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Digne-les-Bains
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DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence (préfecture) Arrondissement Digne-les-Bains (chef-lieu) Canton Chef-lieu de deux cantons Code Insee abr. 04070 Code postal 04000 Maire
Mandat en coursSerge Gloaguen
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes des Trois-Vallées Site internet http://www.mairie-dignelesbains.fr/ Démographie Population 17 868 hab. (2006) Densité 153 hab./km² Gentilé Dignoise, Dignois Géographie Coordonnées Altitudes mini. 524 m m — maxi. 1 731 m m Superficie 117,07 km² Digne-les-Bains (en occitan vivaro-alpin: [ˈdiɲɔ], écrit Dinha selon la norme classique ou Digno selon la norme mistralienne) est une commune française, préfecture du département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Sommaire
Géographie
Située en bordure des Préalpes de Digne, de part et d'autre de la Bléone, Digne-les-Bains est le chef-lieu du département des Alpes de Haute-Provence. Placée au centre géographique du département, cette ville abrite 17 600 habitants, ce qui en fait l'une des plus petites préfectures de France par sa population. Le centre-ville est à 608 m d’altitude[1].
Situation
Digne est une ville essentiellement étendue dans la plaine formée par la vallée de la Bléone, étant donné que le relief qui l'entoure est très accidenté. La vieille ville est construite sur une colline située entre la Bléone et le torrent des Eaux-Chaudes, mais la ville s'est progressivement étendue dans les trois directions des vallées, en particulier vers l'aval. Sa situation géographique est assez remarquable, étant donné qu'elle se trouve au bord des Préalpes, sur le chevauchement qui porte son nom. Une partie de la ville est complètement enserrée dans la vallée de la Bléone, tandis que la ville s'étend largement sur les reliefs plus doux en aval. Avec l'annexion de communes voisines, surtout en aval, la ville s'étend sur plus de 8 km de longueur.
La ville est desservie par les Chemins de fer de Provence via la ligne ferroviaire Nice-Digne.
Communes rattachées
- Courbons (Corbo, cité au XIIIe siècle[1]) est rattaché à Digne en 1862. Les Juifs installés ici y sont massacrés en 1335. Ses fortifications sont abattues par Lesdiguières au cours des guerres de religion (1590).
- Les Dourbes (De Dorbas, citées en 1035[1]) sont rattachées à Digne en 1974, sous forme de commune associée. Le village est situé sur une barre et une motte castrale est élevée au XIe siècle[2].. 48 feux en 1315, 296 habitants en 1851, 62 en 1982.
- Gaubert (Galbertum, cité au XIIe siècle[1]) est rattaché à Digne en 1862. La place, ligueuse et défendue par Sautaire, est prise par Lavalette en 1591.
- Les Sièyes (Lacieias, citées au XIIIe siècle[1]) est rattaché à Digne en 1862.
Durant la Révolution, ces quatre communes comptent chacune une société patriotique, toutes créées après la fin de 1792[3].
Toponymie
Le toponyme Dinia est connu depuis le Ier siècle de notre ère (Ptolémée, Pline l'Ancien). Diverses hypothèses ont été avancées. Selon Papon, le nom est formé de l’hydronyme Din (eau en gaulois), avec le suffixe -ia. Selon d’autres spécialistes, le nom est dérivé d’un nom propre romain, Din(n)ius[4],[5].
La dénomination actuelle a été officialisée le 25 juin 1988, à la suite du décret du 21 juin 1988 paru le 24 juin 1988 au Journal officiel. Auparavant, la commune était appelée Digne, appellation toujours fréquente dans le langage courant.
Communes voisines
Hydrographie
Dans la vallée des Eaux-Chaudes, se trouvent huit sources chaudes et une froide utilisées pour le thermalisme : certaines sont radioactives, sulfydrurées, chlorobromoiodurées, arsenicales.
La ville est également traversée par la Bléone et le Mardaric.
Montagne
La principale montagne au-dessus de la ville s'appelle le Cousson.
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Dès la préhistoire, les hommes se sont installés à l'emplacement actuel de Digne.
La présence de trois rivières (la Bléone, le Mardaric, et les Eaux-Chaudes), en a fait un endroit idéal pour l’implantation humaine. Nommée Dinia au Ier siècle, puis Digna en 780[1], la ville devient une cité romaine, appréciée pour ses eaux thermales. Elle est alors la capitale des Bodiontici (ou Brodiontii).
Moyen Âge
Au VIe siècle, des fortifications sont élevées sur deux hauteurs de la ville afin de résister aux invasions barbares.
Le Bourg était distinct de la Cité : jusqu’au XVe siècle, les deux villes ont leurs propres magistrats. La Cité est une coseigneurie des évêques de Digne et des comtes de Provence, alors que le Bourg dépendait du prévôt de l’église de Digne. Un consulat est accordé en 1385. Une sénéchaussée est créée en 1535.
Une épidémie de peste touche la ville de septembre 1451 à juillet 1452[6].
Temps modernes (XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles)
Au cours des siècles suivants, Digne eut à souffrir des guerres de religion (quatre fois) : elle est attaquée par les protestants en 1574[7]. Digne est touchée par une épidémie de peste (1629), qui fait tomber la population de la ville de dix mille à mille cinq cent habitants[8] ; l’épidémie revient en 1631. La ville est le siège d’une viguerie jusqu’à la Révolution[9].
Révolution et Empire
La ville est érigée en chef-lieu des Basses-Alpes et de district dès la Révolution française. La société patriotique de Digne est créée en septembre 1790 (deuxième du département par son ancienneté) ; elle s’affilie aux Jacobins en juin 1791, et devient un relais de ce club dans le département, en acceptant les affiliations de nombreux clubs des Basses-Alpes[10] ; elle reçoit aussi la demande d’affiliation de celui de Carpentras[11]. D’abord appelée chambrette bourgeoise, elle prend ensuite le nom de Club patriotique, puis le 9 octobre 1792, de Société des amis de la Constitution, de la Liberté, de l'Égalité. Elle établit un comité de correspondance chargé des relations avec les autres sociétés populaires qui lui sont affiliées le 14 novembre 1792[12]. Les 10 et 11 janvier 1793, le général Peyron effectue une descente depuis Marseille, soutenu par des clubistes marseillais en armes. Il se venge car il n’a pu obtenir le poste de procureur général syndic[13], deux administrateurs départementaux sont destitués[14] et une amende de 13 000 livres versée au club marseillais. Le 5 frimaire an III, le représentant en mission Gauthier épure la société[15].
Digne accueille la préfecture sous le Consulat. Le préfet Lameth, très populaire (1802-1805), crée une promenade ombragée entre le pré de Foire et les rives de la Bléone, plante des platanes sur le boulevard Gassendi[16].
Époque contemporaine
En 1851, l’annonce du coup d’État du 2 décembre provoque un soulèvement dans les campagnes, et les paysans installent un gouvernement provisoire à Digne[1].
Durant la Seconde Guerre mondiale, elle est occupée par l'armée allemande, suite à l'invasion de la zone libre, après le débarquement des Alliés en Afrique du Nord le 8 novembre 1942.
Le 17 août 1944, la ville est bombardée par des P-47 Thunderboldt, qui ont décollé d’un terrain proche de Bastia en Corse. Leur objectif est le grand pont de Digne, traversant la Bléone, mais une seule bombe atteint le pont, n’entravant que pour quelques heures le passage des véhicules. Plusieurs immeubles sont endommagés. La ville est libérée le 19 août 1944 par la Task Force Butler, détachement motorisé composé d'éléments blindés, d'infanterie et d'artillerie provenants des division d’infanterie du Texas et division d’infanterie US, aidée des forces de la Résistance. La libération de Digne les Bains s'inscrit dans un mouvement de contournement de la vallée du Rhône, à travers les Alpes, par la route Napoléon, confié à la Task Force Butler et qui vise à couper la retraite à l’armée allemande stationnée en Provence. À Aspres-sur-Buech, la colonne fait mouvement vers l'ouest, en direction du Rhône et de Crest (bataille de Montélimar).
Le 20, un défilé a lieu et replace solennellement l’effigie de la République au rond-point du colonel Payan. Le camp de prisonniers de guerre allemands compte jusqu’à 2700 prisonniers[17]. L’un d’eux participe au sauvetage après la double catastrophe aérienne de la montagne du Cheval Blanc en 1948.
De nos jours, la ville de Digne-les-Bains continue de s'étendre, principalement le long des rives de la Bléone. Elle forme avec Entrages, Marcoux, La Robine-sur-Galabre, et Mézel, la communauté de communes des Trois-Vallées (CC3V).
Les cités du Pigeonnier et de Barbejas sont classées Zone urbaine sensible.
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
D'azur à la fleur de lys d'or accompagnée en chef d'une croisette de gueules, aux flancs de deux lettres L capitales affrontées d'argent et en pointe d'une lettre D capitale aussi d'or[18]La cité était copropriété des comtes de Provence et des évêques de Digne. D'où les armes : la croix symbolise l'évêché, la fleur de lys Charles d'Anjou, comte de Provence. La lettre D est l'initiale de la ville. Les lettres L ont été ajoutées sous Louis XIV, roi de France et comte de Provence et de Forcalquier.[19]
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Parti Qualité 196x 196x Romieu médecin mars 1977 juin 1995 Pierre Rinaldi RPR député, président du conseil général juin 1995 mars 2001 Jean-Louis Bianco PS ancien ministre, député, président du conseil général, conseiller régional mars 2001 réélu en 2008 Serge Gloaguen PS conseiller régional Démographie
Courbe d'évolution démographique de Digne-les-Bains depuis 1716
En 2006, la commune lance un projet de construction de logements visant à terme à augmenter au-delà de 20 000 le nombre d'habitants (seuil inférieur d'obtention de certaines aides publiques). Début 2009 la municipalité annonce les nouveaux chiffres du recensement de l'INSEE, portant la population de la commune de Digne à 19 190 habitants.
Économie
Digne-les-Bains est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie des Alpes de Haute-Provence. Elle gère les aérodromes de Sisteron-Thèze et le centre J. Gage.
Elle tire son activité principalement du tourisme :
- son centre historique ;
- son climat méditerranéen de petite montagne (600m) : renommé pour le nombre le plus élevé de jours ensoleillés de France et la pureté de son air ;
- ses thermes, qui traitent les affections respiratoires et les rhumatismes : connus depuis l'antiquité ;
Sport
- Digne-les-Bains est élue ville la plus sportive de France parmi les villes de moins de 20 000 habitants en 2006, par le quotidien L'Équipe.
Elle est par exemple l'une des rares villes françaises à proposer un accès libre et gratuit à des courts de tennis.
- D'un bout à l'autre de la ville, on trouve des structures sportives, libres d'accès ou réservées aux nombreux clubs sportifs et scolaires.
- C'est à la demande du Conseil Communal Jeune, qu'un skate-park a été construit. Celui-ci est en libre accès.
Parmi les structures sportives de la ville, on trouve de nombreux gymnases, un stade, un centre équestre, un golf, et une piscine publique.
Lieux et monuments
- La dalle à ammonites : site classé. Il s'agit d'une couche rocheuse datant de 200 millions d'années, où l'on peut trouver plus de 1500 fossiles d'ammonites pouvant atteindre un diamètre de 70 centimètres.
Architecture religieuse
- Cathédrale Notre-Dame-du-Bourg (monument historique) : c'est une cathédrale romane dont les fondations remontent au IXe siècle. Victime de nombreuses attaques et pillages, elle fut rénovée au début du XIIIe siècle. Des parties des XIe et XIIe siècles subsistent. Son autel de marbre blanc est d’époque mérovingienne[1].
- Cathédrale Saint-Jérôme (également monument historique) : gothique des XVe et XVIe ; façade du XIXe siècle
Architectures civile et militaire
- Vestiges des fortifications : en prêtant attention au plan de la vieille ville (quartier central, construit sur les hauteurs), on peut encore apercevoir certains des murs, et quelques-unes des tours qui entouraient la ville (XIVe siècle). Ces restes de remparts se fondent actuellement dans le paysage des habitations.
- Hôtel Thoron de la Robine (XVIIe siècle)
- Fontaine 1829 (monument historique)
Musée
- Musée de la Réserve géologique de Haute-Provence et son jardin des papillons
- Musée municipal : deux sections, archéologie fondée en 1889[24], et peinture
- Centre d’art contemporain
- Musée de la Seconde Guerre mondiale
Environnement
La ville a été récompensée par trois fleurs au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris[25].
Évènements
Le corso de la lavande
Chaque premier week-end du mois d’août depuis 1946, Digne célèbre le corso de la lavande, en hommage à cette fleur cultivée dans les champs environnant du sud et l'ouest du département. À ce titre la ville est appelée la capitale de la lavande.
Le Corso, fête chère aux Dignois, s'étale sur cinq jours et cinq nuits de fêtes dans tout le centre ville. Le vendredi soir, un feu d'artifice tiré depuis le lit de la Bléone, lance les festivités. Le samedi, des groupes musicaux venus de toute la France et d'Europe animent les rues de la ville, et le soir, sur la place général de Gaulle, est élue miss Corso.
Le dimanche, le grand jour, a lieu le défilé des chars, fleuris et parfumés à la lavande et groupes musicaux tout le long du boulevard Gassendi.
Le lundi soir, le défilé dans l'obscurité, chars illuminés, qui arpentent à nouveau la ligne droite du boulevard Gassendi. Enfin le mardi soir, les chars du corso sont exposés sur la place, jusqu'au toro de feu et le feu d'artifice de clôture, offert chaque année, par les nombreux forains, qui animent chaque nuit l'entrée de ville.
Personnalités liées à la commune
- Saint Domnin et saint Vincent de Digne, premiers évêques de Digne. Ils étaient berbères d'Afrique du Nord et faisaient partie d'une des premières équipes missionnaires envoyées pour évangéliser la Provence.[26]
- La famille Des Porcellets, de la maison de Provence.
- Sainte Douceline de Digne, (1214-1274) consacre toute sa vie aux pauvres et aux malades.
- Pierre Gassendi (1592-1655), mathématicien, astronome et philosophe né à Champtercier près de Digne.
- Alphonse Eugène Beau dit Beau de Rochas (1815-1893), ingénieur thermodynamicien né à Digne le 9 avril 1815, et inventeur du cycle à quatre temps
- Hippolyte Fortoul (1811-1856), ministre de la Marine (1851) puis de l’Instruction publique
- Simon-Jude Honnorat, lexicographe
- Frédéric Aillaud, député sous la Troisième République, mort à Digne en 1924.
- Alexandra David-Néel (1868-1969), exploratrice et écrivain franco-belge, résidente de Digne de 1926 jusqu'à sa mort en 1969 (sauf pour la durée de son dernier périple asiatique en (1937-1946).
- Paul Alexandre Arnoux (1884-1973), poète français né à Digne le 27 novembre 1884.
- Alain Boghossian, footballeur né à Digne le 27 octobre 1970, a joué au club de Digne les saisons 87/88 et 88/89.
- Tristan Louis, né à Digne le 28 février 1971, inventeur de la baladodiffusion.
- Jean-Louis Bianco, homme politique, ancien ministre et ancien maire de Digne.
- Jean Daviot, artiste plasticien contemporain français né à Digne le 20 février 1962
- Jean-Philippe Argento, né à Digne le 16 mai 1972, auteur, compositeur ayant collaboré avec Jean-Pascal Lacoste, Sandra Lou, Didier Gustin ou encore Pauline .
Jumelages[27]
- Bad Mergentheim (Allemagne) depuis 1971
- Borgomanero (Italie) depuis 2001
- Douma (Liban)
- Kamaishi (Japon)
Ville de garnison
Les unités suivantes ont tenu garnison à Digne :
- 22e régiment d’infanterie légère (un bataillon, au milieu du XIXe siècle)
- 3e régiment d’infanterie
Voir aussi
Articles de Wikipédia
- Liste des préfets des Alpes-de-Haute-Provence
- Communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des évêques de Digne
- Commanderie de Digne (de l'Ordre du Temple)
Liens externes
- Histoire, particularités de la ville
- Site de la mairie de Digne-les-Bains
- Digne-les-Bains sur le site de l'Institut géographique national
- Plan de Digne-Les-Bains
Sources
Notes
- ↑ a , b , c , d , e , f , g et h Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », Paris, 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7)
- ↑ Parc naturel du Luberon, Autour de l’An Mil en pays de Forcalquier, catalogue d’exposition, 2007, p 31
- ↑ Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
- ↑ Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 165-166
- ↑ Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes § 10252, p 623
- ↑ Yannick Frizet, « Découvertes sur les peintures murales tardo-médiévales de la cathédrale de Digne, Notre-Dame-du-Bourg », in Chroniques de Haute-Provence n° 354 (2005, 125e année), p 184
- ↑ Jacques Cru, Histoire des Gorges du Verdon jusqu’à la Révolution, co-édition Édisud et Parc naturel régional du Verdon, 2001, ISBN : 2-7449-0139-3, p 200
- ↑ Jacques Cru, op. cit., p 211
- ↑ La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 107
- ↑ Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 291 et suivantes
- ↑ Alphand, p 304
- ↑ Alphand, p 311
- ↑ Alphand, p 303
- ↑ La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 17
- ↑ Alphand, p 333
- ↑ « L’Installation de l’administration préfectorale », in Chroniques de Haute-Provence Les préfets dans l’histoire de Haute-Provence depuis 1800, Autour d’une exposition réalisée par les Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, (no 340, 2000), p 12, disponible en ligne [1]
- ↑ Jean-Paul Louvet, Les dépôts de P.G. de l'Axe en mains françaises, disponible en ligne [2], consulté le 3 octobre 2008
- ↑ GASO - la banque du blason
- ↑ GASO - la banque du blason
- ↑ INSEE, Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 10 janvier 2009
- ↑ Digne-les-Bains sur le site de l'Insee
- ↑ EHESS, notice communale de Digne-les-Bains sur la base de données Cassini, consultée le 21 juillet 2009
- ↑ Robert Niel, Le Roman des brigands dans les Basses-Alpes de 1789 à 1802, Impr. B. Vial (Digne-les-Bains), 2007. - 190 p, ISBN 978-2-9530563-1-0
- ↑ Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p 58
- ↑ Source : Villes et villages fleuris
- ↑ Vincent J. O’Malley, Saints of Africa p 58, 2001, ISBN 0-87973-373-X
- ↑ Annuaire des communes jumelées
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