- Olivier Besancenot
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Olivier Besancenot Olivier Besancenot, en octobre 2009Mandats Porte-parole du Nouveau Parti anticapitaliste 5 février 2009 – 4 avril 2011 Prédécesseur Création du parti Successeur Myriam Martin
Christine PoupinPorte-parole de la
Ligue communiste révolutionnaire2002 – 5 février 2009 En tandem avec Alain Krivine, Roseline Vachetta Prédécesseur Alain Krivine Successeur Disparition du parti Biographie Date de naissance 18 avril 1974 Lieu de naissance Levallois-Perret Nationalité Française Parti politique LCR, NPA Diplômé de Université Paris X-Nanterre Profession Facteur modifier Olivier Besancenot, né le 18 avril 1974 à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), est une personnalité politique française classée à l'extrême gauche.
Facteur de profession, il est candidat de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) aux élections présidentielles de 2002 et 2007, où il recueille respectivement 4,25 % et 4,08 % des voix. Il est jusqu'en 2011 porte-parole du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), qui a succédé à la LCR.
Sommaire
Origines et études
Né à Levallois-Perret dans le département des Hauts-de-Seine, il est le fils d'un professeur de physique au collège et d'une psychologue scolaire. Olivier Besancenot a passé ses premières années à Louviers, où il fréquentera le collège et le lycée[1],[2]. Il est titulaire d'une licence d'histoire de l'université de Paris X – Nanterre[3].
Facteur depuis 1997, d'abord à Levallois-Perret, avant d'être affecté à Neuilly-sur-Seine à partir de 2000, il est aujourd'hui à temps partiel, à 80 %, travaillant du mercredi matin au samedi[4]. Il déclare toucher 1 000 euros nets par mois[5],[6]. En 2007, il déclare un patrimoine net de 37 000 euros[5], une fois déduit le prêt bancaire qu'il lui reste à rembourser de son capital total de 277 640 euros[7]. En 2003, avec sa compagne Stéphanie Chevrier, directrice littéraire chez Flammarion[8], il a un enfant[9].
Il se déclare athée[10] et se définit comme « militant révolutionnaire » et cite plus volontiers Rosa Luxemburg, Louise Michel ou Che Guevara que Trotski.
Carrière politique
Débuts
Ses premiers actes de militantisme se font à Louviers, en 1988, à l'âge de 14 ans, dans le cadre de l'association SOS Racisme ; il intègre alors les Jeunesses communistes révolutionnaires (JCR). En 1991, il adhère à la LCR, et intègre le bureau national sept ans plus tard.
Il fonde, avec d'autres employés, une section CGT dans le supermarché Shopi de Levallois-Perret[3], où il travaille pendant ses études. Membre de Sud-PTT depuis 1997, il est attaché parlementaire d'Alain Krivine au Parlement européen entre 1999 et 2000, avant de reprendre son travail à La Poste.
Élection présidentielle de 2002
Article détaillé : Élection présidentielle française de 2002.Olivier Besancenot combat, avec son parti, le capitalisme[11]. Ils dénoncent les profits réalisés par les entreprises, profits qui selon eux ont trop souvent tendance à se répartir davantage entre les « patrons et les actionnaires[12] », au détriment d'une « redistribution des richesses » aux salariés[12]. Selon les idées politiques de la LCR, cette « minorité concentrant la plupart des richesses[13] » détiendrait entre ses mains l'avenir des décisions politiques, économiques et sociales, et ce en « exploitant la plupart des êtres humains[13] ».
Devenu porte-parole de la LCR aux côtés d'Alain Krivine et de Roseline Vachetta, il est désigné, au début de l'année 2002, pour représenter ses idées lors de l'élection présidentielle : à 28 ans, il est donc le plus jeune candidat. Dès son premier meeting, Olivier Besancenot donne le ton de sa campagne avec ce slogan : « Nos vies valent plus que leurs profits », avec notamment comme priorités une autre répartition des richesses, l'augmentation générale des salaires et des minima sociaux, l'interdiction des licenciements pour les entreprises bénéficiaires, la taxation des profits et des capitaux spéculatifs. Il obtient le soutien du philosophe Michel Onfray qui a, depuis la présidentielle de 2007, pris ses distances avec Olivier Besancenot et du réalisateur britannique Ken Loach.
Inconnu du grand public lors de l'annonce de sa candidature, il connait cependant, lors des derniers jours de la campagne, une nette progression dans les sondages, passant de 0,5 à 4 %, dans les enquêtes de l'institut TNS Sofres[14]. Le 21 avril 2002, il recueille 4,25 % des suffrages, soit 1 210 562 voix[15], et appelle à faire barrage au candidat du Front national, Jean-Marie Le Pen, au second tour.
Élections européennes de 2004
Article détaillé : Élections européennes de 2004 en France.En juin 2004, lors des élections européennes, il est tête de liste LO-LCR en Île-de-France qui rassemble 2,78 % des suffrages, et cette liste n'obtient par conséquent aucun siège[16].
Référendum de 2005 sur le traité européen
Article détaillé : Référendum français sur le traité établissant une Constitution pour l'Europe.À partir de 2004, il se bat pour le « non » au référendum sur le traité établissant une Constitution pour l'Europe, jugeant celui-ci libéral et antisocial[17]. Le 29 mai 2005, le traité est rejeté avec 54,67 % de « non »[18].
Cette même année, il devient membre et parrain du collectif « Devoirs de Mémoires »[19].
Élection présidentielle de 2007
Article détaillé : Élection présidentielle française de 2007.Les résultats du référendum motivent plusieurs groupes de la gauche antilibérale à poursuivre le rassemblement pour les élections de 2007.
En 2006, la LCR ne signe pas l'appel « pour un rassemblement antilibéral et des candidatures communes » car les formulations qu'il contenait laissaient « la porte ouverte à la reconstitution d'une gauche plurielle n° 2, c'est-à-dire l'alliance gouvernementale avec Ségolène Royal ou le soutien parlementaire à sa politique »[20].
Par conséquent, le 25 juin 2006, la conférence nationale de la LCR annonce la candidature d'Olivier Besancenot pour l'élection présidentielle de 2007[21]. Dans le même temps, la conférence nationale de la LCR propose de retirer son candidat au profit d'un candidat unitaire si les clarifications sont faites quant aux relations avec la direction du Parti socialiste.
Le 20 décembre 2006, le PCF choisit Marie-George Buffet « pour porter le rassemblement antilibéral à l'élection présidentielle » ; le 21 décembre 2006, Olivier Besancenot appelle la gauche antilibérale à se rassembler autour de sa propre candidature[22]. Le 29 décembre 2006, il reconnaît rencontrer des difficultés pour obtenir les 500 signatures de parrainage nécessaires pour être candidat à l'élection présidentielle française de 2007[23], mais il les obtient finalement.
Le 16 avril 2007, en meeting à Rennes, il déclare que « le vote LCR est un vote utile, un vote avec le cœur et avec la tête » avant de dénoncer la « "droitisation" de la classe politique[24] ».
Le 18 avril 2007, jour de son anniversaire, en meeting à la Mutualité à Paris devant plus de 4 000 spectateurs, ce qui en fait le plus gros meeting parisien du parti depuis 1968 et plusieurs milliers d'internautes, il expose son programme proposant l'interdiction des licenciements, une augmentation de tous les salaires de 300 €, un SMIC à 1500 € net tout de suite, la construction d'un million de logements sociaux et la création d'un service public de la petite enfance ainsi que du quatrième âge[25].
Le 22 avril 2007, il recueille 1 498 581 voix, soit 4,08 %, ce qui représente une augmentation de 287 019 voix par rapport à 2002 et le place en 5e position[26]. Parmi les six candidats situés à la gauche du PS, il est le seul à échapper à la déroute. Avant le second tour qui oppose Nicolas Sarkozy à Ségolène Royal, Olivier Besancenot appelle ses électeurs à manifester le 1er mai pour les « mesures d’urgence sociales » qu'il a défendues durant la campagne, avant d'appeler à « voter contre Nicolas Sarkozy, sans pour autant soutenir Ségolène Royal » dans ce qui lui semble être un « référendum anti-Sarkozy[27] ».
Alors que Nicolas Sarkozy vient d'être élu à la présidence de la République le 6 mai 2007 avec 53,06 % des voix contre 46,94 % pour Ségolène Royal, Olivier Besancenot pose le constat (à propos des tentatives de rapprochements du PS avec le MoDem dans l'entre-deux tours) que « quand la gauche court après la droite, elle perd[28] ».
Nouveau Parti anticapitaliste
Olivier Besancenot appelle, dès le 29 mai 2007, à la fondation d'un nouveau parti de gauche radicale sur « une base politique claire[29] ».
Le 11 mai 2008, devenu une figure du paysage médiatique français, il est invité à l'émission de variétés de Michel Drucker, Vivement dimanche. Cette médiatisation hors des débats télévisés classiques suscite des critiques à gauche[30]. Olivier Besancenot répond que cela lui donne l'occasion de « plaider des causes en profitant d'une tribune permettant de s'adresser à des millions de personnes[31] ». Son passage est un succès, puisque l'émission réunit jusqu'à 2,7 millions de téléspectateurs[32].
Le 6 novembre 2008 à Paris, lors du premier meeting du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), officiellement fondé en février 2009, Olivier Besancenot appelle à « changer ce monde avant qu'il ne nous écrase », légitimant la création d'un nouveau parti par une crise mondiale qui n'en est « qu'au début[33] ».
Contrairement à 2004 où la LCR s'était alliée avec Lutte ouvrière, le jeune NPA présente ses propres listes aux élections européennes de 2009. Concurrencé par la présence du Front de gauche (alliance PCF-PG-Gauche Unitaire) et de Lutte ouvrière, le NPA recueille 4,88 %, contribuant au score historique de l'extrême gauche, mais n'obtient aucun siège au Parlement européen. Il exprime, en décembre 2010, son désir de passer la main lors du prochain congrès du NPA[34].
Après cinq mois de négociations, les militants du NPA votent en décembre 2009 sur la tactique électorale aux élections régionales de l'année suivante, se divisant sur trois positions équivalentes, ce qui est considéré par L'Express comme un revers pour la direction nationale[35]. Finalement, le conseil politique national acte l'échec des négociations. Le NPA présente ses propres listes dans 11 régions sur 21, tout en faisant campagne avec le Front de gauche dans 3 régions et conjointement avec le Parti de gauche là où PS et PCF font liste commune. De son côté, Olivier Besancenot annonce, le 20 janvier 2010, qu'il sera tête de liste NPA en Île-de-France[36] : sa liste recueille 3,13 %.
Après les élections cantonales de 2011, où le NPA fait un faible score et est peu présent sur la scène médiatique, Olivier Besancenot quitte le porte-parolat du parti, laissant sa place à Myriam Martin et Christine Poupin, déjà membres de la direction du parti[37],[38]. Il annonce en mai 2011 dans un courrier aux militants de son parti qu'il ne sera pas candidat à l'élection présidentielle de 2012[39], prônant le renouvellement des générations et s'opposant à la « personnalisation à outrance » de la vie politique. Le NPA doit fixer sa stratégie pour proposer soit un candidat issu de ses rangs, soit une personnalité du mouvement anti-capitaliste[40].
Affaires judiciaires
Affaire Taser-Besancenot
Olivier Besancenot, qui dénonce les dangers du pistolet Taser depuis 2006, déclare lors du Grand Journal de Canal + le 2 novembre 2007 : « Le problème de ce petit pistolet, qui a l'air d'un jouet tout simple et très sympathique, c'est que ça a déjà causé des dizaines de morts aux États-Unis[41] », allant jusqu'à avancer le chiffre de 150 morts sur un site internet et sur son blog[42]. Cette quantification serait tirée d'un rapport d'Amnesty International qui anime notamment une coalition contre le Taser au Canada[43],[44]. Aussitôt, la société Taser France, en fait la société SMP Technologies, distributeur exclusif en France du pistolet Taser, assigne en diffamation le porte parole de la LCR. Cette affaire a fait l'objet d'une seconde audience devant le tribunal correctionnel de Paris le 22 octobre 2008[41]. Noël Mamère est venu renforcer la défense d'Olivier Besancenot[45]. Taser France a été déboutée de son action en diffamation par jugement du tribunal de grande instance de Paris, le 24 novembre 2008 : le tribunal donne à Olivier Besancenot le bénéfice de la bonne foi, en relevant qu'il s'exprimait en tant que responsable politique, dans le cadre du débat démocratique[46].
Entre temps, l'affaire rebondit lorsque le 5 mai 2008, le magazine L'Express révèle qu'Olivier Besancenot a été espionné entre octobre 2007 et janvier 2008 par une officine de renseignement privée, pour le compte de cette société[47]. L'Express évoque ainsi des documents de l'officine faisant état des investigations sur le couple, par exemple, des photographies de la compagne d'Olivier Besancenot et de leur enfant au pied de leur immeuble, la localisation de leur appartement, des détails de leurs comptes bancaires, etc. Olivier Besancenot dénonce immédiatement les faits et porte plainte contre X pour atteinte à l'intimité de la vie privée, violation de secret professionnel et recel de violation de secret professionnel, souhaitant qu'une éventuelle enquête puisse déterminer l'origine de ces filatures et de ces agissements[48]. Le 16 octobre 2008, Antoine Di Zazzo, PDG de SMP Technologies, ainsi que six autres personnes, sont mises en examen à l'issue de leur garde à vue. Cette dernière fait suite à la découverte de « liens comptables » entre le cabinet parisien de détective privé Dussaucy et la société SMP Technologies[49],[50].
Affaire du centre de tri de Nanterre
Après une manifestation ayant eu lieu le 10 novembre 2008, Jean-Baptiste Casanova, directeur du centre de tri de la La Poste à Nanterre, porte plainte à titre personnel « pour violences volontaires aggravées en réunion[51],[52] ». Olivier Besancenot était venu soutenir des salariés grévistes qui dénonçaient les « pressions » de La Poste les concernant, alors qu'ils mettaient en cause leur conditions de travail, la privatisation du service public et réclamaient une augmentation des salaires. Accusé d'avoir une responsabilité dans la bousculade au cours de laquelle, après une altercation houleuse, le directeur du centre de tri est tombé et se serait blessé, Olivier Besancenot est convoqué le 20 janvier 2009, au commissariat de Nanterre, avec deux autres syndicalistes de Sud-PTT pour s'expliquer[51]. Selon lui, la chute du directeur serait une « simulation honteuse » et il serait en possession d'une vidéo montrant la réalité des faits[53]. Pour sa part, La Poste a précisé que le directeur s'est vu délivrer un arrêt de travail de trois jours[52]. À la sortie de cette convocation, Olivier Besancenot déclare que le plaignant aurait été « incapable de dire devant les policiers que l'un de nous l'avait bousculé ou touché ». Il annonce qu'il compte déposer plainte à son tour pour « dénonciation calomnieuse[52] ».
Notes et références
- Biographie : Qui est Olivier Besancenot ? » sur republique-des-lettres.fr, 5 février 2009. Consulté le 17 janvier 2011 Hortense Paillard, «
- RFI.fr
- RMC et BFM TV. Entretien d'embauche, présenté par Jean-Jacques Bourdin, diffusé sur
- 3 juin 2007. France Europe Express,
- « Le patrimoine des candidats à la présidentielle », Le Monde, 17 janvier 2007
- « Patrimoine : l’opération transparence des candidats », Le Figaro, 17 janvier 2007.
- « Le patrimoine d'Olivier Besancenot », linternaute.com. Il est, avec sa compagne, copropriétaire d'un appartement de 55 m² dans le XVIIIe arrondissement de Paris.
- Éditions Flammarion, site du Salon du livre 2005.
- « Olivier Besancenot », 20 minutes, 21 mars 2007.
- 6 avril 2007. « Onze candidats dévoilent leurs croyances et leurs visions de la laïcité », Le Monde,
- Statuts de la LCR adoptés par le XVe congrès - Paragraphe 1.3
- « Augmenter, c’est possible ! », premier paragraphe.
- Projet de manifeste : introduction
- Intentions de vote TNS Sofres
- « Déclaration du 24 avril 2002 relative aux résultats du premier tour de scrutin » sur le site du Conseil constitutionnel.
- Le site officiel du ministère de l'Intérieur de l'Outre-mer et des Collectivités Territoriales Résultats des élections européennes de 2004 en Île-de-France, en ligne sur le site du ministère de l'Intérieur
- « Non à la Constitution ! Oui aux revendications et à l’Europe des travailleurs ! » Premier Paragraphe
- Résultats du référendum français sur le traité établissant une Constitution pour l'Europe en ligne sur le site du ministère de l'Intérieur.
- Olivier Besancenot sur politique.net
- Déclaration de la conférence nationale de la LCR des 24 et 25 juin 2006 - Paragraphe 24
- Déclaration de la conférence nationale de la LCR des 24 et 25 juin 2006 sur la candidature à l'élection présidentielle
- Déclaration d'Olivier Besancenot, 21 décembre 2006
- Dépêche Reuters du 29 décembre 2006
- 16 avril 2007 Dépêche AFP du
- Programme de la LCR
- Résultats de l'élection présidentielle
- « La gauche unie contre Sarkozy », Journal du dimanche, 23 avril 2007.
- « Élections 2007 : les réactions », Le Nouvel observateur, 9 mai 2007.
- « Besancenot propose un nouveau parti de gauche », Le Nouvel Observateur, 29 mai 2007.
- « Besancenot, un people parle au peuple », Libération, 9 mai 2008.
- « Besancenot souhaite plaider des causes », Le Nouvel Observateur, 22 juin 2008.
- « Très bonne audience pour Besancenot », Le Figaro, 12 mai 2008.
- « Avec le NPA, Besancenot veut "changer le monde avant qu'il ne nous écrase" », dépêche AFP, 6 novembre 2008.
- Besancenot souhaite passer la main
- « La stratégie de Besancenot pour les régionales contestée », L'Express, 8 décembre 2009.
- « Elections régionales : Olivier Besancenot, tête de liste à contrecoeur en Ile-de-France », Le Monde, 21 janvier 2010.
- http://www.lexpress.fr/actualite/politique/besancenot-n-est-plus-le-porte-parole-du-npa_977142.html
- « Besancenot passe la main “avec plaisir” », dépêche AFP reprise par Le Figaro, 4 avril 2011.
- Le Parisien : Olivier Besancenot ne sera pas candidat
- Olivier Besancenot ne sera pas candidat à la présidentielle, Le Monde.fr, 5 mai 2011. Consulté le 5 mai 2011
- Diffamation - Taser contre Besancenot Nouvel Obs.com :
- Taser France poursuit Besancenot Cf.
- Fronde contre le Taser radio-canada.ca :
- l'importateur du Taser débouté face à Amnesty lexpress.fr :
- « Mamère assurera la défense de Besancenot », Le Point.
- « Taser France perd son procès en diffamation contre Olivier Besancenot », Le Monde, 24 novembre 2008.
- « Exclusif ! Besancenot : le leader de la LCR a été espionné », L'Express, 5 mai 2008.
- France 2 du 5 mai 2008. Interview au journal télévisé de 20 h de
- Bessancenot -sept personnes, dont le patron de Taser, mis en examen Nouvel Obs.com :
- Besancenot espionné : le patron de Taser mis en examen, Europe1.fr, 14 octobre 2008
- « Olivier Besancenot visé par une plainte de la Poste », dépêche France Info sur son site Internet.
- Point : Olivier Besancenot au commissariat sur une plainte de La Poste Sur le site internet du
- Canal+, 18 janvier 2009. Déclaration faite également au cours de l'émission de télévision Dimanche + sur
Voir aussi
Articles connexes
- Jeunesses communistes révolutionnaires
- Ligue communiste révolutionnaire
- Nouveau Parti anticapitaliste
- Trotskisme en France
Bibliographie
- Ouvrages d'Olivier Besancenot
- Tout est à nous !, Denoël, 2002, (ISBN 2207253090).
- Révolution ! 100 mots pour changer le monde, avec la collaboration de François Sabado, Flammarion, 2003, (ISBN 2290338281).
- Che Guevara, une braise qui brûle encore, avec la collaboration de Michael Löwy, Éditions Mille et une nuits, 2007, (ISBN 9782755500431).
- Prenons Parti pour un socialisme du XXIe siècle, Éditions Mille et une nuits, janvier 2009 (coauteur : Daniel Bensaid).
- Evolution & révolution (préface), le passager clandestin, 2008.
- Sur Olivier Besancenot
- Robert Belleret, Génération Besancenot , dans Le Monde, 11 avril 2002.
- Henri Weber, Lettre recommandée au facteur, Seuil, 2004.
- Eric Hacquemand, Olivier Besancenot, l'irrésistible ascension de l'enfant de la gauche extrême, Éditions du rocher, 2008.
- Denis Pingaud, L'effet Besancenot, Seuil, 2008.
- Julien Beauhaire, Olivier Besancenot ou la Révolution en recommandé, Res Publica, 2008.
- Sabine Herold, Le bouffon du roi, Éditions Michalon, 2009.
- Renaud Dély, Besancenot, l'idiot utile du sarkozysme, Bourin Editeur, 2009.
Contributions musicales
- album Politikment incorrekt en 2004 avec le chanteur de rap Monsieur R. Cf. Présentation de l'album Politikment incorrekt
- album Le Che, une braise qui brûle encore en 2007 avec le chanteur de rap Monsieur R en l'hommage des 40 ans de « la disparition du Che. Cf. « Besancenot et Monsieur R rendent hommage au Che », LCI, 24 septembre 2007 ».
- apparition sur l'album Le Poids des Mots du rappeur Mokless (Scred Connexion) sorti en septembre 2010, dans le morceau On s'habitue à tout.
Liens externes
- Le site du NPA
- Tous les articles d'Olivier Besancenot sur le site La Brèche Numérique.
Catégories :- Candidat à une élection présidentielle française
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