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Reillanne
Vue sur le village de Reillanne
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Forcalquier Canton Reillanne Code commune 04160 Code postal 04110 Maire
Mandat en coursAlain Calvet
2009-2014Intercommunalité Communauté de communes de Haute Provence Démographie Population 1 478 hab. (2007) Densité 38 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 387 m — maxi. 805 m Superficie 38,55 km2 Reillanne (Ralhana en provençal et vivaro-alpin de norme classique et Reihano en provençal de norme mistralienne) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Reillannais.
Sommaire
Géographie
De ce village perché dont les maisons montent à l'assaut d'un mamelon, on découvre la table d'orientation de Saint-Denis ; de là, une vue panoramique s'étend sur la vallée de l'Encrème, le Luberon et le vieux village de Reillanne au sud, les Alpes à l'est, et la montagne de Lure au nord.
Villages environnants : Villemus (à 3,5 km), Lincel (à 4 km), Montjustin (à 4 km), Montfuron (à 6 km), Saint-Michel-l'Observatoire (à 6 km), Aubenas-les-Alpes (à 6,5 km), Vachères (à 6,5 km), Céreste (à 7 km).
Le territoire de la commune est traversée d'est en ouest par la route nationale 100. Pour accéder au village, on quitte la nationale au lieu-dit « Les Granons », puis on emprunte la D14 sur environ 2 kilomètres. L'accès se fait aussi en quittant la RN100 au lieu-dit « La Garde de Dieu » puis, par la D214, parcourir 1,5 kilomètre avant d'atteindre le centre.
Relief
Géologie
Hydrologie
Reillanne est traversée par plusieurs cours d'eau, dont le plus important est le Largue[1] qui longe la commune par l'est. Dans le village, le ruisseau du Tréchiou serpente à l'ouest de la colline de Saint-Denis avant de descendre vers la plaine et de se jeter dans l'Encrême. Plusieurs retenues d'eau artificielles existent à proximité de l'Encrême[2], dans le quartier de la Garde de Dieu.
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Le canton de Reillanne, auquel appartient la commune, est classé en Zone 1b (risque faible)[3].
Climatologie
La commune est située dans la zone d’influence du climat méditerranéen. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en latitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare. Protégée par le Massif du Luberon, la commune est partiellement abritée du mistral.
La station météorologique de référence est située à Pierrevert[4].
Relevé météorologique de Pierrevert mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) -0,0 0,6 2,8 5,3 9,0 13,1 15 15,1 11,6 7,9 3,3 0,5 6,9 Température moyenne (°C) 4,5 5,8 8,7 11,2 15,4 19,5 22,3 22,2 18,2 13,5 8,2 5,1 12,5 Température maximale moyenne (°C) 9 11,1 14,8 17,1 21,8 26,1 29,7 29,5 24,8 19,2 13,3 9,7 18,1 Précipitations (mm) 47 34 34 44 40 28 21 33 46 54 73 61 515 dont pluie (mm) 27 24 24 44 40 28 21 33 46 54 53 31 425 dont neige (cm) 2 1 1 0 0 0 0 0 0 0 2 3 9 Source : (fr) Relevé météo de Pierrevert 2000/2007, MSN MétéoUrbanisme
Morphologie urbaine
Répartition des sols
La répartition des sols de la commune est la suivante[5] (donnée pour un total de) :
Type d'occupation Pourcentage Superficie (en hectares) Zones urbaines 4,33 % 168,58 Zones agricoles 33,74 % 1 312 78 Zones naturelles 61,96 % 2 410 78 Total 100 % 3 891 00 Logement
Reillanne comptait 1 014 logements en 2007 (contre 870 en 1999). Les constructions neuves sont bien plus présentes que la moyenne française : en 2007, 13,9 % des résidences principales dataient de 1990 et plus contre 10,4 % en France. En revanche, la commune connaît un important déficit de constructions des années 1950 aux années 1970 qui s'explique par l'exode rural.
Les résidences principales représentent 663 logements soit 65,4 % du parc, réparties à 87,8 % en maisons individuelles (91,3% en 1999) et à 10,5 % en appartements (respectivement 56,1 % et 42,4 % en France métropolitaine). 65,7 % des habitations principales comportent 4 pièces et plus[6]. Les propriétaires de leurs logements constituent 71,7 % des habitants contre 25,3 % qui ne sont que locataires (respectivement 57,4 % et 39,8 % en France métropolitaine).
Toponymie
Le linguiste Charles Rostaing relève 26 formes pour le nom de Reillanne[7], la plus ancienne, Reglana, remontant à 909. On trouve des formes similaires, comme Reilana (XIe siècle), Rillana (1125), Reillana (1274) ou encore Reilhane (1401).
Trois interprétations du nom ont cours[8] :
- le nom Reillanne viendrait du provençal reiho (« soc de charrue », un objet agraire que l'on trouve aujourd'hui dans les armes de Reillanne.) Une interprétation visiblement fantaisiste, liée à la proximité entre les noms Reillanne et reiho ;
- Frédéric Mistral, le félibre provençal, et l'historien André Bouyala d'Arnaud, trouvent dans le mot « Reillanne » une évocation de la voie Aurélienne. Charles Rostaing s'oppose à cette interprétation ;
- selon les toponymistes Skok et Groehler[9], Reillanne doit son nom à la gens Regilius, une famille (ou peut-être un clan, une tribu) propriétaire du terroir de Reillanne au Haut Moyen Âge. Le toponymiste Lorgnon envisage davantage Regulius que Regilius[10].
Histoire
Préhistoire
Dans les années 1950, de nombreuses empreintes fossiles sont identifiées au quartier des Pas d'Ânes. Considérées par la tradition comme appartenant à des ânes, elles se révèlent être celles d'anchitherium[11], un genre d'équidé vivant il y a approximativement 20 MA[12].
Les plus anciennes traces humaines datent du néolithique : la grotte de Saint-Mitre est fréquentée et a livré plusieurs tombes[13].
Antiquité
Reillanne commence son histoire en tant que bourgade gauloise. Lorsque, en 123 av. J.-C., le consul Domitius Ahenobarbus (à la barbe d'airain) bat l'armée alliée des Arvernes et des Allobroges, le territoire actuel de Reillanne est rattaché à la nouvelle province de Narbonnaise. Il achève ensuite d'en assurer la pacification, en créant une voie moderne sur d'antiques tracés locaux, qui porte le nom de voie Domitienne, ancêtre de l'actuelle Nationale 100, qui passe au sud de Reillanne. À l'époque romaine, le village d’Alaunia occupait la plaine[14]. Les invasions barbares ont obligé ses habitants à se réfugier sur le promontoire actuel et à s'entourer de remparts.
La période gallo-romaine est une époque de paix et de prospérité dans la vallée de Reillanne. Des villæ se construisent, telles la villa Pinet, aujourd'hui connue sous le nom de Château Pinet.
Reillanne bénéficie des privilèges de municipe et pouvait à ce titre s'auto-administrer.
Moyen Âge et Temps moderne
Reillanne apparaît dans les chartes en 909 sous le nom de Reglana[14]. La bourgade a une certaine importance au Moyen Âge. La légende affirme que les Templiers ont construit un monastère, cependant aucun document ne vient corroborer cette affirmation. Ce monastère est en fait franciscain.
Dès le XIIIe siècle, la ville bénéficie d’un consulat[15]. Elle est le siège d’une vicomté créée en 1346 et dont Foulque d'Agoult fut le premier titulaire[15].
Une foire se tenait à Reillanne, de la fin du Moyen Âge jusqu’à la Révolution, bénéficiant de la situation de la ville à la jonction de deux itinéraires allant de la vallée de la Durance à celle du Coulon et Avignon, par Apt[16],[17].
Révolution française
La Révolution est accueillie avec joie à Reillanne. Quelques excès contre le clergé surviennent toutefois de la part des Jacobins, même s'ils sont limités car les Girondins, qui réprouvent ces excès, sont majoritaires dans le village[18]. Durant cette période, Reillanne compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[19]. Lors de la déchristianisation de l'an II, les autorités reillannaises envoient aux administrateurs du district de Forcalquier de nombreux ustensiles prélevés dans l'église de Reillanne. Pourtant, le peuple reste attaché à la foi catholique. Les actes paroissiaux ne diminuent pas, ou peu, entre 1790-1792 et 1793[20].
Le vaste château, dont l’enceinte extérieure comptait 18 tours, est entièrement détruit à la suite de la Révolution[21].
Époque contemporaine
La commune du Bourget lui est rattachée en 1846[22].
Le 12 mai 1944, une rafle menée par la police allemande conduit à l'arrestation de 54 juifs dans un centre d'hébergement de Reillanne, l'ancien couvent Notre-Dame des Prés. Ceux-ci sont ensuite envoyés par train à Auschwitz, Mauthausen ou Dachau[23].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Conseil Municipal
Liste des maires
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1874 1880 Vicomte de Salve[24] 1977 (?) 1995 Georges Alliaud[25] PCF Conseiller général du canton de Reillanne (1992-1997) 1995 31 janvier 2009[26],[27] Raymond Bressand PCF[28],[29] Conseiller général du canton de Reillanne (1997-2011) 2009 en cours Alain Calvet DVD Instances administratives et juridiques
Politique environnementale
Intercommunalité
Reillane est une des huit communes composant la Communauté de communes de Haute-Provence
Fiscalité
L'imposition des ménages et des entreprises à Reillanne en 2009[30] Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 7,90 % 0,00 % 5,53 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 22,74 % 0,00 % 14,49 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 82,69 % 0,00 % 47,16 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 17,48 %* 0,00 % 10,80 % 3,84 % La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[31]).
Jumelage
Commune de 733 habitants de la province de Coni dans le Piémont. Le jumelage a été signé à Reillanne le 13 octobre 1996 entre Gian Piero Robbione, maire de Roccasparvera et Georges Aillaud, maire de Reillanne et conseiller régional des Alpes-de-Haute-Provence[33].
Population et société
Démographie
Le recensement de 1826, qui ne serait qu'une réactualisation de celui de 1821, n'a pas été retenu.
Le recensement de 1871 a été, pour cause de guerre, repoussé à l'année 1872.
Le recensement de 1941, réalisé selon des instructions différentes, ne peut être qualifié de recensement général, et n'a donné lieu à aucune publication officielle.
Les résultats provisoires du recensement par sondage annuel réalisé en 2004, 2005 et 2006 selon les communes sont tous, par convention, affichés à 2006.Enseignement
La commune est dotée d'une crèche et d’une école primaire[37]. Les élèves vont ensuite au collège Henri Laugier à Forcalquier puis au Lycée polyvalent Félix-Esclangon[38] ou au Lycée polyvalent Les Iscles[39] tous les deux situés à Manosque.
Sports
La commune propose différentes activités sportives[40] comme le football avec le Football Club reillannais[41], l'équitation au club de Céline Beauvois[42], le tennis de table, le tennis avec le Tennis Club Reillannais[43], le stretching avec l' Elastic Girls ou le ski avec le Ski club de Reillanne[44].
Santé
Culte
La paroisse est rattachée à un groupe inter-paroissial qui comprend Aubenas-les-Alpes, Céreste, Dauphin, Lincel, Mane, Montfuron, Montjustin, Oppedette, Reillanne, Sainte-Croix-à-Lauze, Saint-Maime, Saint-Martin-les-Eaux, Saint-Michel-l'Observatoire, Vachères et Villemus. Le culte est célébré alternativement dans les églises de ces quinze communes[45].
Services publics
Plusieurs services publics ont une présence permnante, comme La Poste et la DDE. La mairie organise également un service d'aide à domicile[46].
La CPAM, par contre, n'assure qu'une présence partielle d'une demi journée par mois, en mairie.
Économie
Commerces[47]
Un marché se tient à Reillanne le jeudi et le dimanche matin. Le marché du dimanche est le plus grand des deux.
Les commerces de proximités sont également bien présent : 2 boucherie, boulangerie, épicierie, librairie, ...
Agriculture
Les activités agricoles sont variées sur la commune.
Truffes, Pierrevert (AOC), Huile d'olive de Provence AOC
Un silo à grains est construit en 1966 au lieu-dit « Les Granons », sur la route nationale 100 (Apt-Forcalquier) et de la D907 (Reillanne-Manosque). Les travaux sont réalisés par la Coopérative départementale des Silos de Manosque. Le silo permet de recueillir le blé récolté sur place, alors qu'il devait être entreposé à Manosque avant cette date[48].
2 entreprises de travaux forestiers sont également présents sur la commune, ainsi que 3 éleveurs (ovins, bovins, faisants-perdreaux). On compte aussi un apiculteur.
Artisanat
La commune compte une douzaine d'artisans, essentiellement dans la poterie et le cuir. La filière bois des agriculteurs trouve un suite élégante par la présente d'un fabricant de meubles et d'un tapissier d'ameublement[49].
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
Architecture militaire
Reillanne est dominée encore par une des tours de l'ancien château (sur laquelle on a élevé en 1889 un clocher). De l’enceinte médiévale, il subsiste deux portes : la porte Saint-Pierre, inscrite[50] (XIIIe siècle), où le passage de la herse est encore visible, et la porte des Forges (XIIe siècle)[51]. Au Bourget, une tour de 8 m de diamètre est encore visible[52].
Architecture civile
Le château de Valligrane, construit entre 1650 et 1680, dans un petit parc[53].
Une maison date de 1523[54]. Dans la maison Charpin, une fresque classée[55] à peine visible, avec une inscription en gothique, daterait de 1500[56]. La Garde de Dieu, actuellement transformée en ferme, est un ancien relais de poste[57]. La fontaine monumentale de la place principale est élevée entre 1874 et 1880.
Le moulin Delestic ou moulin Agnelier, construit en 1859, a fermé ses portes en 1955. Toute la machinerie est encore présente, y compris une ancienne machinerie de bois. L’ensemble est inscrit comme monument historique[58].
- Portail de type florentin du XVIIIe siècle,
- Cadran solaire,
- Lavoir,
Art religieux
L’église Notre-Dame-de-l'Assomption, également placée sous le vocable de saint Pierre, est construite entre 1100 et 1150, puis reconstruite après 1558. La nef, longue de trois travées, et voûtée d’ogives, date de la reconstruction. Assez exceptionnellement pour le département, elle est flanquée de deux bas-côtés, construits au XVIIe siècle. La travée de chœur est voûtée en berceau, et occupe toute la largeur du bâtiment (roman). Le chevet, intermédiaire entre le roman et le gothique (au XVIe siècle), est surmonté d’une voûte en cul-de-four divisée en six branches rayonnantes ; il possède une abside et une absidiole au sud, celle du nord a été détruite[59]. Son portail occidental est surmonté d’un fronton arrondi, orné de feuillages, et encadré de pot-à-feux, qui est le seul élément Renaissance de l’église[60]. Les vitraux du chœur datent du début du XXe siècle[61].
Son presbytère, construit à la fin du XVIIe siècle, possède trois cheminées dont le manteau est orné de gypseries[62]. Sa façade est ornée d’un cartouche, qui indique qu’il servit de maison commune[63]. Il abrite plusieurs tableaux de thèmes religieux, inscrits au titre objet.
L’ancienne église romane que N-D de l’Assomption remplaçait celle de Saint-Pierre, et ne conserve plus que son clocher-mur[64].
La chapelle Saint-Roch, installée dans l’ancienne synagogue, possède un escalier orné de tableaux de gypserie : une Vierge à l’Enfant et un Bon Pasteur, attribuée au XVIIe siècle[65].
La chapelle Saint-Denis des Pénitents Blancs est reconstruite en 1858 pour remercier la Vierge, que les Pénitents Blancs avaient implorée d'apporter la pluie. Elle possède une nef de trois travées, deux voûtées d’arêtes et la troisième, la travée centrale, placée sous coupole. Son clocher est roman[66]. Elle conserve un devant d’autel du XIIe siècle sculpté en bas-relief, avec saint Jacques et saint Martin encadrant la main bénissante de Dieu[67], classé monument historique au titre objet[68]. La chapelle Notre-Dame-des-Prés, qui desservait un monastère, date en partie (chevet) du XVe siècle[69].
- Musée ethnologique,
Culture
En plus d'une librairie, place de la Libération, Les habitants de Reillanne disposent de plusieurs lieux de cultures : une bibliothèque, un atelier de cirque et une école de musique. Une association itinairante de cinéma, La Strada, proposent également la projection régulière de films.
Personnalités liées à la commune
- Saint Maïeul de Cluny faisait partie de la famille noble dominant Reillanne.
- Pierre de Gueidan (né à Reillanne en 1645, mort à Aix-en-Provence en 1734), grand-père de Gaspard de Gueidan, président de la Cour des comptes d'Aix[70].
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
D'azur à un soc de charrue d'argent posé en pal et accosté en chef de deux fleurs de lis du même[71].Pour approfondir
Bibliographie
- Émile Lauga, Reillanne, monographie, impr. Reboulin, Apt, 1972.
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
Liens internes
- Anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Pain du Luberon
Liens externes
- site officiel de Reillanne
- Office du Tourisme de Reillanne
- Reillanne sur le site de l'Institut géographique national
Notess et références
- (fr) SANDRE, « Fiche rivière le largue (X15-0400) »
- (fr) SANDRE, « Fiche cours d'eau L'Encrême (X3420520) »
- Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
- (fr) Station météo la plus proche : Pierrevert, MSN Météo
- (fr) Reillanne, Parc du Luberon
- (fr) Recsencement 2007 à Reillanne, INSEE
- Essai sur la toponymie de la Provence, Charles Rostaing, éd. d'Artrey, Paris, 1950.
- Émile Lauga, Reillanne, monographie, impr. Reboulin, Apt, 1972.
- H. Groehler, Über Ursprung und Bedeutung der französischen Ortsnamen, t. I, Heidelberg, 1913.
- A. Lorgnon, Noms de lieux de la France, Paris, 1920.
- Émile Lauga, Reillanne, op. cit., p. 149.
- Paleobiology database, 2009) (
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p. 8 et 9.
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (ISBN 2-7399-5004-7).
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 191. Sous la direction d’
- Louis Stouff, « carte 86 : Port, routes et foires du XIIIe au XVe siècles », in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- Baratier et Hilsdesheimer, « carte 122 : Les foires (1713-1789) », in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- Émile Lauga, Reillanne et la Révolution de 1789, éd. Les Amis des arts, Reillanne, 1988, p. 6.
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, n° 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
- Émile Lauga, Reillanne et la Révolution de 1789, op. cit., p. 58.
- op. cit., p. 244. Raymond Collier,
- notice communale de Reillanne sur la base de données Cassini, consultée le 28 juillet 2009. EHESS,
- « L'ancien couvent Notre-Dame des Prés accueillera des Justes », La Provence, 3 juin 2010, consulté le 22 juillet 2010.
- Raymond Collier, op. cit., p. 428.
- Georges Marchais à l’élection présidentielle de 1981, cf Conseil constitutionnel, liste des élus ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 15 avril 1981, page 1063, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010, et André Lajoinie à l’élection présidentielle de 1988, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1988, page 4803, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010 Georges Alliaud est l’un des 500 élus qui ont parrainé les candidats du Parti communiste français en 1981 et 1988,
- Site de la préfecture des AHP.
- [1], publié le 4 janvier 2009, consulté le 22 juillet 2010. La Provence, « Le maire de Reillanne démissionne », en ligne
- liste des maires communistes, publiée le 6 mars 2008 (sic), consultée le 25 septembre 2010 Parti communiste français,
- Marie-George Buffet (PCF) à l’élection présidentielle de 2007Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010 Raymond Bressand est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de
- (fr) Impots locaux à Reillanne, taxes.com
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- Annuaire des villes jumelées
- (it) Gemellaggi Jumelages - Reillanne sur comune.roccasparvera.cn.it
- Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009. Insee,
- Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010 Insee,
- (fr) Reillanne sur le site de l'Insee, Insee
- (fr) Liste des écoles de la circonscription de Sisteron sud, Inspection Académique 04, 27 avril 2010
- (fr) Site du lycée Félix-Esclangon, Académique Aix-Marseille
- (fr) Site du lycée les Iscles, Académique Aix-Marseille
- (fr) Sports à Reillane sur reillanne.com
- (fr) Football Club Reillannais sur reillanne.com
- (fr) Équitation sur reillanne.com
- (fr) Tennis Club Reillannais sur reillanne.com
- (fr) Site du Ski Club de Reillanne sur reillanne-ski-club.org
- Groupe Avance au Largue
- Service publics à Reillanne
- commerces à Reillanne
- Émile Lauga, Reillanne, op. cit., p. 105.
- Artisants à Reillanne
- notice de la Base Mérimée, consultée le 2 décembre 2008. Arrêté du 28 décembre 1984,
- Raymond Collier, op. cit., p. 307.
- Raymond Collier, op. cit., p. 312.
- Raymond Collier, op. cit., p. 260.
- Raymond Collier, op. cit., p. 359.
- notice de la Base Palissy, consultée le 2 décembre 2008. Arrêté du 19 décembre 1950,
- Raymond Collier, op. cit., p. 485.
- Raymond Collier, op. cit., p. 424.
- notice de la Base Mérimée, consultée le 2 décembre 2008. Arrêté du 28 mai 1993,
- Raymond Collier, op. cit., p. 97, 167-168.
- Raymond Collier, op. cit., p. 182-183.
- Raymond Collier, op. cit., p. 528.
- ISBN 2-909717-22-4, p. 101-102. Comtesse du Chaffaut, Gypseries en Haute-Provence : cheminées et escaliers (XVIe-XVIIe siècles), Turriers, Naturalia publications, 1995,
- Raymond Collier, op. cit., p. 437-438.
- Raymond Collier, op. cit., p. 143.
- Comtesse du Chaffaut, op. cit., p. 102.
- Raymond Collier, op. cit., p. 382.
- Raymond Collier, op. cit., p. 461.
- notice de la Base Palissy, consultée le 2 décembre 2008. Arrêté du 25 mars 1956,
- Raymond Collier, op. cit., p. 174.
- Les Bouches-du-Rhône, vol. 14, « encyclopédie départementale : Monographies communales, Marseille- Aix- Arles », Paris, Marseille, H. Champion, Archives départementales, 1935, p. 256.
- Banque du Blason.
Catégories :- Commune des Alpes-de-Haute-Provence
- Commune membre du Parc naturel régional du Luberon
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