- Sainte-Tulle
-
Sainte-Tulle
Pont pétrifié, parc Max-Trouche de Sainte-Tulle
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Forcalquier Canton Manosque-Sud-Est Code commune 04197 Code postal 04220 Maire
Mandat en coursRémy Charpy
2009-2014Intercommunalité Communauté de communes Sud 04 Démographie Population 3 247 hab. (2007) Densité 190 hab./km² Gentilé Tullésains Géographie Coordonnées Altitudes mini. 269 m — maxi. 521 m Superficie 17,07 km2 Sainte-Tulle (Santa Túlia en provençal selon la norme classique et Santo Tùli selon la norme mistralienne) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Tullésains.
Sommaire
Géographie
Le village est situé à 299 m d’altitude[1].
Relief
Géologie
Hydrologie
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Les cantons de Banon, La Motte-du-Caire, Noyers-sur-Jabron sont classés en Zone 1a (risque très faible), ceux d'Allos-Colmars, Barcelonnette, Le Lauzet-Ubaye, Annot, Castellane, Saint-André-les-Alpes, Barrème, Digne-Est, Digne-Ouest, La Javie, Mézel, Moustiers-Sainte-Marie, Riez, Seyne, Forcalquier, Reillanne, Saint-Étienne-les-Orgues, Sisteron, Turriers et Volonne, en Zone 1b (risque faible) et ceux d'Entrevaux, Les Mées, Valensole, Manosque-Nord, Manosque-Sud-Est, Manosque-Sud-Ouest et Peyruis, en Zone 2 (risque moyen)[2].
Climatologie
Voies de communication et transports
Voies routières
Sainte-Tulle est située sur l'ancienne RN 96 (actuelle RD 4096), qui relie Château-Arnoux-Saint-Auban à Aubagne.
Sainte-Tulle est à 8 kilomètres de la bretelle autoroutière de Manosque (sortie 18) située sur l'autoroute A51 qui assure une communication rapide vers le sud en direction d'Aix-en-Provence et de Marseille et vers le nord en direction de Gap et de Sisteron.
Les accès secondaires sont assurés par la RD 105 au nord, qui rejoint à Pierrevert.
Services autocars
Sainte-Tulle est desservie par trois lignes express régionales LER Provence-Alpes-Côte d'Azur[3] qui sont les suivantes:
- ligne 25: Marseille ↔ Sainte-Tulle ↔ Manosque ↔ Forcalquier ↔ (Barcelonnette)[4]
- ligne 28: Marseille ↔ Sainte-Tulle ↔ Manosque ↔ Digne-les-Bains ↔ (Barcelonnette)[5]
- ligne 29: Marseille ↔ Sainte-Tulle ↔ Manosque ↔ Gap ↔ Briançon[6]
Le village est aussi reliée par une ligne départementale[7].
- ligne Corbières ↔ Sainte-Tulle ↔ Pierrevert ↔ Manosque
Transports ferroviaires
La gare SNCF la plus proche est celle de Manosque - Gréoux-les-Bains situé à 5 kilomètres de Sainte-Tulle, desservie par les TER de la ligne Lyon-Perrache - Marseille-Saint-Charles (via Grenoble).
La gare TGV la plus proche de Sainte-Tulle est celle d'Aix-en-Provence TGV.
Histoire
La présence humaine à l'époque préhistorique puis pendant la période gallo-romaine à Sainte-Tulle est attestée en de nombreux endroits, tant en colline qu'en plaine, par la présence de vestiges de ces époques (outils en pierre, sépultures, monnaies, poteries...). Le nom romain du village, situé sur un carrefour de routes, peut être Bormonicum[1].
Du XIe au XVe siècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possède un prieuré (actuelle chapelle à l’écart du village) et l’église paroissiale jusqu’au XIIIe siècle[8]. Le fief est détenu par les Villemus (XIIIe-XVe siècles), puis les Glandevès (XVIe siècle), les Oraison au XVIe siècle et enfin les Valbelle jusqu’à la Révolution[9].
Le village est ravagé par la peste noire de 1348 et, quelques décennies plus tard, par le passage répété de bandes de pillards qui anéantissent les derniers survivants. Le village fantôme est repeuplé au milieu du XVe siècle par Jean de Villemus, seigneur de Sainte-Tulle, qui fait venir des étrangers (Piémontais, Savoyards...) ;
Pendant les guerres de religion, en avril 1590, la bataille de Sainte-Tulle est particulièrement meurtrière, au passage de la Durance, un peu au-dessous du village, et fait plus de 500 victimes.
En 1609, les sources de Combe Loubière — actuellement quartier de Prévérend — sont captées et leurs eaux sont conduites dans le village par une canalisation de 2 km jusqu'à la fontaine Plus-haute (fontaine Ronde). En 1670, le Grand chemin royal " venant des villes de Marseille et Aix pour aller dans les provinces du Dauphiné et ailleurs " est dévié par le village grâce à un pont à deux arches en pierres de taille de Mane sur le torrent du Chaffère ainsi que, l'année suivante, la construction — aux frais de la communauté — d'un nouveau Grand logis (hôtel-restaurant) pour le compte du seigneur.
L’épidémie de peste de 1720, partie de Marseille, se propagea un peu partout en Provence et emporta en quelques semaines à Sainte-Tulle 426 personnes sur une population de 810 habitants.
Le pont à deux arches sur le Chaffère est emporté par une crue soudaine, le 26 août 1743.
Durant la Révolution, les terres communales des iscles de la Durance sont distribuées à tous les habitants en 1792 et le château seigneurial est incendié le dimanche 3 septembre de la même année. La commune compte une société patriotique, créée courant 1791. Elle est affiliée au club des Jacobins de Paris[10]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Tulle-les-Durance[11].
La ville s’insurge contre le coup d’État de Napoléon III. 44 personnes furent passées en jugement et 17 d'entre elles condamnées à la déportation en Algérie.
Au XIXe siècle, Sainte-Tulle joue un rôle prééminent dans le domaine de la sériciculture (élevage des vers à soie)[9] avec la réalisation d'une magnanerie expérimentale et la conduite de recherches scientifiques sur les maladies des vers à soie (Eugène Robert). La construction d’une centrale de production d’électricité thermique en 1919, puis d’une centrale hydroélectrique en 1922, remplacée par une plus moderne en 1965 dans le cadre de l’aménagement hydroélectrique Durance-Verdon[12], l’ouverture de l’École des métiers (EDF) en 1958 ainsi que la mise en place du Poste commun de commande des barrages du Verdon et de la Durance en 1981 sont aussi des dates importantes pour la vie de ce village.
L’excellence de sa politique édilitaire en matière d’équipements (théâtre, école, mairie, installations sportives et touristiques) lui vaut le prix du village moderne, en 1931[1].
Toponymie
Le nom du village apparaît pour la première fois au XIe siècle (Sancta Tulia), d’après le nom de la martyre Tullia, fille de saint Eucher, sous sa forme occitane, qui a été francisée par la suite[13].
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
D'azur aux deux lettres capitales S et T d'or en chef et une rose d'argent en pointe[14].Économie
Une centrale hydroélectrique utilisant les eaux de la Durance est implantée sur la commune depuis 1965[15].
Administration
Intercommunalité
Sainte-Tulle fait partie de la Communauté de communes Sud 04 dont elle est le siège.
Cette intercommunalité est composée des communes suivantes :
Corbières, Pierrevert et Sainte-Tulle
Municipalité
Liste des maires de la Révolution française à la LibérationListe des maires de 1790 à 1944 Période Identité Étiquette Qualité 1925 1938 Max Trouche 1938 1941 Jean Gondran 1941 1943 Jules Arnaud 1943 1944 Maurice Grosjean délégué spécial Liste des maires depuis la Libération Période Identité Étiquette Qualité 1944 1945 Jean Nicolas Comité local de libération 1945 1947 Auguste Boulard 1947 1949 Émile Gibert 1949 1953 Henri Fluchère 1953 1978 Pierre Girardot PCF Député 1978 1989 Henri Rocca PCF Conseiller général du canton de Manosque-Sud-Est (1985-1992) 1989 2001 Mario Denadai[16] PCF Conseiller général du canton de Manosque-Sud-Est (1992-2003) 2001 2009 Yannick Philipponneau[17],[18] PCF[19] Conseiller général du Canton de Manosque-Sud-Est depuis 2003,
démissionne de la mairie en 20092009 en cours Rémy Charpy[20] PCF Enseignement
La commune est dotée de cinq établissements d’enseignement :
- quatre écoles, deux primaires et deux maternelles[21] ;
- le collège Pierre Girardot[22].
Politique environnementale
Sainte-Tulle est classé deux fleurs au concours des villes et villages fleuris.
Démographie
Courbe d'évolution démographique de Sainte-Tulle depuis 1793
Lieux et monuments
Les lavoirs de la fontaine Plus-basse, construits à la fin du XVIIIe siècle et couverts en 1864-1865, sont les plus grands du département. Construits en contrebas de la place Jean-Jaurès, ils comprennent deux galeries[27] :
- l’une de cinq travées contient cinq bassins étroits ; l’eau qui y coule de robinets muraux passe ensuite sous le sol pour rejoindre les bassins transversaux ;
- l’autre galerie, de trois travées, abrite trois longs bassins transversaux.
L’église du village a été construite en 1587, sur le modèle de l’église des Carmes à Manosque, à l'emplacement de l'ancienne église qui s'était effondrée par suite des guerres de religion. Au-dessus de la porte, un grand clocher-arcade supporte trois cloches, dont une est datée de 1603 et classée monument historique au titre objet[28]. Sa nef de quatre travées voûtées d’arêtes, débouchant dans une abside semi-circulaire, placée sous un arc ogival[29]. Elle a des parties du XIVe et du XVIIIe siècle[1]. Cette église est placée sous le vocable de Notre-Dame et de saint Blaise[9].
- La tour de l'horloge (1544).
- La fontaine Ronde ou fontaine Plus-haute (1609[30]).
- Le Grand logis et son moulin à huile (1671).
- Le centre Maurice Mollet (probablement fin XVIIe siècle).
- Chapelles[31] :
- l’ancienne chapelle Sainte-Consorce à l’Escale (proche du pont Mirabeau), avait une crypte. Elle a été démolie dans les années 1960 ;
- Chapelle des Pénitents (face à l’église).
- Le théâtre municipal, la mairie et l'école Max-Trouche construits dans les années 1930.
- Le parc municipal Max-Trouche, lieu de détente et de promenade.
- La fontaine recouverte de mousse derrière les terrains de tennis[32].
- Le boulodrome[33].
Sainte-Tulle possède aussi un antiphonaire sur parchemin daté de 1704[1],[34] — œuvre unique classée monument historique en 1907[35] — orné d'abondantes miniatures polychromes et de lettres dorées à l'or fin. Il fut offert au début du XVIIIe siècle au curé de cette paroisse par un prêtre de Néoules.
La chapelle à crypte
La chapelle Sainte-Tulle, au sud du bourg, sur le bord de la Chaffère, est une des quelques chapelles médiévales à crypte en milieu rural de Provence[36]. Les auteurs hésitent entre une datation haute (VIIIe-IXe siècles[1]) ou basse (XIIe siècle (Raymond Collier, mais avec hésitation, étant donné sa construction extrêmement fruste avec peu d’éléments de datation[37]). La documentation n’en fait mention qu’à la fin du XIe siècle au plus tôt, en 1119 de façon certaine[36].
La chapelle est construite sur un terrain vierge à l’époque, et ses dimensions d'origine, assez vastes, laissent penser à un pèlerinage, le culte de sainte Tulle de Manosque se répandant à cette époque[36]. La crypte est creusée dans le roc. Elle est constituée de trois salles en plein cintre qui ont servi à des inhumations entre le XIIe et le XIVe siècle, les tombes fouillées ayant livré des traces d’abondants bouquets de fleurs déposés sur les défunts[36]. La chapelle fut endommagée puis reconstruite à plusieurs reprises (la dernière fois au XVIIIe siècle). Cette chapelle, vendue pendant la Révolution de 1789 fut rachetée et restaurée par la fabrique de l'église de Sainte-Tulle dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Les deux collatéraux qui dataient du Moyen Âge ont été détruits vers 1850[38]. La nef subsistante, à deux travées, débouche dans une abside semi-circulaire en cul-de-four. Il est vraisemblable que la nef ait été plus longue à l’origine[36]. Elle appartient maintenant à la commune.
Personnalités liées à la commune
Pour approfondir
Articles de Wikipédia
- Anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Aménagement hydroélectrique Durance-Verdon
- Huile d'olive de Provence AOC
Liens externes
- Site officiel de Sainte Tulle
- Antiphonaire de Sainte-Tulle
- Histoire de sainte Tulle, patronne de la commune qui porte ce nom... précédée et suivie de fragments historiques, par Louis-Joseph-Marie Robert (1843). Texte intégral en ligne
Bibliographie
- Christian Blanc, Les Lavoirs de la fontaine Plus-Basse, Association Rancure, 1998.
- Christian Blanc, Mémoire d'une forêt, Parc naturel régional du Luberon, 2 tomes, 2005.
- Christian Blanc, Marc Donato, Jean Vivoli, Sainte-Tulle, un village pendant la Révolution, association Tétéa Durance Luberon, 1989.
- Andrée Courtemanche, Repeuplement et immigration à Sainte-Tulle pendant la seconde moitié du XVe siècle (1447-1480), Québec, décembre 1992.
Sources
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
Notes
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7)
- Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
- Info LER PACA
- Horaires et tarifs LER Ligne 25
- Horaires et tarifs LER Ligne 28
- Horaires et tarifs LER Ligne 29
- Conseil Général 04 Réseau transport bassin Manosque
- ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p 229 Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », inGuy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 199 Sous la direction d’
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-301
- Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 114
- ISBN 2-7089-9503-0, p 152 Jean-Paul Clébert et Jean-Pierre Rouyer, La Durance, Privat, Toulouse, 1991, dans la collection Rivières et vallées de France,
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume III : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, § 28635, p 1643
- Banque du Blason
- Clébert & Rouyer, La Durance, op. cit., p 152
- Robert Hue (PCF) à l’élection présidentielle de 1995Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1995, page 5736, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010 Mario Denadai est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de
- Robert Hue (PCF) à l’élection présidentielle de 2002, cf Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002 ; il a ensuite parrainé celle de Marie-George Buffet (du même parti) à l’élection présidentielle de 2007, cf Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007 Yannick Philipponneau est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de
- site de la préfecture des AHP Pour l’élection de 2008, voir le
- liste des maires communistes, publiée le 6 mars 2008 (sic), consultée le 25 septembre 2010 Parti communiste français,
- « Rémy Charpy, le militant d'hier aujourd'hui devenu maire », La Provence, 31 mars 2009.
- Liste des écoles de la circonscription de Manosque, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010 Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence,
- Liste des collèges publics, publiée le 6 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010 Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence,
- Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009 Insee,
- Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010 Insee,
- Sainte-Tulle sur le site de l'Insee
- notice communale de Sainte-Tulle sur la base de données Cassini, consultée le 31 juillet 2009 EHESS,
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 429
- notice de la Base Palissy, consultée le 10 décembre 2008 Arrêté du 20 juin 1990,
- Raymond Collier, op. cit., p 219-220
- Raymond Collier, op. cit., p 427
- Raymond Collier, op. cit., p 403 et 409
- Quelques photos de la fontaine.
- Photographie ancienne du boulodrome.
- Raymond Collier, op. cit., p 534
- notice de la Base Palissy, consultée le 10 décembre 2008 Arrêté du 4 avril 1907,
- « Sainte-Tulle », in Archéologie médiévale, Éditions du CNRS, 2009, tome 39, p. 218-219
- Raymond Collier, op. cit., p 45
- Rémi Fixot, « Sainte-Tulle », in Archéologie médiévale, éditions du CNRS, 2007, tome 37, p. 238
Catégories :- Commune des Alpes-de-Haute-Provence
- Commune membre du Parc naturel régional du Luberon
- Ancien chef-lieu de canton des Alpes-de-Haute-Provence
- Villes et villages fleuris
Wikimedia Foundation. 2010.