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Clamensane
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Forcalquier Canton La Motte-du-Caire Code commune 04057 Code postal 04250 Maire
Mandat en coursFranck Chapot
2010-2014Intercommunalité Communauté de communes de la Motte-Turriers Démographie Population 160 hab. (2008) Densité 6,7 hab./km² Gentilé Clamensanais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 630 m — maxi. 1658 m Superficie 23,73 km2 Clamensane est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Clamensanais.[1]
Sommaire
Géographie
Le village est situé à 700 m d’altitude[2], au confluent de la Sasse et du Vermeil. La Clastre et les Sagnères forment des gorges.
Sommet de Bramefan à 1 658 m.
Communes limitrophes
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Le canton de La Motte-du-Caire dont fait partie la commune est classé en zone 1a (risque très faible), tout comme les cantons de Banon et Noyers-sur-Jabron. Les autres cantons du département sont pour la plupart en zone 1b (risque faible), et pour quelques-uns autour de la faille de la Durance (de Manosque à Peyruis, à plus de 40 km) en zone 2 (risque moyen)[3].
Géologie
Article connexe : Géologie des Alpes.Le territoire se situe dans les Préalpes de Digne, sur des formations calcaires provençales du Jurassique supérieur et du Crétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin)[4], au niveau du lobe de Valavoire[5], à l'ouest de la nappe de Digne[6] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écaille) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe.
Climat
Article détaillé : Climat des Alpes-de-Haute-Provence.Clamensane n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Tallard[7].
Relevé météorologique de la région de Tallard mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) -3 -2 1 3 7 10 13 13 10 6 1 -1 4,8 Température moyenne (°C) 1,5 3 6,5 9 13 17 20 20 16 11,5 5,5 3 10,5 Température maximale moyenne (°C) 6 8 12 15 19 24 27 27 22 17 10 7 16,2 Précipitations (mm) 33 29,4 28,9 43,4 38,7 40,9 33,3 36,7 46,2 63,7 48,8 34 477 Source : Relevé météo de Tallard[8]Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D 336-329.48-228.912143.415338.719740.9241033.3271336.7271346.2221063.717648.8101347-1Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm) Toponymie
La localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1200 selon Charles Rostaing (qui cite la forme de Clamanzana), en 1203 selon Ernest Nègre (Clemenciana). Il s’agit d’une personne qui a donné son nom à un lieu, un Clementius selon Rostaing, un Clementianus selon Nègre[9],[10].
Histoire
A l'époque néolithique, on chassait les grives et les sangliers, tradition perpétuée par les Avantici, les romains et les sarrazins.
Puis les Templiers vinrent s'installer à la Clastre[11].
La localité, qui apparaît pour la première fois dans les chartes au XIIIe siècle, dépendait de l’abbaye de l'Ile-Barbe et de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem[12].
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[13].
Politique et administration
Administration municipale
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de onze membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[14]).Lors du scrutin de 2008, il y eut deux tours (huit élus au premier tour et trois au second) et Elsa Raymond a été élue conseillère municipale au premier tour avec le huitième total de 78 voix, soit 49,68 % des suffrages exprimés. La participation a été de 91,81 %. elle a ensuite été élue maire par le conseil municipal[15].
Lors du conseil municipal de 19 juin 2010 Elsa Raymond annonce sa démission de même que Claudine Cipollini, conseillère municipale. Franck Chapot, premier adjoint est élu maire par le nouveau conseil municipal[16]
Listes des maires
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du 3 juillet 1848 à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 1977 mars 2008 Jean-François Giacomino[17],[18] Extrême-droite mars 2008 2010 Elsa Raymond 2010 en cours Franck Chapot[19] Intercommunalité
Clamensane est l'une des treize communes de communauté de communes de la Motte-Turriers[20]. La communauté de communes est elle-même adhérente à l'association du pays Sisteronais-Buëch avec huit autres communautés de communes[21] comprenant ainsi 83 communes comptant 28 500 habitants répartis sur 1 600 km2.
Instances administratives et judiciaires
Clamensane est une des treize communes du canton de La Motte-du-Caire qui totalise 2 359 habitants en 2008. Le canton a fait partie de l’arrondissement de Sisteron du 17 février 1800 au 10 septembre 1926, date de son rattachement à l'arrondissement de Forcalquier.et de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Clamensane fait partie du canton de La Motte-du-Caire depuis 1801 (Lamotte de 1793 à 1801)[22]. La commune fait partie des juridictions d’instance de Forcalquier, de la prud'hommale de Manosque, et de grande instance de Digne-les-Bains[23].
Fiscalité locale
L'imposition des ménages et des entreprises à Clamensane en 2009[24] Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 3,14 % 0,64 % 5,53 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 5,92 % 2,25 % 14,49 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 56,97 % 6,44 % 47,16 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 9,76 % 1,28 % 10,80 % 3,84 % La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[25]).
Population et société
Démographie
Enseignement
La commune dispose d'une école primaire publique[30],[31]. Ensuite les élèves sont affecté au collège Marcel-Massot à La Motte-du-Caire[32]. Puis ils poursuivent au lycée de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[33],[34].
Santé
Ce petit village ne possède aucun professionnel de santé. Le médecin le plus proche se trouve dans les Hautes-Alpes à La Batie-Neuve[35]. La pharmacie du secteur se situe à La Motte-du-Caire à 4 km[36]. L'hôpital le plus proche est le centre hospitalier de Sisteron éloigné de 17 km[37].
Culte
Le culte catholique se pratique en l'église Notre-Dame de Clamensane, où la messe dominicale est célébrée le 4e dimanche du mois[38].
Les musulmans doivent se rendre soit à la mosquée En-Nasr de Manosque, soit à la mosquée Younés à Digne-les-Bains[39].
Économie
Agriculture
La commune du Clamensane possède deux labels Appellation d'origine contrôlée (AOC) (Huile essentielle de lavande de Haute-Provence et Banon) et neuf labels Indication géographique protégée (IGP) (Pommes des Alpes de Haute-Durance, Miel de Provence, Agneau de Sisteron, Alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de méditerranée blanc, rouge et rosé)[40].
Fromage de Banon
Le banon est protégé par une AOC depuis 2003. C'est le premier fromage de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur à obtenir une appellation d'origine contrôlée. L'INAO a donné son accord pour sélectionner selon les « usages locaux, loyaux et constants » 179 communes dont la production du lait des élevages de chèvre de races provençale, rove et alpine peut revendiquer l'appellation, dont 111 dans les Alpes-de-Haute-Provence, 33 dans les Hautes-Alpes, 21 dans la Drôme et 14 dans le Vaucluse.
C'est un fromage à pâte molle à croûte naturelle, élaboré à partir de la technique du caillé doux et moulé à la louche avant d'être emmitouflé dans des feuilles de châtaigniers brunes et liées par un brin de raphia naturel[41]. Il est auparavant trempé dans de l'alcool pour éviter les moisissures.
Miel de Provence
Le miel de Provence est protégé par un label rouge associé à une indication géographique protégée tant pour le miel toutes fleurs et que pour le miel de lavande et lavandin[42]. L'apiculture mobilise nombre de producteurs. Ils sont estimés à 4 500 dont 700 possèdent entre 70 et 150 ruches. La production régionale est de 2 000 T/an soit 8% de la production nationale[43]. Nombre d'entre eux pratiquent la transhumance selon un trajet allant du littoral vers la Haute-Provence. L'été est la saison privilégiée pour le miel de lavande et les ruches sont installées dans une zone limitée au Nord par une ligne Montélimar / Digne avec au Sud le mont Ventoux, le plateau d'Albion, la montagne de Lure, les monts de Vaucluse et le massif du Luberon. Le miel toutes fleurs est élaboré dans une vaste zone limitée par Nîmes, Montélimar, Gap, Digne, Nice, Toulon, Marseille et Avignon[44].
Agneau de Sisteron
L'agneau de Sisteron est un agneau de quatre mois, élevé sous la mère et originaire des Alpes provençales et de la Drôme provençale. Issus d'élevages traditionnels, avec des mères de races Mérinos d'Arles, Mourérous ou Préalpes du Sud qui les allaitent au moins pendant deux mois, sur un espace pastoral comptant moins de 10 brebis à l'hectare et comportant au minimum 10 hectares de parcours[45], ces agneaux ont droit, sous le contrôle l'INAO, au label rouge accordé par un décret gouvernemental en date du 3 janvier 2005[46]. L'Union européenne lui a accordé une indication géographique protégée depuis le 15 février 2007[47].
Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[48].
Pommes des Alpes de Haute-Durance
Les pommes des Alpes de Haute-Durance ont obtenu une Indication géographique protégée qui a été a été publiée au Journal Officiel de l'Union européenne le 17 avril 2010[49].
Ces pommes de variétés golden delicious et gala proviennent de six cantons des Alpes-de-Haute-Provence et de treize cantons des Hautes-Alpes situés entre 450 mètres et 900 mètres d’altitude. La qualité de ces pommes est liée à leur terroir, et en particulier au climat de la Haute-Durance avec plus de 300 jours d'ensoleillement par an. Le froid nocturne qui règne lors de la maturation des pommes empêche la dégradation des acides, tandis que la forte amplitude thermique diurne permet leur jaunissement, et même leur rosissement[50].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Pont Noir
- Ancien village en ruines
- Église Notre-Dame (1830-1831), jugée élégante par Raymond Collier, sa voûte est en berceau brisé, coiffant une nef flanquée de deux collatéraux[51]. Elle possède six vitraux ornés[52]. Le retable et son tableau représentant la Création des anges, du XVIIIe siècle, sont classés monument historique au titre objet[53] ;
- cluses dans la vallée de la Sasse
- chapelle Saint-Amand[12]
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
« De gueules à deux croisettes pattées d’or et deux étoiles du même, en chef et en pointe, et un cœur d’argent en abîme. »[54]Pour approfondir
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
Liens internes
Liens externes
Notes et références
- (fr) Nom des habitants des communes françaises, Clamensane sur le site habitants.fr de la SARL Patagos. Consulté le 21 juin 2011
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7)
- Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
- Les chaînons de Digne, Carte très schématique, montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale), par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- La Nappe de Digne et les structures connexes, par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- Carte géologique de la France au 1/1 000 000
- (fr) Station météo la plus proche : Tallard, MSN Météo
- (fr) Relevé météo de Tallard, MSN Météo
- Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 401
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes § 10221, p 622
- (fr) Olivier Merlin, Provence, p. p. 140
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 171 Sous la direction d’
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
- (fr) nombre des membres du conseil municipal des communes, Legifrance
- Résultats élections municipales 2008 à Clamensane sur linternaute.com
- (fr) Clamensane : le maire Elsa Raymond annonce sa démission sur alpes1.com, 20 juin 2010
- Jean-Marie Le Pen (FN) à l’élection présidentielle de 1995, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1995, page 5736, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010 Jean-François Giacomino est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de
- Bruno Mégret (MNR) à l’élection présidentielle de 2002, cf Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002 Jean-François Giacomino est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de
- Site de la préfecture des AHP
- (fr) Communauté de communes de La Motte du Caire - Turriers sur pays-sisteronais-buech.fr
- (fr) Le Pays Sisteronais-Buëch sur pays-sisteronais-buech.fr
- notice communale de Clamensane sur la base de données Cassini, consultée le 24 juillet 2009 EHESS,
- (fr) Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence, Ministère de la Justice et des Libertés
- (fr) Impots locaux à Clamensane, taxes.com
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 10 janvier 2009 Insee,
- Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010 Insee,
- (fr) Populations légales 2008 de la commune de Clamensane, INSEE
- Clamensane sur le site de l'Insee
- (fr) Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des écoles de la circonscription de Sisteron, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010 Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence,
- (fr) Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 8 novembre 2004
- (fr) Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Site de la cité scolaire Paul Arène, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Médecins les plus proches de Clamensane sur actuacity.com
- (fr) Pharmacie près de Clamensane sur actuacity.com
- (fr) Hôpitaux les plus proches de Clamensane sur actuacity.com
- (fr) Messe à Clamensane sur Messe Info
- (fr) Culte musulman des Alpes-de-Haute-Provence sur l'Annuaire Musulman
- (fr) Liste des appellations AOC et IGP à Clamensane sur INAO
- Bernard Teyssandier, Connaître les fromages de France du terroir à la table, éditions Jean-Paul Gisserot, 1994, p. 63.
- Site légifrance relatif à la parution au JO de l'arrêté du 30 juillet 2009
- Les apiculteurs en Provence
- La transhumance des ruches provençales
- Site officiel de l'agneau de Sisteron
- Homologation agneau de Sisteron du 3 janvier 2005
- IGP de l'Union européenne en date du 15 février 2007
- Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 751.
- (fr) Les Pommes des Alpes de Haute-Durance obtiennent l'IGP, INAO, 19 avril 2010
- (fr)Fiche INAO de l'IGP Pommes des Alpes de Haute-Durance, INAO, 17 avril 2010
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 379
- op. cit., p 528 Raymond Collier,
- Retable, tableau : Création des anges, sur la base Palissy, ministère de la Culture, consultée le 4 novembre 2008 Arrêté du 30 janvier 1995,
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
Catégorie :- Commune des Alpes-de-Haute-Provence
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