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Poitiers
Poitiers
Vieux centre de Poitiers, vu des Dunes : Sainte-Radegonde, cathédrale Saint-Pierre, palais de Justice (au dernier plan)
Détail
DétailAdministration Pays France Région Poitou-Charentes (préfecture) Département Vienne (préfecture) Arrondissement Poitiers (chef-lieu) Canton Chef-lieu de sept cantons Code Insee abr. 86194 Code postal 86000 Maire
Mandat en coursAlain Claeys (PS)
2008-2014Intercommunalité Communauté d'agglomération de Poitiers Site internet http://www.mairie-poitiers.fr/ Démographie Population 91 395 hab. (2008) Densité 2 170 hab./km² Aire urbaine 209 000 hab. Gentilé Pictaviennes, Pictaviens
Poitevines, PoitevinsGéographie Coordonnées Altitudes mini. 65 m — maxi. 144 m Superficie 42,11 km² Poitiers, Potchiers[1] en poitevin, est une commune française, chef-lieu (préfecture) du département de la Vienne et de la région Poitou-Charentes. Ses habitants sont appelés les Poitevins (comme pour le Poitou)[2] ; on utilise parfois Pictaviens[3], un gentilé savant formé au XIXe siècle, dérivé du nom du peuple gaulois des Pictons.
Poitiers est la ville intra muros la plus peuplée du département de la Vienne, de la région Poitou-Charentes devant la Rochelle (80 014), la ville centre de la première agglomération picto-charentaise (plus de 130 000 habitants) devant La Rochelle (plus de 110 000) et enfin son unité urbaine constitue le centre d’une aire urbaine de 209 000 habitants, la première régionale devant celle de la ville de la Rochelle (170 000).
Sommaire
Géographie
Situation
La ville de Poitiers est située sur le Seuil du Poitou, passage peu élevé entre le Massif armoricain à l'ouest et le Massif central à l'est. Il s'agit donc d'une voie de passage facile entre le Bassin parisien et le Bassin aquitain, à 340 km au sud-ouest de Paris, 180 km de Nantes et à 220 km de Bordeaux. Poitiers jouit donc d’une position favorable sur une route commerciale et militaire.
Site
Le site de Poitiers est un vaste promontoire en spatule enserré entre les vallées de la Boivre et du Clain, qu'il domine d’une cinquantaine de mètres de haut. Les rivières ont creusé de profondes vallées. Ce promontoire est relié au plateau par un pédoncule étroit, au lieu-dit la Tranchée, qui tire son nom du fossé creusé pour couper ce passage et isoler ainsi Poitiers du pays environnant. Le premier creusement daterait de l’oppidum gaulois, et il fut maintenu jusqu'au XVIIIe siècle. L'aspect défensif du site est donc prépondérant, mais son intérêt provient également d'une vaste superficie (2,3 km sur 1,3 km, soit 250 ha) très facilement défendable, jusqu'à l'invention de l'artillerie du moins. Ces deux caractères, étendue et facilité de la défense, ont fait que le site de la ville n'a pas été déplacé à l'époque romaine, comme cela est souvent arrivé (Alésia, Lutèce). Ce vaste espace permettait de faire pâturer les troupeaux à l'abri, puis à partir du Moyen Âge, d'aménager des jardins potagers et des vignes.
Les rivières étaient franchies sur des gués entretenus, sur les sites des actuels pont Joubert et pont Saint-Cyprien. En cas de siège, les gués étaient démolis.
Actuellement, la ville de Poitiers s'étend sur le plateau de part et d'autre des vallées, notamment en direction de l'est (campus universitaire, centre hospitalier, zones commerciales et d'habitation) et du Nord (technopole du Futuroscope).
Communes limitrophes[4]
Migné-Auxances Buxerolles Montamisé Vouneuil-sous-Biard Bignoux Fontaine-le-Comte Ligugé Saint-Benoît Mignaloux-Beauvoir Histoire
Article détaillé : Histoire de Poitiers.Poitiers a laissé son nom à trois grandes batailles :
- la première bataille de Poitiers 507, ou bataille de Vouillé est la moins connue. Elle fut remportée par Clovis Ier sur Alaric II roi des Wisigoths (au lieu appelé Campus Vogladensis) au nord-ouest de Poitiers, et permit la conquête de toute la zone entre Loire et Pyrénées ;
- la bataille de Poitiers en 732 à Moussais, sur la commune de Vouneuil-sur-Vienne, au Nord de Poitiers, avec la victoire des Francs dirigés par Charles Martel sur les troupes Maures et leurs alliés ;
- la bataille de 1356, qui eut lieu à Nouaillé-Maupertuis au sud de Poitiers, avec la victoire des Anglais commandés par le Prince noir contre les Français du roi Jean le Bon.
(Voir l'article Poitou pour les autres batailles du Seuil du Poitou).
Antiquité
La ville existait déjà à l'arrivée de César, sous la forme d'un oppidum celte nommé Lemonum, terme qui serait issu du gaulois « Lemo- » orme[5]. Les Romains l'aménagèrent au Ier siècle de notre ère, la dotant d’un amphithéâtre de grande taille (détruit presque entièrement en 1857), de plusieurs thermes, d'au moins trois aqueducs, le tout donnant un statut de premier plan à la ville (vestiges aux Arcs de Parigny). Il est possible qu'au second siècle de notre ère, la ville fut la capitale de la province d'Aquitaine.
Au IVe siècle, une épaisse muraille de six mètres d'épaisseur et dix de hauteur ceint la ville sur 2,5 kilomètres. Celle-ci est réduite au sommet et flanc est du promontoire. Saint Hilaire évangélise la ville au IVe siècle. Les fondations du baptistère Saint-Jean datent de cette époque. La cité prend ensuite le nom définitif de Poitiers, en rapport avec le peuple des Pictons.
Voir aussi Vestiges archéologiques de Poitiers
Moyen Âge
À l'époque médiévale, Poitiers tire parti de son site défensif, et de sa situation géographique, loin du centre du pouvoir franc. Siège d'un évêché depuis le IVe siècle, la ville est également la capitale du comté du Poitou, dont les comtes dirigent une importante principauté regroupant le Poitou et l'Aquitaine.
Au IXe siècle, le nom de Grand-rue apparait dans les chartes. C'est la plus ancienne trace d'un nom de rue conservée en Europe. Cette rue correspond à la ligne de plus faible pente, et donc la moins fatigante, pour monter du gué (actuel pont) Saint-Joubert au plateau, et elle est un itinéraire remontant à l'Âge du Fer. Grossièrement orienté est-ouest, il servit d'axe decuman au quadrillage orthogonal des rues à l'époque romaine. C'est également au IXe siècle que l'abbé Mellebaude fait construire l'hypogée des Dunes.
Une première tentative de création de commune a lieu, de façon autonome par les habitants en 1138 (peut-être par la confrérie Saint-Hilaire[6]), qui appellent les bourgs et villes voisins à former une ligue[7]. La commune est rapidement supprimée par le roi de France. Aliénor d'Aquitaine fit construire une nouvelle muraille au XIIe siècle longue de 6 000 mètres, enserrant tout le promontoire.
Lors de la révolte des fils d’Henri II, la ville reste fidèle au roi d’Angleterre, ce qui lui permet d’obtenir une charte communale vers 1175[8],[9], sur le modèle des Établissements de Rouen. La charte est confirmée par Aliénor d’Aquitaine en 1199, puis par les rois de France. Aliénor d’Aquitaine fait également des travaux au palais des comtes-ducs et construire un nouveau marché. Elle meurt à Poitiers en avril 1204, et la ville est prise par Philippe Auguste en août de la même année.
La route de Saint-Jacques-de-Compostelle passant par Poitiers, la ville accueille de nombreux pèlerins, qui y font halte pour vénérer les reliques de sainte Radegonde ou de saint Hilaire.
Au XIVe siècle, la ville échoit en apanage au troisième fils de Jean II le Bon, le duc de Berry (commanditaire des Très riches heures du duc de Berry). Il embellit le palais médiéval des comtes de Poitiers, en y aménageant notamment le donjon (dit tour Maubergeon). De même il embellit l'ancien château triangulaire, visible dans le manuscrit des Très riches heures, au mois de juillet. En 1385 il fait construire un des premiers beffrois, le "Gros horloge", aujourd'hui disparu..
Article détaillé : Bataille de Poitiers (1356).Pendant les heures les plus noires de la guerre de Cent Ans, la ville accueillit le Parlement royal en 1418. C'est également à Poitiers que Jeanne d'Arc fut examinée en 1429 avant de recevoir le commandement de l'ost royal. Profitant de la faveur royale et de la présence de nombreux érudits parisiens exilés, Poitiers obtient la création d'une Université en 1431. Celle-ci compte 4 000 étudiants à la fin du XVe siècle.
Du XVIe siècle à nos jours
La ville s'assoupit à la Renaissance. De fait, peu de changements ont lieu dans le tissu urbain, à part le percement de la rue de la Tranchée, et la construction de ponts qui remplacent les anciens gués. Quelques hôtels particuliers datent de cette époque : hôtels Jean Baucé, Fumé, Berthelot, notamment.
Les poètes Joachim du Bellay et Pierre Ronsard sympathisent à l'Université de Poitiers, avant de monter à Paris.
La ville tire sa prospérité essentiellement de ses fonctions administratives : justice royale, évêché, monastères, et l'intendance de la généralité du Poitou. C'est d'ailleurs de l'intendance que viennent quelques évolutions à la fin du XVIIIe siècle : le vicomte de Blossac, intendant de 1750 à 1784, fait aménager un jardin à la française (voir espaces verts de Poitiers). Il fait également abattre la muraille d'Aliénor d'Aquitaine et aménager des boulevards sur leur emplacement.
Au XIXe siècle, de nombreuses casernes sont construites, faisant de Poitiers une ville de garnison. La gare est construite dans les années 1850 et sera bombardée lors de la Seconde Guerre mondiale, le 13 juin 1944.
Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, la ville se vit victime de l'exode rural jusqu'au milieu des années 1980[précision nécessaire]. La ville de Poitiers s'étend considérablement depuis les années 1960, avec la création de la ZUP des Couronneries et du quartier des Trois-Cités, et la création de grands axes routiers en périphérie (avenue John F Kennedy puis avenue du 11 Novembre) et en pénétration (voie André Malraux), au-delà desquelles se développent dans les années 1970 d'autres quartiers (la Gibauderie, Beaulieu ...), puis un nouveau contournement nord-est de la ville (RN147) à la fin des années 1980. L'urbanisation de la ville se poursuit encore vers l'est avec la ZAC de Saint-Éloi depuis les années 1990.
L'activité de la ville bénéficie de la décentralisation industrielle depuis les années 1970, avec notamment l’implantation d’une usine Michelin (fermée en 2006), compagnie des compteurs Schlumberger (compteurs industriels et résidentiels).
Le projet du Futuroscope (bâti sur la commune limitrophe de Chasseneuil-du-Poitou), construit en 1986-1987 sur une idée de René Monory, a propulsé la ville au rang de centre touristique et a ouvert la cité à l'ère technologique et touristique. Aujourd'hui, Poitiers se visite en complément du parc et bénéficie d'une clientèle de plus en plus européenne notamment anglaise avec l'ouverture d'une ligne aérienne directe entre Poitiers et Londres Stansted.
Démographie
Économie et transports
Poitiers est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de la Vienne. Elle gère l’Aéroport de Poitiers-Biard.
- Technologies de pointe et recherche scientifique (Technopole du Futuroscope)
- Aéroport de Poitiers-Biard
- Gare de Poitiers
- Ligne à grande vitesse Poitiers-Limoges (en projet)
La ville est desservie par le réseau de bus de la communauté d'agglomération. Les 13 lignes, parcourues par 110 bus, sont exploitées par la régie des transports poitevins (RTP) sous la marque Vitalis. Un projet de transport en commun en site propre a été proposé par plusieurs candidats aux élections municipales de 2008.
En février 2008, un service d'autopartage a été lancé sous le nom Otolis. Des véhicules, gérés par la RTP, sont disponibles dans 3 stations à Poitiers et dans une à Buxerolles. La réservation s'effectue par internet http://www.otolis.com/.
Culture
Poitiers est classée ville d'art et d'histoire.
Architecture religieuse
La ville de Poitiers, aujourd'hui encore surnommée la « ville aux cent clochers », compte de nombreuses églises.
- Église Sainte-Radegonde de Poitiers, qui faisait partie de l'abbaye Sainte-Croix, le premier couvent de femmes fondé en Europe par la reine Radegonde, épouse de Clotaire Ier, roi des Francs ; Elle comporte un portail gothique flamboyant, en opposé à son architecture globalement romane. Le chœur de l’église est recouvert de fresque. Dans la crypte se trouve le tombeau de la sainte-reine. C'est un lieu de pèlerinage.
- Église Saint-Hilaire le Grand : étape sur le chemin de Compostelle depuis le XIIe siècle, l'église Saint-Hilaire le Grand est inscrite, à ce titre, au Patrimoine Mondial de l'UNESCO. Construite au Xe siècle sur les vestiges d'une nécropole gallo-romaine, la décision de sa fortification est prise en 939[12]. Église romane, elle fut restaurée au XIXe siècle et amputée de sa façade.
- Église Notre-Dame la Grande, romane, à la façade sculptée exceptionnellement riche,
- Cathédrale Saint-Pierre ;
- Église de Montierneuf.
Architecture militaire
- Vestiges de la muraille d'Aliénor à la Tranchée ;
- Tours de cette même muraille dans la vallée de la Boivre (actuels établissements de la poste) ;
- Tours du château de Jean de Berry, au confluent du Clain et de la Boivre.
Architecture civile
- Palais de Justice, ancien palais des comtes de Poitiers, avec notamment la Tour Maubergeon (ancien donjon réaménagé à la fin du Moyen Âge) et la Salle des Pas Perdus (plus grande salle gothique de France où le comte de Poitiers recevait l'hommage de ses vassaux) ;
- nombreuses maisons à colombages, notamment rue de la Chaîne, place du marché Notre-Dame, rue de la Regratterie, rue des Vieilles Boucheries ;
- Hôtels particuliers de riches bourgeois : Hôtels Fumé et Berthelot (rue de la Chaîne, abritent l'actuelle Université d'Histoire et de Sciences humaines), du Puygarreau.
- Hôtel Jean Pélisson fut faite construite en style 2nde renaissance par le drapier du même nom en 1557.
- Hôtel de ville, construit de 1869 à 1875, en style Renaissance, à l’imitation des hôtels de ville de Paris, par l’architecte Alphonse Durand, en pierre de Chauvigny, et décoré par le prix de Rome Louis-Ernest Barrias et Puvis de Chavannes. Il est situé à une extrémité de la nouvelle avenue Impériale, renommée rue Victor-Hugo, en vis-à-vis de la préfecture[13] ;
- Préfecture, construite en style Louis XIII (briques et encadrements et chaînages en pierres blanches) de 1864 à 1868[13]
- Ponts :
- sur le Clain :
- pont Saint-Cyprien (routier, quatre voies) ;
- pont Neuf (routier, quatre voies) ;
- pont Joubert (routier, deux voies) ;
- pont de la Pénétrante (voie rapide, années 1970) ;
- pont de Rochereuil (routier, deux voies) ;
- pont de l’Intendant Le Nain (routier, trois voies) ;
- pont de chemin de fer (XIXe siècle, deux voies) ;
- sur la Boivre :
- pont Achard (également au-dessus des voies de chemin de fer).
- sur le Clain :
Musées
Poitiers compte deux musées, qui proposent une tarification avantageuse permettant de combiner leur visite, et ce au cours d'une période d'une année. L'actuel directeur est Yves Bourel, conservateur et ancien directeur du musée de l’Hôtel Sandelin à Saint-Omer. Il a dirigé le début de la restructuration des musées de Poitiers et du lancement du projet pôle muséal de la ville de Poitiers. Yves Bourel quittera la direction des musées en juin 2009.
C'est le plus grand musée de la ville. Construit en 1974 sur les plan de l'architecte poitevin Jean Monge, le musée Sainte-Croix se dresse à la place de l'ancienne abbaye Sainte-Croix. C'est une vaste structure de béton et de verre, dans le plus pur style des années 1970. actuellement en travaux. Il accueille en exposition permanente les époques de la préhistoire à l'art contemporain, en passant par la période médiévale et les Beaux-Arts. Il possède notamment plusieurs sculptures majeures de Camille Claudel.
- Musée Rupert de Chièvres
Deuxième musée de la ville de Poitiers, le musée Rupert de Chièvres est un ancien hôtel particulier situé en plein centre-ville, entre la préfecture et l'hotel de ville. Le musée tient son nom de François-Marie Rupert de Chièvres, un gentilhomme du XIXe siècle qui y habitait. Rentier, Rupert de Chièvres a constitué une collection de peintures des écoles hollandaises et flamandes, mais aussi de mobiliers et de faïences. Le musée couvre les périodes inexplorées par le musée Sainte-Croix, du XVIe siècle au XVIIIe siècle. L'ambiance y est celle d'une maison de collectionneur, le musée, en mai 2007, est sorti d'une période de fermeture pour travaux destinés à améliorer l'éclairage des oeuvres, à ouvrir un cabinet de faïences (120 pièces présentées) et à réaménager les collections. Depuis début 2009, le musée est de nouveau fermé pour le chantier des collections et peut-être un nouveau parcours muséographique. Il devrait rouvrir au plus tard à l'automne 2009.
Œuvres
La localisation exacte des œuvres, peut être modifiée entre les deux musées.
- La Mort de Hyacinthe de Jean Broc, musée Sainte Croix.
- La Générosité des dames romaines, tableau de Louis Gauffier, musée Rupert de Chièvres.
- Œdipe maudissant Polynice de Jacques Augustin Catherine Pajou, déposé par le musée du Louvre en 1872, visible au musée Sainte-Croix
Établissements culturels
- Médiathèque François-Mitterrand.
- Espace Mendès-France, centre de culture scientifique, technique et industrielle.
- le Confort Moderne, salle de concert, d'exposition.
- Conservatoire national de région.
- Musées, voir section précédente
- Théâtre et auditorium de Poitiers (TAP) : scène nationale proposant théâtre, danse, cinéma art et essai.
- La Fanzinothèque, première bibliothèque de fanzines en France
Manifestations culturelles
- Les rencontres cinématographiques Henri Langlois, festival de court-métrage.
- Les Expressifs : le festival du spectacle de rue.
- Trouver Sonnette à son Pied : le festival en appartements et autres lieux insolites.
- La Semaine estudiantine, organisée au printemps par les Bitards.
- Les Rencontres Gourmandes du Poitou, manifestation organisée par la Confrérie de la Grand'Goule.
- make art : festival dédié aux mondes du libre et des arts numériques.
- la convention de jonglerie de Poitiers en aout.
Éducation
La ville de Poitiers a une ancienne tradition universitaire. L'Université de Poitiers a été fondée en 1431 et a formé plusieurs penseurs renommés.
Poitiers est actuellement la ville la plus étudiante de France (avec plus de 27 000 étudiants), en considérant la proportion d'étudiants à la population totale (très légèrement en-dessous de 20 %).
L'université de Poitiers [14] accueille 14 composantes : sept Unités de formation et de recherche, dites facultés, (Droit et Sciences sociales, Médecine et pharmacie, Sciences humaines et arts, Lettres et langues, Sciences du sport, Sciences fondamentales appliquées, Sciences économiques) ; six instituts (IUT d'Angoulême, IUT de Poitiers, Institut d’administration des entreprises, Institut de préparation à l’administration générale, Instituts des risques industriels assurantiels et financiers, Institut universitaire de formation des maîtres), une grande école d'ingénieurs, l'ENSMA (École nationale supérieure de mécanique et d'aérotechnique de Poitiers), et une grande école de commerce, l'ESCEM (École supérieure de commerce et de management). Elle accueille également en grand nombre de centres de formation privés, comme l'Isfac.
Depuis 1991, l’ENSMA et une partie de la faculté des sciences (le SP2MI) ont été déplacés sur la technopole du Futuroscope. Le CESCM (Centre d'études supérieures de civilisation médiévale) est un pôle de recherche de référence dans son domaine, il est hébergé dans l'hôtel Berthelot du XVe siècle.
Depuis 2001, la ville de Poitiers accueille le "Premier cycle Amérique Latine, Espagne et Portugal" de l'Institut d'études politiques de Paris (Sciences Po Paris).
Parmi les collèges de Poitiers, le collège privé Saint-Chaumond (quartier nouveau de la Gibauderie) est interdit aux filles[15].
Sport
Le Stade Poitevin est le club omnisports de la ville, fondé en 1900. Il englobe notamment une équipe de volley-ball évoluant au plus haut niveau national en Pro A, une équipe de basket-ball évoluant également en Pro A, une équipe de football aujourd'hui amateur ayant connu la Division 2, et une équipe de rugby évoluant en féderale 1 .
Espaces verts
Le plus célèbre est le parc de Blossac siège d'un petit parc animalier. La communauté d'agglomération de Poitiers mène un effort d'extension des espaces verts, notamment le long des vallées du Clain et de ses affluents. Ces terrains autrefois construits sont souvent en zone inondable. Ces nouveaux espaces verts s'ajoutent aux squares et jardins publics plus anciens.
Voir Espaces verts de Poitiers
Galerie
Clocher à écailles de Notre-Dame la Grande
Personnalités
Parmi les artistes ou personnalités qui sont nés ou ont vécu à Poitiers :
Philosophes, humanistes
- Jean Bouchet, a laissé de nombreuses poésies et quelques livres d'histoire estimés.
- Joachim du Bellay, étudia à l'Université de Poitiers, y rencontra Ronsard et Rabelais.
- Pierre de Ronsard, étudia à l'Université de Poitiers.
- François Rabelais, y habita et fit de son Pantagruel le plus célèbre étudiant de Poitiers.
- Descartes, étudia le droit à l'université de Poitiers, philosophe.
- Michel Foucault, (1926 à Poitiers-1984 à Paris), philosophe français.
Religieux
- Saint Hilaire, premier évêque de Poitiers (consulter la Liste des évêques de Poitiers)
- Saint Martin, disciple d'Hilaire, il fonda le premier monastère d’Occident à Ligugé en périphérie de Poitiers.
- Sainte Radegonde, fonda le premier monastère de femmes en Occident, l'abbaye Sainte-Croix.
- Saint Venance Fortunat, poète et évêque de Poitiers (VIe siècle)
- Saint Léger d'Autun (VIIe siècle)
- Sainte Agnès, première abbesse de l’abbaye Sainte-Croix de Poitiers
Rois, ducs, comtes
- Richard Cœur de Lion, dit Richard Ier d'Angleterre, duc d'Aquitaine
- Jean Sans Terre, comte du Poitou.
- Gabriel Massé, jurisconsulte français ;
- Les Ramnulfides, comtes de Poitiers et ducs d’Aquitaine, dont notamment :
- Guillaume IX de Poitiers, dit Le Troubadour, comte de Poitiers
- Aliénor d'Aquitaine, reine de France
- Diane de Poitiers, favorite du roi de France, Henri II (son lieu de naissance est cependant incertain, il se pourrait qu'elle soit née dans la Drôme)
Personnalités politiques
- Antoine Thibeaudeau, né à Poitiers en 1765, mort en 1854. Il fut membre de la Convention, du Conseil des Cinq-Cents, conseiller d'État et préfet de l'Empire. Il a laissé de nombreux ouvrages d'histoire sur cette époque.
- Abel Bonnard, né à Poitiers en 1883, romancier, essayiste et homme politique
- Jacques Masteau, né en 1903 à Poitiers, homme politique
- Pierre Abelin (1909-1977), homme politique, ancien ministre.
- Jean Nocher, né à Poitiers en 1908, journaliste, producteur d'émissions de radio et de télévision, fondateur des groupes francs de la Loire et dirigeant du mouvement Franc-Tireur durant l'Occupation, ancien député de la Loire
- René Monory né en 1923, fondateur du Futuroscope, ancien président du conseil général de la Vienne, ancien président du Sénat, ancien ministre.
- Marie-France Garaud, née en 1934 à Poitiers, avocate, femme politique, députée européenne, présidente depuis 1982 de l'Institut International de Géopolitique.
- Jean-Pierre Raffarin, né en 1948 à Poitiers, ancien président de la région Poitou-Charentes, ancien premier ministre et ministre.
- Thierry Breton, homme politique, chef du projet du Futuroscope avec René Monory, ancien conseillé régional de Poitou-Charentes, ancien ministre.
Fonctionnaires, militaires
- Le ministre Charles Cochon de Lapparent est mort à Poitiers.
- Jean Vilain, (1836 à Poitiers-1863 à Camerone) sous-lieutenant de la Légion étrangère lors de la bataille de Camerone
- Gabriel Massé (1807-1881), avocat et magistrat
Scientifiques
- Camille Guérin, né à Poitiers en 1872, il a découvert en 1924 le vaccin contre la tuberculose avec Albert Calmette (le BCG).
- Luc Montagnier, professeur, co-découvreur du virus du sida en 1983, prix Nobel de médecine en 2008, a étudié à la faculté de médecine et des sciences de Poitiers.
- Michel Brunet, professeur à l'Université de Poitiers, il a découvert, en 2002, Toumaï, le premier représentant de l'espèce Sahelanthropus tchadensis, âgée de 7 millions d'années, actuellement l'un des plus anciens ancêtres de l'Homme, peut-être bipède comme lui.
- Philippe Autexier, historien de la musique spécialiste de Mozart, né à Châtellerault en 1954 et mort à Poitiers en 1998.
- Marc Augé, anthropologue, né à Poitiers en 1935.
Artistes
- Léon Perrault, (1832-1908), peintre
- Jules Berry, acteur, né à Poitiers le 9 février 1883.
- Louis Vierne, (1870 à Poitiers-1937 à Paris) organiste et compositeur
- Joël Robuchon, né en 1945 à Poitiers, cuisinier
- Numa Marzocchi de Bellucci, (1846-1930), artiste peintre orientaliste
- Jean Valade, (1710-1787), artiste peintre, peintre ordinaire du roi.
- Bernard Baudriller, né à Confolens en 1948, un des membres fondateurs du groupe Tri Yann, réside dans l'agglomeration poitevine depuis 1985 et a fondé une école de musique.
Sportifs
- Lionel Charbonnier, né à Poitiers, footballeur, champion du monde en 1998.
- Brian Joubert, né à Poitiers, patineur, champion du monde.
- Mahyar Monshipour, boxeur, champion du monde.
- Maryse Ewanje-Epée, née à Poitiers en 1964, athlète française de saut en hauteur.
- Laurent Rodriguez, né à Poitiers en 1960, joueur de rugby à XV international français.
Journalistes, écrivains
- François Garasse (1585-1631), mort à Poitiers, auteur de La Doctrice curieuse des beaux esprits de ce temps — ou prétendus tels
- Louis François Marie Bellin de La Liborlière (1774-1847), recteur de l’académie de Poitiers de 1815 à 1830, mort à Poitiers, auteur notamment de La Nuit anglaise, célèbre parodie du roman noir ou "gothique".
- Pierre Bélanger, journaliste, né à Poitiers en 1910, mort en 1978. Résistant, il était proche de François Mitterrand. Il fut avec Émilien Amaury l’un des fondateurs du Parisien libéré dont il assura la direction générale. Il a été vice-président de l'Agence France-Presse et président de la Fédération Internationale des Editeurs de journaux.
- Dominique Jamet, né en 1936 à Poitiers, journaliste et écrivain, ancien président de l'EPBF, établissement public chargé de la construction de la Bibliothèque Nationale de France.
- Frédérik Gersal, historien, homme de télévision et de radio, Réside à Iteuil, cité périphérique au sud de Poitiers.
- Franck Ferrand, historien, écrivain et animateur de radio, né à Poitiers en 1967.
- Georges Bonnet (poète), vit à Poitiers.
- Abel Bonnard, né le 19 décembre 1883 à Poitiers, est un poète, romancier, essayiste et homme politique français. Maurrassien, il évolua vers le fascisme dans les années 1930.
- Virginie Lou, écrivain, née à Poitiers en 1954, est l'auteur de six romans et de nombreux livres pour les enfants.
Ville de garnison
Éloignée des frontières, située à un nœud de communications et à proximité d’un champ de tir, la ville de Poitiers a accueilli de nombreuses unités militaires en garnison :
- régiments d’artillerie,
- régiments de cavalerie :
- en 1832 : le 4e régiment de hussards ;
- régiments d'infanterie :
Actuellement, sont présents à Poitiers le RICM (Régiment d'infanterie-chars de marine) et le 9e BMAT (9e bataillon du matériel).
Administration et politique
Poitiers est chef-lieu de sept cantons :
- Le 1er canton est formé d'une partie de Poitiers et de la commune de Migné-Auxances (14 577 habitants);
- Le 2e canton est formé d'une partie de Poitiers et de la commune de Buxerolles (18 099 habitants);
- Le 3e canton est formé d'une partie de Poitiers et de la commune de Mignaloux-Beauvoir (22 467 habitants);
- Le 4e canton est formé d'une partie de Poitiers et de la commune de Saint-Benoit (18 090 habitants);
- Le 5e canton est formé d'une partie de Poitiers et des communes de Croutelle, Fontaine-le-Comte, Ligugé et Vouneuil-sous-Biard (15 932 habitants);
- Le 6e canton est formé d'une partie de Poitiers et de la commune de Biard (14 162 habitants);
- Le 7e canton est formé d'une partie de Poitiers et des communes de Chasseneuil-du-Poitou et Montamisé (23 728 habitants).
Poitiers fait partie de la Communauté d'agglomération de Poitiers (CAP) qui regroupe les communes de Biard, Buxerolles, Chasseneuil-du-Poitou, Fontaine-le-Comte, Mignaloux-Beauvoir, Migné-Auxances, Montamisé, Poitiers, Saint-Benoit et Vouneuil-sous-Biard. Au 1er janvier 2005, les communes de Béruges et Croutelle sont entrées dans l'agglomération, qui, en 2006, totalise 130 710 habitants.
Liste des maires de Poitiers avant la Révolution françaiseListe des maires de Poitiers avant la Révolution française [16] Période Identité Parti Qualité 1200 Savary 1202 Soronet 1213 1215 Robert Regnaut 1216 1221 Hilaire Berland 1222 Guillaume Le Berger [avant 1223] Guillaume Dalone 1223 1227 Guillaume Bernard 1228 1229 Guillaume de la Charité 1229 1230 Pierre Garnier [avant 1240] Guillaume Grossin 1240 1241 Aimery Pouvreau 1241 1242 Pierre de la Charité 1242 1243 Guillaume Bernard, puis Pierre de la Charité 2e élection tous deux 1243 1244 Pierre Garnier 2e élection 1244 1245 Michel Le Gaut 1245 1246 Pierre Larchier 1246 1247 Guillaume Grossin 2e élection 1247 1248 Pierre Garnier 3e élection 1248 1249 Aimery Pouvreau 1249 1250 Hilaire Foucher 1250 1251 Guillaume Morail 1251 1252 Pierre de la Charité 2e élection 1252 1254 Jean de Berry 1254 1256 Guillaume Morail 2e élection 1256 1257 Hilaire Berland 1257 1258 Pierre Garnier 4e élection 1258 1259 Jean de Berry 2e élection 1259 1260 Barthélemy Larchier 1260 1261 Pierre Garnier 5e élection 1261 1262 Guillaume Le Berger 1262 1263 Pierre de Neuville 1263 1264 Guillaume Barbier 1264 1265 Pierre Garnier 6e élection 1265 1266 Jean de Berry 3e élection 1266 1267 Girard de Reims 1267 1268 Pierre Garnier 7e élection 1268 1269 Guillaume Barbier 2e élection 1269 1270 Guillaume de la Charité 1270 1271 Jean Fort 1271 1273 Pierre Garnier 1273 1274 Girard de Reims 2e élection 1274 1275 Guillaume Bernard 1275 1276 Pierre Garnier 1276 1277 Girard de Reims 3e élection 1277 1278 Guillaume Dornière 1278 1279 Guillaume de la Charité 2e élection 1279 1280 Robert Le Roy 1280 1281 Pierre Garnier 1281 1282 Guillaume Barbier 3e élection 1282 1283 Aimery de Taunay 1283 1284 Pierre Garnier 1284 1285 Guillaume de la Charité 3e élection 1285 1286 Robert Le Roy 2e élection 1286 1287 Guillaume Doride 1287 1288 Guillaume de Neuville 1288 1289 Aimery Odonnet 1289 1290 Guillaume de Neuville 2e élection 1290 1291 Aimery Odonnet 2e élection 1291 1292 Guillaume de Neuville 3e élection 1292 1293 Robert Le Roy 3e élection 1293 1294 Guillaume de Neuville 4e élection 1294 1295 Robert Le Roy 4e élection 1295 1296 Pierre Painchaut 1296 1297 Guillaume de Neuville 5e élection 1297 1298 Guillaume Laurens 1298 1299 Aimery Odonnet 3e élection 1299 1301 Guillaume de Neuville 6e et 7e élections 1301 1302 Guillaume Lalleman ou Allemant 1302 1303 Itier Bernard 1303 1304 Aimery Odonnet 4e élection 1304 1305 Guillaume Bernard 1305 1306 Naudet Dausseure ou d’Auxerre 1306 1307 Guilllaume Bernard 2e élection 1307 1310 Guillaume Lalleman 2e, 3e et 4e élections 1310 1312 Guillaume de Berry 1re et 2e élections 1312 1313 Pierre de Berry ou de Bourges 1313 1314 Guillaume Lalleman 5e élection 1314 1315 Pierre de Berry 3e élection 1315 1316 Guillaume Lalleman 6e élection 1316 1320 Guillaume Coindé 1re, 2e, 3e et 4e élections 1320 1321 Robert de Londres 1321 1322 Jourdain Flory 1322 1323 Guillaume Lalleman 7e élection 1323 1324 Guillaume Coindé 5e élection 1324 1325 Jean Guichard 1325 1328 Guillaume Lalleman 8e, 9e et 10e élections 1328 1330 Guillaume Garreau 1330 1331 Guillaume du Pont 1331 1332 Itier Bernard 1332 1333 Guillaume Coindé 6e élection 1333 1334 Robert de Londres 2e élection 1334 1335 Jean Guichard 2e élection 1335 1336 Guillaume Jude 1336 1337 Guillaume Garreau 2e élection 1337 1338 Guillaume Gargouilleau 1338 1339 Pierre Thibaut 1339 1340 Guillaume Gaborreau 1340 1342 Guillaume du Pont 2e et 3e élections 1342 1343 Guillaume Garreau 3e élection 1343 1345 Guillaume Langlois 1re et 2e élections 1345 1346 Robert Flory 1346 1348 Jean Barré 1re et 2e élections 1348 1349 Guillaume Garreau 4e élection 1349 1351 Jean Barré 3e et 4e élections 1351 1352 Guillaume Garreau 5e élection 1352 1356 Aimery d’Ayron 1re, 2e, 3e et 4e élections 1356 1357 Herbert Guichard 1357 1361
(date de fin incertaine)Aimery d’Ayron 5e, 6e, 7e et 8e élections 1361 1362 Jean Barré 5e élection 1362 1364 (ou 1366) Aimery d’Ayron 9e élection (?) 1366 1367 Simon Mourraut 1367 1370 Jean Garineau 1re, 2e et 3e élections 1370 1371 Jean de Taunay 1371 1372 Jean Regnaut 1372 1373 Jean Bigot 1373 1375 Jean Regnaut 2e et 3e élections 1375 1378 Pierre Regnaut 1re, 2e et 3e élections 1378 1380 James Guichard 1re et 2e élections 1380 1385 Pierre Regnaut 4e, 5e, 6e, 7e et 8e élection 1385 1386
mort en aoûtJames Guichard 3e et 4e élections
Remplacé par Pierre Regnaut1387 1389 Guillaume Taveau 1re et 2e élections 1389 1390 Pierre Regnaut 9e élection 1390 1392 Hilaire Larcher 1re et 2e élections 1392 1395 Denis Gillier 1re, 2e et 3e élections 1395 1400 Guillaume Taveau 3e, 4e, 5e, 6e et 7e élections 1400 1402 Hugues Giraut 1re et 2e élections 1402 1404 Pierre Regnaut[17] 1re et 2e élections 1404 1405 Étienne Gratien 1405 1406 Guillaume Parthenay, dit Pape 1406 1408 Jean Macé 1re et 2e élections 1408 1409 Guillaume de Lerberie 1409 1410 Jean Macé 3e élection 1410 1412 Guillaume Parthenay 2e et 3e élections 1412 1414 Guillaume Taveau 8e et 9e élections 1414 1416 Maurice Claveurier Ier 1re et 2e élections 1416 1417 Jean Guichard 1417 1418 Jean Larcher 1418 1419 Herbert Taunay 1419 1420 Jean Larcher 2e élection 1420 1421 Jean Guichard 2e élection 1421 1422 Maurice Claveurier Ier 3e élection 1422 1423 Herbert Taunay 2e élection 1423 1426 Maurice Claveurier Ier 4e, 5e et 6e élections 1426 1429 Jean Larcher 3e, 4e et 5e élections 1429 1430 Simon Mourraut 1430 1431 Herbert Taunay 3e élection 1431 1433 Maurice Claveurier Ier 7e et 8e élections 1433 1434 Jean Larcher 6e élection 1434 1437 Maurice Claveurier Ier 9e, 10e et 11e élections 1437 1438 Guillaume Claveurier 1438 1439 Jean Mourraut 1439 1440 Jean Barbe 1440 1441 Jean de la Fayolle 1441 1442 Maurice Claveurier Ier 12e élection 1442 1444 Jean Mourraut 2e et 3e élections 1444 1445 Maurice Claveurier Ier 13e élection 1445 1446 Jean Barbe 2e élection 1446 1447 Jean de la Fayolle 2e élection 1447 1448 Jean Mourraut 4e élection 1448 1449 Thomas Boilesve 1449 1450 Denis Dausserre 1450 1451 Hilaire Larcher 1451 1452 Hugues de Conzay 1452 1453 Jean Pasquier 1453 1454 Jean Chèvredens 1454 1455 Pierre Prévost 1455 1457 Hugues de Conzay 2e et 3e élections 1457 1458 Mathurin Arembert 1458 1459 Guillaume Vouzy 1459 1460 Nicole Acton 1460 1461 Jean Boisleve 1461 1462 Jean Mourraut 5e élection 1462 1463 André Chaillé 1463 1464 Michel Dauron 1464 1465 Jean de Moulins 1465 1466 Jamet Gervain 1466 20 octobre 1466 André de Conzay remplacé par Louis XI 20 octobre 1466 1467 Jamet Gervain Conzay imposé par Louis XI 1467 1468 Colas Mourraut 1468 1469 Jean Chambon 1469 1470 Jean de Janoilhanc 1470 1471 Pierre Roigne 1471 1472 Jean Gazeau 1472 1473 Jean Rideau 1473 1474 Jean Favereau 1474 1475 François Herbert 1475 1476 Maurice Claveurier II 1476 1477 Nicolas Boisleve 1477 1478 Léonard de Janoilhac 1478 1479 Pierre Gervain 1479 1480 Louis Garnier 1480 1481 Jean Richard 1481 1482 Louis Chèvredens 1482 1483 Roger Le Roy 1483 1484 Jacques Pasquier 1484 1485 Pierre Durand 1485 1486 Nicolas Royrand 1486 1487 Yves Charlet 1487 1488 Pierre Guivreau 1488 1489 Jean Claveurier 1489 1490 François Bourdin 1490 1491 Christophe Gervier 1491 1493 Jean Favereau 2e et 3e élections 1493 1494 Pierre Prévost 1494 1495 Pierre Roigne 2e élection 1495 1496 Charles Bonnaud 1496 1497 Hilaire Boisleve 1497 1498 Hugues Acton 1498 1499 Joachim Tudert 1499 1500 Maurice Claveurier III 1500 1501 Jacques Beaucé 1501 1502 Jacques de Lymeur 1502 1503 Pierre Thoreau 1503 1504 Jamet Gervain 1504 1505 Jacques Tinteau 1505 1506 Michel Mourraut 1506 1507 Nicolas Claveurier 1507 1508 Simon Herbert 1508 1509 Philippe de la Ruelle 1509 1510 François Doyneau 1510 1511 Jacques Dausseurre 1511 1512 Jean de Péréfixe 1512 1513 Nicolas de Claveurier 2e élection 1513 1514 François Prévost 1514 1515 Jean Guillin 1515 1516 Jean Chèvredens 1516 1517 Pierre Régnier 1517 1518 Jean Bastard 1518 1519 Bertrand Rat 1519 1520 Maurice Vernou 1520 1521 François Fumé 1521 1522 Thomas Mesnagier 1522 1524 André Juge 1re et 2e élections 1524 1526 René Dausseure 1re et 2e élections 1526 1527 Georges Rogier 1527 1528 Jean Rogier 1528 1529 Charles Richard 1529 1530 René Berthelot 1530 1531 Guillaume Rogier 1531 1532 Jean Acton 1532 1533 Nicole Clabat 1533 1534 Jean Crouzilles 1534 1535 François Porcheron 1535 1536 Jean de Brilhac 1536 1537 Jacques Regnault 1537 1538 Antoine Duval 1538 1539 Mathurin Roigne 1539 1540 Pierre Rat 1540 1541 Pierre Prévost 1541 1542 James de Lauzon 1542 1543 Jean Estivalle 1543 1544 Jean Goislard 1544 1545 René Dausseure 3e élection 1545 1546 Guy Le Bascle 1546 1547 Nicolas Fumé 1547 1548 Charles de la Ruelle 1548 1549 Nicolas Prévost 1549 1550 Guillaume de Morennes 1550 1551 Michel Chausseblanche 1551 1552 Philippe Arembert 1552 1553 Pierre Leblanc 1553 1554 Jean Berthé 1554 1555 Jean Caillet 1555 1556 Philippe Lucas 1556 1557 Nicolas d’Elbène 1557 1558 René Dausseure 4e élection 1558 1559 Joachim Rogier 1559 1560 Nicole Le Roy 1560 1561 Jean Palustre 1561 1562 Jacques Le Breton 1562 1562 Jacques Herbert pendu le 7 août
remplacé par le lieutenant de police1563 1564 Pierre Vidard 1564 1566 François Aubert 1re et 2e élections 1566 1568 Maixent Poitevin 1re et 2e élections 1568 1569 François Lucas 1569 1570 Joseph Le Bascle 1570 1571 Hilaire Rogier 1571 1572 François Pastoureau 1572 1573 Jean de La Haye 1573 1574 François de Lauzon 1574 1575 Pierre Courtinier 1575 1576 Pierre Pidoux 1576 1577 Raoul d’Elbène 1577 1578 Pierre Rat 1578 1579 René Mourraut 1579 1580 Gaucher, dit Scévole de Sainte-Marthe Poète 1580 1581 René Arnould 1581 1582 Barthélemy Delavau 1582 1583 Jacques Foucquet 1583 1584 Louis de Sainte-Marthe 1584 1585 René Boisson 1585 1586 François Palustre 1586 1587 Florentin du Ruau 1587 1588 Jacques Clabat 1588 1589 Joseph Le Bascle mort le 18 janvier 1589 1589 Jean Palustre 1589 1590 René Brochard 1590 1591 François Dubois 1591 1592 Jean Chevalier 1592 1593 Mathurin de Belleville 1593 1594 Pierre Pidoux 1594 1595 Maurice Roatin 1595 1596 René Rousseau 1596 1597 Philippe Jouslard 1597 1598 François Fumé 1598 1599 Marc Jarno 1599 1600 Jean Martin 1600 1601 François Gruget 1601 1602 Scévole de Sainte-Marthe 2e élection 1602 1603 François Dreux 1603 1604 André Richard 1604 1605 Jean Goguet 1605 1606 Émery Regnault 1606 1607 René de La Lande 1607 1608 Jean Constant 1608 1609 Mathieu Barbarin 1609 1610 François Laguillier 1610 1611 Nicolas Sochet 1611 1612 Jean Rougier 1612 1613 Pierre Peyraud 1613 1614 Nicolas de Sainte-Marthe 1614 1615 Pierre de Brilhac 1615 1616 Pierre Pidoux 1616 1617 Pierre Lambert 1617 1618 Isaïe Brochard 1618 1619 Jean Pidoux 1619 1620 François de Brilhac 1620 1621 Charles Boynet 1621 1622 René Thoreau 1622 1623 Jacques Mayaud 1623 1624 Jean Poussineau 1624 1625 René Buignon 1625 1626 Pierre Roatin 1626 1627 Charles Irland 1627 1628 Jean Gabriau 1628 1629 René Richeteau 1629 1630 Jacques de Gennes 1630 1631 Julien Cerizier 1631 1632 François Pidoux 1632 1633 François Massard 1633 1634 René de la Coussaye 1634 1635 Jean Robion 1635 1636 Étienne Maquenon 1636 1637 Pierre Guyon 1637 1638 Antoine de Montjon 1638 1639 Étienne Le Maye 1639 1640 François Carré 1640 1641 Jacques Audebert 1641 1642 Jacques Carlouet 1642 1643 Martin Reveau 1643 1644 René Rougier 1644 1645 Jacques Buignon 1645 1646 Isaac Barbarin 1646 1647 François de Razes 1647 1648 Jean Pavin 1648 1649 Jean Richeteau 1649 1650 Jean Coulard 1650 1651 Antoine Rabaut mort le 5 février 1651 1651 Jean Pidoux maire pour la 2e fois
par intérim1651 1652 Jean Reveau 1652 1653 René de La Fontaine 1653 1654 Jacques Augron 1654 1655 Pierre Palisson 1655 1656 Antoine Clabat 1656 1657 René Dupont 1657 1658 Pierre Baron 1658 1659 Louis Richeteau 1659 1660 André Divé 1660 1661 Paul Ogeron 1661 1662 Pierre Fournier 1662 1663 Jean Le Roy 1663 1664 René Citoys 1664 1665 Godefroy Poussineau 1665 1666 Charles Pasquet 1666 1667 François du Tranchet 1667 1668 Louis Chappot 1668 1669 Pierre Thomas 1669 1670 Jacques Ollivier 1670 1673 Jean Gabriau 1re, 2e et 3e élections 1673 1674 Jacques Audebert mort le 7 janvier 1674 1674 Jean Gabriau maire pour la 4e fois 1674 1676 Jean Gabriau 5e et 6e élections 1676 1677 Claude Légier 1677 1678 Pierre de Gennes 1678 1679 Jacques Rabereul 1679 1683 Jacques de Gennes 1re, 2e, 3e et 4e élections 1683 1687 Pierre de Chasaud 1re, 2e, 3e et 4e élections 1687 1690 Jacques Rabereul 1re, 2e et 3e élections 1690 1693 René Le Vacher 1re, 2e et 3e élections 1693 1701 René Varin dit « maire perpétuel »
(8 élections consécutives)1701 1706 Paul du Tiers également « maire perpétuel »
5 élections consécutives1706 1717 François du Tiers son fils, également « maire perpétuel »
11 élections consécutives1717 1722 Jean Poignand 5 élections consécutives 1722 1727 Thibaut Forien 5 élections consécutives 1727 1731 Pierre-Mathieu Babinet 4 élections consécutives 1731 1737 Charles François Blondé 6 élections consécutives 1737 1738 Thibaut Forien 6e élection 1738 1740 Charles François Blondé 7e et 8e élections 1740 1741 Thibaut Forien 7e élection 1741 1747 Élie Forien 6 élections consécutives 1747 1751 Jean-Baptiste Gaborit 4 élections consécutives 1751 1755 François Orré 4 élections consécutives 1755 1759 Jean-Jacques Texier 4 élections consécutives 1759 1763 Jean Razay 4 élections consécutives 1763 1769 Jacques Stinville 8 élections consécutives,
mort le 3 mars 17691769 1773 vacance de la mairie 1773 1784 Léonard François-Xavier Pallu du Parc nommé par brevet 1784 1790 Jean Mathieu Chabiel de Morière
(1743-1805)nommé par commission,
le 6 août 1784Liste des maires de Poitiers de la Révolution française à 1945Liste des maires de Poitiers de la Révolution française à 1945 Période Identité Parti Qualité 1941 1941 Léon Bouchet révoqué pour raison d’âge[18] 3 mars 1941 9 juillet 1941 Daphnis Molinaris conseil municipal révoqué,
car deux conseillers sont francs-maçons[19]1941 1944 Jacques Masteau PRI Avocat Liste des maires depuis 1945[20] Période Identité Parti Qualité 1944 1947 Pierre Guillon Radical Recteur, nommé[21] 1947 1952 Paul Blet Radical Professeur à l’Université de Poitiers 1952 1965 Jacques Masteau Radical indépendant Député, sénateur 1965 1977 Pierre Vertadier UDR Pharmacien, secrétaire d’État, député 1977 2008 Jacques Santrot PS Professeur, ancien député 2008 Alain Claeys PS Enseignant, député Comme le reste de la France, Poitiers connaît une forte contestation sociale au début de 2009 : l’Université conteste la loi LRU, les mouvements de soutien aux sans-papiers se mobilisent contre les expulsions toujours plus nombreuses, les syndicats et le reste de la population manifestent leur très forte inquiétude quant aux suites de la récession suivant la crise des subprimes. Ainsi, la manifestation du 29 janvier rassemble 20 000 personnes, ce qui est un record ; celle du 19 mars, 30 000 personnes, de tous horizons et déterminées[22]. La création d’un comité interluttes a été annoncée à l’issue de la manifestation[1].
Jumelages
- Northampton (Royaume-Uni) depuis 1979
- Marbourg (Allemagne) depuis 1981
- Lafayette (États-Unis) depuis 1975
- Coimbra (Portugal) depuis 1979
- Iaroslavl (Russie) depuis 1970
- Moundou (Tchad) depuis 1990
- Iaşi (Roumanie) depuis 1969
- Eggelsberg (de) (Autriche) depuis 2008
Héraldique
La ville de Poitiers porte:
- D'argent au lion de gueules, à la bordure de sable besantée d'or ; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or.'
C'est le blasonnement qu'on trouve dans le Grand Larousse encyclopédique en 10 volumes.
Malte-Brun, dans la France illustrée, tome V (1884), pour sa part blasonne ainsi :
- D'argent, au lion de gueules, à la bordure de sable, chargée de 12 besants d'or, au chef d'azur, chargé de trois fleurs de lis d'or. (alias:D'or, au lion grimpant de sable, à la bordure du même, chargée de 12 besants d'or, au chef d'azur, semé de fleurs de lis d'or.)
Le chef de France (d'azur à trois fleur de lys d'or) surcharge la partie haute de la bordure et ses trois besants lorsque la ville est rattachée au royaume de France. Elle le conserve sous domination anglaise. Le blasonnement actuel sous-entend une bordure chargées de 8 besants (valeur défaut pour le besanté) contre les 12 de Malte-Brun. De fait, les représentations les plus fréquentes présentent 9 besants visibles, ce qui, avec les trois cachées pas le chef brochant, conforte les 12 besants de Malte-Brun.
Voir aussi
Articles connexes
- Diane de Poitiers
- édit de Poitiers (1577) durant les guerres de religion
Liens externes
- Site officiel de la ville de Poitiers
- Site de l'agglomération de Poitiers
- Site de l'Office de Tourisme
Bibliographie
- Stéphane Blond, Visiter Poitiers, Bordeaux, Éditions Sud Ouest, 2008.
- Poitiers, une histoire culturelle, 1800-1950, ouvrage collectif coordonné par Alain Quella-Villéger, Atlantique, éditions de l'actualité scientifique Poitou-Charentes (espace Mendès-France, Poitiers).
- Hubert Le Roux, Poitiers pas à pas : Son histoire à travers ses rues, ses places, ses monuments, ses hommes célèbres Editions Horvath 42120 le Coteau, 1987 (ISBN 2-7171-0523-9)
- Hubert Le Roux, Poitiers de A à Z : Dictionnaire de Poitiers, ville d'art et d'histoire (rues, lieux-dits, cités, monuments,curiosités, services publics ...) Poitiers, 1976.
Sources
- Robert Favreau, Régis Rech et Yves-Jean Riou (directeurs), Bonnes villes du Poitou et des pays charentais (XIIe-XVIIIe siècles) : Actes du colloque tenu à Saint-Jean-d’Angély les 24-25 septembre 1999, publiés par la Société des antiquaires de l'Ouest in Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest et des Musées de Poitiers, 5e série, tome VIII (2002), à Poitiers (ISBN 2-9519441-0-1)
Notes et références
- ↑ La traduction occitane du toponyme serait Peitius
- ↑ Poitevin sur le Trésor informatisé de la langue française ; consulté le 1er juin 2008
- ↑ Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 17/07/2008.
- ↑ Les 12 communes de la CAP
- ↑ Lambert P.Y., La langue gauloise, p.35 et 92, Errance (ISBN 2-87772-089-6)
- ↑ André Chédeville, « Le mouvement communal en France aux XIe et XIIe siècles, ses éléments constitutifs et ses relations avec le pouvoir royal » in Robert Favreau, Régis Rech et Yves-Jean Riou (directeurs), Bonnes villes du Poitou et des pays charentais (XIIe-XVIIIe siècles) : Actes du colloque tenu à Saint-Jean-d’Angély les 24-25 septembre 1999, publiés par la Société des antiquaires de l'Ouest in Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest et des Musées de Poitiers, 5e série, tome VIII (2002), à Poitiers (ISBN 2-9519441-0-1), p. 12
- ↑ André Chédeville, Le mouvement communal en France..., p 20
- ↑ André Chédeville, Le mouvement communal en France..., p 21
- ↑ Robert Favreau, « Naissance des communes en Poitou, Aunis, Saintonge et Angoumois », in Robert Favreau, Régis Rech et Yves-Jean Riou (directeurs), Bonnes villes du Poitou et des pays charentais (XIIe-XVIIIe siècles) : Actes du colloque tenu à Saint-Jean-d’Angély les 24-25 septembre 1999, publiés par la Société des antiquaires de l'Ouest in Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest et des Musées de Poitiers, 5e série, tome VIII (2002), à Poitiers (ISBN 2-9519441-0-1), p. 160
- ↑ http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
- ↑ INSEE : Population depuis le recensement de 1962
- ↑ Georges Duby, Histoire de la France urbaine, la ville médiévale, Seuil (ISBN 2-02-005666-6)
- ↑ a et b Élizabeth Royez, « Et l’hôtel de ville fut... », Centre-Presse, samedi 25-dimanche 26 avril 2009, p 10
- ↑ Site de l'université de Poitiers
- ↑ Martine Chapouton, « Un collège exclusivement réservé aux garçons, à Poitiers », Riposte laïque, publié le 21 septembre, consulté le 25 septembre 2009
- ↑ [[Robert Favreau (historien)|]] et Jean-Marc Roger, « Les Archives municipales de Poitiers antérieures à la Révolution », in Robert Favreau, Régis Rech et Yves-Jean Riou (directeurs), Bonnes villes du Poitou et des pays charentais (XIIe-XVIIIe siècles) : Actes du colloque tenu à Saint-Jean-d’Angély les 24-25 septembre 1999, publiés par la Société des antiquaires de l'Ouest in Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest et des Musées de Poitiers, 5e série, tome VIII (2002), à Poitiers (ISBN 2-9519441-0-1), p. 445-455
- ↑ Homonyme du précédent
- ↑ Jean-Henri Calmon, Occupation, Résistance et Libération dans la Vienne en 30 questions, Geste éditions, coll. « 30 questions », Jean-Clément Martin (dir.), La Crèche, 2000, 63 p. (ISBN 2-910919-98-6), p 19
- ↑ Ibid.
- ↑ Sources : Denys Frétier. L’homme aux quatre maires. La Nouvelle-République, n° des 10-11 décembre 2007 (avec Paul Vertadier (sic)) pour les quatre maires d’après-guerre
- ↑ Jean Henri Calmon, op. cit., p 55
- ↑ Didier Monteil, « Plus fort que l’anti-CPE et le 29 janvier », La Nouvelle-République, no du 20 mars 2009, p 43
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