Valavoire

Valavoire

44° 16′ 48″ N 6° 04′ 01″ E / 44.28, 6.06694444444

Valavoire
Le village de Valavoire
Le village de Valavoire
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Forcalquier
Canton La Motte-du-Caire
Code commune 04228
Code postal 04250
Maire
Mandat en cours
Albert Martre
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes de la Motte-Turriers
Démographie
Population 36 hab. (2008)
Densité 2,1 hab./km²
Gentilé Tacouraires
Géographie
Coordonnées 44° 16′ 48″ Nord
       6° 04′ 01″ Est
/ 44.28, 6.06694444444
Altitudes mini. 696 m — maxi. 1 885 m
Superficie 16,81 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Valavoire est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Tacouraires.[1]

Sommaire

Géographie

Le village est situé à 1 200 m d’altitude[2].

Communes limitrophes

Sismicité

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Les cantons de Banon, La Motte-du-Caire, Noyers-sur-Jabron sont classés en zone 1a (risque très faible), ceux d'Allos-Colmars, Barcelonnette, Le Lauzet-Ubaye, Annot, Castellane, Saint-André-les-Alpes, Barrème, Digne-Est, Digne-Ouest, La Javie, Mézel, Moustiers-Sainte-Marie, Riez, Seyne, Forcalquier, Reillanne, Saint-Étienne-les-Orgues, Sisteron, Turriers et Volonne, en Zone 1b (risque faible) et ceux d'Entrevaux, Les Mées, Valensole, Manosque-Nord, Manosque-Sud-Est, Manosque-Sud-Ouest et Peyruis, en zone 2 (risque moyen)[3].

Géologie

Article connexe : Géologie des Alpes.
Massif des Alpes et localisation des Préalpes de Digne

Le territoire se situe en limite est des Baronnies orientales, sur des formations calcaires provençales du Jurassique supérieur et du Crétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin), entre trois formations géologiques majeures des Alpes[4] :

  • la nappe de Digne à l'est[5], au niveau du lobe de Valavoire[6] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écailles) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe ;
  • la faille de la Durance au sud-ouest, dans la vallée ;
  • le Plateau de Valensole au sud-est : bassin molassique du Miocène et du Pliocène composé de roches sédimentaires détritiques (dépôts liés à l'érosion des montagnes apparues à l'Oligocène).

Climat

Article détaillé : Climat des Alpes-de-Haute-Provence.

Valavoire n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Sisteron[7].

Relevé météorologique de la région de Sisteron
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0 0,5 3 5,4 9,1 12,7 15,4 15,3 12 8,2 3,7 1,1 7,2
Température moyenne (°C) 4,3 5,7 8,7 11,2 15,3 19,2 22,4 22,1 18 13,4 8,2 5,2 12,8
Température maximale moyenne (°C) 8,6 10,9 14,4 16,9 21,4 25,7 29,3 28,9 24 18,5 12,6 9,3 18,4
Précipitations (mm) 26,9 24,3 23,8 44 40 27,9 20,9 32,7 45,9 53,5 52,4 30,7 423
Source : Relevé météo de Sisteron[8]
Diagramme climatique
J F M A M J J A S O N D
 
 
26.9
 
8.6
0
 
 
24.3
 
10.9
0.5
 
 
23.8
 
14.4
3
 
 
44
 
16.9
5.4
 
 
40
 
21.4
9.1
 
 
27.9
 
25.7
12.7
 
 
20.9
 
29.3
15.4
 
 
32.7
 
28.9
15.3
 
 
45.9
 
24
12
 
 
53.5
 
18.5
8.2
 
 
52.4
 
12.6
3.7
 
 
30.7
 
9.3
1.1
Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm)

Toponymie

Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois vers 1030 (de Valadoria), fait l’objet de différentes interprétations :

  • pour Charles Rostaing, il est formé des racines Val et *Tor-, montagne[9] ;
  • pour Ernest Nègre, il est le pluriel du bas-latin Vallatorium, désignant un auvent, un avant-toit. Le nom du village viendrait donc d’une maison en possédant un[10].

Histoire

La localité apparaît pour la première fois dans les chartes au XIe siècle[2].

Durant la Révolution, le château est dévasté par les paysans, et le seigneur est dépouillé de ses réserves de grain[11] en mars 1792[12]. La commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[13]. Le château est entièrement démolit sous la Révolution[14].

Politique et administration

Administration municipale

De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 9 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[15]). Lors du scrutin de 2008, il y eut deux tours (six élus au premier tour et trois au second) et Albert Martre a été élu conseiller municipal au premier tour avec le meilleur 42 voix, soit 85,71 % des suffrages exprimés. La participation a été de 98,00 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[16].

Listes des maires

De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.

De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.

Du 3 juillet 1848 à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.

De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.

Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
mars 2001 mars 2008 Gilbert Gras    
mars 2008   Albert Martre[17]    

Intercommunalité

Valavoire est l'une des 13 communes de Communauté de communes de la Motte-Turriers[18]. La communauté de commenes est elle même adhérente à l'association du Pays Sisteronais-Buëch avec huit autres communauté de communesCommunauté de communes de la Motte-Turriers[19] comprenant ainsi 83 communes comptant 28 500 habitants répartis sur 1 600 km2.

Instances judiciaires et administratives

Valavoire est une des treize communes du canton de La Motte-du-Caire, qui totalise 2 359 habitants en 2008. Le canton a fait partie de l’arrondissement de Sisteron du 17 février 1800 au 10 septembre 1926, date de son rattachement à l'arrondissement de Forcalquier, et de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Valavoire fait partie du canton de La Motte-du-Caire depuis 1801, après avoir fait partie du canton de Saint-Geniez de 1793 à 1801[20]. La commune fait partie des juridictions d’instance de Forcalquier, de la prud'hommale de Manosque, et de grande instance de Digne-les-Bains[21].

Fiscalité locale

L'imposition des ménages et des entreprises à Valavoire en 2009[22]
Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 2,60 % 0,64 % 5,53 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 6,60 % 2,25 % 14,49 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 31,75 % 6,44 % 47,16 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 7,28 % 1,28 % 10,80 % 3,84 %

La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[23]).

Population et société

Démographie

Évolution démographique
Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 267 218 250 263 234 237 203 217 218
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 215 200 185 164 156 160 183 179 137
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 157 155 146 131 104 103 75 61 97
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
Population 69 45 36 45 40 27 32[24] 35[25] 36[26]
Notes, sources, ... Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale en 2006
Sources : Insee[27], EHESS[28]

Enseignement

La commune ne dispose pas d'école primaire publique[29]. Ensuite, les élèves sont affectés au collège Marcel-Massot[30]. Puis ils poursuivent au lycée de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[31],[32].

Économie

La commune de Valavoire possède un label Appellation d'origine contrôlée (AOC) (Huile essentielle de lavande de Haute-Provence) et neuf labels Indication géographique protégée (IGP) (Pommes des Alpes de Haute-Durance, Miel de Provence, Agneau de Sisteron, Alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de Méditerranée blanc, rouge et rosé)[33].

Lavande

Champ de lavande

Liée au soleil et aux vacances, la lavande, dont Jean Giono a dit qu'elle est « l'âme de la Haute-Provence », n'est plus actuellement l'« or bleu » du Ventoux, des Baronnies et de la montagne de Lure[a 1]. Cueillie pendant des siècles à l'état sauvage, sa récolte n'a été organisée qu'à partir du XVIe siècle en même temps que la distillation de sa fleur[a 2]. Son âge d'or se situe au début du XXe siècle. Et c'est au cours des années 1920 qu'il y a une véritable fièvre de plantation. Après la crise de 1929 et la Seconde Guerre mondiale, le marché est à nouveau demandeur à partir de 1955 pour entrer en crise cinq ans plus tard[a 3]. La mécanisation de la récolte, une meilleure organisation du marché et l'obtention d'une AOC pour l'« huile essentielle de lavande de Haute-Provence », en 1981, aurait dû relancer la production[a 4]. Mais celle-ci de l'ordre de 200 tonnes au début des années 1980 a chuté à 25 tonnes dans les années 1990 pour enfin remonter à 80 tonnes en 2003[a 5].

Miel de Provence

Miel de lavande

Le miel de Provence est protégé par un label rouge associé à une indication géographique protégée, tant pour le miel toutes fleurs que pour le miel de lavande et lavandin[34]. L'apiculture mobilise nombre de producteurs. Ils sont estimés à 4 500, dont 700 possèdent entre 70 et 150 ruches. La production régionale est de 2 000 t/an, soit 8 % de la production nationale[35]. Nombre d'entre eux pratiquent la transhumance selon un trajet allant du littoral vers la Haute-Provence. L'été est la saison privilégiée pour le miel de lavande et les ruches sont installées dans une zone limitée au nord par une ligne Montélimar / Digne, avec au sud le mont Ventoux, le plateau d'Albion, la montagne de Lure, les monts de Vaucluse et le massif du Luberon. Le miel toutes fleurs est élaboré dans une vaste zone limitée par Nîmes, Montélimar, Gap, Digne, Nice, Toulon, Marseille et Avignon[36].

Agneau de Sisteron

Agneau de Sisteron élevé sous sa mère

L'agneau de Sisteron est un agneau de quatre mois, élevé sous la mère et originaire des Alpes provençales et de la Drôme provençale. Issus d'élevages traditionnels, avec des mères de races Mérinos d'Arles, Mourérous ou Préalpes du Sud qui les allaitent au moins pendant deux mois, sur un espace pastoral comptant moins de 10 brebis à l'hectare et comportant au minimum 10 hectares de parcours[37], ces agneaux ont droit, sous le contrôle l'INAO, au label rouge accordé par un décret gouvernemental en date du 3 janvier 2005[38]. L'Union européenne lui a accordé une indication géographique protégée depuis le 15 février 2007[39].

Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[40].

Pommes des Alpes de Haute-Durance

Golden et gala

Les pommes des Alpes de Haute-Durance ont obtenu une Indication géographique protégée qui a été a été publiée au Journal Officiel de l'Union européenne le 17 avril 2010[41].

Ces pommes de variétés golden delicious et gala proviennent de six cantons des Alpes-de-Haute-Provence et de treize cantons des Hautes-Alpes situés entre 450 mètres et 900 mètres d’altitude. La qualité de ces pommes est liée à leur terroir, et en particulier au climat de la Haute-Durance avec plus de 300 jours d'ensoleillement par an. Le froid nocturne qui règne lors de la maturation des pommes empêche la dégradation des acides, tandis que la forte amplitude thermique diurne permet leur jaunissement, et même leur rosissement[42].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Le « château de la Molle » est un spectaculaire décrochement rocheux de la montagne de Jouère. On y passe pour accéder, à partir du village, à la croix Saint-Jean qui culmine à 1 886 mètres sur le chemin de crête menant au sommet des Monges (2 115 mètres).

L’église paroissiale Saint-Pancrace date du XIIIe siècle. D’architecture romane, elle a été modifiée et restaurée plusieurs fois (dont une fois en 1969). La nef compte deux travées voûtées en berceau[43]. Le tableau de la Crucifixion, date de la fin du XVIe siècle ou du début du suivant, dans un style archaïque et raide[44]. Des bancs anciens ont été classés monuments historiques au titre objet, puis déclassés[45].

Héraldique

Blason Valavoire.svg

Blasonnement :
De gueules à un sautoir d'or, accompagné de la lettre V d'argent, au flanc dextre et de la lettre L du même, au flanc senestre[46].

Pour approfondir

Bibliographie

Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Références bibliographiques

  • Guy Barruol, Nerte Dautier, Bernard Mondon (coord.), Le mont Ventoux. Encyclopédie d'une montagne provençale 
  1. Jean-Paul Bonnefoy, p.  124.
  2. Jean-Paul Bonnefoy, p.  125.
  3. Jean-Paul Bonnefoy, p. 126
  4. Jean-Paul Bonnefoy, p. 127.
  5. Jean-Paul Bonnefoy, p. 128.

Références

  1. (fr) Habitants de Valavoire sur habitants.fr
  2. a et b Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7) 
  3. Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
  4. Les chaînons de Digne, Carte très schématique, montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale), par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
  5. Carte géologique de la France au 1:1 000 000
  6. La Nappe de Digne et les structures connexes,par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
  7. (fr) Station météo la plus proche : Sisteron, MSN Météo
  8. (fr) Relevé météo de Sisteron, MSN Météo
  9. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p
  10. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes, § 5924, p 381
  11. André Lombard, « Violences et troubles de 1789 à l’An VI », La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 158
  12. La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 15
  13. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
  14. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 243
  15. (fr) nombre des membres du conseil municipal des communes, Legifrance
  16. Résultats élections municipales 2008 à Valavoire sur linternaute.com
  17. Site de la préfecture des AHP
  18. (fr) Communauté de Communes de La Motte du Caire - Turriers sur pays-sisteronais-buech.fr
  19. (fr) Le Pays Sisteronais-Buëch sur pays-sisteronais-buech.fr
  20. (fr) Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales
  21. (fr) Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence, Ministère de la Justice et des Libertés
  22. (fr) Impots locaux à Valavoire, taxes.com
  23. Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
  24. Population légale au 1er janvier 2006, consulté le 13 janvier 2009
  25. Insee, Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010
  26. (fr) Populations légales 2008 de la commune de Valavoire, INSEE
  27. Valavoire sur le site de l’Insee
  28. EHESS, notice communale de Valavoire sur la base de données Cassini, consultée le 31 juillet 2009
  29. (fr) Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
  30. (fr) Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 8 novembre 2004
  31. (fr) Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 2010
  32. (fr) Site de la cité scolaire Paul Arène, Académie Aix-Marseille, 2010
  33. (fr) Liste des appellations AOC et IGP à Valavoire sur INAO
  34. Site légifrance relatif à la parution au JO de l'arrêté du 30 juillet 2009
  35. Les apiculteurs en Provence
  36. La transhumance des ruches provençales
  37. Site officiel de l'agneau de Sisteron
  38. Homologation agneau de Sisteron du 3 janvier 2005
  39. IGP de l'Union européenne en date du 15 février 2007
  40. Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 751.
  41. (fr) Les Pommes des Alpes de Haute-Durance obtiennent l'IGP, INAO, 19 avril 2010
  42. (fr)Fiche INAO de l'IGP Pommes des Alpes de Haute-Durance, INAO, 17 avril 2010
  43. Raymond Collier, op. cit., p 119
  44. Raymond Collier, op. cit., p 477
  45. Classement en 1978, Raymond Collier, op. cit., p 517
  46. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994

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