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Riez
Colonnes de Riez
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Digne-les-Bains Canton Riez Code commune 04166 Code postal 04500 Maire
Mandat en coursMichel Zorzan
2008-2014Intercommunalité sans Démographie Population 1 741 hab. (2007) Densité 44 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 473 m — maxi. 680 m Superficie 40 km2 Riez (Riés en occitan provençal) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Riézois.
Riez a reçu le label « village et cité de caractère ».
Sommaire
Géographie
Le village est situé au pied du mont Saint-Maxime haut de 637 m d’altitude[1]. La butte formée par le mont Saint-Maxime domine trois vallées qui se rejoignent au confluent de deux cours d'eau au débit modeste, mais qui ont joué un rôle stratégique pour le développement de Riez : le Colostre, qui rejoint le Verdon à Saint-Martin-de-Brômes, et son affluent, l'Auvestre.
Riez se situe ainsi au croisement des routes historiques qui relient les Alpes (via Digne) et la vallée de la Durance (via Valensole) au haut Var et à Aix-en-Provence. Touchée par la désaffection de ces voies de communication au siècle dernier, elle constitue aujourd'hui une agglomération d'importance modeste dont l'économie repose principalement sur le tourisme.
Lieu de villégiature en été, Riez profite en effet de sa situation au cœur du Parc naturel régional du Verdon.
Toponymie
Ses noms successifs sont Colonia Julia Augusta Apollinarium Reiorum, Alebaece Reiorum Appollinarium (Ier siècle), Reis Appolinaris (IVe siècle), Reios (Ve siècle)[2]. L’étymologie est donc transparente : le nom du village s’est formé sur celui de l’ethnie gauloise des Reii, avec le suffixe latin -ensis, signifiant cité des Reii[3]. Charles Rostaing adhère à cette interprétation, mais signale également une hypothèse tirant ce nom du ligure Rek, signifiant montagne[4].
Histoire
Antiquité
Riez est considérée comme l’ancienne capitale des Reii[1], peuple gaulois qui occupait la butte Saint-Maxime avant la conquête romaine. Riez était également la capitale des "Albices"[réf. nécessaire], sorte de fédération de peuples alpins à laquelle appartenait les Reii. Selon la carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, elle relevait soit des Salyens, soit des Voconces[5].
Les Romains fondent une colonie (la Colonia Julia Augusta Apollinarium Reiorum) dans la plaine, qui devient ensuite l'une des treize cités de la Narbonnaise, ce qui lui permet de devenir un centre important. Elle bénéficie notamment de la construction, en l’an 3 après J.-C., d’une voie qui la relie à Aix via Draguignan, et qui traverse le Verdon à Garruby[6]. Une voie figurée sur la Table de Peutinger la reliait à Fréjus ; enfin, une troisième voie est identifiée en direction de Digne[1].
L’implantation d’une agglomération est attribuée à la présence d’une plaine alluviale (altitude : 520 m), et à la ligne de sources surgissant au pied de la commune[1]. Les fouilles de Benjamin Maillet en 1842 et récemment reprises (en 2003) mettent à jour un complexe thermal romain. Deux nécropoles ont été fouillées, deux autres sont probables[7].
Son siège épiscopal, dont le premier évêque fut, peut-être, Maxime en 434[8], ainsi que sa situation privilégiée au carrefour entre trois vallées sur une des routes majeures reliant les Alpes à la basse Provence lui permit ensuite de conserver cette importance pendant tout le Moyen Âge. L’engorgement du Colostre, provoquant des inondations, poussa le village à s’implanter sur la colline Saint-Maxime, où l’évêché est transféré. La plaine est de nouveau habitée seulement à partir du XIIe siècle[7].
Moyen Âge et Temps modernes
Elle accueillit deux conciles en 439 et en 1285. Au début du Haut Moyen Âge (VIe ‑ VIIe siècles), l’agglomération de la plaine est abandonnée, au profit d’un site fortifié sur le sommet aplatié de la colline Sainte-Maxime[9], à 637 m d’altitude[1].
Au Xe siècle, des cadets des vicomtes de Marseille s’emparent de Riez et y édifient une motte castrale[10] au lieu-dit Mauroue[11]. Ces nobles sont appelés les princes de Riez.
Durant les guerres de religion, la ville est attaquée par les protestants en 1574[12].
La situation de Riez, sur un carrefour entre les itinéraires de Valensole à Moustiers et de Digne à la vallée du Verdon permet à la foire établie à la fin du Moyen Âge de se maintenir jusqu’à la fin de l’Ancien Régime[13],[14].
Riez est un des rares bourgs de Haute-Provence à accueillir une loge maçonnique avant la Révolution, nommée Saint-Jean des harmoniphiles (« des amis de l’harmonie ») et affiliée à la loge de Saint-Jean d’Écosse de Marseille[15].
Révolution française
À la veille de la Révolution, la ville compte une loge maçonnique[16]. En mars 1789, des émeutes dues à la crise frumentaire ont lieu[17],[18]. La branche du Maconnais de la grande Peur de l’été 1789 touche Riez le 31 juillet : des rumeurs de bande de plusieurs milliers de brigands parcourant la campagne, soldés par les aristocrates, provoquent la panique : on sonne le tocsin, on s’arme, on envoie des messages aux villages voisins pour se renseigner, ce qui propage la peur. Les solidarités se créent ainsi ; les milices formées à cette occasion constituent la base des bataillons de la Garde nationale[19].
La société patriotique est autorisée le 22 février 1791 : elle disparaît rapidement, avant de se reformer[20] le 14 mai 1792, parrainée par le club de Marseille[21]. Elle est affiliée au club des Jacobins de Paris le 23 mai 1793[22], à celui de Marseille dès juin 1792 et au club Saint-Jean de Toulon le 25 février 1793[23]. Environ la moitié de la population masculine la fréquente[24]. En 1792-1793, la section de est contrôlée par les fédéralistes. En relations avec la section de Marseille, elle diffuse les idées des Girondins, jusqu’à leur proscription le 31 mai 1793 et l’écrasement de l’insurrection fédéraliste en juillet : le tribunal révolutionnaire ordonne une exécution à Riez[25].
À la fin des années 1790, le département est infesté de brigands, principalement des déserteurs. C’est dans ce contexte qu’a lieu la tuerie de Riez, le 15 octobre 1799 : onze personnes sont torturées et assassinées par ces brigands[26].
XIXe siècle
Le docteur Prosper Allemand, petit-fils du maire de Puimoisson, milite activement dans tout le canton sous la Deuxième République[27]. La commune compte ainsi 8 sociétés secrètes, créées par Langomazino, comptant environ 120 membres en 1851. Quand la nouvelle du coup d'État du 2 décembre 1851 arrive à Riez, immédiatement un comité insurrectionnel se met en place pour défendre la République. Les gendarmes sont désarmés, les 213 fusils de la garde nationale sont saisis. Le 6 décembre, les insurgés d’Allemagne et de Sainte-Croix se joignent à ceux de Riez, et la colonne de 500 à 600 hommes se dirige ensuite vers Digne. En chemin, elle ralllie les insurgés de Puimoisson et de Roumoules[28].
Après l’occupation de Digne et le combat des Mées, deux bataillons d’infanterie occupent le canton pour mener la répression. C’est le colonel Sercey qui dirige les opérations, il est condamné en 1853 pour escroquerie et abus de confiance[29].
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
d'argent à un pommier terrassé de sinople, fruité de gueule, adextré d'un ours contourné de sable rampant contre le tronc de l'arbre[30].
Bien que figurant ainsi à l'Armorial général de France, le blason connaît quelques variantes dans ses représentations ; ses origines ne sont pas connues, bien qu'il soit certainement antérieur au XVIe siècle[31].Administration
Municipalité
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité Benjamin Maillet maire lors du coup d’État de 1851 R. Bagarry Maxime Amiel Conseiller général 1935 1944 Jean Martin[32] 1947 1975 Maxime Javelly[32] PS Sénateur-Conseiller général mars 2001 réélu en 2008 Michel Zorzan[33] PS Conseiller général Jumelage
- Magliano Alfieri (Italie) depuis 2008 [34]
Démographie
Courbe d'évolution démographique de Riez depuis 1716
Économie
Riez vit essentiellement du tourisme, faisant animer le centre-ville de restaurants et d'ateliers d'artisanat. L'agriculture prend aussi une place importante avec la culture de céréales, de lavande, de la truffe et d'arbres fruitiers.
Lieux et monuments
- Baptistère de Riez : il est daté du VIe voire du Ve siècle. Bâti avec des matériaux antiques en remploi, il appartenait à un premier groupe cathédral aujourd'hui détruit. Comparable au baptistère de Fréjus, dans le Var, il est de plan octogonal inscrit dans une construction de plan carré ; quatre absidioles, dont l'une contient l’autel, se greffent sur les pans coupés et s'enfoncent dans la maçonnerie, sans faire saillie à l'extérieur. Huit colonnes antiques de granit surmontées de chapiteaux corinthiens de marbre, disposées en cercle, entourent la cuve baptismale, dont il ne reste que des débris. La coupole de l'édifice a été refaite au XIIe siècle.
Le baptistère de Riez fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840[40].
- Colonnade antique : située à proximité du Colostre, quatre colonnes romaines monolithes de granit gris surmontées de chapiteaux corinthiens en marbre blanc, supportent encore une architrave. Elles sont les derniers vestiges d'un temple dédié à Apollon élevé vers la fin du Ier siècle ap. J.-C. Leur particularité est d’avoir été conservées en place depuis l’Antiquité, à l’entrée de la ville.
La colonnade antique de Riez fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840[41].
- Vieille ville : elle offre une architecture typique de haute Provence, dans laquelle des rues étroites sont bordées par les façades colorées des maisons de maître. Certaines de ces dernières abritent encore plusieurs gypseries des XVe et XVIe siècles. Y pénétrer par la porte Aiguière ou par la porte Saint-Sols (ou Sanson) permet d'admirer les restes des anciens remparts du XVIe siècle, auxquels appartenait également la tour de l'horloge.
- Chapelle Saint-Maxime : sur la hauteur qui abritait l'oppidum des Reii se dresse une chapelle du XVIIe siècle, dont les origines remonteraient au premier évêque de la cité.
- Thermes romains découverts en 1842 et fouillés à partir de 1970
- Le Clocher de l'Horloge : Avec la porte Saint-Sols et la porte Aiguière, le clocher de Riez est le dernier vestige des remparts qui protégeaient le village. Il abrite une horlogerie vieille de plusieurs siècles probablement du XVIe siècle, qu'aujourd'hui encore les employés communaux s'évertuent à « remonter » chaque samedi matin.
- Musée archéologique (fondé en 1929[42]) : dépôt archéologique construit en 1997, en annexe de l’hôtel Mazan.
Sur la place Saint-Antoine, un cadran solaire date de 1806 ; austère, il est carré et composé uniquement de lignes noires sur fond blanc. Il porte la légende « L’instant le plus serein est marqué par une ombre »[43].
- Ancienne cathédrale Notre-Dame-de-la-Sède, XVe siècle - XVIIe siècle. La cathédrale s'écroula en 1842, après reconstruction conservation de quelques vestiges dans nouvelle église ; La cathédrale était le siège de l'ancien diocèse de Riez créé au Ve siècle, supprimé à la Révolution[44].
Équipements et services
Services publics
La mairie a mis en place un "point-public"[45], lieu permettant les renseignements dans les domaines administratifs. Dans le cadre de ce point publics, les habitants ont accès à certains services publics, certains jours de chaque mois, notamment l'ANPE, la sécurité sociale et la MSA, la chambre des métiers.
Un bureau de poste, une antenne du Trésor Public et une gendarmerie sont présents de façon permanente.
Transports urbains
Riez est relié par transport en communs à plusieurs villes de la région[46] :
- Ligne Riez-Manosque, via Allemagne-en-Provence, Saint-Martin-de-Brômes et Gréoux-les-Bains : 3 aller-retour par jour, avec un lien avec la gare routière et la gare SNCF de Manosque.
- Ligne Riez-Digne, via Puimoisson, Bras-d'Asse, Estoublon, Mezel et Châteauredon : 3 aller-retour par semaine en période scolaire.
- 1 Ligne Riez-Moustiers-Sainte-Marie, 1 Ligne Riez-Esparron-de-Verdon, 1 Ligne Riez-Quinson, 1 ligne Riez-Sainte-Croix-de-Verdon : 1 aller-retour par semaine en période scolaire.
Enseignement
La commune est dotée de trois établissements d’enseignement :
Sports
Santé
Les plusieurs professionnels de santé[48] sont présents à Riez, notamment avec 6 généralistes, 3 infirmières, un dentiste, et une pharmacie.
Vie locale
Culte
Environnement
Personnalités liées à la commune
- Gaspard Abeille (Riez, 1648 - Paris, 22 mai 1718), homme d'Église, poète et auteur dramatique français, membre de l’Académie.
- Laurent Pierre Bérenger, né à Riez en 1749 et mort à Lyon en 1822, homme de lettres[49]
- Jean Joseph Foucou (Riez, 1739 - Paris, 16 février 1821) sculpteur français.
- Henri Gaspard Charles Bouret (né à Riez en 1752 et mort en 1805), député à la Convention et aux Cinq-Cents
- Alphonse Rabbe, né à Riez en 1786 et mort à Paris en 1830, historien et journaliste[50]
- Jean-Joseph-Maxime Feraud (1810-1897), historien.
Voir aussi
- videos des gypseries de l'escalier de Mazan
Liens internes
- Liste des évêques de Riez
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Huile d'olive de Provence AOC
Liens externes
- Site officiel de la mairie de Riez
- Riez sur le site de l'Institut géographique national
- Riez, Alpes-de-haute-Provence : Colonnes antiques, baptistère et cathédrale
Sources
Bibliographie
- Jacques Cru, Histoire des Gorges du Verdon jusqu’à la Révolution, co-édition Édisud et Parc naturel régional du Verdon, 2001, (ISBN 2-7449-0139-3)
- "Riez-la-Romaine, deux édifices thermaux méconnus" in Les dossiers d'archéologie no 323, sept.-oct. 2007, p. 44 à 51
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
Notes
- p. 361 Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997,
- Édisud et Parc naturel régional du Verdon, 2001, ISBN : 2-7449-0139-3, p. 11 Jacques Cru, Histoire des Gorges du Verdon jusqu’à la Révolution, co-édition
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes, § 1204, p. 60
- Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p. 337-338
- p. 5 Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997,
- p. 14 Jacques Cru, op. cit.,
- p. 362 Géraldine Bérard, op. cit.,
- p. 16 Quelques sources lui donnent quelques prédécesseurs, sans les nommer, selon Jacques Cru, op. cit.,
- p. 31 Jacques Cru, « Petra Castellana », Verdon no 1, estieu 1999,
- p. 32 Jacques Cru, op. cit.,
- p. 31 Parc naturel du Luberon, Autour de l’An Mil en pays de Forcalquier, catalogue d’exposition, 2007,
- p. 200 Jacques Cru, op. cit.,
- Louis Stouff, « carte 86 : Port, routes et foires du XIIIe au XVe siècles », in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- Baratier et Hilsdesheimer, « carte 122 : Les foires (1713-1789) », in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- Robert-Henri Bautier, « Les loges maçonniques (seconde moitié du XVIIIe siècle) », cartes 120 et 121 et commentaire in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- Alphand, p 292
- La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 11
- ISBN 978-2-07-035971-4, p. 396 Jean Nicolas, La Rébellion française : mouvements populaires et conscience sociale, 1661-1789, Paris : Gallimard, 2008. Collection Folio,
- Michel Vovelle, « Les troubles de Provence en 1789 », carte 154 et commentaire, in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 291
- Alphand, p 303
- Alphand, p 301
- Alphand, p 304
- Alphand, p 320
- Michel Vovelle, « Diffusion et répression du mouvement fédéraliste en 1793 », carte 157 et commentaire, in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- p. 176 André Lombard, « Violences et troubles de 1789 à l’An VI », La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année,
- p. 196 Maxime Amiel, « Les Riézois dans l’insurrection de décembre 1851 », p. 196-200 de Provence 1851 : une insurrection pour la République, Actes des journées de 1997 à Château-Arnoux et de 1998 à Toulon, Association pour le 150e anniversaire de la résistance au coup d’État du 2 décembre 1851, Les Mées, 2000,
- p. 197 Maxime Amiel, Les Riézois…,
- p. 199 Maxime Amiel, Les Riézois…,
- p. 107. Louis Bresc, dans son Armorial de Provence, en donne une autre description d'après l'Armorial général de France, Michel Heymès, Les Armoiries municipales de la ville de Riez, in Chroniques de Haute-Provence, Bulletin de la Société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 293, 1982,
- Heymès, p. 108-111
- Francegenweb, consulté le 17 novembre 2008
- Site de la préfecture des AHP
- Annuaire des villes jumelées
- ISBN 978-2-9530563-1-0 Robert Niel, Le Roman des brigands dans les Basses-Alpes de 1789 à 1802, Impr. B. Vial (Digne-les-Bains), 2007. - 190 p,
- Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009 Insee,
- Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010 Insee,
- Insee: Population depuis le recensement de 1962
- notice communale de Riez sur la base de données Cassini, consultée le 28 juillet 2009 EHESS,
- Ministère de la Culture, base Mérimée, « Notice no PA00080451 » sur www.culture.gouv.fr.
- Ministère de la Culture, base Mérimée, « Notice no PA00080453 » sur www.culture.gouv.fr.
- Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p. 58.
- ISBN 2-7449-0309-4 , p. 111. Jean-Marie Homet et Franck Rozet, Cadrans solaires des Alpes-de-Haute-Provence, Édisud, Aix-en-Provence, 2002,
- Cathédrales et anciennes cathédrales de Provence-Alpes-Côte d'Azue
- Serices publics à Riez
- Lignes de bus à Riez
- Liste des écoles de la circonscription de Sisteron-Sud, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010 Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence,
- Santé à Riez
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 148
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 150
Catégories :- Commune des Alpes-de-Haute-Provence
- Commune membre du Parc naturel régional du Verdon
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