- Le Blanc (Indre)
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Le Blanc
Vue générale de la commune.Administration Pays France Région Centre Département Indre
(sous-préfecture)Arrondissement Le Blanc
(chef-lieu)Canton Le Blanc
(chef-lieu)Code commune 36018 Code postal 36300 Maire
Mandat en coursJean-Paul Chanteguet
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes Brenne - Val de Creuse Site web www.ville-leblanc.fr Démographie Population 6 936 hab. (2008) Densité 120 hab./km² Gentilé Blancois Géographie Coordonnées Altitudes mini. 72 m — maxi. 140 m Superficie 57,61 km2 Le Blanc est une commune française, située dans le département de l'Indre, en région Centre.
Sommaire
Géographie
Situation
La commune est située à l'extrême sud-ouest du département de l'Indre, dans la région naturelle du Boischaut-Nord au sein du parc naturel régional de la Brenne.
Hydrographie
Le territoire communal est traversé par la rivière Creuse.
Hameaux de la commune
- Les Ages
- Varennes
- Avant
- La Brassardière
- Les Chézeaux
- Muant
- Madrolles
- La Molière
- Nervaux
- Vilnet
- Beauregard
Communes proches
Communes limitrophes :
Les agglomérations[1] voisines :
- Châtellerault (51 km) ;
- Châteauroux (58 km) ;
- Poitiers (63 km) ;
- Loches (66 km) ;
- La Châtre (77 km) ;
- Issoudun (89 km).
Les grandes communes[2] :
- Limoges (112 km) ;
- Romorantin-Lanthenay (114 km) ;
- Vierzon (117 km) ;
- Tours (120 km) ;
- Bourges (131 km) ;
- Saint-Amand-Montrond (135 km) ;
- Montluçon (140 km) ;
- Paris (329 km).
Transports et voies de communications
Réseau routier
Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 3, 10, 17, 27, 88, 119, 950, 951 et 975.
Desserte ferroviaire
Les lignes de Saint-Benoît au Blanc, de Port-de-Piles à Argenton-sur-Creuse, de Salbris au Blanc et de Saint-Benoit-du-Sault au Blanc passait par le territoire communal. La commune possédait autrefois une gare ferroviaire qui servait aussi de gare de bifurcation sur ces lignes.
La gare ferroviaire la plus proche est la gare d'Argenton-sur-Creuse à 39 km, qui se trouve sur la ligne des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon.
Bus
Le territoire communal est desservi par :
- les lignes N,O, P et R du réseau de bus L'Aile Bleue ;
- la ligne Ter Centre, Châteauroux ↔ Le Blanc ↔ Poitiers ;
- la ligne 103 du réseau de bus Lignes en Vienne.
Aéroport
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre situé à environ 64 km.
Sentier de randonnée
Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays : Vallée de la Creuse et de l'Anglin.
Réseau électrique
La commune possède un poste source[3] sur son territoire qui est situé au lieu-dit La Ferrande.
Histoire
Héraldique
Les armes du Blanc se blasonnent ainsi :
D'azur au cygne d'argent nageant sur des ondes du même.Historique
- À la frontière du Berry, du Poitou et de la Touraine, Le Blanc doit probablement son existence à la présence d'un gué permettant de traverser la Creuse. Quant à son étymologie, jusqu'ici obscure, elle n'a manifestement, à l'origine, aucun rapport avec la couleur. Tour à tour, la ville fut dénommée Oblincum, Oblenc, Oublanc, Doublanc, Du Blanc et enfin, Le Blanc.
- Le cours de la Creuse, partageant la ville jusqu'à la fin de l'ancien régime, a influencé toute son histoire. Plus récente, la ville Basse, au nord, s'est formée autour de l'église St-Génitour, le long de la voie romaine. Elle dépendait intégralement de la province du Berry.
La ville Haute, quant à elle, au sud, était partagée entre les provinces du Berry et du Poitou, se manifestant par la présence de deux places fortes opposées : le château (des) Naillac, berrichon, et le château du Donjon, poitevin, aujourd'hui disparu. Longtemps donc, l'administration de cette cité fut particulièrement complexe et les dissensions vives.
- Au Moyen Âge, un pont reliait les deux villes, mais fut emporté par une crue en 1530. Pendant trois cents ans, le passage de la Creuse se fit par le bac. Le pont ne fut reconstruit qu'au début du XIXe siècle, entraînant de grands travaux d'urbanisme qui donnèrent au Blanc son aspect actuel.
- L’école de chirurgie du Blanc aurait été fondée par un descendant de François Le Proust du Ronday (1548-1615), jurisconsulte et cousin germain de Renée Le Proust de Niriau, femme de Jacques de Sainte-Marthe, médecin des rois Henri II, François II et Henri III et fils de Gaucher de Sainte-Marthe, médecin ordinaire de François Ier.
De 1940 à 1942, Le Blanc est ville de garnison du 27e régiment d’infanterie, régiment de Bourgogne et du 6e bataillon du génie de l’armée d’armistice[4].
Au 44 route de Pouligny existait une maison close fréquentée par les soldats de la caserne Chanzy et accessoirement par Soutine.
Administration
Maires
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1882 1884 Henry Peyrot des Gachons 1884 1885 Pierre Page 1885 1888 Pierre Babb 1888 1892 Henry Peyrot des Gachons 1892 1895 Georges de Beauregard 1895 1896 Jules Rochoux 1896 1899 Georges de Beauregard 1899 1900 Justin Briault 1900 1906 Georges de Beauregard 1906 1908 Tissier 1908 1912 Joseph Blereau 1912 1919 Justin Briault 1919 1924 Georges Boistard 1924 1929 Théophile Boyer 1929 1934 Louis Fruchon 1934 1941 Pierre Babb 1941 1944 Désiré Chaussebourg 1944 1959 Ferdinand Seville 1959 1971 André Gasnier 1971 1977 Jean-Paul Mourot 1977 1983 René Thimel 1983 en cours Jean-Paul Chanteguet[5] PS Conseiller économique Toutes les données ne sont pas encore connues. Services publics
La commune dispose des services suivants :
- une sous-préfecture ;
- un hôtel des impôts ;
- un trésor public ;
- un bureau de poste ;
- un office de tourisme[6] ;
- une police municipale ;
- une gendarmerie nationale ;
- un centre de secours principal ;
- un centre hospitalier[7] (Smur 36) ;
- un centre d'entretien et d'exploitation des routes du conseil général de l'Indre[8].
Démographie
Évolution démographique
En 2008, Le Blanc comptait 6 936 habitants (soit une stagnation de 1 % par rapport à 1999). La commune occupait le 1 410e rang au niveau national, alors qu'elle était au 1 300e en 1999, et le 4e au niveau départemental sur 247 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Le Blanc depuis 1793.
Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par loi du 27 février 2002, dite loi de démocratie de proximité[9], afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises.
Pour les communes dont la population est inférieure à 10 000 habitants, les enquêtes sont exhaustives et ont lieu chaque année par roulement au cours d'une période de cinq ans[10]. Pour Le Blanc, le premier recensement a été fait en 2004[11], les suivants étant en 2009, 2014, etc. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1e janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006, qui, pour Le Blanc, est une évaluation intermédiaire[12].
Le maximum de la population a été atteint en 1975 avec 8 024 habitants.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (32,9 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (29,3 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,4 %) est supérieur au taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 46,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 17 %, 15 à 29 ans = 16,1 %, 30 à 44 ans = 17,7 %, 45 à 59 ans = 19,4 %, plus de 60 ans = 29,9 %) ;
- 53,4 % de femmes (0 à 14 ans = 14,5 %, 15 à 29 ans = 15,4 %, 30 à 44 ans = 16,2 %, 45 à 59 ans = 18,2 %, plus de 60 ans = 35,7 %).
Économie
- La ville du Blanc est un pôle commercial qui dessert une région de 30 000 habitants environ.
- Le commerce de centre-ville et de proximité côtoie celui des moyennes et grandes surfaces.
- Le Centre hospitalier, le Centre administratif de la gendarmerie nationale, les établissements scolaires (maternelles, primaires, collèges, lycée), les services de toutes natures (santé, social) font également du Blanc un véritable pôle de service.
- La ville est dotée de zones industrielles importantes qui peuvent accueillir des entreprises avec accès internet au très haut débit.
- La municipalité s'attache à développer et à accompagner l'économie locale par une politique de logements volontariste et par des opérations d'urbanisme : la plus importante, en cours, est la restructuration de la zone de la gare qui pourra accueillir résidences, entreprises artisanales et industrielles dans un environnement de qualité.
Enseignement
La commune possède[18] :
- deux écoles maternelles publiques (George Sand et Ville Haute) ;
- une école primaire privée (Sainte-Thérèse) ;
- deux écoles élémentaires publiques (Jules Ferry et Ville Haute) ;
- un collège public (Les Ménigouttes) ;
- un collège privé (Saint-Anne) ;
- un lycée public (Pasteur).
Sport
Voici les équipements[19] sportifs de la commune :
- stade des Ménigouttes (athlétisme, football, course pédestre et sport scolaire) ;
- stade vélodrome (vélo, VTT, football, rugby et sport scolaire) ;
- stade militaire (athlétisme, football, rugby, pétanque et sport scolaire) ;
- piscine des Ménigouttes de novembre à fin mai (natation, gym aquatique, plongée et canoë-kayak) ;
- piscine d'été de Juin à fin Août (natation et loisirs) ;
- gymnase des Ménigouttes (badminton, tennis, volley, gymnastique et sport scolaire) ;
- gymnase Jean Moulin (basket, escalade, foot en salle, volley et sport scolaire) ;
- gymnase Pasteur (gymnastique sportive et sport scolaire) ;
- aérodrome (parachutisme, vol à voile, vol moteur et aéromodélisme) ;
- boulodrome Louis Renault (boule lyonnaise) ;
- cours de tennis couvert (tennis club et scolaires) ;
- dojo (aïkido, jujitsu, judo, gym volontaire et sport scolaire) ;
- local canoë-kayak (canoë-kayak et matériel) ;
- salle de billard ;
- salle de tennis de table ;
- base de plein air (escalade, mini moto, pêche, spéléologie et tir à l'arc) ;
- stand de tir de Varennes (tir à l'arc sur cible et tir sportif) ;
- skatepark (piste de Skate, roller, BMX, fun box, barre slide et quarter).
Lieux et monuments
- L'hôtel de Ville
Le couvent des Augustins fondé au XIVe siècle, vendu comme bien national en 1792 est alors partagé entre différentes administrations et la mairie. Édifié contre l'ancienne chapelle, l'Hôtel de Ville, dans un style néo-classique avec sa façade rythmée par des pilastres plats, est entré en fonction en 1825.
- La maison de la Marquise
Acquise par Claude Dupin, arrière-grand-père de George Sand, qui acheta le marquisat du Blanc en 1739, cette maison, une des plus anciennes de la place, est dite "de la Marquise" en souvenir de Madame Dupin qui fut Dame du Blanc.
- Le Quai Aubépin
Il fut créé à la fin du XVIIIe siècle, refait lors de la construction du pont à l'emplacement des murailles d'enceintes de la Ville Haute et bordé d'hôtels particuliers dont la maison d'Élisabeth Bichier des Ages, fondatrice de l'ordre des filles de la Croix. On peut y voir d'imposantes toitures ornées d'épis de faîtage en céramique.
- L'église Saint Cyran
Comprise dans l'enceinte de la "basse-cour" du château Naillac, église paroissiale, désaffectée en 1793, elle abrita jusqu'en 1270 le corps de Saint Cyran. Le contrefort situé à l'est du chevet est évidé pour accueillir une lanterne des morts. Remaniée au XVIIe siècle, grange au XIVe, l'église restaurée en 1985 abrite désormais des expositions temporaires.
- Le château Naillac
Il domine la Creuse de ses deux donjons depuis plus de 800 ans. Cette forteresse, plusieurs fois remaniée, a conservé une salle seigneuriale ornée d'une cheminée romane entourée de deux baies à colonnettes et la charpente intérieure d'un hourd du XVe siècle. Prison puis école pendant plus d'un siècle, il devient en 1986 le siège de l'Ecomusée de la Brenne et abrite l'exposition permanente "Des hommes, un pays, une histoire" mise en scène de façon ludique et attractive. Objets témoins, maquettes et reconstitutions offrent aux visiteurs les clefs du passé et du présent pour partir à la découverte de la Brenne.
- La grande rue
Longtemps axe principale de la Ville Haute, la Grande rue était très animée. En témoignent les échoppes dont certaines se trouvent situées en contrebas de la rue actuelle, rehaussée au cours des temps. Les maisons les plus anciennes datent du XVe siècle.
- L'écomusée de la Brenne
Installé dans le château féodal du XIIe siècle, l'Écomusée de la Brenne est incontournable pour qui veut appréhender et connaître ce territoire. L'écomusée nous parle des secrets de sa constitution géologique, de l'origine des étangs grâce à une carte interactive, de la vie agricole, des faux sauniers, du passé industriel avec maquette animée des forges de Bélâbre, de la Brenne actuelle et une exposition permanente "pour un voyage à travers le temps en Brenne".
- La maison des amis du Blanc
Deux maisons du XVe siècle abritent ses collections d'arts et traditions populaires, ainsi qu'un ensemble de cycles et vélocipèdes en souvenir de l'entreprise Dilecta. Les Amis du Blanc ont réalisé en 1971 l'arbre des métiers installé au carrefour de la Grande rue et de la rue de la Poterne. D'inspiration bavaroise, il rappelle la vie active d'un pays à travers les âges.
- Le Gué
C'est ici qu'à l'époque gallo-romaine un gué traversait la Creuse. Sur la rive gauche, l'ancien moulin à blé du XIXe siècle en filature de lin employant plus de 400 ouvriers, et possédant des machines à vapeur.
- L'église Saint-Génitour
L'église Saint-Génitour (classée Monument Historique), en ville-basse, devant laquelle passait, vers le gué, l'ancienne voie romaine de Bourges à Poitiers. A l'origine, un prieuré dédié à la Vierge, dépendance de l'abbaye de Déols au XIIe siècle. Agrandie au XIIIe siècle d'une nef, d'une chapelle au Sud du chœur à la fin du XVIe siècle, puis de deux chapelles Nord et Sud (première travée) au XVIIIe siècle, l'église Saint-Génitour conclue son édification au XIXe siècle par des bas-côtés et un ensemble mobilier destiné à enrichir cette église après les pillages qu'elle subie aux lendemains de la Révolution. La forte déviation du chœur par rapport à la nef (comme la proche abbaye de Fontgombault), trouve son origine dans les différentes campagnes d'agrandissement préservant l'ouverture des rues voisines. En 1998, des fresques sont mises à jour dans les voûtes du chœur, suite à la chute de plâtre des différentes campagnes de blanchissement de l'église au début du XIXe siècle.
- Le viaduc du Blanc
C'est le plus imposant monument de la ville, édifié de 1885 à 1886, ce viaduc permettait aux convois ferroviaires en provenance de Poitiers et Montmorillon de franchir la rivière à 38 mètres de hauteur, par une voie unique empruntant ses 21 arches et ses 528 mètres de longueur aujourd'hui parcourus lors d'une promenade ou d'une randonnée.
- La caserne Chanzy
Imposant bâtiment militaire du XIXème siècle.
Activités festives
- Festival les Milliaires du nom des bornes des voies romaines est organisé sur l'ancienne voie romaine passant par le Blanc. La ville a accueilli plusieurs manifestations dans ce cadre et joué un rôle actif pour l'organisation de ce festival.
- Fête des Bons-Saints.
- La première émission du jeu des mille francs (l'actuel jeu des mille euros) a été enregistrée et diffusée depuis la place du Marché de Blanc le 19 avril 1958[20].
- Le 11 juillet 1997, la commune a accueilli le départ de la 6e étape du Tour de France 1997 de cyclisme.
Personnalités liées à la commune
- Jeanne-Élisabeth Bichier des Ages (Le Blanc, 5 juillet 1773-La Puye, 26 août 1838), fondatrice de la Congrégation des Filles de la Croix, religieuse, béatifiée en 1938, canonisée en 1949.
- Pierre Barjot (1899-1960), amiral français, auteur de nombreux livres et articles sur l'aéronautique navale. Il fut commandant en chef des forces françaises au cours de l'expédition de Suez en 1956 (cité par le Dictionnaire encyclopédique Quillet, édition 1983). Une rue de la ville porte son nom.
- Bernard Le Coq, acteur français né au Blanc.
- Mado Robin, séjournait régulièrement au Blanc, chez l'une de ses sœurs, et y donna plusieurs concerts mémorables, notamment en 1952.
- Soutine, demeura au Blanc de 1926 à 1928 au 17 boulevard Chanzy où il peint plusieurs toiles.
Notes et références
- Les distances des agglomérations par rapport à la commune de Le Blanc sur Mappy.
- Les distances des grandes communes par rapport à Le Blanc sur Mappy.
- La Nouvelle République (Édition du 28/10/2009).
- Roger Picard, La Vienne dans la guerre 1939/1945 : la vie quotidienne sous l’Occupation, Lyon : Horvath, 1993. 264 pages. ISBN : 2-7171-0838-6, p. 41.
- Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture de l'Indre.
- L'office de tourisme sur le site Berry.fr.
- Le centre hospitalier du Blanc sur le site hopital.fr.
- Carte de la viabilité hivernale du conseil général de l'Indre.
- Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V "des opérations de recensement".
- INSEE : Les grandes étapes : 2002 – 2009.
- Calendrier des recensements des communes du département de l'Indre sur www.insee.fr, Insee. Consulté le 23 juillet 2011.
- Par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 d’afficher dans le tableau des recensements : la population 2006, première population légale connue post-1999, les populations légales suivantes correspondant aux années réelles de recensement et enfin la dernière population légale publiée par l’INSEE. Dans le graphique sont par contre représentés l’ensemble des populations légales connues.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 23 juillet 2011.
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 23 juillet 2011.
- Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee. Consulté le 23 juillet 2011.
- Évolution et structure de la population à Le Blanc en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 23 juillet 2011.
- Résultats du recensement de la population de l'Indre en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 23 juillet 2011.
- Site officiel de l'inspection académique de l'Indre.
- Les équipements sportifs sur le site officiel de la commune.
- Le Jeu des mille euros sur le site officiel de France Inter.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de la commune
- Office de Tourisme du Blanc
- Le Blanc sur le site de l'Institut géographique national
Catégories :- Commune de l'Indre
- Ancien chef-lieu de district
- Sous-préfecture française
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