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Vachères
Village de Vachères
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Forcalquier Canton Reillanne Code commune 04227 Code postal 04110 Maire
Mandat en coursAlain Clapier
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Banon Démographie Population 305 hab. (2008) Densité 13 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 499 m — maxi. 865 m Superficie 23,42 km2 Vachères est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Vacherois.
Sommaire
Géographie
Accès
L'accès à Banon se fait par la RD14, entre Banon et Reillanne.
Lieux-dits et hameaux
En dehors du village, la commune compte un hameau : Pichovet.
Communes limitrophes
Relief
C'est un village perché à 830 m d’altitude[1], dans le parc naturel régional du Luberon, entre le Luberon et la montagne de Lure. Depuis son point culminant à 865 m la vue s'étend sur sept départements[1], englobant les sites du pic Saint-Loup à l'ouest et de la Sainte-Baume au sud.
Géologie
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Le canton de Banon, auquel appartient Vachères, est classé en Zone 1a (risque très faible)[2].
Hydrographie
La commune est traversée par plusieurs ruisseau, affluents du Largue.
Climat
Toponymie
Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois en 1274 (de Vaqueriis), est le pluriel du nord-occitan vachièro, pour vacherie[3]. Ce qui a donné Vachièras en vivaro-alpin et en provençal de norme classique et Vachièro selon la norme mistralienne.
Histoire
Préhistoire
Le territoire de la commune a été fréquenté pendant différentes périodes de la Préhistoire : deux sites chasséens (Chausson, Grand roi) et dix sites chalcolithiques (plateau des Moulins, Grange des Bois, Richard, la Plaine, Soulouri, le Collet d’Auberasse, les grands Adrets, Pichoyet, Sylvabelle, Mont-Saint-Laurent) ont été répertoriés[4]. Le site du Plateau des Moulins est encore occupé au Néolithique, à l’Âge du Bronze, et à l’Âge du Fer. Le site du Plateau de Quinson ou de Saint-Antoine est occupé durant la protohistoire, le Haut-Empire romain et au Moyen Âge[5].
Cette abondance de sites, notamment néolithiques, qui se confirme dans les communes voisines d’Oppedette et Simiane-la-Rotonde, est expliquée par la nature du sol : grès et sables cénomaniens, grès verts du clansayésien-albien, qui sont aisément cultivables avec des outils rustiques ou une araire qui ne travaille le sol qu’en surface. Ces sols acides favorisent en outre la pousse de plantes facilement inflammables (cystes, bruyère), donc favorisant une culture sur brulis[6].
Antiquité
Les Ligures puis par les Celtes s’installent ensuite (voir la découverte d’une statue de guerrier gaulois au jas de Bellevue).
Un dolium et des dalles épigraphiques sont découverts à la Conseillère.
Moyen Âge
Le village se fortifie au XIIIe siècle[1].
Renaissance
Période moderne
Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Enchastrayes[7].
Période contemporaine
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.« D’or à quatre vaches de gueules, deux et deux » Armes parlantes.
[8].
Administration
Municipalité
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 2001 mars 2008 Claude Peloux mars 2008 Alain Clapier[9] PCF Tendances politiques
Intercommunalité
Vachères fait partie de la communauté de communes du Pays de Banon, qui regroupe 10 communes.
Urbanisme intra-muros
Habitat perché
Ce type d'habitat est considéré comme typiquement provençal, il est surtout typiquement méditerranéen. Ces villages sis sur leur « acropole rocheuse », qui ont gardé leur aspect médiéval, forment par l'orientation des façades de leurs maisons - vers la vallée ou la voie de communication - un véritable front de fortification[10].
Fernand Benoit souligne leur origine quelquefois préhistorique en signalant que Cicéron, à propos des Ligures qui peuplaient la région, les dénomme castellani, c'est-à-dire habitants des castellas (Brutus, LXXIII, 256)[10]. Ces villages perchés se trouvent dans essentiellement dans les zones collinaires dont le terroir est pauvre en alluvions et où l'eau est rare[11].
De plus ce groupement en communauté refermée sur elle-même correspond à des régions de petites propriétés, où les seules terres fertiles se situent au fond de quelques vallons, et ce regroupement a facilité l'existence d'un artisanat rural indispensable aux villageois (charron, forgeron, etc.). A contrario, l'habitat dispersé implique de grands domaines qui tendent à vivre en autarcie. D'où la loi émise par Fernand Benoit « La misère groupe l'habitat, l'aisance le disperse »[11].
Maison en hauteur
Fernand Benoit explique que « son originalité consiste à placer les bêtes en bas, les hommes au-dessus ». Effectivement ce type d'habitation, qui se retrouve essentiellement dans le village, superpose sous un même toit, suivant une tradition méditerranéenne, le logement des humains à celui des bêtes. La maison en hauteur se subdivise en une étable-remise au rez-de-chaussée, un logement sur un ou deux étages, un grenier dans les combles. Elle était le type de maison réservée aux paysans villageois qui n'avaient que peu de bétail à loger, étant impossible dans un local aussi exigu de faire tenir des chevaux et un attelage[12].
Ces maisons datent pour la plupart du XVIe siècle, période où les guerres de religion imposèrent de se retrancher derrière les fortifications du village. Celles-ci finies, il y eut un mouvement de sortie pour établir dans la périphérie de l'agglomération des « maisons à terre », plus aptes à recevoir des bâtiments annexes[13].
En effet, ce type d'habitation, regroupant gens et bêtes dans un village, ne pouvait que rester figé, toute extension lui étant interdite sauf en hauteur. Leur architecture est donc caractéristique : une façade étroite à une ou deux fenêtres, et une élévation ne pouvant dépasser quatre à cinq étages, grenier compris avec sa poulie extérieure pour hisser le fourrage. Actuellement, les seules transformations possibles - ces maisons ayant perdus leur statut agricole - sont d'installer un garage au rez-de-chaussée et de créer de nouvelles chambres au grenier[14]. Pour celles qui ont été restaurées avec goût, on accède toujours à l'étage d'habitation par un escalier accolé à la façade[13].
La présence de terrasse ou balcon était une constante. La terrasse servait, en priorité, au séchage des fruits et légumes suspendus à un fil de fer. Elle était appelée trihard quand elle accueillait une treille qui recouvrait une pergola rustique. Quand elle formait loggia, des colonnettes soutenant un auvent recouvert de tuiles, elle était nommée galarié ou souleriè[15].
Urbanisme extra-muros
Maison à terre
Compartimenté dans le sens de la longueur, ce type de maison représente un stade d'évolution plus avancé que la « maison en hauteur ». Il est caractéristique de l'habitat dispersé qui se retrouve dans la basse vallée du Rhône, dans celle de la Durance et plus ponctuellement dans les vallées annexes comme celle du Calavon[16]. C'est l'habitation traditionnelle des pays de « riche culture » (céréales)[17].
Ce type de maison est divisé en deux parties très distinctes dans le sens de la longueur. Le rez-de-chaussée est occupé par une salle commune dans laquelle est intégrée la cuisine. Très souvent se trouve à l'arrière un cellier contenant la réserve de vin et une chambre. Un étroit couloir, qui permet d'accéder à l'étage, sépare cet ensemble de la seconde partie réservée aux bêtes. Celle-ci se compose, dans la plupart des cas, d'une remise qui peut servir d'écurie et d'une étable. L'étage est réservé aux chambres et au grenier à foin qui correspond par une trombe avec l'étable et l'écurie[17].
À cet ensemble, s'ajoutaient des annexes. Une des principales était la tour du pigeonnier, mais la maison se prolongeait aussi d'une soue à cochons, d'une lapinière, d'un poulailler et d'une bergerie[17]. La construction d'un tel ensemble étant étalée dans le temps, il n'y avait aucune conception architecturale pré-établie. Chaque propriétaire agissait selon ses nécessités et dans l'ordre de ses priorités. Ce qui permet de voir aujourd'hui l'hétérogénéité de chaque ensemble où les toitures de chaque bâtiments se chevauchent généralement en dégradé[18].
Le pigeonnier devint, après la Révolution la partie emblématique de ce type d'habitat puisque sa construction signifiait la fin des droits seigneuriaux, celui-ci étant jusqu'alors réservé aux seules maisons nobles. Il était soit directement accolé à la maison mais aussi indépendant d'elle. Toujours de dimension considérable, puisqu'il était sensé anoblir l'habitat, il s'élevait sur deux étages, le dernier étant seul réservé aux pigeons. Pour protéger ceux-ci d'une invasion de rongeurs, son accès était toujours protégé par un revêtement de carreaux vernissés qui les empêchait d'accéder à l'intérieur[17].
Maison à tours
C'est le style des grandes maisons seigneuriales qui va traverser les siècles même après la Renaissance. Il s'agit de bâtisses isolées, avec ou sans cour intérieure, dont la façade est flanquée de deux tours ou qui est protégée par quatre tours d'angle[19].
La fortification des maisons de campagne est une pratique fort ancienne. Elle se retrouve, dès le haut Moyen Âge, avec le castellum dont celles de Provence reprennent le plan avec ses tours d'angle. C'est un héritage romain puisque nombre de villæ rusticæ furent protégées par des tours, de la Tunisie à la Rhénanie. Et cette tradition remonte sans doute plus en avant quand on fait la comparaison avec l'Afrique berbère et le ksar saharien fortifié par ses quatre tours[19].
Cabanon
L'existence de cette « maisonnette des champs » est toujours liée à une activité agricole qui contraint le paysan à rester éloigné de sa résidence habituelle. Dans son étude sur l'habitat rural, Fernand Benoit envisage à la fois le cas du pastoralisme et celui du sédentarisme. Pour le premier, la transhumance, qui permet aux troupeaux d'estiver dans les alpages, implique l'usage d'un habitat sur place de « type élémentaire » pour le berger. Suivant le lieu, il rend l'aspect d'un jas en pierre sèche, d'une cabane édifiée en matériaux composites, le plus fréquemment en pierre et en bois, le chalet totalement en bois, etc. Ce refuge lui sert à la fois d'abri et de laiterie[20].
Pour le paysan sédentaire, c'est l'éloignement de ses cultures qui impose un habitat aménagé près de son champ ou de sa vigne. Dans ce dernier cas, le cabanon correspond à une cabane de vignes où sont entreposés outillage, matériel à traiter et produits de traitement. C'est de plus un véritable habitat saisonnier qui est utilisé lors des travaux de longue durée dans le vignoble : ébourgeonnage, taille en vert, sulfatage et vendanges[20].
Ces cabanons, qui se trouvent à l'orée ou au centre du champ ou de la vigne, avaient aussi un rôle d'affirmation sociale pour le paysan. Ils étaient considéré comme « le signe de la propriété sur une terre qu'il entendait distinguer du communal »[20].
Budget et fiscalité
L'imposition des ménages et des entreprises à Vachères en 2009[21] Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 7,80 % 0,55 % 5,53 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 16,00 % 1,32 % 14,49 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 44,50 % 4,18 % 47,16 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 9,40 %* 0,94 % 10,80 % 3,84 % La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
Jumelages
Démographie
Courbe d'évolution démographique de Vachères depuis 1793
L'été, la commune accueille en moyenne plus de 800 résidents.
Économie
Industrie
Tourisme
Agriculture
Commerce
Le Bistrot des Lavandes, qui porte le label Bistrot de pays[26], adhère a une charte qui a but de « contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien d’un lieu de vie du village »[27].
Culture et patrimoine
Culture
Lieux et monuments
La commune compte quatre châteaux, deux églises, plusieurs chapelles de campagne, un prieuré, 3 moulins, des calades (rues empierrées), des restes de remparts, un portail du XIIIe siècle, des maisons d'époque Renaissance avec fenêtres à meneaux, des enseignes gravées.
Musée
Parmi les collections du musée municipal créé en 1958 et réaménagé en 1997 :
- un squelette-fossile de bachithérium, vieux de 30 à 35 millions d'années (tertiaire, oligocène, stampien), trouvé en 1981. C'est le seul squelette complet du genre Bachitherium connu jusqu'à nos jours, d'où son importance, ce mammifère est l'ancêtre des gazelles indiennes et africaines actuelles, voir site
- la statue d'un guerrier celto-ligure de l'armée de l'empereur Auguste. Cette statue, impressionnante par sa taille et par la finesse de ses ciselures a été découverte en 1865 et il semblerait qu'elle était érigée dans un mausolée qui couronnait la commune. C’est la plus importante statue gallo-romaine du département, qui est exposée au musée Calvet d’Avignon.
Architecture militaire
En arrivant au village, on aperçoit les restes de l’ancienne enceinte : coffrage de la courtine, tour ronde engagée, tour carrée ; on peut aussi suivre le tracé, qui rejoignait le château et la façade de l’église, qui étaient intégrés aux fortifications[28].
Le château domine le village. Sa première construction est médiévale, et il en reste les parties inférieures. L’essentiel de la construction actuelle est du XVIe siècle, notamment une fenêtre à meneau. Au XVIIIe siècle, de nombreuses fenêtres arrondies ont été percées[29].
Le campanile, ou tour de l’Horloge, est une ancienne porte, construite autant pour la défense que pour le prestige, au XVIe siècle. Elle est ornée d’une rangée de huit arcs à accolades, supportant des corbeaux[30].
Architecture civile
Le château bas est une gentilhommière, à trois tours, datant de la fin du XVIIe siècle ou du XVIIIe siècle[31]. Un pigeonnier a été aménagé dans une tour[32].
La façade du château du Colombier, enserrée entre deux avant-corps, s’élève sur deux étages, percée de fenêtres en plein cintre. La cour, close par un mur en courbes, orné de paniers de fleurs sculptées, s’ouvre par un portail pris entre deux piliers à bossages. Il est construit au milieu du XVIIe (1649-1652) pour l’essentiel. Quelques parties (fenêtres de la façade principale, cour, décoration du rez-de-chaussée, dont les gypseries), sont ajoutées au milieu du XVIIIe siècle[33]. Les dix-huit tentures peintes sont de Duplessis de Carpentras, qui les réalisa entre 1748 et 1752, représentant des scènes pastorales au salon, des scènes de chasse et rustiques, une représentation de la lanterne magique dans la salle à manger, une marchande d’oublies, et des camaïeux gris bleu et doré ornent la chambre aux alcôves[34]. Toutes ces peintures sont classées monuments historiques au titre objet[35].
On compte également de très nombreuses maisons du XVIe siècle dans le village, aux arcs surbaissés, à fenêtres à croisées ou en plein cintre, construite parfois en pierre de taille[36], ainsi que plusieurs hôtels ou maisons particulières du XVIIIe siècle dont la construction, sans être richement ornée, est régulière et soignée[37].
Art religieux
L’église paroissiale est construite de 1866 à 1869, le clocher en 1872. La nef compte trois travées ; deux bas-côtés courent au nord et au sud. Le chœur est voûté d’arêtes[38]. Deux vitraux représentent saint Sébastien et saint Pierre (apôtre)[39]. Elle possède trois chandeliers de cuivre doré et repoussé, des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, classés[40].
L’église Saint-Christophe, ancienne église paroissiale, est de style roman. Construite au XIIIe siècle, la voûte en berceau brisé de la nef, qui couvrait les trois travées, s’est effondrée au début des années 1960. L’abside est rectangulaire ; au-dessus de l’arc triomphal[41], le clocher-mur est médiéval de façon certaine[42].
La chapelle Saint-Ambroise de la Conseillère, du XIe siècle, est établie sur un site fréquenté au Néolithique. Elle possède une nef unique voûtée en pierres sèches, et une abside en cul-de-four. Elle a été agrandie et transformée en grange[43].
La chapelle Notre-Dame de Bellevue date de la fin du XIe siècle, malgré toutes les parties manquantes ; la façade occidentale possède une fenêtre géminée de cette époque, même si elle a été restaurée depuis[44].
Équipements et services
Transports urbains
Éducation
La commune est dotée d’une école primaire[45].
Sports
Santé
Vie locale
Culte
La paroisse est rattachée à un groupe inter-paroissial qui comprend Aubenas-les-Alpes, Céreste, Dauphin, Lincel, Mane, Montfuron, Montjustin, Oppedette, Reillanne, Sainte-Croix-à-Lauze, Saint-Maime, Saint-Martin-les-Eaux, Saint-Michel-l'Observatoire, Vachères et Villemus. Le culte est célébré alternativement dans les églises de ces quinze communes[46].
Environnement
Personnalités liées à la commune
- Emmanuel Marie Pierre de Gramont (1783-1841), 6e duc de Caderousse, marquis de Vachères et de Codolet, maréchal de camp, membre de la Chambre des pairs sous la Monarchie de Juillet.
Voir aussi
Articles de Wikipédia
- Anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Huile d'olive de Provence AOC
Sources
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
- Fernand Benoit, La Provence et le Comtat venaissin. Arts et traditions populaires, Éd. Aubanel, 1992, (ISBN 2700600614)
Notes
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 978-2-7399-5004-7)
- Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume II : Formations non-romanes ; formations dialectales, § 24 846, p 1334
- (fr) Patrice Druelle, « Oppedette des origines au moyen âge (Chroniques de Haute-Provence) », Bulletin de la Société scientifique littéraire des Alpes-de-Haute-Provence no 304, 1987, p. 56-57
- (fr) Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p. 484
- Patrice Druelle, op. cit., p 57-58
- Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département (La Révolution dans les Basses-Alpes) », dans Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, vol. 108e année, no 307, 1er trimestre 1989, p. 113
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
- Site de la préfecture des AHP
- Fernand Benoit, op. cit., p. 43.
- Fernand Benoit, op. cit., p. 44.
- Fernand Benoit, op. cit., p. 48.
- Fernand Benoit, op. cit., p. 49.
- Fernand Benoit, op. cit., p. 50.
- Fernand Benoit, op. cit., p. 51.
- Fernand Benoit, op. cit., p. 54.
- Fernand Benoit, op. cit., p. 55.
- Fernand Benoit, op. cit., p. 56.
- Fernand Benoit, op. cit., p. 61.
- Fernand Benoit, op. cit., p. 69.
- (fr) Impots locaux à Vachères, taxes.com
- Population légale au 1er janvier 2007, consulté le 14 janvier 2010
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 204 Sous la direction d’
- Vachères sur le site de l'Insee
- notice communale de Vachères sur la base de données Cassini, consultée le 31 juillet 2009 EHESS,
- La charte Bistrot de Pays
- L'implantation des Bistrots de pays en France métropolitaine en 2010
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 299-300
- Raymond Collier, op. cit., p 254
- Raymond Collier, op. cit., p 308
- op. cit., p 254 et 262 Raymond Collier,
- Raymond Collier, op. cit., p 445
- Raymond Collier, op. cit., p 264-265
- Raymond Collier, op. cit., p 489-490
- Liste des notices pour la commune de Vachères, sur la base Palissy, ministère de la Culture, consultée le 3 mars 2009 Voir
- Raymond Collier, op. cit., p 361
- Raymond Collier, op. cit., p. 366
- Raymond Collier, op. cit., p 387
- Raymond Collier, op. cit., p 528
- chandeliers (3), sur la base Palissy, ministère de la Culture, consultée le 3 mars 2009 Arrêté du 8 janvier 1975,
- Raymond Collier, op. cit., p 121
- Raymond Collier, op. cit., p 78
- Parc naturel du Luberon, Autour de l’An Mil en pays de Forcalquier, catalogue d’exposition, 2007, p 23
- Raymond Collier, op. cit., p 57
- Liste des écoles de la circonscription de Sisteron-Sud, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010 Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence,
- Groupe Avance au Largue
Catégories :- Commune des Alpes-de-Haute-Provence
- Commune membre du Parc naturel régional du Luberon
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