- Morlaix
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Morlaix
Vue de la place Allende, le viaduc de Morlaix.
DétailAdministration Pays France Région Bretagne Département Finistère (sous-préfecture) Arrondissement Morlaix (chef-lieu) Canton Morlaix (chef-lieu) Code commune 29151 Code postal 29600 Maire
Mandat en coursAgnès Le Brun
2008-2014Intercommunalité Morlaix Communauté Site web Site de la ville Démographie Population 15 574 hab. (2008[1]) Densité 627 hab./km² Gentilé Morlaisien, Morlaisienne Géographie Coordonnées Altitudes mini. 0 m — maxi. 104 m Superficie 24,82 km2 Morlaix [mɔʁlɛ][2] est une commune française de Bretagne, située dans le département du Finistère.
Sommaire
Géographie
Communes limitrophes
Morlaix se situe au nord du département du Finistère, au confluent de deux rivières, le Jarlot et le Queffleut (autre orthographe : Queffleuth), qui forment le Dossen ou rivière de Morlaix. L'estuaire de la rivière de Morlaix, séparant le Léon (à l'ouest) et le Trégor (à l'est), s'étend sur 15 kilomètres entre l'écluse et l'embouchure à Carantec. En raison de cette situation géographique, Morlaix fut victime d'importantes inondations (particulièrement en 1880, 1883, 1925, 1974 et 2000).
Économie
Morlaix est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Morlaix. Elle gère l'Aéroport de Morlaix Ploujean, le Port de Morlaix (principalement dédié à la plaisance), le Port de Roscoff, la Criée de Roscoff. La CCI mène également un projet de reconversion urbaine de la Manufacture des tabacs de Morlaix, site industriel classé monument historique, qui accueille désormais du logement, de l'enseignement (IUT de Morlaix), de l'économie (hôtel d'entreprises), des services publics (Morlaix Communauté), des ateliers d'artistes.
Transports
- Aéroport de Morlaix Ploujean
- Gare SNCF de Morlaix desservie par les TGV Paris - Brest et par les TER Bretagne
- Tim le réseau de bus de Morlaix Communauté
Histoire
Entre le IV et le III millénaire avant J.C., les hommes construisirent des cairns dits de Barnenez, non loin de Morlaix.
En 1520, suite à l'echec de la rencontre du Camp du Drap d'Or, les relations entre les royaumes de France et d'Angleterre se dégradent et débouchent sur un rapprochement de cette dernière avec l'Espagne de Charles Quint. Ainsi, en 1522, une flotte anglaise attaque Cherbourg puis se dirige vers Morlaix où elle arrive début juillet. Le jour de l'attaque est choisi en fonction de la foire de Guingamp. Ainsi, tous les notables et surtout les soldats sont absents laissant la ville sans défense. Une flotte de 60 navires s'approche de la côte et débarque plusieurs centaines d'hommes déguisés en marchands pour ne pas éveiller la curiosité. La nuit venue, ils se dirigent vers la ville où ils ne rencontrent aucune résistance. Dans le même temps, les navires remontent la rivière afin de débarquer directement des hommes dans la ville. Toutefois, ils sont bloqués par des arbres abattus dans le lit de la rivière. Ayant investi la ville, les Anglais se livrent au pillage, incendient les maisons et massacrent les habitants qui n'ont pu fuir. Le lendemain, prévenus par les habitants en fuite, les soldats du seigneur de Laval arrivent sur les lieux afin d'en chasser l'ennemi. Ce dernier, ayant découvert des victuailles et de nombreux fûts de vins avait fêté la victoire toute la nuit et dormait, la plupart des soldats enivrés. Les Français massacrent tous les Anglais qu'ils trouvent, ces derniers offrant peu de résistance du fait des libations de la nuit précédente. Suite à cet évènement, il est décidé la construction du château du Taureau en baie de Morlaix[3].
Morlaix est citée pour avoir participé à la Révolte des Bonnets rouges ou Révolte du papier timbré survenue en 1675.
À la Révolution, des Sociétés des amis de la Constitution ou populaires se créent partout. Armand Joseph Dubernad, ancien député du Tiers à Rennes et maire de Morlaix est le cofondateur du premier club jacobin de Bretagne, en 1790 avec Bouëstard de la Touche. Morlaix devient chef-lieu de district.
Article détaillé : Armand Joseph Dubernad.Origine du nom de Morlaix
L'origine exacte n'a pas été désignée, et reste inconnue ; voici quelques suppositions :
- Morlaix tirerait son nom de l'appellation latine de l'implantation romaine Mons Relaxus ; les déformations au cours des siècles seraient à l'origine de ses noms français et breton, notamment via la contraction de l'expression « Mont Relaix », ce qui forme une des origines les plus crédibles.
- Il est aussi question du sens « mor-lès », « près de la mer » : mais beaucoup d'autres mots que « lès » pourraient avoir joué.
- Le Baron de Wismes a estimé au XIXe siècle qu'il s'agissait de l'expression « s'ils te mordent, mords-les », désignant les Anglais ; cela a été gardé comme devise officielle (à noter d'ailleurs que cette devise est quasiment unique dans son genre).
Emblèmes
Héraldique
Les armoiries se décrivent :
Devise
En 1522, les Anglais pillent la ville en l'absence des habitants, mais s'attardent un peu trop dans les celliers. Les Morlaisiens, revenus, leur taillent des croupières. À cette occasion, la ville ajoute à ses armes un lion faisant face à un léopard anglais, avec la devise : S'ils te mordent, mords les.
Langue bretonne
En breton la ville se nomme Montroulez
La commune a signé la charte Ya d'ar brezhoneg le 6 février 2009.
Démographie
Évolution démographique
D’après le recensement Insee de 2007, Morlaix compte 15 605 habitants (soit une diminution de 2 % par rapport à 1999). La commune occupe le 589e rang au niveau national, alors qu'elle était au 558e en 1999, et le 4e au niveau départemental sur 283 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Morlaix depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint 1968 avec 19 919 habitants.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,9 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (24,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,7 %) est supérieur au taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 47,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 15,9 %, 15 à 29 ans = 23,5 %, 30 à 44 ans = 19 %, 45 à 59 ans = 24,3 %, plus de 60 ans = 17,3 %) ;
- 52,7 % de femmes (0 à 14 ans = 14,1 %, 15 à 29 ans = 19,7 %, 30 à 44 ans = 16,9 %, 45 à 59 ans = 21,5 %, plus de 60 ans = 27,9 %).
Administration
En 2010, la commune de Morlaix a été récompensée par le label « Ville Internet @@ »[10].
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1615 1641 Yves Le Bervet (du Parc) (1579-1641) François de La Fruglaye (1730-) 1780 1790 Michel Behic (1736-1837) 1790 Yves-Joseph Le Denmat de Kervern (1751-1794) 1947 1971 Jean Le Duc 1971 1989 Jean-Jacques Cléach PS 1989 1995 Arnaud Cazin d'Honincthun UDF 1995 1997 Marylise Lebranchu PS Ministre du gouvernement Lionel Jospin (1997-2002)
Députée de la quatrième circonscription du Finistère (1997 et 2002→)
Membre du conseil régional de Bretagne (1986→)1997 2008 Michel Le Goff PS 2008 en cours Agnès Le Brun UMP Conseillère générale du canton de Morlaix (2008-2010)
Députée européenne depuis le 1er janvier 2011Toutes les données ne sont pas encore connues. Edmond Puyo (1828-1916) fut maire de Morlaix de 1871 à 1875. Il était l'oncle maternel du poète Tristan Corbière (1845-1875).
Jumelages
- Würselen (Allemagne) depuis 1976
- Truro (Royaume-Uni) depuis 1979. Une rue de la localité s'appelle Morlaix Avenue.
- Réo (Burkina Faso) depuis 1991
- Chełm (Pologne)
Monuments et lieux touristiques
- Ancien couvent des Jacobins dont l'église fondée en 1230, est la plus ancienne de la ville. (abrite le Musée des Beaux-Arts). Le couvent a été construit au XIIIe siècle, la rosace du chevet date du XVe siècle. Le couvent a été confisqué à la Révolution, puis il a servi de caserne et enfin de siège la société d'archéologie du Finistère. Depuis 1887, il abrite le Musée, dont le premier conservateur fut Edmond Puyo, maire de la ville.
- Viaduc de granite du XIXe siècle (1861) pour la ligne de chemin de fer Paris-Brest. Majestueux ouvrage en granite provenant de l'île-Grande Il a été construit de 1861 à 1864 lors de l'édification de la ligne Paris-Brest. c'est l'ingénieur Fenoux qui en a tracé les plans. Le résultat est prodigieux : 292 m de longueur, 58 m de hauteur,14 arches et 9 arceaux, 11 000 m3 de pierres...La ligne Rennes-Brest a été inaugurée en 1865.
- Théâtre à l'italienne (1888), classé Monument historique en 1998, entièrement restauré, ce magnifique théâtre de 400 places, est désormais ouvert toute l'année avec une programmation qui fait la part belle au… théâtre ! Le Théâtre du Pays de Morlaix propose une programmation régulière de pièces classiques ou contemporaines mais accueille également de nombreuses compagnies dramatiques en résidence de création.
- Église Saint-Melaine, de style gothique flamboyant (XVe siècle). Le prieuré de St-Mélaine fut fondé en tre 1149 et 1157 à la suite d'une donation de Guyomarc'h III, seigneur de Morlaix. L'église fut construite à la fin du XVe siècle par l'atelier d'architectes Beaumanoir. En 1879, le lanternon de l'église a été remplacé par une flèche en bois recouverte de zinc. L'église abrite de belles sablières et statuaires du XVe au XIXe, ainsi qu'un orgue de Dallam restauré en 1971.
- Ancienne Manufacture des tabacs (en cours de reconversion). C'est Jean-François Blondel, architecte du roi qui a conçu la Manufacture entre 1736 et 1740.
- Nombreuses maisons médiévales à pans de bois dites maisons à lanterne ou à pondalez (pont-galerie en breton), s'organisent autour d'un hall qui s'élève sur trois à quatre niveaux. Celle du 9 Grande Rue accueille les œuvres et objets de la collection du Musée de Morlaix ayant trait à l’architecture et à l’histoire de la ville – et celle dite de la duchesse Anne (XVIe siècle), rue du Mur.
- Le Kiosque, offert en 1903 par Auguste Ropars.
- La Fontaine des Carmélites, datant du XVe siècle, au pied de l'ancienne église Notre-Dame des Fontaines qui fut détruite. Les Carmélites sont arrivées à Morlaix au XVIIe siècle, à la suite de graves épidémies de peste.
- Escaliers publics anciens, venelles.
- Quartier et église Saint-Mathieu, la tour est un des premiers édifices Renaissance de la région. Elle abrite une statue ouvrante en bois doré de la fin du XIVe siècle. Lorsqu'elle est ouverte elle offre une Trinité sculptée et des scènes peintes du nouveau Testament. Cette statue qui provient de la région de Cologne a été commandée par la Confrérie des tisserands de Morlaix. L'église abrite également un bel orgue, dont le buffet fin XVIIè contient un instrument de Heyer (1873).
- Dans la baie de Morlaix, le château du Taureau, érigé au XVIe siècle pour défendre la baie, a été remanié par Vauban à partir de 1689, mais il meurt en 1707 avant son achèvement. Le vaisseau de pierre prend alors ses dimensions actuelles : 60 mètres de long, 12 mètres de large et 12 mètres de haut pour une surface bâtie de 1 450 m2. Outre onze casemates pouvant recevoir chacune un canon, le fort abrite des logements, deux cachots, une cantine, une cuisine et une chapelle. Le dernier prisonnier fut Louis Auguste Blanqui, en 1871. Au XXe siècle, il est la résidence secondaire de la famille de Vilmorin, puis abrite, de 1960 à 1980, une école de voile ayant compté jusqu'à 250 stagiaires, dont 150 logés au château. Ce fort à la mer, propriété nationale gérée par la CCI, peut être désormais visité.
- Ancienne Brasserie Coreff, aujourd'hui basée à Carhaix.
- Le château de Suscinio (maison Charles Cornic) et son parc botanique, situés à Ploujean (voir ce nom), ancienne commune annexée par Morlaix
Loisirs
- Le festival Panoramas a lieu tous les ans en avril. Principalement concentré sur les musiques actuelles (électro, hip-hop), il regroupe plusieurs tendances[11].
- Le Festival des Arts dans la Rue (FAR), reconnu nationalement (20 000 personnes d'affluence en moyenne) a lieu durant une semaine au début d'août[12].
Tableaux
- Jules Noël : Sortie de la messe de minuit (l'auteur s'est inspiré de l'église Saint-Melaine de Morlaix)(1867, huile sur toile, collection particulière)
- Jules Noël : Morlaix : l'escalier de l'église Saint-Melaine (crayon sur papier, collection particulière)
- Jules Noël : Le viaduc et le quai de Tréguier à Morlaix (vers 1893)
- Jules Noël : Le rémouleur à Morlaix (vers 1868, Musée des Jacobins, Morlaix)
- Charles de Kergariou : Le port de Morlaix (collection particulière)
Personnages célèbres
- Jean Coatanlem (vers 1455-1492), corsaire et grand amiral du Portugal.
- Nicolas Coetanlem (1460-1519), commerçant et marin, neveu du précédent.
- Charles Cornic (1731-1809), corsaire.
- Michel Behic (1736-1827), négociant, financier, révolutionnaire, maire de Morlaix.
- Armand Joseph Dubernad (1743-1799), négociant, financier, révolutionnaire.
- Luc Urbain du Bouëxic de Guichen (-1790), amiral français
- Louis-Alexandre Expilly de La Poipe (1743-1794), premier évêque constitutionnel français, évêque de Cornouaille, guillotiné le 22 mai 1794 à Brest avec 26 administrateurs du Finistère.
- Yves-Joseph Le Denmat de Kervern, avocat au Parlement de Bretagne, maire de Morlaix en 1790, né en 1751, guillotiné le 22 mai 1794 à Brest avec 26 administrateurs du Finistère.
- Famille Lannux de la Chaume, négociants, armateurs, financiers, maire de Morlaix, consuls d'Espagne en France, avant la Révolution.
- Jean Victor Marie Moreau (1763-1813), né à Morlaix, général de la Révolution, vainqueur de Hohenlinden, feld-maréchal de Russie à titre posthume, maréchal de France à titre posthume.
- Joseph Marie Moreau (1764-1849), né et mort à Morlaix, frère du général, avocat, tribun, administrateur général de la Poste, député d'Ille-et-Vilaine
- Charles Yves César Cyr du Coëtlosquet (1783-1837), général des armées de la République et de l'Empire.
- Auguste Barchou de Penhoën, (1799-1855), né à Morlaix, capitaine d'état-major, littérateur, député du Finistère.
- Édouard Corbière (1793-1875), marin, écrivain, journaliste et armateur.
- Marie Bracquemond, femme-peintre 1841-1916
- Émile Souvestre (1806-1854), écrivain né à Morlaix, Prix de l'Académie française en 1854.
- Arthur-Marie Le Hir (1811-1868), né à Morlaix, théologien et hébraïsant, maître d'Ernest Renan.
- Tristan Corbière (1845-1875), poète, fils du précédent.
- Gabriel Pierné (1863-1937), compositeur et organiste.
- Paul Sérusier (1864-1927), peintre post-impressionniste et nabi.
- Maxime Weygand (1867-1965), général français, possédait un manoir à Morlaix et est enterré au cimetière Saint-Charles
- Jules Boucherit (1877-1962, violoniste, né à Morlaix, professeur au Conservatoire de Paris, nommé "Juste" par l'Etat d'Israël pour avoir hébergé ses élèves entre 1941 et 1944
- Henri Rol-Tanguy (1908-2002) résistant communiste
- Francis Gourvil (1889-1984), écrivain et résistant.
- Joseph Gueguen (1741-1825), domestique, secrétaire, interprète, traducteur, marchand et juge de paix, né à Morlaix, mort à Cocagne (Nouveau-Brunswick);
- Michel Mohrt (1914-2011), écrivain, né à Morlaix, Grand prix du roman de l'Académie française en 1962 et membre de l'Académie française de 1985 à sa mort.
- Paco Rabanne, styliste, a passé une partie de son enfance à Morlaix.
- Julien Guiomar (3 mai 1928- 22 novembre 2010), acteur né à Morlaix, décédé à Monpazier (Dordogne)
- Jean-Loup Chrétien (20 août 1938-), spationaute.
- Brigitte Fontaine (1939-) chanteuse, auteur, écrivain, poète et actrice.
- Dominique Lavanant (1944-), actrice, née à Morlaix.
- Clarisse Lavanant (1979-), auteur-compositeur-interprète.
- Jean-Michel Caradec (1946-1981), auteur-compositeur-interprète.
- Marylise Lebranchu (1947-) femme politique, née à Loudéac (22), maire de Morlaix (1995-1997), présidente de Morlaix Communauté (1995-2003), secrétaire d'État (1997-2000), ministre de la justice (2000-2002), actuellement vice-présidente de la Région Bretagne et députée.
- Renan Luce (1980-), auteur-compositeur-interprète.
- Tepr (1980-), musicien électronique.
- Éric Digaire, musicien, membre de Matmatah.
- Nina Ricci (1882-1970), couturière française d'origine italienne.
Notes et références
- Populations légales 2008 de la commune : Morlaix sur le site de l'Insee
- Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.
- ISBN 2-9503519-5-6) Daniel et Marie-Claude Appriou - Le château du Taureau, bastion et prison p. 10-12 (
- Site officiel de la ville
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 21 novembre 2010
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 21 novembre 2010
- Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 21 novembre 2010
- Évolution et structure de la population à Morlaix en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 21 novembre 2010
- Résultats du recensement de la population du Finistère en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 21 novembre 2010
- Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.
- http://www.wartiste.com Association WART
- http://www.lefourneau.com Le Fourneau, co-organisateur
Bibliographie
- Page du site de la ville, faites d'après « Bretagne d’hier : Morlaix » Tome 1, de Marthe Le Clech
- "la Bretagne" page 161, édition Atlas
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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