Melve

Melve
Page d'aide sur les redirections Pour le cours d'eau, affluent de la Marcillande et sous-affluent de la Dordogne, voir Melve (ruisseau).

44° 21′ 20″ N 5° 59′ 26″ E / 44.3555555556, 5.99055555556

Melve
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Forcalquier
Canton La Motte-du-Caire
Code commune 04118
Code postal 04250
Maire
Mandat en cours
Jean-Christian Borchi
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes de la Motte-Turriers
Démographie
Population 106 hab. (2008)
Densité 7,5 hab./km²
Gentilé Melvéins
Géographie
Coordonnées 44° 21′ 20″ Nord
       5° 59′ 26″ Est
/ 44.3555555556, 5.99055555556
Altitudes mini. 698[1] m — maxi. 1478 m
Superficie 14,11 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Melve est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, entre Gap et Sisteron, à proximité de la vallée de la Durance. Le village et les petits hameaux totalisent un peu plus de 100 habitants en 2008. Le territoire est tourné vers l'agriculture et la randonnée ; quelques boisements occupent les limites nord-est et sud-ouest. Des montagnes occupent la partie nord-est, jusqu'à 1 478 mètres. La géographie des pré-Alpes de Digne se traduit dans le relief marqué, ainsi que dans le réseau de ruisseaux ou torrents, intermittents ou non.

Ses habitants sont appelés les Melvéins.[2].

Sommaire

Géographie

Site et situation

Petite commune d'une centaine d'habitants, Melve se trouve entre Gap et Sisteron. La Motte-du-Caire, chef-lieu d'environ 500 habitants, est à 7 km. Le village de Melve est situé à environ 840 mètres d'altitude, au pied des montagnes au nord-est. Le relief va de 698 à 1 478 mètres.

Plusieurs ruisseaux intermittents coulent le long des pentes dans des vallons. Un ruisseau, le Mouson, coule à partir du village vers le sud-ouest et la vallée de la Durance ; le torrent du grand vallon coule en limite nord, au-delà de la forêt domaniale du grand vallon qui occupe le versant nord de la montagne. Le sud-ouest du territoire est également boisé, notamment au lieu dit le forest. L'essentiel du territoire est agricole.

La commune compte plusieurs hameaux : la Maurelle, le Serre, le Haut forest, le Bas forest... Elle est traversée par la D 104 et la D 304, ainsi que par plusieurs chemins de randonnées.

Communes limitrophes

Sismicité

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Le canton de La Motte-du-Caire dont fait partie la commune est classé en Zone 1a (risque très faible, le moins élevé du département), comme les cantons de Banon et Noyers-sur-Jabron. La plupart des cantons départementaux sont en Zone 1b (risque faible), le risque moyen (Zone 2) se trouvant au niveau de la faille de la Durance, à plus de 40 kilomètres[3].

Géologie

Article connexe : Géologie des Alpes.
Massif des Alpes et localisation des Préalpes de Digne.

Le territoire se situe dans les Préalpes de Digne, entre trois formations géologiques majeures des Alpes[4] :

  • la nappe de Digne à l'est[5], au niveau du lobe de Valavoire[6] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écaille) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe ;
  • les Baronnies à l'ouest ;
  • le Bochaine au nord-ouest.

Climat

Article détaillé : Climat des Alpes-de-Haute-Provence.

Melve n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Tallard[7].

Relevé météorologique de la région de Tallard
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) -3 -2 1 3 7 10 13 13 10 6 1 -1 4,8
Température moyenne (°C) 1,5 3 6,5 9 13 17 20 20 16 11,5 5,5 3 10,5
Température maximale moyenne (°C) 6 8 12 15 19 24 27 27 22 17 10 7 16,2
Précipitations (mm) 33 29,4 28,9 43,4 38,7 40,9 33,3 36,7 46,2 63,7 48,8 34 477
Source : Relevé météo de Tallard[8]
Diagramme climatique
J F M A M J J A S O N D
 
 
33
 
6
-3
 
 
29.4
 
8
-2
 
 
28.9
 
12
1
 
 
43.4
 
15
3
 
 
38.7
 
19
7
 
 
40.9
 
24
10
 
 
33.3
 
27
13
 
 
36.7
 
27
13
 
 
46.2
 
22
10
 
 
63.7
 
17
6
 
 
48.8
 
10
1
 
 
34
 
7
-1
Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm)

Toponymie

Melve se nomme Mèuva en provençal selon la norme classique et Mèuvo selon la norme mistralienne.

Le nom du village, tel qu’il apparaît pour la première fois dans les textes vers 1200 (castri de Melva), est interprété de différentes manières[9],[10] :

  • comme issu d’un oronyme (nom servant à désigner une montagne) celtique, *Mel, ayant donné Mello, en référence au plateau où le village est construit, selon Charles Rostaing ;
  • comme issu d’un terme occitan, mèuvo, mélèze, par allusion aux forêts qui couvrent le terroir, selon Ernest Nègre.

Histoire

En 1125, le territoire fait partie du comté de Provence.

En 1125, le territoire se situe dans la partie nord du comté de Provence. La localité apparaît pour la première fois dans les chartes au XIIIe siècle[1] (Melva). Le fief dépend de la famille d'Agoult au XIVe siècle, puis des Périnet au XVIIIe siècle[11]. La commune est rattachée au département à sa création après la Révolution française.

Une église et une école sont construites au XIXe siècle. L'activité est alors essentiellement agricole (blé, légumes, noix)[12].

La commune perd plus de 100 habitants dans les années 1920, puis en regagne près de 60 à la fin de la décennie suivante. Un exode rural massif se produit de 1841 à 1876, la population passant de 348 à 253, avant de connaitre des variations durant 35 ans.

Le Caire perd un tiers de sa population de 1911 à 1921 (hommes appelés durant la Première guerre Mondiale ; mauvaises conditions de vie et grippe espagnole à la fin de la guerre?).

Durant la Seconde Guerre Mondiale, le département est occupé par l'Italie en 1942 - 1943, puis par l'Allemagne nazie jusqu'en août 1944. Le débarquement de Provence ainsi que différents bombardements permettent une libération progressive de la zone.

En 1982, la commune connait un minimum de population (72 habitants) puis une croissance de 40 habitants en 20 ans. Elle est stabilisée dans les années 2000 autour de 110 habitants.

Politique et administration

Administration municipale

De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de onze membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[13]). Lors du scrutin de 2008, il y eut deux tours (dix élus au premier tour et un au second) et Jean-Christian Borchi a été élu conseiller municipal au premier tour avec le neuvième total de 53 voix, soit 51,46 % des suffrages exprimés. La participation a été de 93,64 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[14].

Listes des maires

De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.

De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.

Du 3 juillet 1848 à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.

De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.

Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
mars 2001 2008 Charles Chabrier[15],[16]    
mars 2008 en cours Jean-Christian Borchi[17]    

Intercommunalité

Melve est l'une des treize communes de la communauté de communes de la Motte-Turriers.

Instances administratives et judiciaires

Melve est une des treize communes du canton de La Motte-du-Caire qui totalise 2 359 habitants en 2008 Le canton a fait partie de l’arrondissement de Sisteron du 17 février 1800 au 10 septembre 1926, date de son rattachement à l'arrondissement de Forcalquier.et de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Le Caire fait partie du canton de La Motte-du-Caire depuis 1801 après avoir fait partie du canton de Claret[18]. Le Caire fait partie des juridictions d’instance de Forcalquier, de la prud'hommale de Manosque, et de grande instance de Digne-les-Bains[19].

Fiscalité locale

L'imposition des ménages et des entreprises à Melve en 2009[20]
Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 2,590 % 0,64 % 5,53 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 9,53 % 2,25 % 14,49 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 38,40 % 6,44 % 47,16 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 6,50 % 1,28 % 10,80 % 3,84 %

La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[21]).

Population et société

Démographie

Évolution démographique
Années 1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
Population 60 feux 19 feux 371 360 327 366 407 290 290 348
Années 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
Population 312 286 264 264 261 262 253 267 215 242
Années 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 208 165 186 180 123 113 99 114 107 101
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 -
Population 101 75 80 72 98 114 109[22] 107[23] 106[24] -
Notes, sources, ... Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[11] ; Insee[25], EHESS[26] pour les chiffres issus des recensements légaux

Enseignement

La commune ne dispose pas d'école primaire publique[27]. Ensuite, les élèves sont affectés au collège Marcel-Massot[28]. Puis ils poursuivent au lycée de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[29],[30].

Santé

Ce petit village ne possède aucun professionnel de santé. Les médecins les plus proches se trouvent dans les Hautes-Alpes à La Bâtie-Neuve à 7 km et à La Saulce à 8 km [31]. La pharmacie du secteur se situe à La Motte-du-Caire à 7 km[32]. L'établissement hospitalier le plus proche est l'hôpital local de Laragne éloigné de 13 km[33].

Culte

Le culte catholique se pratique en l'église Notre-Dame-de-Clamensane, où la messe dominicale est célébrée le 4e dimanche du mois[34] ou au prieuré Sainte-Marie à La Motte-du-Caire[35] .

Les musulmans doivent se rendre soit à la mosquée En-Nasr de Manosque, soit à la mosquée Younés à Digne-les-Bains[36].

Économie

Agriculture

La commune de Melve ne possède aucun label Appellation d'origine contrôlée (AOC) mais neuf labels Indication géographique protégée (IGP) (Pommes des Alpes de Haute-Durance, Miel de Provence, Agneau de Sisteron, Alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de Méditerranée blanc, rouge et rosé)[37].

Miel de Provence

Miel de lavande

Le miel de Provence est protégé par un label rouge associé à une indication géographique protégée, tant pour le miel toutes fleurs que pour le miel de lavande et lavandin[38]. L'apiculture mobilise nombre de producteurs. Ils sont estimés à 4 500, dont 700 possèdent entre 70 et 150 ruches. La production régionale est de 2 000 t/an, soit 8 % de la production nationale[39]. Nombre d'entre eux pratiquent la transhumance selon un trajet allant du littoral vers la Haute-Provence. L'été est la saison privilégiée pour le miel de lavande et les ruches sont installées dans une zone limitée au nord par une ligne Montélimar / Digne, avec au sud le mont Ventoux, le plateau d'Albion, la montagne de Lure, les monts de Vaucluse et le massif du Luberon. Le miel toutes fleurs est élaboré dans une vaste zone limitée par Nîmes, Montélimar, Gap, Digne, Nice, Toulon, Marseille et Avignon[40].

Agneau de Sisteron

Agneau de Sisteron élevé sous sa mère

L'agneau de Sisteron est un agneau de quatre mois, élevé sous la mère et originaire des Alpes provençales et de la Drôme provençale. Issus d'élevages traditionnels, avec des mères de races Mérinos d'Arles, Mourérous ou Préalpes du Sud qui les allaitent au moins pendant deux mois, sur un espace pastoral comptant moins de 10 brebis à l'hectare et comportant au minimum 10 hectares de parcours[41], ces agneaux ont droit, sous le contrôle l'INAO, au label rouge accordé par un décret gouvernemental en date du 3 janvier 2005[42]. L'Union européenne lui a accordé une indication géographique protégée depuis le 15 février 2007[43].

Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[44].

Pommes des Alpes de Haute-Durance

Golden et gala

Les pommes des Alpes de Haute-Durance ont obtenu une Indication géographique protégée, qui a été publiée au Journal Officiel de l'Union européenne le 17 avril 2010[45].

Ces pommes de variétés golden delicious et gala proviennent de six cantons des Alpes-de-Haute-Provence et de treize cantons des Hautes-Alpes situés entre 450 mètres et 900 mètres d’altitude. La qualité de ces pommes est liée à leur terroir, et en particulier au climat de la Haute-Durance avec plus de 300 jours d'ensoleillement par an. Le froid nocturne qui règne lors de la maturation des pommes empêche la dégradation des acides, tandis que la forte amplitude thermique diurne permet leur jaunissement, et même leur rosissement[46].

Culture et patrimoine

Lieux et monuments

  • Il ne subsiste d’une tour ou donjon qu’un angle de mur, la base de la voûte en berceau permet de le dater des XIIe ou XIIIe siècle[47].
  • Château Vieux, en ruines.

L’église Notre-Dame, du XIXe siècle, possède une structure particulière, avec deux nefs accolées : la plus ancienne (XVIIe siècle) est voûtée, la plus récente est couverte d’un berceau en bois[48]. Quelques éléments de son mobilier sont classés monument historique au titre objet :

Héraldique

Blason de Melve

Blasonnement :
« De gueules à une fasce d'argent, chargée du mot MELVE de sable, accompagnée en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant du même »[55].

Pour approfondir

Bibliographie

  • Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
  • Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

Références bibliographiques

  • Guy Barruol, Nerte Dautier, Bernard Mondon (coord.), Le mont Ventoux. Encyclopédie d'une montagne provençale 

Références

  1. a et b Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7) 
  2. (fr) Nom des habitants des communes françaises, Melve sur le site habitants.fr de la SARL Patagos. Consulté le 22 juin 2011
  3. Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
  4. Les chaînons de Digne, Carte très schématique, montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale), par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
  5. Carte géologique de la France au 1/1 000 000
  6. La Nappe de Digne et les structures connexes, par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
  7. (fr) Station météo la plus proche : Tallard, MSN Météo
  8. (fr) Relevé météo de Tallard, MSN Météo
  9. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 207
  10. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume II : Formations non-romanes ; formations dialectales § 23338, p 1252
  11. a et b Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 183
  12. Géographie historique et biographique du département des Basses-Alpes, Jean-Joseph-Maxime Feraud, 1844
  13. (fr) nombre des membres du conseil municipal des communes, Legifrance
  14. Résultats élections municipales 2008 à Melve sur linternaute.com
  15. Charles Chabrier est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Christine Boutin (FRS) à l’élection présidentielle de 2002Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010
  16. Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
  17. Site de la préfecture des AHP
  18. (fr) Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales
  19. (fr) Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence, Ministère de la Justice et des Libertés
  20. (fr) Impots locaux à Melve, taxes.com
  21. Loi no 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
  22. Insee, Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009
  23. Insee, Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010
  24. (fr) Populations légales 2008 de la commune de Melve, INSEE
  25. Melve sur le site de l'Insee
  26. EHESS, notice communale de Melve sur la base de données Cassini, consultée le 27 juillet 2009
  27. (fr) Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
  28. (fr) Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 8 novembre 2004
  29. (fr) Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 2010
  30. (fr) Site de la cité scolaire Paul Arène, Académie Aix-Marseille, 2010
  31. (fr) Médecins les plus proches de Melve sur actuacity.com
  32. (fr) Pharmacie près de Melve sur actuacity.com
  33. (fr) Hôpitaux les plus proches de Melve sur actuacity.com
  34. (fr) Messe à Clamensane sur Messe Info
  35. (fr) Messe proches de Gigors sur Messe Info
  36. (fr) Culte musulman des Alpes-de-Haute-Provence sur l'Annuaire Musulman
  37. (fr) Liste des appellations AOC et IGP à Melve sur INAO
  38. Site légifrance relatif à la parution au JO de l'arrêté du 30 juillet 2009
  39. Les apiculteurs en Provence
  40. La transhumance des ruches provençales
  41. Site officiel de l'agneau de Sisteron
  42. Homologation agneau de Sisteron du 3 janvier 2005
  43. IGP de l'Union européenne en date du 15 février 2007
  44. Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 751.
  45. (fr) Les Pommes des Alpes de Haute-Durance obtiennent l'IGP, INAO, 19 avril 2010
  46. (fr)Fiche INAO de l'IGP Pommes des Alpes de Haute-Durance, INAO, 17 avril 2010
  47. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 311-312
  48. Raymond Collier, op. cit., p 221
  49. Arrêté du 21 avril 1975,Stalle, sur la base Palissy, ministère de la Culture, consultée le 22 novembre 2008
  50. Raymond Collier, op. cit., p 517
  51. Arrêté du 21 avril 1975, Chaire à prêcher, sur la base Palissy, ministère de la Culture, consultée le 22 novembre 2008
  52. Raymond Collier, op. cit., p 472
  53. Arrêté du 21 avril 1975, Autel, gradins d'autel, tabernacle (maître-autel), sur la base Palissy, ministère de la Culture, consultée le 22 novembre 2008
  54. Arrêté du 14 juin 1975, Statue : Vierge à l'Enfant, sur la base Palissy, ministère de la Culture, consultée le 22 novembre 2008
  55. Banque du Blason

Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Melve de Wikipédia en français (auteurs)

Игры ⚽ Нужен реферат?

Regardez d'autres dictionnaires:

  • Melve — Melve …   Wikipedia

  • Melve — Mèuva Escudo …   Wikipedia Español

  • melvė — sf. P, LBŽ bot. serbentas (Ribes) …   Dictionary of the Lithuanian Language

  • Melve (ruisseau) — Pour la commune française des Alpes de Haute Provence, voir Melve. la Melve ajouter une photo Caractéristiques Longueur 14,5 km …   Wikipédia en Français

  • melveninis — melvẽninis, ė adj. (1) priaugęs melvenių: Melveniniai pušynai rš …   Dictionary of the Lithuanian Language

  • melvenė — melvẽnė sf. (2); LBŽ bot. varpinių šeimos augalas, augantis šlapiose, pelkėtose pievose (Molinia): Melsvoji melvenė (M. coerulea) P.Snar. Krantai kieti ir kaip tankiu siauru šepečiu apaugę melvene rš …   Dictionary of the Lithuanian Language

  • melvenšilis — sm. (1) priaugęs melvenių pušynas: Melvenšiliai respublikos miškuose užima labai nedidelius plotus rš …   Dictionary of the Lithuanian Language

  • Claret (Alpes-de-Haute-Provence) — Pour les articles homonymes, voir Claret. 44° 22′ 22″ N 5° 57′ 23″ E …   Wikipédia en Français

  • La Motte-du-Caire — 44° 20′ 40″ N 6° 01′ 45″ E / 44.3444444444, 6.02916666667 …   Wikipédia en Français

  • Sigoyer (Alpes-de-Haute-Provence) — Pour les articles homonymes, voir Sigoyer. 44° 19′ 12″ N 5° 57′ 32″ E …   Wikipédia en Français

Share the article and excerpts

Direct link
Do a right-click on the link above
and select “Copy Link”