- Mallefougasse-Augès
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Mallefougasse-Augès
Eglise Saint-Jean-Baptiste
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Forcalquier Canton Saint-Étienne-les-Orgues Code commune 04109 Code postal 04230 Maire
Mandat en coursJean-Paul de Orsola
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes de la Moyenne Durance Démographie Population 219 hab. (2008) Densité 11 hab./km² Gentilé Fougassais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 460 m — maxi. 1545 m Superficie 19,71 km2 Mallefougasse-Augès est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Fougassais.[1]
Sommaire
Géographie
Le village de Mallefougasse est situé à 700 m d’altitude[2]sur les pentes sud de la montagne de Lure.
Communes limitrophes[3]
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Les cantons de Banon, La Motte-du-Caire, Noyers-sur-Jabron sont classés en Zone 1a (risque très faible), ceux d'Allos-Colmars, Barcelonnette, Le Lauzet-Ubaye, Annot, Castellane, Saint-André-les-Alpes, Barrème, Digne-Est, Digne-Ouest, La Javie, Mézel, Moustiers-Sainte-Marie, Riez, Seyne, Forcalquier, Reillanne, Saint-Étienne-les-Orgues, Sisteron, Turriers et Volonne, en Zone 1b (risque faible) et ceux d'Entrevaux, Les Mées, Valensole, Manosque-Nord, Manosque-Sud-Est, Manosque-Sud-Ouest et Peyruis, en Zone 2 (risque moyen)[4].
Géologie
Article connexe : Géologie des Alpes.Le territoire se situe en limite est des Baronnies orientales, sur des formations calcaires provençales du Jurassique supérieur et du Crétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin), entre trois formations géologiques majeures des Alpes[5] :
- la nappe de Digne à l'est[6], au niveau du lobe de Valavoire[7] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écailles) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe ;
- la faille de la Durance au sud-ouest, dans la vallée ;
- le Plateau de Valensole au sud-est : bassin molassique du Miocène et du Pliocène composé de roches sédimentaires détritiques (dépôts liés à l'érosion des montagnes apparues à l'Oligocène).
Hydrographie
Mallefougasse-Augès est arrosée par plusieurs cours d'eau, affluents de la Durance :
- ravin de mardaric, rivière de 10,8 km [8], ainsi que ses affluents le Grand Vallat[9] et le ravin du jas de lami[10] ;
- ravin du Bouy ;
- ravin le beuvon, rivière de 6,9 km [11] ;
- riou de Sisteron, cours d'eau de 4,4 km [12].
Climat
Article détaillé : Climat des Alpes-de-Haute-Provence.Mallefougasse-Augès n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Peyruis[13].
Relevé météorologique de Peyruis mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) -0,0 0,0 3,0 5,1 8,9 12,8 15,3 15,2 12,0 8,2 3,8 1,1 7,2 Température moyenne (°C) 4,3 6,2 8,2 11,1 15,1 19,3 22,4 22,0 18,0 13,4 8,2 5,2 12,7 Température maximale moyenne (°C) 8,6 10,9 14,4 16,9 21,4 25,8 29,3 28,9 24,0 18,5 12,7 9,3 18,6 Précipitations (mm) 26,9 24,3 23,8 44 40 27,9 20,9 32,7 45,9 53,5 52,4 31,7 424 Source : Relevé météo de Peyruis[14]Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D 26.98.6-0.024.310.90.023.814.43.04416.95.14021.48.927.925.812.820.929.315.332.728.915.245.924.012.053.518.58.252.412.73.831.79.31.1Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm) Toponymie
Mallefougasse vient de Lala focacia (1274) du latin mala (mauvais et focacia (fouagasse) s'appelait auparavant Maltoriel de de Malo Tortello (1218), du roman provençal tourtèu gros gâteau ~ grosse motte (de terre)[15].
Augès vient de Augeto (1274) de alvea (creux) + suff. -ensem[16].
Histoire
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1274 (Malafocacha)[2], mais une motte castrale est construite dès le XIe siècle au lieu-dit Consonoves[17]. Elle appartient aux vicomtes de Sisteron jusqu’en 1045. La motte est d’abord partagée entre l’abbaye Saint-Victor de Marseille et les chanoines de Forcalquier, puis est donnée à l’abbaye Saint-André-de-Villeneuve-les-Avignon (1118)[18],[19].
Au XIIe siècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait en outre l’église de Consonove, et en percevait les revenus[20]. Au Moyen Âge, l’église Saint-Pierre à Mallefougasse dépendait de l’abbaye de Cruis, qui percevait les revenus attachés à cette église[21].
Le village appartenait aux évêques de Sisteron.
Augès, apparu dans les chartes en 1274 (Augetum), compte 62 habitants en 1765[22].
En 1807, le village de Consonoves (8 bastides habitées en 1698[23]) est rattaché à Mallefougasse[24]. En 1973, la commune d’Augès en voie de désertification fusionne avec Mallefougasse, la nouvelle commune prenant le nom de Mallefougasse-Augès[24].
Politiquet et administration
Administration municipale
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 11 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[25]). Lors du scrutin de 2008, il n’y eut qu’un seul tour et Jean-Paul de Orsola a été réélu conseiller municipal avec le meilleur total de 140 voix, soit 74,87 % des suffrages exprimés. La participation a été de 81,66 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[26].
Listes des maires
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du 3 juillet 1848 à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1993 2005 Jean Josselet[27] 2005 réélu en 2008[28] Jean-Paul de Orsola Intercommunalité
Mallefougasse-Augès est une des 8 communes de la Communauté de communes de la Moyenne Durance.
Budget et fiscalité locale
L'imposition des ménages et des entreprises à Mallefougasse-Augès en 2009[29] Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 5,10 % 0,00 % 5,53 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 12,40 % 8,94 % 14,49 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 12,86 % 0,00 % 47,16 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 0,00 % 12,40 % 10,80 % 3,84 % La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[30]).
Population et société
Démographie
Enseignement
La commune ne dispose pas d'école primaire publique, les enfants vont à Cruis[34]. Ensuite, les élèves sont affectés au collège Henri Laugier à Forcalquier[35]. Puis ils poursuivent au lycée de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[36],[37].
Culte
La commune fait partie du secteur paroissial Montagne de Lure qui comprend Banon, Redortiers, Saumane, La Rochegiron, l'Hospitalet, Lardiers, Ongles, Revest-des-Brousses, Revest-du-Bion, Carniol, Simiane-la-Rotonde, Montsalier, Saint-Étienne-les-Orgues, Cruis, Mallefougasse-Augès, Fontienne, Montlaux et Revest-Saint-Martin. Le culte est célébré alternativement dans chacune des églises du secteur[38].
Économie
L'activité économique de Mallefougasse est principalement agricole, faite de culture, d'élevage ovin et d'exploitation forestière. Une scierie complète cette dernière.
Commerce
Le bistrot Le Fougassais, qui porte le label Bistrot de pays[39], adhère a une charte qui a but de « contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien d’un lieu de vie du village »[40].
Agriculture
La commune de Mallefougasse-Augès possède quatre labels Appellation d'origine contrôlée (AOC) (Huile essentielle de lavande de Haute-Provence, Banon, Huile d'olive de Provence et Huile d'olive de Haute-Provence) et neuf labels Indication géographique protégée (IGP) (Pommes des Alpes de Haute-Durance, Miel de Provence, Agneau de Sisteron, Alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de Méditerranée blanc, rouge et rosé)[41].
Lavande
Liée au soleil et aux vacances, la lavande, dont Jean Giono a dit qu'elle est « l'âme de la Haute-Provence », n'est plus actuellement l'« or bleu » du Ventoux, des Baronnies et de la montagne de Lure[a 1]. Cueillie pendant des siècles à l'état sauvage, sa récolte n'a été organisée qu'à partir du XVIe siècle en même temps que la distillation de sa fleur[a 2]. Son âge d'or se situe au début du XXe siècle. Et c'est au cours des années 1920 qu'il y a une véritable fièvre de plantation. Après la crise de 1929 et la Seconde Guerre mondiale, le marché est à nouveau demandeur à partir de 1955 pour entrer en crise cinq ans plus tard[a 3]. La mécanisation de la récolte, une meilleure organisation du marché et l'obtention d'une AOC pour l'« huile essentielle de lavande de Haute-Provence », en 1981, aurait dû relancer la production[a 4]. Mais celle-ci de l'ordre de 200 tonnes au début des années 1980 a chuté à 25 tonnes dans les années 1990 pour enfin remonter à 80 tonnes en 2003[a 5].
Fromage de Banon
Le banon est protégé par une AOC depuis 2003. C'est le premier fromage de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur à obtenir une appellation d'origine contrôlée. L'INAO a donné son accord pour sélectionner selon les « usages locaux, loyaux et constants » 179 communes dont la production du lait des élevages de chèvre de races provençale, rove et alpine peut revendiquer l'appellation, dont 111 dans les Alpes-de-Haute-Provence, 33 dans les Hautes-Alpes, 21 dans la Drôme et 14 dans le Vaucluse.
C'est un fromage à pâte molle à croûte naturelle, élaboré à partir de la technique du caillé doux et moulé à la louche avant d'être emmitouflé dans des feuilles de châtaigniers brunes et liées par un brin de raphia naturel[42]. Il est auparavant trempé dans de l'alcool pour éviter les moisissures.
Huile d'olive de Provence AOC
L'huile d'olive de Provence est protégée par une appellation d'origine contrôlée (AOC) à la suite d'une enquête diligentée par l'INAO, dont les conclusions ont été déposées auprès de la commission le 26 octobre 2006, réunie à Arles. La signature du décret parut au Journal officiel le 14 mars 2007[43]
Pour pouvoir postuler à l'AOC, l'huile d'olive de Provence doit être élaborée à base des variétés aglandau, bouteillan, cayon, salonenque ainsi que celles dénommées localement brun, cayet, petit ribier et belgentiéroise. Il faut au moins deux de ces variétés principales présentes au sein de l'oliveraie[43],[44].
Miel de Provence
Le miel de Provence est protégé par un label rouge associé à une indication géographique protégée, tant pour le miel toutes fleurs que pour le miel de lavande et lavandin[45]. L'apiculture mobilise nombre de producteurs. Ils sont estimés à 4 500, dont 700 possèdent entre 70 et 150 ruches. La production régionale est de 2 000 t/an, soit 8 % de la production nationale[46]. Nombre d'entre eux pratiquent la transhumance selon un trajet allant du littoral vers la Haute-Provence. L'été est la saison privilégiée pour le miel de lavande et les ruches sont installées dans une zone limitée au nord par une ligne Montélimar / Digne, avec au sud le mont Ventoux, le plateau d'Albion, la montagne de Lure, les monts de Vaucluse et le massif du Luberon. Le miel toutes fleurs est élaboré dans une vaste zone limitée par Nîmes, Montélimar, Gap, Digne, Nice, Toulon, Marseille et Avignon[47].
Agneau de Sisteron
L'agneau de Sisteron est un agneau de quatre mois, élevé sous la mère et originaire des Alpes provençales et de la Drôme provençale. Issus d'élevages traditionnels, avec des mères de races Mérinos d'Arles, Mourérous ou Préalpes du Sud qui les allaitent au moins pendant deux mois, sur un espace pastoral comptant moins de 10 brebis à l'hectare et comportant au minimum 10 hectares de parcours[48], ces agneaux ont droit, sous le contrôle l'INAO, au label rouge accordé par un décret gouvernemental en date du 3 janvier 2005[49]. L'Union européenne lui a accordé une indication géographique protégée depuis le 15 février 2007[50].
Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[51].
Pommes des Alpes de Haute-Durance
Les pommes des Alpes de Haute-Durance ont obtenu une indication géographique protégée, qui a été publiée au Journal Officiel de l'Union européenne le 17 avril 2010[52].
Ces pommes de variétés golden delicious et gala proviennent de six cantons des Alpes-de-Haute-Provence et de treize cantons des Hautes-Alpes situés entre 450 mètres et 900 mètres d’altitude. La qualité de ces pommes est liée à leur terroir, et en particulier au climat de la Haute-Durance avec plus de 300 jours d'ensoleillement par an. Le froid nocturne qui règne lors de la maturation des pommes empêche la dégradation des acides, tandis que la forte amplitude thermique diurne permet leur jaunissement, et même leur rosissement[53].
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
Le château de Consonoves, dans son état actuel, date des XVIIIe et XVIIIe siècles[19].
Le clocher roman de l'église Saint-Jean-Baptiste de Mallefougasse est inscrit depuis 1997 à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques[54]. C’est un rare spécimen du premier art roman provençal, dont quelques parties ont été conservées. Le reste de l’église date du XIIe siècle, d’importants travaux ayant lieu au milieu du XVIIe siècle[2]. Elle recèle de très belles fresques du XVIIe siècle, cachées sous des peintures du XIXe siècle. Les absidioles, minuscules, sont reliées à la nef par d’étroits passages voûtés[18].
L’église est proche du château de Consonoves (ou Consonaves), qui date des XVIIe et XVIIIe siècles. Il est construit sur l’emplacement d’une motte castrale datant du début du XIe siècle[18]. Le bâtiment actuel date de 1551 (linteau d’une porte latérale), mais a subi des travaux conséquents au XVIIIe siècle. La façade compte un étage et un pignon, en bel appareillage de pierres plates. La terrasse permet d’admirer la vallée de la Durance et les Pénitents des Mées[55].
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
D'argent à trois arbres arrachés de sinople, deux en chef et un en pointe[56].Pour approfondir
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
Articles connexes
- Anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Ville fantôme
- Huile d'olive de Provence AOC
Liens externes
- site de mallefougasse(eng)(fr)
- Notices historiques et géographiques sur Mallefougasse et Consonoves, par Louis Pelloux (1887). Texte intégral en ligne
- Comment les familles montent et disparaissent, par l'abbé J. Corriol (1937). Cette étude généalogique concerne, entre autres, la famille des Valavoire (seigneurs de Mallefougasse, Sigonce, Volx, Montlaux et Volonne).
- Mallefougasse-Augès sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Références bibliographiques
- Guy Barruol, Nerte Dautier, Bernard Mondon (coord.), Le mont Ventoux. Encyclopédie d'une montagne provençale
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 124.
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 125.
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 126
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 127.
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 128.
Références
- (fr) Habitants de Mallefougasse-Augès sur habitants.fr
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7)
- Carte IGN série verte n° 60
- Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
- Les chaînons de Digne, Carte très schématique, montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale), par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- Carte géologique de la France au 1:1 000 000
- La Nappe de Digne et les structures connexes,par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- Fiche du ravin de Mardaric sur le site du SANDRE
- Fiche du Grand Vallat sur le site du SANDRE
- Fiche du ravin du jas de lami sur le site du SANDRE
- Fiche du ravin le Beuvon sur le site du SANDRE
- Fiche du riou de Sisteron sur le site du SANDRE
- (fr) Station météo la plus proche : Peyruis, MSN Météo
- (fr) Relevé météo de Volonne, MSN Météo
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1841.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1687.
- Parc naturel du Luberon, Autour de l’An Mil en pays de Forcalquier, catalogue d’exposition, 2007, p 31
- op. cit., 2007, p 21 Parc naturel du Luberon,
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 181 Sous la direction d’
- ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p 221 Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », inGuy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 72
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 161
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 172
- notice communale de Mallefougasse-Augès de la base de données Cassini, consultée le 27 juillet 2009 EHESS,
- (fr) nombre des membres du conseil municipal des communes, Legifrance
- Résultats élections municipales 2008 à Mallefougasse-Augès sur linternaute.com
- Jean Saint-Josse (CPNT) à l’élection présidentielle de 2002, cf Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002 Jean Josselet est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de
- liste des maires Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence,
- (fr) Impots locaux à Mallefougasse-Augès, taxes.com
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010 Insee,
- (fr) Populations légales 2008 de la commune de Mallefougasse-Augès, INSEE
- Mallefougasse-Augès sur le site de l'Insee
- (fr) Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
- (fr) Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 8 novembre 2004
- (fr) Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Site de la cité scolaire Paul Arène, Académie Aix-Marseille, 2010
- Secteur Montagne de Lure
- La charte Bistrot de Pays
- L'implantation des Bistrots de pays en France métropolitaine en 2010
- (fr) Liste des appellations AOC et IGP à Mallefougasse-Augès sur INAO
- Bernard Teyssandier, Connaître les fromages de France du terroir à la table, éditions Jean-Paul Gisserot, 1994, p. 63.
- (fr)Décret du 14 mars 2007 relatif à l'huile d'olive de Provence AOC, INAO
- (fr) Les variétés d'olives sur terroirselect.info
- Site légifrance relatif à la parution au JO de l'arrêté du 30 juillet 2009
- Les apiculteurs en Provence
- La transhumance des ruches provençales
- Site officiel de l'agneau de Sisteron
- Homologation agneau de Sisteron du 3 janvier 2005
- IGP de l'Union européenne en date du 15 février 2007
- Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 751.
- (fr) Les Pommes des Alpes de Haute-Durance obtiennent l'IGP, INAO, 19 avril 2010
- (fr)Fiche INAO de l'IGP Pommes des Alpes de Haute-Durance, INAO, 17 avril 2010
- notice de la Base Mérimée, consultée le 12 mars 2009 Arrêté du 14 octobre 1997,
- ISBN 978-2-7006-0145-9, p 21-23 Hélène Vésian, Châteaux et bastides en Haute-Provence aux XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles, Aubanel (Avignon), 1991. 166 p.,
- Banque du Blason
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- Ville fantôme en France
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