- Oraison (Alpes-de-Haute-Provence)
-
Oraison
Ville d'Oraison
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Digne-les-Bains Canton Mées Code commune 04143 Code postal 04700 Maire
Mandat en coursMichel Vittenet
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes Intercommunalité du Luberon Oriental Site web Site officiel Démographie Population 4 999 hab. (2007) Densité 130 hab./km² Gentilé Oraisonnais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 323 m — maxi. 645 m Superficie 38,42 km2 Oraison (en provençal Aurasoun dans la norme mistralienne et Aurason dans la norme classique) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Oraisonnais.
Sommaire
Étymologie
Les Ligures qui vivaient dans la région sont apparemment à l'origine du mot "Oraison" : le spécialiste Charles Rostaing estime que le toponyme est probablement antérieur aux Gaulois[1].
Une étymologie populaire tire parti de la situation antérieure du village, bâti sur les hauteurs (colline du Tholonet au lieu-dit Villevieille) et exposé à tous les vents (auro en provençal). Cette situation lui valut le nom d’Auraisonum, contraction de "Auroe sonum", qui devint Oraison[2].
Géographie
Oraison est située au confluent de la Durance et de l’Asse et se situe au pied de la colline du Tholonet. La commune a une superficie de 38,42 km² et culmine à 645 m
Accès et transports
Gare ferroviaire et gare routière à moins de 5 km. Oraison se situe à 14 km de Manosque (à vol d'oiseau) et à 32 km de Digne.
Principaux hameaux
- La Grande Bastide
- Les Buisonnades
- Les Couès
- La Tuilière
- Saint-Pancrace
Communes voisines[3]
Climat
Oraison est soumis à un climat méditerranéen d'intérieur, très semblable à celui que l'on trouve dans le reste de la Provence à basse altitude. Les hivers sont frais, avec des gelées fréquentes, tandis que les étés sont très chauds et secs, avec quelquefois des orages.
Mois Janv. Fév. Mars Avr. Mai Juin Juil. Août Sept. Oct. Nov. Déc. Année Températures maximales moyennes (°C) 8,4 10,4 13,5 16,8 20,9 24,9 29,0 28,4 24,6 19,2 12,8 9,1 18,2 Températures minimales moyennes (°C) -0,4 0,5 2,3 5,2 8,4 12,0 14,8 14,3 11,7 7,8 3,2 0,4 6,7 Températures moyennes (°C) 4,0 5,4 7,9 11,0 14,7 18,5 21,9 21,3 18,1 13,5 8,0 4,8 12,4 Ensoleillement (h) 155,8 155,9 209,9 225,2 256,7 291,8 343,0 312,8 250,5 205,5 161,3 154,4 2755,5 Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 51,8 58,2 58,0 67,2 73,4 61,3 40,7 61,3 59,3 81,5 64,6 58,8 735,8 Source : Archives climatologiques mensuelles - Saint-Auban (1961-1990) La ville bénéficie d’un climat méditerranéen avec 2750 heures de soleil par an soit environ 300 jours.[réf. nécessaire]
Histoire
Le village primitif était situé sur la colline du Tholonet (au lieu-dit Villevieille). Des traces de l'occupation romaine existent en de nombreux points de la commune : dans la plaine de la Durance dont les colmatages avaient été réalisés à l'époque romaine à des fins agricoles et artisanales (four de potier, villa, tuilerie).
La localité est citée dès le XIIe siècle[4]. La maison d'Oraison est l'une des plus anciennes familles provençales. Hugues d'Oraison, seigneur d'Oraison et de Clumanc, est, d'après les recherches[Qui ?], le premier seigneur de ce village[réf. nécessaire]. La baronnie est érigée en marquisat en 1588 pour François d’Or[5].
Au cours du XVIIIe siècle, comme dans toute la France, les seigneurs tentent de réactiver d’anciens droits pour augmenter leurs revenus, ou de revenir sur les droits des paysans. C’est ainsi qu’en 1770, le marquis d’Oraison interdit le glanage. En réaction, la communauté d’Oraison décrète l’interdiction de moissonner les terres du seigneur, et punit d’amende les contrevenants, ce qui pousse le seigneur à négocier[6].
Durant la Révolution, une société patriotique est fondée assez précocement, à l’été 1792[7] et le château démoli[8]. En 1792-1793, la section est contrôlée par les fédéraliste. En relations avec la section de Marseille, elle diffuse les idées des Girondins, jusqu’à leur proscription le 31 mai 1793 et l’écrasement de l’insurrection fédéraliste en juillet. Le tribunal révolutionnaire prononce une condamnation à mort à Oraison[9].
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
« d’or à une fasce d'azur, chargée de trois losanges d’argent et accompagnée de deux vaches passantes et contournées de gueules, l’une en chef, l’autre en point »[10]Administration
Intercommunalité
Oraison fait partie de la Communauté de communes Intercommunalité du Luberon Oriental
Cette intercommunalité est composée des communes suivantes :La Brillanne, Le Castellet, Entrevennes, Oraison, Puimichel, Saint-Maime, Villeneuve et Volx
Liste des maires
Liste des maires d’Oraison de la Révolution française à la LibérationListe des maires de 1790 à 1944[11] Période Identité Étiquette Qualité 7 avril 1848 octobre 1848 Joachim Chaudonny médecin, maire,
au sein de la Commission municipale provisoire
réélu en août 1848,
démissionnaire en octobre 18484 février 1849 juillet 1849 Louis Aiglun adjoint,
maire intérimairejuillet 1849 15 août 1849 Joseph Déthez maire intérimaire 15 août 1849 27 octobre 1850 Louis Aiglun 27 octobre 1850 15 décembre 1850 Joachim Chaudonny 26 décembre 1850 16 décembre 1851
(révoqué suite au coup d’État de 1851)Joseph Déthez receveur des douanes,
déporté en Algérie16 décembre 1851 12 novembre 1855 Antoine Arnoux nommé par le colonel commandant l’état de siège du département[12] 12 novembre 1855 29 avril 1856 Louis Aiglun 29 avril 1856 5 mars 1858 Joseph Reynoard 5 mars 1858 18 mars 1860 Jean-Baptiste Féraud 18 mars 1860 5 juillet 1863 François Hugues 5 juillet 1863 9 septembre 1865 Michel Hugues 9 septembre 1865 22 novembre 1868 Ambroise Laugier 22 novembre 1868 7 octobre 1870 Louis Laurens 7 octobre 1870 17 octobre 1870 Joseph Déthez Président commission provisoire 17 octobre 1870 9 avril 1871 Jean-Baptiste Barnier Président commission provisoire 9 avril 1871 8 mai 1871 Louis Laurens Président de la commission municipale 8 mai 1871 15 mars 1874 Joachim Chaudony 15 mars 1874 8 octobre 1876(?) Albin Aubet 8 octobre 1876(?) 24 avril 1881 Joachim Chaudony 24 avril 1881 15 janvier 1882 Elzéar Reyne 15 janvier 1882 18 mai 1884 Achille Negre 18 mai 1884 12 juin 1887 Pierre Aubert 12 juin 1887 15 mai 1892 Jean-Baptiste Jaubert 15 mai 1892 15 mai 1904 Auguste Siaud 17 mai 1904 10 juillet 1910 Dr Aubert 10 juillet 1910 10 décembre 1919 Joseph Plane 10 décembre 1919 6 février 1941 Victor Gérard 6 février 1941 17 août 1942 Auguste Baille Président de la délégation spéciale 17 août 1942 21 août 1944 Barou Président de la délégation spéciale 21 août 1944 Octave Chaix Président du Comité local de Libération Liste des maires depuis la Libération Période Identité Étiquette Qualité 21 août 1944 29 avril 1945 Justin Reynaud 1er adjoint puis maire 29 avril 1945 2 novembre 1947 Émile Bonnet 2 novembre 1947 20 juillet 1975 Marcel Sauvecane 20 juillet 1975 25 juin 1995 Jean Santucci PS Conseiller général 25 juin 1995 réélu en 2008[13] Michel Vittenet UDF puis DVD Pharmacien Le conseil municipal ne se réunit pas d’octobre 1848 à février 1849, suite à la répression par 450 soldats du 22e léger, en garnison à Digne des manifestations contre l’impôt des 45 centimes (système des soldats garnissaires). De nouvelles élections municipales ont lieu en juillet 1849, le nouveau maire n’est élu qu’en août 1849.
Joseph Déthez, maire républicain ou montagnard en 1851, est condamné après le coup d'État du 2 décembre 1851 à la déportation en Algérie, car il était favorable à l’opposition. Il est nommé à l’unanimité président de la commission provisoire en 1870, probablement à titre de reconnaissance et de réhabilitation. À 84 ans, il démissionne 10 jours plus tard, pour raisons de santé[14].
Conseil municipal
Conseil municipal d'Oraison (mandature 2008-2014)[15] Liste Tendance Président Effectif Statut « Oraison pour tous » DVD Michel Vittenet 22 Majorité « Ensemble vers un nouvel horizon » DVG Joëlle Joselet 5 Opposition Budget municipal et fiscalité
L'endettement de la commune au 31/12/07 s'élève à 4 079 000 €[16]. En 2007, la taxe d'habitation s'élève à 7,87 % (en comparaison le taux départemental est de 5,53 %). On peut constater une baisse de ce taux par rapport à 2002 (24,46 %). Le taux de la taxe sur le foncier bâti et de 25,70 % (celui de la taxe sur le foncier non bâti de 57,36 %) et celui de la taxe professionnelle de 0 % (au niveau communal).
Jumelage
Environnement et recyclage
La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la Intercommunalité du Luberon Oriental.
Démographie
Courbe d'évolution démographique d’Oraison depuis 1765
Le déséquilibre entre les hommes et les femmes est plus marqué à Oraison que dans le reste de la France : 52,91 % de femmes à Oraison, contre 51,4 % en France. L’augmentation du nombre d’hommes est également plus faible, entre 1990 et 1999 : 14,58 % pour les hommes et de 15,26 % pour les femmes.
La tranche d’âge la plus importante est celle des 60-74ans (19,8 %), suivie par les 30-44 ans. On constate une population relativement vieille, même si elle se rajeunit entre 1990 et 1999 (les tranches 0-44 ans ont légèrement augmenté à l'inverse des tranches 45-95 et plus).
Logement
En 1999 Oraison comptait 2 136 logements (augmentation de 13,6 % par rapport à 1990) dont 1 774 étaient des résidences principales (83 % du total). La même année 61,1 % des résidents étaient propriétaires contre 34,5 % de locataires[23]
Le parc immobilier est composé principalement de bâtiments construits entre 1975 et 1989 (35,9 %) et construits avant 1945 (26,6 %). Toujours en 1999 0,8 % des logements n'étaient équipés ni de douche, ni de baignoires.
Toujours à la même année 59 % des logements comportaient plus de 4 pièces, suivis par les logement de 3 pièces (28,6 %), enfin les studios représentent 3,8 % des logements. Depuis quelques années, de nombreuses zones jusqu'alors non habitées se sont construites (sud de la ville).
Économie
L'économie de la commune dépend principalement de l'agriculture et de l'industrie agro-alimentaire.
La commune compte une coopérative céréalière, plusieurs conserveries, une centrale hydro-électrique souterraine.
Emploi et revenus Revenus moyens par ménage 15 121 € / an Population active 1549 (pour 4122 hab) Taux de chomage (2006) 10,50% Nb d'entreprises pour 1000 Habitants 54,65 ‰ Lieux et monuments
Autres monuments, les ruines de Villevieille , le pont aux 7 arches , le pont roman, les fontaines du village..;
Kiosque à musique
Château
Le château[24] situé en plein centre ville fut construit à la fin du Moyen Age ou pendant la Renaissance par la famille d'Oraison. Il fut profondément remanié par la famille de Fulque, originaire de Valensole, qui fit l'acquisition du marquisat d'Oraison en 1720. Ce château, conservé par cette même famille de Fulque jusqu'à la Révolution de 1789 et après, fut vendu en 1806 à trois particuliers du lieu. On le suréleva par la suite d'un étage pour y loger une magnanerie (Laugier). Louis Pasteur viendra d'ailleurs y étudier en 1868 les maladies du magnan (magnan, nom du ver à soie en provençal). Dans les année 50, cette magnanerie alors désaffectée, abrita un temps "l'usine" des cartes postales d'Oraison qui migra par la suite jusqu'à l'emplacement de l'actuelle gendarmerie.
Architecture utilitaire
Le petit pont de pierre[25]en dos-d’âne dit "roman" (car il est construit exactement selon les techniques médiévales) sur le Rancure fut construit en 1697[26] et fait 35 m de long, avec une arche de 25 m. Il a été construit pour conduire les eaux de la source de la Boucharde jusqu'aux fontaines du village.
Le pont[27] à 7 arches entre La Brillanne et Oraison, long de 285 mètres, est inauguré le 2 avril 1888.
L’hippodrome, le 1er hippodrome des Basses-Alpes date du 25 novembre 1900.
En 1950 la municipalité de Marcel Sauvecane achète les jardins qui se trouvaient devant le château pour en faire un terrain de foot et un jardin public (transformé en parking public en 2007).
Oraison a un plan d'eau, le plan d'eau "les Buissonnades".
Églises, chapelles et oratoires
L'église Notre-Dame-du-Thor fut construite au XVIe siècle puis agrandie au XVIIe siècle[24] : elle est d'architecture gothique (croisée d'ogive, arcs brisés, tiercerons, ...) sur la partie Est (chœur) et romane (arcs plein cintre) sur la partie ouest. Son clocher qualifié de "point noir" de la commune au milieu du XIXe siècle fut détruit puis reconstruit en 1862 grâce au curé Richaud qui finança l'essentiel du projet. La commune se chargea de faire réaliser la flèche en pierre de Mane. La cloche du XVIIe siècle provient du village d'Ubaye englouti sous les eaux en 1958, elle a été installée en 1962.
La chapelle Saint-Pancrace date du XIIe siècle
Vie locale
Fêtes et animations
Le marché a lieu tous les mardi
La fête votive est le 1er week-end de mai et la fête de Saint Pancrace le 2e dimanche de mai
Sports
Oraison possède deux stades, le stade Sauvecanne et le stade Giai Minet, celui-ci comportant un dojo et un gymnase.
Oraison a aussi un terrain de boules et un skate park.
Les clubs sportifs sont ceux de football, ping-pong, tennis, judo, boules , hockey sur roller....
Loisirs
- Randonnées pédestres
- Il existe deux sentiers botaniques sur la commune :
- sentier botanique du lac des Buissonnades,
- et le sentier du pont roman.
Plusieurs équipements de loisir sont disponibles sur la commune : piscine ouverte l'été, itinéraires VTT, lac de pêche (aux Buisonnades) et les rivières sont classées 1re et 2e catégorie ainsi qu'un site de vol libre de parapente (Relais).
Il y a aussi un poney-club près du pont de l’Asse.
Education
La commune est dotée de quatre établissements d’enseignement, qui relèvent de l’académie Aix-Marseille :
- trois écoles, une primaire, une annexe de l'école primaire et une maternelle[28] ;
- le collège Dr J.M.G Itard[29].
Cultes
La messe hebdomadaire se déroule le dimanche à 10h30.
Hébérgements
La commune compte 1 hôtel-restaurant, 1 camping et plusieurs gîtes et chambres d'hôtes.
Personnalités liées à la commune
Docteur J.M.G. Itard, célèbre pour son travail sur le cas de l'enfant sauvage.
Louis Pasteur, (il a séjourné au château en 1868 où il a étudié les maladies du ver à soie).
Romain Selsis (1898-1956), poète qui vécut à Oraison.
Documents
- Les Insurgés républicains d'Oraison et du Val de Rancure, Christian BLANC, Ed Rancure, novembre 2007.___
- Le pays d'Oraison, Christian BLANC, Ed Alpes de Lumière, mai 1985.___
- Le Petit Pont de Pierre et ses fontaines, Christian BLANC, Yannick et Claude SAUVE, Ed Rancure, août 1998.___
- Rancure, Christian BLANC, Ed Rancure, mai 1996.___
- Histoire d'une gare, Claude SAUVE, Ed Rancure, mai 1999.___
- Les Dynasties seigneuriales Oraisonnaises, Joseph MONARD, Ed Rancure, 2002.___
- Le Temps retrouvé Claude SAUVE Ed Equinoxe.___
- Mémoire en Images Claude SAUVE Ed Alan Sutton.___
- Regards croisés Claude SAUVE Ed Alan Sutton.'
Voir aussi
Articles de Wikipédia
- Communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Gare de La Brillanne-Oraison
- Huile d'olive de Provence AOC
Liens externes
Sources
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
Notes
- Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
- Office de tourisme d'Oraison
- Géoportail, consultation à l’échelle Ville + 1/4, le 12 décembre 2008 IGN,
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7)
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 188 Sous la direction d’
- ISBN 978-2-07-035971-4, p. 251 Jean Nicolas, La Rébellion française : mouvements populaires et conscience sociale, 1661-1789, Paris : Gallimard, 2008. Collection Folio,
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-297
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 243
- Michel Vovelle, « Diffusion et répression du mouvement fédéraliste en 1793 », carte 157 et commentaire, in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- Louis de Bresc Armorial des communes de Provence 1866. Réédition - Marcel Petit CPM - Raphèle-lès-Arles 1994
- ISBN 978-2-9531011-0-2, p 34 et 41-42 pour les maires de 1848-1852 Christian Blanc, Jean Vivoli (illustrateur), Les insurgés républicains d’Oraison et du Val de Rancure, décembre 1851, Oraison, Association Rancure, 2008,
- Blanc-Vivoli, Les Insurgés..., p 81
- Site de la préfecture des AHP
- Blanc-Vivoli, Les Insurgés..., p 35
- Liste des élus au conseil municipal en 2008 sur le site linternaute.com Consulté le 08/04/2010.
- http://alize2.finances.gouv.fr/communes/eneuro/detail.php?icom=143&dep=004&type=BPS¶m=0&exercice=2007 Comptes sur le Minefi
- Annuaire des communes jumelées
- Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009 Insee,
- Blanc-Vivoli, Les Insurgés..., p 16
- Oraison sur le site de l'Insee
- notice communale d’Oraison sur la base de données Cassini, consultée le 28 juillet 2009 EHESS,
- Pyramide des âges, Recensement 1999 sur le site de l'INSEE
- http://www.recensement.insee.fr/RP99/rp99/c_affiche.affiche?nivgeo=C&codgeo=04143&produit=P_LOGA&theme=ALL&typeprod=ALL&lang=FR -logement à oraison -Les occupants
- Collectif, Oraison, Patrimoine et Histoire, Ed Rancure, à paraître.
- Rancure, Histoire d'un torrent de Haute-Provence, Christian Blanc, Ed Rancure, mai 1996 ; page 16 et suivantes.
- ISBN 2-906162-81-7, p 104 Philippe Autran, in Autran, Guy Barruol et Jacqueline Ursch, D’une rive à l’autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de lumière no 153, Forcalquier, 2006.
- "in" Histoires d'un pont, 1888 - 1988, Christian Blanc, 1988, page 11 et suivantes.
- Liste des écoles de la circonscription de Sisteron-Sud, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010 Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence,
- Liste des collèges publics, publiée le 6 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010 Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence,
Catégories :- Commune des Alpes-de-Haute-Provence
- Ancien chef-lieu de canton des Alpes-de-Haute-Provence
Wikimedia Foundation. 2010.