'étant toutes les deux portées candidates [réf. nécessaire].
Le coup d'État du 2 décembre 1851 de Napoléon III est largement soutenu dans le Finistère, département catholique, conservateur et monarchiste ; il fait même partie des quatre départements où aucun opposant n'est arrêté[3].
Emblèmes
Blason
Blasonnement « Parti, en 1 d'or au lion contourné de sable, et en 2 d'azur au bélier saillant d'argent onglé et accorné d'or, au chef d'argent chargé de cinq mouchetures d'hermine de sable. »Commentaires : le lion morné — c'est-à-dire sans griffes, ni dents, ni langue — de sable sur fond d'or représente l'ancien comté de Léon situé au nord du département. Le bélier d'argent onglé et accorné d'or — c'est-à-dire aux cornes et aux sabots dorés — sur fond d'azur représente l'ancien comté de Cornouaille situé au sud du département. Ce sont les anciennes armes de ces deux comtés, le premier appartenant à la famille de Léon et le second étant attesté depuis la fin du XVIIe siècle.
Les hermines de sable sur fond d'argent, rappelant que le département est situé en Bretagne, peuvent symboliser soit les cinq départements historiques bretons, soit les cinq évêchés ou parties d'évêchés ayant servi à la création du département[4].Politique et administration
Article détaillé : Politique du Finistère.- Liste des députés du Finistère
- Liste des sénateurs du Finistère
- Liste des conseillers généraux du Finistère
- Liste des préfets du Finistère
Découpage administratif
Le département du Finistère est divisé en 4 arrondissements, 54 cantons et 283 communes. Son chef-lieu est Quimper. La commune la plus peuplée est Brest et la plus étendue Scaër. Quatre communes sont des îles : Île-de-Batz, Île-de-Sein, Île-Molène, et Ouessant, tandis que l'archipel des Glénan est administré par la commune de Fouesnant. La commune de l'Île-Tudy n'est pas une île, malgré son nom.
Les quatre arrondissements sont les suivants :
- arrondissement de Quimper, au sud. Il regroupe 17 cantons et 82 communes, a une superficie de 2 202 km2 et est peuplé de 311 718 habitants.
- arrondissement de Brest, au nord-ouest. Il regroupe 20 cantons et 80 communes, a une superficie de 1 408 km2 et est peuplé de 362 380 habitants.
- arrondissement de Châteaulin, au centre. Il regroupe 7 cantons et 61 communes, a une superficie de 1 804 km2 et est peuplé de 84 910 habitants.
- arrondissement de Morlaix, au nord-est. Il regroupe 10 cantons et 60 communes, a une superficie de 1 319 km2 et est peuplé de 126 898 habitants.
Un cinquième arrondissement, celui de Quimperlé, a été supprimé en 1926.
La division historique entre le nord et le sud du département, qui s'était traduite par des codes postaux différents (29N et 29S) est toujours apparente dans l'organisation de différentes entités publiques (Assurance maladie, Allocations familiales, Assurance chômage, etc.), mixtes ou privées.
Géographie
Article détaillé : Géographie du Finistère.Le Finistère est situé à l'extrémité ouest de la Bretagne. Il est bordé au nord, à l'ouest et au sud par la Manche et l'océan Atlantique.
Premier département côtier de France, il compte 118 communes littorales sur 283, soit plus d'un dixième des communes littorales françaises, et 1 250 km de côtes, soit près d'un quart du littoral français. La côte est en effet très découpée et se divise en caps : cap sizun ; en baies : rade de Brest, baie de Douarnenez, baie de Concarneau, en presqu'îles : Presqu'île de Crozon et en rias : Laïta, Aven, Bélon, Odet, Aber Wrac'h, Rivière de Morlaix.
La zone marine à l'ouest du Finistère se nomme mer d'Iroise. Elle inclut plusieurs îles ou îlots dont : Ouessant et l'archipel de Molène, l'île de Sein au large de la pointe du Raz et l'archipel des Glénan au sud.
Climat
Article détaillé : Climat du Finistère.Le climat du Finistère présente les caractéristiques d'un climat tempéré océanique sous l'influence du Gulf Stream et des perturbations atlantiques.
Il se caractérise généralement par des hivers doux et des étés frais. Les précipitations sont assez abondantes et étalées sur toute l'année, avec un maximum durant les mois d'hiver. Elles augmentent sensiblement à l'intérieur des terres et sur le relief. Alors que l'île d'Ouessant reçoit moins de 800 mm de précipitation par an les sommets des monts d'Arrée reçoivent plus de 1 500 mm. Les gelées sont rares, surtout dans les îles, ainsi que la neige. La présence du vent est une autre caractéristique de ce climat.
Relief
Les roches les plus résistantes à l'érosion, le grès, le quartzite et le granite ont donné naissance aux principaux reliefs du Finistère. Malgré leur faible altitude, ceux-ci ne dépassent en effet jamais la barre des 400 mètres, la vigueur de leurs pentes et l'aspect le plus souvent désolé de leurs sommets, leur a valu le qualificatif de montagnes. Au sud du plateau léonard et au nord du bassin de Châteaulin, s'étend la chaîne des monts d'Arrée (point culminant : le Roc'h Ruz : 385 mètres) et au sud du bassin de Châteaulin et au nord de la vallée de l'Odet, celle des montagnes Noires (point culminant : le Roc Toullaëron : 318 mètres). Se détachant des montagnes Noires, à l'ouest, le lourd dôme du Ménez-Hom (330 mètres) et la montagne de Locronan (284 mètres), forment quant à eux des reliefs isolés.
Hydrographie
Le département du Finistère est drainé par de nombreux fleuves côtiers qu'alimente un réseau dense de petites rivières et de ruisseaux. L'Aulne, le plus important d'entre eux, draine une large zone centrale du département enserrée entre les monts d'Arrée au nord et les montagnes Noires au sud, et formant une dépression appelée communément le bassin de Châteaulin. Le sud du département est drainé par l'Ellé, l'Aven, le Bélon, le Moros, l'Odet, la rivière de Pont-l'Abbé et le Goyen. Le nord du département est drainé par l'Élorn, l'Aber-Benoît, la Penzé, le Douron. Ces cours d'eau, bien que de taille modeste, ont creusé de profondes vallées. Celles-ci ont été envahies dans leur partie basse par la mer suite à la transgression marine survenue à la fin du pléistocène et forment de pittoresques vallées maritimes s'enfonçant profondément dans les terres. Dans la région léonarde, on emploie communément le terme local « aber » pour les désigner : aber Wrac'h, aber Benoît. Il en résulte que la côte finistérienne est très découpée. La tranche d'eau écoulée annuellement par les cours d'eau finistériens présente toujours une valeur élevée (758 mm par an pour l'Odet à Quimper et 679 mm par an pour l'Élorn à Plouédern) en raison de l'abondance des précipitations et de la vigueur des pentes moyennes.
Économie
Article détaillé : Économie du Finistère.Transport
Article détaillé : Penn-ar-Bed (réseau).Tourisme
Article détaillé : Tourisme dans le Finistère.Communes ayant plus de 10 % de résidences secondaires en 2008
Selon le recensement général de la population du 1er janvier 2008, 13,5 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires.
Ce tableau indique les principales communes du Finistère dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux.
Communes ayant plus de 10 % de résidences secondaires en 2008Ville Population municipale Nombre de logements Résidences secondaires % de résidences secondaires Île-Tudy 691 1 498 1 149 76,69 % Île-de-Sein 214 352 216 61,15 % Bénodet 3 208 4 310 2 572 59,67 % Saint-Nic 743 1 048 614 58,60 % Île-de-Batz 574 746 427 57,16 % Brignogan-Plages 844 1 014 558 55,01 % Locquirec 1 437 1 580 814 51,52 % Ouessant 856 941 459 48,77 % Loctudy 4 161 3 838 1 850 48,20 % Névez 2 679 2 631 1 250 47,50 % Landunvez 1 353 1 242 559 45,01 % Roscanvel 958 882 383 43,41 % Carantec 3 309 3 079 1 312 42,60 % Crozon 7 680 6 584 2 782 42,25 % Clohars-Carnoët 3 999 3 766 1 585 42,09 % Plounéour-Trez 1 242 1 054 435 41,25 % Combrit 3 469 2 668 1 060 39,71 % Porspoder 1 646 1 408 558 39,61 % Fouesnant 9 557 7 756 3 026 39,02 % Plovan 693 538 209 38,93 % Camaret-sur-Mer 2 595 2 203 827 37,53 % Plougonvelin 3 625 2 549 956 37,50 % Primelin 743 670 247 36,92 % Cléden-Cap-Sizun 992 786 283 36,04 % Plougasnou 3 231 2 750 982 35,71 % Kerlouan 2 272 1 682 567 33,70 % Treffiagat 2 313 1 642 545 33,19 % Esquibien 1 600 1 223 405 33,09 % Plobannalec-Lesconil 3 321 2 458 810 32,96 % Tréflez 901 613 200 32,55 % Scrignac 809 730 237 32,47 % Audierne 2 319 1 993 647 32,45 % Plozévet 2 943 2 263 730 32,26 % Roscoff 3 648 2 834 909 32,06 % Lanildut 944 646 204 31,58 % Penmarc'h 5 633 4 558 1 433 31,44 % Plomodiern 2 162 1 441 453 31,40 % Plogoff 1 374 1 072 332 30,95 % Berrien 944 706 218 30,93 % Saint-Pabu 1 849 1 182 357 30,22 % La Forêt-Fouesnant 3 261 2 223 650 29,24 % Lampaul-Plouarzel 2 058 1 360 396 29,14 % Plonévez-Porzay 1 679 1 097 319 29,04 % Moëlan-sur-Mer 6 932 4 843 1 392 28,74 % Plouhinec 4 267 3 010 864 28,69 % Telgruc-sur-Mer 2 042 1 343 372 27,74 % Le Conquet 2 604 1 736 476 27,41 % Plouguerneau 6 275 4 068 1 093 26,88 % Guilvinec 2 998 2 552 683 26,75 % Cléder 3 814 2 451 645 26,32 % Plouescat 3 736 2 466 641 25,98 % Trégunc 6 799 4 414 1 141 25,85 % Sibiril 1 974 794 201 25,36 % Logonna-Daoulas 2 053 1 191 296 24,83 % Pont-Aven 2 929 2 298 568 24,72 % Guissény 1 886 1 226 302 24,65 % Santec 2 280 1 439 344 23,92 % Landéda 3 628 1 982 417 21,02 % Plouarzel 3 391 1 740 357 20,54 % Riec-sur-Belon 4 162 2 510 510 20,34 % Pouldreuzic 1 838 1 111 214 19,30 % Huelgoat 1 602 1 125 212 18,84 % Ploudalmézeau 6 070 3 095 569 18,38 % Plonévez-du-Faou 2 099 1 339 214 15,95 % Plomeur 3 579 1 878 286 15,25 % Plounévez-Lochrist 2 391 1 337 202 15,11 % Douarnenez 15 066 9 746 1 402 14,39 % Concarneau 20 096 12 092 1 529 12,64 % Châteauneuf-du-Faou 3 698 2 146 271 12,62 % - Source INSEE, chiffres au 01/01/2008.
Démographie
Article détaillé : Démographie du Finistère.Les habitants du Finistère sont les Finistériens.
Les Finistériens descendent pour le plus grand nombre des Celtes dont ils ont hérité la langue bretonne. Le Finistère était déjà peuplé au néolithique comme en atteste la présence de nombreux mégalithes et menhirs. Entre le IVe et le VIIe siècle il y eut plusieurs vagues migratrices des Bretons insulaires vers l'Armorique suite à la désorganisation de l'Empire romain et aux invasions des Saxons et des Angles. Ils se mêlèrent aux populations locales présentes sur place. Par la suite la population du Finistère demeura isolée des autres populations à cause de son particularisme linguistique et de la position du Finistère à l'extrémité d'une péninsule. La francisation des Finistériens et le désenclavement de la péninsule grâce aux moyens modernes de transport contribueront à faciliter le brassage ethnique avec les habitants d'autres régions.
Beaucoup de Finistériens ont été obligés de s'expatrier pour trouver un travail à partir des années 1850. La région parisienne ainsi que les grandes villes de l'ouest de Rennes et de Nantes et les ports du Havre et Toulon ont constitué les destinations favorites. Aujourd'hui les Finistériens tendent à vouloir revenir de plus en plus souvent dans leur département d'origine. La région parisienne où les prix de l'immobilier sont élevés attire de moins en moins.
La majeure partie de la population vit dans les villes. Le taux d'urbanisation de la population atteint en effet 73 %. Brest compte environ 210 000 habitants pour son agglomération et Quimper environ 80 000 habitants. La population se concentre dans les zones proches du littoral tandis que l'intérieur des terres (régions des monts d'Arrée et des montagnes Noires) est largement sous-peuplée et a vu sa population fortement décliner au cours du siècle dernier en raison d'un important exode rural. Le département compte 890 509 habitants au 1er janvier 2008[5]. Il est l'un des plus peuplés de France et se classe à la 24e place pour le nombre d'habitants.
Courbe d'évolution démographique du Finistère depuis 1800
Culture
Article détaillé : Culture du Finistère.Langue
Autrefois, avant l'unification KLT, plusieurs dialectes de la langue bretonne étaient en usage dans le Finistère. Les deux principaux étaient le léonard parlé dans le tiers nord du département et le cornouaillais dans les deux tiers sud. Le trégorrois et le vannetais étaient parlés dans de petites zones situées à l'est de Morlaix pour le premier et à l'est de Quimperlé pour le second. Il n'existait pas de véritable frontière linguistique entre ces différents dialectes. Il s'agissait plutôt de petites variations à l'échelon local, au niveau de chaque paroisse, si bien que plus on s'écartait de sa paroisse d'origine, plus l'intercompréhension linguistique était rendue difficile. Il existait aussi des formes locales de français parlées uniquement dans les villes. Ainsi à Quimper, les habitants parlaient le quimpertin.
Aujourd'hui, la population est largement francophone. Le Finistère (breton : Penn-ar-Bed en breton, ce qui signifie « bout du monde ») est néanmoins le département le plus bretonnant de Bretagne. Les effectifs pondérés que fournit l'enquête Étude de l'histoire familiale[6] menée par l'INSEE en 1999 sont de plus de 132 000 bretonnants de plus de 18 ans pour ce seul département. S'y ajoutent notamment les effectifs des écoles bilingues qui se montent à 4 333 élèves à la rentrée 2005, ou encore les élèves suivant des cours de breton dans les établissements publics du primaire (plus de 7 600 en 2002/2003) ou du secondaire (plus de 1 800 en 2002/2003). La signalisation routière bilingue est utilisée dans le département.
Patrimoine religieux
Le paysage du Finistère est profondément marqué par son patrimoine religieux. La campagne est parsemée de croix et de chapelles. Les bourgs possèdent des églises renfermant bien souvent des trésors.
Parcs et jardins
- Conservatoire botanique national – Brest / site
- Le jardin des Explorateurs – Brest
- Parc Claude Goude – Carantec
- Parc botanique de Cornouaille – Combrit / site
- Jardins de l'abbaye de Daoulas – Daoulas / site
- Jardin du château de Boutiguéry – Gouesnac'h / site
- Parc du manoir de Trogriffon – Henvic
- Arboretum du Poërop – Huelgoat / site
- Jardin Georges Delaselle – Île-de-Batz / site
- Parc du château de Kérazan – Loctudy / site
- Jardin de la Retraite – Quimper
- Jardin du Prieuré – Quimper
- Le domaine de Lanniron – Quimper
- Jardin exotique de Roscoff – Roscoff / site
- Parc et Jardins du château de Trévarez – Saint-Goazec / site
- Parc du château de Bagatelle – Saint-Martin-des-Champs
- Château de Kerjean – Saint-Vougay / site
- Château de Kérouzéré – Sibiril
- Jardin botanique des montagnes Noires – Spézet / site
Notes et références
- ISBN 978-2-84276-136-3), p. 132 Pierre-Éric Fageol, Olivier Roux, Dictionnaire thématique d'histoire et de géographie du professeur des écoles, Paris : Seli Arslan, 2007. (
- Conseil général du Finistère - Les origines administratives du Finistère sur www.cg29.fr. Consulté le 18 mai 2010.
- Gilles Pécout) Jacques Olivier Boudon, Les Bonaparte : regards sur la France impériale. La Documentation photographique, dossier 8073, janvier-février 2010, p. 11 (carte de
- Page des armoiries sur le site du conseil général du Finistère
- Population du Finistère sur le site de l'INSEE.
- ISBN 978-2-7332-0156-5) Alexandra Filhon, Cécile Lefèvre, François Héran, Étude de l'histoire familiale, INED (2005) - (
Bibliographie
- Alexandra Filhon, Cécile Lefèvre, François Héran, Étude de l'histoire familiale, INED (2005) - (ISBN 978-2-7332-0156-5)
- Nathalie Coullioud, Promenades littéraires en Finistère, Coop Breizh, 2009 (ISBN 978-2-84346-403-4). 271 pages.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Préfecture du Finistère
- Conseil général du Finistère
- Recensement INSEE
- Finistère Tourisme, agence de développement touristique, site officiel
- Archives départementales
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