- Mison
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Mison
Vue de Mison
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Forcalquier Canton Sisteron Code commune 04123 Code postal 04200 Maire
Mandat en coursRobert Gay
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du Sisteronais Site web mairiedemison.fr/ Démographie Population 985 hab. (2008) Densité 31 hab./km² Gentilé Misonnais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 489 m — maxi. 735 m Superficie 31,72 km2 Mison est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Misonnais.[1]
Sommaire
Géographie
Accès et transports
Le village est sur l'ex-route nationale 75, aujourd'hui RD 4075.
Topographie
Le territoire fait partie du massif des Baronnies. Le village est situé à 610 m d’altitude[2]. Le terroir est vallonné.
Principaux hameaux
Les principaux hameaux sont :
- Les Œufs
- Les Armands
- La Maure
- Font Michelle
- La Clapisse
- Taravelle
- La Silve
Communes voisines
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Les cantons de Banon, La Motte-du-Caire, Noyers-sur-Jabron sont classés en Zone 1a (risque très faible), ceux d'Allos-Colmars, Barcelonnette, Le Lauzet-Ubaye, Annot, Castellane, Saint-André-les-Alpes, Barrème, Digne-Est, Digne-Ouest, La Javie, Mézel, Moustiers-Sainte-Marie, Riez, Seyne, Forcalquier, Reillanne, Saint-Étienne-les-Orgues, Sisteron, Turriers et Volonne, en Zone 1b (risque faible) et ceux d'Entrevaux, Les Mées, Valensole, Manosque-Nord, Manosque-Sud-Est, Manosque-Sud-Ouest et Peyruis, en Zone 2 (risque moyen)[3].
Géologie
Article connexe : Géologie des Alpes.Le territoire se situe en limite est des Baronnies, sur des formations calcaires provençales du Jurassique supérieur (dénommées Terres noires[4]) et du Crétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin)[5].
L'emplacement entre deux vallées entraine la présence de conglomérats quaternaires (formation sédimentaire)[4].
La nappe de Digne s'étend plus à l'est[6], au niveau du lobe de Valavoire[7] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écailles) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe.
Hydrographie
Un cours d'eau borde la commune[8] : le Buëch[9].
Le lac collinaire de Mison s’est formé en limite nord, à 631 mètres d'altitude.
Climat
Mison n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Sisteron[10].
Relevé météorologique de la région de Sisteron mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) 0 0,5 3 5,4 9,1 12,7 15,4 15,3 12 8,2 3,7 1,1 7,2 Température moyenne (°C) 4,3 5,7 8,7 11,2 15,3 19,2 22,4 22,1 18 13,4 8,2 5,2 12,8 Température maximale moyenne (°C) 8,6 10,9 14,4 16,9 21,4 25,7 29,3 28,9 24 18,5 12,6 9,3 18,4 Précipitations (mm) 26,9 24,3 23,8 44 40 27,9 20,9 32,7 45,9 53,5 52,4 30,7 423 Source : Relevé météo de Sisteron[11]Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D 26.98.6024.310.90.523.814.434416.95.44021.49.127.925.712.720.929.315.432.728.915.345.9241253.518.58.252.412.63.730.79.31.1Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm) Toponymie
Le nom du village, tel qu’il apparaît pour la première fois dans les textes (castri Misoni), est interprété de différentes manières[12],[13] :
- soit comme tiré de la racine *Mis- à valeur oronymique (désignant une montagne) selon Rostaing ;
- soit comme dérivé d’un nom propre germanique, Meyzo, selon Nègre.
Histoire
Premières occupations humaines
Quelques objets d’époque gallo-romaine ont été retrouvés sur le territoire de la commune.
Moyen Âge
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 988[2]. La baronnie de Mison passe des vicomtes de Gap aux comtes de Provence en 1263[14]. Le village obtient une charte de franchise en 1360.
Époque moderne
La baronnie est érigée en marquisat pour Charles d’Armand en 1694[14] et une foire s’y tient au XVIIIe siècle[15].
Époque contemporaine
Au début de la Révolution, Mison est chef-lieu de canton pendant quelques années[16].
Le département connait dans plusieurs communes un important exode rural à partir des années 1850. La région est également touchée par les épisodes mortels régionaux ou nationaux : épidémies de choléra au XIXe siècle puis guerres mondiales au XXe siècle. La commune perd ainsi plus de la moitié de sa population, passant de 1 411 habitants en 1836 à 511 habitants en 1968.
Comme toute la France, la commune compte des hommes morts au front durant la Première Guerre mondiale. En octobre 1917, un Zeppelin allemand s’égare, emporté par le vent, et s’écrase dans la commune[17].
Durant la Seconde Guerre mondiale, le département est occupé par l'Italie en 1942 - 1943, puis par l'Allemagne nazie jusqu'en août 1944. À cette date, la ville voisine de Sisteron est bombardée par les alliés dans le cadre du débarquement de Provence. Elle et Digne sont libérées le 19.
Politique et administration
Administration municipale
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 15 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[18]). Lors du scrutin de 2008, il n’y eut qu’un seul tour et le maire sortant Robert-Henri Gay a été réélu conseiller municipal avec le septième total de 550 voix, soit 84,62 % des suffrages exprimés. La participation a été de 79,37 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[19].
Listes des maires
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du 3 juillet 1848 à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité Jean Andrieu mars 2001 réélu en 2008[20] Robert Gay UMP Près de la chapelle construite à l’écart du cimetière, se trouve une stèle élevée en mémoire de l’ancien maire Jean Andrieu (1925-1985).
Instances judiciaires et administratives
Mison est une des cinq communes du canton de Sisteron, qui totalise 8 836 habitants en 2008. Le canton a fait partie de l’arrondissement de Sisteron du 17 février 1800 au 10 septembre 1926, date de son rattachement à l'arrondissement de Forcalquier et de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Mison fait partie du canton de Sisteron depuis 1801, après avoir fait partie du canton de Mison de 1793 à 1801[16]. Mison fait partie de la juridiction d’instance et prud'hommale de Manosque, et de grande instance de Digne-les-Bains[21].
Fiscalité locale
L'imposition des ménages et des entreprises à Mison en 2009[22] Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 7,05 % 0,66 % 5,53 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 21,02 % 1,94 % 14,49 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 32,75 % 4,07 % 47,16 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 8,85 % 1,21 % 10,80 % 3,84 % La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[23]).
Population et société
Démographie
Enseignement
La commune dispose d’une école primaire publique[28]. Ensuite, les élèves sont affectés au collège de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[29],[30]. Puis ils poursuivent au lycée de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[31].
Santé
L'hôpital le plus proche est celui deSisteron dépendant du centre hospitalier intercommunal des Alpes du Sud dont le siège est à Gap[32].
Économie
La commune de Mison posséde neuf labels Indication géographique protégée (IGP) (Miel de Provence, Agneau de Sisteron, Pommes des Alpes de Haute-Durance, Alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de méditérranée blanc, rouge et rosé)[33]
Revenus de la population et fiscalité
En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 18 397 €, ce qui plaçait Mison au 11 111e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[34].
Agriculture
Agneau de Sisteron
L'agneau de Sisteron est un agneau élevé sous la mère et originaire des Alpes provençales et de la Drôme provençale pendant 60 jours minimum, ayant un âge compris entre 70 et 150 jours et pesant près de 13 à 19 kg. Issus d'élevages traditionnels, avec des mères de races Mérinos d'Arles, Mourérous ou Préalpes du Sud qui les allaitent au moins pendant deux mois, sur un espace pastoral comptant moins de 10 brebis à l'hectare et comportant au minimum 10 hectares de parcours[35], ces agneaux ont droit, sous le contrôle l'INAO, au label rouge agneau de Sisteron accordé par un décret gouvernemental en date du 3 janvier 2005[36],[37].
Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[38].
Pommes des Alpes de Haute-Durance
Les pommes des Alpes de Haute-Durance ont obtenu une Indication géographique protégée qui a été publiée au Journal Officiel de l'Union européenne le 17 avril 2010[39].
Ces pommes de variétés golden delicious et gala proviennent de six cantons des Alpes-de-Haute-Provence et de treize cantons des Hautes-Alpes situés entre 450 mètres et 900 mètres d’altitude. La qualité de ces pommes est liée à leur terroir, et en particulier au climat de la Haute-Durance, avec plus de 300 jours d'ensoleillement par an. Le froid nocturne qui règne lors de la maturation des pommes empêche la dégradation des acides, tandis que la forte amplitude thermique diurne permet leur jaunissement, et même leur rosissement[40].
Miel de Provence
Le miel de Provence est protégé par un label rouge associé à une indication géographique protégée tant pour le miel toutes fleurs et que pour le miel de lavande et lavandin[41]. L'apiculture mobilise nombre de producteurs. Ils sont estimés à 4 500 dont 700 possèdent entre 70 et 150 ruches. La production régionale est de 2 000 T/an soit 8% de la production nationale[42]. Nombre d'entre eux pratiquent la transhumance selon un trajet allant du littoral vers la Haute-Provence. L'été est la saison privilégiée pour le miel de lavande et les ruches sont installées dans une zone limitée au Nord par une ligne Montélimar / Digne avec au Sud le mont Ventoux, le plateau d'Albion, la montagne de Lure, les monts de Vaucluse et le massif du Luberon. Le miel toutes fleurs est élaboré dans une vaste zone limitée par Nîmes, Montélimar, Gap, Digne, Nice, Toulon, Marseille et Avignon[43].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Au village, une maison dont la façade est percée de fenêtres cintrées a été construite en 1780[44]. Un ancien relais de poste est situé au hameau des Armands, sur la route nationale[45].
Sur la butte qui domine le village se trouvent les ruines du château fort (Xe siècle) ; sa courtine extérieure est partiellement construite en galets[46]. Ayant appartenu aux comtes de Provence, il est aujourd'hui propriété de la commune.
La reconstruction de l’église du village, Notre-Dame-de-la-Baume, est est achevée en 1602. La nef est voûtée en berceau et entièrement entourée par une tribune. Le clocher-mur est situé au-dessus du chœur[47]. Le tableau représentant la Sainte Famille date du XVIIe siècle (classé monument historique au titre objet[48].
- Chapelle Saint-Roch.
- À la Silve, église Saint-Pierre.
Personnalités liées à la commune
- Joseph-Charles-André d'Arbaud, marquis de Mison, baron de Jouques (11 mai 1769 - Aix-en-Provence † 5 juin 1849 - Aix-en-Provence), militaire et haut-fonctionnaire français des XVIIIe et XIXe siècles.
- Ernest Benjamin Esclangon, astronome et mathématicien, est né à Mison en 1876. En 1933, il invente l'horloge parlante.
- Jean-Baptiste Salvat, ambassadeur au Maroc à l’époque de Louis XIV.
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
« d'azur à la fasce haussée d'argent chargée du mot MISON de sable, surmontée de deux roses d'argent et accompagnée en pointe d'un chevron abaissé d'or enfermant une autre rose d'argent »[49]Pour approfondir
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
Articles connexes
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence
Liens externes
- Mison sur le site de l'Institut géographique national
- http://www.mairiedemison.fr/ Site officiel de la mairie de Mison.
Notes et références
- (fr) Habitants de Mison sur habitants.fr
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 978-2-7399-5004-7)
- Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
- Mison, par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- Les chaînons de Digne, Carte très schématique, montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale), par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- Carte géologique de la France au 1:1 000 000
- La Nappe de Digne et les structures connexes,par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- (fr) Hydrographie à Mison sur annuaire-mairie.fr
- (fr) rivière Le Buëch (X10-0400), SANDRE
- (fr) Station météo la plus proche : Sisteron, MSN Météo
- (fr) Relevé météo de Sisteron, MSN Météo
- Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 227
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume II : Formations non-romanes ; formations dialectales § 14952, p 853
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 184 Sous la direction d’
- Baratier et Hilsdesheimer, « carte 122 : Les foires (1713-1789) », in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- (fr) Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales
- [1], p 40 « Le préfet en temps de guerre », in Chroniques de Haute-Provence Les préfets dans l’histoire de Haute-Provence depuis 1800, Autour d’une exposition réalisée par les Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, (no 340, 2000), p 50-51, disponible en ligne
- (fr) nombre des membres du conseil municipal des communes, Legifrance
- Résultats élections municipales 2008 à Authon sur linternaute.com
- Site de la préfecture des AHP
- (fr) Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence, Ministère de la Justice et des Libertés
- (fr) Impots locaux à Mison, taxes.com
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009 Insee,
- Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010 Insee,
- (fr) Populations légales 2008 de la commune de Mison, INSEE
- Mison sur le site de l'Insee
- (fr) Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
- (fr) Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 8 novembre 2004
- (fr) Site de la cité scolaire Paul Arène, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) CHICAS, site du Centre Hospitalier des Alpes du Sud Gap-Sisteron sur chicas-gap.fr
- (fr) Liste des appellations AOC et IGP à Mison sur INAO
- CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl sur le site de l'Insee. Consulté le 6 novembre 2010
- (fr) Site officiel de l'agneau de Sisteron sur agneaudesisteron.fr
- (fr) Homologation agneau de Sisteron du 3 janvier 2005 sur agneaudesisteron.fr
- (fr) Fiche de l'IGP Label Rouge Agneau de Sisteron, INAO, 20 février 2007
- Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 751.
- (fr) Les Pommes des Alpes de Haute-Durance obtiennent l'IGP, INAO, 19 avril 2010
- (fr)Fiche INAO de l'IGP Pommes des Alpes de Haute-Durance, INAO, 17 avril 2010
- Site légifrance relatif à la parution au JO de l'arrêté du 30 juillet 2009
- Les apiculteurs en Provence
- La transhumance des ruches provençales
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 369
- op. cit., p 424 Raymond Collier,
- Raymond Collier, op. cit., p 313
- Raymond Collier, op. cit., p 210
- tableau : sainte famille (la), sur la base Palissy, ministère de la Culture classement par arrêté du 21 janvier 1974, consultée le 18 octobre 2010
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
Catégories :- Commune des Alpes-de-Haute-Provence
- Ancien chef-lieu de canton des Alpes-de-Haute-Provence
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