- La Motte-du-Caire
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La Motte-du-Caire
Monument aux morts de La Motte-du-Caire
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Forcalquier Canton La Motte-du-Caire
(chef-lieu)Code commune 04134 Code postal 04250 Maire
Mandat en coursMarcel Clément
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes de la Motte-Turriers Démographie Population 507 hab. (2008) Densité 19 hab./km² Gentilé Mottois Géographie Coordonnées Altitudes mini. 623 m — maxi. 1 547 m Superficie 27,27 km2 La Motte-du-Caire est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Mottois.[1]
Sommaire
Géographie
Localisation
Située aux confins des Alpes-de-Haute-Provence, à 25 km au nord-est de Sisteron, sur un terrain ondulé. Le lac de Seignon et deux sources s’y trouvent : une source sulfureuse et la source de la Béligue
Communes limitrophes
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Les cantons de Banon, La Motte-du-Caire, Noyers-sur-Jabron sont classés en Zone 1a (risque très faible), ceux d'Allos-Colmars, Barcelonnette, Le Lauzet-Ubaye, Annot, Castellane, Saint-André-les-Alpes, Barrème, Digne-Est, Digne-Ouest, La Javie, Mézel, Moustiers-Sainte-Marie, Riez, Seyne, Forcalquier, Reillanne, Saint-Étienne-les-Orgues, Sisteron, Turriers et Volonne, en Zone 1b (risque faible) et ceux d'Entrevaux, Les Mées, Valensole, Manosque-Nord, Manosque-Sud-Est, Manosque-Sud-Ouest et Peyruis, en Zone 2 (risque moyen)[2].
Géologie et relief
Article connexe : Géologie des Alpes.Le territoire se situe en limite est des Baronnies orientales, sur des formations calcaires provençales du Jurassique supérieur et du Crétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin), entre trois formations géologiques majeures des Alpes[3] :
- la nappe de Digne à l'est[4], au niveau du lobe de Valavoire[5] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écailles) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe ;
- la faille de la Durance au sud-ouest, dans la vallée ;
- le Plateau de Valensole au sud-est : bassin molassique du Miocène et du Pliocène composé de roches sédimentaires détritiques (dépôts liés à l'érosion des montagnes apparues à l'Oligocène).
Climat
Article détaillé : Climat des Alpes-de-Haute-Provence.La Motte-du-Caire n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Tallard[6].
Relevé météorologique de la région de Tallard mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) -3 -2 1 3 7 10 13 13 10 6 1 -1 4,8 Température moyenne (°C) 1,5 3 6,5 9 13 17 20 20 16 11,5 5,5 3 10,5 Température maximale moyenne (°C) 6 8 12 15 19 24 27 27 22 17 10 7 16,2 Précipitations (mm) 33 29,4 28,9 43,4 38,7 40,9 33,3 36,7 46,2 63,7 48,8 34 477 Source : Relevé météo de Tallard[7]Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D 336-329.48-228.912143.415338.719740.9241033.3271336.7271346.2221063.717648.8101347-1Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm) Voies de communication et transports
La commune de la Motte du Caire est accéssible par la RD 951, depuis Nibles au sud, ou Faucon-du-Caire au nord. La sortie de l'autoroute A51 la plus proche est la 23 Sisteron-Nord (Grenoble par la Croix-Haute, Sisteron, La Motte-du-Caire, Laragne-Montéglin).
Deux liges de bus desservent La Motte du Caire[8] : Turriers - Sisteron et Bayons - Sisteron.
Toponymie
La Motte-du-Caire se nomme en vivaro-alpin : La Mota dau Caire [la 'mutœ du 'kajre] dans la norme classique et La Mouto dòu Caïre dans la norme mistralienne.
Le nom du village, tel qu’il apparaît pour la première fois dans les textes en 1168 (la Mota), fait référence à une colline, ou une construction au sommet d’une colline[9].
Histoire
Des sépultures sous tegulae (gallo-romaines) ont été découvertes sur la commune.
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1168[10], mais une motte castrale est élevée au XIe siècle[11].
En 1348, la reine Jeanne, chassée de son royaume de Naples, dut se réfugier en Provence. Pour reconquérir ses États napolitains, elle vendit Avignon au pape pour 80 000 florins, et obtint au passage l'absolution pontificale qui la lavait de tout soupçon dans le meurtre de son premier époux André de Hongrie. Reconnaissante, elle offrit à Guillaume II Roger, frère du pape, le fief de Valernes, qui fut érigé en vicomté par lettres patentes en 1350[12]. La nouvelle vicomté comprenait les communautés de Bayons, Vaumeilh, la Motte, Bellaffaire, Gigors, Lauzet, les Mées, Mézel, Entrevennes et le Castellet, avec leurs juridictions et dépendances[13].
Au XIVe siècle, l’ordre de la Trinité y établit un couvent, supprimé courant du XVIIIe siècle.
Pendant les guerres de religion, les Ligueurs occupent le village en 1585.
Une foire s’y tenait au XVIIIe siècle[14].
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[15] et nommée Société de Frères amis de la Liberté, Égalité, Fraternité et République puis Société de Frères amis de la Liberté, Égalité et République indivisible[16]. Plus de la moitié de la population masculine la fréquente[17].
Administration
Administration municipale
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 11 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[18]). Lors du scrutin de 2008, il n’y eut qu’un seul tour et Marcel Clément a été réélu conseiller municipal avec le troisième total de 220 voix, soit 59,14 % des suffrages exprimés. La participation a été de 92,54 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[19].
Listes des maires
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du 3 juillet 1848 à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 2001 réélu en 2008[20] Marcel Clément PS Intercommunalité
La Motte-du-Caire est l'une des 13 communes de Communauté de communes de la Motte-Turriers.
Instances judiciaires et administratives
La Motte-du-Caire est chef-lieu du canton de La Motte-du-Caire qui compte des treize communes et totalise 2 359 habitants en 2008 Le canton a fait partie de l’Arrondissement de Sisteron du 17 février 1800 au 10 septembre 1926, date de son rattachement à l'Arrondissement de Forcalquier.et de la Deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Le Caire fait partie du canton de La Motte-du-Caire depuis 1793 (Lamotte de 1793 à 1801)[21]. Le Caire fait partie des juridictions d’instance de Forcalquier, de la prud'hommale de Manosque, et de grande instance de Digne-les-Bains[22].
Fiscalité locale
L'imposition des ménages et des entreprises à La Motte-du-Caire en 2009[23] Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 6,88 % 0,64 % 5,53 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 17,71 % 2,25 % 14,49 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 56,31 % 6,44 % 47,16 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 15,55 % 1,28 % 10,80 % 3,84 % La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[24]).
Démographie
Évolution démographique
Enseignement
La commune dispose d'une école primaire publique[31],[32]. Ensuite, les élèves sont affectés au collège Marcel-Massot[33],[34]. Puis ils poursuivent au lycée de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[35],[36].
Santé
Une maison médicale est installé à La Motte du Caire[37], avec la présence d'un médecin, un infirmier, un kinésithérapeute et un dentiste. Une pharmacie fait partie de commerce de la commune.
L'hopital le plus proche est le Centre Hospitalier de Gap-Sisteron[38] à Gap (environ 41 km).
Sports
Le club de vol à voile de la Motte-du-Caire est installé sur la vélisurface située dans la vallée du Grand Vallon, à 2 km au sud de la commune[39].
Culte
Culte catholique en l'église paroissiale de la commune.
Économie
Emploi, entreprises et commerces
Agriculture
La commune du Caire possède deux labels Appellation d'origine contrôlée (AOC) (Huile essentielle de lavande de Haute-Provence et Banon) et neuf labels Indication géographique protégée (IGP) (Pommes des Alpes de Haute-Durance, Miel de Provence, Agneau de Sisteron, Alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de Méditerranée blanc, rouge et rosé)[40].
Fromage de Banon
Le banon est protégé par une AOC depuis 2003. C'est le premier fromage de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur à obtenir une appellation d'origine contrôlée. L'INAO a donné son accord pour sélectionner selon les « usages locaux, loyaux et constants » 179 communes dont la production du lait des élevages de chèvre de races provençale, rove et alpine peut revendiquer l'appellation, dont 111 dans les Alpes-de-Haute-Provence, 33 dans les Hautes-Alpes, 21 dans la Drôme et 14 dans le Vaucluse.
C'est un fromage à pâte molle à croûte naturelle, élaboré à partir de la technique du caillé doux et moulé à la louche avant d'être emmitouflé dans des feuilles de châtaigniers brunes et liées par un brin de raphia naturel[41]. Il est auparavant trempé dans de l'alcool pour éviter les moisissures.
Miel de Provence
Le miel de Provence est protégé par un label rouge associé à une indication géographique protégée, tant pour le miel toutes fleurs que pour le miel de lavande et lavandin[42]. L'apiculture mobilise nombre de producteurs. Ils sont estimés à 4 500, dont 700 possèdent entre 70 et 150 ruches. La production régionale est de 2 000 t/an, soit 8 % de la production nationale[43]. Nombre d'entre eux pratiquent la transhumance selon un trajet allant du littoral vers la Haute-Provence. L'été est la saison privilégiée pour le miel de lavande et les ruches sont installées dans une zone limitée au nord par une ligne Montélimar / Digne, avec au sud le mont Ventoux, le plateau d'Albion, la montagne de Lure, les monts de Vaucluse et le massif du Luberon. Le miel toutes fleurs est élaboré dans une vaste zone limitée par Nîmes, Montélimar, Gap, Digne, Nice, Toulon, Marseille et Avignon[44].
Agneau de Sisteron
L'agneau de Sisteron est un agneau de quatre mois, élevé sous la mère et originaire des Alpes provençales et de la Drôme provençale. Issus d'élevages traditionnels, avec des mères de races Mérinos d'Arles, Mourérous ou Préalpes du Sud qui les allaitent au moins pendant deux mois, sur un espace pastoral comptant moins de 10 brebis à l'hectare et comportant au minimum 10 hectares de parcours[45], ces agneaux ont droit, sous le contrôle l'INAO, au label rouge accordé par un décret gouvernemental en date du 3 janvier 2005[46]. L'Union européenne lui a accordé une indication géographique protégée depuis le 15 février 2007[47].
Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[48].
Pommes des Alpes de Haute-Durance
Les pommes des Alpes de Haute-Durance ont obtenu une Indication géographique protégée qui a été a été publiée au Journal Officiel de l'Union européenne le 17 avril 2010[49].
Ces pommes de variétés golden delicious et gala proviennent de six cantons des Alpes-de-Haute-Provence et de treize cantons des Hautes-Alpes situés entre 450 mètres et 900 mètres d’altitude. La qualité de ces pommes est liée à leur terroir, et en particulier au climat de la Haute-Durance avec plus de 300 jours d'ensoleillement par an. Le froid nocturne qui règne lors de la maturation des pommes empêche la dégradation des acides, tandis que la forte amplitude thermique diurne permet leur jaunissement, et même leur rosissement[50].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le monument aux morts est orné de statues de pleureurs en bronze[51].
Le château de la Bastie-Neuve est du XIXe siècle[52], propriété privée). Dans la grand-rue, se trouve une maison dont l’encadrement de porte (arc en accolade à double gorge, surmontée d’une fenêtre à accolade également) date de la fin du Moyen Âge[53].
La gendarmerie était autrefois installée dans une maison seigneuriale de ville, de la seconde moitié du XVIIIe siècle, avec portail immense à fronton ouvrant sur une petite cour. La porte d’entrée, d’aspect monumental, est cintrée, est ornée de moulurations de style Louis XV[54].
L’église paroissiale, placée sous le patronage de sainte-Marie-Madeleine et de la Trinité, date de 1851. Elle remplace une église reconstruite en 1599, et conserve le clocher de l’ancienne église (construit en 1785), qui s’achève en pyramide flanqué de quatre pyramidions. La nef, longue de trois travées, est bordée de six chapelles latérales peu profondes[55]. Dans son mobilier, l’église conserve une Déposition de croix du milieu du XVIIe siècle, classé monument historique au titre objet[56].
- Rues étroites et pentues (rue Casse-Cul)
- le Sentier des contes, ou la route des rochers qui parlent.
Personnalités liées à la commune
- Richard Roman, dit l'Indien, personnage central de l'affaire judiciaire Céline Jourdan.
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
D’azur à une montagne d’or, au pied de laquelle coule une rivière d’argent.[57]Pour approfondir
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
Liens internes
Liens externes
Notes et références
- (fr) Nom des habitants des communes françaises, La Motte-du-Caire sur le site habitants.fr de la SARL Patagos. Consulté le 28 mai 2011
- Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
- Les chaînons de Digne, Carte très schématique, montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale), par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- Carte géologique de la France au 1:1 000 000
- La Nappe de Digne et les structures connexes,par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- (fr) Station météo la plus proche : Tallard, MSN Météo
- (fr) Relevé météo de Tallard, MSN Météo
- Lignes de bus à La Motte du Caire
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes § 1585, p 84
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7)
- Parc naturel du Luberon, Autour de l’An Mil en pays de Forcalquier, catalogue d’exposition, 2007, p 31
- Jean-Marie Schio, Guillaume II Roger de Beaufort
- Édouard de Laplane, Histoire de Sisteron, tirée de ses archives, Digne, 1845, T. I, p. 126.
- Baratier et Hilsdesheimer, « carte 122 : Les foires (1713-1789) », in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
- Alphand, p 310
- Alphand, p 320
- (fr) nombre des membres du conseil municipal des communes, Legifrance
- Résultats élections municipales 2008 à La Motte-du-Caire sur linternaute.com
- Site de la préfecture des AHP
- (fr) Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales
- (fr) Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence, Ministère de la Justice et des Libertés
- (fr) Impots locaux à La Motte-du-Caire, taxes.com
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009 Insee,
- Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010 Insee,
- (fr) Populations légales 2008 de la commune de La Motte-du-Caire, INSEE
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 186 Sous la direction d’
- La Motte-du-Caire sur le site de l'Insee
- notice communale de La Motte-du-Caire sur la base de données Cassini, consultée le 27 juillet 2009 EHESS,
- (fr) Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des écoles de la circonscription de Sisteron, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010 Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence,
- Liste des collèges publics, publiée le 6 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010 Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence,
- (fr) Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 8 novembre 2004
- (fr) Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Site de la cité scolaire Paul Arène, Académie Aix-Marseille, 2010
- Santé à La Motte du caire
- centre hospitalier de Gap Sisteron
- (fr) Site du club de vol à voile de La Motte-du-Caire] sur INAO. Consulté le 27 juillet 2009
- (fr) Liste des appellations AOC et IGP à La Motte-du-Caire sur INAO
- Bernard Teyssandier, Connaître les fromages de France du terroir à la table, éditions Jean-Paul Gisserot, 1994, p. 63.
- Site légifrance relatif à la parution au JO de l'arrêté du 30 juillet 2009
- Les apiculteurs en Provence
- La transhumance des ruches provençales
- Site officiel de l'agneau de Sisteron
- Homologation agneau de Sisteron du 3 janvier 2005
- IGP de l'Union européenne en date du 15 février 2007
- Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 751.
- (fr) Les Pommes des Alpes de Haute-Durance obtiennent l'IGP, INAO, 19 avril 2010
- (fr)Fiche INAO de l'IGP Pommes des Alpes de Haute-Durance, INAO, 17 avril 2010
- Raymond Collier, op. cit., p 533
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 271
- op. cit., p 358 Raymond Collier,
- Raymond Collier, op. cit., p 365
- Raymond Collier, op. cit., p 384
- notice de la Base Palissy, consultée le 26 novembre 2008 Arrêté du 21 avril 1975,
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
Catégorie :- Commune des Alpes-de-Haute-Provence
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