- Was mir behagt, ist nur die muntre Jagd
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Cantate BWV 208 Was mir behagt, ist nur die muntre Jagd Création 1713 Auteur(s) du texte Salomon Franck
Texte original Traduction française de M. Seiler
Traduction française note à note
Traduction française interlinéaireEffectif instrumental Soli : 2 S, T, B,
Hautbois I/II, basson, flûtes à bec I/II, violons I/II, alto, basse continuePartition complète [PDF] Partition Piano/Voix [PDF]
Informations et discographie (en)
Informations en français (fr)Commentaires (en) Was mir behagt, ist nur die muntre Jagd, (BWV 208), aussi connue sous le nom de « cantate de la chasse », est une cantate profane de Johann Sebastian Bach composée à Weimar en 1713.
Sommaire
Histoire et livret
Bach composa cette cantate à l'occasion du trente et unième anniversaire du duc Christian de Saxe-Weissenfels, le 23 février 1713. C'est une musique de banquet jouée dans la soirée après une grande journée de chasse du duc de Schloss Neuenburg (Freyburg) (de), dans le Jägerhof à Weißenfels.
La cinquième aria 5, « Schafer Konner sich Weiden » est peut-être la partie la plus célèbre de cette cantate dont la durée d'exécution est d'environ 40 minutes. La pièce a été jouée de nouveau le 23 février 1716 probablement à Weimar et de nouveau en 1742 à Leipzig.
Le texte est de Salomon Franck (de). Le poète se réfère à la mythologie classique: Diane, la déesse de la chasse (soprano), Endymion (ténor), Pan (basse) et Palès (soprano) louent les princes chrétiens.
Structure et instrumentation
La cantate est écrite pour deux cors de chasse, deux hautbois, basson, deux flûtes à bec, deux violons, alto et basse continue avec quatre solistes (deux soprano, ténor, basse). L'existence d'un chœur n'est pas explicitement prévue.
Il y a quatorze mouvements :
- récitatif (soprano) : Was mir behagt, ist nur die muntre Jagd!
- récitatif (ténor) : Wie, schonste Gottin? wie?
- aria (ténor) : Willst du dich nicht mehr ergetzen
- récitatif (soprano, ténor) : Ich liebe dich zwar noch!
- aria (basse) : Ein Furst ist seines Landes Pan
- récitatif (soprano) : Soll dann der Pales Opfer hier das letzte sein?
- aria (soprano) : Schafe konnen sicher weiden
- récitatif (soprano) : So stimmt mit ein und lasst des Tages Lust volkommen sein
- choral : Lebe, Sonne dieser Erden
- aria (soprano, ténor) : Entzucket uns beide, ihr Strahlen der Freude
- aria (soprano) : Weil die wollenreichen Heerden
- aria (basse) : Ihr Felder und Auen
- choral : Ihr lieblichste Blicke, ihr freudige Stunden
A noter
Il s'agit de la plus ancienne des cantates profanes de Bach que l'on connaisse. C'est également la première œuvre connue de Bach pour grand orchestre et la première indication de la coopération entre le compositeur et le poète Salomon Franck. La cantate se compose d'une succession de 15 récitatifs, arias et chœurs plutôt courts, conçus pour être relativement libres, c'est-à-dire qui souvent ne correspondent pas aux formes habituelles de l'époque. Le caractère de chasse de la musique est souligné par l'utilisation de deux cors tandis que les flûtes à bec qui accompagnent Palès illustrent son côté pastoral.
Notes et références
- (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Was mir behagt, ist nur die muntre Jagd » (voir la liste des auteurs).
Voir aussi
Catégories :- Cantate de Johann Sebastian Bach
- 1713 en Europe
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