Marine nationale (France)

Marine nationale (France)
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Marine nationale
(chiffres 2011)
Marine nationale.jpg
Moyens 180 bâtiments[1] pour un tonnage de 470 000 tonnes (à pleine charge)
211 aéronefs
Personnels (2010) 37 366 militaires et 6 046 civils
Budget 2011 4,23 milliards €
Forces FAN : 103 bâtiments de combat et de soutien - 11 850 personnes
FSM : 10 bâtiments - 3 500 personnes
AVIA : 206 aéronefs - 5 800 personnes
FORFUSCO : 17 formations - 2 400 personnes
Autres composantes et services bataillon de marins-pompiers de Marseille : 2 450 personnes

gendarmerie maritime : 1 100 personnes
service de soutien de la flotte : 1 550 personnes
service logistique de la Marine

Chef d'état-major Amiral Bernard Rogel

La Marine nationale est la marine militaire ou marine de guerre de la République française. C'est une des quatre composantes de l'armée française avec l'Armée de terre, l'Armée de l'air et la Gendarmerie nationale. Sa flotte se compose de plus d'une centaine de bâtiments de surface. Elle dispose d'un porte-avions à propulsion nucléaire et de dix sous-marins tous à propulsion nucléaire. La Marine emploie plus de 45 000 personnes. Son budget annuel total en 2008 était de 5,8 milliards d'euros. Si la Marine nationale française se place au 5e rang mondial des marines militaires par le tonnage, elle est classée marine de deuxième rang mondial derrière l'US Navy selon la méthode des rangs d'Hervé Coutau-Bégarie[2]. La devise de la Marine, inscrite sur tous ses bâtiments, est «Honneur, Patrie, Valeur, Discipline», devise qui n'a pas changé depuis l'époque de la Marine royale.
Appelée encore aujourd'hui familièrement « La Royale », peut-être parce qu'avant d'être impériale ou nationale, elle a été royale et qu'on lui prête un attachement nostalgique à la monarchie. Autre hypothèse, l'ancien ministère de la Marine où réside encore l'Etat-major de la Marine était installé au 2, rue Royale à Paris.

Sommaire

Histoire

À la Révolution, la Marine nationale a succédé à la Marine royale, créée en 1624 par Richelieu. Sous le premier et le second empire, elle s'est appelée Marine impériale.

Article détaillé : Histoire de la marine française.

Missions

Dissuasion

SNLE en surface.

L'objet de la dissuasion est :

  • d'empêcher une remise en cause de la survie de la France par une puissance majeure hostile ;
  • de faire face aux menaces que pourraient faire peser des puissances régionales dotées d'armes de destruction massive sur les intérêts vitaux de la France par la menace d'une frappe nucléaire de riposte.

La dissuasion nucléaire est le cœur de la stratégie de la défense nationale. L'objectif de la doctrine nucléaire reste néanmoins celle du non-emploi. La capacité nucléaire française repose sur :

  • les missiles balistiques qui équipent les 4 SNLE (Sous-marins Nucléaires Lanceurs d'Engins) ;
  • les missiles aérodynamiques (ASMP) pour la composante aéroportée dont font partie les avions de l'armée de l'air et de l'aviation navale.

Action

L'action opérationnelle rassemble les missions de prévention et de projection de puissance ou de forces.

Prévention

Le contrôle des espaces maritimes est fondé sur un prépositionnement et une présence adaptés en :

La France a de nombreux intérêts à travers le Monde. Pour les défendre, des forces prépositionnées en permanence hors métropole composées de 25 navires (frégates de surveillance, de bâtiments de transport léger, de patrouilleurs), 12 avions et hélicoptères, des commandos sont déployés sur tous les océans. Ils assurent présence et vigilance auprès des foyers de tension (zones de crise) ou à titre permanent dans les territoires d'outre-mer.

Projection

Si les actions de préventions n'ont pu empêcher le déclenchement d'une crise, il peut être nécessaire d'intervenir — le plus souvent dans un cadre interarmées et international. L'engagement peut varier de la simple présence, à la démonstration de force avec des actions de rétorsions avec des armes modernes tirées à grande distance.

Les principaux acteurs de ces forces de projection sont articulés autour :

  • du groupe aéronaval ;
  • du groupe amphibie ;
  • du groupe de chasse aux mines ;
  • d'un groupe d'action maritime (une ou plusieurs frégates).

La projection peut être de deux types :

  • projection de forces : action avec mise à terre de troupes ;
  • projection de puissance : action sans mise à terre de troupes.

L'action de l'État en mer

La Marine nationale avec d'autres administrations publiques (Affaires maritimes, Gendarmerie maritime, Douanes...) est une des composantes de l'action de l'Etat en mer (AEM). Il s'agit d'assurer la sauvegarde, la protection et la sécurité des approches maritimes du territoire national, maîtriser les risques liés à l’activité maritime (accidents de mer, pollution, souveraineté dans les DOM-TOM et dans les ZEE…) et lutter contre les activités illicites en mer (terrorisme, narcotrafic, piraterie, transports illicites de migrants…). L' action de l'État en mer consiste souvent en des missions de service public qui ne sont pas des activités spécifiquement militaires.

Elle représente 25 % des activités de la Marine.

Organisation

Organisation générale

L'organisation générale de la Marine nationale est fixée par le chapitre III du titre II du livre II de la troisième partie du code de la défense créé par les décrets no 2008-1218 et no 2008-1219 du 25 novembre 2008.

La Marine est constituée de formations réparties entre :

Organisation du commandement

Commandement opérationnel

Pour les opérations relevant de l'action de l'État en mer, elles sont mises en œuvre par les 3 préfets maritimes sous l'autorité du Premier ministre qui dispose du Secrétariat général de la mer.

Pour les opérations militaires, les forces maritimes, comme l'ensemble des forces armées, sont sous le commandement opérationnel du chef d'état-major des armées (CEMA). Le chef d'état-major de la Marine (CEMM) est le conseiller du CEMA pour l'emploi des moyens navals et aéronavals.

Pour faciliter la conduite des opérations, le CEMA désigne généralement des contrôleurs opérationnels chargés de déployer les forces qui leur sont affectées et de leur donner des ordres nécessaires pour accomplir la mission fixée par le CEMA.

Les contrôleurs opérationnels sont :

  • soit, un officier général désigné pour la circonstance pour une mission particulière (opérations lourdes en général) ;
  • soit, de manière permanente, les commandants de zone maritime qui assurent le contrôle opérationnel des forces déployées dans leur zone de compétence :
  • soit, pour le déploiement des SNLE, le commandant de la Force océanique stratégique (ALFOST).

Commandement organique

Comme les autres chefs d'état-major d'armées, le chef d'état-major de la Marine (CEMM) est responsable devant le CEMA et le ministre de la Défense de l'organisation, de la préparation, de l'emploi de ses forces ainsi que de leur programmation.

Ces forces sont divisées en quatre grandes composantes :

Les forces

Pour la liste des unités de la Marine actuellement en service, consulter[4] :

La force d'action navale (FAN)

Article détaillé : Force d'action navale.
Frégate anti-aérienne Cassard.

La force d'action navale regroupe les forces de surface. Elle comprend 12 000 marins et une centaine de bâtiments. Elle fournit l'essentiel de la contribution de la Marine aux missions de prévention et de projection. Elle est placée sous le commandement d'un amiral (ALFAN).

Elle comprend sept grandes catégories de bâtiments de surface :

  • le groupe aéronaval : le porte-avions nucléaire Charles-de-Gaulle et ses bâtiments d'accompagnement ;
  • le groupe amphibie : les deux bâtiments projection et de commandement (BPC) Mistral et Tonnerre, les transports de chalands de débarquement (TCD) Foudre et Siroco, et leurs bâtiments d'accompagnement ;
  • des frégates : frégates anti- aérienne Cassard et Jean Bart, frégates de défense aérienne Forbin et Chevalier Paul, frégates de lutte anti-sous-marine Classe Georges Leygues, frégates légères furtives classe La Fayette et avisos classe d'Estienne d'Orves ;
  • la force de guerre des mines : chasseurs de mines classe Eridan ;
  • des bâtiments de souveraineté : frégates de surveillance classe Floréal et patrouilleurs classe Audacieuse ;
  • des bâtiments de service publics : patrouilleurs de service publique ;
  • des bâtiments de soutien ;
  • des bâtiments hydrographiques et océanographiques.

Les forces sous-marines (FSM)

SNA Casabianca en 2005.
  • La force océanique stratégique (FOST) :

La FOST est la composante principale de la force de dissuasion nucléaire française ; elle garantit l'assurance d'une frappe en second (frappe de riposte) avec une permanence d'un à deux sous-marins en patrouille à la mer. Elle est constituée de quatre sous-marins à propulsion nucléaire lanceurs d'engins balistiques (SNLE), basés à l'Île Longue.

Les six sous-marins d'attaque à propulsion nucléaire de classe Rubis, basés à Toulon, participent aux missions de prévention, de projection et de protection.

L'ensemble des forces sous-marines est placé sous le commandement de l'amiral commandant la FOST (ALFOST).

Chacun des dix sous-marins français a deux équipages (appelés « Bleu » et « Rouge ») pour permettre leur déploiement à la mer plus de 200 jours par an.

L'aéronautique navale (ALAVIA)

Article détaillé : Aéronautique navale.
Rafale M de la flottille 12F
Cocarde des aéronefs de l'aviation navale

L'aéronautique navale[5] (un temps aviation navale) compte 230 aéronefs et 6 800 personnes, ainsi que six bases d'aviation navale (BAN) : Landivisiau, Lann-Bihoué, Hyères Le Palivestre, Lanvéoc-Poulmic et La Tontouta (Nouvelle-Calédonie). Elle est composée :

  • du groupe aérien embarqué (Gae), destiné à armer le porte-avions et composé de quatre flottilles de Rafale, de Super-Étendard et de E-2C Hawkeye ;
  • des hélicoptères embarqués sur les frégates, principalement des Panther et Lynx ;
  • des hélicoptères de service public et de sauvetage en mer, basés à terre, des EC225 et Dauphin ;
  • des avions de patrouille maritime (deux flottilles d'Atlantique 2) et de surveillance maritime (trois flottilles de Gardian, et Falcon 50) ;
  • une aviation de soutien qui assure des missions de transport et d'entraînement et de formation.

Les fusiliers marins et commandos (FORFUSCO)

Démonstration d'assaut à la mer par le commando Jaubert.

Ils sont regroupés au sein d'une force basée à Lorient et comptent 1 700 personnes. Cette force participe à des opérations terrestres à partir de la mer, d'intervention en mer dans le cadre des missions de sauvegarde, des opérations de forces spéciales, la protection des sites sensibles. Elle comprend deux composantes :

Autres composantes

Le bataillon de marins-pompiers de Marseille (BMPM)

Commandé par un vice-amiral, le bataillon de marins-pompiers de Marseille (BMPM) est une unité atypique de la Marine nationale. Hors budget, car financée par la municipalité de Marseille, c'est la seule unité militaire française placée sous la direction et les ordres d'un maire. Le BMPM est chargé des secours tant contre l'incendie que les périls de toutes natures menaçant la sécurité publique sur le territoire de Marseille, dans le grand port maritime de Marseille (Marseille, Port de Bouc, Fos/Lavéra), ainsi que sur l'aéroport international Marseille-Provence et sur la site de l'usine Eurocopter. Avec un effectif de 2 450 personnes (dont 4 % de femmes), le BMPM est numériquement l'unité opérationnelle la plus importante de la Marine nationale.

Le BMPM a effectué en 2010 108 000 interventions dont plus des deux tiers pour du secours à des victimes.

La gendarmerie maritime

Article détaillé : Gendarmerie maritime.

Composante de la Gendarmerie nationale, la Gendarmerie maritime est mise pour emploi auprès du chef d'état-major de la Marine. Elle assure :

  • des missions de sauvegarde maritime et de police générale dans les eaux territoriales et la ZEE, sous l'autorité du préfet maritime ;
  • des missions de police judiciaire sous l'autorité du procureur de la République ;
  • des missions de protection des établissements de la marine à terre.

Son effectif compte 1 500 personnes et elle dispose d'une trentaine de patrouilleurs et vedettes répartis sur tout le littoral.

Le service hydrographique et océanographique de la Marine (SHOM)

Le service hydrographique et océanographique de la Marine (SHOM) a une mission de service public d'hydrographie et de cartographie marine et une mission de soutien aux forces navales d'océanographie et de météorologie militaire. Depuis 2007, il n'est plus un service de la marine mais un établissement public à caractère administratif.

Les services

Le service logistique de la Marine (SLM)

Suite a une restructuration interarmées du 1er janvier 2010 et la fusion des différents commissariats des armées françaises en un Service du commissariat des armées, la création du SLM permet de regrouper l'ensemble des activités logistiques et techniques issues de l'atelier militaire de la flotte (AMF) et du Service du commissariat de la Marine (SCM).

La constitution du commandement interarmées du soutien commun (COMIAS) a pour but la mutualisation des moyens et l'accroissement de l'efficacité des structures chargées de ce domaine.

Le COMIAS a des responsabilités dans les domaines suivants :

  • logistique ;
  • administratif ;
  • financier ;
  • juridique.

Le SLM s'occupe de domaines plus spécifiques :

  • rechanges navals ;
  • ravitaillement à la mer ;
  • plongée ;
  • transit et expéditions.

Le service de soutien de la flotte (SSF)

Article détaillé : Service de soutien de la flotte.

Le service de soutien de la flotte est chargé du soutien technique des bâtiments de surface et des sous-marins. Ce service, composé de personnel de la marine et de la DGA :

  • pilote toute la maintenance programmée et les réparations effectuées par :
    • les équipages,
    • les moyens militaires de soutien (essentiellement le SLM et la DIRISI)
    • l'industrie, dont particulièrement DCNS et d'autres entreprises titulaires de contrats négociés et mis en concurrence (ENDEL, CNN-MCO, PIRIOU, STX, LGM, NAVTIS) ;
  • assure la gestion de la configuration des bâtiments et des matériels associés ;
  • approvisionne les stocks de rechanges navals.

Organismes de formation

La Marine comprend également des organismes de formation qui sont :

La préparation de l'avenir

Un format avait été défini, le modèle 2015, qui devait permettre à la Marine de mettre en œuvre 80 bâtiments de combat, 130 aéronefs de combat et 5 commandos. En 2008, il a été revu à la baisse pour raisons budgétaires.

Il prévoyait principalement :

  • un deuxième porte-avions dit PA 2 ; à propulsion classique, construit en coopération avec les Britanniques. Le 17 juin 2008, le président de la République, Nicolas Sarkozy, a annoncé le report à 2011 ou 2012 de la décision de le construire, ou non. Cela amènerait la mise en service du PA2 aux alentours de 2023, soit environ 25 ans après la première sortie en mer du Charles de Gaulle. S'il est construit, le PA2 pourrait être à propulsion nucléaire ;
  • le renouvellement des sous-marins nucléaires d'attaque (SNA) : il s'agit du programme Barracuda (6 unités dotés de torpilles et de missiles de croisière) ;
  • 2 frégates antiaériennes de type Horizon construites en coopération avec l'Italie ; dotées du missile ASTER. Elles sont entrées en service en 2009 et 2010. 4 étaient prévues à l'origine ;
  • le renouvellement des frégates avec le programme FREMM (frégate européenne multi-missions) en coopération avec l'Italie. Il prévoyait la réalisation de 17 bâtiments, de deux types : action sous-marine et action vers la terre (missile de croisière)[6]. 11 seulement à vocation anti-sous-marine pourraient être construites, auxquelles pourraient s'ajouter 2 frégates de défense aérienne.
  • le quatrième SNLE/NG et l'admission au service du missile M-51.

Marine nationale et environnement

La Marine contribue aux plans Polmar et à la surveillance de l'environnement marin (pollutions par les hydrocarbures en particulier) et au contrôle de la surpêche. Des conventions lient le ministère de la Défense et celui de l'Environnement ; une instruction du 19 septembre 2008, du Bureau de maîtrise des risques de l’état-major de la Marine nationale, précise les modalités de l’application de la réglementation environnementale et l’organisation en la matière de la Marine nationale[7]. Ce document promeut aussi un état d’esprit de prévention pour la protection de l'environnement.

Le personnel[8]

Le porte-hélicoptères Jeanne d'Arc.

Pour les grades et appellations dans la marine, consultez : Grades de la Marine nationale

Du fait de la professionnalisation et de la diminution du nombre de ses bâtiments, les effectifs de la marine sont passés entre 1996 et 2002 de 70 000 à 55 000 militaires et civils. En 2010, les effectifs étaient de 37 366 militaires et 6 046 civils.

Ce personnel est réparti en 4 402 officiers, 24 372 officiers mariniers, 7 530 quartier-maîtres et matelots, et 1062 volontaires. Environ 5 100 femmes servent aujourd’hui dans la marine, soit 13,5 % de l’effectif militaire.

Chaque année, pour maintenir une moyenne d'âge jeune (31 ans), garantie de sa capacité opérationnelle, la marine recrute environ 2500 personnes. Les 2/3 de son personnel est sous contrat, un tiers est "de carrière" (cadres de maistrance pour les officiers mariniers).

Les bases et l'infrastructure

Les bases navales sont au nombre de :

Ces bases ont pour mission d'accueillir les bâtiments stationnés et de passage et de leur fournir un soutien (protection, sécurité, administration, restauration et hôtellerie, soutien technique...). Elles disposent d'ateliers de réparation, de compagnies de marins-pompiers et de détachements de fusiliers marins.

À ces bases navales, il convient d'ajouter la base sous-marine de l'Île Longue et les BAN, déjà citées.

La Marine dispose également d'installations louées aux gouvernements locaux à Dakar et Djibouti.

À ces bases, s'ajoutent des installations diverses réparties sur tout le territoire dont notamment :

  • des centres de télécommunications ;
  • un réseau de sémaphores sur le littoral qui contribue à la mission de sauvegarde maritime et à la surveillance des eaux côtières.

Traditions

Depuis le 29 août 2011, elle dispose d'un hymne de la Marine[9].

Pavillons, marques et flammes

Notes et références

  1. http://www.defense.gouv.fr/marine/organisation/les-forces/force-d-action-navale/forces-de-surface/forces-de-surface
  2. !! DSI hors-série no 14 Octobre-Novembre 2010
  3. Code de la défense, art. R.3223-3.
  4. La flotte française au 1er janvier 2008, sur le site Net-Marine
  5. « Aéronautique navale », sur le site du ministère de la Défense, defense.gouv.fr, consulté le 6 février 2010.
  6. Selon des sources concordantes telles le blog de Libération [lire en ligne] et le blog de Joseph Henrotin [lire en ligne], la Marine nationale se contenterait des 8 frégates déjà budgétées, puis éventuellement de 3 de plus dont 2 frégates de défense aérinne
  7. Bulletin officiel des armées du 23 janvier 2009.
  8. http://fr.calameo.com/read/000331876b9dcf0a5fe29
  9. 29 Aout 2011 Hymne de la Marine Message officiel du chef d'état-major de la Marine sur Amicale des Pupilles Mousses, 29 août 2011. Consulté le 22 septembre 2011

Bibliographie

  • Georges Croulebois, Pont libre, Éditions des 7 vents, 1993 (ISBN 2-8771-6052-1).
  • Jean Moulin, Les navires français en images (1939-1945), Marines Éditions, 2005 (ISBN 2-9153-7923-8).
  • Jean Moulin, Jacques Isnard, De la mer à la terre – Les enjeux de la marine française au XXIe siècle, Librairie Académique Perrin, 2006 (ISBN 2-2620-2262-3).
  • Serge Dufoulon, Les gars de la marine – Ethnographie d'un navire de guerre, Éditions AM Métailié, 1998 (ISBN 2-8642-4282-6).

Annexes

Articles connexes

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Liens externes

Sites officiels :

Sites non officiels :

Histoire - stratégie :


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