- Turriers
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Turriers
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Forcalquier Canton Turriers Code commune 04222 Code postal 04250 Maire
Mandat en coursÉlie Aguillon
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes de la Motte-Turriers Démographie Population 397 hab. (2008) Densité 20 hab./km² Gentilé Turriérois Géographie Coordonnées Altitudes mini. 853 m — maxi. 1 714 m Superficie 19,86 km2 Turriers est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Turriérois.[1]
Sommaire
Géographie
Le village est situé à 1 040 m[2], sur une crête, surplombant le vide des deux côtés[3]. Il s'étage sur une éminence (les Baumelles) au centre d'un vaste bassin de prairies bordées par des sommets boisés d'altitude modeste (1 850 m au plus haut).
Communes limitrophes
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Le canton de Turriers dont fait partie la commune est classé en Zone 1b (risque faible), tout comme ceux d'Allos-Colmars, Barcelonnette, Le Lauzet-Ubaye, Annot, Castellane, Saint-André-les-Alpes, Barrème, Digne-Est, Digne-Ouest, La Javie, Mézel, Moustiers-Sainte-Marie, Riez, Seyne, Forcalquier, Reillanne, Saint-Étienne-les-Orgues, Sisteron et Volonne. Ceux classés en Zone 2 (risque moyen, le plus élevé du département), de Peyruis à Manosque, sont à plus de 60 kilomètres[4].
Géologie
Article connexe : Géologie des Alpes.Le territoire se situe dans la partie nord des Préalpes de Digne et de la nappe de Digne[5], entre les lobes nord-ouest, majeur et de Valavoire[6] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écaille) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe.
Climat
Turriers n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Tallard[7].
Relevé météorologique de la région de Tallard mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) -3 -2 1 3 7 10 13 13 10 6 1 -1 4,8 Température moyenne (°C) 1,5 3 6,5 9 13 17 20 20 16 11,5 5,5 3 10,5 Température maximale moyenne (°C) 6 8 12 15 19 24 27 27 22 17 10 7 16,2 Précipitations (mm) 33 29,4 28,9 43,4 38,7 40,9 33,3 36,7 46,2 63,7 48,8 34 477 Source : Relevé météo de Tallard[8]Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D 336-329.48-228.912143.415338.719740.9241033.3271336.7271346.2221063.717648.8101347-1Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm) Toponymie
Turriers se nomme Turriés en occitan vivaro-alpin et en provençal.
Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois en 1050 (in castro Turrias) est construit sur la racine préceltique *TuR, rocher, qui a donné turra, désignant l’escarpement sur lequel le château a été bâti[9],[10]. Selon Rostaing, ce toponyme est probablement antérieur aux Gaulois[11].
Histoire
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1050 (Turrias)[12]. Le fief appartient d’abord aux Vintimille (XIVe siècle-XVIe siècle), puis aux d’Hugues du XVIIe siècle à la Révolution[12].
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[13]. En 1793, le château est mis aux enchères pour démolition[14].
Politique et administration
Administration municipale
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de onze membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[15]). Lors du scrutin de 2008, il n’y eut qu’un seul tour et Élie Aguillon a été réélu conseiller municipal avec le septième total de 159 voix, soit 72,60 % des suffrages exprimés. La participation a été de 84,88 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[16].
Listes des maires
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du 3 juillet 1848 à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 2001 en cours Élie Aguillon[17] DVD Conseiller général Intercommunalité
Turriers est l'une des treize communes de communauté de communes de la Motte-Turriers[18]. La communauté de communes est elle même adhérente à l'association du Pays Sisteronais-Buëch avec huit autres communautés de communes[19] comprenant ainsi 83 communes comptant 28 500 habitants répartis sur 1 600 km2.
Instances administratives et judiciaires
Turriers est une des sept communes du canton de Turriers qui totalise 1 229 habitants en 2006. Le canton a fait partie de l’arrondissement de Sisteron du 17 février 1800 au 10 septembre 1926, date de son rattachement à l'arrondissement de Forcalquier et de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Turriers fait partie du canton de Turriers depuis 1793[20]. La commune fait partie de la juridiction prud'hommale de Manosque, d’instance et de grande instance de Digne-les-Bains[21].
Fiscalité locale
L'imposition des ménages et des entreprises à Turriers en 2009[22] Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 6,52 % 0,64 % 5,53 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 16,20 % 2,25 % 14,49 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 73,82 % 6,44 % 47,16 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 6,16 % 1,28 % 10,80 % 3,84 % La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[23]).
Population et société
Démographie
Enseignement
La commune est dotée d’une école primaire publique[29],[30]. Ensuite les élèves sont affecté au collège Marcel-Massot à La Motte-du-Caire[31]. Puis ils poursuivent au lycée de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[32],[33].
Santé
Aucun professionnel de santé n'est installé n'est installé à Turriers. Les médecins les plus proches se trouvent dans les Hautes-Alpes à Rousset à 7 km et à Tallard à 11 km [34]. La pharmacie du secteur se situe à Espinasses à 8 km[35]. L'établissement hospitalier le plus proche est l'hôpital Saint-Jacques à Seyne-les-Alpes éloigné de 15 km[36]. Par contre est installé sur la commune le centre de rééducation et de réadaptation fonctionnelles de Haute-Provencel’Eau vive[37].
Économie
Commerce
Le restaurant Roche-Cline, qui porte le label Bistrot de pays[38], adhère a une charte qui a but de « contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien d’un lieu de vie du village »[39].
Agriculture
L'agriculture fait vivre une dizaine de familles se consacrant essentiellement à l'élevage de bovins et d'ovins alimentés de façon naturelle grâce aux vastes prairies à foin environnant le village.
La commune du Turriers posséde un label Appellation d'origine contrôlée (AOC) (Huile essentielle de lavande de Haute-Provence) et neuf labels Indication géographique protégée (IGP) (Pommes des Alpes de Haute-Durance, Miel de Provence, Agneau de Sisteron, Alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de méditérranée blanc, rouge et rosé)[40]
Liée au soleil et aux vacances, la lavande, dont Jean Giono a dit qu'elle est « l'âme de la Haute-Provence », n'est plus actuellement l'« or bleu » du Ventoux, des Baronnies et de la montagne de Lure[a 1]. Cueillie pendant des siècles à l'état sauvage, sa récolte n'a été organisée qu'à partir du XVIe siècle en même temps que la distillation de sa fleur[a 2]. Son âge d'or se situe au début du XXe siècle. Et c'est au cours des années 1920 qu'il y a une véritable fièvre de plantation. Après la crise de 1929 et la Seconde Guerre mondiale, le marché est à nouveau demandeur à partir de 1955 pour entrer en crise cinq ans plus tard[a 3]. La mécanisation de la récolte, une meilleure organisation du marché et l'obtention d'une AOC pour l'« huile essentielle de lavande de Haute-Provence », en 1981, aurait dû relancer la production[a 4]. Mais celle-ci de l'ordre de 200 tonnes au début des années 1980 a chuté à 25 tonnes dans les années 1990 pour enfin remonter à 80 tonnes en 2003[a 5].
Miel de Provence
Le miel de Provence est protégé par un label rouge associé à une indication géographique protégée, tant pour le miel toutes fleurs que pour le miel de lavande et lavandin[41]. L'apiculture mobilise nombre de producteurs. Ils sont estimés à 4 500, dont 700 possèdent entre 70 et 150 ruches. La production régionale est de 2 000 t/an, soit 8 % de la production nationale[42]. Nombre d'entre eux pratiquent la transhumance selon un trajet allant du littoral vers la Haute-Provence. L'été est la saison privilégiée pour le miel de lavande et les ruches sont installées dans une zone limitée au nord par une ligne Montélimar / Digne, avec au sud le mont Ventoux, le plateau d'Albion, la montagne de Lure, les monts de Vaucluse et le massif du Luberon. Le miel toutes fleurs est élaboré dans une vaste zone limitée par Nîmes, Montélimar, Gap, Digne, Nice, Toulon, Marseille et Avignon[43].
Agneau de Sisteron
L'agneau de Sisteron est un agneau de quatre mois, élevé sous la mère et originaire des Alpes provençales et de la Drôme provençale. Issus d'élevages traditionnels, avec des mères de races Mérinos d'Arles, Mourérous ou Préalpes du Sud qui les allaitent au moins pendant deux mois, sur un espace pastoral comptant moins de 10 brebis à l'hectare et comportant au minimum 10 hectares de parcours[44], ces agneaux ont droit, sous le contrôle l'INAO, au label rouge accordé par un décret gouvernemental en date du 3 janvier 2005[45]. L'Union européenne lui a accordé une indication géographique protégée depuis le 15 février 2007[46].
Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[47].
Pommes des Alpes de Haute-Durance
Les pommes des Alpes de Haute-Durance ont obtenu une Indication géographique protégée qui a été a été publiée au Journal Officiel de l'Union européenne le 17 avril 2010[48].
Ces pommes de variétés golden delicious et gala proviennent de six cantons des Alpes-de-Haute-Provence et de treize cantons des Hautes-Alpes situés entre 450 mètres et 900 mètres d’altitude. La qualité de ces pommes est liée à leur terroir, et en particulier au climat de la Haute-Durance avec plus de 300 jours d'ensoleillement par an. Le froid nocturne qui règne lors de la maturation des pommes empêche la dégradation des acides, tandis que la forte amplitude thermique diurne permet leur jaunissement, et même leur rosissement[49].
Édition
La petite maison d’édition Naturalia publications a son siège à Turriers.
Centre hospitalier
Le Centre de rééducation et réadaptation fonctionnelle l’Eau vive, créé par l’ancien maire de Turriers Paul Honorat accueille 80 patients dont certains nécessitent des soins très sophistiqués ; il emploie une centaine de personnes de toutes qualifications. Cet établissement et l'activité économique qu'il suscite a permis à la commune de résister avec succès à la désertification des campagnes[37].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ruines du donjon
Au village, se trouve un bâtiment plus important, composé de deux corps de logis, dont un s’arrondit en façade en une espèce de tour. Ce bâtiment, appelé château, possède aussi une vraie tour[50]. La plus ancienne maison datée porte le millésime de 1646 en façade[51].
L’église paroissiale Saint-Antoine est reconstruite entièrement en 1870, avec une nef de quatre travées voûtées en berceau aplati, un faux transept formé de deux chapelles latérales, et son chœur à pans, voûté d’une coupole à arêtes[52]. Elle possède un ciboire en argent du XVIIIe siècle, classé monument historique au titre objet[53].
- Table d'orentation des Baumelles : très belle vue sur la chaîne des Hautes Alpes
- Aux alentours nombreuses possibilitées de randonnées familiales : pédestres , VTT, Cheval , Raquettes ...
Personnalités liées à la commune
- Pierre Franco, chirurgien français (1505-1578), spécialiste des hernies, lithotomiste, inventeur de la taille hypogastrique et de l’opération de la cataracte [54]
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
D'azur à une tour pavillonnée d'or, maçonnée de sable[55]Pour approfondir
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
Articles connexes
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence
Liens externes
Notes et références
Références bibliographiques
- Guy Barruol, Nerte Dautier, Bernard Mondon (coord.), Le mont Ventoux. Encyclopédie d'une montagne provençale
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 124.
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 125.
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 126
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 127.
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 128.
Références
- (fr) Nom des habitants des communes françaises, Turriers sur le site habitants.fr de la SARL Patagos. Consulté le 24 juin 2011
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, p. (ISBN 978-2-7399-5004-7)
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 339
- Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
- Carte géologique de la France au 1/1 000 000
- La Nappe de Digne et les structures connexes, par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- (fr) Station météo la plus proche : Tallard, MSN Météo
- (fr) Relevé météo de Tallard, MSN Météo
- Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 273-274
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes, § 1113, p 51
- Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 204 Sous la direction d’
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
- op. cit., p 243 Raymond Collier,
- (fr) nombre des membres du conseil municipal des communes, Legifrance
- Résultats élections municipales 2008 à Turriers sur linternaute.com
- Site de la préfecture des AHP
- (fr) Communauté de communes de La Motte du Caire - Turriers sur pays-sisteronais-buech.fr
- (fr) Le Pays Sisteronais-Buëch sur pays-sisteronais-buech.fr
- (fr) Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales
- (fr) Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence, Ministère de la Justice et des Libertés
- (fr) Impots locaux à Turriers, taxes.com
- Loi no 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 12 janvier 2009 Insee,
- Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010 Insee,
- (fr) Populations légales 2008 de la commune de Turriers, INSEE
- Turriers sur le site de l'Insee
- notice communale de Turriers sur la base de données Cassini, consultée le 31 juillet 2009 EHESS,
- (fr) Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
- (fr) Liste des écoles de la circonscription de Sisteron, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
- (fr) Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 8 novembre 2004
- (fr) Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Site de la cité scolaire Paul Arène, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Médecins les plus proches de Turriers sur actuacity.com
- (fr) Pharmacie près de Turriers sur actuacity.com
- (fr) Hôpitaux les plus proches de Turriers sur actuacity.com
- (fr) Centre de Rééducation et de Réadaptation Fonctionnelles de Haute-Provence sur eauvive.fr/
- La charte Bistrot de Pays
- L'implantation des Bistrots de pays en France métropolitaine en 2010
- (fr) Liste des appellations AOC et IGP à Turriers sur INAO
- Site légifrance relatif à la parution au JO de l'arrêté du 30 juillet 2009
- Les apiculteurs en Provence
- La transhumance des ruches provençales
- Site officiel de l'agneau de Sisteron
- Homologation agneau de Sisteron du 3 janvier 2005
- IGP de l'Union européenne en date du 15 février 2007
- Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 751.
- (fr) Les Pommes des Alpes de Haute-Durance obtiennent l'IGP, INAO, 19 avril 2010
- (fr)Fiche INAO de l'IGP Pommes des Alpes de Haute-Durance, INAO, 17 avril 2010
- Raymond Collier, op. cit., p 271
- Raymond Collier, op. cit., p 369
- Raymond Collier, op. cit., p 387
- notice de la Base Palissy, consultée le 3 mars 2009 Arrêté du 30 janvier 1995,
- Biographie sur Urofrance
- Louis de Bresc Armorial des communes de Provence 1866. Réédition - Marcel Petit CPM - Raphèle-lès-Arles 1994
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Catégorie :- Commune des Alpes-de-Haute-Provence
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