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Niozelles
Eglise de Niozelles
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Forcalquier Canton Forcalquier Code commune 04138 Code postal 04300 Maire
Mandat en coursPaul Romand
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du pays de Forcalquier et montagne de Lure Démographie Population 233 hab. (2008) Densité 22 hab./km² Gentilé Niozellens Géographie Coordonnées Altitudes mini. 354 m — maxi. 603 m Superficie 10,47 km2 Niozelles est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Niozellens.[1]
Sommaire
Géographie
Ce petit village de 233 habitants est situé à 5 km de Forcalquier, dans la vallée du Beveron.
Le village est l'un des soixante-dix-sept membres du parc naturel régional du Luberon, parc qui s'étend sur deux départements, le Vaucluse (84) et les Alpes-de-Haute-Provence (04). Il s'étend sur quatre-vingt-cinq communes mais il n'accueille que soixante-dix-sept communes adhérentes en 2009 et 167 676 habitants en 2006. Il a une superficie de 185 145 hectares et s'étend de Cavaillon à l'ouest jusqu'à la limite du parc naturel régional du Verdon à l'est, la Durance faisant office de frontière entre les deux. Au nord, le Luberon est bordé par les vallées du Coulon-Calavon et du Largue, où l'on distingue le bassin d'Apt, à l'ouest, de celui de Manosque-Forcalquier, à l'est. Toujours vers le nord, les monts de Vaucluse servent de contreforts aux massifs du Ventoux et de Lure. Vers le sud, le Luberon domine le bassin de la Durance et le pays d'Aigues.
Le village est sur un site perché, dans le parc naturel régional du Luberon.
Hydrographie
La commune est traversée par le Lauzon[2], cours d'eau de 25,2 km, sous affluent de la Durance, via l'Asse. Le Beveron[3], ruisseau de 14,9 km, rejoint le Lauzon à Niozelles.
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Les cantons de Banon, La Motte-du-Caire, Noyers-sur-Jabron sont classés en Zone 1a (risque très faible), ceux d'Allos-Colmars, Barcelonnette, Le Lauzet-Ubaye, Annot, Castellane, Saint-André-les-Alpes, Barrème, Digne-Est, Digne-Ouest, La Javie, Mézel, Moustiers-Sainte-Marie, Riez, Seyne, Forcalquier, Reillanne, Saint-Étienne-les-Orgues, Sisteron, Turriers et Volonne, en Zone 1b (risque faible) et ceux d'Entrevaux, Les Mées, Valensole, Manosque-Nord, Manosque-Sud-Est, Manosque-Sud-Ouest et Peyruis, en Zone 2 (risque moyen)[4].
Géologie
Article connexe : Géologie des Alpes.Le territoire se situe dans les Monts de Vaucluse, sur des formations calcaires provençales du Jurassique supérieur et du Crétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin), entre plusieurs formations géologiques majeures des Alpes[5] :
- le massif des Baronnies au nord ;
- la faille de la Durance au sud-ouest, dans la vallée ;
- le Plateau de Valensole à l'est : bassin molassique du Miocène et du Pliocène composé de roches sédimentaires détritiques (dépôts liés à l'érosion des montagnes apparues à l'Oligocène).
- le massif du Luberon au sud.
Climat
Article détaillé : Climat des Alpes-de-Haute-Provence.Niozelles n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Villeneuve[6].
Communes limitrophes[7]
Accès
Niozelles est traversée par la Route nationale 100.
Gares SNCF à La Brillanne-Oraison à 5 km et Manosque - Gréoux-les-Bains à 13 km, toutes les deux sur la ligne Lyon-Perrache - Marseille-Saint-Charles (via Grenoble).
Distance des grandes villes françaises
L'orientation et la localisation de Niozelles par rapport à quelques grandes villes françaises sont données dans le tableau suivant. Distance à vol d'oiseau[8] :
Ville Marseille Nice Montpellier Lyon Toulouse Bordeaux Strasbourg Paris Nantes Rennes Lille Distance Orientation
80 km (S)
118 km (S-E)
162 km (S-O)
218 km (N)
355 km (O)
521 km (O)
538 km (N-E)
611 km (N)
684 km (N-O)
743 km (N-0)
774 km (N)
Toponymie
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1030 (Nuacellas)[9]. Selon Ernest Nègre, ce nom est un composé des termes occitan Nyos (nuages), et cèlas, couvents : le couvent des nuages[10].
Histoire
La voie domitienne traverse la commune.
Moyen Âge
Quelques années avant l’An Mil, la butte sur laquelle était construite une vaste maison devient une motte castrale. La butte est agrandie par l’apport de 1 600 m³ de terre, et une tour est construite ; une palissade entoure la motte (diamètre de 22 m). Les bâtiments utilitaires compris dans l’enceinte, celle-ci et la tour constituent un petit château, embryon de domaine seigneurial, qui est occupé jusqu’au début des années 1030. Le château perd ensuite sa fonction militaire pour abriter un pressoir à huile[11].
Au XIe au XIIIe siècles, l’église Sainte-Marie du Vieux-Niozelles appartenait à l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, qui en percevait les revenus[12]. La seigneurie appartient à la famille de Sabran (XIVe siècle), puis aux Bouliers (XVIe siècle), et enfin aux Glandevès (XVIIe et XVIIIe siècles)[13].
Lors du dénombrement de 1471, le village est abandonné.
Successivement fief des familles de Sabran, d'Agoult (XVe), de Bouliers (fin XVe), de Joye (XVe), de Matheaud de Joye, de Bouliers (XVIe), de Castellane (XVIe/XVIIe) et de Glandevès (XVIIe/XVIIIe) "in" Agnel Giacomoni "les seigneurs de Niozelles"
Révolution française
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[14]. Les tours du château sont détruites à cette époque[15].
Politique et administration
Administration municipale
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 11 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[16]). Lors du scrutin de 2008, il n’y eut qu’un seul tour et Paul Romand a été réélu conseiller municipal avec le septième total de 137 voix, soit 85,63 % des suffrages exprimés. La participation a été de 80,40 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[17].
Listes des maires
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du 3 juillet 1848 à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 2001 réélu en 2008[18] Paul Romand[19],[20] DVG Instances judiciaires et administratives
Niozelles est une des dix communes du canton de Forcalquier, qui totalise 12 746 habitants en 2006. Le canton a fait partie de l’arrondissement de Forcalquier depuis le 17 février 1800 et de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Niozelles fait partie du canton de Forcalquier depuis 1793[21]. La commune fait partie des juridictions d’instance de Forcalquier, de la prud'hommale de Manosque, et de grande instance de Digne-les-Bains[22].
Environnement
Déchetterie la plus proche à Pierrerue à 2 3 km.
Fiscalité
L'imposition des ménages et des entreprises à Niozelles en 2009[23] Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 10,00 % 0,00 % 5,53 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 15,00 % 0,00 % 14,49 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 40,00 % 0,00 % 47,16 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 0,00 % 21,00 % 10,80 % 3,84 % La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[24]).
Population et société
Démographie
Superficie et population
Le village de Niozelles a une superficie de 1 047 ha et une population de 239 habitants, ce qui la classe[30] :
Rang Superficie Population Densité France 25 094e 18 927e 24 743e Provence-Alpes-Côte-d'Azur 701e 801e 539e Alpes-de-Haute-Provence 101e 181e 45e Arrondissement de Forcalquier 47e 74e 30e Canton de Forcalquier 10e 8e 8e Enseignement
La commune est dotée d’une école maternelle, mais pas d'une école primaire publique[31],[32]. Ensuite, les élèves sont affectés au collège Henri-Laugier à Forcalquier[33]. Puis les élèves sont dirigés vers les lycées de Manosque[34], soit le lycée polyvalent Les Iscles[35], soit le lycée polyvalent Félix-Esclangon[36].
Santé
La commune dépend de l'hôpital local de Forcalquier nommé Saint-Michel[37] et aussi un laboratoire d'Analyses médicales[38]. Selon le magazine l'Express, l'hôpital Saint-Michel fait partie des hôpitaux les plus sûrs de France avec une note de 82,2 sur 100 (classe A) et se classe 63e au plan national et 2e au niveau départemental[39]. La commune dispose aussi, de trois maisons de retraite (Lou Ben Estre, Lou Seren et Saint-Michel)[40].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 17 519 €, ce qui plaçait Niozelles au 14 835e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[41].
Agriculture
La commune de Niozelles possède trois labels Appellation d'origine contrôlée (AOC) (Banon, Huile d'olive de Provence et Huile d'olive de Haute-Provence) et neuf labels Indication géographique protégée (IGP) (Petit épeautre, Miel de Provence, Agneau de Sisteron, Alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de Méditerranée blanc, rouge et rosé)[42].
Petit épeautre
Le petit épeautre est un blé rustique dont les archéologues ont retrouvé la trace dans des couches datées de 9 000 ans avant notre ère. Cette céréale se complait dans des sols pauvres et accepte des hivers longs et froids[a 1]. Elle se sème en septembre-octobre et son cycle végétatif est de onze mois[a 2]. Cette culture, très populaire sur les contreforts de la montagne de Lure jusqu'au XIXe siècle, a été reprise dans les années 1980. Dans le cadre de la SICA « Céréales Ventoux », une cinquantaine de producteurs approvisionnent un marché qui absorbe 200 tonnes/an[a 2].
Agneau de Sisteron
L'agneau de Sisteron est un agneau élevé sous la mère et originaire des Alpes provençales et de la Drôme provençale pendant 60 jours minimum, ayant un âge compris entre 70 et 150 jours et pesant près de 13 à 19 kg. Issus d'élevages traditionnels, avec des mères de races Mérinos d'Arles, Mourérous ou Préalpes du Sud qui les allaitent au moins pendant deux mois, sur un espace pastoral comptant moins de 10 brebis à l'hectare et comportant au minimum 10 hectares de parcours[43], ces agneaux ont droit, sous le contrôle l'INAO, au label rouge agneau de Sisteron accordé par un décret gouvernemental en date du 3 janvier 2005[44],[45].
Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[46].
Fromage de Banon
Le banon est protégé par une AOC depuis 2003. C'est le premier fromage de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur à obtenir une appellation d'origine contrôlée. L'INAO a donné son accord pour sélectionner selon les « usages locaux, loyaux et constants » 179 communes dont la production du lait des élevages de chèvre de races provençale, rove et alpine peut revendiquer l'appellation, dont 111 dans les Alpes-de-Haute-Provence, 33 dans les Hautes-Alpes, 21 dans la Drôme et 14 dans le Vaucluse.
C'est un fromage à pâte molle à croûte naturelle, élaboré à partir de la technique du caillé doux et moulé à la louche avant d'être emmitouflé dans des feuilles de châtaigniers brunes et liées par un brin de raphia naturel[47]. Il est auparavant trempé dans de l'alcool pour éviter les moisissures.
Miel de Provence
Le miel de Provence est protégé par un label rouge associé à une indication géographique protégée tant pour le miel toutes fleurs que pour le miel de lavande et lavandin[48]. L'apiculture mobilise nombre de producteurs. Ils sont estimés à 4 500, dont 700 possèdent entre 70 et 150 ruches. La production régionale est de 2 000 t/an, soit 8 % de la production nationale[49]. Nombre d'entre eux pratiquent la transhumance selon un trajet allant du littoral vers la Haute-Provence. L'été est la saison privilégiée pour le miel de lavande et les ruches sont installées dans une zone limitée au nord par une ligne Montélimar / Digne, avec au sud le mont Ventoux, le plateau d'Albion, la montagne de Lure, les monts de Vaucluse et le massif du Luberon. Le miel toutes fleurs est élaboré dans une vaste zone limitée par Nîmes, Montélimar, Gap, Digne, Nice, Toulon, Marseille et Avignon[50].
Huile d'olive de Provence AOC
L'huile d'olive de Provence est protégée par une appellation d'origine contrôlée (AOC) à la suite d'une enquête diligentée par l'INAO, dont les conclusions ont été déposées auprès de la commission le 26 octobre 2006, réunie à Arles, et la signature du décret paru au Journal officiel le 14 mars 2007[51].
Pour pouvoir postuler à l'AOC, l'huile d'olive de Provence doit être élaborée à base des variétés aglandau, bouteillan, cayon, salonenque ainsi que celles dénommées localement brun, cayet, petit ribier et belgentiéroise. Il faut au moins deux de ces variétés principales présentes au sein de l'oliveraie[51],[52].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le château, au milieu du village, est une résidence seigneuriale massive, de plan rectangulaire. Une des deux tours d’angle de la façade a disparu. Les ouvertures sont toutes cintrées. La clef de voûte du portail, qui donne sur la cour en arrière du château, porte la date de 1768, ce qui correspond au style du château[53].
Il subsiste, à proximité de la Vieille Église (ferme), la base d’une tour du XIIIe siècle, sur un éperon rocheux. Il est possible que le vieux Niozelles se soit construit contre la tour[54].
L’église paroissiale, placée sous l’invocation de l’Invention de saint Étienne martyr et le patronnage de saint Alban et saint Candide, est datée de 1681 pour la nef à deux travées voûtées d’arêtes et la façade. Le chœur et le bas-côté droit, voûtés sous croisées d’ogives, remontent à un état antérieur, probablement au XVIe siècle[55]. Le clocher est logé dans une tour construite contre le chœur[56].
- église Saint-Alban
- moulin,
- château des XVIe et XVIIIe siècles
- le donjon du XIIIe siècle à la Vieille-Église (site de l'ancien village, en ruines)
Personnalités liées à la commune
- Gaspard de Glandevès-Niozelles, né à Marseille en 1624 et mort à Niozelles en 1714. Ce chef du parti populaire lors de la Fronde marseillaise était un des membres de la maison de Glandevès[57]
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
de sable au nom de NIOZELLES, écrit en caractères d’argent, et posé en fasce[58]Pour approfondir
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
- Agnel Giacomoni, Histoire et généalogie de la maison de Glandevès
Liens internes
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Huile d'olive de Provence AOC
Liens externes
Notes et références
Références bibliographique
- Guy Barruol, Nerte Dautier, Bernard Mondon (coord.), Le mont Ventoux. Encyclopédie d'une montagne provençale
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 123
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 124
Références
- (fr) Habitants de Niozelles sur habitants.fr
- Fiche du LAUZON sur le site du SANDRE
- Fiche du BEVERON sur le site du SANDRE
- Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
- Les chaînons de Digne, Carte très schématique, montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale), par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- (fr) Station météo la plus proche : Villeneuve, MSN Météo
- le site du pays de Forcalquier-Montagne de Lure, consultée le 22 octobre 2008 Carte de la communauté de communes sur
- (fr) Distance entre Niozelles et les plus grandes villes Françaises, Annuaire Mairie
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7)
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume III : Formations dialectales (suite) ; formations françaises § 27283, p 1509
- Parc naturel du Luberon, Autour de l’An Mil en pays de Forcalquier, catalogue d’exposition, 2007, p 33
- ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p 223 Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », inGuy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 187 Sous la direction d’
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires », La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 243
- (fr) nombre des membres du conseil municipal des communes, Legifrance
- Résultats élections municipales 2008 à Niozelles sur linternaute.com
- Site de la préfecture des AHP
- Arlette Laguiller (LO) à l’élection présidentielle de 2007, cf Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010 Paul Romand est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’
- Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007
- (fr) Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales
- (fr) Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence, Ministère de la Justice et des Libertés
- (fr) Impots locaux à Niozelles, taxes.com
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009 Insee,
- Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010 Insee,
- (fr) Populations légales 2008 de la commune de Niozelles, INSEE
- Niozelles sur le site de l'Insee
- notice communale de Niozelles sur la base de données Cassini, consultée le 27 juillet 2009 EHESS,
- (fr) Classement des villes : Niozelles, Annuaire des Mairies
- (fr) Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des écoles de la circonscription de Sisteron-Sud, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010 Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence,
- (fr) Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 8 novembre 2004
- (fr) Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Site du lycée Les Iscles, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Site du lycée Félix-Esclangon, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Site de l'hopital sur etablissements.hopital.fr
- (fr) Liste des laboratoires d'analyses sur annuairesante.com
- (fr) www.lexpress.fr classement des hôpitaux locaux français, l'Express
- (fr) http://www.3evie.com Maisons de retraite sur Forcalquier sur 3evie.com
- CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl sur le site de l'Insee. Consulté le 6 novembre 2010
- (fr) Liste des appellations AOC et IGP à Niozelles sur INAO
- (fr) Site officiel de l'agneau de Sisteron sur agneaudesisteron.fr
- (fr) Homologation agneau de Sisteron du 3 janvier 2005 sur agneaudesisteron.fr
- (fr) Fiche de l'IGP Label Rouge Agneau de Sisteron, INAO, 20 février 2007
- Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 751.
- Bernard Teyssandier, Connaître les fromages de France du terroir à la table, éditions Jean-Paul Gisserot, 1994, p. 63.
- Site légifrance relatif à la parution au JO de l'arrêté du 30 juillet 2009
- Les apiculteurs en Provence
- La transhumance des ruches provençales
- Décret du 14 mars 2007 relatif à l'huile d'olive de Provence AOC, INAO
- Les variétés d'olives
- op. cit., p 268 Raymond Collier,
- Raymond Collier, op. cit., p 312
- Raymond Collier, op. cit., p 173-174
- Raymond Collier, op. cit., p 222
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 144 Sous la direction d’
- Louis de Bresc Armorial des communes de Provence 1866. Réédition - Marcel Petit CPM - Raphèle-lès-Arles 1994
Catégories :- Commune des Alpes-de-Haute-Provence
- Commune membre du Parc naturel régional du Luberon
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