Allemagne-en-Provence

Allemagne-en-Provence
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43° 46′ 59″ N 6° 00′ 28″ E / 43.7830555556, 6.00777777778

Allemagne-en-Provence
Le Château
Le Château
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Canton Riez
Code commune 04004
Code postal 04500
Maire
Mandat en cours
Christian Matheron
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes Luberon Durance Verdon

Pays de Haute-Provence

Démographie
Population 497 hab. (2008)
Densité 15 hab./km²
Gentilé Allemagniens ou Armagnois
Géographie
Coordonnées 43° 46′ 59″ Nord
       6° 00′ 28″ Est
/ 43.7830555556, 6.00777777778
Altitudes mini. 389 m — maxi. 622 m
Superficie 32,99 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Allemagne-en-Provence (Alemanha de Provença en provençal selon la norme classique et Alemagno de Prouvènço selon la norme mistralienne) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Sommaire

Géographie

Accès

Allemagne en Provence est située le long de la RD 952, entre Gréoux-les-Bains et Riez.

Lieux-dits et hameaux

En plus du village, la commune comporte 2 hameaux :

  • Saint-Antoine ;
  • Puberclaire.

Communes limitrophes

Relief

L'altitude moyenne de la commune est de 421 m.

Géologie

Risques naturels

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul (quel que soit le risque naturel envisagé). La commune d’Allemagne-en-Provence est exposée à quatre types de risques : feu de forêt, inondation, mouvement de terrain et séisme[1]. Comme le reste du canton, la commune est située en zone de risque 1b (risque faible).

Un plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) existe pour la commune[2], il a été approuvé en 1998 et concerne les inondations et les séismes[3].

Hydrographie

Le village est situé au confluent du Colostre[4], rivière de 36,3 km et du torrent de Montagnac.

Au XIXe siècle, chaque orage provoquait l’inondation du village, les torrents qui dévalaient la montagne engravant les rues du village.

Climat

Toponymie

La localité apparaît pour la première fois dans les textes dès 429, dans la Chronologie de Lérins[5]. L’étymologie de ce lieu a suscité de nombreuses hypothèses, notamment pour l’éloigner des Alamans. Depuis un demi-siècle, qui relèvent la forme Alamania en 1182, le nom de la localité est formé sur celui de l’ethnie des Alamans (avec le suffixe -ia), et perpétue le souvenir d’une colonie installée avant les grandes invasions[6],[7].

Des conjectures anciennes, abandonnées par les spécialistes, avançaient que le nom du village n'a rien à voir avec la Germanie, mais vient d'une déesse gauloise de la fertilité (Alemona) vénérée par une garnison romaine installée sur le site de l'actuel château, ou que Armagnia (mauvaise graphie datant du XIIIe siècle[5]) vienne de area magna, « grande plaine de graviers »[5],[8],[9].


Histoire

Allemagne et ses seigneurs

Vers l’An mil, il y avait deux châteaux sur le terroir de la commune, au Castellet et à la Moutte[10]. Les deux autres (Notre-Dame, Saint-Marc) sont postérieurs.

La motte castrale de la Moutte est fortifiée une première fois dans la deuxième moitié du IXe siècle : sur une plate-forme de 450 à 500 m², deux bâtiments d’habitation sont construits, dont un utilisant l’antique technique du murus gallicus. Ce bâtiment de 30 m² est entouré d’une galerie sur deux côtés, l’autre fait environ 50 m². L’ensemble est incendié volontairement peu avant l’an 1000, afin de remblayer à nouveau la motte pour la surélever de 2 m environ[11]. La seconde construction consiste en un seul bâtiment de 54 m², incendié vers 1010, lors d’une attaque[12]. Il est possible que le château du Castellet corresponde à un déplacement de ce premier château[11].

La seigneurie d’Allemagne appartient aux Castellane du XIIIe au XVe siècles, puis aux Oraison[13].

Les Castellane

La seigneurie d'Allemagne est entrée dans les biens des Castellane en 1218 à l'occasion du mariage d'Agnès Sarda (ou Spata) avec Boniface IV de Castellane. La même année Agnès Spata accorde des franchises aux villageois. La seigneurie d’Allemagne est érigée en baronnie vers 1280[14].

Au XVe siècle, l’ancienne communauté du Castellet, distincte d’Allemagne avant la crise du XIVe (Peste noire, guerre de Cent Ans) est réunie à celle d’Allemagne, car trop dépeuplée[13].

Ce fut en 1440 que, en vertu du testament de Boniface IX de Castellane, la baronnie d'Allemagne fut séparée des terres appartenant aux Castellane et attribuée au fils aîné du testateur, Antoine. Le fils de ce dernier, Boniface X, lui succéda et épousa en 1472 Marguerite de Forbin.

Son fils, François de Castellane-Allemagne, baron d'Allemagne, agrandit le château d’Allemagne et mourut le 28 janvier 1523.

Leur fils Melchior de Castellane-Allemagne, baron d'Allemagne, ne se maria pas et légua ses biens à Nicolas Mas, son neveu, à condition qu’il porte son nom et ses armes. Chef du parti protestant, il fut tué en 1560 pendant les guerres de religion, lors d’un combat sur sa terre. Il agrandit et embellit le château d’Allemagne.

Un petit château était construit sur un coteau au sud du village, Castelletum de Alamania. Au quatorzième siècle, il tombe entre les mains de bandits, les Chamisard, qui en font leur base d’opérations pour rançonner le voisinage. Pour y mettre un terme, les habitants de Riez se réunirent et chassèrent les Chamisard du châtelet, qu’ils démolirent par la suite. Un pacte de désistement du 17 juin 1417 signé par Boniface de Castellane, seigneur d'Allemagne, précise que le seigneur du lieu abandonne ses poursuites contre la communauté de Riez pour la démolition du Castellet.

La bataille de 1586

En août 1586, le capitaine ligueur Hubert de Vins assiège le château d'Allemagne, où la baronne se trouvait seule avec sa garnison commandée par le seigneur d'Espinouse. Elle résista 16 jours et donna ainsi à son mari Nicolas Mas-Castellane le temps d'accourir avec l'armée protestante.

Celui-ci arrive début septembre avec l’appui de Lesdiguières, entouré des hommes des seigneurs d’Oraison, de Jerante-Senas, de Vintimilles-Tourves, de Forbin-Janson, et autres, tous ennemis de De Vins. Arrivé aux environs d'Allemagne, Lesdiguières s'empara des hauteurs et de tous les passages y aboutissant et manque de peu l’encerclement des troupes ligueuses. De Vins abandonne alors la tranchée qui durait depuis 16 jours, et se range en bataille sur le coteau de Saint-Marc. Le combat s'engagea, le 5 septembre 1586. Le baron d'Allemagne engage l’action à la tête des volontaires. Les Ligueurs réussissent à s’ouvrir un passage vers Riez où ils s’abritent, poursuivis par les huguenots. Un des derniers coups d’arquebuse frappa le baron d’Allemagne à la tête et le tua sur le pont de son château (5 septembre 1586[15]). Sa veuve, Jeanne de Grasse, présida à ses funérailles et fit exécuter sur sa tombe onze prisonniers catholiques. C’est néanmoins une importante victoire protestante : les Ligueurs perdent 900[16] à 1200 hommes (tués, blessés et prisonniers) et 18 drapeaux[17], et 18 drapeaux sur 22 qu'ils avaient. La plus grande partie des prisonniers sont égorgés à la nouvelle de la mort du baron d'Allemagne. Douze autres furent encore exécutés le lendemain sur sa tombe.

Les Oraison

Alexandre du Mas de Castellane-Allemagne, baron d'Allemagne (1583-1612), fils de Nicolas, avait épousé en 1610, Marthe d’Oraison. En 1612 Alexandre du Mas, ayant eu une querelle avec Annibal de Forbin, seigneur de La Roque, un duel s’ensuivit. Les deux duellistes se mirent dos à dos, se lièrent le bras et en se retournant se frappèrent mortellement. Leurs biens furent saisis par la reine régente, qui donna ceux d’Alexandre à son frère Jean Louis qui les remit à sa nièce Gabrielle du Mas que ruinait la confiscation. Sans postérité de son mariage avec Antoine de Villeneuve, marquis des Arcs, elle testa en faveur de son cousin André d’Oraison.

Marthe d’Oraison est la fondatrice du couvent des capucins de Marseille dont elle prit l’habit sans prononcer les vœux à la mort de son mari. Elle se consacra ensuite au service des pauvres à l’Hôtel Dieu de Paris où elle mourut en 1637 et fut enterrée dans le cloître des capucins Saint-Honoré

André d’Oraison (cousin issu de germain de Gabrielle du Mas), marquis d’Oraison, baron d'Allemagne à la mort de Gabrielle du Mas de Castellane-Allemagne, épousa Gabrielle de Gianni La Roche. Ils eurent trois enfants dont Madeleine qui épousa en 1699 Jacques Louis d’Ancezune,.

Les Varages

Le 24 novembre 1718, elle cède à Jean-Baptiste de Varages, secrétaire du roi près la Cour des comptes de Marseille depuis le 16 février 1712, la baronnie d'Allemagne pour la somme de 216 000 livres.

Pendant la Révolution, Joseph François de Varages, baron d'Allemagne, officier du régiment d'Angoumois, aide de camp du général de Villeneuve, est blessé à Toulon en défendant la ville du côté royaliste en 1793 (voir siège de Toulon). Puis il émigre et ses biens sont déclarés biens nationaux. Il ne rentre en France, ruiné, qu'à la Restauration.

Avec son fils Alexandre de Varages, baron d'Allemagne (1815-1891), s'éteignit à Aix-en-Provence la branche de Varages-Allemagne. Il testa en faveur de Paul d'Allemagne, petit-fils du général de division Claude d'Allemagne, déjà baron d’Empire, qui, de ce fait, reprit les armes des Varages-Allemagne (d’azur à deux lions affrontés d’or soutenant une étoile du même)

Révolution française

La société patriotique de la commune y est créée pendant l’été 1792[18]. En 1793, le château est désigné comme pouvant être détruit, mais échappe à la démolition[19].

XIXe siècle

Dans le deuxième moitié du XVIIIe siècle, l’industrie de la faïence est prospère à Allemagne, et le reste jusque dans les années 1820. Son style imitait les faïences de Moustiers-Sainte-Marie[20].

XXe siècle

En 1930, la coopérative construit une distillerie de plantes à parfum[21].

Héraldique

Blason Allemagne en Provence.svg

Blasonnement :
« de gueules à un château d’or, flanqué de quatre tours pavillonnées du même »[22].

Économie

Administration

Intercommunalité

Allemagne-en-Provence fait partie de la Communauté de communes Luberon Durance Verdon.


Cette intercommunalité est composée des communes suivantes :

Allemagne-en-Provence, Brunet, Esparron-de-Verdon, Gréoux-les-Bains, Manosque, Montagnac-Montpezat, Montfuron, Puimoisson, Quinson, Saint-Laurent-du-Verdon, Saint-Martin-de-Brômes, Valensole et Vinon-sur-Verdon.

Municipalité

Mairie d'Allemagne-en-Provence
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
1983 (?)   Lucien Villecroze[23] UDF Conseiller général
mars 2001 réélu en 2008[24] Christian Matheron    

Enseignement

La commune est dotée d’une école maternelle[25].

Tendances politiques

Urbanisme

Budget et fiscalité

L'imposition des ménages et des entreprises à Allemagne en Provence en 2009[26]
Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 9,23 % 0,00 % 5,53 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 27,47 % 0,00 % 14,49 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 65,69 % 0,00 % 47,16 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 20,84 %* 0,00 % 10,80 % 3,84 %

La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable. La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale).

Jumelages

Démographie

Évolution démographique
Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 679 690 679 687 724 730 678 671 619
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 604 605 607 580 580 579 531 499 472
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 438 419 414 331 318 301 321 301 260
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 -
Population 215 219 202 258 355 379 488[27] 494[28] -
Notes, sources, ... Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
Sources : Insee[29], EHESS[30]
Courbe d'évolution démographique d’Allemagne-en-Provence depuis 1793

Lieux et monuments

Architecture civile

Dans le village, à l’angle d’une place, maison de la fin du XVIe siècle-début du XVIIe, avec porte dotée pilastres à impostes de style toscan, et tour sur la rue[31].

Deux maisons possèdent des escaliers dont la balustrade est travaillée en gypserie[32].

Châteaux d’Allemagne

Trois châteaux sur motte sont présents sur la commune : la motte de la Moutto, la motte Notre-Dame, la motte Saint-Marc.

Château d'Allemagne-en-Provence

Le château, monument historique inscrit, est composé :

  • d’une partie médiévale à l’est (donjon fin XIVe[33]) ;
  • d’une partie Renaissance (XVIe), souvent modifiée ;
  • d’un parc, site classé.

Il sert de refuge à la famille des Castellane au XIIIe siècle, quand le comte Charles Ier de Provence confisque les fiefs de Boniface V. Boniface X fait construire le logis Renaissance (aile nord-sud), achevé par son fils vers 1545 (aile est-ouest). Jeanne de Grasse y ajoute la cheminée de la salle principale, ornée de gypseries, de la fin du XVIe siècle pour Serge Panarotto[34], ou du début du suivant pour la comtesse du Chaffaut[35]. Elle est ornée de statues en ronde-bosse, encadrant un fronton, le tout surmonté d’une frise finement ouvragée. La source d’inspiration est antique[36]. La partie médiévale qui subsiste date de la fin du XVe siècle, le sommet ayant été fortement restauré à la fin du XIXe siècle[37].

Il est orné de nombreuses gypseries, dont une cheminée monumentale encadrée de deux personnages mythologiques, dans la grande salle (XVIe siècle)[38]. Dans une niche au dessus du balcon de la tour du château se trouve une petite statue d'une déesse enceinte.

Le château a servi de colonie de vacances du syndicat des confiseurs d’Apt au milieu du XXe siècle. Les parties construites sont classées monument historique[39].

Architecture religieuse

L’église est placée sous le vocable et le patronage de saint Marc. Une église de ce nom existait déjà au XIIIe siècle, sa construction actuelle n’est pas antérieure à 1550, selon l’Atlas historique de Provence[13]. La nef nord, romane, remaniée au XVIIe[40], est liée par de grandes arcades à la nef sud, plus récente. La façade est du XIXe siècle. Le chevet est plat[41]. Son clocher, son chœur roman, sont du XIIIe siècle[42].

Elle possède deux tableaux du XVIIe siècle :

  • un Rosaire avec les quinze mystères de la Vierge (douloureux, glorieux, joyeux) ;
  • une Annonciation de style antérieur au XVIIe, peut-être issue d’un atelier d’un grand maître[43].

Le tabernacle remonte, en partie, au XVe siècle[44].

Vie locale

Culte

Environnement

Sports

Santé

Transports en communs

La commune d'Allemagne-en-Provence est desservie par la ligne de bus qui relie Riez à Manosque[45]. Une connexion est faite à Manosque avec la gare SNCF et la gare routière.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Sources

Bibliographie

  • Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
  • Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
  • Jean-Joseph-Maxime Féraud, Histoire, géographie et statistique du département des Basses-Alpes. Nyons, Chantemerle éditeur 1972. Réimpression de l'édition définitive de Digne, 1861
  • Laurence Brucelle, Provence. Châteaux connus et méconnus, Éditions ARCOL, Pourrières, 1998 (ISBN 2-9508831-1-7)

Notes

  1. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, consultée le 6 décembre 2010
  2. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence, 2008, p. 22 (lire en ligne, PDF de 120 Mo)
  3. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des PPR du département sur la base Gaspar, consultée le 6 décembre 2010
  4. Fiche du Colostre sur le site du SANDRE
  5. a, b et c Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7) 
  6. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 455
  7. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume II : Formations non-romanes ; formations dialectales § 12400, p 735
  8. J. Audibert, Basses-Alpes.fr, consulté le 15 septembre 2010
  9. article Verdon sur Libre-savoir.org, modifié le 3 juin 2010, consulté le 15 septembre 2010
  10. Parc naturel du Luberon, Autour de l’An Mil en pays de Forcalquier, catalogue d’exposition, 2007, p 30-31
  11. a et b « Allemagne : la Moutte », Archéologie médiévale, Éditions du CNRS, no 39, 2009, p. 266
  12. Daniel Mouton, « Allemagne : la Moutte », Archéologie médiévale, éditions du CNRS, no 38, 2008
  13. a, b et c Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 159
  14. « XVe journée archéologique », dans Annales de Haute-Provence no 308, 2e trimestre 1989, p 14
  15. « XVe journée archéologique », p 17-18
  16. « XVe journée archéologique », p 18
  17. Jacques Cru, Histoire des Gorges du Verdon jusqu’à la Révolution, co-édition Édisud et Parc naturel régional du Verdon, 2001, ISBN : 2-7449-0139-3, p 203
  18. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-297
  19. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 243
  20. Raymond Collier, op. cit., p 510
  21. Nicole Tucelli, Carole Pauvarel, Notice no IA04000054, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 25 octobre 2008
  22. « XVe journée archéologique », p 14
  23. Lucien Villecroze est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Raymond Barre (UDF) à l’élection présidentielle de 1988, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1988, pages 4785, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
  24. Site de la préfecture des AHP
  25. Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des écoles de la circonscription de Manosque, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010
  26. (fr) Impots locaux à Allemagne en Provence, taxes.com
  27. Insee, population légale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009
  28. Insee, Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010
  29. Allemagne-en-Provence sur le site de l'Insee
  30. EHESS, notice communale d’Allemagne-en-Provence sur la base de données Cassini, consultée le 21 juillet 2009
  31. Raymond Collier, op. cit., p 361
  32. Comtesse du Chaffaut, Gypseries en Haute-Provence : cheminées et escaliers (XVIe-XVIIe siècles), Turriers, Naturalia publications, 1995, ISBN 2-909717-22-4, p 18-20
  33. Raymond Collier, op. cit., p 252
  34. Serge Panarotto, Châteaux de Provence, Édisud, collection patrimoines, Aix-en-Provence 2003, ISBN 2-7449-0353-1, p 68
  35. Comtesse du Chaffaut, op. cit., p 14
  36. Comtesse du Chaffaut, op. cit., p 14-18
  37. Raymond Collier, op. cit., p 251-252
  38. Raymond Collier, op. cit. p 497
  39. Arrêté du 2 septembre 1986, Notice no PA00080348, sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consultée le 25 octobre 2008
  40. Raymond Collier, op. cit., p 168
  41. Raymond Collier, op. cit., p 76
  42. Raymond Collier, op. cit., p 117
  43. « XVe journée archéologique », dans Annales de Haute-Provence no 308, 2e trimestre 1989, p 15
  44. Raymond Collier, op. cit., p 471
  45. horaires de bs Riez-Manosque

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