- Anglet
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Anglet Administration Pays France Région Aquitaine Département Pyrénées-Atlantiques Arrondissement Bayonne Canton chef-lieu de 2 cantons Code commune 64024 Code postal 64600 Maire
Mandat en coursJean Espilondo
2008-2014Intercommunalité Agglomération Côte Basque-Adour Site web http://www.anglet.fr/ Démographie Population 37 934 hab. (2007) Densité 1 409 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 0 m — maxi. 76 m Superficie 26,93 km2 Anglet (prononcé [ɑ̃glɛt]) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques et la région Aquitaine.
Le gentilé est Angloy[1],[2] (Anglòi en gascon ou Angeluar[2] en basque) .
Sommaire
Géographie
Situation
Anglet fait partie de la province basque du Labourd.
La ville est à 10 % recouverte de forêts de pins, notamment celles de Pignada, du Lazaret et de Chiberta.
La côte sablonneuse débutée 200 km au nord à la pointe de Grave, à l'extrémité de l'estuaire de la Gironde, s'achève à Anglet, et y est ponctuée de nombreuses digues découpant le rivage.
À Anglet, où le tracé du domaine public maritime vient d'être mis à jour, on observe un recul de la côte de quarante mètres depuis 1978. Avec ses multiples baies et anses, ce territoire constitue un laboratoire des techniques de surveillance de l'érosion littorale.
Anglet, sur 4,5 km, compte 11 plages du nord au sud : la plage de la Barre, la plage des Cavaliers, la plage des Dunes, la plage de l'Océan, la plage de la Madrague, la plage de la Petite Madrague, la plage des Corsaires, la plage de Marinella, la plage des Sables d'Or, la plage du Club et la plage du VVF.La Côte basque française désigne la partie du littoral aquitain comprise entre la grotte de la chambre d’Amour à Anglet et la frontière espagnole.
Accès
Anglet est reliée par l’autoroute A63, la route nationale 10 et les départementales 810 et 910.
Les lignes A1, A2, C, 4, 5, 6, 8, 10 et 12 du réseau de bus Chronoplus, géré par Veolia Transport agglomération de Bayonne, desservent Anglet en la reliant aux autres communes de l'agglomération : Bayonne, Biarritz, Bidart, Boucau, Saint-Pierre-d'Irube et Tarnos[3].
Hydrographie
C'est entre Anglet (rive gauche) et Tarnos (rive droite) que l'Adour se jette dans l'océan Atlantique (golfe de Gascogne).
La commune est traversée par les affluents de l’Adour, les ruisseaux de Sarraoute, d'Artigou (ainsi que par le tributaire de celui-ci, le ruisseau de Zubiru, lui-même accompagné de son affluent, la Hòssa), de Camoudiet (et ses tributaires, le ruisseau d'Aouassole et le Riu Tòrt), du Horc (accompagné par ses affluents, les ruisseaux de Coumelade, du Mail et de la Canaou), de la Prade (rejoint par le ruisseau du Horn), la Gaoube (et le Bras de la Gaoube), de Houillassat, la Gaoubole, de Hourclat, Larraoudille, de Bon, l'Adour de Gripp (ainsi que par les tributaires de celui-ci, la Canabère grande, le Garet, le ruisseau de Picharotte, le Goutil de Thou et le ruisseau d'Aritz et son affluent, le Goutil Sec), le May d'Escaret, le ruisseau d'Arrimoula, l'Adour de Lesponne (et ses affluents, le ruisseau de Cantalop, le Lhécou, les ruisseaux Riu Grand, du Brouilh, de Maouri, de Tos - et les tributaires de celui-ci, les ruisseaux de Népoutre, d'Arabède et de Cétérou - de Narbeoz, de Beliou, de Binaros, de la Glère - et les affluents de celui-ci, les ruisseaux du Garrot Grand et Lardezen - et de Hont Herèda) et le ruisseau Serris.Lieux-dits et hameaux
Communes limitrophes
Toponymie
Le nom basque de la commune est Angelu et son nom gascon Anglet.
Le toponyme Anglet apparaît sous les formes Angles (1188[5], cartulaire de Bayonne[6]), Anglet (1249[7]), 1253), portu de Angleto (1291[7]) et Sanctus Leo d'Anglet (1761, collations du diocèse de Bayonne[8]).
Son origine est romane, du latin angulus, ’terre en forme de coin’[9] ou ’terrain bas, enfoncement’[2]. Cette dernière hypothèse est confirmée par Jean-Baptiste Orpustan[7] qui indique que le nom officiel et le nom basque sont deux dérivés distincts de la même souche, angellu, diminutif d'angulu, et citant L. Michelena, affirme que 'terrain bas' doit s’appliquer à « tout l’espace sableux en bord de mer qu’occupe (la) commune ».Aritxague vient du basque Haritzaga, ’lieu de chênes (tauzins)’, et le Pignada du gascon Pinhadats, ’pinèdes’. Ce dernier toponyme est mentionné sous la graphie le Pinada en 1863[5] dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.
La chambre d’Amour était un hameau d’Anglet. Paul Raymond[5] indique que le nom « vient d'une grotte située au niveau de la mer ». Elle est mentionnée sous les graphies Ygasc (1198[5]) et Higas (XIIe siècle[5], cartulaire de Bayonne[6]).
Brindos est un ancien hameau d’Anglet, qui apparaît sous les formes Villa que dicitur Berindos ((XIIe siècle[5], cartulaire de Bayonne[6]), Beryndos et Beryndes (respectivement 1331[5] et 1334[5], rôles gascons).
Le lac de Chiberta est mentionné en 1863[5] dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque. Il en est de même des Cinq Cantons (sous la forme Cinq-Cantons).
Courbois était également un hameau de la commune. Il est mentionné sous la graphie Fausegui en 1198[5] (cartulaire de Bayonne[6]).
Hondritz, hameau d’Anglet, apparaît sous les formes Underitz, Honderiz et Onderidz (respectivement 1149[5], 1198[5] et 1255[5], cartulaire de Bayonne[6]).
En 1863[5], le Lazaret est un « dépôt de mendicité ».
Mauléon est signalé comme étant un château dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque de 1863[5]. Le même dictionnaire cite le Refuge Notre-Dame sous la forme Le Refuge. Le même indique que Saint-Bernard était une école.
Sutar, autre hameau d’Anglet, est mentionné dans le cartulaire de Bayonne[6] en tant que Villa quœ dicitur Huzater (XIIe siècle[5]), Utsatarren (1149[5]), Usetarren (1198[5]), Ussutarren (XIIIe siècle[5]), Hucetarren (XIIIe siècle[5]) et Sustaren (XVIe siècle[5]). Le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque orthographie le toponyme Sutarre en 1863[5].Histoire
En mars 1815, au milieu des désordres provoqués par les Cent-Jours, et après le désastre de Waterloo, une armée espagnole commandée par le comte de Labisbal fit une brève incursion au-delà de la Bidassoa jusqu’à Anglet et Ustaritz. Ces troupes battirent retraite après une intervention de Louis-Antoine d'Artois, duc d’Angoulème, auprès du monarque espagnol, Ferdinand VII[10].
Anglet a cédé au XIXe siècle une partie de son territoire à Bayonne (quartier Saint-Léon, autour de l'hôpital). Les quartiers nouveaux, d'abord occupés par des maraîchers gascons essentiellement, ont été gagnés sur les marécages.Héraldique
Blasonnement D’argent à trois pins de sinople issant d'ondes d’argent et d’azur mouvantes de la pointe, au chef de gueules chargé d’un léopard d’or tenant dans sa patte dextre un dard du même.La devise gasconne d'Anglet est Mar e pinhadar per m'ajudar c'est-à-dire : Mer et pignada pour m'aider (le pinhadar en gascon est une forêt de pins maritimes, présent sur les armoiries de la ville).
Administration
Anglet est le chef-lieu de deux cantons, Anglet-Nord et Anglet-Sud, qui ne comprennent aucune autre commune.
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1870 1897 Eugène Bernain 1897 19.. Albert Le Barillier 1935 1937 ? Daubin Médecin 1937 1941 François Dommain Parti radical 19.. 19.. François Lacroix Médecin 1971 1993 Victor Mendiboure UDF 1993 1999 Michel Bonnet UDF 1999 2000 Alain Lamassoure UDF Vice-président de l'UDF
Conseiller maître à la Cour des comptes2000 2008 Robert Villenave UDF Vice-président de la CABAB 2008 2014 Jean Espilondo PS Vice-Président de l'ACBA Toutes les données ne sont pas encore connues. Intercommunalité
La commune fait partie de six structures intercommunales[11] :
- l’agglomération Côte Basque-Adour ;
- l’agence publique de gestion locale ;
- le syndicat intercommunal pour la gestion du centre Txakurrak ;
- le syndicat pour le soutien à la culture basque ;
- le syndicat mixte de l'usine de la Nive ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques.
Elle est également membre de l'Eurocité basque Bayonne - San Sebastian.
Jumelage
Ansbach (Allemagne) depuis 1968 [12]
Historique des logos
Démographie
Source jusqu'en 2006 : projet Cassini de l'EHESS[13].
La commune fait partie de l'aire urbaine de Bayonne.
Économie
Autrefois orientée vers l'agriculture (la commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty), et en particulier les cultures maraichères, Anglet dispose à présent, grâce à sa situation au sein de l'agglomération de Bayonne-Anglet-Biarritz, d'un riche tissu économique[14].
Anglet est associée avec les villes de Bayonne et de Biarritz avec lesquelles elle partage l'administration de l'aéroport de Biarritz-Anglet-Bayonne.
Anglet est englobée dans l'emprise du port de Bayonne qui concerne également les communes de Bayonne et Boucau dans les Pyrénées-Atlantiques et Tarnos dans les Landes.Parmi les activités économiques locales, il faut compter le tourisme balnéaire, la thalassothérapie, le sport (industrie du surf et de la glisse) et l’aéronautique (Dassault aviation).
La commune accueille également des entreprises du secteur agro-alimentaire qui figurent parmi les cinquante premières du département :
- la Société bayonnaise des viandes (production de viandes de boucherie) ;
- la SAS TDA (production de viandes de boucherie) ;
- Mandion SA (fabrication industrielle de pain et de pâtisserie fraiche) ;
- la Société d'abattage du Pays basque (production de viandes de boucherie) ;
- la SARL Sonath (cuisson de produits de boulangerie).
BAB2 est un centre commercial, situé à Anglet, regroupant un hypermarché Carrefour de 13 000 m² [15] entouré de quelque 90 boutiques. L'hypermarché Carrefour est le premier hypermarché des Pyrénées-Atlantiques et le troisième en Aquitaine en matière de chiffre d'affaires [16].
Le magazine Surf Session a son siège social à Anglet.Culture et patrimoine
Vents et Marées est une revue de poésie animée, à Anglet, par Jeanne Monteil et Jean-Léopold Dumontier-Béroulet de 1976 à 1992.
Langues
Anglet et les communes voisines de Biarritz et Bayonne peuvent être considérées selon les époques et les points de vue, comme gasconnes ou basques.
La majorité de cette zone parlait le gascon, selon l’Atlas Linguistique de Gascogne (ALG) (1954-66) et les enquêtes sur la limite du basque de Lucien Bonaparte (1863), même si certains quartiers ou zones auraient pourraient être qualifiées de basques (sans doute par un apport des campagnes basques environnantes).
Depuis le XXe siècle, le français est la langue majoritaire.Patrimoine civil
La mairie possède deux meubles remarquables : un buffet[17] de Christiant Ortet et une table[18] de Christian Ortet et Jean Lesquibe. Ces deux meubles sont classés au titre d’objets par les Monuments historiques depuis 2007.
La villa Gomez, ancien immeuble des services des ponts et chaussées, possède une table-bureau et un fauteuil[19] classés depuis 2004.
Paul Campagne (1870-1941) et son épouse Julienne Moussempès (1879-1956) propriétaires du célèbre hôtel d'Angleterre à Biarritz firent construire, en 1900, une résidence secondaire dite « Marnoger », dont le nom est issu des prénoms de leurs trois enfants Marcel (1901-1918), Nora (1902-1956) et Roger (1905-1945), sur les plans de l'architecte Raymond Larrebat-Tudor (1859-1943). Cette somptueuse demeure et son parc rebaptisés "Beatrix Enea" font partie du patrimoine municipal d'Anglet qui les a acquis en 1985 ; les services municipaux de la ville y sont regroupés.Patrimoine religieux
L’un des murs de l’ancien cloître des Dominicains[20] a été classé aux monuments historiques en 1928.
Le domaine de Notre-Dame du Refuge de la congrégation des Servantes de Marie renferme une église qui possède un tableau représentant Louis-Édouard Cestac[21]. Ce tableau est classé à titre d’objet depuis 1997.| Patrimoine environnemental
La grotte de la chambre d’Amour fait partie du patrimoine de la commune.
Dans son palmarès 2007, le Conseil national des Villes et Villages Fleuris de France a attribué quatre fleurs à la commune au concours des villes et villages fleuris.
Le parc écologique Izadia a été inauguré en novembre 2007 dans la zone de la Barre.Équipements
Enseignement
La commune dispose[22] de plusieurs écoles maternelles publiques (Camiade, Jules Ferry, Aristide Briand, Jean Jaurès, Évariste Galois et Tivoli), de deux collèges (collège Endarra et collège privé Stella Maris), de deux lycées (lycée technologique Cantau et lycée Sainte-Anne) et d'une ikastola (Angeluko ikastola). En outre un institut du BTP, une école d'art et une unité du conservatoire national des arts et métiers sont installés sur la commune.
Le parc Montaury accueille des disciplines de l’université de Pau et des Pays de l’Adour telles que celles traitant de biologie, de physique, de chimie, de logistique, et du bâtiment et des travaux publics[23].Internet
En 2010, la commune d'Anglet a été récompensée par le label « Ville Internet @@@@ »[24].
Sports et équipements sportifs
- Aïkido : le Dojo Angloy Aikido[25] est le 20e club de France en nombre de licenciés avec plus de 560 membres actifs ;
- Basket-ball : l’A.C.B.B est un club mixte dont l'équipe fanion évolue en Nationale 2 du championnat de France ;
- Équitation : le club hippique de la côte basque[26], déjà cinquantenaire (2006), est une association loi de 1901. Avec près de 500 membres actifs, c'est le 2e club d'Aquitaine ;
- Football : les Genêts d'Anglet évoluent en CFA ;
- Golf : la commune possède deux golfs, d’une part le parcours de Chiberta, un links par 71, qui a accueilli une épreuve de qualifications à l'Open de France en 2005, et d’autre part, le golf du Phare, créé en 1888 , et situé sur les communes d'Anglet et de Biarritz ;
- Hockey sur glace, patinage artistique et danse sur glace à la patinoire de la Barre. L'équipe de hockey sur glace d'Anglet Hormadi Élite évolue en Division 1 ;
- Patinage artistique : les championnats de France de patinage artistique 1981 ont eu lieu à la patinoire de la Barre pour 3 épreuves : simple messieurs, simple dames et couple artistique ;
- Pelote basque : la commune accueille le club Hardoytarrak ;
- Roller in line hockey : l'Artzak d'Anglet a obtenu la médaille d'argent durant les coupes d'Europe 2006 et 2010. Il devient champion de France en 2011 ;
- Rugby à XV : l'Anglet Olympique évolue en troisième division fédérale ;
- Skate : la ville possède un skatepark en bord de mer (en face de la plage de la Barre). Il comporte un curb en " L " et arrondi a l'intérieur, un quarter de 1,80 mètre de hauteur, une pyramide, un spine, un rail, une flat-barre une double table (petite 20cm de haut, grande environ 40 cm de haut), ainsi qu'un triple spine (avec un sommet triangulaire). Il comporte aussi trois creux bétonnés. Le skatepark occupe un espace d’une longueur approximative de 200 mètres et d’une largeur approximative de 50 mètres ;
- Surf et sports de glisse : les différentes plages accueillent de nombreuses compétitions internationales masculines et féminines. Anglet est un spot reconnu dans le monde entier (la ville a accueilli pendant l'été 2005 le championnat de France des sports de glisse, le Quiksilver Air Show, l’O'Neill Pro, l’O'Neil Angel's Challenge, la KanaMissCup, la coupe de France Open Bodyboard, le Wake n'Ski Tour et l’OP Royal Single Trophée. L’Anglet Surf Club[27] est le plus gros club de France avec plus de 1200 licenciés, il compte aussi de nombreux champions dans ses rangs comme Thomas Bady, Romain Laulhé, Tim Boal, Caroline Sarran.
Personnalités liées à la commune
- nées au XIXe siècle
- Louis-Édouard Cestac, né à Bayonne en 1801 et mort à Anglet en 1868, est un prêtre et le fondateur de la congrégation des Servantes de Marie ;
- Élise Cestac, née à Bayonne en 1811 et morte à Bayonne en 1849, est la sœur de Louis-Édouard Cestac et la co-fondatrice de la congrégation des Servantes de Marie ;
- Henri Gavel, né en 1880 à Saint-Pol-sur-Ternoise et mort en 1959 à Anglet, est un linguiste français, spécialiste en langue occitane et basque ;
- Jean Mendiondou, né en 1885 à Oloron-Saint-Marie et mort en 1961 à Anglet, est un homme politique français ;
- Jean Larribau, né en 1889 à Anglet et mort en 1916 en Belgique, est un joueur français de rugby à XV, ayant occupé le poste de demi de mêlée en sélection nationale et au Biarritz olympique ;
- Lucien Lelong, né en 1889 à Paris et mort à Anglet en 1958, est un couturier français qui fut très en vogue dans les années 1920 à 1950.
- nées au XXe siècle
- Clément Duhour, né en 1912 à Anglet et mort en 1983 à Neuilly-sur-Seine, est un chanteur, acteur, réalisateur et producteur français. Athlète, il a participé aux Jeux olympiques de Los Angeles en 1932 ;
- Pierre Baldi, né à Anglet en 1919, est un artiste peintre ;
- Jeanne Monteil, née à Bayonne en 1924 et morte à Bayonne en 1999, est une poétesse et animatrice de la revue Vents et Marées ;
- Robert Baulon, né à Boucau en 1930 et port à Anglet en 2011, est un joueur de rugby à XV, qui a joué avec l'équipe de France de 1954 à 1957 évoluant au poste de troisième ligne centre ou aile ;
- Raoul Sangla, né à Anglet en 1930, est un journaliste, scénariste et réalisateur indépendant français ;
- Ramuntxo Camblong, né en 1940 à Macaye, est un homme politique français, conseiller municipal d'Anglet de 2001 à 2008 ;
- Lucien Pariès, né en 1947 à Anglet et mort en 1998 à Aix-les-Bains, est un joueur français de rugby à XV, demi d'ouverture du Biarritz olympique de 1964 à 1973, puis du RC Narbonne à compter de 1974 ainsi que de l'équipe de France ;
- Claire Noblia, née à Anglet en 1942, est une femme politique, présidente pour le Pays basque français du parti nationaliste basque EAJ-PNV de juin 2008 à juillet 2009 ;
- José Miguel Beñarán Ordeñana, né en 1949 à Arrigorriaga (Biscaye, Espagne, est un théoricien marxiste et dirigeant révolutionnaire de l'indépendantisme basque (Euskadi ta Askatasuna). Il fut tué le 21 décembre 1978 à Anglet, par l'explosion d'une bombe placée dans sa voiture.
Notes et références
- Gentilé sur habitants.fr
- Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux - Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, 2009 (ISBN 978-2-35077-151-9)
- Plan du réseau Chronoplus à partir du 31 janvier 2010, consulté le 14 février 2010.
- Géoportail - Institut géographique national (France), « Géoportail ». Consulté le 16 octobre 2011
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- Bayonne ou Livre d'Or - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques Cartulaire de
- Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque, Presses universitaires de Bordeaux 2006 (ISBN 2 86781 396 4), page 28
- Manuscrits du XVIIe et du XVIIIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Bénédicte Boyrie-Fénié, Dictionnaire toponymique des communes des Landes et du Bas-Adour, éd. Cairn, 2005, p. 255
- Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1947, réédition 1975 (ISBN 2 7003 0038 6)
- Intercommunalité des Pyrénées-Atlantiques ». Consulté le 12 novembre 2011 Cellule informatique préfecture 64, «
- Annuaire des villes jumelées
- Fiche d'Anglet sur le site du projet Cassini de l'EHESS
- Site de la ville d'Anglet - Fiche économique
- Rapport 2007 de la société Guyenne et Gascogne
- Magazine Linéaires
- Le buffet de Christian Ortet, sur la base Palissy, ministère de la Culture
- La table de Christian Ortet et Jean Lesquibe, sur la base Palissy, ministère de la Culture
- La table-bureau et le fauteuil de la villa Gomez, sur la base Palissy, ministère de la Culture
- L'ancien cloître des Dominicains, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Le tableau représentant Louis-Édouard Cestac, sur la base Palissy, ministère de la Culture
- Site de la ville d'Anglet - Fiche enfance - jeunesse
- Site de la ville d’Anglet - Fiche parc universitaire Montaury
- Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 17/12/2009.
- Dojo Angloy Aikido
- Site du club hippique de la côte basque
- Anglet Surf Club
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
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