- Piégut
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Piégut
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Forcalquier Canton Turriers Code commune 04150 Code postal 05130 Maire
Mandat en coursMonique Ouvrier-Buffet
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Serre Ponçon Démographie Population 138 hab. (2008) Densité 12 hab./km² Gentilé Piégutais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 610 m — maxi. 1560 m Superficie 11,12 km2 Piégut est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Piégutais.[1]
Sommaire
Géographie
Le village est sur un site perché, à 1 036 m d’altitude[2], avec comme point culminant le Mont Sérieux à 1 600 m.
Le Hameau de Neyrac fait partie de la commune.
Communes limitrophes
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Le canton de Turriers dont fait partie la commune est classé en Zone 1b (risque faible), tout comme ceux d'Allos-Colmars, Barcelonnette, Le Lauzet-Ubaye, Annot, Castellane, Saint-André-les-Alpes, Barrème, Digne-Est, Digne-Ouest, La Javie, Mézel, Moustiers-Sainte-Marie, Riez, Seyne, Forcalquier, Reillanne, Saint-Étienne-les-Orgues, Sisteron et Volonne. Le risque le plus élevé se situe plus au sud, au niveau de la faille de la Durance (de Peyruis à Manosque, à plus de 70 kilomètres)[3].
Géologie
Article connexe : Géologie des Alpes.Le territoire se situe en limite nord des Préalpes de Digne et de la nappe de Digne[4], au niveau du lobe nord-ouest[5] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écaille) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe.
Climat
Piégut n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Tallard[6].
Relevé météorologique de la région de Tallard mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) -3 -2 1 3 7 10 13 13 10 6 1 -1 4,8 Température moyenne (°C) 1,5 3 6,5 9 13 17 20 20 16 11,5 5,5 3 10,5 Température maximale moyenne (°C) 6 8 12 15 19 24 27 27 22 17 10 7 16,2 Précipitations (mm) 33 29,4 28,9 43,4 38,7 40,9 33,3 36,7 46,2 63,7 48,8 34 477 Source : Relevé météo de Tallard[7]Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D 336-329.48-228.912143.415338.719740.9241033.3271336.7271346.2221063.717648.8101347-1Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm) Toponymie
L'origine du nom vient de podio acuto, ce qui signifie puy (colline) aigu, pointu en occitan[2].
Histoire
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes vers 1100-1120 (podio acuto, ce qui signifie puy (colline) aigu, pointu en occitan[2],[8]). L’église Saint-Colomban dépendait de l’abbaye de Chardavon (actuellement dans la commune de Saint-Geniez), abbaye qui percevait les revenus attachés à cette église[9].
Une mine de minerai de plomb sulfuré était exploitée sur le territoire de la commune.
Politique et administration
Administration municipale
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de neuf membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[10]). Lors du scrutin de 2008, il y eut deux tours (neuf élus au premier tour et deux au second) et Monique Ouvrier-Buffet a été élue conseillère municipale au premier tour avec le troisième total de 60 voix, soit 65,93 % des suffrages exprimés. La participation a été de 91,00 %. Elle a ensuite été nommée maire par le conseil municipal[11]. Le conseil municipal est constitué du maire, deux adjoints et sept conseillers.
Listes des maires
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du 3 juillet 1848 à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1983 (?) Maurice Maurel mars 2008 Alain Michel Divers gauche mars 2008 en cours Monique Ouvrier-Buffet[12] Maurice Maurel est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Pierre Juquin (candidat communiste) à l’élection présidentielle de 1988[13].
Alain Michel est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Jacques Cheminade (SP) à l’élection présidentielle de 1995[14] ; il a ensuite parrainé celle d’Olivier Besancenot à l’élection présidentielle de 2002[15],[16], puis celle de José Bové à l’élection présidentielle de 2007[17],[18].
Instances administratives et judiciaires
Piégut est une des sept communes du canton de Turriers qui totalise 1 229 habitants en 2006. Le canton a fait partie de l’arrondissement de Sisteron du 17 février 1800 au 10 septembre 1926, date de son rattachement à l'arrondissement de Forcalquier.et de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Piégut fait partie du canton de Turriers depuis 1793[19]. La commune fait partie de la juridiction prud'hommale de Manosque, d’instance et de grande instance de Digne-les-Bains[20].
Intercommunalité
Piégut est l'une des trois communes des Alpes de Haute Provence à faire partie de la communauté de communes du Pays de Serre Ponçon, les six autres étant situées dans les Hautes-Alpes.
Environnement
Les habitants de Piègut ont accès à la déchèterie de la communauté de communes du Pays de Serre Ponçon[21].
Fiscalité locale
L'imposition des ménages et des entreprises à Piégut en 2009[22] Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 2,70 % 1,23 % 5,53 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 25,68% 2,83 % 14,49 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 0,00 % 16,26 % 47,16 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 21,88 % 2,08 % 10,80 % 3,84 % La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[23]).
Population et société
Démographie
Enseignement
La commune dispose d'une école primaire publique[30],[31]. Ensuite les élèves sont affecté au collège Marcel-Massot à La Motte-du-Caire[32]. Puis ils poursuivent au lycée de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[33],[34].
Santé
Ce petit village ne possède aucun professionnel de santé. Les médecins les plus proche se trouvent dans les communes des Hautes-Alpes : Tallard à 5 km (cabinet médical) et Rousset à 8 km[35]. La pharmacie du secteur se situe à Tallard[36]. Les hôpitaux les plus proches sont : et l'hôpital local Saint-Jacques Seyne-les-Alpes éloigné de 21 km et l'hôpital local de Laragne distant de 28 km [37].
Économie
Agriculture
La commune du Piégut posséde un label Appellation d'origine contrôlée (AOC) (Huile essentielle de lavande de Haute-Provence) et neuf labels Indication géographique protégée (IGP) (Pommes des Alpes de Haute-Durance, Miel de Provence, Agneau de Sisteron, Alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de méditérranée blanc, rouge et rosé)[38]
Lavande
Liée au soleil et aux vacances, la lavande, dont Jean Giono a dit qu'elle est « l'âme de la Haute-Provence », n'est plus actuellement l'« or bleu » du Ventoux, des Baronnies et de la montagne de Lure[a 1]. Cueillie pendant des siècles à l'état sauvage, sa récolte n'a été organisée qu'à partir du XVIe siècle en même temps que la distillation de sa fleur[a 2]. Son âge d'or se situe au début du XXe siècle. Et c'est au cours des années 1920 qu'il y a une véritable fièvre de plantation. Après la crise de 1929 et la Seconde Guerre mondiale, le marché est à nouveau demandeur à partir de 1955 pour entrer en crise cinq ans plus tard[a 3]. La mécanisation de la récolte, une meilleure organisation du marché et l'obtention d'une AOC pour l'« huile essentielle de lavande de Haute-Provence », en 1981, aurait dû relancer la production[a 4]. Mais celle-ci de l'ordre de 200 tonnes au début des années 1980 a chuté à 25 tonnes dans les années 1990 pour enfin remonter à 80 tonnes en 2003[a 5].
Miel de Provence
Le miel de Provence est protégé par un label rouge associé à une indication géographique protégée tant pour le miel toutes fleurs et que pour le miel de lavande et lavandin[39]. L'apiculture mobilise nombre de producteurs. Ils sont estimés à 4 500 dont 700 possèdent entre 70 et 150 ruches. La production régionale est de 2 000 T/an soit 8% de la production nationale[40]. Nombre d'entre eux pratiquent la transhumance selon un trajet allant du littoral vers la Haute-Provence. L'été est la saison privilégiée pour le miel de lavande et les ruches sont installées dans une zone limitée au Nord par une ligne Montélimar / Digne avec au Sud le mont Ventoux, le plateau d'Albion, la montagne de Lure, les monts de Vaucluse et le massif du Luberon. Le miel toutes fleurs est élaboré dans une vaste zone limitée par Nîmes, Montélimar, Gap, Digne, Nice, Toulon, Marseille et Avignon[41].
Agneau de Sisteron
L'agneau de Sisteron est un agneau de quatre mois, élevé sous la mère et originaire des Alpes provençales et de la Drôme provençale. Issus d'élevages traditionnels, avec des mères de races Mérinos d'Arles, Mourérous ou Préalpes du Sud qui les allaitent au moins pendant deux mois, sur un espace pastoral comptant moins de 10 brebis à l'hectare et comportant au minimum 10 hectares de parcours[42], ces agneaux ont droit, sous le contrôle l'INAO, au label rouge accordé par un décret gouvernemental en date du 3 janvier 2005[43]. L'Union européenne lui a accordé une indication géographique protégée depuis le 15 février 2007[44].
Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[45].
Pommes des Alpes de Haute-Durance
Les pommes des Alpes de Haute-Durance ont obtenu une Indication géographique protégée qui a été a été publiée au Journal Officiel de l'Union européenne le 17 avril 2010[46].
Ces pommes de variétés golden delicious et gala proviennent de six cantons des Alpes-de-Haute-Provence et de treize cantons des Hautes-Alpes situés entre 450 mètres et 900 mètres d’altitude. La qualité de ces pommes est liée à leur terroir, et en particulier au climat de la Haute-Durance avec plus de 300 jours d'ensoleillement par an. Le froid nocturne qui règne lors de la maturation des pommes empêche la dégradation des acides, tandis que la forte amplitude thermique diurne permet leur jaunissement, et même leur rosissement[47].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château des XVe et XVIe siècles
L’église Saint-Colomban, d’architecture archaïque, est construite au XVIIe siècle. Sa nef est simplement voûtée en berceau, le chœur est à chevet plat. Il y a une seule chapelle latérale, côté sud[48].
- Chapelle au hameau de Neyrac
- Fin juillet, un festival de musique
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
d'azur au lion d'or, armé et lampassé de gueule, accompagné à dextre de la pointe des lettres P et G capitales du même[49]Pour approfondir
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
Articles connexes
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence
Liens externes
Notes et références
Références bibliographiques
- Guy Barruol, Nerte Dautier, Bernard Mondon (coord.), Le mont Ventoux. Encyclopédie d'une montagne provençale
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 124.
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 125.
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 126
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 127.
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 128.
Références
- (fr) Nom des habitants des communes françaises, Piégut sur le site habitants.fr de la SARL Patagos. Consulté le 20 juin 2011
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7)
- Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
- Carte géologique de la France au 1/1 000 000
- La Nappe de Digne et les structures connexes, par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- (fr) Station météo la plus proche : Tallard, MSN Météo
- (fr) Relevé météo de Tallard, MSN Météo
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume II : Formations non-romanes ; formations dialectales, § 22087, p 1183-1184
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 72
- (fr) nombre des membres du conseil municipal des communes, Legifrance
- Résultats élections municipales 2008 à Piégut sur linternaute.com
- Site de la préfecture des AHP
- liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1988, pages 4783, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010 Conseil constitutionnel,
- liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1995, page 5736, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010 Conseil constitutionnel,
- Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010
- Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
- Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010
- Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007
- (fr) Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales
- (fr) Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence, Ministère de la Justice et des Libertés
- (fr) Déchetterie du pays de Serre-Ponçon sur Mairie de Piégut
- (fr) Impots locaux à Piégut, taxes.com
- Loi no 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009 Insee,
- Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010 Insee,
- (fr) Populations légales 2008 de la commune de Piégut, INSEE
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 189 Sous la direction d’
- Piégut sur le site de l'Insee
- notice communale de Piégut sur la base de données Cassini, consultée le 28 juillet 2009 EHESS,
- (fr) Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des écoles de la circonscription de Sisteron, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010 Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence,
- (fr) Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 8 novembre 2004
- (fr) Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Site de la cité scolaire Paul-Arène, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Les 20 Médecins les plus proches de Piégut sur actuacity.com
- (fr) Pharmacie près de Piégut sur actuacity.com
- (fr) Hôpitaux les plus proches de Piégut sur actuacity.com
- (fr) Liste des appellations AOC et IGP à Piégut sur INAO
- Site légifrance relatif à la parution au JO de l'arrêté du 30 juillet 2009
- Les apiculteurs en Provence
- La transhumance des ruches provençales
- Site officiel de l'agneau de Sisteron
- Homologation agneau de Sisteron du 3 janvier 2005
- IGP de l'Union européenne en date du 15 février 2007
- Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 751.
- (fr) Les Pommes des Alpes de Haute-Durance obtiennent l'IGP, INAO, 19 avril 2010
- (fr)Fiche INAO de l'IGP Pommes des Alpes de Haute-Durance, INAO, 17 avril 2010
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 218
- Louis de Bresc Armorial des communes de Provence 1866. Réédition - Marcel Petit CPM - Raphèle-lès-Arles 1994
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Catégorie :- Commune des Alpes-de-Haute-Provence
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