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Montfuron
Vue de Montfuron
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Forcalquier Canton Manosque-Sud-Ouest Code commune 04128 Code postal 04110 Maire
Mandat en coursPierre Fischer
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes Luberon Durance Verdon Démographie Population 198 hab. (2008) Densité 10 hab./km² Gentilé Montfuronnais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 373 m — maxi. 706 m Superficie 18,88 km2 Montfuron est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Montfuronnais.[1]
Sommaire
Géographie
Communes voisines
Le village est situé à 12 km de Manosque, 27 km de Pertuis, 49 km d'Aix-en-Provence, 106 km de Castellane, 207 km de Nice et 233 km de Valence[2].
Commune du parc du Luberon
Le village est sur un site perché et c'est l'un des soixante-dix-sept membres du parc naturel régional du Luberon, parc qui s'étend sur deux départements, le Vaucluse (84) et les Alpes-de-Haute-Provence (04). Il s'étend sur quatre-vingt cinq communes mais il n'accueille que soixante-dix-sept communes adhérentes en 2009 et 167 676 habitants en 2006. Il a une superficie de 185 145 hectares et s'étend de Cavaillon à l'ouest jusqu'à la limite du parc naturel régional du Verdon à l'est, la Durance faisant office de frontière entre les deux. Au nord, le Luberon est bordé par les vallées du Coulon-Calavon et du Largue, où l'on distingue le bassin d'Apt, à l'ouest, de celui de Manosque-Forcalquier, à l'est. Toujours vers le nord, les Monts de Vaucluse servent de contreforts aux massifs du Ventoux et de Lure. Vers le sud, le Luberon domine le bassin de la Durance et le pays d'Aigues.
Il y a un panorama sur le plateau de Valensole, la montagne de Lure et la montagne Sainte-Victoire.
Hydrographie
Plusieurs rivières du bassin de la Durance traversent la commune de Montfuron :
- le torrent le Chaffère[3], cours d'eau de 15,3 km, affluent de la Durance[4] ;
- le ruisseau l'Aiguebelle[5] (affluent de l'Encrême)[6] ;
- le ruisseau de la Bonde[7] (affluent du Largue)[8].
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Le canton de Manosque-Sud-Ouest dont fait partie la commune est en Zone 2 (risque moyen), soit le risque le plus élevé du secteur. Les cantons d'Entrevaux, Les Mées, Valensole, Manosque-Nord, Manosque-Sud-Est, et Peyruis sont également dans cette catégorie[9].
Géologie
Article connexe : Géologie des Alpes.Le territoire se situe au nord ouest de la faille de la Durance, sur des formations calcaires provençales du Jurassique supérieur et du Crétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin), entre plusieurs formations géologiques majeures des Alpes[10] :
- le Plateau de Valensole au sud-est : bassin molassique du Miocène et du Pliocène composé de roches sédimentaires détritiques (dépôts liés à l'érosion des montagnes apparues à l'Oligocène).
- le plateau de Manosque - Forcalquier à l'est ;
- la montagne du Luberon à l'ouest.
La commune fait partie du périmètre de la Réserve naturelle géologique du Luberon, en raison de la proximité à des sites fossilifères exceptionnels.
Climat
Article détaillé : Climat des Alpes-de-Haute-Provence.Montfuron est soumise à un climat méditerranéen d'intérieur, dit tempéré continental. Les hivers sont plus froids qu'en basse Provence, avec des gelées fréquentes (moyenne mensuelle de 4,6 °C en janvier). Les étés sont très chauds avec une sécheresse habituelle en juillet (température moyenne de 22 °C). La température moyenne annuelle est de 12,6 °C. Les étés sont presque aussi chauds qu'en basse Provence mais un peu moins secs et l'amplitude thermique annuelle et diurne est importante (15 à 20 °C de différence entre été et hiver). Dans ces régions abritées, les hivers sont souvent plus secs que les intersaisons. La moyenne annuelle des précipitations est de 736 mm et la ville reçoit environ 2800 heures d'ensoleillement par an.
Montfuron n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Pierrevert[11].
Relevé météorologique de Pierrevert mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) -0,0 0,6 2,8 5,3 9,0 13,1 15 15,1 11,6 7,9 3,3 0,5 6,9 Température moyenne (°C) 4,5 5,8 8,7 11,2 15,4 19,5 22,3 22,2 18,2 13,5 8,2 5,1 12,5 Température maximale moyenne (°C) 9 11,1 14,8 17,1 21,8 26,1 29,7 29,5 24,8 19,2 13,3 9,7 18,1 Précipitations (mm) 47 34 34 44 40 28 21 33 46 54 73 61 515 dont pluie (mm) 27 24 24 44 40 28 21 33 46 54 53 31 425 dont neige (cm) 2 1 1 0 0 0 0 0 0 0 2 3 9 Source : (fr) Relevé météo de Pierrevert 2000/2007, MSN MétéoDiagramme climatique J F M A M J J A S O N D 479-0.03411.10.63414.82.84417.15.34021.89.02826.113.12129.7153329.515.14624.811.65419.27.97313.33.3619.70.5Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm) Toponymie
La localité apparaît pour la première fois dans les textes vers 1060[12] (Monte Furono). Ce nom est formé de l’occitan Mont et de Furon, nom propre[13].
Histoire
Des traces d’occupation gallo-romaines ont été retrouvées sur la commune[14]. Un pressoir à huile a été retrouvé à Mériton[14].
Autrefois fortifié, le village est pillé par les routiers en 1392 (guerre de Cent Ans) et pris d’assaut en 1560 (guerres de religion). En 1690, la seigneurie est érigée en marquisat pour Léon de Valbelle[15].
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[16]. En 1815, il sert de repaire à une troupe qui terrorise la région (Terreur blanche).
De nombreux hameaux ont été abandonnés. Des réfugiés albanais en ont restauré un certain nombre.
Politique et administration
Administration municipale
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 11 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[17]). Lors du scrutin de 2008, il n’y eut qu’un seul tour et le maire sortant Pierre Fisher a été élu conseiller municipal avec le dixième total de la liste de 101 voix, soit 64,33 % des suffrages exprimés. La participation a été de 89,20 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[18].
Liste des maires
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du 3 juillet 1848 à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1977 (?) Jean Curetti[19] mars 2001 réélu en 2008[20] Pierre Fischer Instances judiciaires et administratives
Montfuron est une des trois communes du canton de Manosque-Sud-Ouest, qui totalise 12 154 habitants en 2008. Le canton fait partie de l'arrondissement de Forcalquier depuis le 17 février 1800 et de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Montfuron fait partie du canton de Manosque-Sud-Ouest depuis 1985, après avoir fait partie du canton de Sainte-Tulle de 1793 à 1801, du canton de Reillanne de 1801 à 1802, du canton de Manosque de 1802 à 1973 et du canton de Manosque-Sud de 1973 à 1985[21]. La commune fait partie de la juridiction d’instance et prud'hommale de Manosque, et de grande instance de Digne-les-Bains[22].
Intercommunalité
Montfuron fait partie de la Communauté de communes Luberon Durance Verdon.
Cette intercommunalité est composée des communes suivantes :
Allemagne-en-Provence, Brunet, Esparron-de-Verdon, Gréoux-les-Bains, Manosque, Montagnac-Montpezat, Montfuron, Puimoisson, Quinson, Saint-Laurent-du-Verdon, Saint-Martin-de-Brômes, Valensole et Vinon-sur-Verdon.
Fiscalité locale
L'imposition des ménages et des entreprises à Montfuron en 2009[23] Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 8,47 % 0,00 % 5,53 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 26,27 % 0,00 % 14,49 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 132,28 % 0,00 % 47,16 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 0,00 % 20,84 % 10,80 % 3,84 % La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[24]).
Population et société
Démographie
Enseignement
La commune dispose d’une école primaire publique[30]. Ensuite, les élèves sont affectés au collège Jean Giono à Manosque[31],[32]. Puis les élèves sont dirigés vers les lycées de Manosque[33], soit le lycée polyvalent Les Iscles[34], soit le lycée polyvalent Félix-Esclangon[35].
Culte
La paroisse est rattachée à un groupe inter-paroissial qui comprend Aubenas-les-Alpes, Céreste, Dauphin, Lincel, Mane, Montfuron, Montjustin, Oppedette, Reillanne, Sainte-Croix-à-Lauze, Saint-Maime, Saint-Martin-les-Eaux, Saint-Michel-l'Observatoire, Vachères et Villemus. Le culte est célébré alternativement dans les églises de ces quinze communes[36].
Économie
La commune de Montfuron possède six labels Appellation d'origine contrôlée (AOC) (Banon, Pierrevert blanc, rouge et rosé, Huile d'olive de Provence et Huile d'olive de Haute-Provence) et neuf labels Indication géographique protégée (IGP) (petit épeautre, Miel de Provence, Agneau de Sisteron, Alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de Méditerranée blanc, rouge et rosé)[37].
Agriculture
Agneau de Sisteron
L'agneau de Sisteron est un agneau élevé sous la mère et originaire des Alpes provençales et de la Drôme provençale pendant 60 jours minimum, ayant un âge compris entre 70 et 150 jours et pesant près de 13 à 19 kg. Issus d'élevages traditionnels, avec des mères de races Mérinos d'Arles, Mourérous ou Préalpes du Sud qui les allaitent au moins pendant deux mois, sur un espace pastoral comptant moins de 10 brebis à l'hectare et comportant au minimum 10 hectares de parcours[38], ces agneaux ont droit, sous le contrôle l'INAO, au label rouge agneau de Sisteron accordé par un décret gouvernemental en date du 3 janvier 2005[39],[40].
Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[41].
Petit épeautre
Le petit épeautre est un blé rustique dont les archéologues ont retrouvé la trace dans des couches datées de 9 000 ans avant notre ère. Cette céréale se complait dans des sols pauvres et accepte des hivers longs et froids[a 1]. Elle se sème en septembre-octobre et son cycle végétatif est de onze mois[a 2]. Cette culture, très populaire sur les contreforts de la montagne de Lure jusqu'au XIXe siècle, a été reprise dans les années 1980. Dans le cadre de la SICA « Céréales Ventoux », une cinquantaine de producteurs approvisionnent un marché qui absorbe 200 tonnes/an[a 2].
Fromage de Banon
Le banon est protégé par une AOC depuis 2003. C'est le premier fromage de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur à obtenir une appellation d'origine contrôlée. L'INAO a donné son accord pour sélectionner selon les « usages locaux, loyaux et constants » 179 communes dont la production du lait des élevages de chèvre de races provençale, rove et alpine peut revendiquer l'appellation, dont 111 dans les Alpes-de-Haute-Provence, 33 dans les Hautes-Alpes, 21 dans la Drôme et 14 dans le Vaucluse.
C'est un fromage à pâte molle à croûte naturelle, élaboré à partir de la technique du caillé doux et moulé à la louche avant d'être emmitouflé dans des feuilles de châtaigniers brunes et liées par un brin de raphia naturel[42]. Il est auparavant trempé dans de l'alcool pour éviter les moisissures.
Miel de Provence
Le miel de Provence est protégé par un label rouge associé à une indication géographique protégée tant pour le miel toutes fleurs que pour le miel de lavande et lavandin[43]. L'apiculture mobilise nombre de producteurs. Ils sont estimés à 4 500 dont 700 possèdent entre 70 et 150 ruches. La production régionale est de 2 000 t/an, soit 8 % de la production nationale[44]. Nombre d'entre eux pratiquent la transhumance selon un trajet allant du littoral vers la Haute-Provence. L'été est la saison privilégiée pour le miel de lavande et les ruches sont installées dans une zone limitée au nord par une ligne Montélimar / Digne, avec au sud le mont Ventoux, le plateau d'Albion, la montagne de Lure, les monts de Vaucluse et le massif du Luberon. Le miel toutes fleurs est élaboré dans une vaste zone limitée par Nîmes, Montélimar, Gap, Digne, Nice, Toulon, Marseille et Avignon[45].
Huile d'olive de Provence AOC
L'huile d'olive de Provence est protégée par une appellation d'origine contrôlée (AOC) à la suite d'une enquête diligentée par l'INAO, dont les conclusions ont été déposées auprès de la commission le 26 octobre 2006, réunie à Arles, et la signature du décret paru au Journal officiel le 14 mars 2007[46].
Pour pouvoir postuler à l'AOC, l'huile d'olive de Provence doit être élaborée à base des variétés aglandau, bouteillan, cayon, salonenque ainsi que celles dénommées localement brun, cayet, petit ribier et belgentiéroise. Il faut au moins deux de ces variétés principales présentes au sein de l'oliveraie[46],[47].
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
Le monument le plus connu de la commune est son moulin à vent, restauré de 1971 à 1980 et qui a conservé une partie de sa mécanique en bois d’origine. Les ailes font 13 m par 4. Construit dans un site classé, c’est le dernier encore en fonctionnement du département[48]. Montfuron a aussi sur sa commune deux autres moulins: Le moulin des Arnoux à gypse, et un autre à eau.
Il ne reste qu’un pan de mur et une arche de l’ancien château, au-dessus du village[49].
Le mur nord et le portail sud, arche en plein cintre de claveaux ornée d’un tore, de l’église Notre-Dame-et-Saint-Elzéar, sont les parties les plus anciennes du bâtiment. Les deux travées de la nef sont voûtées d’arêtes, tout comme le bas-côté unique. Le clocher-tour date du XVIIe siècle[50].
La chapelle Saint-Elzéar, au cimetière, datée du XVIIe siècle, est classée monument historique[51]. Sa nef, voûtée en berceau, sa construction en moellon, son chœur à chevet plat, voûté d’arêtes, caractérisent sa construction[52]. Les murs gouttereaux sont ornés intérieurement d’arcatures aveugles[53].
Personnalités liées à la commune
- Saint Elzéar de Sabran aurait réalisé un miracle à Montfuron.[réf. nécessaire]
- Jules Raymond de Soliers, né à Pertuis et mort à Montfuron vers 1594, est un juriste, historien et collectionneur[54].
- Jean-Louis Bianco
- François Mitterrand
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
coupé : au premier d'azur aux deux étoiles d'argent, au second de gueules aux lettres M et M capitales d'argent[55].Pour approfondir
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
- Marc Donato, Lettres d'un autre moulin, série de nouvelles historiées puisées dans les archives communales.
Iconographie
Articles connexes
- Anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Huile d'olive de Provence AOC
Liens externes
Notes et références
Références bibliographiques
- Guy Barruol, Nerte Dautier, Bernard Mondon (coord.), Le mont Ventoux. Encyclopédie d'une montagne provençale
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 123
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 124
Autres références
- (fr) Habitants de Montfuron sur habitants.fr
- Géoportail, consultation à l’échelle Ville + 1/4, le 12 décembre 2008 IGN,
- (fr) Fiche du Torrent le Chaffère (X1610500), SANDRE
- (fr) Fiche de La Durance (X---0000), SANDRE
- (fr) Fiche du ruisseau L'Aiguebelle (X3420620), SANDRE
- (fr) Fiche de L'Encrême (X3420520), SANDRE
- (fr) Fiche du Ruisseau de la Bonde (X1500600), SANDRE
- (fr) Fiche de la rivière Le Largue (X15-0400), SANDRE
- Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
- Les chaînons de Digne, Carte très schématique, montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale), par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- (fr) Station météo la plus proche : Pierrevert, MSN Météo
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7)
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume III : Formations dialectales (suite) ; formations françaises § 29424, p 1679
- Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p. 306.
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 186 Sous la direction d’
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
- (fr) nombre des membres du conseil municipal des communes, Legifrance
- Résultats élections municipales 2008 à Montfuron sur linternaute.com
- Valéry Giscard d’Estaing (UDF) à l’élection présidentielle de 1981, cf constitutionnel, liste des élus ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 15 avril 1981, page 1061, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010 Jean Curetti est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de
- Site de la préfecture des AHP
- (fr) Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales
- (fr) Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence, Ministère de la Justice et des Libertés
- (fr) Impots locaux à Montfuron, taxes.com
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009 Insee,
- Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010 Insee,
- (fr) Populations légales 2008 de la commune de Montfuron, INSEE
- Montfuron sur le site de l'Insee
- notice communale de Montfuron sur la base de données Cassini, consultée le 27 juillet 2009 EHESS,
- (fr) Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
- (fr) Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 8 novembre 2004
- (fr) Site du collège Jean Giono, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Site du lycée Les Iscles, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Site du lycée Félix-Esclangon, Académie Aix-Marseille, 2010
- Groupe Avance au Largue
- (fr) Liste des appellations AOC et IGP à Montfuron sur INAO
- (fr) Site officiel de l'agneau de Sisteron sur agneaudesisteron.fr
- (fr) Homologation agneau de Sisteron du 3 janvier 2005 sur agneaudesisteron.fr
- (fr) Fiche de l'IGP Label Rouge Agneau de Sisteron, INAO, 20 février 2007
- Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 751.
- Bernard Teyssandier, Connaître les fromages de France du terroir à la table, éditions Jean-Paul Gisserot, 1994, p. 63.
- Site légifrance relatif à la parution au JO de l'arrêté du 30 juillet 2009
- Les apiculteurs en Provence
- La transhumance des ruches provençales
- Décret du 14 mars 2007 relatif à l'huile d'olive de Provence AOC, INAO
- Les variétés d'olives
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 431
- Raymond Collier, op. cit., p 273
- Raymond Collier, op. cit., p 223-224
- notice de la Base Mérimée, consultée le 24 novembre 2008 Arrêté du 9 juillet 1981,
- Raymond Collier, op. cit., p 151
- Raymond Collier, op. cit., p 219
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 147
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
Catégories :- Commune des Alpes-de-Haute-Provence
- Commune membre du Parc naturel régional du Luberon
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