- Armorial des familles nobles et notables de picardie
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Armorial des familles nobles et notables de Picardie
L'Armorial des familles nobles et notables de Picardie recense les armoiries, sous forme de figures et de blasonnements, ainsi que les devises des familles nobles et notables de Picardie qui ont possédé des fiefs en Picardie. Il faut rappeler qu'en héraldique, un armorial est un recueil d'armoiries. Certains sont illustrés, d'autres se limitent à donner une liste de blasonnements.
La Picardie sous l'ancien Régime
Le mot « picard » ne semble avoir été employé qu'à partir du XIIe siècle pour désigner les habitants des régions situées au nord de Paris qui ne parlaient pas le flamand : c'est ainsi que des villes telles qu'Arras, Boulogne, Calais, Cambrai ou Tournai étaient considérées comme « picardes ».
Sous les princes de la première race, la Picardie demeura inféodée au domaine royal ; elle faisait partie de ce qu'on appelait alors la France. Ce fait s'explique quand on se rappelle que, jusqu'à Charlemagne, Soissons fut, à vrai dire, la capitale de la monarchie franque et la résidence la plus habituelle des rois. Sous les successeurs du grand empereur, l'immensité des possessions conquises nécessita la création de comtes ou lieutenants, chargés de gouverner les provinces au nom du souverain, qui en vivait éloigné.
C'est en 823 que nous voyons Louis le Débonnaire abandonner pour la première fois l'administration de la Picardie à un comte. On sait quels furent les rapides envahissements de ces nouveaux pouvoirs, et en combien de lieux et de circonstances ils parvinrent à se rendre indépendants. Grâce à l'inamovibilité des fiefs féodaux, les alliances de famille concentrèrent bientôt entre les mains de quelques seigneurs une puissance rivale de celle des rois. Le développement de ces usurpations remplit toute la seconde race et aboutit au triomphe définitif, au couronnement de la haute féodalité dans la personne des Capet, comtes de Paris.
La Picardie suivit la loi générale. Un Philippe d'Alsace, comte de Flandre, qui avait épousé une comtesse de Vermandois, voulut, après la mort de sa femme, retenir le comté d'Amiens, qui devait retourner à Aliénor, comtesse la Saint-Quentin, sœur cadette de la défunte. L'injustice de cette prétention était si flagrante, et l'ambition du comte Philippe prenait des proportions si menaçantes, que le roi de France crut devoir enfin intervenir ; il ne s'agissait ni de remontrances ni d'arbitrage, c'est une guerre sérieuse qu'il fallut entreprendre pour réduire l'ambitieux vassal ; et encore une dernière satisfaction lui fut-elle donnée par le traité de paix qui intervint . il fut convenu que le beau-frère et la belle-soeur jouiraient successivement de la province en litige, et qu'après leur mort elle appartiendrait à la, couronne.
C'est à Philippe Auguste qu'on doit cet arrangement, qui fit rentrer la partie la plus importante de la Picardie dans le domaine national. Le Ponthieu, dont Abbeville est la capitale, passa successivement dans les maisons d'Alençon, de Dammartin, de Castille et d'Angleterre. Philippe de Valois le reprit sur Édouard III par confiscation ; ce comté, ainsi que celui de Santerre (territoire de Péronne), avait été rattaché à la couronne, lorsque Charles VII, en 1435, engagea au duc de Bourgogne, pour quatre cent mille écus, toutes les villes situées sur la Somme.
Le droit des rois de France étant enfin reconnu, cette aliénation ne devait être que momentanée. Le premier soin de Louis XI, deux ans après son avènement au trône, en 1463, fut d'acquitter la dette contractée par son père et de rentrer dans l'entière possession de la Picardie.
Depuis cette époque, la province n'a pas cessé d'être française. Elle comprenait alors l'Amiénois, le Boulonnais, le Ponthieu, le Santerre, le Vermandois, le Thiérache, le Pays reconquis, le Beauvaisis, le Noyonnais et le Laonnais ; on y réunit l'Artois. Dans la suite, les territoires du Beauvais, Noyon et Laon en furent détachés au profit de l'lle-de-France ; puis, en 1790, dans la dernière division du sol français en départements, Boulogne et Montreuil furent affectés au Pas-de-Calais ; l'Aisne eut les arrondissements de Saint-Quentin et de Vervins ; tout le reste forma le département de la Somme.
Depuis la réunion de la Picardie à la France, son histoire, comme province, se confond avec l'histoire générale du pays. L'intérêt et l'importance des événements qui s'y sont passés sont tout entiers dans les chroniques particulières des villes ; nous y renverrons donc le lecteur, nous contentant ici de quelques observations sur la physionomie générale de la province.
La grande lutte de Charles le Téméraire trouvera sa place dans la notice de Péronne, et les chroniques d'Amiens nous diront l'histoire de la rivalité des maisons de France et d'Espagne. Ce qu'il importe de constater ici, comme aperçu synthétique, c'est la profonde empreinte laissée sur le sol picard par chacune des grandes crises sociales qui ont tour à tour transformé notre pays. Le caractère des habitants, lent et paresseux dans ses évolutions spéculatives, défiant dans sa naïveté, après avoir opposé aux principes nouveaux une résistance obstinée, s'en est laissé pénétrer plus profondément qu'aucun autre.
Nous avons parlé de l'enracinement des croyances païennes en face de la Gaule presque entièrement convertie au christianisme ; dès que la vraie foi se fut emparée des intelligences et des coeurs, la Picardie devint le pays le plus religieux peut-être de la chrétienté. Est-il besoin de citer les fameuses écoles monastiques de Corbie et de Saint-Ricquier, les pèlerinages si célèbres et si fréquentés à Notre-Dame de Liesse, à Notre-Dame de Boulogne et à l'église du Saint-Esprit de Rue ?
L'époque des croisades surtout éclate en glorieux témoignages de la piété des Picards ; et, pour emprunter les paroles d'un historien moderne de la province, c'est un Picard, Pierre l'Hermite, qui prêche la première croisade et marche à l'avant-garde ; c'est un Picard, le baron Creton d'Estourmel, qui, le premier, plante sa bannière sur les murs de Jérusalem, et sa famille, en mémoire de ce fait d'armes, inscrit sur son blason cette noble devise : « Vaillant sur la crête » ; enfin, c'est un Picard, Godefroy de Bouillon, le plus glorieux peut-être, qui porta le premier la couronne de Jérusalem. Voilà pour le sentiment religieux.
Quant à l'esprit féodal, les preuves de son développement, en Picardie, sont bien plus nombreuses encore. Suivant le même auteur, on comptait dans la mouvance directe du comté de Ponthieu 250 fiefs et plus de 400 arrière-fiefs ; dans la mouvance du comté de Guines, 12 baronnies et 12 pairies.
La plupart des seigneurs avaient haute et basse justice, et sur aucun point du royaume peut-être le droit féodal ne présentait des usages plus bizarres, des symboles plus étranges. Les familles nobles, sous le règne de Louis XIV, étaient au nombre de 500, toutes d'origine ancienne ; et, parmi les plus illustres, nous citerons les maisons d'Ailly, de Boufflers, de Créqui, de, Rambures, d'Estrée, d'Humières, de Melun, de La Motte-Houdancourt, de Gamaches, de Mailly, de Rubempré, de Senarpont ; n'oublions pas qu'outre Godefroy de Bouillon, la noblesse picarde a donné huit rois au trône de, Jérusalem.
Non, cependant, que la sève du pays soit épuisée par cette exubérance de floraison aristocratique ; lorsqu'à bout de résignation et de patience, après un long et sérieux travail des esprits, l'indépendance municipale essayera ses premières manifestations, quels magnifiques exemples d'habile persévérance, de courageuse initiative et d'invincible fermeté, les villes de Picardie ne donneront-elles pas au reste de la France ?
Vers 1250, l'affranchissement des communes était à peu près complet dans la province entière. Cette vaillance proverbiale des Picards, mise au service des intérêts locaux, n'a jamais fait défaut non plus dans les grandes questions nationales ; depuis Bouvines jusqu'aux immortelles campagnes de la République et de l'Empire, les Picards ont toujours marché au premier rang parmi les défenseurs de la patrie ; le bataillon de la Somme fut toujours un de ceux qui se firent le plus remarquer par leur valeur et leur patriotisme.
Pendant près de deux siècles, de la mort de Charles le Téméraire au traité des Pyrénées, soit entre 1477 et 1659, la Picardie a constitué une province frontière de la France. On distinguait alors la Basse-Picardie (Calaisis, Boulonnais, Ponthieu, Marquenterre, Vimeu) et la Haute-Picardie (Amiénois, Santerre, Vermandois, Thiérache).
Lors de la création des départements, en 1790, la majeure partie des régions de la Picardie forma le département de la Somme, le reste étant partagé entre les départements de l’Aisne (Thiérache et partie du Vermandois), de l’Oise (parties de l’Amiénois et du Santerre) et du Pas-de-Calais (Boulonnais, Calaisis, parties du Ponthieu et du Marquenterre).
Armes de la Picardie
Figure la Picardie écartelé au premier et au quatrième d’azur aux trois fleurs de lys d’or, au deuxième et au troisième d’argent aux trois lionceaux de gueules
Familles comtales
Articles détaillés : Liste des comtes d'Amiens, Liste des comtes de Vexin et Liste des comtes et ducs de Valois.Image Nom de la famille, blasonnement et devise Périodes d’apparition et disparition Titre(s) et domaine(s) d'origine Maison de Vermandois Article détaillé : Liste des comtes de Vermandois.échiqueté d'or et d'azur[1].
Avant le IXe siècle. Eteinte au XIVe siècle. Issu de la maison de France comte de Vermandois avoué d'Amiens Maison de Ponthieu Article détaillé : Liste des comtes de Ponthieu.d'or aux trois bandes d'azur à la bordure de gueules [2].
Au VIIIe siècle. Eteinte au XVe siècle. Comtes et souverains de Ponthieu, avoué de Saint Valery et de Saint Riquier... Comtes de Soissons Article détaillé : Liste des comtes de Soissons.D'or, au lion léopardé de gueules, armé d'or et lampassé d'azur, à la bordure du deuxième[3].
Au IXe siècle. Eteinte au XVIIIe siècle. comtes de Soissons,paires de Picardie Comtes d'Aumale [4] d'argent à la bande de gueules chargée de trois besants d'or[5].
Au Xe siècle. Eteinte au XIVe siècle. Comtes puis ducs d'Aumale La noblesse picarde
La féodalité
La Picardie se compose de plusieurs sous-régions, qui étaient des comtés, vicomtés ou bailliage et sénéchaussée. Depuis l'an 1463, la province n'a pas cessé d'être française. Elle comprenait alors l'Amiénois, le Boulonnais, le Ponthieu, le Santerre, le Vermandois, la Thiérache, puis le Beauvaisis, le Noyonnais et le Laonnais.
D'après René de Belleval, on compterait une cinquantaine de feudataires et plus d'une centaine d'arrière-fiefs rien que dans le Pays de Somme[6], les comtes de Montreuil (future Maison de Ponthieu[7]) contrôlent la côte maritime, les Comtes de Vermandois contrôlent Amiens et le Vermandois [8], la Maison de Clermont-en-Beauvaisis et celle des comtes de Soissons contrôlèrent le sud de la Picardie ; en second ordre, la Maison d'Abbeville, la Maison de Breteuil, Maison de Mons-Boubert, les sires de Coucy, les sires de Picquigny, les sires de Vismes, de Cambron, d'Albert, et autres [9].
Armorial des Grands-Fiefs Picards par comtés
- I Le Comté de Ponthieu
Figure Nom de la famille et blasonnement Comte de Ponthieu d'or aux trois bandes d'azur à la bordure de gueules[10].
Maison d'Abbeville D'or à trois écussons de gueules[11]
Maison d'Auxy (Le Chateau) Échiqueté d'or et de gueules[12].
Famille de Bailleul - armes anciennes : d'argent à la bande de gueules[13]
- Écartelé aux 1 et 4 d'(argent) à la bande de (gueules) (Bailleul de Lesdain) aux 2 et 3 contre-écartelé a) et d) trois rocs b) et c) un lion[13].
Famille de Boubers(de Boubers d'Abbeville-Tunc) 'Écartelé au 1 d'or à trois fasces de gueules à une branche de gui de chêne de sinople brochant sur les fasces (Walbert) au 2 d'or à trois bandes de gueules (Ponthieu ancien) au 3 d'argent à trois écussons de gueules (Boubers) au 4 d'or à la croix de sable ch de cinq coquilles d'argent (Rayneval-Bernâtre) Sur le tout d'or à trois écussons de gueules (Abbeville-Boubers-Tune)[13]
- Supports : deux tritons sonnant de la conque marine au naturel.
- Cri : ABBEVILLE !
- Devise: SANS AYDE et FIDELIOR IN ADVERSIS.
Parti d'or et d'azur à la croix ancrée de gueules brochant sur le tout[13].
Parti de gueules et d'argent à la croix ancrée de l'un en l'autre[13].
Famille de Fontaines[15] D'or à trois écussons de vair.[13].
Maison de Saint Valery D'azur fretté d'or semé de fleurs-de-lis du second dans les claires-voies[16]
Maison de Vismes D'azur fretté d'or semé de fleurs-de-lis du second dans les claires-voies, [17] Quant à la seignerie de Vismes D'argent, au chevron de gueules, accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant du même[18]
- II Le Comté de Vermandois
Figure Nom de la famille et blasonnement Comte de Vermandois Echiqueté d'or et d'azur[19].
Maison de Boves Fascé de vair et de gueules (Coucy), à la cotice d'or, brochant sur-le-tout[13].
Maison de Clermont De gueules semés de trèfles d'or, deux bars adossés de même[20]
On trouve également:d'azur à cinq gerbes de blé d'or disposées en croix[21] .
Maison Dreux d'Amiens De gueules aux trois chevrons de vair.
Maison de Ham D'or à trois croissants de gueules, posées 2 et 1[22].
Famille de Picquigny, Fascé d'hermine et d'azur, à la bordure de gueules[23].
Famille de Roye De gueules, à la bande d'argent[24].
- Cimier : Une tête de sanglier d'argent, issant d'une couronne du même.
Maison de Poix[25] D'argent, à la croix de gueules, frettée d'or[26].
- III le Laonois
Figure Nom de la famille et blasonnement Maison de Coucy Fascé de vair et de gueules (Coucy), à la cotice d'or, brochant sur-le-tout[13].
Famille de Roucy burellées d'argent et de gueules de dix pièces[13]
Famille de Ville D'argent à la fasce de gueules[13].
- IV Le Beauvaisis et Comté de Clermont
Figure Nom de la famille et blasonnement Eveques et comte de Bauvais D'or, à la croix de gueules, cantonnées de quatre clés du même, adossées deux à deux.[27]
Comte de Clermont-en-Beauvaisis De gueules semés de trèfles d'or, deux bars adossés de même[28] On trouve également:d'azur à cinq gerbes de blé d'or disposées en croix[29] .
Comte de Blois et de Clermont-en-Beauvaisis azur, à une bande d'argent, cotoyée de deux cotices d'or [30]
Les pairies de Picardie
Les pairs sont des chevaliers qui se distinguent, au sein du groupe aristocratique d’une principauté, d’un comté ou d’une simple châtellenie, par leur appartenance à un collège restreint de vassaux effectuant des prestations spécifiques au château principal de leur seigneur. Cette dignité nommée en latin « paria » ou « paritas » conférait au possesseur de la terre le titre de « pair » qui signifie « égal ». Il s’agit de vassaux supérieurs .
Les pairs exerçaient une fonction militaire compagnon d’armes du Comte et une fonction judiciaire. René de Belleval et Lucien Groué nous donne la liste des pairies picardes, le titre de pair était un titre honorifique, réservé aux hauts dignitaires nobles. Ce titre était héréditaire de mâle en mâle, grâce à ce titre le dignitaire avait le droit de siéger au parlement, et pouvait même assister au sacre du Roi.[31], dont voici les plus connus :Abbeville, Mons-Boubert, Mareuil, Embreville, Fontaine, Valines, Grand-Laviers, Vismes, Pont-Remy, Helicourt, Coucy, Soissons, Noyon, Beauvais, Saint-Simon, Warty, Guise, Poix, Cagny, Chaulnes, Laon, Chauny, Noailles ,Gauchy, Picquigny, Clermont, Boulogne, Montreuil, Roye et Albert.La pairie se révèle surtout dans le courant du XIIe siècle. Son aire de diffusion est étroitement circonscrite : sud de la Flandre, Artois et Picardie pour l’essentiel, avec une extension dans la vallée de la Meuse. La pairie soulève de nombreuses questions, touchant ses origines, son développement, le statut des individus concernés, leurs fonctions, leurs rapports avec le seigneur qu’ils entourent et, partant, la signification politique et symbolique de l’institution. Ces lacunes s’expliquent à la fois par la pauvreté de la documentation et par l’absence d’approche globale du phénomène dans l’historiographie .
Qu’ils soient dits « de château » et/ou « de principauté », les pairs sont toujours recrutés parmi les chevaliers les plus en vue de la circonscription commandée par leur forteresse d’attache. Les rédacteurs de chartes ont pour habitude de les distinguer des autres vassaux cités en même temps qu’eux. Lorsque les sources le permettent, l’enquête confirme leur statut socio-économique élevé au sein du groupe aristocratique dont ils émanent. L’effectif d’un groupe de pairs avoisine normalement la douzaine, nombre idéal dont il ne faut pas chercher longtemps la signification : le spectacle du seigneur flanqué de ses douze pairs, c’est tout à la fois l’image du dépositaire de la puissance publique assisté de sa cour de jugeurs, du Charlemagne de la Chanson de Roland suivi de ses comtes palatins et du Christ entouré de ses apôtres.
Institutions nobiliaires
Termes utilisés qualifiant les notables et les nobles de Picardie'
Il faut remarquer que ces qualificatifs de civilité ne furent pas utilisés dans les mêmes espaces chronologiques,ou géographiques, la société évoluant. Il faut donc ne pas hésiter à comparer.
- Discrète personne, terme surtout employé pour les bourgeois.
- honorable, fut un titre de dignité,les dignités procèdent de trois sources différentes ; le savoir, les offices (généralement ceux qui accordés la noblesse) ; des ordres qui donnent quelque titre honorable, et enfin des seigneuries (surtout dans les régions du nord). Cette troisième sorte de Dignité s’acquérait par la possession des fiefs et des justices que l’on y a attachées, dont ils ont emprunté l’usage des fiefs.
Mais également ceux qui possèdent des offices qui donnés la noblesse héréditaire ou personnelle.
Simplement Ce titre, normalement attribué aux nobles, mais est devenu ” un tire de politesse décerné à celui qui détient un rang supérieur sans être encore de la noblesse , mais qui va le devenir”
- honnête, utilisé pour les bourgeois et les officiers des villes
- maître,terme qualifiant surtout les notables ayant des charges telles que notaire, avocat, juge; ou ceux ayant le savoir ou de l’argent.
Mais certains nobles furent qualifiés de maître car il exercèrent des charges qui données ce genre de titre.
Rappelons ici qu'en Picardie les nobles exerçant les charges de notaire, clerc (de notaire), greffier ne (sous certaines conditions) dérogèrent point [32].
- messire, Ce titre ne s’accordait qu’à la haute noblesse, dans les actes ou transactions ; et les roturiers qui l’avaient usurpé étaient recherchés et condamnés à l’amende.
- Sire, on se servait également du mot Sire, dans le même sens que seigneur et sieur, et on l’appliquait aux barons, gentilshommes, il n’y avait que certaines familles, d’une noblesse distinguée, qui pouvaient prendre le nom de Sire devant le nom de leur maison.
- noble ou noble Homme, cette qualification pouvait désigné les Bourgeois et échevins, elle n’était pas une vraie preuve de noblesse, sauf pour les régions du nord de la France, le parlement de Paris, Toulouse, et le Languedoc-Roussillon dans ces régions elle désigné la simple appartenance à la noblesse, en Normandie elle était égale à celle d’écuyer, mais seulement pour cette région.il fut tout de même demandé au généalogistes du roi de la considérée comme preuve de noblesse.
- sieur, ce terme pouvait s’employer pour une personne de petite noblesse ou un vassal d’un seigneur, mais pas toujours(ceux qui avaient des fiefs non nobles l’étaient également), mais il fut tout de même demandé au généalogistes du roi de le considérée comme preuve de noblesse.
- Monsieur, en moyen français, est synonyme de Monseigneur et désigne une appellation pour un évêque ; Monsieur de Paris désigne l’évêque de Paris, Monsieur de Rome désigne l’évêque de Rome, le pape, il est régulièrement utilisé pour remplacé Sieur dans le sans de la noblesse, mais se vulgarisa vers le milieu du 18ème siècle, nous retrouvons aussi nombre de bourgeois qualifier de la sorte.
- Bourgeois de… désigne les nobles se faisant bourgeois des villes, ce terme en Picardie ne faisait jamais perdre la noblesse aux nobles, mais ne la conférait pas non plus.
Les qualificatifs ayant pu désigner un membre de la noblesse ont été “noble, messire,Sire ” et surtout “écuyer”, mais la règle peut souffrir quelques exceptions, tel que sieur, Noble Homme …
- Attention! En Picardie les nobles pouvaient se qualifiés de bourgeois et de Maître sans déroger [33]
Charges conférant la noblesse'
- I - Charges conférant la noblesse héréditaire au premier degré dès le jour de l'entrée en fonction
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- 1° Grands officiers de la Couronne :
Sénéchal de France, Connétable de France, Chancelier de France Garde des sceaux de France, maréchal de France, amiral de France, général des galères, grand maître des arbalétriers, grand maître de l'artillerie, porte-oriflamme de France, colonel-général de l'infanterie, colonel-général de la cavalerie, colonel-général des Suisses, grand aumônier de France, grand-maître de France, grand-chambrier de France, grand-chambellan de France, grand-écuyer de France, grand-bouteiller de France, grand-échanson de France, grand-panetier de France, grand-veneur de France, grand-fauconnier de France, grand-louvetier de France, grand-queux de France, grand-maître des Eaux et Forêts de France, grand-maître des cérémonies de France.
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- 2° Grands officiers de la Maison du Roi :
Grand-maître de la maison du Roi, grand-maréchal des logis, grand-prévôt de France et de la maison du Roi, capitaine des gardes du corps, capitaine-colonel des Cent-Suisses, capitaine-colonel des gardes de la porte,.
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- 3° Ministres, secrétaires d'Etat :
Les descendants des ministres, comme ceux des grands-officiers de la couronne,étaient admis aux honneurs de la cour sans preuves de noblesse chevaleresque.
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- 4° Membres du Conseil d'Etat et du Conseil privé
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- 5° Gouverneurs et lieutenants généraux pour le Roi dans les provinces
(Il est à noter que les dignités qui précèdent donnaient la noblesse aupremier degré par suite d'anciens usages et non en vertu d'un texte de loiformel.)
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- 6° Officiers généraux des armées : à partir de l'édit du 25 novembre 1750
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- 7° Sergents d'armes (appelés aussi sergent du Roi): depuis l'édit de 1410 et principalement sous Charles VI
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- 8° Les prévôts des marchands, maires, échevins, consuls, pairs, jurats,administrateurs ou capitouls des villes suivantes :
- Paris : par édit de 1577. Privilège étendu au procureur du Roi, au greffieret au receveur de l'Hôtel de Ville en 1706, révoqué pour ces trois derniersemplois et pour les échevins par édit d'août 1715. - La Rochelle : édit du 8 janvier 1372, révoqué en 1628, rétabli en 1691 - Poitiers : édit de décembre 1372, révoqué en 1667, rétabli en 1686 pour lemaire seulement lorsqu'il aurait été élu deux fois et aurait servi quatreannées - Angoulême : édit de 1373, révoqué en 1667, rétabli le 4 février 1673 - Saint-Jean d'Angély : édit de Charles V, révoqué en 1667, rétabli en 1691 - Saint-Maixent : édit de 1444, révoqué en 1667, rétabli en 1691 - Tours : édit de 1461, révoqué en 1667, rétabli en 1691 - Niort : édit de 1461, révoqué en 1667, rétabli en 1691 - Toulouse : édit de 1471, révoqué en 1667, rétabli en 1691 - Bourges : édit de 1474, révoqué en 1667, rétabli en 1673 - Angers : édit de 1474, révoqué en 1667, rétabli en 1670 - Lyon : édit de 1495, révoqué en 1667, rétabli en 1691 - Péronne : édit de 1539, révoqué en 1667, rétabli en 1691 - Nantes : édit de 1539, révoqué en 1667, rétabli en 1669 - Cognac : Origine inconnue. Ce privilège est mentionné pour la première foisdans l'édit qui le supprime en 1667. Il fut rétabli en 1691. - Abbeville : Même observation que pour Cognac - Bordeaux : Ce privilège est indiqué comme ayant été révoqué en 1667 parl'édit de 1691 qui rétablit la noblesse municipale. En réalité il n'en n'estpas parlé dans l'édit de révocation, et il y a lieu de croire que la mentionde Bordeaux dans l'édit de 1691 est le fait d'une erreur.
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- 9° Citoyens nobles immatriculés de Perpignan : En vertu d'un usage immémorial confirmé en 1785
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- 10° Francs-archers : Depuis 1448 jusqu'en 1481, époque de la suppression de cette milice. L'Edit qui crée les compagnies d'ordonnances en 1579, déclare que nul ne pourra être archer s'il est noble de race. C'est un argument en faveur de la noblesse des descendants des francs-archers. Cette manière d'acquérir la noblesse fut seulement tolérée et ne doit être acceptée qu'autant que la famille qui s'en prévaut jouit d'une ancienne possession d'état.
- II - Charges conférant la noblesse héréditaire au premier degré après vingt ans d'exercice ou en cas de mort en fonction
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- 11° Secrétaires du Roi, maison et couronne de France : Appelés à l'origine "clercs-notaires et secrétaires du Roi", et plus tard,"conseillers, secrétaires du Roi, maison et couronne de France et de ses finances", s'ils appartenaient à la grande chancellerie, et" conseillers-secrétaires du Roi, audienciers, contrôleurs ou référendaires" lorsqu'ils étaient attachés à une cour souveraine.
Les secrétaires du Roi paraissent n'avoir joui d'abord que de la noblesse personnelle. Des lettres patentes de Charles VIII, de l'an 1484, leur reconnaissent la noblesse héréditaire et les anoblissent en tant que besoin,sans conditions. Mais, en vertu d'un usage suivi pour toutes les magistratures,on ne les considérait comme pouvant transmettre la noblesse à leur postérité que s'ils avaient exercé vingt années ou étaient morts revêtus de leurs charges. Des lettres patentes de 1549 et les édits de 1669 et 1724 semblent avoir modifié ces conditions auxquelles, dans la pratique, on s'est toujours conformé.
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- 12° Chauffe-cire héréditaires de la grande chancellerie : Assimilés aux secrétaires du Roi dès 1484.
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- 13° Huissier ordinaire de la grande chancellerie : Assimilés aux secrétaires du Roi depuis 1690, en vertu d'un édit de reconnaissance de noblesse de 1717.
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- 14° Gardes-scel près les présidiaux : Depuis 1701
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- 15° Payeurs des gages de la Chancellerie : Depuis 1707
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- 16° Secrétaires des finances et greffiers du conseil privé : 18 juillet 1784
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- 17° Présidents, conseillers, avocats et procureurs généraux, greffiers en chef du grand Conseil : Depuis leur création jusqu'en mars 1669, époque où ceprivilège fut révoqué. Il fut rétabli au mois d'août 1717 et étendu au premier huissier du grand Conseil.
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- 18° Doyen des substituts du procureur général près le Grand Conseil : Depuis1719
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- 19° Les notaires secrétaires du Grand Conseil : Depuis leur création, en1498, jusqu'en 1717, époque où ce privilège fut supprimé. La noblesse à la troisième génération leur fut rendue le 6 mars 1719. Ils furent remis en possession de la noblesse au premier degré par un arrêt du Conseil Etat du 27 février 1759.
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- 20° Présidents, conseillers, avocats et procureurs généraux, greffiers en chef et notaires secrétaires du Parlement de Paris : Depuis leur création envertu d'un ancien usage confirmé par édit de juillet 1644. Ce privilège leur fut retiré en juillet 1669 et ils furent remis à la noblesse graduelle. La noblesse au premier degré leur fut rendue en novembre 1690, les notaire conseiller et greffier du Roi en Picardie sont anoblis édit de 1690
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- 21° Greffier en chef criminel et premier huissier du Parlement de Paris :Depuis le 2 janvier 1691
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- 22° Présidents, conseillers, avocats et procureurs généraux, greffiers en chef, notaires et secrétaires de la Cour des Aides de Paris : Depuis leur création en vertu de l'usage. Remis à la noblesse graduelle en juillet 1669.La noblesse au premier degré leur fut rendue en novembre 1690.
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- 23° Présidents, maîtres ordinaires, correcteurs et auditeurs, avocats et procureurs généraux, greffier en chef de la Chambre des Comptes de Paris :Depuis leur création, d'après un usage, confirmé par édits de 1645, 1701 et1714.
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- 24° Lieutenants-généraux, civil, de police et criminel, lieutenants particuliers, conseillers, avocats et procureur du Roi au Châtelet de Paris :Par édit du mois d'août 1768.
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- 25° Présidents trésoriers généraux de France et Chambre des domaines de Paris : Par édit d'avril 1705. Privilège révoqué en août 1715, rétabli en septembre 1720.
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- 26° Présidents, conseillers, avocats et procureurs généraux de la Cour des Monnaies de Paris : Par édit de 1719.
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- 27° Avocat du Roi aux requêtes du Palais : édit de 1691.
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- 28° Officiers du Conseil et du Parlement des Dombes : Depuis 1571.
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- 29° Officiers du Parlement, des la Chambre des Comptes, de la Cour des Aides et du Bureau des finances de Grenoble : Depuis 1639.
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- 30° Officiers du Parlement de Metz : Depuis 1658.
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- 31° Officiers du Parlement de Dole : Depuis 1654.
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- 32° Officiers du Parlement de Besançon : Depuis 1694.
-
- 33° Présidents, conseillers, avocats et procureurs généraux du Parlement de Flandres : Depuis 1713.
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- 34° Présidents, conseillers, avocats et procureurs généraux du Conseil supérieur de Douai : Depuis le 7 mai 1772.
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- 35° Officiers de la Chambre et Cour des Comptes, Aides, domaines et finances de Bourgogne, séant à Dole : Depuis la création de cette cour en vertu d'un usage confirmé par édit d'août 1706.
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- 36° Officiers de la Cour des Comptes de Nantes : Depuis 1669 pour les présidents, maîtres, correcteurs et procureurs généraux. Depuis 1692, pour les auditeurs.
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- 37° Officiers de la Cour des Comptes, Aides et finances de Montpellier : Depuis sa création en vertu d'un usage confirmé par édit de novembre 1690.
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- 38° Présidents des Cours souveraines : Même de celles dont les conseillers etautres officiers ne jouissaient pas de la noblesse au premier degré.
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- 39° Chevaliers d'honneur dans les Chambres des Comptes, Cours des Aides et Bureau des finances : Depuis décembre 1703. Antérieurement à cette date, les chevaliers d'honneur devaient faire leurs preuves de noblesse.
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- 40° Présidents, conseillers, avocats et procureurs généraux au Conseil supérieur d'Artois : édit de mai 1775.
-
- 41° Commissaires provinciaux des guerres créés de mars 1704 à octobre 1709 :Edit d'octobre 1709.
- III - Charges conférant la noblesse, soit au premier degré après vingt ans d'exercice, soit après trois générations consécutives ayant occupé les mêmes fonctions
-
- 42°Officiers du Parlement, de la Chambre des Comptes, de la Cour des Aides et du Bureau des finances (trésoriers de France) de la généralité de Grenoble :Edit de 1639
- IV - Charges conférant la noblesse après vingt ans d'exercice avec faculté d'additionner les années d'exercice du fils avec celles du père
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- 43° Commissaires des guerres : A partir d'octobre 1709, supprimé en 1715.
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- 44° Syndics des commissaires et contrôleurs ordinaires des guerres :Déclaration de mai 1711, supprimé en 1715
-
- 45° Commissaires des troupes de la Maison du Roi : Mai 1711
- V - Charges conférant la noblesse lorsque le père et le fils en avaient été investis et les avaient exercés vingt ans ou jusqu'à leur mort, sans qu'il fût nécessaire que le petit-fils fut pourvu de la même charge
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- 46° Tous les membres des Cours souveraines : C'est à dire des Parlements,Chambre des Comptes, Cours des Aides, Conseils supérieurs non mentionnés dans le paragraphe II, à l'exception des présidents qui acquéraient toujours la noblesse au premier degré. Par l'édit de 1704, il fut accordé moyennant finance, à chaque cour souveraine et bureau des finances qui se trouvait en cecas, quatre dispenses d'un degré, de telle sorte que quatre des membres de ces compagnies pouvaient, en payant la somme fixée, être directement anoblis aux mêmes conditions que ceux du Parlement de Paris. Deux dispenses étaient aussi accordées, de 5 en 5 années au doyen et au sous-doyen de chacun de ces corps.La noblesse ainsi acquise fut révoquée en 1715, bien que les officiers qui l'avaient obtenue eussent payé la somme fixée qui ne leur fut point restituée.
-
- 47° Les officiers des bureaux des finances et des Chambres de domaines nonm entionnés dans les paragraphes II et III : Usage confirmé par édit de 1771.
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- 48° Capitaines, lieutenants et enseignes, prévôts en chef, gouverneurs des villes et places : édit de 1600, modifié en novembre 1750.
- VI - Charges conférant la noblesse lorsque trois générations consécutives en ont été investies
-
- 49° Officiers des armées au-dessous du grade de maréchal de camp : Nés en légitime mariage, dont le père et l'aïeul créés chevaliers de Saint-Louis et comptant trente ans de service, en avaient passés soit vingt comme capitaines, soit dix-huit comme lieutenants-colonels, soit seize comme colonels,soit quatorze comme brigadiers, lorsque lui-même avait obtenu la croix de Saint-Louis et servi pendant le même temps avec les mêmes grades depuis l'édit de novembre 1750.
- VII - Charges conférant la noblesse en Picardie.
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- 50° Echevins et maires et prevôt d'Abbeville.
-
- 51° Echevins et maires et prevôt d'Amiens
-
- 52° Bourgeois des villes d'Abbeville, Amiens, Laon, et Beauvais, sont confirmés dans les privilèges de la noblesse et pourront être convoqués à la guerre.
-
- 53° Conseiller, greffier, Notaire et procureur du roi au bout de 20 ans de services.
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- 54° Sergent d'Armes (ou du Roi)
-
- 55° Capitaines, lieutenants et enseignes, prévôts en chef, gouverneurs des villes et places : édit de 1600, modifié en novembre 1750.
Nobles et notables
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Figure Nom de la famille et blasonnement Famille d'Abancourt (Beauvaisis) D'argent, à une aigle éployée de gueules, becquée et membrée d'or.
(D'argent, à une aigle de gueules, becquée et membrée d'or, les ailes étendues.[34])
On trouve aussi[35] :- D'argent, à l'aigle de gueules, becquée, armée et membrée d'or, à la barre brochant sur le tout.
- De gueules, à l'aigle d'argent.
Maison d'Abbeville D'or à trois écussons de gueules[36]
Famille d'Acheux D'argent à la croix ancrée de sable[13]
Famille d'Aguilcourt Parti : au 1) de gueules à la croix tréflée d’argent, au 2) d’or au lion d’azur.[37].
Maison d'Ailly De gueules à deux branches d'alisier d'argent passées en double sautoir, au chef échiqueté d'azur et d'argent[38].
Maison d'Albert (de Luynes) burellées d'argent et de gueules de dix pièces[13] (armes anciennes).
Blasonnement différent selon Dubuisson[39] :
- seigneurs de Luynes, de Chevreuse et de Montfort : d'or au lion couronné de gueules.
- seigneurs de Luynes, de Chevreuse, de Dunois et de Noyers : écartelé, au 1 et 4 d'or au lion couronné de gueules (sui est de Chevreuse) et au 2 et 3 contre écartelé au 1 et 4 d'azur au trois fleurs de lys d'or et au baton de gueules péri en bande et à la bourdure de gueules (qui est de Bourbon-Soissons), au 2 et 3 d'or à la croix de gueules cantonnée de seize alérions d'azur ordonnés 2 et 2, sur le tout d'argent au lion de gueules armé, lampassé et couronné d'or (qui est de Montmorency-Luxembourg) et sur le tout du 2 et 3 de gueules au pal d'argent chargé de trois chevrons de sable (qui est de Neuchatel).
- seigneurs d'Ailly, de Chaulnes et de Picquigny : de gueules à deux branches d'alizier d'argent passées en double sautoir, chargé du haut d'or au lion couronné de gueules, au chef échiqueté d'azur et d'argent
Maison d'Armeval d'azur à trois besants d'argent[40].
Différences entre dessin et blasonnement : Les besants sont dessinés d'or et blasonnés d'argent. Le dessin utilise le blason du Bourget-du-lac(73). Si la "synonymie" des blasons n'est que fortuite, un autre dessin est à faire. S'il y a une relation historique, il convient de modifier le texte..
Maison d'Auxy (Le Chateau) Échiqueté d'or et de gueules[41].
B
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille de Bailleul - armes anciennes : d'argent à la bande de gueules[13]
- Écartelé aux 1 et 4 d'(argent) à la bande de (gueules) (Bailleul de Lesdain) aux 2 et 3 contre-écartelé a) et d) trois rocs b) et c) un lion[13].
- Cimier : une tête de licorne d'argent,
- Supports : deux griffons de gueules.
Famille de Beauvoir de Wallencourt[42] Porte d'argent à deux bandes de gueules cri: de Wallencourt[43]
Famille Bel (le)[44] D'azur au chevron d'or chargé de trois roses de gueules et accompagné de trois molettes d'or[45]
- Cimier : un lévrier issant.
- Supports : deux lévriers.
- Devise : JE SERAI TOUJOURS LE BEL.
Famille de Belleval De gueules à la bande d'or sur un semé de croix recroisettées au pied fiché de mesme[13].
- Timbre : couronne de marquis.
- Cimier : un lion d'or.
- Tenants : deux anges au naturel.
- Devise : AVANT TOUT LE SENIORE.
- Cri : DIEU LE VEUT.
Famille de Bizemont D'azur, au chevron d'or, accompagné en chef de deux croissants d'argent, et en pointe d'une molette d'éperon d'or
Devise: Jungat stemma virtus
Picardie, Ile de France, extraction 1536
ANF 493 - 6/6/1942
Famille de Blin de Bourdon D'argent à trois trèfles renversés de sable 2 et 1 surmontés de trois merlettes du même rangées en chef[46].
- Supports deux lévriers au naturel
Famille Blocquel de la Croix de Wismes Famille de Boubers(de Boubers d'Abbeville-Tunc) 'Écartelé au 1 d'or à trois fasces de gueules à une branche de gui de chêne de sinople brochant sur les fasces (Walbert) au 2 d'or à trois bandes de gueules (Ponthieu ancien) au 3 d'argent à trois écussons de gueules (Boubers) au 4 d'or à la croix de sable ch de cinq coquilles d'argent (Rayneval-Bernâtre) Sur le tout d'or à trois écussons de gueules (Abbeville-Boubers-Tune)[13]
- Supports : deux tritons sonnant de la conque marine au naturel.
- Cri : ABBEVILLE !
- Devise: SANS AYDE et FIDELIOR IN ADVERSIS.
Famille de Bournonville de Toutencourt[48] de sable au lion d'argent, couronné d'or, armés et lampassé de même, la queue fourchue passée en sautoir[49]
Maison de Breteuil[50] D'or à la croix de gueules cantonnée de seize abeilles renversées d'azur ordonnées 2 et 2, au franc-canton aussi d'or chargé d'une étoile aussi de gueules[51]
Famille de Brimeu D'argent à trois aiglettes de gueules[52]
Famille de Buchère d'Epinoy[53] D'argent au chevron d'azur accompagnée en chef d'une étoile et d'un croissant du même et en pointe d'un mouton de sable[13].
- Devise : FIDELIS AD MORTEM
Famille de Buissy[54] D'argent à la fasce de gueules chargée de trois fermaux d'or[55]
- Cimier : un chien ailé issant.
- Supports : deux lévriers d'argent colletés de gueules bordé d'or.
- Devise : ATTENTE NUIT BUISSY
C
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille de Cambron Fascé de gueules et d'or de huit pièces[13].
Famille du Catelet D’argent fretté de sable, au chef soudé d’or chargé de trois merlettes aussi de sable.[37].
Famille de Caulaincourt De sable au chef d’or. [37].
Famille de Caumont D'azur à deux lions d'or lampassés de gueules (alias lions léopardés)[56].
Famille de Caux D'azur à trois lions d'or[57].
- Cimier : une tête de jeune fille.
- Supports : deux lions.
- Variante:
- Losangé au chef chargé de trois lévriers issants et accolés.[58]
- Cimier : une tête de jeune fille.
- Supports : deux lions.
Parti d'or et d'azur à la croix ancrée de gueules brochant sur le tout[13].
Parti de gueules et d'argent à la croix ancrée de l'un en l'autre[13].
Maison de Chaulnes D'azur au chevron d'or, accompagné de trois clous du même[60].
Famille de Chépy D'or aux trois fasces de gueules[61]
Maison de Clermont-en-Beauvaisis De gueules semés de trèfles d'or, deux bars adossés de même[62] On trouve également:d'azur à cinq gerbes de blé d'or disposées en croix[63] .
Maison de Clermont-Tonnerre [64] de gueules à deux clefs d'argent passées en sautoir[65].
Maison de Clermont-Nesle De gueules, semé de trèfles d'or, à deux bars adossés du même, brochants sur-le-tout[66].
Maison de Coucy Fascé de vair et de gueules (Coucy), à la cotice d'or, brochant sur-le-tout[13].
Famille de Créquy d'or au créquier de gueules
D
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille de Domart[67] D'argent au chevron de gueules accompagné de trois merlettes de sable[68] .
Famille Domqueur (alias Le Voire de Domqueur)[69] D'or au chevron de gueules[70]
Maison Dreux d'Amiens De gueules aux trois chevrons de vair.
- Supports : deux lévriers
- Devise : INTER MILITES
E
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille d'Esigny Ecartelé : au 1) et au 4) d’or aux trois bandes d’azur, au 2) et 3) d’or aux trois maillets de gueules. [37].
Famille d'Esquincourt De gueules à trois tours d'or[71].
Maison d'Estrées Maison d'Estrées : d'argent, fretté de sable, au chef d'or, chargé de trois merlettes du deuxième.
Antoine IV d'Estrées : Ecartelé au I et IV d'Estrée, au II de Bourbon-Ligny et III de la Cauchie ou Ecartelé au I et IV d'argent, fretté de sable, au chef d'or, chargé de trois merlettes du deuxième, au II d'azur à trois fleurs de lys d'azur chargé de deux bâtons de gueules péris l'un en bande, l'autre en barre et III d'or au lion d'azur armé, lampassé et couronné de gueules.
François Hannibal d'Estrées : Ecartelé au I et IV d'Estrée et au II et III de la Cauchie ou Ecartelé au I et IV d'argent, fretté de sable, au chef d'or, chargé de trois merlettes du deuxième et au II et III d'or au lion d'azur armé, lampassé et couronné de gueules.
François Hannibal d'Estrées : Ecartelé : au I de Lauzières au II de Thémines au III de Cardaillac au IV d'Amielh de Pennes ; sur-le-tout écartelé I et IV d'Estrée et au II et III de la Cauchie. Ou écartelé : au I d'argent au chêne de sinople glandé d'or, au II de gueules à deux brebis d'argent passantes l'une sur l'autre accornées de sable, au III de gueules au lion d'argent, la bordure semée de besants d'argent, au IV burellé d'or et de sable au chef d'hermine; sur-le-tout écartelé I et IV d'argent, fretté de sable, au chef d'or, chargé de trois merlettes du deuxième, au II et III d'or au lion d'azur armé, lampassé et couronné de gueules.F
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille Fèvre de Caumartin(le) D'azur à cinq trangles d'argent[72].
- Supports : deux lions
Famille de Forceville De gueules au sautoir d'argent, cantonné de quatre merlettes du même[73]
Famille de Franqueville [74] D'argent à trois forêts de gueules 2 et 1 acc en chef d'un lambel d'azur[75]
G
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille Gallet (Abbeville) D'azur au chevron d'or, chargé de trois roses de gueules[76]
Maison de Guillebon[77] D'azur à la bande d'or accompagnée de trois besants de même, deux en chef et un en pointe[78]
- Cimier : un lévrier issant.
- Supports : deux lévriers.
- Devise : J'ATTENDS, JE PRETENDS ET J'ESPERE EN TOUT TEMPS.
Maison ducale de Guise coupé et parti en 3, au premier fascé de gueules et d'argent, au second d'azur semé de lys d'or et au lambel de gueules, au troisième d'argent à la croix potencée d'or, cantonnée de quatre croisettes du même, au quatrième d'or aux quatre pals de gueules au cinquième parti d'azur semé de lys d'or et à la bourdure de gueules, au sixième d'azur au lion contourné d'or, armé, lampassé et couronné de gueules, au septième d'or au lion de sable armé et lampassé de gueules, au huitième d'azur semé de croisettes d'or et aux deux bar d'or. Sur le tout d'or à la bande de gueules chargé de trois alérions d'argent le tout brisé d'un lambel de gueules[79].
H
Figure Nom de la famille et blasonnement Maison de Ham D'or à trois croissants de gueules, posées 2 et 1[80].
Famille du Hamel de Canchy D'azur à la bande d'or, chargée de trois roses de gueules[81].
Famille du Hangard De gueules aux troix molettes d'argent.
Famille de Hangest D'argent à la croix de gueules, chargée de cinq coquilles d'or. [82].
Maison d'Harcourt [83] De gueules à deux fasces d'or[84]
Famille de Hautecloque, D'argent à la croix de gueules chargée de cinq coquilles d'or.[85]
Famille de La Hayes D'argent à une haie d'épines de sable[86].
- Devise : EN BON ESPOIR.
I
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille Imbert D'argent à la fasce de sinople chargée d'une molette d'or[87].
J
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille Journe De gueules à l'orle d'argent[88]
- Cimier : un lion issant d'or
- Supports : deux griffons de gueules
- Devise : DIEU SOIT LOUÉ DE TOUT
L
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille de LaBoisière Écartelé : au premier et au quatrième d'or au chevron de sable accompagné de trois merlettes du même, au deuxième et au troisième d'or aux trois fasces de gueules .
Famille de Liancourt de La Fosse D'argent aux trois tourteaux de gueules.
Maison de Lignières-Châtelain De gueules aux trois croissants d'or.
Famille Lamaurry (La Maurry) De sinople à deux jumelles d'or[89].
Maison La Chaussée (de) d'Eu D'azur semé de croissants d'argent à trois besants d'or brochant sur le tout[90].
- Cimier : une tête de licorne d'or.
- Supports : deux lions d'or lampassés de gueules
Famille de Lattre de Tassigny, D'azur à la fasce d'or accompagnée en chef de trois étoiles et en pointe de trois canes toutes d'argent et posées en fasce.
Famille Le Blond du Plouy[91] D'azur au chevron d'argent accompagné de trois roses du même[92]
Famille LeVieux d'Yvetot[93] Sire des Beaucamps, est un chevalier descendant des le Vieux d’Yvetot. Les Levieux ROY d'YVETOT, était autrefois le Seigneur qui possédait cette petite contrée de Normandie, dans le Pays de Caux. D'argent à la bande de sable frettée d'or.[94]
M
Figure Nom de la famille et blasonnement Maison de Mailly d'or a troi Maillet de sinople[95].
Famille de Martainneville De gueules au sautoir engrêlé de sable*[96].
* Il y a là violation de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives.Famille de May[97] Coupé au 1 d'or à deux lions affrontés d'azur au 2 palé d'azur et d'or.
- Cimier : un lion issant d'azur
Famille du Moÿ de gueules fretté d'or[37].
Maison de Monchy (Lagache) De gueules à trois maillets d'or 2 et 1[98].
- Cimier : une tête de Maure
Devise : VIRTUS IN ARMIS
N
Figure Nom de la famille et blasonnement Vicomtes de Neuilly De gueules à trois aiglettes d'or.
Maison de Noailles De gueules, à la bande d'or[99].
Maison de Nouvion De gueules à la barre d’or. [37].
Maison de Noyelle De geules à trois jumelles d'argent[100].
O
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille d'Occoche de Manchicourt D'argent à la fasce de gueules accompagnée en chef de trois coqs rangés de sable crêtés et barbés du second soutenus de la fasce[101].
- Cimier : un coq de l'écu démembré entre un vol banneret d'argent Lambrequin d'argent et de gueules
- Devise : GALLO CANENTE SPES REDIT
Maison d'Oisemont(éteinte) D'argent à la croix pattée alesée de gueules.
P
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille de Poilly D'azur au chevron d'or accompagné en chef d'un croissant d'argent entre deux anémones tigées et feuillées du même et en pointe d'un lion aussi d'argent lampassé de gueules[102].
Maison de Poix[103] D'argent, à la croix de gueules, frettée d'or[104].
Famille de Picquigny, Fascé d'hermine et d'azur, à la bordure de gueules[105].
Famille de Pont (en Ponthieu), De gueules, à la fasce d'argent, accompagnée en chef de trois maillets du même, posés en bande[106].
Maison de Ponthieu, d'or aux trois bandes d'azur à la bordure de gueules[107].
Variante : D'azur au chevron acc en chef de deux roses et en pointe d'un croissant le tout d'or[108]. Ces armoiries sont en fait celles d'une branche de la famille de Vismes qui prétent en descendre par ses males[109].
Q
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille du Quesnoy D'or à un laurier de sinople
Cimier : deux bras parés d'or retroussés d'argent les mains de carnation tenant un rameau de laurier[110] .
Famille de Quevauvillers De gueules à un croissant d'argent surmonté d'une rose d'or[111].
Famille Quieret de Fransu D'hermine à trois fleurs-de-lis au pied coupé de gueules[112]
R
Figure Nom de la famille et blasonnement Maison de Ramburelles D'azur à l'écusson d'argent.
Maison de Ribeaucourt De sable à la fleur de lys d'argent, rayés et boutonnées d'or.
Famille de Roye De gueules, à la bande d'argent[113].
- Cimier : Une tête de sanglier d'argent, issant d'une couronne du même.
Famille Rumet (Picardie, éteinte) De sable à trois molettes d'éperon, à cinq pointes d'argent[114].
Devise : Joyeux espoir
Famille de Rambures [115] Armes anciennes jusqu'en 1676 : de gueules à trois fasces d'or[13]
Armes depuis 1676 : d'or à trois fasces de gueules[13]
S
Figure Nom de la famille et blasonnement Maison de Saint Valery D'azur fretté d'or semé de fleurs-de-lis du second dans les claires-voies[116]
Famille de Saint-Riquier D'azur semé de fleurs de lys d'or, au chef d'argent[117].
Famille de Saint-Souplis De gueules à la bande d'hermine[118].
Maison de Senarpont D'azur à la tour d'argent[119].
Maison de Saveuse De gueules à la bande d'or, accompagnée de six billettes du même.
T
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille de Tezzi[120] D'azur au chevron d'or accompagné de trois losanges du même[121]
U
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille d'Urre[122] D'argent à la bande de gueules chargée en chef d'une étoile d'or [123]
V
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille de Vaux d'argent à trois têtes d'ours arrachées de sable, muselées d'or[124].
Maison de Varennes De gueules à la croix d'or.
Famille de Vaudricourt De gueules au lambel de quatre pendants d'argent, à l'orle du même.
Famille de Vignacourt (Wignacourt) D'azur à deux fasces d'or chaque fasce d'or chargé de trois aiglettes de sable[125].
Blasonnement différent chez Dubuisson : d'argent à trois fleurs de lis au pied nourri de gueules[126].
Famille Vasseur (le) D'azur au chevron d'or accompagné de trois aiglettes d'argent [127].
Famille Ver (le) D'argent à trois verrats (sangliers) de sable accompagnés de neuf trèfles du même posés 3 en chef 3 en fasce 3 en pointe[128].
Maison de Vismes (Ponthieu et Vimeu)[129]
D'argent, au chevron de gueules, accompagné en chef de deux étoiles d'or* et en pointe d'un croissant du même*[130]
* Il y a là violation de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives.
- Variantes:[131]
- Écartelé aux 1 et 4 d'or à trois bandes d'azur au chef du second semé de fleurs-de-lis du champ au 2 d'azur fretté d'or semé dans les claires-voies de fleurs-de-lis du même au 3 d'argent au chevron de gueules acc en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant du même . [132]
- D'azur Fretté d'or au lambel de gueules de trois pendants chaque pendant chargé de trois fleurs-de-lis d'or[133].
de Vismes d'Airaines-abbeville *D'azur aux chevron d'or acc. en chef de deux étoiles d'or (ou d'argent)et en pointe un cep de vigne au naturel [134]
- Cimier: une aigle éployée de sable
- Tenants:deux anges au naturel
- Devise: J'aspire
- Timbre : couronne de Baron ou de comte.
Famille de Vismes (branche d’Empire) , Valery et Léon de Vismes,ecuyers,Sous-préfets ,puis barons d’Empire,en 1809 et 1814[135]
D'azur au chevron de gueules accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant de même, au canton des Barons Sous-préfets brochant[136].
Jacques François Laurent Devisme (1749 ✝ 1830), député du Tiers-états aux Etats généraux de 1789 , chevalier de l'Empire 1809[137],
Parti le premier d'azur au chevron de gueules accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant de même ; le deuxieme d'azur à la fasce d'or, somé d'une pyramide de gueules maçonnée de sable accostée de deux étoiles d'or accompagnée en pointe d'un mouton passant d'argent tenant une bannière de même sur le penon sur laquelle une croix de sable, champagne de gueules aux insignes des Chevaliers légionnaires et pour livrée les couleur de l'écu. [138]
W
Figure Nom de la famille et blasonnement Famille de Wierre[139] D'azur aux trois lions d'or armés et lampassés de gueules[140].
Famille de Witasse D'azur à trois bandes d'or[13]
- Cimier : un lion issant d'or
- Supports : deux lions
X
Y
Liste des croisés de Picardie
Image Nom du(des) chevalier(s), blasonnement et devise Titre(s) et domaine(s) d'origine comantaires d'Aboval, Hugues
D'azur, à trois merlettes d'argent en chef.[141]Sire d'Aboval, chevalier, seigneur de Beauchamp [142] Il assiste à la troisième Croisade, descendance quasi éteinte[143] d'Aigneville, Gauthier[144]
D'argent, à l'orle d azur[145]Seigneur d'Aigneville, chevalier. il assiste a septiemela croisades d'Ailly, Gérard [146]
De gueules à deux branches d'alisier d'argent passées en double sautoir, au chef échiqueté d'azur et d'argent[147]Sire d'Ailly,chevalier[148]. il assiste à la septième croisade, descendance éteinte[149] d'Auxy, Hugues, Eustache, Philippe
Échiqueté d'or et de gueulesSires et barons d'Auxy, chevalier. Hugues assiste à la troisième croisade Eustache sires d'Auxy et Philipe barons d'Auxy, assistent a la première croisade de saint Louis en 1267 de Balieul, Enguerran
D'hermines, à l'écusson de gueules, ou d'argent à la bande de gueuleschevalier. Il figure dans certains actes comme chevaliers de l'hôtel du roi de Caumont, Guy .
De gueules, semé de croix recroisettées au pied fiché d'or, à trois molettes d'éperon, de même, ou dazur à deux lions d'or lampassés de gueules (alias lions léopardés).ecuyer,sire de Caumont. Il participe a la troisième croisade de Caux, Engerran .
D'azur à trois lions d'or.chevalier. Il participe a la troisième croisade de Cayeux, Anseau, Eustache.
Parti d'or et d'azur, à la croix ancrée de gueules. .chevaliers,sires de Cayeux,de Senarpont,du Hourdel. Eustache, chevalier. Il prit part à la Croisade des Albigeois et fut tué devant Toulouse, en 1218. Anseau, chevalier. Il était au nombre des chevaliers qui assistèrent à la prise de Constantinople en 1202, leurs descendance continue aujourd'hui de Cresecques, Robert et Jean.
Tiercé d'or, d'azur et d'or.chevaliers Robert, tué en Palestine en 1249, Jean, chevalier, maréchal de l'armée de Hongrie, tué à Nicopolis, en 1396 de Domart, Robert, Gautiers, Bernard et Anseau.
D'argent au chevron de gueules accompagné de trois merlettes de sable. .chevaliers,sires et barons de Domart et de Saint-Leger Anseau, accompagne le comte de Nevers en Hongrie, et assiste à la bataille de Nicopolis d'Esquincourt, Regnier.
De gueules à trois tours d'or.chevalier Croisé en 1291 de Fontaine, Raoul, Aleaum, Eustaches.
D'or à trois écussons de vair.chevaliers,Sires de Fontaine Aléaume assiste à la troisième Croisade ; Raoul assiste au siège d'Antioche en 1098 ; quant à Eustache, chevalier, il assiste à la première croisade. de Franqueville, Jean.
D'argent à trois forêts de gueules, au lambel d'azur en chef.chevalier Jean, assiste à la troisième croisade de La chaussé d'Eu, Guillaume.
D'azur semé de croissants d'argent à trois besants d'or.chevalier ... de La Haye, Guillaume et Jean.
D'argent à une haie d'épine de sableGuillaume, chevalier ; Jean écuyer Leur descendance continue aujourd'hui Le Roy, Guillaume.
Tiercé en fasce, au 1 d'or au lion léopardé de gueules, au 2 de sinople et au 3 d'hermineGuillaume,ecuyer,chevalier,seigneurs de Moyenneville et de Valanglart il est de la famille des Le Roy de Moyenneville, cette famille est d'extraction chevaleresque, a la différence des Le Roy de Valines qui fut anoblie en 1587, Guillaume fut chevalier et est de retour après la septième croisade, postérité inconnue de Martainneville, Gillet. De gueules au sautoir engrêlé de sable *
* Il y a là violation de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives.Chevalier,sire de Martaineville ... de Monchy, Drogon I et Drogon II.
De gueules à trois maillets d'orChevaliers, sires de Monchy Lagache Drogon I,chevalier, assiste au siège d'Antioche en 1098, Drogon II, chevalier, prend part à la seconde croisade. de Noyelle, Jacques.
De gueules à trois jumelles d'argent.Chevalier,seigneur de Noyelle et de Wion ... d'Occoche, Gauthier.
D'argent à la fasce de gueules accompagnée en chef de trois coqs rangés de sable crêtés et barbés du second soutenus de la fasceChevalier, sire d'Occoche, seigneur de Manchicourt ... de Ponthieu, Guy II, Jean I, Guillaume II[150].
d'or aux trois bandes d'azur à la bordure de gueules[151]Chevalier,Comtes et souverains de Ponthieu, Comtes de Montreuil[152] Jean, comte, tué au siège de Ptolémaïs en 1191 ; Guillaume II, comte, prend part à la croisade contre les Albigeois en 1210 ; Guy II, comte, se croisa avec Louis le Jeune et mourut de maladie en 1147 à Éphèse[153]
de Rambures, André et Jean[154].
De gueules à trois fasces d'or[155]Chevaliers,sires de Rambures[156] Jean participe au siège de Saint-Jean-d'Acre en juin 1191. de Sant Riquier, Robert[157].
D'azur semé de fleurs de lys d'or, au chef d'argent[158]Chevalier, Vidame de St Riquier, seigneur de Cumont ... de Saint Valery, Gautier et Bernard I, Bernard II[159].
D'azur fretté d'or semé de fleurs-de-lis du second dans les claires-voies[160]Chevaliers, Sires de Saint Valery, de Pendé[161] Gautier et Bernard I vont à la première croisade et assistent tous deux au siège de Nicée ; Bernard II assiste à la troisième croisade en 1190[162]. de Saint Blimond,Guy
D'or au sautoir engrêlé de sable[163]chevalier,seigneurs de St Blimond[164] ... de Vismes, Raoul I et Guillaume I, Raoul II, Odon[165]
D'azur fretté d'or semé de fleurs-de-lis du second dans les claires-voies ou D'azur fretté d'or semé de fleurs-de-lis du second dans les claires-voies et d'argent, au chevron de gueules, accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant du même(cette derniere variante est celles des armes de la seignerie de Vismes)[166]chevaliers, sires de Vismes, seigneurs de Longvilliers, de Lomprez, Guillaume sire de Vismes seigneur d'Humbercourt.[167] Raoul et Guillaume, chevaliers, assistent à la cinquième croisade, seule leurs descandance continue de nos jours[168] de Yaucourt,M athieu, Thomas, Regnier,
D'or à trois aiglettes de sable, becquées et membrées de gueules[169].chevaliers, sires de Yaucourt et de beauflos [170] Mathieu, figure avec cinq compagnons parmi vingt et un chevaliers et écuyers qui, avec soixante-dix-sept compagnons, louent à André Pignolo et Franceschini Spirolo, Vénitiens, patrons du vaisseau la Sainte-Croix[171] La noblesse municipale d'Abbeville : exemple des échevins d'Abbeville
Echevin était le titre que l'on donnait anciennement aux assesseurs ou conseillers des comtes.
Les Échevins étaient appelés Scabini, Scabinii ou Scabinei, et quelquefois Scavini, Scabiniones, ou Scapiones : on les appelait aussi indifféremment racinburgi ourachinburgi ce dernier nom fut usité pendant toute la première race, et en quelques lieux jusque sur la fin de la seconde.
On leur donnait aussi quelquefois les noms de sagi, barones, ou viri sagi, et desenatores.
Le terme de Scabini, qui était leur nom le plus ordinaire, et d'où l'on a fait en français Échevin, vient de l'allemand, schabin ou schehen, qui signifie juge ou homme savant.
Quelques-uns ont néanmoins prétendu que ce mot tirait son étymologie d'eschever,qui en vieux langage signifie cavere ; et que l'on a donné aux Échevins ce nom, à cause des soins qu'ils prenaient de la police des villes ; mais comme le nom latin de Scabiniest plus ancien que le mot français Échevins, il est plus probable que Scabini est venu de l'allemand schabin ou schehen, et que de ces mêmes termes, ou du latin Scabini, on a fait Échevin, qui ne diffère guère que par l'aspiration de la lettre s, et par la conversion du h en v.
Le moine Marculphe qui écrivait vers l'an 660, sous le règne de Clovis II, fait mention dans ses formules des Échevins qui assistaient le comte ou son viguier, vigarius, c'est-à-dire lieutenant, pour le jugement des causes. Ils étaient nommés tantôt Scabini, tantôtrachinburgi. Aigulphe, comte du palais sous le même roi, avait pour conseillers les gens d'épée comme lui, qu'on nommait Échevins du palais, Scabini palatii. Il est aussi fait mention de ces Échevins du palais dans une chronique du temps de Louis-le-Débonnaire, et dans une charte de Charles-le-Chauve.
Les capitulaires de Charlemagne, des années 788, 803, 805 et 809 ; de Louis-le-Débonnaire en 819, 829 ; et de Charles-le-Chauve, des années 864, 867 et plusieurs autres, font aussi mention des Échevins en général, sous le nom de Scabini, et suivant ces capitulaires et plusieurs anciennes chroniques, les Échevins étaient élus par le magistrat même avec les principaux citoyens.
Il paraît que dans la ville de Paris la fonction des Échevins qui existaient dès le temps de la première et de la seconde race, continua encore sous la troisième jusque vers l'an 1251, ils étaient nommés par le peuple et présidés par un homme du roi : ils portaient leur jugement au prévôt de Paris, lequel alors ne jugeait point. Ces prévôts n'étaient que des fermiers de la prévôté, et dans les prévôtés ainsi données à ferme, comme c'était alors la coutume, c'était les Échevins qui taxaient les amendes. Les Échevins de Paris cessèrent de faire la fonction de juges ordinaires, lorsque Étienne Boileau fut prévôt de Paris, c'est-à-dire en 1251 ; alors ils mirent à leur tête le prévôt des marchands ou de la confrérie des marchands, dont l'institution remontait au temps de Louis VII.
Ce fut sous son règne, en 1170, qu'une compagnie des plus riches bourgeois de la ville de Paris y établit une confrérie des marchands de l'eau, c'est-à-dire fréquentant la rivière de Seine, et autres rivières affluentes. Ils achetèrent des religieuses de Haute-Bruyère une place hors la ville qui avait été à Jean Popin, bourgeois de Paris, lequel l'avait donnée à ces religieuses. Ils en formèrent un port appelé le port Popin ; c'est à présent un abreuvoir du même nom. Louis le Jeune confirma cette acquisition et établissement par des lettres de 1170 ; Philippe Auguste donna aussi quelques temps après des lettres pour confirmer le même établissement et régler la police de cette compagnie.
Les officiers de cette compagnie sont nommés dans un arrêt de la Chandeleur en 1228 (au registre præpositi mercatorum aquæ olim) ; dans un autre de la Pentecôte, en 1273, ils sont nommés Scabini, et leur chef magister Scabinorum. Dans le recueil manuscrit des ordonnances de police de saint Louis ils sont dits li prévôt de la confrérie des marchands et li Échevins de la marchandise ; li jurés de la confrérie des marchands.
Depuis ce furent des officiers municipaux établis dans plusieurs villes, bourgs et autres lieux, pour avoir soin des affaires de la communauté : en quelques endroits ils avaient aussi une juridiction et autres fonctions plus ou moins étendues, selon leurs titres et possession, et suivant l'usage du pays.
Loyseau, en son Traité des offices, liv. V, chap. vij, dit que les Échevins étaient magistrats, du moins municipaux, de même que ceux que les Romains choisissaient entre les décurions ; il les compare aussi aux édiles, et aux officiers que l'on appelait Defensores civitatum ; et en effet les fonctions de ces officiers avaient bien quelque rapport avec celles d'Échevins, mais il faut convenir que ce n'était pas précisément la même chose, et que le titre et les fonctions de ces sortes d'officiers, tels qu'ils étaient établis parmi nous, étaient absolument inconnus aux Romains ; l'usage en fut apporté d'Allemagne par les Francs, lorsqu'ils firent la conquête des Gaules.
On ne sait pas depuis quand les échevins de la ville d'Abbeville jouissent de la noblesse, on pencse que c'est depuis le XIIème siècle, Cette noblesse est au premier degré, beaucoup de familles roturieres prirent cette charge pour l'acquerir, il arrive même que des membres de familles nobles prirent cette charge pour redoré leur Blason, la liste des échevins d'abbeville est assez peut connut, voici une liste non exaustive des c'est officier municipaux.
Figure Nom de l'échevin date et d'entrée en fonction (date d'anoblissement) et blasonnement Gérard Adam seigneur de Bonnemare 1197 D'azur à trois maillets d'argent surmontés chacun d'une rose d'or.
Messire Jean d'Avesnes 1552 Ecu bandé or gueules
Honorable Homme Antoine Bernard 1545 Coupé: au premier, de sinople chargé d'un agneau d'argent; au 2ème d'azur au chevrons d'argent et de sable accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'une tête de paon au naturel [172].
Eustache et Jean de Beauvarlet seigneurs de Drucat et de Moisimont 1560 et 1591, Hector 1600 seigneur de Drucat, Hector 1600 seigneur de Drucat et Pierre 1640 de Beauvarlet [173] De sable à la fasce d'argent au chef trois étoiles d'or et en pointe un croissant d'argent [174]
Sieur Jean Decampagne 1515[175] vairé d'or et d'azur [176]
Mgr Robert Cholet de Beaurin de Beaulieu (1155)[177] De gueules au sautoir d'or cantonné de quatre croisettes d'argent [178]
Mgr Gautier de Bersacles de Sailly 1395 et 1401 [179] d'argent au lion de gueules armé et couronné d'or [180]
Noble Homme Guillaume Le Boucher 1551[181] d'azur deux coquilles d'or, coupé d'argent à la rose de gueules[182]
Noble Homme Jean Baptiste Bouillon 1785[183] de gueule à la fasce d'argent[184]
Sieur Nicolas de Calonne des Auteulx (ou Osteux) 1560[185] d'argent à l'aigle de sable[186]
Noble Homme Jean 1550, Nicolas 1580 Danzel de Boismont[187] D'azur au cerf d'or[188]
Sieur Robert de L'Engaigne 1649[189] De gueule à la fasce denché d'or acc en chef de 7 croisettes recroisettées de meme[190]
Noble Homme Claude Le Blond 1553[191] D'azur au chevron d'argent accompagné de trois roses du même[192]
Jean 1513, Nicolas 1561 et Phillip 1579 Le Fèvre D'azur à cinq trangles d'argent[193].
- Supports : deux lions
Jean Godart 1660[194] D'azur a une colombe tenant en son bec un coeur d'or [195]
Gérard Griffon 1542[196] D'azur au griffon d'or[197]
Noble homme Antoinne du Hamel 1541 D'azur à la bande d'or, chargée de trois roses de gueules[198].
Noble Homme Jacques Hecquet 1577[199] D'argent à trois chevron de gueules[200]
Nicolas Lempereur 1549[201] d'azur à l'aigle bicephale d'argent[202]
Noble Homme Jacques de Longuet 1592[203] Blason Malicone.JPG
d'or au chef d'azur accompagné de trois étoile d'or
Raoul Malicorne 1377[205] d'azur à la bordure de gueuele chg de besants du second
Messire Bernard de May Baron de Seigneurville 1424[207] Coupé au 1 d'or à deux lions affrontés d'azur au 2 palé d'azur et d'or.
- Cimier : un lion issant d'azur
Mathieu 1424, Jean 1535 Le Moictier[208] Blason Malicone.JPG
de gueule au chevron d'or accompagné de trois gerbes de blé
Charles Pappin 1531 Sieur du Pin et des Fontaine D'azur à trois pin d'or[210].
Messire Robert Rumet du Quint 1586 de sable à trois molettes d'éperon, à cinq pointes d'argent[211].
Colard Honoré Tillet d'Achery seigneurs de Mautort 1473 et 1493,Mathieu II 1527, Claude 1609,Mathieu III 1636 Tillet de Mautort d'Azur au chevron d'or au chef de meme chargé d'un lion de sable[212].
Philippe Rohault 1666 D'azur à une montagne mouvant de la pointe acc d'un soleil en chef[213]
Messire Jean 1330 seigneur de Marmay et de Bresme, Armand 1347, Jacques seigneur de Marmay et de Bresme 1409,Mathieu 1437, Sieur Guerrard 1514, Sieur Louis 1519 Roussel d'Azur au chevron d'or au chef de meme chargé d'un lion de sable[214].
Jean et Eustache Sanson seigneurs de Ponguerville 1493 et 1573 d'or à trois merlettes de sable[215].
Robert Ver (le) 1422 D'argent à trois verrats (sangliers) de sable accompagnés de neuf trèfles du même posés 3 en chef 3 en fasce 3 en pointe[216].
Sire Guillaume 1565 Noble Homme Jean seigneur des Couteaux 1647 Noble Homme Louis Vulfran 1742 Noble Homme Francois Louis 1762 de Vismes [217] D'azur aux chevron d'or acc. en chef de deux étoiles d'or (ou d'argent)et en pointe un cep de vigne au naturel [218]
- Cimier: une aigle éployée de sable
- Tenants:deux anges au naturel
- Devise: J'aspire
- Timbre : couronne de Baron ou de comte.
Sauvale Wion 1603 [219] d'argent fascé de sinople
Noblesse bourgeoise d'Amiens et Abbeville
En 1184, le comte Jean de Ponthieu confirme officiellement par une charte communale, l'affranchissement de la ville d'Abbeville. À partir du XIIe siècle on remarque le début d'une prospérité économique grâce au commerce maritime, la Somme permettant alors la navigation de gros navires commerciaux jusqu'au port d'Abbeville avec l'Espagne, l'Angleterre et les pays d'Europe du Nord. Cette période dure jusqu'à la fin du XVe siècle et de ce fait les bourgeois prirent de plus en plus de puissance jusqu'à rivaliser avec les grands féaux de Picardie. C'est donc depuis la charte des communes d'Abbeville puis d'Amiens et le développement du commerce que les nobles pouvaient être bourgeois sans déroger, à la condition de payer le droit de bourgeoisie [220]. Une lettre de Charles V de France de 1371 nous dit que les citoyens de la cité franche d'Abbeville sont maintenus dans le privilège d'user de possessions franches, de freins dorés et autres ornements appartenant à l'état de chevalerie, et le droit de prendre chevalerie armée, de même que les nobles de lignée et de lignage du royaume.
En août de la même année, ce roi confirme les Bourgeois d'Abbeville et d'Amiens dans les privilèges de posséder fiefs, alleux et arrière-fiefs, sans être tenus de payer aucune taxe pour raison desdites possessions, et dans le droit d'avoir la garde des biens de leurs enfants et parents, de se servir des ornements appartenant à l'état de chevalerie, et de porter les armes timbrées, ainsi que les nobles d'extraction par possession immémoriale.
Et aussi lors de la reforme des coutumes de Picardie au milieu du 16ème siècle ces privilège furent confirmées.
Noblesse d'Empire en Picardie
Article connexe : Armorial de la noblesse d'Empire.Figure Nom de la famille et blasonnement François Charles Absolut de La Gastine[221] (6 janvier 1751 - Ham ✝ 26 février 1814- La Villeneuve-en-Chevrie), Élève à l'école du génie (1770), ingénieur ordinaire (1772), Capitaine du génie (1783), Chevalier de Saint-Louis (« Décoration militaire », le 28 janvier 1791), à l'Armée de la Moselle (1792 - 1793), Sambre-et-Meuse (1794), Chef de bataillon (1er septembre 1794), Chef de brigade (colonel 8 novembre 1794), Directeur des fortifications de Neuf-Brisach (1801), Cantonnement de Brest (1805), bénéficiaire d'une dotation (4 000 francs) sur les biens réservés de Westphalie (17 mars 1808), Directeur des fortifications de Sarrelouis (1810), Baron de la Gastine et de l'Empire (lettres patentes du 24 juin 1808), Chevalier de la Légion d'honneur (11 décembre 1803), Officier (14 juin 1804), Commandeur de la Légion d'honneur (8 mars 1807), Coupé : au I, d’or chargé à dextre d’un canton d’azur à une tour d’or, ouverte et maçonnées de sable, et à senestre au franc-quartier des Barons militaires de l'Empire ; au II, de gueules à une croix pattée d’or accompagnée en chef de deux molettes d’argent et en pointe d’un croissant de même.[222]
Charles Nicolas d'Anthouard de Vraincourt (ou Danthouard) (7 janvier 1773 - Verdun (Meuse) † 14 mars 1852 - Paris), général de division, Commandant de la Légion d’honneur (décret impérial du 11 juillet 1807), puis, Grand officier de l'Ordre royal de la Légion d’honneur (ordonnance du 29 juillet 1814), puis, Grand-croix (décret du 1er mai 1831), Chevalier de Saint-Louis (ordonnance du 8 juillet 1814), Commandeur de l’Ordre de la Couronne de Fer (septembre 1813), Pair de France (19 novembre 1831), Comte de l'Empire (lettres patentes du 15 août 1809), -
- Sous l'Ancien régime : Coupé: au 1, d'azur, à la fasce d'argent, chargée de trois roses de gueules ; au 2, d'or, à trois écrevisses de gueules, posées en pals, rangées en fasce.[35]
- Armes de Comte de l'Empire : Écartelé : au I, du quartier des comtes militaires de l'Empire ; au II, coupé : a) de gueules, b) d'azur à trois roses d’or rangées en fasce ; au III, d’or à la pyramide de sable, surmontée d’une étoile d’azur ; au IV, d’or à trois écrevisses de gueules posées en pal et rangées en fasce[223][221]. Toque de comte de l'Empire, insignes de Commandant de la Légion d’honneur et de Commandeur de l’Ordre de la Couronne de Fer.
Différences entre dessin et blasonnement.
(1°, le II est un coupé et non pas un parti ;
2° les roses devraitent être d'or et non pas de gueules.).-
- Sous la Monarchie de Juillet : Écartelé : aux 1 et 4, d'or, à trois écrevisses de gueules, posées en pals, rangées en fasce ; au 2, coupé, de gueules plein, sur azur à trois roses rangées d'or; au 3, d'or, à une pyramide de sable, surmontée d'une étoile d'azur[35]. Couronne et manteau de comte-pair, insignes de Grand-Croix de la Légion d'honneur.
Henri François Marie Charpentier (23 juin 1769 - Soissons 14 octobre 1831 - Oigny-en-Valois), général de division (16 février 1804), Comte de l'Empire (14 février 1810), Grand officier de la Légion d'honneur (27 décembre 1814), Grand-croix de l'Ordre de la Réunion (19 novembre 1813), Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis (8 juillet 1814), D'azur, au chevron d'or, accompagné en chef de deux colombes affrontées d'argent et en pointe d'un croissant du même, au chef de gueules, chargé de trois étoiles d'argent[35] ; au canton des comtes militaires brochant.[221]
Différences entre dessin et blasonnement.
(Le canton des canton des comtes militaires devrait être à dextre.).
Charles François Dulauloy (9 décembre 1764 - Laon ✝ 30 avril 1832), général de brigade (à titre provisoire le 10 décembre 1794, confirmé le 4 mars 1795 avec effet rétroactif), général de division (27 août 1803), Chevalier Dulauloy et de l'Empire (9 mars 1810), puis, Comte de Randon et de l'Empire (13 février 1811), Grand cordon de l’Ordre royal de la Légion d'honneur (17 janvier 1815), Grand-croix de l'Ordre de la Réunion (3 avril 1813), Chevalier de l’Ordre royal et militaire de Saint-Louis (1er juin 1814), Chevalier de l'Ordre de la Couronne de Fer (2 avril 1814), conseiller d'État (5 décembre 1813), chambellan de l'Empereur (7 décembre 1813), pair de France (2 juin 1815 (Cent-Jours)), D'azur, à la fasce d'or, chargée d'un coeur de gueules, et accompagnée en chef d'une épée d'argent la pointe en bas, accostée de deux gerbes d'or, liées du même, et en pointe d'une ancre d'argent[35] ; au canton des comtes militaires brochant.[221]
Différences entre dessin et blasonnement.
(Le canton des canton des comtes militaires devrait être à dextre.).
Louis Friant (18 septembre 1758 - Morlancourt ✝ 24 juin 1829 - Château de Gaillonnet, Seraincourt), général de brigade (à titre provisoire le 3 août 1794, confirmé le 13 juin 1795), général de division (à titre provisoire le 4 septembre 1799, confirmé le 6 septembre 1800), 1er comte Friant et de l'Empire (5 octobre 1808), chambellan de l'Empereur (1813), colonel des Grenadiers à pied de France (18 juillet 1814 - 21 mars 1815), colonel en premier des Grenadiers à pied de la Vieille Garde Impériale (21 mars 1815 - août 1815), pair de France (2 juin 1815 (Cent-Jours), Grand aigle de la Légion d'honneur (27 décembre 1805), Coupé: au 1, parti du quartier des comtes militaires de l'Empire et de gueules, à une pyramide d'or, maçonnée de sable; au 2, de sable, à quatre têtes de cheval d'argent, 2 et 2.[35][224]
Louis Charles Vincent Le Blond de Saint-Hilaire (4 septembre 1766 - Ribemont † 3 juin 1809 - Vienne (Autriche), des suites de ses blessures reçues à la bataille d'Essling, inhumé au Panthéon (1810)), général de brigade (à titre provisoire le 26 septembre 1795, confirmé le 25 septembre 1796), général de division (27 décembre 1799), comte de Saint-Hilaire et de l'Empire (lettres patentes du 27 novembre 1808), Grand officier (décret du Premier Consul du 25 prairial an XII : 14 juin 1804), puis, Grand aigle de la Légion d'honneur (décret impérial du 26 décembre 1805), Commandeur de l'Ordre de la Couronne de Fer (décret impérial du 26 décembre 1805), Coupé : au 1, parti du quartier des comtes militaires de l'Empire et d'or, au croissant de gueules, accompagné de trois merlettes mal-ordonnées de sable ; au 2, d'hermine, à la barre de gueules, chargée de trois molettes (ou étoiles à cinq rays) d'argent.[35][223]
Claude Juste Alexandre Legrand (22 février 1762 - Le Plessier-sur-Saint-Just † 8 janvier 1815 - Paris, inhumé au Panthéon), général de brigade (20 septembre 1793), général de division (20 avril 1799), Comte Legrand et de l'Empire (10 mars 1808, lettres patentes du 2 juillet 1808), Commandant (13 juin 1804), puis Grand aigle de la Légion d'honneur (7 janvier 1806), Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis (27 juin 1814), Grand-croix de l'Ordre du mérite militaire de Charles-Frédéric de Bade, sénateur (1813-1814), Pair de France (4 juin 1814), D'argent au cheval cabré de sable ; à la fasce de gueules, chargée d'une étoile rayonnante d'or, brochant sur le tout ; au canton des comtes militaires brochant.[225]
Différences entre dessin et blasonnement.
(L'épée devrait être présentée « haute » : pointe vers le haut).
Pierre d'Autancourt, puis Dautancourt (28 février 1771 - Montigny-sous-Marle ✝ 1er janvier 1832 - Nevers), Chef d'escadron (26 germinal an XII : 16 avril 1804), Général de brigade (20 novembre 1813), Chevalier de l’Empire (lettres patentes du 20 août 1808), Baron de l'Empire (lettres patentes du 26 avril 1810), Légionnaire (décret impérial du 26 prairial an XII : 14 juin 1804), puis Officier (décret impérial du 8 germinal an XIII, puis, Commandant de la Légion d'honneur (décret impérial du 27 février 1814), décoré de l’Ordre militaire Virtuti Militari de Pologne (ou du Grand Duché de Varsovie, par décret du 26 novembre 1810), -
- Armes de Chevalier de l’Empire : Tiercé en fasce : de sable à une tour d'argent crénelée de trois pièces, ouverte et maçonnée de gueules; de gueules au signe des chevaliers légionnaires ; et d'azur au cheval galopant d'or.[223]
- Armes de Baron de l’Empire : Écartelé : au 1er, de sable à la tour d'argent crénelée de trois pièces, ouverte et maçonnée de gueules ; au 2e, du quartier des Barons militaires de l'Empire , au 3e, d'azur au cheval galopant d'or; au 4e, d'or à deux lances polonaises de sable en sautoir, au pennon coupé d'argent et de gueules, cantonnées en chef et en flanc de trois molettes de sable, et en pointe d'un fer à cheval d'azur clouté du champ.[223]
Auguste Jean-Gabriel de Caulaincourt[226] (1777 ✝ 1812), commandeur de la Légion d'honneur, Baron de l'Empire (1808), général de division (1809), Coupé : au I parti, a, de sable à deux écots, passés en sautoir, accompagnés en chef de trois étoiles, le tout d'or, et en pointe d'un croissant d'argent, le tout de gueules, b, du franc-quartier des Barons militaires de l'Empire ; au II d'azur, à une main d'or, ailée d'argent, tenant une épée du même en pal.
Armand Augustin Louis de Caulaincourt (1773 ✝ 1827), Général de division (1805), Grand Écuyer de l'Empereur, Maréchal d'Empire (1804), Duc de Vicence (1808), ministre des relations extérieures, Sous le chef des Ducs de l'Empire : Coupé de sable et d'or, l'or chargé d'un sauvage de gueules, armé d'une massue de sable et tenant sur sa main droite un coq du même.
Gabriel Louis de Caulaincourt (15 novembre 1749 - Leschelles ✝ 27 octobre 1808 - Paris), Marquis de Caulaincourt, Comte de l'Empire (24 avril 1808), maréchal de camp (9 mars 1788), lieutenant général (1er février 1792), Chevalier de l’Ordre royal et militaire de Saint-Louis (14 janvier 1772), sénateur (1er février 1805 - 27 octobre 1808), -
- Armes du marquis de Caulaincourt sous l'Ancien Régime :
- D'or, au chef de sable.[224]
- Armes du marquis de Caulaincourt sous l'Ancien Régime :
Ou, -
-
- De sable, au chef d'or.[35]
- Armes de comte de l'Empire : Coupé de sable et d'or, l'or chargé d'un sauvage de gueules, armé d'une massue de sable et tenant sur sa main droite un coq du même ; au canton brochant des Comtes Sénateurs.[224]
-
Maximilien Sébastien Foy (1775 ✝ 1825), général de brigade (1808) puis général de division (1810), Baron d'Empire (1810) puis Comte d'Empire (1815), Grand officier de l'Ordre de la Légion d'honneur (1814), Chevalier de Saint-Louis (1814), D'azur semé d'étoiles d'argent, à la barre de même chargée de trois tourteaux de sable ; au canton des Barons militaires de l'Empire brochant sur le tout.[227]
Jean-Baptiste Joseph Delambre (19 septembre 1749 - Amiens ✝ 19 août 1822 - Paris), astronome, mathématicien, géodésien, associé géomètre de l'Académie des sciences (1792), puis secrétaire pour les sciences mathématiques (1800), inspecteur général des études (1802), chaire d'astronomie du Collège de France (1807), membre du conseil de l'Université (1808-1815), directeur de l'observatoire de Paris (1804-1822), Chevalier de l'Empire (date|10|septembre|1808), Baron de l'Empire (24 août 1811), Légionnaire, puis Officier de la Légion d'honneur (1821), -
- Armes de Chevalier de l'Empire : De sable, à la fasce cousue de gueules chargée de l'insigne des des Chevaliers légionnaires, semé en chef d'étoiles d'argent parmi lesquelles deux plus grandes, l'une à dextre au premier point, l'autre à sénestre vers l'angle inférieur; en pointe, un globe terrestre d'or et d'argent ceint d'un méridien de sable.[228]
- Armes de Baron de l'Empire : De sable, semé d'étoiles d'argent en chef, et un globe terrestre du même en pointe, ledit globe entouré d'un annelet de sable en direction verticale ; au canton des Barons tirés des Corps Savants brochant.[35][224]
Dominique François Xavier Félix (29 novembre 1763 - Vézelise ✝ 7 décembre 1839 - Vailly-sur-Aisne), général de brigade (8 mars 1793), adjoint au ministre de la Guerre (4 février 1793 - 18 avril 1793), maître des requêtes au Conseil d'État (22 décembre 1807), baron de l'Empire (lettre patente du 28 mars 1810), Légionnaire (4 germinal an XII), puis Officier (22 décembre 1807), puis Commandeur (24 janvier 1814), puis Grand Officier de la Légion d'honneur (ordonnance royale du 1er novembre 1828), Chevalier de l'Ordre de la Couronne de fer, Chevalier de l’Ordre royal et militaire de Saint-Louis (28 juin 1814), Michel Ordener (2 septembre 1755 - L'Hôpital ✝ 30 août 1811, Compiègne, inhumé au Panthéon (caveau II)), général de brigade (29 août 1803), général de division (25 décembre 1805), Commandant de la Légion d'honneur (1804), sénateur (1806), Commandant de la Légion d'honneur (1804), Commandeur de l'Ordre de la Couronne de fer (1806), Comte de l'Empire (20 décembre 1808), premier écuyer de l'Impératrice (1806), gouverneur du Palais de Compiègne (1809), Écartelé : au I, du quartier des Comtes Sénateurs ; au II, d'or à la tête de cheval de sable ; au III, d'or au pont à trois arches mouvant des flancs, soutenu d'une mer d'argent, la deuxième arche chargée d'un écusson d'or à la lettre "L" de sable ; au IV, d'azur au sabre de cavalerie d'argent garni d'or en pal.[35][224]
Jean Mathieu Philibert Sérurier (8 décembre 1742 - Laon ✝ 21 décembre 1819 - Paris, inhumé aux Invalides), général de brigade (à titre provisoire le 25 juin 1793, confirmé le 22 août 1793), général de division (à titre provisoire le 22 décembre 1794, confirmé le 13 juin 1795), maréchal de l'Empire honoraire (18 mai 1804), maréchal de France honoraire (1er janvier 1819, comte Sérurier et de l'Empire (8 mai 1808), Légionnaire (2 octobre 1803), puis, Grand officier (14 juin 1804), puis, Grand aigle de la Légion d'honneur (2 mai 1805), Chevalier (30 juillet 1781), puis, Grand-croix de l’Ordre royal et militaire de Saint-Louis (30 septembre 1818), Grand Dignitaire de l'Ordre de la Couronne de Fer, Sénateur (27 décembre 1799 - 1814, vice-président du Sénat Conservateur (22 décembre 1802), gouverneur des Invalides (23 avril 1804 - 27 décembre 1815), commandant général de la Garde nationale de Paris (3 septembre 1809 - 22 avril 1814), Pair de France (4 juin 1814, 2 juin 1815 (Cent-Jours), rayant de la chambre des pairs (juillet 1815), comte-pair le 31 août 1817, lettres patentes du 14 avril 1818), -
- Armes de Comte de l'Empire : De gueules, au lévrier assis d'argent ; au canton des Comtes Sénateurs brochant.[221][224]
- Armes du comte-Pair de France sous la Restauration : De gueules, au lévrier assis d'argent, colleté et terrassé de sable.[229][230][224]
Léon de Vismes, sous-préfet du Premier Empire[231], baron de l'Empire, D'azur au chevron de gueules accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant de même, au canton des Barons Sous-préfets brochant[232][233].
Jacques François Laurent Devisme (10 août 1749, à Laon ✝ 2 février 1830, à Laon), député du Tiers-états aux États généraux de 1789, Président du Corps législatif (an X), Membre de la chambre des représentants (Cent-Jours), Chevalier de la Légion d'honneur (4 frimaire an XII), Chevalier de l'Empire (27 février 1809), Parti le premier d'azur au chevron de gueules accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant de même ; le deuxième d'azur à la fasce d'or, somé d'une pyramide de gueules maçonnée de sable accostée de deux étoiles d'or accompagnée en pointe d'un mouton passant d'argent tenant une bannière de même sur le penon sur laquelle une croix de sable, champagne de gueules aux insignes des Chevaliers légionnaires et pour livrée les couleur de l'écu. [234]
Notes et références
Références
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Notes
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- ↑ Le Ponthieu aux croisades, Marquis de belleval
- ↑ ARMORIAL DE LA GENERALITE D'AMIENS : ARTOIS ET PICARDIE" de Borel d'Hauterive d'après les manuscrits d'Hozier. Réimpression de l'édition de 1856
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- ↑ nobiliaire de Ponthieu,marquis de Belleval, tome 1 ,page 174 (1861)
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- ↑ (http://www.euraldic.com/)ce patronyme peut aussi s'ecrire le Blond du Plouy
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- ↑ Armorial Dubuisson, p. 148 (tome premier).
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- ↑ Nobiliaire de Ponthieu-Vimeu,Marquis de Belleval,tome 1 (1861)
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- ↑ (http://www.euraldic.com/)et l'armorial de Flandre,Artois et Picardie de Robert de Saint-loups
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- ↑ ce patronyme peut aussi s'ecrire sans le Sfinal
- ↑ archive de la famille de lorme surde Lorme de Baudouin
- ↑ qualifié aussi de sgr de Wion
- ↑ M. Louande, Histoire d'Abbeville
- ↑ a , b , c , d et e La noblesse d'Empire sur http://thierry.pouliquen.free.fr
- ↑ ARMORIAL DU PREMIER EMPIRE, Par Philippe LAMARQUE, Index armorum : Michel POPOFF, Iconographie : Gregor JAKUBOWSKI – BARTHEL de WEYDENTHAL, Editions du Gui, page 141
- ↑ a , b , c et d Source : lesapn.forumactif.fr, Les Amis du Patrimoine Napoléonien
- ↑ a , b , c , d , e , f et g Source : www.heraldique-europeenne.org
- ↑ Source : FranceGenWeb
- ↑ Frère du Maréchal-Duc de Vicence
- ↑ Source : www.heraldique-europeenne.org
- ↑ Source : Armorial de l'Empire français - par M. Alcide Georgel - 1870. L'Institut, L'Université, Les Ecoles publiques. Texte téléchargé depuis le site de la Bibliothèque Nationale de France.
- ↑ Source : www.newgaso.fr
- ↑ Source : Armory of the French Hereditary Peerage (1814-30) sur www.heraldica.org
- ↑ Source : www.heraldica.org
- ↑ Sources :
- de Borel d’Hauterive (d’après les manuscrits de d’Hozier),
- Armorial de la généralité d'Amiens : Artois et Picardie,1856
- Annuaire de la Noblesse de France et des Maisons souveraines de l'Europe, 1855
- Lucien Groué, Au confin de la Picardie, ed.1992
- Philippe Dayre de Mailhol (2001), Dictionnaire historique et héraldique de la noblesse française, p.778 - ISBN 3487112450.
- Marquis de Belleval Nobiliaire de Ponthieu-Vimeu, 1861
- les sceaux de Ponthieu 1861
- Robert de Saint Loups, Armorial de Flandre Artois et Picardie, 1994
- Witart, La noblesse de la Somme, 1994
- Annuaire du département de l'Aisne,
- Dictionnaire historique et héraldique de la noblesse française de Philippe Dayre de Mailhol (2001), page 778, (ISBN 3487112450)
- ↑ Source : www.geneawiki.com
- ↑ Sources :
- Annuaire du département de l'Aisne,
- Dictionnaire historique et héraldique de la noblesse française de Philippe Dayre de Mailhol (2001), page 778, (ISBN 3487112450)
Voir aussi
Articles connexes
- Histoire de la Picardie
- Armorial des familles nobles et notables de France
- Armorial de la noblesse d'Empire,
- Armorial des familles de Bretagne
- Armorial des familles du Maine
- Armorial des familles du Nivernais
- Armorial et nobiliaire de Savoie
- Armorial des familles nobles et notables des Yvelines
- Armorial du Gévaudan
- Liste des châteaux de Picardie
Liens externes
- Les familles picardes dans l'Armorial général en ligne,
- Le Ponthieu aux croisades
- Armorial de la généralité d'Amiens :par M. Borel d'Hauterive 1856 à 1878
- de la généralité de soissons :par M. Borel d'Hauterive 1856 à 1878
- Nobiliaire de Ponthieu volume 1:par M.René de Belleval 1861
- Nobiliaire de Ponthieu volume 2:par M.René de Belleval 1865
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