Castelsarrasin

Castelsarrasin
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44° 02′ 27″ N 1° 06′ 28″ E / 44.0408333333, 1.10777777778

Castelsarrasin
Place de la Liberté.
Place de la Liberté.
Armoiries
Administration
Pays France
Région Midi-Pyrénées
Département Tarn-et-Garonne
(sous-préfecture)
Arrondissement Castelsarrasin
(chef-lieu)
Canton chef-lieu de Castelsarrasin-1 et Castelsarrasin-2
Code commune 82033
Code postal 82100
Maire
Mandat en cours
Bernard Dagen
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes Castelsarrasin Moissac
Démographie
Population 13 350 hab. (2006)
Densité 174 hab./km²
Gentilé Castelsarrasinois
Géographie
Coordonnées 44° 02′ 27″ Nord
       1° 06′ 28″ Est
/ 44.0408333333, 1.10777777778
Altitudes mini. 61 m — maxi. 97 m
Superficie 76,77 km2

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Castelsarrasin (parfois orthographiée en « Castelsarrazin » / occitan : Los Sarrasins) est une commune française, située dans le département de Tarn-et-Garonne dont elle est la sous-préfecture, en région Midi-Pyrénées.

Ses habitants sont appelés les Castelsarrasinois.

Pendant la Révolution française la ville fut appelée Mont-Sarrazin.

Sommaire

Géographie

Castelsarrasin se situe sur la Garonne, qui passe au sud-ouest de la commune, à 21 km à l'ouest de Montauban sur les voies de communications que sont la ligne Bordeaux - Sète et la route nationale 113

Accès par l'autoroute A62 sortie sortie 09 et par la Gare de Castelsarrasin.

Histoire

La première trace certaine de l’existence de Castelsarrasin remonte à l’an 961. Son nom, Castel Sarracenum, indiquerait « le château construit à la manière des Sarrasins ». Mais il semble bien que les Arabes n’aient en aucun cas participé à la création du lieu. Cette année-là, Raymond II, comte de Rouergue, donne par testament à l’abbaye de Moissac, l’église Saint-Sauveur (nom toujours actuel de l’église de la ville - voir photo) et ses terres.

Le début de l’histoire de la ville est marqué par les guerres : contre les Anglais jusqu’à la fin du XIIe siècle, puis Croisade des Albigeois pendant la première moitié du XIIIe siècle. À cette époque, la ville est administrée par des consuls et reçoit ses premières coutumes (textes de droit régissant la ville) en 1230. Au XIVe siècle, la folie religieuse fait encore des ravages, et en 1320, lors de la Deuxième Croisade des Pastoureaux des milliers de Juifs seront tués dans la région, dont 160 rien qu'à Castelsarrasin. et au cours de ce siècle et du siècle suivant, les inondations, la peste, et surtout la guerre de Cent Ans vont ravager le pays qui ne connaîtra que quelques dizaines d’années d’accalmie au début du XVIe.

Car, dès 1560, débutent les guerres de religion durant lesquelles, Castelsarrasin la catholique, est aux prises avec le reste de la région, plutôt protestant. L’église Saint-Sauveur est d’ailleurs une des rares qui ait échappé à la destruction dans le secteur.

À la fin du XVIIe siècle, Antoine Laumet, dit Lamothe Cadillac naquit à Saint-Nicolas-de-la-Grave, non loin de Castelsarrasin. Envoyé par le Roi de France aux Amériques, il y fonda la ville de Détroit, puis fut nommé gouverneur de Louisiane en 1710. En signe de reconnaissance, Détroit donna son nom à la célèbre marque d’automobiles et des « Rencontres Cadillac » sont célébrées tous les deux ans à Castelsarrasin.

Revenu en France, il devint gouverneur de Castelsarrasin le 11 février 1723 et y meurt quelques années plus tard, en octobre 1730.

Les siècles suivants, jusqu’à la Révolution de 1789, seront plus calmes. À Castelsarrasin, comme partout en France, la fin du XVIIIe siècle sera agitée, avec la mise en place de la République, puis du 1er empire.

À partir de 1850, la ville qui compte 7000 habitants commence à se développer et à s’étendre, en particulier grâce à l’arrivée du chemin de fer, puis de « l’Usine ». De même, en 1875, une caserne est construite ; la ville a encore aujourd’hui son régiment qui contribue largement à son dynamisme.

Au printemps 1944, une partie du division « Das Reich » y est cantonné, avant d’être appelé en Normandie et de commettre de nombreuses exactions et massacres en route, dont celui d’Oradour-sur-Glane[1].

Au XXe siècle, malgré les terribles saignées des deux guerres, la ville poursuit son expansion jusqu’à nos jours où elle s’affirme comme le deuxième site économique du Tarn-et-Garonne.

En mai 1968, la sous-préfecture de Tarn-et-Garonne est après Montauban, la deuxième ville où le mouvement de grève s'étend. « Au contraire de ce que l'on aurait pu penser, l'usine Cégédur-Péchiney, avec son millier d'ouvriers métallos, ne sera pas le fer de lance des manifestations de ce mai 68 castelsarrasinois, et c'est encore moins la CGT, le syndicat le plus puissant au sein de l'usine, qui en a été l'instigateur. »[2] Ce sont bien les lycéens, aidés par leurs surveillants, dont beaucoup étaient encartés au PSU, qui ont lancé le mouvement[2]. Dans ce département presqu’essentiellement agricole, les paysans ne seront pas en reste. Le leader syndicaliste communiste, Paul Ardouin qui a fait ses classes auprès de Renaud Jean parvient à mobiliser plusieurs centaines de petits exploitants agricoles[2].

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1914 1920 Henri Pottevin RAD Chercheur à l'institut Pasteur
1920 1941 Joseph Flamens RAD  
1941 1977 Adrien Alary RAD puis SFIO à partir de 1947 et enfin à partir de 1972 PS Assureur
1977 1983 Pierre Boé RAD Pharmacien
1983 1985 Pierre Montet PS Fonctionnaire enseignant
1985 1989 Antoine Molina PS  
mars 1989 2014 Bernard Dagen SE Pharmacien Conseiller général

Démographie

Évolution démographique
(Source : Cassini[3] et INSEE[4])

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6 500 6 104 6 487 6 946 7 092 7 408 7 008 7 250 7 208
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
6 894 6 838 6 835 6 514 6 906 7 245 7 590 7 772 7 871
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
7 858 7 496 6 996 6 707 7 546 8 040 7 768 8 360 10 098
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2009    
10 388 11 318 10 752 10 924 11 317 11 352 13 218[5]    

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Économie

Industrie

  • L'usine de Castelsarrasin a été un atelier monétaire en 1914 et de 1943 à 1946[6]. Les monnaies qui y furent frappées sont marquées d'un « C » au-dessus de la date. En 1914, il avait été créé un atelier de fortune dans le sud de la France, en prévision d'un éventuel siège de Paris. Usine française des métaux, l'entreprise est rachetée par le groupe Cégédur, puis Péchiney. À cette date, au début des années 70, l’entreprise perd au début de la crise de métallurgie française, la majorité de ses effectifs. À la fin des années 90, l’unité castelsarrasinoise est rachetée par la multinationale Alcan, et en 2005, par le groupe Rio Tinto[7]. Une autre partie de l'usine a été reprise par le groupe Alcoa[8].
  • L'usine de lave et de quartz émaillé (Pyrolave) qui emploie plus d'une centaine de salariés, est leader mondial de l'utilisation de la lave, et 2e dans l'exploitation du quartz. Au départ familiale, l'entreprise a été rachetée, en juin 2008, par le groupe Finalp qui détient Mobalpa tout en demeurant sur le site de Castelsarrasin[9].
  • La commune possède aux deux extrémités de son périmètre, deux sites classés « Seveso 2 seuil haut ». Le plus haut niveau depuis l’accident d’AZF de Toulouse. Entre Castelsarrasin et Moissac, le site de l'entreprise de dépôt de gaz Butagaz, sur la zone de Barrès 2, suscite de nombreux questionnement avec la future application du dispositif du Plan de prévention des risques technologiques (PPRT) qui risque de réduire le développement économique de cette ZAC[10]. La zone intercommunale est d'ailleurs depuis septembre 2009, au coeur d'un imbroglio judiciaire lancé par le sous-préfet Patrick Cousinard qui dénonce les permis de construire de l'entreprise Delrieu[11]. Dans le même temps, il provoque le fort mécontentement des riverains du site qui doivent engager d’importants travaux de mises en sécurité de leur habitation[12].

De l’autre côté de la ville, c'est le site de ravitaillement et de stockage du service des essences de l'Armée qui est aussi concerné par la même dangerosité.

Agriculture

  • Le marché au gras de Castelsarrasin demeure l'un des plus réputés de la région Midi-Pyrénées, après ceux du Gers voisins. C'est sous la halle occitane aujourd'hui que se déroule de novembre à avril, ce marché hebdomadaire où les producteurs et éleveurs de tout le département viennent écouler leurs canards, oies, dindons et autres volailles grasses. Malgré les gros efforts de la commune pour maintenir la tradition des concours au gras et des marchés, cette production qui « pourtant ne connaît pas la crise »[13], est en voie de disparition.

Infrastructures

  • La ville possède un aérodrome dans le quartier de Gandalou (LFCX) (Aéroport de Castelsarrasin - Moissac) depuis le 22 juin 1935. « Cet aérodrome est au centre d'un projet d'étude visant à en faire à moyen terme un aéroport qui pourrait accueillir des vols low cost et des avions d’affaire. »[14] Un projet qui nécessitera de lourds investissements sur près d'une décennie. En attendant, l’étude diligentée par la communauté de communes de Castelsarrasin-Moissac préconise la reprise en main du site par l'intercommunalité.

Administration

  • 31e régiment du génie, installé depuis 1971, compte environ 1200 hommes. « Le régiment castelsarrasinois sera l'un des grands gagnants de la réforme du livre blanc puisqu'il bénéficiera de deux nouvelles unités de combats d'ici 2010. »[15]

Lieux et monuments

Église Saint-Sauveur

Elle se situe place de la Raison. Inscrite sur la liste supplémentaire de l’inventaire général des Monuments historiques.

Église Saint-Sauveur

Mentionnée dès 961, l’église Saint-Sauveur fut reconstruite en 1254, « d’une manière somptueuse ». Elle assura jusqu’en 1626 des fonctions conventuelles (prieuré de l’abbaye de Moissac) et demeura jusqu’à la Révolution de 1789 la plus importante des églises du diocèse Bas-Montauban.

Elle est entièrement bâtie en briques, type même d’architecture du premier gothique avec nef et transept voûtés d’ogives et collatéraux couverts d’un berceau brisé roman.

Elle présente les caractéristiques suivantes :

  • clocher-tour de forme octogonale, à 2 étages séparés par un cordon extérieur. 32 fenêtres géminées et à plein cintre ;
  • mobilier des XVIIe et XVIIIe siècles classé Monument historique. Il se compose de splendides boiseries provenant pour la plupart de l’ancienne abbaye de Belleperche acquises en janvier 1799 et d’autels et anges de marbre ;
  • vitraux signés et datés de Joseph Villiet, Louis Gesta et Henri Feur ;
  • vitrine présentant divers objets de culte derrière le maître-autel. L’église abrite les reliques du patron de la ville, saint Alpinien, compagnon de saint Martial, évangélisateurs de la province gauloise appelée Aquitaine (XIIIe siècle) ;
  • boiseries provenant de l’abbaye de Belleperche, acquises en janvier 1799, à savoir :
    • un buffet d’orgue (XVIIIe siècle) dont le thème est l’enseignement musical ;
    • des stalles du XVIIe siècle. Le chœur n’en abrite que 39 sur les 80 d’origine ;
    • une porte (XVIIIe siècle) représentant certainement des membres de la famille d’Arcombald, fondatrice et bienfaitrice de l’abbaye de Belleperche ;
    • la chaire (XVIIe et XVIIIe siècles) ;
    • les prie-Dieu (XVIIIe siècle) ;
    • la porte (XVIIe siècle) de la sacristie représentant les apôtres Pierre et Paul sculptés en relief de façon tout à fait magistrale.
  • marbres :
    • le maître-autel (XVIIIe siècle) tout en marbres polychromes ;
    • les anges adorateurs (XVIIIe siècle) taillés dans un marbre blanc très pur ;
    • l’autel de la chapelle Saint-Alpinien (XVIIIe siècle) composé de marbres polychromes ;
    • les bénitiers (XVIIe et XVIIIe siècles) proviennent certainement de Belleperche.
  • autre mobilier :
    • une statue de la Vierge à l’Enfant en bois sculpté fin XVe - début XVIe siècle ;
    • une statue de bois polychrome (XVIIIe siècle) ;
    • une châsse en bois doré (XIXe siècle) contenant les reliques de saint Alpinien ;
    • un pavillon en bois doré (XVIIIe siècle).

Église Saint-Jean

Elle se situe à l'extrémité nord de la rue Paul-Descazeaux.
Les Chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem sont présents dans la campagne environnante dès le XIIe siècle (église Saint-Jean des Vignes). Mentionnée dès 1216 en ville, l’église est reconstruite partiellement en 1515.

  • Bâtie de brique, architecture lourde, voûtes d’ogives basses.
  • Clocher-tour à 2 étages, chacune de ses faces ajourée de deux fenêtres, à plein cintre, deuxième étage surmonté d’une flèche hexagonale à arêtes aux faces ajourées de petites ouvertures en forme de croix de Malte.
  • Vitraux de L. V. Gesta de Toulouse
  • Décoration intérieure réalisée en 1924 par le peintre tarn-et-garonnais Gaillard-Lala. Intéressantes armoiries de personnages locaux.

Chapelle Notre-Dame d’Alem

Le premier titre attestant l’existence de cette chapelle date du 7 juin 1210. De tout temps la renommée de Notre Dame d’Alem fut grande. La chapelle a longtemps détourné vers elle les Jacobites passant par Toulouse et Moissac. Détruite à trois reprises (Guerre de Cent Ans, Guerres de Religion et Révolution de 1789), elle est encore aujourd’hui debout.

Elle doit deux de ses résurrections à deux « miracles » :

  • le vœu de Sancerre lors de la Guerre de Cent Ans. Le maréchal Louis de Sancerre, réfugié dans les ruines de la chapelle, implore la Vierge et promet de rebâtir celle-ci s’il remporte la victoire.
  • le vœu de Galatoire d’Espagne pendant la Révolution. Emprisonné dans le couvent de la Visitation, ce noble, parent d’émigrés promet de rebâtir la chapelle, s’il échappe à la guillotine.

Les anciens établissements religieux de la ville

Castelsarrasin comptait cinq établissements religieux. Deux d’entre eux ont été ruinés à la Révolution Française.

  • Monastère des Capucins (1602-1793). Pas de vestiges.
  • Monastère des Carmes (1282-1794) à l'emplacement de l’hôtel de ville actuel, de l’ancien tribunal et de l’ancienne gendarmerie.
Vestiges :
Clocher XVIe siècle, en briques, hexagonal à sa base et heptagonal dans ses deux étages supérieurs.
Portail de l’église de la fin XIIIe siècle en plein cintre, encadrée par un long arceau en ogives à trois boudins.
  • Couvent des Ursulines (1642-1792) à l'emplacement de la sous-préfecture actuelle.
Vestiges :
Intérieurs : Une galerie du cloître, salles voûtées
Extérieurs : une tour d’angle
  • Prieuré de Saint-Jean (1282-1789) à l'emplacement du couvent et de la chapelle des sœurs de la Compassion.

L’hôtel de ville

l'horloge de Lepaut au fronton de la mairie avec les statues de Minerve et Cérès

Il se situe place de la Liberté. Il a été construit par l’architecte Rivet en 1827 et possède une horloge éclairante fabriquée par le plus grand horloger de l'époque, le parisien Lepaut, en 1847 ; cette horloge étant encadrée des statues de Minerve (commerce) et Cérès (agriculture), œuvre du sculpteur toulousain Palat.

Curiosités

Plusieurs édifices ou rues méritent la visite.

Construite fin XVe début XVIe siècle. Classée monument historique. Fenêtres Renaissance. Sculptures des culots et supports de fenêtres : animal et feuillage.

  • Hôtel Lamothe-Cadillac (no 6 place Lamothe-Cadillac) Privé

Dite « maison des gouverneurs », Lamothe-Cadillac, fondateur de Détroit, y vécut de 1723 à 1730. Façade XVIIIe siècle, cour intérieure XVIIe siècle. Plaque commémorative.

  • Maison de l’abbé de Prades (9, rue du commandant Châtinières, privée). Maison natale de l’abbé Jean-Martin de Prades, collaborateur à l’Encyclopédie. Construction XVIIIe siècle. Sculptures du portail : masque et guirlandes. Plaque commémorative.
    Maison à colombages
  • Maison à colombage (49, rue de la Révolution, privée). Construction XVIe siècle. Façade en pans de bois.
  • Rue de la Discrétion. Typique du Moyen Âge. Fenêtres à meneaux début XVIe siècle.
  • Rue de la Solitude. Typique du Moyen Âge.
Monument aux morts
Port Jacques-Yves Cousteau
  • Port Jacques-Yves Cousteau : Port Jacques-Yves Cousteau du Canal latéral à la Garonne. Une création signée de l’artiste néerlandais, Ruudt Wackers a été installé sur ce site. « Une sculpture représentant un navire en acier rouillé sur laquelle est projeté en continu un jet d'eau qui a fait beaucoup parler, et continue encore d'intriguer les passants, ce qui n'est pas pour déplaire à cet artiste au talent et à la vie hors norme. »[16]

Personnalités liées à la commune

Vie locale

Éducation

Service public

Sport

Culture

Jumelage

Notes et références

  1. Stéphane Simonnet, Atlas de la Libération de la France, éd. Autrement, Paris, 1994, réimp. 2004 (ISBN 2-7467-0495-1) , p 43
  2. a, b et c Max Lagarrigue, Castelsarrasin-Moissac : « Ce sont les lycéens qui ont lancé 68 », in La Dépêche du Midi, 20/05/2008.
  3. http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
  4. INSEE : Population depuis le recensement de 1962
  5. Recensement de 2006 des communes de Tarn-et-Garonne
  6. P. Garesio, 1914, une grève castelsarrasinoise, Montauban, revue Arkheia, n°7-8-9, 2003.
  7. Max Lagarrigue, « Pas d'OPA pour l'usine Rio Tinto », in La Dépêche du Midi, 30 novembre 2008.
  8. Max Lagarrigue, Alcoa : six licenciements d'ici la fin de l'année, La Dépêche du Midi, 21/10/2009.
  9. Max Lagarrigue, « Ce rachat va nous permettre de résister », La Dépêche du Midi, 17/07/2008, et Ils transforment le quartz en or, La Dépêche du Midi, 09/02/2008, et La zone de Barrès au cœur des préoccupations, La Dépêche du Midi, 27/09/2008.
  10. Max Lagarrigue, Exercice grandeur nature autour de Butagaz, La Dépêche du Midi, 19/12/2007.
  11. Max Lagarrigue, L'État débouté, la mairie confortée, La Dépêche du Midi, 20/12/2009 et Le maire se pourvoit devant le Conseil d'État, La Dépêche du Midi, 18/03/2010
  12. Les riverains de l'usine devront payer pour leur sécurité, La Dépêche du Midi, 16/03/2010.
  13. Max Lagarrigue, Le gras fait toujours recette, La Dépêche du Midi, 19/12/2008.
  14. Max Lagarrigue, Une compagnie low cost à l'aérodrome ?, in La Dépêche du Midi, 8/10/2008 et Que faire de l’aérodrome de Gandalou ?, La Dépêche du Midi, 27/03/2010.
  15. Max Lagarrigue, La caserne Marescot va devoir s'agrandir, in La Dépêche du Midi, 06/09/2008 et La caserne Marescot pousse ses murs, La Dépêche du Midi, 01/04/2010.
  16. Max Lagarrigue, Wackers va encore frapper les esprits, in La Dépêche du Midi, 21/12/2008.
  17. Max Lagarrigue, Le CAC cyclisme se classe parmi les 10 meilleurs club de France, in La Dépêche du Midi, 25/08/2008.

Voir aussi

Liens internes

Liens externes


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