- Faucon-du-Caire
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Pour les articles homonymes, voir Faucon (homonymie).
Faucon-du-Caire
Faucon du Caire en 2007
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Alpes-de-Haute-Provence Arrondissement Forcalquier Canton Turriers Code commune 04085 Code postal 04250 Maire
Mandat en coursArthur Richier
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes de la Motte-Turriers Démographie Population 55 hab. (2008) Densité 2,8 hab./km² Gentilé Fauconniers Géographie Coordonnées Altitudes mini. 846 m — maxi. 1 714 m Superficie 19,93 km2 Faucon-du-Caire est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Fauconniers.[1]
Sommaire
Géographie
Localisation
Le village est situé à 910 m d’altitude, sur une butte au fond d’un vallon resserré[2].
Un dépôt de nummulites y a été découvert dans les années 1970.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Article connexe : Géologie des Alpes.Le territoire se situe en limite est des Baronnies orientales, sur des formations calcaires provençales du Jurassique supérieur et du Crétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin), entre trois formations géologiques majeures des Alpes[3] :
- la nappe de Digne à l'est[4], au niveau du lobe de Valavoire[5] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écailles) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe ;
- la faille de la Durance au sud-ouest, dans la vallée ;
- le Plateau de Valensole au sud-est : bassin molassique du Miocène et du Pliocène composé de roches sédimentaires détritiques (dépôts liés à l'érosion des montagnes apparues à l'Oligocène).
La commune est entourée de deux sommets : Roche Cline et le sommet de Serre Bouchon.
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque nul. Les cantons de Banon, La Motte-du-Caire, Noyers-sur-Jabron sont classés en Zone 1a (risque très faible), ceux d'Allos-Colmars, Barcelonnette, Le Lauzet-Ubaye, Annot, Castellane, Saint-André-les-Alpes, Barrème, Digne-Est, Digne-Ouest, La Javie, Mézel, Moustiers-Sainte-Marie, Riez, Seyne, Forcalquier, Reillanne, Saint-Étienne-les-Orgues, Sisteron, Turriers et Volonne, en Zone 1b (risque faible) et ceux d'Entrevaux, Les Mées, Valensole, Manosque-Nord, Manosque-Sud-Est, Manosque-Sud-Ouest et Peyruis, en Zone 2 (risque moyen)[6].
Climat
Faucon-du-Caire n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Tallard[7].
Relevé météorologique de la région de Tallard mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) -3 -2 1 3 7 10 13 13 10 6 1 -1 4,8 Température moyenne (°C) 1,5 3 6,5 9 13 17 20 20 16 11,5 5,5 3 10,5 Température maximale moyenne (°C) 6 8 12 15 19 24 27 27 22 17 10 7 16,2 Précipitations (mm) 33 29,4 28,9 43,4 38,7 40,9 33,3 36,7 46,2 63,7 48,8 34 477 Source : Relevé météo de Tallard[8]Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D 336-329.48-228.912143.415338.719740.9241033.3271336.7271346.2221063.717648.8101347-1Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm) Histoire
Une statuette de bronze gallo-romaine a été découverte en 1833[9].
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1058 (Falconem)[2], nom dérivé d’un nom de personne germanique[10]. Elle appartenait à l’abbaye Saint-Victor de Marseille. La seigneurie est donnée aux Glandevès en 1423, qui la conservent jusqu’au XVIe siècle. Les Bouchet sont ensuite les seigneurs du lieu jusqu’à la Révolution française[11].
Administration
Administration municipale
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de neuf membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[12]). Lors du scrutin de 2008, il n’y eut qu’un seul tour et Arthur Richier a été réélu conseiller municipal avec le sixième total de 36 voix, soit 85,71 % des suffrages exprimés. La participation a été de 95,45 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal. Il est maire depuis 1947. À noter qu'un candidat a même obtenu 42 voix, soit 100 % des suffrages exprimés[13].
Listes des maires
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du 3 juillet 1848 à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1947 réélu en 2008[14] Arthur Richier Sans étiquette Arthur Richier serait le troisième maire par la durée de son mandat (64 ans en 2011), à égalité avec le maire de La Bastide-de-Bousignac dans l'Ariège.
Intercommunalité
Faucon-du-Caire est l'une des 13 communes de Communauté de communes de la Motte-Turriers[15]. La communauté de commenes est elle même adhérente à l'association du Pays Sisteronais-Buëch avec huit autres communauté de communesCommunauté de communes de la Motte-Turriers[16] comprenant ainsi 83 communes comptant 28 500 habitants répartis sur 1 600 km2
Instances administratives et judiciaires
Faucon-du-Caire est une des sept communes du canton de Turriers, qui totalise 1 265 habitants en 2008. Le canton a fait partie de l’arrondissement de Sisteron du 17 février 1800 au 10 septembre 1926, date de son rattachement à l'arrondissement de Forcalquier, et de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Faucon-du-Caire fait partie du canton de Turriers depuis 1801, après avoir fait partie du Canton de Lamotte de 1793 à 1801[17]. La commune fait partie de la juridiction prud'hommale de Manosque, d’instance et de grande instance de Digne-les-Bains[18].
Fiscalité locale
L'imposition des ménages et des entreprises à Faucon-du-Caire en 2009[19] Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 6,66 % 0,64 % 5,53 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 10,21 % 2,25 % 14,49 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 46,83 % 6,44 % 47,16 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 6,06 % 1,28 % 10,80 % 3,84 % La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[20]).
Population et société
Démographie
Enseignement
La commune ne dispose pas d'école primaire publique[25]. Ensuite, les élèves sont affectés au collège Marcel-Massot[26]. Puis ils poursuivent au lycée de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[27],[28].
Santé
L'hopital le plus proche est le Centre Hospitalier de Gap-Sisteron[29] à Gap (environ 38 km).
Une maison médicale est disponible dans la commune voisine, à La Motte du Caire[30], avec la présence d'un médecin, un infirmier, un kinésithérapeute et un dentiste.
Économie
Agriculture
La commune du Faucon-du-Caire possède un label Appellation d'origine contrôlée (AOC) (Huile essentielle de lavande de Haute-Provence) et neuf labels Indication géographique protégée (IGP) (Pommes des Alpes de Haute-Durance, Miel de Provence, Agneau de Sisteron, Alpes-de-Haute-Provence (VDP) blanc, rouge et rosé et VDP de Méditerranée blanc, rouge et rosé)[31].
Lavande
Liée au soleil et aux vacances, la lavande, dont Jean Giono a dit qu'elle est « l'âme de la Haute-Provence », n'est plus actuellement l'« or bleu » du Ventoux, des Baronnies et de la montagne de Lure[a 1]. Cueillie pendant des siècles à l'état sauvage, sa récolte n'a été organisée qu'à partir du XVIe siècle en même temps que la distillation de sa fleur[a 2]. Son âge d'or se situe au début du XXe siècle. Et c'est au cours des années 1920 qu'il y a une véritable fièvre de plantation. Après la crise de 1929 et la Seconde Guerre mondiale, le marché est à nouveau demandeur à partir de 1955 pour entrer en crise cinq ans plus tard[a 3]. La mécanisation de la récolte, une meilleure organisation du marché et l'obtention d'une AOC pour l'« huile essentielle de lavande de Haute-Provence », en 1981, aurait dû relancer la production[a 4]. Mais celle-ci de l'ordre de 200 tonnes au début des années 1980 a chuté à 25 tonnes dans les années 1990 pour enfin remonter à 80 tonnes en 2003[a 5].
Miel de Provence
Le miel de Provence est protégé par un label rouge associé à une indication géographique protégée, tant pour le miel toutes fleurs que pour le miel de lavande et lavandin[32]. L'apiculture mobilise nombre de producteurs. Ils sont estimés à 4 500, dont 700 possèdent entre 70 et 150 ruches. La production régionale est de 2 000 t/an, soit 8 % de la production nationale[33]. Nombre d'entre eux pratiquent la transhumance selon un trajet allant du littoral vers la Haute-Provence. L'été est la saison privilégiée pour le miel de lavande et les ruches sont installées dans une zone limitée au nord par une ligne Montélimar / Digne, avec au sud le mont Ventoux, le plateau d'Albion, la montagne de Lure, les monts de Vaucluse et le massif du Luberon. Le miel toutes fleurs est élaboré dans une vaste zone limitée par Nîmes, Montélimar, Gap, Digne, Nice, Toulon, Marseille et Avignon[34].
Agneau de Sisteron
L'agneau de Sisteron est un agneau de quatre mois, élevé sous la mère et originaire des Alpes provençales et de la Drôme provençale. Issus d'élevages traditionnels, avec des mères de races Mérinos d'Arles, Mourérous ou Préalpes du Sud qui les allaitent au moins pendant deux mois, sur un espace pastoral comptant moins de 10 brebis à l'hectare et comportant au minimum 10 hectares de parcours[35], ces agneaux ont droit, sous le contrôle l'INAO, au label rouge accordé par un décret gouvernemental en date du 3 janvier 2005[36]. L'Union européenne lui a accordé une indication géographique protégée depuis le 15 février 2007[37].
Cette exigence de qualité a mis un terme à la pratique de cheptels élevés dans les mêmes conditions mais provenant d'autres régions dont l'ensemble de la Provence, le Massif central et le Piémont. Chaque année, c'étaient près de 400 000 bêtes qui passaient par les abattoirs de Sisteron profitant d'un certain laxisme pour usurper une provenance recherchée[38].
Pommes des Alpes de Haute-Durance
Les pommes des Alpes de Haute-Durance ont obtenu une Indication géographique protégée, qui a été publiée au Journal Officiel de l'Union européenne le 17 avril 2010[39].
Ces pommes de variétés golden delicious et gala proviennent de six cantons des Alpes-de-Haute-Provence et de treize cantons des Hautes-Alpes situés entre 450 mètres et 900 mètres d’altitude. La qualité de ces pommes est liée à leur terroir, et en particulier au climat de la Haute-Durance avec plus de 300 jours d'ensoleillement par an. Le froid nocturne qui règne lors de la maturation des pommes empêche la dégradation des acides, tandis que la forte amplitude thermique diurne permet leur jaunissement, et même leur rosissement[40].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La fête votive est au mois d'août sous la protection de saint Barthelemy en principe le dimanche avant le 24 août. Course traditionnelle à la fougasse.
L'église paroissiale Notre-Dame est construite en 1874, avec deux travées, deux chapelles latérales, une coupole surmontant le chœur. Le clocher-mur est construit au-dessus de la façade occidentale[41]. Elle a accueilli il y a quelques années, les Oralies de Haute-Provence, festival du conte.
Château Rousset.
Personnalités liées à la commune
- Arthur Richier est maire de la commune depuis octobre 1947, 60 ans de mandat le 17 octobre 2007. Il a été réélu aux municipales de 2008, à 86 ans, obtenant 36 voix sur les 42 exprimées[42].
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.Blasonnement :
De sinople à un bourg, composé d’une église et de plusieurs maisons d’argent essorées et ajourées de sable, senestré d’un grand rocher d’argent du milieu duquel sort une rivière du même, coulant entre le bourg et le rocher, et un chef d’argent chargé du mot FAUCON en caractères de sable.[43]Pour approfondir
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p.
- Sous la direction d’Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969
Liens internes
- Anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- La Fontelaye, commune du doyen des maires, en 2008.
- La Bastide-de-Bousignac, où le maire est élu depuis 1947 également.
Liens externes
Notes et références
Références bibliographiques
- Guy Barruol, Nerte Dautier, Bernard Mondon (coord.), Le mont Ventoux. Encyclopédie d'une montagne provençale
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 124.
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 125.
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 126
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 127.
- Jean-Paul Bonnefoy, p. 128.
Références
- (fr) Nom des habitants des communes françaises, Faucon-du-Caire sur le site habitants.fr de la SARL Patagos. Consulté le 28 mai 2011
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7)
- Les chaînons de Digne, Carte très schématique, montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale), par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- Carte géologique de la France au 1:1 000 000
- La Nappe de Digne et les structures connexes,par Maurice Gidon, professeur de géologie à l'Université de Grenoble.
- Sismicité dans les Alpes-de-Hautes-Provence
- (fr) Station météo la plus proche : Tallard, MSN Météo. Consulté le 29 mai 2011
- (fr) Relevé météo de Tallard, MSN Météo
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, 1986, 559 p., p 455
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Collection Publications romanes et françaises, volume CVCIII. Volume II : Formations non-romanes ; formations dialectales § 14655, p 840
- Édouard Baratier, Georges Duby, et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Librairie Armand Colin, Paris, 1969, p. 175 Sous la direction d’
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
- Résultats élections municipales 2008 à Faucon-du-Caire sur linternaute.com
- Site de la préfecture des AHP
- (fr) Communauté de Communes de La Motte du Caire - Turriers sur pays-sisteronais-buech.fr
- (fr) Le Pays Sisteronais-Buëch sur pays-sisteronais-buech.fr
- notice communale de Faucon-du-Caire sur la base de données Cassini, consultée le 25 juillet 2009 EHESS,
- (fr) Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence, Ministère de la Justice et des Libertés
- (fr) Impots locaux à Faucon-du-Caire, taxes.com
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- Population municipale au 1er janvier 2006, consulté le 11 janvier 2009 Insee,
- Historique des populations par commune depuis le recensement de 1962 (fichier Excel), mis à jour en 2010, consulté le 21 juillet 2010 Insee,
- (fr) Populations légales 2008 de la commune de Faucon-du-Caire, INSEE
- Faucon-du-Caire sur le site de l'Insee
- (fr) Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence, Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
- (fr) Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 8 novembre 2004
- (fr) Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence, Académie Aix-Marseille, 2010
- (fr) Site de la cité scolaire Paul Arène, Académie Aix-Marseille, 2010
- centre hospitalier de Gap Sisteron
- Santé à La Motte du caire
- (fr) Liste des appellations AOC et IGP à Faucon-du-Caire sur INAO
- Site légifrance relatif à la parution au JO de l'arrêté du 30 juillet 2009
- Les apiculteurs en Provence
- La transhumance des ruches provençales
- Site officiel de l'agneau de Sisteron
- Homologation agneau de Sisteron du 3 janvier 2005
- IGP de l'Union européenne en date du 15 février 2007
- Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 751.
- (fr) Les Pommes des Alpes de Haute-Durance obtiennent l'IGP, INAO, 19 avril 2010
- (fr)Fiche INAO de l'IGP Pommes des Alpes de Haute-Durance, INAO, 17 avril 2010
- op. cit., p 389-390 Raymond Collier,
- Journal télévisé de 13h de TF1, lundi 10 mars 2008.
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
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Catégorie :- Commune des Alpes-de-Haute-Provence
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