- Tallard
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Tallard
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Hautes-Alpes Arrondissement Arrondissement de Gap Canton Canton de Tallard Code commune 05170 Code postal 05130 Maire
Mandat en coursJean-Michel Arnaud
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes de Tallard-Barcillonnette Démographie Population 1 909 hab. (2008) Densité 127 hab./km² Gentilé Tallardiens Géographie Coordonnées Altitudes mini. 570 m — maxi. 1 121 m Superficie 15,02 km2 Tallard (Talard en occitan vivaro-alpin) est une commune française, située dans le département des Hautes-Alpes et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Tallardiens.
- Ville fleurie 1 fleur
- Candidate au Label "Ville d'art et d'histoire"
- Candidate au Label "Station verte"
Sommaire
Géographie
Dans le département des Hautes-Alpes, la commune est située à 15 km au sud de Gap sur la route départementale D 942 et à moins de 5 km de l'autoroute A 51 qui se termine à La Saulce. Tallard est à 180 km de Marseille et 100 km de Grenoble.
Cette commune accueille aussi l'aérodrome de Gap-Tallard.
Climat
Relevé météorologique de la région de Tallard mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) -3,0 -3,3 -1,1 1,9 6,5 9,5 11,9 11,9 8,3 4,9 -0,5 -3,1 3,7 Température moyenne (°C) 2,8 3,4 7,0 8,2 14,1 17,2 20,3 20,6 16,0 11,4 5,5 2,5 10,9 Température maximale moyenne (°C) 8,6 11,0 15,1 16,4 21,7 24,8 28,7 29,3 23,7 17,9 11,6 8,1 18,1 Précipitations (mm) 61,6 56,1 53,6 78,0 74,8 54,5 43,9 55,7 74,2 114,3 84,5 73,9 825 Source : Relevé météo de Météo France de Tallard[1]Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D 61.68.6-3.056.111.0-3.353.615.1-1.178.016.41.974.821.76.554.524.89.543.928.711.955.729.311.974.223.78.3114.317.94.984.511.6-0.573.98.1-3.1Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm) Économie
Lieu de passage, l'économie de Tallard était principalement agricole complétée par une certaine activité commerciale. L'établissement de l'aérodrome date de la Seconde Guerre mondiale, mais c'est dans les années 1960 à 1980 qu'un nouvel essor pour la commune s'est manifesté avec l'arrivée successive des activités aériennes (baptême de l'air en planeur, vol en parapente, ULM ou autogire, tour en montgolfière, saut en parachute en tandem ou en chute libre, survol hélicoptère, stage de pilotage).
Histoire
Son origine fut cité pour la première fois dans une charte du VIIème siècle et signifiait « ville vieille » ou « terre hautes» par rapport à ancien emplacement géographique du village.
Le Château et le village
Le village de Tallard fut cité pour la première fois dans une charte du VIIe siècle et signifiait « ville vieille » ou « ville haute » dû à sa situation géographique initiale, en position défensive (sur le flanc de colline en face du village). On a également retrouvé au XIXe siècle un dolmen près de l’aérodrome, dont une des pierres est exposée au Musée Muséum Départemental de Gap. Ce qui témoigne d’une population présente dès la fin de la préhistoire. Entre le VIIIe siècle et le Xe siècle, les Sarrasins partaient d’Italie pour aller en Provence ou en Espagne et traversaient les Alpes, et Tallard était le chemin le plus court. Ils étaient connus pour tout piller et saccager sur leur passage. En 739, Charles Martel pourchassa les Sarrasins de Provence et des Alpes. En plus de sa victoire en 732 à Poitiers, il réussit à sauver la chrétienté occidentale. Pour le remercier, le pape lui offrit « les Clés de Saint Pierre » (clés du paradis) qui seront honorées sur le blason de la famille Clermont-Tonnerre.
Sous la régie des Princes d’Orange, les Tallardiens descendirent dans la vallée et élevèrent une tour en bois en haut d'une butte, tour de défense, sous laquelle la population se réfugia peu à peu, pour se protéger mais aussi pour le côté pratique vis-à-vis du commerce. Ce sera plus tard l’emplacement du château.
À partir du Xe siècle, Tallard va se protéger des brigands et des voleurs en élevant des remparts, dont on peut voir encore les traces. Le Reynaudia (ruisseau qui vient du nord) encercle les remparts et des portes qui venaient s'appuyer contre les murailles permettaient de pénétrer dans le village. L'entrée se faisait à la Porte Belle, dont on voit la maison du gardien. C'est lui qui autorisait ou non le droit de passage dans le village.
Les Princes d’Orange accordent une Charte de Liberté aux Tallardiens en 1209. Les Tallardiens gardent les clés de la ville. En 1215, Tiburge, veuve du Prince d’Orange, et son neveu vendent tous les droits et la seigneurie de Tallard aux Chevaliers de l'Ordre de Saint Jean de Jérusalem (anciennement appelés Ordre de Malte) qui vont jouer un rôle de charité, combiné avec l’ordre militaire et religieux. Ils vont protéger les pèlerins et les voyageurs. Leur Commanderie va siéger pendant 107 ans. En 1322, les Chevaliers échangèrent Tallard contre un comté situé en Sicile qui appartenait à Arnaud de Trians, neveu du Pape Jean XXII et maréchal de justice à Avignon.
Arnaud de Trian (1280-1350) fut le premier seigneur de Tallard. Il va créer une imposante forteresse, avec l’édifice préexistant à savoir le corps de logis seigneurial flanqué de tours notamment du donjon. Sa petite-fille Anne de Trians, seule héritière, épousa en 1375 Antoine de Sassenage. Ils deviendront les nouveaux seigneurs de Tallard. Leur fille unique, Françoise, épousera en 1439 Antoine de Clermont, issu d'une grande famille du Dauphiné.
Héritier du château, Bernardin de Clermont (1440-1522), qui épousa une riche héritière Anne de Husson Tonnerre en 1496, va agrandir le château en y ajoutant la salle des corps de garde, la chapelle seigneuriale, le châtelet d’entrée, le parc de la Garenne et les écuries du château qu’il va faire construire en dehors du château, dans le village médiéval, par manque de place. Durant les Guerres de religion, les Clermont s’exilent ; le château est mis sous la gouvernance de Bonne d’Auriac.
Après avoir été la cible de 25 ans de combat, le château a été affaibli. En 1600, Bonne d’Auriac (1550-1636) racheta le château, puis son fils Camille d’Hostun (1652-1728), héritier par sa mère, va en être le nouveau propriétaire. Il est maréchal de France sous Louis XIV et n’est pas souvent présent au château. En 1692, le Duc de Savoie, ennemi de Louis XIV, attaqua le château et le village avec ses troupes ; le château va être quasiment détruit et sera laissé à l’abandon jusqu’en 1897, où Joseph Roman, un historien archéologue, le racheta. Il va classer la chapelle aux Monuments Historiques, va mettre une toiture d'appoint sur la salle du corps de gardes pour éviter qu’elle ne s’abime, et va reboiser le Parc de la Garenne.
En 1927, Blanche de Clermont Tonnerre, qui passait dans les Alpes, apprend que ce château appartenait à ses aïeux et le racheta. Elle s’installe à Tallard avec sa petite nièce, Marie-Christine de Bourbon Sicile. À sa mort en 1944, sa nièce hérite mais elle n’a que 10 ans et elle est éduquée ailleurs. Dans les années 1950, le prêtre Richard Duchamblo demeurant à Tallard et sensibilisé par le patrimoine décide de sauver le château et retrouve la petite nièce de Blanche de Clermont Tonnerre. Il faudra attendre sa majorité (21 ans) pour que la mairie rachète le château en 1957. À partir de là, des restaurations vont être entreprises[2]
- 1961 : la toiture de la salle du Corps de Garde est refaite[3] ;
- 1964 : Restauration de la Chapelle Saint Jean[4] ;
- 1968 : Consolidation du cœur du logis seigneurial, puis classement de l'ensemble du château en 1969 ;
- 1988 : Restauration de la tour des escaliers ;
- 1999 : Restauration des Courtines ;
- 2012 : Début des travaux de restauration de la salle souterraine à la salle des gardes.
Concernant le village, on y observe une évolution importante au fil des siècles. À partir du Xe siècle, des remparts ont encerclé le village ainsi que le ruisseau le Reynaudia (ruisseau qui vient du nord). Des portes permettaient de pénétrer au cœur de la cité médiévale, surmontées d'un pont-levis. Un gardien autorisait ou non le droit d'entrer. Après les Guerres de religion, au XVIIe siècle, les entrées des maisons, qui s'appuyaient contre les murailles, vont s'ouvrir peu à peu. Des ouvertures vont être pratiquées, d'abord à l'étage, puis au rez-de-chaussée, lorsque le ruisseau du Reynaudia, qui se jette encore dans la Durance, sera recouvert d'une voûte.
Autrefois, la Durance arrivait au pied du village de Tallard. Pour accéder à leurs terres, les paysans étaient obligés de traverser la Durance à l'aide d'un bac, tel qu'il en est attesté en 1291[5]. Un autre est établi pour la desserte du hameau des Boulongeons à partir du bourg, pour 20 passages par jour, au XIXe siècle[6]. Un passeur faisait traverser la rivière à la « Porte Durance ».
À la Révolution française, on va dévier le lit de la Durance pour accéder directement aux jardins, qui seront surnommés « Les conquêtes ». En 1860, le premier pont qui traverse la Durance est construit mais il sera emporté par la crue des 31 mai et 1er juin 1877[7].
Dans le centre historique, les ruelles étaient très étroites ; tellement étroites que l'on pouvait se faire passer des affaires en tendant une corde entre les fenêtres des maisons. Aujourd'hui encore on peut observer ce schéma dans le village. Dans certaines maisons, les caves communiquaient entre elles. C'était un moyen stratégique, en cas d'attaque, de se déplacer sans être vu en surface.
« La Placette » était la place principale du village. Elle y réunissait les commerces tels qu'un marchand de chaussures, une boucherie, trois épiceries, une matelassière ou encore un ferblantier. Un puits était présent à l'entrée de la rue, on peut y voir ses vestiges depuis les caves. Il a été rebouché pour des raisons de sécurité et de circulation. À partir de 1960, le petit bourg perd de son intérêt et les commerces vont s'installer à l'extérieur des remparts sur l'esplanade.
L'ancienne mairie du village se situait au bout de la Placette, à l'angle de la rue Chevallerie et de rue du Mazel, qui abritait les triperies. En raison des odeurs nauséabondes et du manque de place, la mairie sera déplacée en 1912 dans les locaux actuels de la Poste. Cette maison fut appelée « la Couronne », dû à l'emplacement de la mairie au 1er étage et la justice de paix au rez-de-chaussée. La mairie sera ensuite déplacée définitivement en 1980, sur la Place Charles de Gaulle, à l'ancien endroit de l'école communale[8].
L'église Saint-Grégoire
Avant 1562, l’église du village se trouvait bien en dehors des remparts, au niveau du cimetière actuel. Elle était dédiée à Saint Étienne. Mais en 1562 commencèrent les guerres de religions entre catholiques et protestants. Gap était devenu protestant et avait un véritable chef de guerre du nom de Lesdiguières qui voulait absolument s’emparer de Tallard et notamment du château, qui était la plus grande bâtisse des Hautes-Alpes. Les tallardiens décidèrent alors de détruire l’église Saint-Étienne, celle-ci servant de repère aux « huguenots » pour éviter l’invasion des protestants. Les Guerres de religion terminées, les tallardiens décidèrent de faire construire une nouvelle église mais cette fois-ci à l’intérieur du village. Ils choisirent l’emplacement de deux chapelles, dont une dédiée à St Grégoire. C’est de celle-ci que provient le grand portail central très ouvragé de style Renaissance. Cette « nouvelle » église fut construite entre 1640 (on peut voir la date de la pose de la première pierre au dessus de la porte d’entrée) et 1644 (voir la date à l’intérieur de l’église sur la clé de voûte au dessus du maître autel).L’auteur des plans de l’église était un Jésuite professeur à Embrun, le Révérend Père Léoutaud. Par contre l’entrepreneur était un tallardien : Michel Reyberet. Une fois terminée, on voulut lui donner comme titulaire Saint Grégoire, mais on s’aperçut alors qu’il n’était pas canonisé. Après quelques demandes ce souhait fut rapidement accepté par le Pape Innocent X, et l’on put enfin placer l’église sous le vocable de Saint Grégoire, saint patron de la ville de Tallard. Le 30 mai 1931, l’église est classée aux Monuments Historiques. Depuis elle vit au rythme des messes, des concerts d’orgue et des annuels pèlerinages arméniens. La paroisse de Tallard regroupe les villages de Sigoyer, Fouillouse, Châteauvieux et Venterol.
Quand on entre on remarque les fonds baptismaux encastrés dans le mur du clocher. Ils datent du XVIe siècle. On peut voir à côté une bannière représentant St Grégoire, elle fut offerte par les femmes de Tallard en 1840. Lorsque l’on se retourne on admire la nef centrale ornée de six tableaux retraçant la vie de St Grégoire, exécutés en 1743 par deux peintres italiens Amadeo Grassi et Silvestro Millesi. Ils ont été restaurés en 1839 puis en 1987. Ces tableaux sont classés au titre des Monuments historiques et retracent la vie de Saint Grégoire.
Dans le fond se trouve l’autel de marbre blanc commandé au XIXe siècle par « le chartreux » un lointain cousin du curé du village dont les aventures épiques sont racontés dans un livret écrit par le père Richard Duchamblo. Le tabernacle quant à lui provient de l’ancien autel et date du XVIIIe siècle, il est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Derrière, se trouvent les orgues, datant du XVIe siècle, elles seraient les plus anciennes en état de marche dans le Sud Est. Le buffet d’orgue est aussi inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Sur la gauche on peut admirer la chaire construite au XVIIe siècle, elle est l’œuvre d’un tallardien de nom inconnu. Toute en noyer, le travail de sculpture des ornements sacerdotaux et d’objets de culte y est admirable. Elle est classée au titre des monuments historiques. À droite de l’autel se trouve le buste de St Grégoire. Aujourd’hui en bois doré, ce reliquaire était à l’origine en argent. Mais il fut réquisitionné par l’État en 1793 pour être porté à la Monnaie afin d’y être fondu. Le vicaire de l’époque avait pris le soin d’enlever les reliques du saint homme avant de le donner aux autorités. Grâce à lui les reliques seront remises dans le nouveau buste en bois par la suite. Il existe un autre reliquaire de St Grégoire en forme de bras qui est exposé le 21 septembre lors du pèlerinage arménien. Ces deux reliquaires sont inscrits à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Au dessous de ce buste se trouve une plaque de marbre offerte par Mr Takvorian au nom de la communauté arménienne. C’est une stèle funéraire, « kha’tch-kar » ou croix de pierre que l’on trouve sur les tombes en Arménie. Celle-ci est une réplique d’un spécimen du XIIe siècle, trouvé sur l’île d’Aghtamar. Enfin, de chaque côté de l’autel se trouvent deux chapelles. Celle de droite est sous le vocable de Notre-Dame de Pitié, elle fut construite en 1854 sur l’initiative de Melle Eudoxie Amat, illustre personnage du village à l’époque et dont les armoiries sont visibles sur la clé de voute. Celle de gauche est dédiée à Saint Grégoire. Elle est aussi nommée chapelle du Sacré-Cœur. Celle-ci fut édifiée avec les fonds de la famille St-Barthélémy au XVIIe siècle[9].Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Hautes-Alpes.Blasonnement :
D'or à la bande componée de sinople et d'argent de cinq pièces.[10].Administration
Liste des maires successifs[11] Période Identité Étiquette Qualité 26 septembre 1944 20 mai 1945 Laurent Dumas 20 mai 1945 3 novembre 1947 Marcel Gros 3 novembre 1947 15 mars 1962 Auguste Durand 15 mars 1962 13 avril 1972 Jean Ducros 13 avril 1972 24 mars 1989 Claude Bonnet 24 mars 1989 mars 2001 Michel Favre Docteur mars 2001 en cours (2014) Jean-Michel Arnaud UDF puis NC Conseiller général Démographie
Évolution démographique 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 935 1 063 1 092 1 155 1 187 1 298 1 837 1 968 Lieux et monuments
- Le Château, érigé au XIVe siècle et classé Monument historique depuis 1969[12]. On peut y visiter la chapelle seigneuriale surmontée de la Statue de la Trinité, la salle du Corps de gardes, la salle des chevaliers et on y découvre aussi les vestiges du logis seigneurial ainsi que la crypte de la chapelle.
- L'église Saint-Grégoire, classée Monument historique depuis 1931[13]. On peut y découvrir les fonts baptismaux, les orgues, le buste de Saint Grégoire, la chaire, la Kha'tch-Kar, ou encore la nef centrale ornée de six tableaux retraçant la vie de Saint Grégoire
- Le Parc de la Garenne, classé parmi les sites pittoresques du département depuis 1958.
- L'aérodrome de Gap-Tallard.
Personnalités liées à la commune
- Bernardin de Clermont
- Camille d'Hostun, duc de Tallard
- Joseph Roman
- Richard Duchamblo (1906-2003), prêtre, résistant, a contribué à la sauvegarde de patrimoine de la commune
- Saint Grégoire
Familles EBRARD. Vous les trouverez à l'adresse : http://gw.geneanet.org/gastonbertranet
Voir aussi
Bibliographie
- Richard Duchamblo, Tallard et son Château, Tallard, imprimerie Louis-Jean, 1991
Registre relatant l'histoire du village et de son château
- François Boespflug, La statue de la Trinité de la chapelle du château de Tallard, france-impression, avril 2009 (ISBN 978-2-7466-0823-8).
Descriptif de la statue, son origine, son contexte historique et son histoire
- P. Aimès, Le Château de Tallard, imprimerie Ribaud frères, 1955
Histoire du château de Tallard
- Farid Abdelouahab (dir.) (préf. Jack Lang), Regards objectifs : Mieusement et Lesueur photographes à Blois, Paris, Somogy, 2000, 183 p., p. 57.
Photographie de Séraphin-Médéric Mieusement de la chapelle du château en 1887.
Liens internes
Liens externes
- Site officiel
- L'Office du Tourisme de Tallard-Barcilonnette
- La communauté de commune de Tallard, Châteauvieux, Esparon, Fouillouse, la Freissonouse, Jarjayes, Lardier & Valenca, Lettret, Neffes, Pelleautier, la Saulce, Sigoyer, Vitrolles et Barcilonnette
- Fiche Station Verte de Tallard
- Tallard sur le site de l'Insee
Autres sources
- Archives du service patrimoine de la ville de Tallard
Notes
- (fr) Relevé météo de Tallard, MSN Météo
- Les Travaux de restauration du château de Tallard (1986-1988), Alain Tillier, Bulletin de la Société d'Etudes des Hautes-Alpes, 1990, imprimerie Louis-Jean
- Réfection de la couverture du "Corps de Garde", Pierre Lotte, Imprimerie Ribaud Frères,1962
- La Chapelle du Château de Talalrd, Jean-Claude Rochette et Jean-Yves Bourdeaux, Imprimerie Ribaud frères, 1966
- ISBN 2-906162-71-X, p 55 Catherine Lonchambon, « D’une rive à l’autre de la Durance : d’étranges bateaux », in Guy Barruol, Denis Furestier, Catherine Lonchambon, Cécile Miramont, La Durance de long en large : bacs, barques et radeaux dans l’histoire d’une rivière capricieuse, Les Alpes de lumière no 149, Forcalquier 2005,
- Catherine Lonchambon, op. cit., p 56-57
- ISBN 2-7089-9503-0, p 91 Jean-Paul Clébert et Jean-Pierre Rouyer, La Durance, Privat, Toulouse, 1991, dans la collection Rivières et vallées de France,
- Visite de Tallard Centre historique,réalisé par la commune de Tallard, Imprimerie Roca communication
- Eglise paroissiale de Saint Grégoire de Tallard, livret édité par la mairie de Tallard
- Armorial des communes des Hautes-Alpes, Jean-Charles d'Amat (Société d'Etude des Hautes-Alpes)
- Site de la préfecture des Hautes-Alpes, consulté le 9 mai 2008 (fichier au format Excel)
- Notice no PA00080628, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Notice no PA00080629, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
Catégories :- Commune des Hautes-Alpes
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