- Courbevoie
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Courbevoie
Quais de la Seine
DétailAdministration Pays France Région Île-de-France Département Hauts-de-Seine Arrondissement Arrondissement de Nanterre Canton chef-lieu de deux cantons Code commune 92026 Code postal 92400 Maire
Mandat en coursJacques Kossowski
2008-2014Intercommunalité Communauté d'agglomération Seine-Défense Site web ville-courbevoie.fr Démographie Population 85 054 hab. (2008[1]) Densité 20 397 hab./km² Gentilé Courbevoisiens Géographie Coordonnées Altitudes mini. 25 m — maxi. 56 m Superficie 4,17 km2 Courbevoie est une commune française, située dans le département des Hauts-de-Seine dans la banlieue ouest de Paris, sur la rive gauche de la Seine.
Le quartier de la Défense, principal quartier d'affaires de Paris, s'étend en partie sur Courbevoie (le reste étant partagé entre les communes de Puteaux et Nanterre).
Courbevoie, siège de la Société nautique de la basse Seine, a accueilli les épreuves d'aviron, de natation et de water-polo des Jeux olympiques d'été de 1900. Le crawl y fut nagé pour la première fois aux Jeux olympiques.
Sommaire
Géographie
Localisation
Courbevoie est une ville située en proche banlieue ouest de Paris, à deux kilomètres des limites de la capitale. Elle s'étend sur la rive gauche de la Seine, du quartier de la Défense au sud, qui occupe une partie de son territoire, à Asnières-sur-Seine, au nord.
Elle est également limitrophe des communes de La Garenne-Colombes et Bois-Colombes au nord, Levallois-Perret à l'est, Neuilly-sur-Seine au sud-est, Puteaux au sud-ouest et Nanterre à l'ouest.
Géologie et relief
Climat
Voies de communication et transports
Voies routières
Transports en commun
La commune a deux gares implantées sur son territoire :
Autrefois, la Halte de Courbevoie Sport permettait de desservir le cynodrome.
- La gare de La Défense, sur la commune limitrophe de Puteaux, dessert la partie nord-ouest de Courbevoie, notamment le quartier Faubourg de l'Arche (cf. ci-après).
- La gare d'Asnières-sur-Seine, bien que sur la commune voisine, dessert la partie nord-est de Courbevoie, souvent appelée Bécon-Asnières.
À en juger par son nom, la station de métro Pont de Levallois - Bécon, située de l'autre côté de la Seine, sur la commune de Levallois-Perret, a aussi pour vocation de desservir le quartier de Bécon de Courbevoie.
Enfin, Courbevoie bénéficie d'un accès direct aux importants réseaux de transport qui desservent le quartier d'affaires de la Défense :
Urbanisme
Morphologie urbaine
L’Insee découpe la commune en sept « grands quartiers » soit La République, Bécon-les-Bruyères Ouest, Bécon-les-Bruyères Est, Les Fauvelles, La Défense, Stade, Centre ville, eux-mêmes découpés en 31 îlots regroupés pour l'information statistique[2].
La ville de Courbevoie est divisée en cinq quartiers :
- Faubourg de l'Arche (anc. ZAC Danton)
- Marceau-République
- Bécon (et non Bécon-les-Bruyères, qui est le nom de la gare mais dont le quartier hérite souvent)
- Hôtel de Ville
- Gambetta
Logement
Projets d'aménagements
Toponymie
Le nom de Courbevoie est mentionné sous la forme latinisée Curva Via en 850 et n'est probablement pas antérieur à l'époque mérovingienne. Il se réfère à un coude de l'ancienne voie Paris-Rouen, d'après Albert Dauzat et Charles Rostaing[3]. Cette mention se retrouve d'ailleurs dans la devise inscrite sur les armoiries de la ville : Curva via mens recta (« voie courbe, esprit droit ») dont l'empereur romain Antonin le Pieux serait l'auteur.
Histoire
Au départ, Courbevoie était un petit hameau de pêcheurs et de vignerons. Au VIIIe siècle, le village dépendait de l'abbaye de Saint-Wandrille (en Seine-Maritime, près de Caudebec-en-Caux); puis passa sous le contrôle du clergé de Saint-Denis au XIIe siècle. Par la suite, il dépendra de la paroisse de Colombes jusqu'en 1787.
En 1606, alors que le roi Henri IV et la reine Marie de Médicis revenaient de Saint-Germain-en-Laye, ils empruntèrent le bac permettant de traverser la Seine pour regagner Paris. Le carrosse royal tomba à l'eau. À la suite de ce « naufrage », Henri IV chargea Sully de construire un pont à l'emplacement de l'actuel pont de Neuilly. Le pont initialement en bois fut reconstruit en pierre au XVIIIe siècle par Jean-Rodolphe Perronet, ingénieur du roi. En 1938, il fut remplacé par un pont métallique achevé en 1946.
Avant la Révolution, il existait à Courbevoie, un couvent dit des Pénitents, fondé en 1658, par Jean-Baptiste Forne.
Il y avait un château et une superbe caserne construite sous Louis XV pour loger les Gardes suisses[4]. En 1814, le gouvernement provisoire fit établir dans la caserne de Courbevoie un hôpital militaire destiné aux blessés des puissances alliées.
C'est par ce pont que passa le 14 décembre 1840 le cortège ramenant les cendres de Napoléon Ier depuis l'île Sainte-Hélène jusqu'aux Invalides. Par ailleurs, jusqu'en 1914, un tramway à vapeur passait sur le pont.
Jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, Courbevoie était un village de quelques centaines d'habitants. À la fin des années 1730, Courbevoie devient une ville de garnison. Le village voit alors sa population doubler. Des ouvriers, des artisans et de nombreuses petites entreprises s'y installent. Parallèlement, jusqu'à la fin du XIXe siècle, la culture des vignes restera une activité importante de Courbevoie.
La ville acquiert son autonomie en 1790 et devient un chef-lieu de canton en 1829. Alors que Courbevoie comptait moins de 1 500 habitants à la fin du XVIIIe siècle, la population va augmenter très rapidement au cours du siècle suivant, atteignant 25 000 habitants à la fin du XIXe siècle en raison du développement de l'artisanat, de l'industrie et des moyens de transports (notamment du chemin de fer).
Au cours du XXe siècle, la première et la Seconde Guerre mondiale vont profondément marquer la ville qui va connaître d'importants dégâts et de nombreuses victimes du fait des bombardements.
Après la guerre, avec l'aménagement du quartier de la Défense, l'activité économique de Courbevoie connaît un accroissement notable. Dans le même temps, une vaste opération d'urbanisme est engagée pour transformer la ville en quartiers modernes avec de nombreux logements, des commerces, des équipements publics, des infrastructures sportives et culturelles.
Peu à peu, Courbevoie est passée du statut de ville industrielle à celle de ville à vocation tertiaire.
Fin 2010, la Ville met au point un projet de réaménagement des rives de Seine à hauteur du quartier de la Défense, entrainant la couverture de la route départementale 7 (quais de Seine)[5].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Pour les échéances électorales de 2007, Courbevoie fait partie des 82 communes[6],[7] de plus de 3 500 habitants ayant utilisé les machines à voter électroniques.
Administration municipale
Courbevoie est divisée en deux cantons :
- Le canton de Courbevoie-Nord compte 31 286 habitants;
- Le canton de Courbevoie-Sud compte 53 129 habitants.
En 2008, Courbevoie a reçu le label « Ville Internet @@@ »[8] confirmé en 2010 par @@@@[9].
Liste des maires
Article détaillé : Liste des maires de Courbevoie.Depuis 1955, trois maires se sont succédé à Courbevoie :
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 26 janvier 1955 26 mars 1959 Gabriel Roche SFIO … 26 mars 1959 25 juin 1995 Charles Deprez Républicains indépendants, puis UDF-PR … 25 juin 1995 en cours Jacques Kossowski RPR puis UMP … Instances judiciaires et administratives
Politique environnementale
Jumelages
Au 1er janvier 2010, Courbevoie est jumelée avec :
- Freudenstadt (Allemagne) depuis 1961
- Enfield (Royaume-Uni) depuis 1993
Population et société
Démographie
Évolution démographique
En 2008, Courbevoie comptait 85 054[10] habitants (soit une augmentation de 22,1 % par rapport à 1999). La commune occupait le 50e rang au niveau national, alors qu'elle était au 63e en 1999, et le 3e au niveau départemental sur 36 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Courbevoie depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint en 2008 avec 85 054 habitants.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (15,2 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,7 %).
À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,5 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %). La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 47,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 19,6 %, 15 à 29 ans = 21,3 %, 30 à 44 ans = 28,5 %, 45 à 59 ans = 17,8 %, plus de 60 ans = 12,8 %) ;
- 52,5 % de femmes (0 à 14 ans = 17,4 %, 15 à 29 ans = 21,4 %, 30 à 44 ans = 25,7 %, 45 à 59 ans = 18,1 %, plus de 60 ans = 17,4 %).
Enseignement
Courbevoie est située dans l'académie de Versailles.
Établissements scolaires
La ville administre xx écoles maternelles et xx écoles élémentaires communales.
Enseignement supérieur
Manifestations culturelles et festivités
Santé
Sports
Courbevoie propose toute une palette de sports.
Sports de raquettes : Badminton, Tennis et Tennis de table
Sports collectifs : Basket-ball, Football, Handball, Rugby à XV et Volley-ball
Duels et combats : Aïkido, Boxe anglaise, Boxe française, Capoeira, Escrime, Judo, Karaté, Kendo, Kung fu, Tai chi chuan et Tai jitsu self défense
Activités aquatiques et de glaces : Aviron, Hockey sur glace, Natation, Patinage artistique et Plongée
Sports d'adresse : Billard, Bowling, Boules lyonnaises, Pétanque et Tir
Endurance et vitesse : Athlétisme, Cyclisme, Triathlon et VTT
Gymnastique et forme : Gymnastique artistique, Gymnastique (baby gym, danse et gym rythmique), Activités sportives séniors, Musculation et Trampoline
Dance, Relaxation et bien-être : Dance et Yoga
Médias
Cultes
Les Courbevoisiens disposent de lieux de culte catholique et protestant
Culte catholique
Article détaillé : Paroisse des Hauts-de-Seine.Depuis janvier 2010, la commune d'Asnières-sur-Seine fait partie du doyenné des Deux-Rives, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[16].
Au sein de ce doyenné, les trois lieux de culte relèvent des trois paroisses[17] :
- Paroisse Saint-Adrien[18] : église Saint-Adrien
- Paroisse Saint-Maurice de Bécon[19] : église Saint-Maurice de Bécon
- Paroisse Saint-Pierre-Saint-Paul[20] : église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2007, le revenu fiscal médian par ménage était de 26 297 €, ce qui plaçait Courbevoie au 361e rang parmi les 30 714 communes de plus de 50 ménages en métropole[21].
Emploi
Entreprises et commerces
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
- Pavillon Indien
- Pavillon de la Suède et de la Norvège
Patrimoine culturel
- Musée Roybet Fould
- Musée du régiment cosaque de la garde de Sa Majesté l'Empereur de Russie, 12 bis rue Saint-Guillaume
- Mémorial du retour des cendres de Napoléon Ier où furent débarquées le 15 décembre 1840 les cendres de l’Empereur.
Courbevoie et le cinéma
Courbevoie a servi de décors à de nombreux films.
- 1951 - Deux sous de Violettes (Jean Anouilh) dans l'impasse menant à l'ancienne crèche.
- 1951 : Pas de vacances pour Monsieur le Maire de Maurice Labro
- 1969 : Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause ! de Michel Audiard
- 1970 : Le Chat de Pierre Granier-Deferre (rue Louis-Blanc, place Victor-Hugo, impasse Dupuis)
- 1975 : Peur sur la ville d'Henri Verneuil (Tour Les Poissons, place Charras)
- 1975 - Les vécés étaient fermés de l'intérieur (Patrice Lecomte) rue de Strasbourg et rue d'Essling
- 1975 - Les oeufs brouillés (Joël Santoni) Salle des mariages de la Mairie
- 1977 - Cet obscur objet du désir (Luis Bunuel) rue Louis Blanc
- 1979 : I... comme Icare d'Henri Verneuil (viaduc Gambetta, tunnel sous le pont de Neuilly, Tour Fiat et place de la Coupole)
- 1988 : Il y a maldonne de John Berry (tour UAP, quartier de La Défense)
- 1989 : Gisèle Kérozène de Jan Kounen
- 2003 : Tais-toi ! de Francis Veber (boulevard de la Paix)
- 2007 : Les Vacances de Mr. Bean de Steve Bendelack (parvis de La Défense)
- 2007 : Nos amis les Terriens de Bernard Werber (quartier de la Défense : tours Cœur Défense, Areva et Total)
- 2007 : 99 francs de Jan Kounen (quartier de la Défense : Cœur Défense, Tour Égée)
- 2008 : La Personne aux deux personnes avec Alain Chabat (quartier esplanade de la Défense, La Défense)
- 2008 : 15 ans et demi (lycée Paul-Lapie)
Vie militaire
Unités ayant tenu garnison à Courbevoie :
- 5e Régiment d'Infanterie, 1929 - 1940
Personnalités liées à la commune
- Acteurs, comédiens, metteurs en scène, ...
- Arletty (Léonie Bathiat) (1898-1992), actrice, née à Courbevoie.
- Michel Blanc (1952), acteur, né à Courbevoie.
- Louis de Funès (1914-1983), né à Courbevoie.
- Jean-Pierre Darroussin 1953), acteur, né à Courbevoie.
- Maurice Labro (1910-1987), réalisateur, né à Courbevoie.
- Germaine Delbat (1904-1988), actrice, née à Courbevoie.
- Didier Bénureau (1956), acteur, né à Courbevoie.
- Chanteurs, danseurs, musiciens, ...
- Michel Delpech (1946), chanteur, né à Courbevoie. Le café de la chanson Chez Laurette était situé rue de l'Alma.
- Louis-Alexandre Mérante (1828-1887), danseur et chorégraphe, mort à Courbevoie.
- Jean-Claude Vannier (1943), auteur-compositeur-interprète, né à Courbevoie.
- Écrivains, dessinateurs, historiens, photographe, ...
- Céline (Louis-Ferdinand Destouches) (1894-1961), écrivain, né à Courbevoie.
- Jacques Henri Lartigue (1894-1986), photographe, né à Courbevoie.
- Georges Limbour (1900-1970), écrivain et poète, né à Courbevoie.
- André Glory (1906-1966), abbé et archéologue, né à Courbevoie.
- Voutch (1958), dessinateur, né à Courbevoie.
- Jean-Blaise Djian (1953), scénariste de bandes-dessinées, né à Courbevoie.
- Politiques
- Marc Blondel (1938), syndicaliste, né à Courbevoie.
- Olivier Jardé (1953), homme politique, né à Courbevoie.
- Pierre Lagaillarde (1931), militant de l'Algérie française, né à Courbevoie.
- Michel Rocard (1930), homme politique, né à Courbevoie.
- Sportifs
- Robert Sénéchal (1892-1965), industriel, pilote de course automobile et aviateur français propriétaire d'une usine rue Louis Blanc.
- Philippe Candeloro (1972), patineur artistique, né à Courbevoie.
- Stanick Jeannette (1977), patineur artistique, né à Courbevoie.
- Guillaume Lacour (1980), footballeur, né à Courbevoie.
- Nassim Akrour (1974), footballeur, né à Courbevoie.
- William Rémy (1991), , né à Courbevoie.
- Militaires, ...
- Pierre Boucher (1772-1831), colonel du Premier Empire, né à Courbevoie.
Héraldique, logotype et devise
Elles peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui : ''D'azur au pont courbe de trois arches d'or, maçonné de sable et posé sur des ondes d'argent mouvant de la pointe, au chef cousu de gueules chargé d'une tente d'argent accostée de deux grappes de raisin d'or tigées et feuillées de sinople.
Un délibération du conseil municipal du 13 mars 1990 en donne cette description[22] : À l'écu antique de France portant d'azur qui est bleu de France fabriqué autrefois à Courbevoie en 1837. Au pont courbe à trois arches d'or maçonné de sable sur une rivière d'argent ombrée d'azur qui est du pont de Courbevoie. Au chef de gueules, à la tente d'argent qui est ville de garnison accompagné de deux ceps grappés d'or, souvenir du pays autrefois vignoble. L'écu posé sur un cartouche est accompagné à dextre et à sénestre de branches de chênes fruité au naturel (emblème de la force et arme du peuple) et d'olivier fruité au naturel (emblème de la paix et du travail). Les deux branches nouées aux couleurs tricolores de la France. La couronne murale à quatre tours représente le symbole d'une ville de deuxième classe..
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Lien externe
Notes et références
- Populations légales 2008 de la commune : Courbevoie sur le site de l'Insee
- Plan d'assemblage Grands Quartiers - IRIS 2000 – Courbevoie sur le site de l'Insee. Consulté le 28 février 2011
- Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris 1978.
- La Caserne Charras, où se trouve actuellement le centre Charras.
- Renover et aménager un nouvel espace public pour Courbevoie [PDF]
- La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr
- Liste des communes équipée de machines de vote électronique dans le 92
- Palmares 2008 sur www.villes-internet.net. Consulté le 10 septembre 2009
- Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 17/12/2009.
- Populations légales 2008 sur Insee. Consulté le 4 janvier 2011
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 1er septembre 2010
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 1er septembre 2010
- Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 1er septembre 2010
- Évolution et structure de la population à Courbevoie en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 1er septembre 2010
- Résultats du recensement de la population des Hauts-de-Seine en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 1er septembre 2010
- Carte des doyennés janvier 2010 sur le site du diocèse de Nanterre. Consulté le 18 septembre 2011
- Liste des paroisses des Hauts-de-Seine sur le site du diocèse de Nanterre. Consulté le 18 septembre 2011
- Page d'accueil sur le site de la paroisse Saint-Adrien. Consulté le 18 septembre 2011
- Page d'accueil sur le site de la paroisse Saint-Maurice de Bécon. Consulté le 18 septembre 2011
- Page d'accueil sur le site de la paroisse Saint-Pierre-Saint-Paul. Consulté le 18 septembre 2011
- CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl sur site de l'Insee. Consulté le 4 mai 2010
- Jacques Kossowski (dir.), Guide Pratique, Ville de Courbevoie, 1er septembre 2009, 204 p., p. 44
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