- Venterol (Alpes-de-Haute-Provence)
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Pour l’article homonyme, voir Venterol (Drôme).
Venterol
Le pont suspendu de Venterol avant sa démolition en 2009
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Forcalquier Canton Turriers Code commune 04234 Code postal 05130 Maire
Mandat en coursJosé Sarlin
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Serre Ponçon Démographie Population 229 hab. (2008) Densité 10 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 595 m — maxi. 1 562 m Superficie 22,75 km2 Venterol est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Venterolais.[1]
Sommaire
Géographie
Localisation
Le village est situé à 1 000 m d’altitude[2].
Points remarquables :
- le Serre de Malemort (1 416 m).
Communes limitrophes
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Les cantons de Banon, La Motte-du-Caire, Noyers-sur-Jabron sont classés en Zone 1a (risque très faible), ceux d'Allos-Colmars, Barcelonnette, Le Lauzet-Ubaye, Annot, Castellane, Saint-André-les-Alpes, Barrème, Digne-Est, Digne-Ouest, La Javie, Mézel, Moustiers-Sainte-Marie, Riez, Seyne, Forcalquier, Reillanne, Saint-Étienne-les-Orgues, Sisteron, Turriers et Volonne, en Zone 1b (risque faible) et ceux d'Entrevaux, Les Mées, Valensole, Manosque-Nord, Manosque-Sud-Est, Manosque-Sud-Ouest et Peyruis, en Zone 2 (risque moyen)[3].
Géologie et relief
Article connexe : Géologie des Alpes.Le territoire se situe en limite est des Baronnies orientales, sur des formations calcaires provençales du Jurassique supérieur et du Crétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin), entre trois formations géologiques majeures des Alpes[4] :
- la nappe de Digne à l'est[5], au niveau du lobe de Valavoire[6] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écailles) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe ;
- la faille de la Durance au sud-ouest, dans la vallée ;
- le Plateau de Valensole au sud-est : bassin molassique du Miocène et du Pliocène composé de roches sédimentaires détritiques (dépôts liés à l'érosion des montagnes apparues à l'Oligocène).
Climat
Venterol n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Tallard[7].
Relevé météorologique de la région de Tallard mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) -3 -2 1 3 7 10 13 13 10 6 1 -1 4,8 Température moyenne (°C) 1,5 3 6,5 9 13 17 20 20 16 11,5 5,5 3 10,5 Température maximale moyenne (°C) 6 8 12 15 19 24 27 27 22 17 10 7 16,2 Précipitations (mm) 33 29,4 28,9 43,4 38,7 40,9 33,3 36,7 46,2 63,7 48,8 34 477 Source : Relevé météo de Tallard[8]Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D 336-329.48-228.912143.415338.719740.9241033.3271336.7271346.2221063.717648.8101347-1Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm) Toponymie
Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois en 1045 (de Venterolo), fait l’objet de différentes interprétations :
- selon Charles Rostaing, il dérive du gaulois Vintur (formé des deux racines pour roc et montagne), hypothèse qui est confirmée par le site de construction de l’ancien village, sur un piton à 1185 m d’altitude[9] ;
- selon Ernest Nègre, il s’agit d’une variante masculine de l’occitan ventarolo, tourbillon, normalement féminin[10].
Histoire
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1045[11].Le fief appartient d’abord à une dynastie autochtone, les Venterol au XIVe siècle, puis passe aux d’Oraison au siècle suivant, et les Philibert aux XVIIe et XVIIIe siècles[11]. Au Moyen Âge, l’église Saint-Crépin dépendait de l’abbaye de Chardavon (actuellement dans la commune de Saint-Geniez), abbaye qui percevait les revenus attachés à cette église[12].
Un bac permettant de traverser la Durance est attesté en 1422 au lieu-dit Malcol[13].
La communauté d’Urtis (de Urcia vers 1200, de Urteis en 1237) compte 20 feux au dénombrement de 1315. Inhabité en 1471, le village a 106 habitants en 1765[11].
Les chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem y possédaient une commanderie.
En 1793, le château est mis aux enchères pour démolition[14].
La commune d’Urtis fusionne avec Venterol en 1963[15].
Politique et administration
Administration municipale
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 11 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[16]). Lors du scrutin de 2008, il y eut deux seul tours (sept élus au premier tour et quatre au second) et José sarlin a été élu conseiller municipal au second tour avec le meilleur total de 107 voix, soit 56,32 % des suffrages exprimés. La participation a été de 92,23 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[17].
Listes des maires
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du 3 juillet 1848 à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 2001 mars 2008 Jean Philip RPR Conseiller général mars 2008 José Sarlin[18] Instances judiciaires et administratives
Venterol est une des sept communes du canton de Turriers qui totalise 1 229 habitants en 2006. Le canton a fait partie de l’Arrondissement de Sisteron du 17 février 1800 au 10 septembre 1926, date de son rattachement à l'Arrondissement de Forcalquier.et de la Deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Venterol fait partie du canton de Turriers depuis 1793[15]. La commune fait partie de la juridiction prud'hommale de Manosque, d’instance et de grande instance de Digne-les-Bains[19].
Fiscalité locale
L'imposition des ménages et des entreprises à Venterol en 2009[20] Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 2,91 % 1,23 % 5,53 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 16,32 % 2,83 % 14,49 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 50,51 % 16,26 % 47,16 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 25,77 % 2,08 % 10,80 % 3,84 % La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[21]).
Population et société
Démographie
Enseignement
La commune est dotée d’une école primaire publique[26],[27]. Ensuite les élèves sont affecté au collège Marcel-Massot[28]. Puis ils poursuivent au lycée de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[29],[30].
Santé
La commune ne dispose ni de structures ni de personnel médicaux. A proximité on trouve un cabinet médical de trois médecins en alternance à Tallard (à 4 km) et à La Saulce (à 7,3 km)[31]. La pharmacie se trouve également à Tallard[32]. Le Centre Hospitalier Intercommunal des Alpes du Sud de Gap est le plus proche (12,7 km)[33].
Économie
Agriculture
La commune du Venterol posséde un label Appellation d'origine contrôlée (AOC) (Huile essentielle de lavande de Haute-Provence) et neuf labels Indication géographique protégée (IGP) (Pommes des Alpes de Haute-Durance, Miel de Provence, Agneau de Sisteron, Alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de méditérranée blanc, rouge et rosé)[34]
Liée au soleil et aux vacances, la lavande, dont Jean Giono a dit qu'elle est « l'âme de la Haute-Provence », n'est plus actuellement l'« or bleu » du Ventoux, des Baronnies et de la montagne de Lure[a 1]. Cueillie pendant des siècles à l'état sauvage, sa récolte n'a été organisée qu'à partir du XVIe siècle en même temps que la distillation de sa fleur[a 2]. Son âge d'or se situe au début du XXe siècle. Et c'est au cours des années 1920 qu'il y a une véritable fièvre de plantation. Après la crise de 1929 et la Seconde Guerre mondiale, le marché est à nouveau demandeur à partir de 1955 pour entrer en crise cinq ans plus tard[a 3]. La mécanisation de la récolte, une meilleure organisation du marché et l'obtention d'une AOC pour l'« huile essentielle de lavande de Haute-Provence », en 1981, aurait dû relancer la production[a 4]. Mais celle-ci de l'ordre de 200 tonnes au début des années 1980 a chuté à 25 tonnes dans les années 1990 pour enfin remonter à 80 tonnes en 2003[a 5].
Miel de Provence
Le miel de Provence est protégé par un label rouge associé à une indication géographique protégée, tant pour le miel toutes fleurs que pour le miel de lavande et lavandin[35]. L'apiculture mobilise nombre de producteurs. Ils sont estimés à 4 500, dont 700 possèdent entre 70 et 150 ruches. La production régionale est de 2 000 t/an, soit 8 % de la production nationale[36]. Nombre d'entre eux pratiquent la transhumance selon un trajet allant du littoral vers la Haute-Provence. L'été est la saison privilégiée pour le miel de lavande et les ruches sont installées dans une zone limitée au nord par une ligne Montélimar / Digne, avec au sud le mont Ventoux, le plateau d'Albion, la montagne de Lure, les monts de Vaucluse et le massif du Luberon. Le miel toutes fleurs est élaboré dans une vaste zone limitée par Nîmes, Montélimar, Gap, Digne, Nice, Toulon, Marseille et Avignon[37].
Agneau de Sisteron
L'agneau de Sisteron est un agneau de quatre mois, élevé sous la mère et originaire des Alpes provençales et de la Drôme provençale. Issus d'élevages traditionnels, avec des mères de races Mérinos d'Arles, Mourérous ou Préalpes du Sud qui les allaitent au moins pendant deux mois, sur un espace pastoral comptant moins de 10 brebis à l'hectare et comportant au minimum 10 hectares de parcours[38], ces agneaux ont droit, sous le contrôle l'INAO, au label rouge accordé par un décret gouvernemental en date du 3 janvier 2005[39]. L'Union européenne lui a accordé une indication géographique protégée depuis le 15 février 2007[40].
Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[41].
Pommes des Alpes de Haute-Durance
Les pommes des Alpes de Haute-Durance ont obtenu une Indication géographique protégée qui a été a été publiée au Journal Officiel de l'Union européenne le 17 avril 2010[42].
Ces pommes de variétés golden delicious et gala proviennent de six cantons des Alpes-de-Haute-Provence et de treize cantons des Hautes-Alpes situés entre 450 mètres et 900 mètres d’altitude. La qualité de ces pommes est liée à leur terroir, et en particulier au climat de la Haute-Durance avec plus de 300 jours d'ensoleillement par an. Le froid nocturne qui règne lors de la maturation des pommes empêche la dégradation des acides, tandis que la forte amplitude thermique diurne permet leur jaunissement, et même leur rosissement[43].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'ancien pont suspendu sur la Durance, qui reliait le village à la vallée depuis 1865, était un des rares spécimens restants des premiers ponts suspendus sur la Durance (avec le pont de Fombeton à Valernes). Il a été démoli fin 2009, et un nouveau pont construit sur le même emplacement.
Article détaillé : Pont de Venterol.- L’église Saints-Crépin-et-Crépinien a été reconstruite, grossièrement (notamment la voûte en plein cintre), avec un bas-côté, à la fin du XVIe siècle[44].
- Ruines du château-fort des Venterol dit château Ratier (fin Moyen Âge).
- Château XVIIIe à Urtis[11].
- Église Saint-Jean-Baptiste au village des Tourniaires[11].
- Église Saint-Maxime-de-Riez au village d’Urtis[11].
- Chapelle des hameaux des Gaillaches et des Perriers dites église Saint-Jean .
- Six oratoires.
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
de gueules au chevron d'argent, accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant du même[45]Pour approfondir
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
Liens internes
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste de ponts des Alpes-de-Haute-Provence
- Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence
Liens externes
- Association qui fait revivre le village de Venterol
- Venterol sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Références bibliographiques
- Guy Barruol, Nerte Dautier, Bernard Mondon (coord.), Le mont Ventoux. Encyclopédie d'une montagne provençale
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 124.
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 125.
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 126
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 127.
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 128.
Références
- (fr) Nom des habitants des communes françaises, Venterol sur le site habitants.fr de la SARL Patagos. Consulté le 28 mai 2011
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7)
- Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
- Les chaînons de Digne, Carte très schématique, montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale), par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- Carte géologique de la France au 1:1 000 000
- La Nappe de Digne et les structures connexes,par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- (fr) Station météo la plus proche : Tallard, MSN Météo
- (fr) Relevé météo de Tallard, MSN Météo
- Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 295
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume II : Formations non-romanes ; formations dialectales, § 22 439, p 1202
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 206 Sous la direction d’
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 72
- ISBN 2-906162-71-X, p 55 Catherine Lonchambon, « D’une rive à l’autre de la Durance : d’étranges bateaux », in Guy Barruol, Denis Furestier, Catherine Lonchambon, Cécile Miramont, La Durance de long en large : bacs, barques et radeaux dans l’histoire d’une rivière capricieuse, Les Alpes de lumière no 149, Forcalquier 2005,
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 243
- notice communale de Venterol sur la base de données Cassini, consultée le 1er août 2009 EHESS,
- (fr) nombre des membres du conseil municipal des communes, Legifrance
- Résultats élections municipales 2008 à Venterol sur linternaute.com
- liste des maires Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence,
- (fr) Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence, Ministère de la Justice et des Libertés
- (fr) Impots locaux à Venterol, taxes.com
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- Population légale au 1er janvier 2006, consulté le 13 janvier 2009 Insee,
- Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010 Insee,
- (fr) Populations légales 2008 de la commune de Venterol, INSEE
- Venterol sur le site de l’Insee
- (fr) Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des écoles de la circonscription de Sisteron, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010 Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence,
- (fr) Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 8 novembre 2004
- (fr) Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Site de la cité scolaire Paul Arène, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Médecins à proximité de Venterol sur pagesjaunes.fr
- (fr) Pharmacie à proximité de Venterol sur pagesjaunes.fr
- (fr) Hôpitaux à proximité de Venterol sur pagesjaunes.fr
- (fr) Liste des appellations AOC et IGP à Venterol sur INAO
- Site légifrance relatif à la parution au JO de l'arrêté du 30 juillet 2009
- Les apiculteurs en Provence
- La transhumance des ruches provençales
- Site officiel de l'agneau de Sisteron
- Homologation agneau de Sisteron du 3 janvier 2005
- IGP de l'Union européenne en date du 15 février 2007
- Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 751.
- (fr) Les Pommes des Alpes de Haute-Durance obtiennent l'IGP, INAO, 19 avril 2010
- (fr)Fiche INAO de l'IGP Pommes des Alpes de Haute-Durance, INAO, 17 avril 2010
- op. cit., p 216 Raymond Collier,
- Louis de Bresc Armorial des communes de Provence 1866. Réédition - Marcel Petit CPM - Raphèle-lès-Arles 1994
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