Sèvres

Sèvres
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48° 49′ 26″ N 2° 12′ 42″ E / 48.8238888889, 2.21166666667

Sèvres
La mairie de Sèvres
La mairie de Sèvres
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Hauts-de-Seine
Arrondissement Boulogne-Billancourt
Canton Sèvres
Code commune 92072
Code postal 92310
Maire
Mandat en cours
François Kosciusko-Morizet
2008-2014
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Paris Seine Ouest
Site web ville-sevres.fr
Démographie
Population 23 122 hab. (2008)
Densité 5 959 hab./km²
Gentilé Sévriens
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 26″ Nord
       2° 12′ 42″ Est
/ 48.8238888889, 2.21166666667
Altitudes mini. 27 m — maxi. 171 m
Superficie 3,88 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Sèvres (prononcé [sɛvʁ] Prononciation du titre dans sa version originale) est une commune française du département des Hauts-de-Seine de la région Île-de-France.

Sommaire

Géographie

Localisation

Vue de la commune de Sèvres en rouge sur la carte de la « Petite Couronne » d'Île-de-France
Berges de la Seine au début du XXe siècle. À cette époque, le fleuve était un axe de transport important, et des navettes fluviales, dont on voit ici l'embarcadaire, assuraient le transport des passagers vers Paris

Sèvres est une ville de la banlieue ouest de Paris à 10,5 kilomètres à l'ouest de la cathédrale Notre-Dame de Paris[1], longée à l'est par la Seine.

Géologie et relief

Des travaux effectués à Sèvres, notamment pour la construction de la voie express, ont permis de mettre à jour dans différentes couches géologiques des fossiles très intéressants. Par exemple, dans la craie, on trouva des sortes d'oursins, des rostres de belemnistes, des rynchonelles, des huîtres ; dans le calcaire grossier, des nautiles[2].

Climat

Le climat de l'Île-de-France est de type océanique dégradé. Les stations d'observation les plus utilisées pour la météorologie à Sèvres sont celles d'Orly et de l'aéroport de Vélizy-Villacoublay[3].

Le climat dans les départements de la petite couronne parisienne est caractérisé par un ensoleillement et des précipitations assez faibles. Le tableau suivant permet de comparer le climat francilien avec celui de quelques grandes villes françaises :

Ville Ensoleillement
(h/an)
Pluie
(mm/an)
Neige
(j/an)
Orage
(j/an)
Brouillard
(j/an)
Moyenne nationale 1 973 770 14 22 40
Orly[4] 1 797 615 16 20 31
Paris 1 630 642 15 19 13
Nice 2 668 767 1 31 1
Strasbourg 1 633 610 30 29 65
Brest 1 492 1 109 9 11 74

Le tableau suivant donne les moyennes mensuelles de température et de précipitations pour la station d'Orly recueillies sur la période 1961 - 1990 :

Relevés météorologiques en Île-de-France (station d'Orly 1961-1990)
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,7 1,3 3,0 5,3 8,8 11,9 13,8 13,4 11,2 7,9 3,8 1,6 6,9
Température moyenne (°C) 3,3 4,4 6,8 9,8 13,5 16,7 18,9 18,6 16,0 11,9 6,8 4,1 10,9
Température maximale moyenne (°C) 5,8 7,5 10,7 14,2 18,1 21,5 24,0 23,8 20,9 15,9 9,8 6,6 14,9
Humidité relative (%) 86 80 76 72 72 71 70 71 77 83 86 86 78
Source : Infoclimat[5]


Relevés météorologiques en Île-de-France (station d'Orly 1961-1990)
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Nombre de jours avec gel 12,4 10,3 7,0 1,6 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,2 5,4 11,6 48,6
Source : Infoclimat[5]


Relevés météorologiques en Île-de-France (station d'Orly 1961-1990)
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc.
Record de froid (°C)
(année du record)
-16,8
(1985)
-15,0
(1956)
-9,4
(2005)
-4,3
(1921)
-1,3
(1957)
3,2
(1975)
6,7
(1922)
5,6
(1923)
1,7
(1952)
-3,9
(1955)
-9,6
(1921)
-13,3
(1964)
Record de chaleur (°C)
(année du record)
16,5
(2003)
20,0
(1990)
24,5
(1955)
29,4
(1949)
35,0
(1922)
37,0
(1947)
39,2
(1947)
40,0
(2003)
33,0
(1949)
31,3
(1921)
20,1
(1993)
17,3
(1989)
Source : JournalduNet[4]


Voies de communication et transports

Voies routières

Pistes cyclables

Sèvres présente un axe principal de circulation qui supporte un important trafic de transit principalement aux heures de pointe du soir et du matin. Cela permet de préserver des axes secondaires de desserte résidentielle ne subissant pas les effets négatifs de la circulation de transit, et sur laquelle la mise en zone 30 était à l’étude, dès 2007[6]. La mairie a toutefois lancé une réflexion sur ces voies pour obtenir un meilleur partage des espaces publics en faveur des liaisons douces (trottoirs confortables, si possible développement de pistes cyclables) et de l’usage des transports en commun là où ils passent (arrêts de bus confortables, création de sites propres lorsque les conditions techniques le permettent)[7].

Transports en commun

La gare de Sèvres - Ville d'Avray

Sèvres est reliée de plusieurs façons au réseau de transport de l'Île-de-France :

Cinq lignes de bus relient Sèvres à Paris et aux communes limitrophes, via les réseaux de bus de l'Île-de-France :

La ville met à disposition des personnes à mobilité réduite un minibus, « L’autre Bus ».

Urbanisme

Morphologie urbaine

L’Insee découpe la commune en dix îlots regroupés pour l'information statistique[8].

La commune de Sèvres comprend 16 quartiers, dont les intitulés sont[9] :

  • 1 - Bruyères - Acacias - Fonceaux
  • 2 - Bruyères - Postillons - Jaurès
  • 3 - Val des Bruyères - Allard
  • 4 - Ernest Renan
  • 5 - Châtaigneraie
  • 6 - Beau Site - Pommerets
  • 7 - Binelles
  • 8 - Manufacture - Brimborion
  • 9 - SEL - Division Leclerc
  • 10 - Europe - Pierre Midrin
  • 11 - Médiathèque - 11 novembre
  • 12 - Danton - Gabriel Péri
  • 13 - Monesse
  • 14 - Croix-Bosset
  • 15 - Brancas - Fontenelles
  • 16 - Brancas - Beauregard
Occupation des sols en 2003
Type d'occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 62,70 % 243,19
Espace urbain non construit 13,46 % 52,21
Espace rural 23,83 % 92,44
Source : Iaurif[10]

Logement

Dans le projet d’aménagement et de développement durable (PADD) approuvé le 10 mai 2007[11], la commune affiche l’ambition de maintenir sa population aux environs de sa situation de début 2005. Il s’agit d’une volonté d’offrir à chaque ménage habitant la commune, l’opportunité de vivre et évoluer à Sèvres, et d’un enjeu de préservation de son tissu d’équipements et de commerces locaux. Les études menées dans le cadre du P.L.H. montrent qu’à l’horizon 2015, ceci impliquerait la construction d’environ 40 logements par an (en tenant compte de la transformation du parc ancien, de la réduction de la vacance et du desserrement de la taille des ménages) pour maintenir la population communale.

En 2005, la commune comptait 24.5% de logements sociaux. Ces logements sont en grande partie implantés le long de la RD 910, autour du centre-ville. La commune affiche la volonté de préserver cette mixité sociale en garantissant une diversité des statuts de logements dans le cadre des opérations futures de construction. À ce titre, elle affiche la volonté de maintenir son parc de logement social autour de 25% du parc total de résidences principales. Par ailleurs, le parc locatif privé a connu une baisse entre 1990 et 1999. Un effort en faveur de ce type de logements sera recherché toujours dans l’optique de maintenir la diversité des profils d’habitants. Certains secteurs de la ville étant faiblement pourvus en logements sociaux, le développement de ce type de logement devra permettre un meilleur équilibre à l’échelle de la commune[12].

Projets d'aménagements

Les principaux projets d'aménagements concernent :

  • la reconstruction de l'école Croix Bosset[13]
  • le développement des liens entre les berges de Seine, la ville et les parcs boisés par des ouvertures piétonnes destinées à développer une trame de liaisons douces est/ouest (liaisons parc de Saint-Cloud / île Monsieur, entre le parc de Brimborion et la station de Tramway Brimborion, le long de la Seine, projet d’aménagement de l’entrée de Sèvres et des abords du musée de la Manufacture par la création d’un cheminement piéton/vélos le long de la grande rue, derrière le mur d’enceinte du musée)[14].

Toponymie

Au cours des âges, le nom de la commune changea plusieurs fois. Il y eut d'abord savara, un mot préceltique désignant une rivière. La racine est la même pour la Sèvre Nantaise et la Sèvre Niortaise qui ont donné son nom au département des Deux-Sèvres. Puis vinrent Sauara, Saura, Saure, Savra, Severa, Sepera, Separa, Sevra, Sièvre, Saives, Sèvre-en-France-lez-paris à partir du XIVe siècle, avant Sèvres[2].

Histoire

L'Église Saint-Romain-de-Blaye, au début du XXe siècle
Article détaillé : manufacture de Sèvres.
  • En 1756, madame de Pompadour fit transférer la manufacture de porcelaine de Vincennes à Sèvres. On l'installa à l'emplacement de la Guyarde, l'ancienne villégiature de Lulli.
  • En 1760, la Louis XV rachète la manufacture qui devient donc « royale ».
  • Le pont de Sèvres, qui était de bois, fut commencé en pierre en 1809 et terminé en 1820.
  • En 1815, les habitants de Sèvres, unis à quelques soldats essayèrent de résister aux Prussiens, qui occupaient Sèvres et le pillaient malgré la capitulation signée à St Cloud.
  • 20  mai 1875 : après la signature à Paris de la Convention du Mètre, qui décida notamment de la construction d'un nouveau prototype de mètre étalon en platine iridié, celui-ci est déposé au bureau international des poids et mesures (BIPM) dans l'enceinte du Pavillon de Breteuil à Sèvres. Le gouvernement français « offrit ce bâtiment » au BIPM. Le pavillon principal était, alors, dans un état proche de la ruine, suite aux bombardements prussiens de la guerre de 1870. La rénovation fut donc prise en charge par le bureau international[15].
  • Le traité de Sèvres (10 août 1920)
Article détaillé : Traité de Sèvres.

Signé dans la grande salle qui abrite actuellement le Musée de la Porcelaine à Sèvres, c'est un traité de paix entre les Alliés et l’Empire ottoman, à la défaveur de ce dernier.

  • Les Protocoles de Sèvres (21 au 24 octobre 1956)
Article détaillé : Protocoles de Sèvres.

Les protocoles de Sèvres (parfois nommés « accords ») sont un accord secret en sept points consignant par écrit une entente tripartite entre Israël, la France et la Grande-Bretagne en réaction à la nationalisation du canal de Suez par le leader égyptien Nasser.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Depuis les échéances électorales de 2007, Sèvres fait partie des communes[16],[17] de plus de 3 500 habitants utilisant les machines à voter.

Au référendum sur le traité constitutionnel pour l’Europe du 29 mai 2005, les Sévriens ont majoritairement voté pour la Constitution européenne, avec 69,93 % de Oui contre 30,07 % de Non avec un taux d’abstention de 24,08 % (France entière : Non à 54,67 % - Oui à 45,33 %)[18].

À l’élection présidentielle française de 2007[19], le premier tour a vu arriver en tête Nicolas Sarkozy avec 35,58 % soit 4 750 voix, suivi de Ségolène Royal avec 26,09 % soit 3 212 voix, puis de François Bayrou avec 23,35 % soit 2 875 voix, aucun autre candidat ne dépassant le seuil des 5 %. Au second tour, les électeurs ont voté à 56,40 % soit 6 661 voix pour Nicolas Sarkozy contre 43,60 % soit 5 149 voix pour Ségolène Royal, résultat plus tranché que la moyenne nationale[20] qui fut, au second tour, de 53,06 % pour Nicolas Sarkozy et 46,94 % pour Ségolène Royal. Pour cette élection présidentielle, le taux de participation a été très élevé. On compte 18 455 inscrits sur les listes électorales sévriennes, 89,56 % soit 16 528 voix ont participé aux votes, le taux d’abstention fut de 10,44 % soit 1 927 voix, 0,54 % soit 90 voix ont effectué un vote blanc ou nul et enfin 99,46 % soit 16 438 voix se sont exprimées.

Administration municipale

Sèvres a mis en place un conseil communal des jeunes, de façon à faire participer les plus jeunes à la vie de la commune[21].

Conseil municipal de Sèvres (mandature 2008-2014)[22]
Liste Tendance Président Effectif Statut
« Avoir Sèvres au coeur » UMP François Kosciusko-Morizet 27 Majorité
« Ensemble pour Sèvres » Centre gauche Jacques Blandin 8 Opposition

Liste des maires

Article détaillé : Liste des maires de Sèvres.

Depuis 1971, quatre maires se sont succédé à Sèvres :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
21 mars 1971 1980 Georges Lenormand PCF Conseiller général (1967-1970) et (1976-1982)
1980 13 mars 1983 Roger Fajnzylberg PCF  
13 mars 1983 18 juin 1995 Jean Caillonneau UDF-CDS  
18 juin 1995 en cours François Kosciusko-Morizet UMP homme politique

Instances judiciaires et administratives

Sèvres relève du tribunal d'instance[23] ainsi que du tribunal de police de Boulogne-Billancourt[24].

Politique environnementale

La commune désire valoriser sa richesse environnementale (forêts, berges de la Seine, patrimoine bâti, topographie…) qui constitue un atout en termes d’image pour la ville et de qualité de cadre de vie pour ses habitants : « Il convient de préserver ces éléments qui sont des maillons d’un chapelet de parcs et jardins qui participent également à de grandes continuités paysagères, de possibilités de balades et de circuits touristiques à une échelle intercommunale[14] ».

Jumelages

Au 1er janvier 2010, Sèvres est jumelée avec :

Par ailleurs, la communes de Sèvres a signé en 1991 un accord de coopération avec la commune de Maracineni en Roumanie[25].

Population et société

Démographie

Évolution démographique

En 2008, Sèvres comptait 23 122[26] habitants (soit une augmentation de 2,5 % par rapport à 1999). La commune occupait le 370e rang au niveau national, alors qu'elle était au 363e en 1999, et le 29e au niveau départemental sur 36 communes.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Sèvres depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint en 2006 avec 23 726 habitants.

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 2 700 2 642 2 779 3 131 3 973 3 977 4 626 4 963 4 750
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 5 760 6 328 6 754 7 096 6 552 6 834 7 620 6 902 7 317
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 8 216 8 143 9 465 11 436 14 505 15 457 15 501 15 242 17 109
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 -
Population 20 129 20 083 21 149 20 208 21 990 22 555 23 726 23 122 -
Notes, sources, ... Sources : base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusqu'en 1962[27], base Insee à partir de 1968 (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[28],[29]

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,7 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,7 %).

À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,2 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %). La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 47,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,1 %, 15 à 29 ans = 19,2 %, 30 à 44 ans = 23,4 %, 45 à 59 ans = 19,4 %, plus de 60 ans = 15,9 %) ;
  • 52,2 % de femmes (0 à 14 ans = 19,1 %, 15 à 29 ans = 17,1 %, 30 à 44 ans = 23,5 %, 45 à 59 ans = 20,9 %, plus de 60 ans = 19,4 %).
Pyramide des âges à Sèvres en 2007 en pourcentage[30]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,4 
90  ans ou +
1,3 
4,9 
75 à 89 ans
7,4 
10,6 
60 à 74 ans
10,7 
19,4 
45 à 59 ans
20,9 
23,4 
30 à 44 ans
23,5 
19,2 
15 à 29 ans
17,1 
22,1 
0 à 14 ans
19,1 
Pyramide des âges du département des Hauts-de-Seine en 2007 en pourcentage[31]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,3 
90  ans ou +
1,0 
4,8 
75 à 89 ans
7,8 
10,2 
60 à 74 ans
11,0 
18,5 
45 à 59 ans
18,9 
24,7 
30 à 44 ans
23,3 
21,0 
15 à 29 ans
19,9 
20,6 
0 à 14 ans
18,1 

Enseignement

Sèvres est située dans l'académie de Versailles.

Établissements scolaires

Le groupe scolaire des Bruyères

La ville administre six écoles maternelles et cinq écoles élémentaires communales[32].

Le département gère un collège et la région Île-de-France un lycée du nom de « lycée Jean-Pierre Vernant » en souvenir[33] d'un compagnon de la Libération. Ce collège/Lycée accueille des sections internationales privées (Bilingues Français/Anglais et Français/Allemand) à l'excellence reconnue (SIS: Sections Internationale de Sèvres). Ces sections internationales préparent au baccalauréat français et OIB (Option Internationale du Baccalauréat).

Sèvres dispose par ailleurs d'un établissement privé (école et collège) : l'école Jeanne d'Arc.

L'École supérieure de fonderie et de forge, une école d'ingénieurs privée est également installée sur le territoire de la commune, au sein du Centre technique des industries de la fonderie

Historique

La Maison d'enfants de Sèvres[34] à fonctionné de septembre 1941, sous la direction d'Yvonne Hagnauer (Goéland), jusqu'en novembre 1958, 14 rue Croix-Bosset. Elle emménagea ensuite au château de Bussières, sur l'autre rive. En 1991 elle devint le Collège Jean-Marie Guyot.

L'École normale supérieure de jeunes filles a été créée à Sèvres en 1881. Elle a ensuite déménagé boulevard Jourdan, à Paris, avant de fusionner avec l'École normale supérieure, en 1985. Elle occupait les anciens bâtiments de la manufacture de porcelaine, qui abritent aujourd'hui le Centre international d'études pédagogiques[35].

Manifestations culturelles et festivités

  • Le dernier samedi de septembre, « La dictée de Sèvres » est un concours de dictées organisé depuis 2007[36].

Santé

Sèvres accueille l'un des sites du « centre hospitalier des 4 villes ». Depuis le 1er janvier 2006, ce centre regroupe le « Centre Hospitalier Intercommunal Jean Rostand » (qui regroupait déjà Chaville, Sèvres et Ville d’Avray) et le « Centre Hospitalier de Saint-Cloud[37] ». Le site de Sèvres est spécialisé en hospitalisation et en consultation dans les services maternité/gynécologie/fertilité et médecine[38].

Sports

Sèvres est la ville dans laquelle la France Sport Blowgun Association est implantée depuis 2004.

Médias

Sèvres accueille le groupe de webradios GOOM Radio depuis 2007.

Cultes

Les Sévriens disposent de lieux de culte catholique, israélite, musulman, protestant et bouddhique.

Culte catholique

Article détaillé : Paroisse des Hauts-de-Seine.

Depuis janvier 2010, la commune de Sèvres fait partie du doyenné des Collines, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[39].

Au sein de ce doyenné, les lieux de culte catholique relèvent des deux paroisses de Sèvres[40] :

  • Paroisse Saint-Romain : l'église Saint-Romain
  • Paroisse Notre-Dame-des-Bruyères : l'église Notre-Dame des Bruyères.

Culte israélite

Communauté juive de Sèvres

Culte musulman

Association des Musulmans de Sèvres

Culte protestant

Église réformée de France (Centre paroissial de Séquoïa)

Culte bouddhique

C'est à Sèvres qu'est située la pagode Tinh Tam.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2007, le revenu fiscal médian par ménage était de 29 131 €, ce qui plaçait Sèvres au 137e rang parmi les 30 714 communes de plus de 50 ménages en métropole[41].

Emploi

En 2007, le taux d’emploi communal était proche de 1 (10 369 emplois pour 10 607 actifs résidant à Sèvres), ce qui correspond à l'objectif que s'était fixé le schéma directeur du Val de Seine à l’horizon 2015[42].

Entreprises et commerces

Culture locale et patrimoine

Monuments et lieux touristiques

Monuments et sites, inventaire au 31 décembre 2005
Intitulé Ensemble classé Ensemble inscrit
Centre international pédagogique x
Intitulé Monument classé Monument inscrit
Manufacture nationale de porcelaine, 4 Grand-Rue : les six fours x
Maison des Jardies et mémorial à Gambetta (musée) x
École nationale de céramique x
Immeuble et portail, 17 Grande-Rue x
Immeuble situé 16, rue Troyon x
Façades, toitures, portail, 14 rue Ville-d'Avray x
Église x
Ancien hôtel, 164 Grande-Rue : corps principal, première travée des deux ailes, clôture sur rue, sol de la cour, et décor intérieur de la chapelle, 33 rue x
Collège Arménien x
Intitulé Site classé Site inscrit
Bois de Fausses-Reposes x
Bois de Meudon et Viroflay x
Bords de Seine x
Domaine de Saint-Cloud avec le parc de Villeneuve-l'Etang x
Domaine de Brimborion x
Île Monsieur x
Rives de la Seine x
Etangs et leurs abords x
Source : Iaurif[43]

L'église Saint-Romain-de-Blaye

L'église Saint-Romain (extérieur)
L'église Saint-Romain (intérieur)

L'église[44] offre un amalgame d'un gothique remanié et abîmé par le XVIIe siècle : l'extérieur, qui a une tour à claire-voie a été défiguré. Le vaisseau ogival a été conservé en grande partie, mais il est d'une grande nudité. Le chemin de Croix, peint sur porcelaine, provient de la manufacture de Sèvres, ainsi que les vitraux, plus anciens d'un siècle[45]. Cette église a été inaugurée plusieurs fois[46].

Fondée par le roi mérovingien Dagobert II au VIIe siècle, elle fut paroisse royale sous Marie Leczinska. La première assemblée municipale, créée par l'Édit de 1787, comportait deux membres de droit : le seigneur, en l'occurrence le Roi Louis XVI, et le curé ainsi que 9 membres élus. Cette assemblée se réunissait dans l'église à l'issue des vêpres ou de la grand-messe[47].

Cette église a été classée à l'inventaire des monuments historiques en 1937[48].

Sa cloche, baptisée Anette a été bénie en 1760 et classée à l'inventaire des monuments historiques le 27 avril 1944[49].

Le presbytère a été construit entre 1744 et 1786[50].

L'église Notre-Dame des Bruyères

L'église Notre-Dame des Bruyères (extérieur)
L'église Notre-Dame des Bruyères (intérieur)

Cette chapelle a été édifiée en 1930, en bordure de la route des Gardes. Érigée en paroisse en 1962, détruite en 1971, elle a été reconstruite au 23 rue du Docteur Roux en 1968[51].

Le collège arménien

Le collège arménien

Ce bâtiment, situé 26 rue Troyon, a été donné à la Pompadour pour école de jeunes filles. Il a été reconstruit pour Bacler d'Albe entre 1816 (cadastre) et 1824 (mort du général). Occupé en 1898 par une maison de convalescence pour soldats coloniaux, c'est actuellement le collège arménien Samuel Moorat, mais il est actuellement menacé, compte tenu de son état[52].

La manufacture des cristaux de la Reine

Le bâtiment de cette manufacture, situé 16 rue Troyon, construit en 1744, a été classé à l'inventaire des monuments historiques le 1er décembre 1986[53].

La manufacture nationale de porcelaine

Article détaillé : Manufacture nationale de Sèvres.
Travaux en cours (septembre 2009)
Historique du bâtiment et description des travaux

Le bâtiment actuel date de 1876. Ce bâtiment a été classé à l'inventaire des monuments historiques le 30 octobre 1935[54].

La maison des Jardies

Article détaillé : maison des Jardies.
La Maison des Jardies, où est mort Gambetta à Sèvres

C'est la maison de Balzac, de Corot et de Gambetta qui y mourut le 31 décembre 1882[55].

Cette maison, située 14 avenue Gambetta, avait été achetée par Balzac qui l'occupa de 1837 à 1840, puis louée par Gambetta en 1878[56].

Musée national de céramique

Article détaillé : Musée national de céramique.

Fondé en 1824 par Alexandre Brongniart, directeur de la manufacture impériale de porcelaine de Sèvres, sous le nom de Musée Céramique et Vitrique. Soucieux de présenter l'histoire des techniques de la céramique et des matières vitreuses, à travers le monde et les époques, ce dernier a constitué l'une des collections de céramiques des plus variées. le musée réunit un choix exceptionnel de poteries, faïences et porcelaines[57].

Le pavillon de Breteuil

Article détaillé : Pavillon de Breteuil.

Le temple bouddhiste de Thin Tam

La pagode de Sèvres

Le magnifique temple bouddhiste ou Pagode Tinh Tam est l'un des plus fréquentés en France[2].

La villa Castel Henriette

La villa Castel Henriette[58],[59],[60],[61], construite en 1899, chef d'œuvre absolu d'Hector Guimard, fut démolie en 1969][62],[63].

Cette maison, située 46 rue des Binelles, à l'angle de la rue des Gérideaux, a été construite et décorée en 1899 par Hector Guimard, au sommet d' un terrain en pente limité sur trois côtés par des rues. Elle a été détruite en avril 1969[64].

Carrières de pierre

Ces carrières de pierres ont été creusées dans le coteau, puis aménagées en entrepôt de vin en 1740, divisées en 30 galeries dont l'une appelée galerie royale ; transformées en brasserie en 1840, incendiées en 1880 et reconstruites en 1898[65].

Instituts religieux

  • Pensionnat des Dominicaines : La présence de religieuses enseignantes à Sèvres remonte à 1788 date où un acte établit quatre sœurs de Charité pour l'éducation de jeunes filles pauvres[66]. À Sèvres, rue Gabriel Péri se trouvaient autrefois le couvent, l'école et pensionnat des Dominicaines enseignantes du très saint-Rosaire de Sèvres, œuvre encouragée par le saint curé d'Ars, fondée par sœur Marie-Rose du Sacré-Cœur O.P. à la fin du XIXe siècle, avec le P. Codant, en 1858, dont les novices portèrent aussi le nom de servantes du Sacré-Cœur et qui eut plusieurs fondations, à San Remo par exemple lors de l'exil de France en 1903, et aussi un orphelinat, rue Troyon ( elles rentrèrent en France en 1913 et demandèrent ou gouvernement la permission de rouvrir un noviciat ). Pendant la guerre une ambulance et infirmerie pour les soldats blessés fut installée dans le couvent[67].

Sur certaines cartes postales anciennes[68], on peut admirer la chapelle des Assomptionnistes, située 14 rue de la Croix-Bosset, dans le quartier de la Croix Bosset. Cette propriété acquise le 30 avril 1874 fut offerte aux religieux de l'Assomption à la fin de l'année 1877 pour devenir le noviciat de Paris hors de la ville. Les Oblates de l'Assomption s'installèrent aussi à Sèvres puis une communauté de sœurs assomptionnistes. Enfin, les religieux de la province de Paris ont entre 1946 et 1964, animé le centre de mission ouvrière Saint-Étienne à Sèvres, avenue Division Leclerc, communauté baptisée La Cloche, à proximité des usines Renault[69].

Patrimoine culturel

Sèvres et la peinture

Toile du Douanier Rousseau: Vue du pont de Sèvres, 1908
Toile de Corot: Chemin de Sèvres
Sisley : Le Pont de Sèvres
Marie Bracquemond, sur la terrasse de Sèvres(La terrasse de la villa Brancas). 1880 avec Fantin Latour, Petit Palais

Sèvres, proche de Paris, mais très champêtre attira les plus grands peintres[70] :

  • Samuel William Reynolds y peignit Saint-Cloud et le pont de Sèvres (musée Condé, Chantilly)
  • le Douanier Rousseau peignit en 1908 une Vue du pont de Sèvres (musée d'État des Beaux-Arts Pouchkine)
  • Sisley, qui habitait Grand-Rue, peignit l'ancienne manufacture, le pont, les bords de la Seine, des chemins
  • Corot y peignit son célèbre Chemin de Sèvres (musée du Louvre)
  • Paul Huet y peignit des vues savoureuses et campagnardes au possible (musée de l'Île-de-France)
  • Marie Bracquemond, épouse de Félix Bracquemond (le Chemin des Coutures à Sèvres, Galerie Nationale du Canada) lié au groupe des impressionnistes et employé à la manufacture, y peignit Sèvres. Son œuvre la plus célèbre : Sur la terrasse de Sèvres avec Fantin-Latour (leg Caillebotte) .
  • Constant Troyon né à Sèvres en 1810, premier peintre de l'école de Barbizon y peignit un Chemin de forêt et la Maison Colas, la prise de la culée du pont de Sèvres. Les parents de Constant Troyon travaillaient à la manufacture de Sèvres, son père comme peintre décorateur, sa mère comme brunisseuse. Il fut encouragé dans le domaine des arts par Riocreux, conservateur du Musée céramique de Sèvres et peintre floral, son parrain. Il vécut avec sa mère à la Manufacture jusque l'âge de vingt-trois ans. Il expose pour la première fois trois toiles au Salon de 1833, dont la Vue de la Maison Colas et la Vue de la Fête de Sèvres[71].
  • Vassily Kandinsky vécut un an à Sèvres, en 1906-1907, rue des Ursulines puis petite Rue des Binelles, devenue rue Théodore Deck. Il y peint La Vie Mélangée.
  • Alain Azémar, peintre sévrien, habitant de la rue des Caves -rue qui fût le théâtre de nombreux "squats" de protestation- a peint des scènes sèvriennes à de nombreuses reprises. Plusieurs de ses aquarelles ont été commandées et sont exposées par la mairie.

Sèvres et la philatélie

La Poste française a mis plusieurs fois Sèvres à l'honneur :

  • le 25 mars 1957, un timbre-poste d'une valeur de 30,00 F honorant la manufacture nationale de Sèvres, dessiné et gravé par Pierre Munier a été émis[72].
  • le 1er juin 1975, un timbre-poste d'une valeur de 1,00 F représentant le Bureau international des poids et mesures, dessiné et gravé par Claude Haley a été émis[73].
  • le 10 janvier 2009, un timbre-poste d'une valeur de 0,55 € représentant un plat ovale en faïence de Quimper, exposé au Musée de Sèvres a été émis[74].

Personnalités liées à la commune

Article détaillé : Personnalités liées à Sèvres.
Tableau de Constant Troyon
Œuvres d'Achiam dans sa maison de Sèvres
La Maison des Jardies, où est mort Gambetta à Sèvres

De nombreuses personnalités sont enterrées au cimetière de Sèvres[78], notamment :

Héraldique, logotype et devise

Armes de Sèvres

Elles peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui : D'azur au pont de bois de deux piles d'or posé sur des ondes d'argent mouvant de la pointe, surmonté d'un huchet contourné d'or virolé et enguiché de sable, au chef d'or chargé d'une branche de laurier et d'une palme passées en double sautoir de sable, accostées de deux vases d'azur surchargés chacun d'une fleur de lys d'or.

Pour aller plus loin

L'un des tous premiers tramways français fut le Tramway de Sèvres à Versailles, vu ici devant l'église paroissiale au tout début du XXe siècle

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

  1. Calcul de l'orthodromie entre Sèvres et Paris. Consulté le 7 septembre 2009
  2. a, b et c Découvrir les Hauts-de-Seine, p. 76, Jean-Michel Dechambre, éditions Horvath, 1980
  3. Fiche sur Sèvres sur Météo France. Consulté le 6 septembre 2009
  4. a et b Données climatiques de la station d’Orly - Val-de-Marne (94310) sur www.journaldunet.com. Consulté le 6 septembre 2009
  5. a et b Orly, Val-de-Marne(94), 89m - [1961-1990] sur www.infoclimat.fr. Consulté le 2 septembre 2009
  6. PADD, p. 23 sur site de la mairie de Sèvres, 10 mai 2007. Consulté le 8 septembre 2009
  7. PADD, p. 24 sur site de la mairie de Sèvres, 10 mai 2007. Consulté le 8 septembre 2009
  8. Plan d'assemblage Grands Quartiers - IRIS 2000 – Sèvres sur le site de l'Insee. Consulté le 28 février 2011
  9. Les quartiers de Sèvres sur site de la mairie de Sèvres. Consulté le 8 septembre 2009
  10. Fiche communale d'occupation des sols sur le site de l'Iaurif. Consulté le 8 septembre 2009
  11. PADD, p. 6 sur site de la mairie de Sèvres, 10 mai 2007. Consulté le 8 septembre 2009
  12. PADD, p. 7 sur site de la mairie de Sèvres, 10 mai 2007. Consulté le 8 septembre 2009
  13. Urbanisme sur site de la mairie de Sèvres. Consulté le 8 septembre 2009
  14. a et b PADD, p. 16 sur site de la mairie de Sèvres, 10 mai 2007. Consulté le 8 septembre 2009
  15. bipm.org, BIMP, Bureau international des poids et mesures
  16. La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr
  17. Liste des communes équipée de machines de vote électronique dans le 92
  18. Scrutin du 29 mai 2005 sur la constitution européenne - Antony sur ministère de l'intérieur. Consulté le 10 septembre 2009
  19. Résultats électoraux du premier tour et du second tour sur journal Le Figaro. Consulté le 10 septembre 2009
  20. Résultats électoraux indexés sur ministère de l'intérieur. Consulté le 22 novembre 2008
  21. Conseil communal des jeunes sur site de la mairie de Sèvres. Consulté le 8 septembre 2009
  22. Election municipale (mars 2008) sur www.linternaute.com. Consulté le 13 septembre 2009
  23. Tribunal d'instance de Boulogne-Billancourt sur cour d'Appel de Versailles. Consulté le 11 septembre 2009
  24. Tribunal de Boulogne-Billancourt sur cour d'Appel de Versailles. Consulté le 11 septembre 2009
  25. a, b et c Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures sur Ministère des affaires étrangères. Consulté le 13 janvier 2010
  26. Populations légales 2008 sur Insee. Consulté le 4 janvier 2011
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 7 septembre 2010
  28. Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 7 septembre 2010
  29. Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 7 septembre 2010
  30. Évolution et structure de la population à Sèvres en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 7 septembre 2010
  31. Résultats du recensement de la population des Hauts-de-Seine en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 7 septembre 2010
  32. Les établissements scolaires sur site de la mairie de Sèvres. Consulté le 8 septembre 2009
  33. Jean-Pierre Vernant, un Compagnon de la Libération sur site du lycée Jean-Pierre Vernant, 19 octobre 2007. Consulté le 8 septembre 2009
  34. Page d'accueil sur site de la Maison de Sèvres, 23 juin 2009. Consulté le 7 septembre 2009
  35. Page d'accueil sur site du Centre international d'études pédagogiques. Consulté le 7 septembre 2009
  36. 3e dictée de Sèvres sur site de la mairie de Sèvres. Consulté le 8 septembre 2009
  37. Le nouvel hôpital sur site du centre hospitalier des 4 villes. Consulté le 6 septembre 2009
  38. Le site de Sèvres sur site du centre hospitalier des 4 villes. Consulté le 7 septembre 2009
  39. Carte des doyennés janvier 2010 sur le site du diocèse de Nanterre. Consulté le 18 septembre 2011
  40. Liste des paroisses des Hauts-de-Seine sur le site du diocèse de Nanterre. Consulté le 18 septembre 2011
  41. CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl sur site de l'INSEE. Consulté le 4 mai 2010
  42. PADD, p. 9 sur site de la mairie de Sèvres, 10 mai 2007. Consulté le 8 septembre 2009
  43. Fiche communale d'occupation des sols sur le site de l'Iaurif. Consulté le 8 septembre 2009
  44. Saint Romain de Blaye est la basilique située au bord de la Gironde où Charlemagne ensevelit son neveu Roland dans la Chanson de Roland . Y vécut un célèbre ermite nommé Romain.
  45. Paris et ses environs, éditions Larousse, 1925
  46. Église Saint-Romain sur topic-topos.com. Consulté le 8 septembre 2009
  47. Découvrir Sèvres sur site de la ville de Sèvres. Consulté le 29 septembre 2009
  48. Notice no IA00048602, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  49. Notice no IM92000805, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  50. Notice no IA00048517, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  51. Notice no IA00048493, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  52. Notice no PA92000011, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  53. Notice no PA00088149, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  54. Notice no PA00088155, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  55. Maison des jardies - Présentation sur site de la ville de Sèvres. Consulté le 7 septembre 2009
  56. Notice no IA00048519, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  57. Musée national de céramique de Sèvres sur www.museums-of-paris.com, 10 août 2006. Consulté le 7 septembre 2009
  58. Le Castel Henriette - Sèvres ( Hauts de Seine) - Hector Guimard architecte 1899 - 1903 sur lartnouveau.com. Consulté le 12 septembre 2009
  59. L'ART NOUVEAU "Villa Castel Henriette " A SEVRES . H. Guimard sur souslecieldeparisetdeversailles, 12 juin 2009. Consulté le 12 septembre 2009
  60. Hector Guimard - Castel Henriette vers 1900 sur site du musée d'Orsay,  2006. Consulté le 12 septembre 2009
  61. (en) Guimard sur www.stanries.com. Consulté le 12 septembre 2009
  62. Hector Guimard sur magikantik.forumculture.net, 5 novembre 2006. Consulté le 7 septembre 2009
  63. INVENTAIRE DE L'ŒUVRE BÂTI D'HECTOR GUIMARD sur www.lecercleguimard.com. Consulté le 7 septembre 2009
  64. Notice no IA00048520, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  65. Notice no IA00048557, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  66. Source Base Mérimée
  67. Les Règles et Consitutions de la Congrégation des Dominicaines du Très-Saint-Rosaire de Sèvres, datant de 1867 se trouvent conservées à la BNF ( Tilbiac)8- LD95- 6
  68. Cartes postales anciennes de la chapelle de l'Assomption à Sèvres
  69. Lieux de mémoire (communautés assomptionnistes parisiennes au XIXème siècle) sur site des augustins de l'Assomption. Consulté le 29 septembre 2009
  70. Découvrir les Hauts-de-Seine, p. 77, Jean-Michel Dechambre, éditions Horvath, 1980
  71. CONSTANT TROYON sur Encyclopédie Universalis. Consulté le 29 septembre 2009
  72. Faïence de Quimper, exposée au Musée de Sèvres sur phil-ouest.com, 13 février 2009. Consulté le 7 septembre 2009
  73. Bureau international des poids et mesures de Sèvres - La convention du mètre sur phil-ouest.com, 15 août 2007. Consulté le 7 septembre 2009
  74. plat ovale en faïence de Quimper, exposé au Musée de Sèvres sur phil-ouest.com, 6 février 2009. Consulté le 7 septembre 2009
  75. vue de la villa Brancas à Sèvres
  76. Source: archiviste de Sèvres
  77. La médiathèque de Sèvres a acheté les livres issus de la bibliothèques de Hetzel qui constituent le Fond Hetzel.
  78. SÈVRES (92) : cimetière sur www.landrucimetieres.fr, octobre 2008. Consulté le 15 septembre 2009

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