- Châteauroux
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Cet article concerne la préfecture de l'Indre. Pour la commune des Hautes-Alpes, voir Châteauroux-les-Alpes.
Châteauroux
L’hôtel de ville.Administration Pays France Région Centre Département Indre
(préfecture)Arrondissement Châteauroux
(chef-lieu)Canton Châteauroux-Centre, Châteauroux-Est,
Châteauroux-Ouest, Châteauroux-Sud
(chef-lieu des quatre cantons)Code commune 36044 Code postal 36000 Maire
Mandat en coursJean-François Mayet
2008-2014Intercommunalité Communauté d'agglomération castelroussine Site web www.ville-chateauroux.fr Démographie Population 46 026 hab. (2008) Densité 2 369 hab./km² Aire urbaine 90 573 hab. (1999) Gentilé Castelroussins Géographie Coordonnées Altitudes mini. 154 m — maxi. 164 m Superficie 19,43 km2 Châteauroux
est une commune française, située dans le département de l'Indre, en région Centre.
Géographie
Situation
La commune est située dans le centre du département dans la région naturelle de la Champagne berrichonne.
Hydrographie
Le territoire communal est traversé par les rivières Indre et Ringoire. La Ringoire rejoint sont confluent (L'Indre) sur le territoire de la commune.
Quartiers de la commune
Voici les différents quartiers[1] qui composent la ville :
- Saint-Denis ;
- Le Fontchoir ;
- Bitray ;
- L'Omelon ;
- Les Nations ;
- La Belle Etoile ;
- Les Fadeaux ;
- Le Buxerioux ;
- Saint-Jean-Le-Lac ;
- Touvent ;
- Les Grands-Champs ;
- Cré ;
- La Loge ;
- Les Méraudes,
- Beaulieu, ;
- La Pointerie ;
- La Bourie ;
- Notz ;
- Saint-Jacques ;
- Le Grand Poirier ;
- La Brauderie ;
- Les Chevaliers ;
- Saint-Christophe ;
- Les Rocheforts ;
- Vaugirard ;
- Belle Isle ;
- Centre Ville ;
- Les Marins.
Communes proches
Communes limitrophes :
Les agglomérations[2] voisines :
- Issoudun (30 km) ;
- La Châtre (38 km) ;
- Le Blanc (58 km) ;
- Vierzon (62 km) ;
- Bourges (67 km) ;
- Loches (69 km) ;
- Saint-Amand-Montrond (70 km) ;
- Romorantin-Lanthenay (96 km) ;
- Montluçon (98 km) ;
- Châtellerault (98 km).
Les grandes communes[3] :
- Poitiers (121 km) ;
- Tours (121 km) ;
- Limoges (123 km) ;
- Orléans (137 km) ;
- Clermont-Ferrand (205 km) ;
- Paris (258 km) ;
- Toulouse (409 km).
Transports et voies de communications
Réseau routier
Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 40, 81, 101, 151, 920, 925, 943, 956 et 990.
Desserte ferroviaire
La ligne des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon passe par le territoire communal. La commune possède une gare ferroviaire sur cette ligne.
Bus
Le territoire communal est desservi par :
- les lignes 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 15, A, B, F1, F2 et F3 du réseau de bus Horizon ( accès au réseau gratuit dans toute la métropole ) ;
- les lignes A, B, D, F, I, N, Q et S du réseau de bus L'Aile Bleue ;
- les lignes Ter Centre :
- Châteauroux ↔ Tours,
- Châteauroux ↔ Le Blanc ↔ Poitiers,
- Châteauroux ↔ Bourges.
Aéroport
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre situé à environ 6 km.
Sentier de randonnée
Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée 46.
Réseau électrique
La commune possède deux postes sources[4] sur son territoire Madron dans le quartier de Beaulieu et Mousseau dans le quartier de Buxerioux. Ils sont principalement approvisionnés par des lignes 90 et 225 kV, venant du barrage d'Éguzon.
Histoire
Héraldique
Les armes de Châteauroux se blasonnent ainsi :
D'azur au château flanqué de deux tours d'argent, maçonné, ajouré et ouvert de sable, éssoré de gueules et girouétté d'or.Toponymie
- Le château de Raoul
Châteauroux[5] doit son nom à son fondateur, Raoul le Large, fils d'Ebbes-le-Noble, prince de Déols, qui, au XIe siècle, quitta le bourg héréditaire, berceau de sa famille et capitale de ses domaines, pour un château qu'il fit construire à quelques lieues, sur un monticule abrupt plongeant dans les eaux de l'Indre. Autour, vinrent se grouper des habitations qui, plus tard, formèrent la ville.
- Rue de la Catiche à Châteauroux
Une catiche (du vieux verbe français « se catir », se coucher en rond) est un lieu où se tapissaient les loutres.
- Allée de la Grosse Éraine
« Éraine » dériverait du patois berrichon et signifierait « araignée » ou « reinette ».
Moyen Âge
Châteauroux a été précédée dans l’histoire par Déols. La présence gallo-romaine y est attestée par des pierres sculptées, des monnaies de la céramique, des urnes. Vers 937, le seigneur Raoul le Large délaissa son palais de Déols, en raison de l’insécurité, ou pour doter l’abbaye fondée en 917. Il fit bâtir une forteresse sur un coteau de la rive gauche de l’Indre. À partir de 1112, ce château fut nommé « château Raoul », en raison du prénom fréquent chez les seigneurs de Déols. La période féodale vit naître à l’abri de cet emplacement fortifié une bourgade d’artisans et de commerçants[6]. Les seigneurs de Châteauroux sont puissants : leur « principauté » couvre les deux tiers de l’actuel département de l’Indre[7] ; au XIe siècle, ils ont leur propre monnayage[8].
Le château et le bourg sont pris par Philippe Auguste en 1188[9]. À cette époque, la ville connaît déjà une activité drapière importante, avec un moulin à foulon depuis quelques décennies[10]. Toute l’activité textile se concentre le long de l’Indre, qui apporte sa force motrice, et une baronnie régie par ses propres coutumes se crée (actuelle rue de l’Indre)[11]. Cette production est réglementée contres les fraudes externes (les drapiers de l’extérieur de Châteauroux vendant leurs pièces de tissu comme fabriquées à Châteauroux) et internes (les drapiers castelroussins étirant parfois leurs rouleaux de tissu pour vendre une plus grande longueur), et vendue lors de la grande foire annuelle[12].
À la fin du XIIIe siècle, le château fut l’un des enjeux de la lutte entre roi de France et roi d’Angleterre. Le dernier seigneur du nom de Déols était mort en 1176 en revenant de croisade. La « principauté » de Déols, qui s’étendait du Cher à la Gartempe, échoyait à une fillette de cinq ans, Denise de Déols, laquelle fut menée en Angleterre. En 1188, Philippe Auguste put s’emparer par surprise du château Raoul, et il fallut attendre 1200 pour qu’un traité reconnût au roi la suzeraineté de la terre de Déols. Denise et son mari firent une entrée solennelle dans leur château.
La guerre de Cent Ans apporta l’insécurité. En 1356, le Prince Noir, fils du roi d’Angleterre, n’ayant pu prendre le château Raoul, fit brûler la ville. Des pillages eurent lieu en 1374. Il fallut fortifier la cité, ce qui fut autorisé par le roi en 1447. Le château Raoul fut reconstruit à cette époque.
Époque moderne
En 1498, la baronnie de Châteauroux devint comté. Mais en 1503 survint le décès d’André III de Chauvigny et la succession conduisit en 1519 à l’attribution du château Raoul à la Maison de Maillé, et du château du Parc à celle d’Aumont. Les contestations entre les héritiers ne prirent fin qu’en 1612 quand Henri de Bourbon, prince de Condé, acheta les deux lots. Il obtint en 1627 que la seigneurie fût duché-pairie. Son fils, le Grand Condé, ne s’occupa guère de son patrimoine, sauf pour y envoyer son épouse en résidence surveillée pendant vingt-quatre ans. Louis XV acquit le duché en 1737 et en fit don en 1743 à la marquise de Tournelle.
Madame de Châteauroux mourut l’année suivante sans avoir pu faire son entrée solennelle dans sa ville. L’administration royale fut bénéfique pour Châteauroux avec la création, en 1751, de la Manufacture de draps et le nouveau tracé de la route Paris - Toulouse. Des promenades furent créées (actuelles places Gambetta et La Fayette). De belles demeures furent édifiées.
Depuis la Révolution française
La Révolution fit de Châteauroux, qui comptait alors 8 000 habitants, le chef-lieu du département. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Indrelibre puis Indreville[13].
Au début du siècle dernier, la reprise de la manufacture de draps et la création d’ateliers des équipages militaires assurèrent du travail à une population ouvrière et militaire. En 1847, le chemin de fer arriva, et, avec lui, un nouvel essor de la cité.[réf. nécessaire] La même année, la cherté du grain provoque des émeutes dans tout le département, notamment à Buzançais, et à Châteauroux même[14]. En 1851, la cité compte 15 921 habitants. Elle a rasé ses murs, ses portes et même le donjon du château et s'est dotée, aux limites de son octroi, d'une vaste ceinture de boulevards. Elle est encore bien loin d'occuper tout cet espace et l'hôtel de ville de 1821, néoclassique, contemplant le Châteauroux de l'époque, tourne aujourd'hui le dos à sa ville.[réf. nécessaire]
L'année 1856 est décisive à deux titres. Châteauroux inaugure alors des unités industrielles de production. Un député de l'Indre, le comte Eugène de Bryas, obtient l'ouverture à Châteauroux d'ateliers de cigares qui emploient huit cents personnes dès l'année suivante. En 1872, la population dépasse 18 000 habitants. Édifiée de 1858 à 1863, La Manufacture des Tabacs compte en 1873, 70 cadres, 82 ouvriers et … 1 580 ouvrières. La Manufacture des Tabacs achevée en 1863, les deux brasseries, les deux fonderies, des ateliers de confection faisaient déjà de Châteauroux une ville industrielle.
Un industriel de Lodève Jean Pierre Balsan, rachète le 10 avril 1856, la Manufacture du Parc et crée un ensemble parmi les plus importants - six hectares d'usine - et les plus modernes du pays. Renouvelant une industrie du drap aux fondations médiévales, il dote Châteauroux de son deuxième géant économique et emploie huit cents ouvriers en 1872. Sur une population de vingt-cinq mille habitants, trois mille sont employées en 1900 par le comte Eugène de Bryas et mille deux cents le sont par Pierre Balsan (chiffres de 1910).
Les deux dernières guerres ont précipité le développement de la cité. Une usine d’aviation installée en 1936 à Déols et une importante base américaine à la Martinerie, créée entre 1951 et 1967, ont entraîné la construction de cités, de résidences et de maisons individuelles. Aujourd’hui, la création de nouveaux quartiers et de zones de loisirs, la restructuration de la ville, le fleurissement confèrent à Châteauroux son caractère agréable et digne d'une ville de Préfecture[15].
Administration
Maires
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1765 1768 Léon Crublier de Chandaire 1769 1771 Savary Destournet 1772 1775 François Bonjouan de la Varenne 1776 1790 Louis-Joseph Bertrand de Greuille 1790 1790 M. Cartier 1791 1791 Armand de Buchepot 1791 1791 Étienne Rochoux 1792 1792 Mathurin Crochet fils 1793 1793 Louis Blanchard Gallas 1794 1794 M. Crublier-Chandaire 1794 1794 Antoine-Joseph Lecapelain 1794 1794 Gisbert Desjobert 1795 1795 Antoine Claveau Martineau 1796 1796 M. Duris-Dufresne 1797 1797 Robert et Duris Boulimbert 1797 1797 M. Champois 1797 1797 M. Caprais-Devaux 1798 1798 M. Claveau-Martineau 1799 1799 Henry Bertrand 1800 1806 Pierre Aucapitaine 1806 1814 M. Grillon-Villeclair 1815 1815 André Bertrand 1815 1821 Jacques Grillon-Brauderie 1821 1830 Louis Girard 1830 1832 François Godard 1832 1834 Amador Grillon 1834 1846 Eugène Victor Adrien Grillon 1846 1847 Jean-Baptiste Testaud-Marchain 1847 1847 Pierre-Théophile Trumeau 1848 1848 Eugène Victor Adrien Grillon Député à la constituante 1848 1848 Paul-Joseph Rue 1848 1848 Henry Charlemagne 1849 1860 Paul-Henry Bertrand 1860 1865 Raoul Charlemagne Majorité dynastique Député de l'Indre[16] 1865 1870 Paul-Joseph Rue 1870 1870 Auguste Balsan 1871 1875 M. Matheron 1875 1875 M. Suard 1876 1880 A. Tollaire-Desgouttes 1880 1880 M. Tissier 1881 1881 M. Patureau-Baronnet 1882 1900 M. Patureau-Francoeur 1900 1908 Joseph Bellier 1908 1908 Joseph Patureau-Mirand 1909 1909 Auguste Hidien 1909 1919 Ernest Courtin 1919 1919 Alexandre Plat Faisant fonction 1919 1925 Jules Amirault 1925 1936 Joseph Bellier 1936 1941 Louis Deschizeaux 1941 1944 Émile Daumain 1944 1944 Pierre Chaumeil 1945 1947 Pierre Gautier PCF 1947 1959 Édouard Ramonet Radical 1959 1967 Louis Deschizeaux DVG 1967 1971 Gaston Petit SFIO 1971 1989 Daniel Bernardet UDF Député de l'Indre 1989 2001 Jean-Yves Gateaud PS Député de l’Indre 2001 en cours Jean-François Mayet[17] UMP Sénateur de l’Indre Toutes les données ne sont pas encore connues. Services publics
La commune dispose des services suivants :
- une préfecture ;
- un palais de justice ;
- un centre pénitentiaire (Le Craquelin) ;
- un hôtel des finances ;
- un hôtel des impôts ;
- deux trésor public ;
- six bureaux de postes ;
- un office de tourisme[18] ;
- une police municipale ;
- un commissariat de police ;
- une gendarmerie nationale ;
- un centre de secours principal ;
- un centre hospitalier[19] (Samu 36 et Smur 36[19]) ;
- un centre d'entretien et d'exploitation des routes du conseil général de l'Indre[20] ;
- un point d'appui (dépôt) de la direction interdépartementale des routes centre-ouest (DIRCO)[21].
Démographie
Évolution démographique
En 2008, Châteauroux comptait 46 026 habitants (soit une diminution de 7 % par rapport à 1999). La commune occupait le 138e rang au niveau national, alors qu'elle était au 113e en 1999, et le 1e au niveau départemental sur 247 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Châteauroux depuis 1793.
Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par loi du 27 février 2002, dite loi de démocratie de proximité[22], afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises.
Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1e janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006[23].
Le maximum de la population a été atteint en 1975 avec 53 429 habitants.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (24,6 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (29,3 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,6 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 46,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 17,8 %, 15 à 29 ans = 20,1 %, 30 à 44 ans = 20,6 %, 45 à 59 ans = 20,6 %, plus de 60 ans = 21 %) ;
- 53,6 % de femmes (0 à 14 ans = 15,2 %, 15 à 29 ans = 18,7 %, 30 à 44 ans = 18 %, 45 à 59 ans = 20,4 %, plus de 60 ans = 27,7 %).
Climat
Les données climatiques à Châteauroux de 1893 à 2005 (cliquer sur la carte de France).
Économie
- Châteauroux est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de l'Indre.
- La ville a été récompensée par quatre fleurs et la distinction Grand prix au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris[29].
- Le Châteauroux Business District[30] devrait ouvrir d’ici 2012, afin de relancer la croissance économique et de l'emploi de la région. Des investisseurs chinois devraient s'y installer. Toutefois des questions demeurent quant aux avantages qu'en tireraient la ville.
Enseignement
Sport
Élue 3e ville la plus sportive de France lors du "Challenge l'Équipe" en 1997, Châteauroux offre la possibilité aux 12 500 licenciés des 137 associations sportives et sections omnisports de pratiquer 52 disciplines dans plus de 70 équipements sportifs mis à leur disposition.
Avec 52 disciplines et 137 associations, la population castelroussine n'a que l'embarras du choix en ce qui concerne les activités sportives amateurs ou professionnelles. Ce large éventail permet à plus de 12 500 licenciés d'exercer les activités de leur choix. Afin de soutenir la pratique sportive de haut niveau, la Ville signe tous les ans un « contrat d'objectifs » avec six grandes formations sportives. Au-delà du plaisir, du bien-être et de l'esprit de compétition qui en émanent, le sport est aussi synonyme d'image de marque d'une ville. L'organisation de rencontres sportives de renommée nationale est régulière à Châteauroux : Tournoi International Féminin de Basket de l'ASPTT tous les ans, Championnat de France de Tir à l'Arc en 1994, Ville-départ du Paris Nice en 1996, Tennis Tour et France Basket Tour en 1997, Ville-étape du Tour de France en 1998, Adidas Kid Foot en 1998, Championnats de France de Roller en 1999, Coupe de France de triathlon et de duathlon en 2004, 2005 et 2006 et tout dernièrement le Championnat de France de pétanque des pompiers et le Trophée Pétanque Canal Plus.
Les équipements traditionnels :- dix gymnases omnisports permettent à chacun de pratiquer, dans son quartier, son sport favori : Basket, Hand, Volley, Tennis, Badminton etc ;
2 clubs de Basket évoluent au niveau National : la Berrichonne avec une équipe féminine en Nationale 2, le CBC 36 avec une équipe masculine en Nationale 3.
- vingt-trois stades qui permettent aux amateurs de football, de rugby et de football-Américain, d'applaudir leurs équipes favorites. Pour accueillir les rencontres de football de 1re division, la ville de Châteauroux a fait agrandir le stade Gaston Petit à 17 500 places ;
Un club de football évolue au niveau National avec 4 équipes à ce niveau : la Berrichonne, une équipe en Ligue 2 ( finaliste de le Coupe de France en 2004), une équipe en CFA2, une équipe de moins de 18 ans nationaux, une équipe de moins de 16 ans nationaux et une de 14 ans fédéraux. De nombreux joueurs issues du centre de formation de la LBC jouent actuellement en 1re division comme Razak Boukary, Sébastien Roudet ou même Florent Malouda actuel milieu latéral de Chelsea, et joueur titulaire de l'équipe de France. De jeunes pousses jouent actuellement en équipe de France dans les catégories de jeunes comme Lamine Koné et Bakary Sako qui évolue en équipe de France des moins de 19 ans, Gilles Sunu capitaine de l'équipe de France des moins de 16 ans partit finir sa formation à ARSENAL .
- un club de rugby : le R.A.C.C. qui évolue en fédéral 2.
- un club de football américain, "Les ORCS" évolue en division professionnelle ;
- une équipe de triathlon 3e de la dernière Coupe de France ;
- une équipe de duathlon qui a remporté la Coupe de France en 2005 ;
- vingt-cinq courts de tennis couverts ou en plein air permettent à tous d'apprécier et de pratiquer ce sport toute l'année sur surface en dur ou sur terre battue comme à l'ASPTT Châteauroux ou aussi au comité de l'Indre de tennis.
Les équipements spécifiques :- huit salles de sports pour pratiquer : escrime, boxe française, boxe anglaise, karaté, judo, haltérophilie, musculation, gymnastique, skate, mur d'escalade, tennis de table ;
- trois piscines : une piscine couverte été hiver ; une piscine d'été ; une piscine à vagues ;
- un complexe de Motocross et d'autocross «Les Tourneix» où chacun peut s'essayer aux sports mécaniques ;
- un salle de skate et de roller avec pistes de skateboard et de roller indoor et outdoor ;
- les terrains à ciel ouvert : hippodrome, boulodrome, pistes de voitures téléguidées, pistes d’aéromodélisme, plateau EPS, équipements de proximité ;
- un plan d'eau de 8 hectares sur le superbe site de Belle-Isle, où l'on peut pratiquer les sports nautiques, la baignade et la pêche.
Lieux et monuments
- Château-Raoul : sur les bords de l'Indre qu'il domine, ce château des seigneurs de Déols Xe siècle a donné son nom à la ville. Il fut reconstruit au XVe siècle, et restauré au XIXe siècle.
- Musée du Compagnonnage[33].
- Le musée Bertrand : dans un ancien hôtel du XVIIIe siècle ayant appartenu au général Bertrand, se trouvent des collections napoléoniennes, des souvenirs du général Desaix, de bons specimens de peinture flamande du XVIIe siècle, et des écoles régionales de peinture et de sculpture XIXe-XXe siècle, dont le sculpteur Ernest Nivet.
- Le musée des Arts et Traditions Populaires, situé au cœur du parc Balsan, regroupe des collections basées sur le thème de la culture berrichonne, ainsi que sur la vie rurale en Berry. Photographies, gravures, coiffes, objets en tout genre, font renaître la vie des paysans d'antan, au cœur de cette province de France.
- La maison du Berry, arts et traditions populaires.
- Le couvent des Cordeliers : ancien couvent franciscain du XIIIe siècle, il héberge aujourd'hui une partie de l'école des Beaux-arts et des expositions d'art contemporain. Situé dans la partie historique de la ville et dominant la vallée de l'Indre, c'est un lieu de promenade agréable.
- L'église Saint-Martial : située à deux pas du Musée Bertrand, l'église Saint-Martial est une curiosité de la ville de Châteauroux qui mérite le détour. Dépendant de la paroisse Saint-Denis, elle fut construite au XIIe siècle. C'est une nef unique d'origine romane couverte d'un berceau de bois, éclairée de baies tréflées ouvertes dans une arcature du chevet plat. Son clocher de style Renaissance, édifié par un bourgeois de Châteauroux, Pierre Vurignon, date des dernières années du XVe siècle. Cette église cache dans ses murs des lithographies découvertes lors de travaux de réfection de l'autel en 1960. Situées à gauche de l'autel, ces lithographies comportent des inscriptions latines sculptées en caractères romains. À cette architecture, s'ajoute un trésor artistique datant du XVe siècle avec des raretés telles que des statues en bois peint, représentant Saint-Denis, Saint-Thomas, la Vierge, Jésus … Au XVIIIe siècle, cette église abritait la Confrérie de Saint-Blaise qui groupait "les Tixiers" en drap. Jadis, la petite place de l'église Saint-Martial accueillait traditionnellement les feux de la Saint-Jean.
- L'église Saint-André : en 1876, alors que les Berrichons sont en deuil (George Sand vient de mourir à Nohant), la ville de Châteauroux voit la consécration de l'église Saint-André, aboutissement de longues années d'efforts et d'interruptions de travaux. En effet, l'idée de l'édification remonte à l'année 1844 lorsque M. Grillon, alors maire de la Ville, décide la reconstruction de l'église Saint-André détruite à la fin du XVIIIe siècle et située à l'emplacement des halles actuelles, place Monestier. C'est en 1845, après un vote du Conseil Municipal, que commencent les travaux sur la place devenue ensuite Place Voltaire. En 1869, après vingt ans d'interruption, la construction reprend, sur la base d'un nouveau projet de l'architecte départemental de l'Indre, Alfred Dauvergne. Située plus au nord de la place qu'envisagé lors du premier projet, l'église est conçue notamment à partir d'études réalisées pour l'église (devenue basilique) Sainte Clotilde de Paris (VIIe arr.). La guerre de 1870 vient une nouvelle fois arrêter les travaux de l'église Saint-André. Ainsi, c'est seulement en 1876 que l'édifice montre son visage définitif aux Castelroussins. Malgré des moyens réduits, l'église Saint-André présente un intérêt artistique certain. Des dessins d'Isidore Meyer viennent compléter les plans de l'architecte Dauvergne et l’industrie locale a profité de cette construction. En effet, tout l'intérieur est construit en granit du pays pour les soubassements et en pierre de taille des carrières d'Ambrault pour les œuvres en élévation. Les deux tours atteignent soixante mètres de hauteur. La longueur totale de l'édifice est de 87 mètres et peut contenir 3000 personnes. D'un point de vue architectural, l'église principale de Saint-André est de style gothique.
- L’église Notre-Dame : elle a été construite sur le fossé d’enceinte de l’ancien Château-Raoul en 1882. Malgré sa situation désavantageuse (elle a été édifiée sur un terrain bas), cet édifice garde tout son charme avec son style inspiré de l’église romane d’Issoire et ses détails architecturaux remarquables. En effet, des chapiteaux s’élèvent successivement et ceux de l’intérieur représentent chacun une scène différente de l’écriture sainte (elles ont été exécutées par M. Girault-Dupin, sculpteur à Châteauroux). L’église Notre-Dame comporte également un chœur avec des colonnes de marbre et une coupole surmontée d’une Vierge en bronze doré.
- L’église Saint-Joseph.
- Le Centre Paroissial Saint-Jacques : construit en deux temps entre le milieu des années 1970 (logement de fonction + 1re chapelle, actuelle salle de réunion) et le début des années 1980 (chapelle actuelle), le Centre Paroissial Saint-Jacques est implanté au cœur du quartier du même nom (Saint-Jacques / le Grand Poirier). Son architecture est représentative des centres paroissiaux construits à cette époque dans les nouveaux quartiers en périphérie des villes (Cf. relais Saint Jean Baptiste à Bourges). Dépend de la paroisse des Saints-Apôtres.
- L’église Saint-Thérèse.
- L’église Saint-Jean.
- Le conservatoire de musique de Châteauroux.
- Le quartier Saint-Christophe : il renferme une histoire généreuse et ne cesse d’évoluer au fil des siècles. Ce quartier fut longtemps dominé par l’abbaye bénédictine fondée par les moines de Saint-Gildas-de-Rhuys en 1127. Hélas, cet édifice fut démoli et abandonné. Mais au XVe siècle se créa une agglomération autour d’une modeste église, ce qui redonna naissance au quartier Saint-Christophe. Quelques vestiges de l’ancienne abbaye bénédictine de Saint-Gildas sont à découvrir près du Colombier dans la rue de la Fuie ou dans la rue des Jeux Saint-Christophe. Le quartier accueille chaque année de traditionnelles manifestations telles que la fête des Vignerons (Saint-Vincent) et le pèlerinage automobile créé par l’abbé Paviot (figure légendaire du quartier). Celui-ci fit sculpter une statue monumentale de Saint-Christophe sur le parvis de l’église et la plaça au-dessus du portail au début du siècle. Ses successeurs maintiennent le pèlerinage automobile mais l’ont déplacé sur le mail Saint-Gildas.
- Ville fleurie : la cité castelroussine est une des plus belles villes fleuries de France (Distinction : "Quatre fleurs").
- La Prairie Saint-Gildas : à deux pas du centre-ville, offre un site naturel privilégié où l’on peut apercevoir hérons, chauve-souris et ragondins.
- Équinoxe : médiathèque et scène nationale, avec une programmation à la fois riche et variée (théâtre, danse contemporaine, mais aussi jazz, chanson, lectures) résultant de l'importante politique culturelle dédiée à la seule grande scène de la ville. Équinoxe accueil aussi le festival du clown : "La barrière de dégel" en janvier.
- Le Tarmac : sorte de Zénith (car non homologué comme tel) de Châteauroux qui a ouvert ses portes fin d'année 2007.
Activités festives
Avril
- L'Envolée des Livres de Châteauroux
La Ville de Châteauroux accueille tous les ans, plus d'une centaine d'auteurs dans le Couvent des Cordeliers. Des expositions, des conférences, des animations autour du livre ont lieu durant ce week-end où se déroule la plus grande manifestation littéraire de l'Indre. En 2006, c'est Irène Frain qui était la marraine du salon et en 2010, c'est Frédéric Vitoux de l'Académie Française qui a présidé cette édition de l'Envolée des Livres.
Juin- Vendredi… Musique .
Tous les vendredis, concerts gratuits sur la Place de la République organisés sous l’égide de l’École Nationale de Musique et de Danse.
- Festival Multirythmes
Festival inter-ethnies : expositions, soirées interculturelles, repas de quartiers, tournois sportifs, tremplin musique, théâtre, fête des associations. 30 associations de Châteauroux se réunissent avec l’envie de faire la fête ensemble et de partager avec tous, France, Portugal, Maroc, Turquie, Sénégal, Algérie, Antilles, Viêt Nam.
- Festival populaire du Folklore
C’est l’occasion de se souvenir ou de s’initier aux danses traditionnelles, avec les costumes du Berry dans le Parc Balsan, avenue François Mitterrand.
- Rock à Belle-Isle
Festival des musiques nouvelles, concerts gratuits offerts par la ville dans la plaine de Belle-Isle pour animer les soirées de l’été.
Août- Stage festival de danse de Châteauroux (DARC)
Le stage Festival international fête son 30e anniversaire cet été. 30 disciplines enseignées et 8 spectacles La recette de sa longétivité : près de cinq cents stagiaires venus de tous les horizons, même au-delà de nos frontières, plus de vingt disciplines (danse classique, modern jazz, claquettes, danses de salon, hip hop …) enseignées par des professionnels ; un festival pour la plupart gratuits et en point d’orgue, un grand spectacle auquel participent tous les stagiaires en fin de stage.
- La Châteauroux Classic de l'Indre Trophée Fenioux
L'un des derniers dimanche du mois d'août, chaque année, l'association de La Petite Reine Fenioux organise avec l'aide de plus de 800 bénévoles, une course cycliste professionnelle.
- La Biennale de Céramique contemporaine
Accueillie au Couvent des Cordeliers, cette exposition de renommée internationale présente, en juillet et en août tous les deux ans, de jeunes céramistes français et étrangers. En alternance avec la Biennale se tient une grande exposition d’art contemporain. La prochaine Biennale aura lieu en juillet-août 2001.
Septembre- Forum des associations
Tous les 2 ans, 250 associations de l'agglomération castelroussine se réunissent dans le Hall des Expos de Belle-Isle pour présenter leurs activités.
Novembre- Les Litztomanias
Manifestation internationale de musique classique, elle réunit chaque année les adeptes du genre, au travers de concerts et de représentations se déroulant dans toute la ville.
- Le 10 mars 1996, la commune a accueilli le départ de la 1re étape de la course de cyclisme Paris-Nice 1996.
- Le 16 juillet 1998, la commune a accueilli l'arrivée de la 5e étape du Tour de France 1998 de cyclisme.
- Le 9 juillet 2008, la commune a accueilli l'arrivée de la 5e étape du Tour de France 2008 de cyclisme.
- Le 8 juillet 2011, la commune a accueilli l'arrivée de la 7e étape du Tour de France 2011 de cyclisme.
Jumelages
Gütersloh (Allemagne) depuis 1977, à l'initiative notamment d'anciens prisonniers de guerre des deux cités
Bittou (Burkina Faso) depuis novembre 1985
Olsztyn (Pologne) depuis le 23 février 1991
Pèlerinage
Étape précédente
DéolsPèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle
Via LemovicensisÉtape suivante
VellesGarnison
De 1940 à 1942, les unités de l’armée d'armistice cantonnées à Châteauroux sont[34] :
- le 32e régiment d’infanterie, régiment de Touraine ;
- le 8e régiment de cuirassiers, régiment de Lorraine ;
- le 89e groupe de transmissions.
- le 14e régiment de tirailleurs algériens est une unité coloniale de l'armée française.
Personnalités liées à la commune
- Jean Lauron, poète (1560-1620).
- Eudes de Châteauroux, légat du pape à l'armée des Croisés, sous Saint-Louis, évêque de Tusculum, mort en 1273 à Orvietto.
- Dom Placide Porcheron, bénédictin de Saint-Maur, historien et géographe, 1652-1694.
- Jean Cousturier, directeur du grand séminaire de Paris, 1688-1770.
- Claude Guimond de La Touche, poète et dramaturge (1723-1760) : fils du procureur du roi au bailliage de Châteauroux. Auteur d'Iphigénie en Tauride.
- Henri Crublier d'Opterre(1739-1799), général des armées de la République.
- Guillaume Boëry (1742-1822), député du Berry et de l'Indre pendant la Révolution et le Premier Empire, décédé à Châteauroux.
- Jérôme Legrand (1746-1817), député du Berry et de l'Indre pendant la Révolution française et le Ier Empire, mort à Châteauroux.
- Joseph Dupertuis (1793-1839), magistrat à Châteauroux, député de l'Indre à l'Assemblée législative de 1791-1972, conseiller municipal de Châteauroux, décédé dans cette ville.
- Henri Gatien Bertrand, (1773-1844), général d’Empire, fidèle à Napoléon Ier.
- Pierre Leroux, journaliste fondateur du "Globe", né et mort à Paris (17 avril 1797–12 avril 1871).
- François Rollinat (1806-1867), avocat à Châteauroux, député de l'Indre pendant la Deuxième République, ami de George Sand, mort à Châteauroux.
- Napoléon Chaix, imprimeur, inventeur de l'indicateur horaire des trains (1807-1865).
- Henri Barboux, avocat et homme politique (1834-1910).
- Maurice Rollinat (1846-1903), poète, né à Châteauroux ; il est enterré avec son père François Rollinat au cimetière Saint-Denis de Châteauroux.
- Adolphe Combanaire, voyageur et essayiste (1859-1939) : né Place Lafayette en 1859 de parents aubergistes – mort rue Lamartine en 1939. A la suite de ses nombreux voyages à l’étranger, il se consacra à la rédaction de ses souvenirs qui furent publiés dans de nombreux ouvrages au style assez percutant et tranché (!) : Au pays des coupeurs de tête - Mensonges et vautours coloniaux - Châteauroux pendant la guerre de 1870/71.
- George-Albert Aurier, poète et critique d'art (1865-1892).
- Fernand Maillaud, peintre (1862-1948) Né à Mouhet (Indre) en 1862, décédé à Paris en 1948, inhumé à Guéret. À 25 ans, il se consacre à la peinture et commence d’être connu en 1894. Diverses expositions particulières en 1899-1900 consacrent la notoriété de cet artiste qui demeurera toujours attaché à sa terre natale.
- Ernest Nivet, sculpteur (1871-1948).
- Bernard Naudin, peintre (1876-1946), né le 11 novembre 1876, il grandit place Sainte–Hélène. Dessinateur, peinture et graveur il devint vite un artiste estimé et reconnu. Décédé en 1946 à Paris.
- Gabriel Nigond, écrivain (1877-1937).
- Adrien Henry, (colonel) résistant[35] (1888 - 1963), il participe activement à la Résistance dans le département de l'Indre.
- Robert Barriot, peintre, émailleur, sculpteur (1898-1970).
- Émile Goué, compositeur (1904-1946).
- Abbé Paviot, fondateur du pèlerinage annuel des automobiles. Curé de Saint-Christophe de 1919 à 1935, mort avant la Seconde Guerre mondiale à l'âge de soixante-quinze ans. Fondateur de la confrérie de St. Christophe.
- Édouard Ramonet, homme politique (1909-1980).
- Louis Suard, architecte de la « belle Époque » qui signa un grand nombre de constructions au style très marqué. Figure très connue dans le département de l'Indre. Il disparut dans les années 1957/58.
- Jacques Coquillay, sculpteur et pastelliste (né en 1935).
- Gérard Depardieu, acteur (né en 1948).
- Jack Claude Nezat, auteur (né en 1943).
- Max Ploquin, médecin, promoteur de l’accouchement sans douleur en France.
- Sylvie Germain (née en 1954), écrivaine.
- Christine Angot (1959 - ), écrivaine née à Châteauroux.
- Ovidie (1980 - ), écrivaine et actrice ; a étudié à Châteauroux.
Films, téléfilms et séries télévisées ayant été tournés à Châteauroux
- 1987 : Châteauroux district, film de Philippe Charigot, sorti en salle le 12 août 1987.
- 2010 : L'Ordre et la Morale, film de Mathieu Kassovitz, quelques scènes tournées en intérieur et en extérieur, dans une rue du quartier Saint Jacques, dans un décor rappelant une cité militaire.
Notes et références
- Les quartiers de Châteauroux sur le site officiel de la commune.
- Les distances des agglomérations par rapport à la commune de Châteauroux sur Mappy.
- Les distances des grandes communes par rapport à Châteauroux sur Mappy.
- La Nouvelle République (Édition du 28/10/2009).
- Dictionnaire historique de L'Indre, Eugène Hubert, 1890.
- Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 11.
- Berry médiéval, p. 11.
- Berry médiéval, p. 12.
- Berry médiéval, p. 13.
- Christine Méry-Barnabé, De la manufacture royale de draps à l’usine Balsan, catalogue de l’exposition Châteauroux et les cités lainières d’Europe, Archives municipales de Châteauroux, 2010, p. 17.
- Christine Méry-Barnabé, op. cit., p. 18.
- Christine Méry-Barnabé, op. cit., p. 19.
- Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, mis en ligne en 2002 [1], consulté le 18 novembre 2008.
- Bernard Moreau, Marianne bâillonnée : les républicains de l’Indre et le coup d’État du 2 décembre 1851, Chaillac : Points d’Æncrage, 2002. 109 p., ISBN 2-911853-05-9, p. 9.
- Renseignements tirés de l'ouvrage «Châteauroux d'Hier et d'Aujourd'hui», page 13.
- Assemblée nationale, base de données historique des députés françàais depuis 1789.
- Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture de l'Indre.
- Office de Tourisme communautaire de Châteauroux Sud Berry.
- Site officiel du centre hospitalier de Châteauroux.
- Carte de la viabilité hivernale du conseil général de l'Indre.
- Carte des centres d'entretiens et d'interventions de la DIRCO.
- Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V "des opérations de recensement".
- Par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements que les populations correspondant aux années 2006, 2011, 2016, etc ainsi que la dernière population légale publiée par l’INSEE. Dans le graphique sont par contre représentés l’ensemble des populations légales connues.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 23 juillet 2011.
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 23 juillet 2011.
- Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee. Consulté le 23 juillet 2011.
- Évolution et structure de la population à Châteauroux en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 23 juillet 2011.
- Résultats du recensement de la population de l'Indre en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 23 juillet 2011.
- Villes et Villages Fleuris.com.
- Châteauroux Business District sur le site officiel de l'Assemblée Nationale.
- Site officiel de l'inspection académique de l'Indre.
- Site officiel du lycée Pierre et Marie-Curie de Châteauroux.
- La Nouvelle République (Édition du 19/09/2009).
- Roger Picard, La Vienne dans la guerre 1939/1945 : la vie quotidienne sous l’Occupation, Lyon : Horvath, 1993. 264 pages. ISBN : 2-7171-0838-6, p. 41.
- Un meusien au cœur des deux guerres (éditions Ysec - 2011).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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