- Pôle multimodal de Bellegarde-sur-Valserine
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Gare de Bellegarde-sur-Valserine
Bellegarde-sur-Valserine
Le quai n°1 de la gare de BellegardeLocalisation Pays France Ville Bellegarde-sur-Valserine Adresse 1, place de Charles-de-Gaulle
01200 Bellegarde-sur-ValserineGestion et exploitation Propriétaire RFF / SNCF Exploitant SNCF Services TGV, ter Rhône-Alpes, CORAIL Lunéa Caractéristiques Voies 7 dont deux en construction Quais 4 dont un en travaux et un en construction Zone Région de Chambéry Altitude 369 m Historique Mise en service 1882 Ouverture 1907
2010, inauguration du pôle multimodalArchitecte A. de Saint-Nicolas Monument historique oui Correspondances Transports Urbains de Bellegarde-sur-Valserine (TUB) Lignes 1 & 3 La gare de Bellegarde-sur-Valserine est une gare ferroviaire TGV et TER Rhône-Alpes SNCF située à Bellegarde-sur-Valserine, dans l'Ain, en France. La gare de Bellegarde est située au carrefour de la ligne Genève - Culoz, commune à la ligne Lyon - Genève et à la ligne Genève - Valence, et de la ligne du Haut-Bugey.
D'ici 2010, la gare devient un pôle multimodal, c'est-à-dire qu'il combine des modes de transports, il est actuellement en construction aux environs de la gare.
Sommaire
La gare
Voies et quais
- La gare de Bellegarde comporte énormement de voies : de nombreuses voies étant réservées à la gare de triage, désaffectée aujourd'hui.
- La gare SNCF de voyageurs se compose de 5 voies d'arrêt pour les trains en escale en gare de Bellegarde ainsi que de 2 voies pour les trains qui shuntent la gare. La gare de Bellegarde comporte une remise à machines désaffectée qui a été démolie pour permettre le passage de la nouvelle voie dite des Carpates. Enfin, il y a une dizaine de voies en butées qui permettent le déchargement des machines ainsi qu'une voie spéciale menant les déchets ménagers à l'usine de retraitement du Sidefage à Arlod.
- En direction de Paris, la voie coupe la D101f sur le pont de Lades puis la rue du Rhône sur un passage à niveau, en sortie du hameau d'Arlod. Reste-t-il à rappeler que la voie est en vitesse TER sur la totalité du tronçon Bourg-en-Bresse - Genève et Lyon - Genève.
- En direction de Genève, la voie coupe la D1084 puis enjambe la Valserine avant de passer sur les hauteurs du hameau de Coupy et de pénétrer dans le tunnel du Crédo qui traverse le massif du Sorgia et du Crêt d'Eau. À la sortie de ce tunnel, la voie bifurque dans 2 directions : Evian-les-Bains ou Genève.
- Au niveau des quais, on en dénombre 3. Le premier quai accueillant la voie G ainsi que tous les services de gare : chef de gare, salle d'attente et buffet-restaurant. Le quai no 2 accueille les voies C et F et le quai no 3 les voies A et B. Chaque quai mesure 400 m sauf le quai no 1 qui fait 410 m pour permettre l'accès des doubles-TGV.
- A noter qu'une passerelle aérienne permet de franchir toutes les voies de part et d'autre de la gare et un passage souterrain de lier les quais entre eux et la sortie, située place Charles-de-Gaulle, appelée aussi place de la Gare.
- On peut rajouter le quai des bus, situé place Charles-de-Gaulle, d'où partent les cars TER en direction de Divonne-les-Bains, Ferney-Voltaire, Oyonnax, Bourg-en-Bresse, Annecy, Annemasse, Lyon, Chamonix-Mont-Blanc…
- La gare de Bellegarde est actuellement en travaux :
- Deux voies sont en construction le long de la D1084 pour permettre la bifurcation des TGV de Paris à Genève sans retournement dans l'actuelle gare, ce qui fera de la future gare une intersection en forme de Y.
- Ces deux voies sont liées à un quai : le futur quai no 1 (voir image ici). Ce quai sera moderne et situé sur un viaduc en direction de Genève et sur la terre ferme à proximité du pont de Lancrans en direction de Bourg-en-Bresse.
- Les quais actuels seront renommés : le 1 deviendra le 4, le 2 deviendra le 3 et le 3 deviendra le 2. Pour les relier, un nouveau passage souterrain sera creusé depuis la coupole, centre du futur pôle multimodal. Le quai no 3 actuel (futur no 2) est en travaux sur la moitié pour le rehausser pour permettre l'accès des TGV Genève-Marseille et Genève-Montpellier, la gare actuelle n'étant pas aux normes.
Dessertes et correspondances
Et correspondances avec :
- les bus départementaux de l'Ain (Régie départementale des transports de l'Ain, RDTA) vers :
- Seyssel (ligne 133)
- Challex (ligne 136)
- Mijoux (ligne 153)
- Gex ou Bourg-en-Bresse (ligne 160)
- les bus départementaux de la Haute-Savoie (Lignes interurbaines de Haute-Savoie, LIHSA) :
- Annecy (ligne 21)
- Chamonix-Mont-Blanc (ligne saisonnière)
Le projet de pôle multimodal
- Ce chantier découle d’un autre, d’intérêt national puisqu’il s’agit de la ligne TGV Paris-Genève. Afin de raccourcir les trajets et par conséquent les durées de voyage, il a été décidé de changer l’itinéraire actuel passant par Culoz pour lui préférer le tracé direct Bourg-en-Bresse-Bellegarde de l’ancienne ligne des Carpates (ou ligne du Haut-Bugey) désaffectée depuis 1990.
- Ce chantier colossal est l’occasion de repenser les services publics de transport en termes d’intermodularité. Ainsi, la gare de Bellegarde va-t-elle laisser la place à un pôle multimodal moderne et favorisant les connexions entre les trains régionaux (TER), les trains nationaux (TGV), les modes routiers (bus urbains et interurbains, véhicules particuliers, taxis) et les piétons. Deux parkings de 215 places au total seront construits. Une étude sur le stationnement est actuellement diligentée par la mairie. Si ses conclusions en faisaient sentir le besoin, un troisième parc, d’une capacité de 150 places, pourrait également voir le jour près du pôle.
- L’architecture retenue est une coupole translucide à double enveloppe dont les matériaux et la structure ont été imaginés pour créer un phénomène de circulation d’air, procurant naturellement fraîcheur en été et chaleur en hiver. Tous les services aux voyageurs prendront place sous le dôme (billetterie et commerces). Les cheminements ont bien sûr été conçus pour une accessibilité maximale, notamment pour les personnes à mobilité réduite et les voyageurs avec bagages.
Les lignes qui convergent à Bellegarde
- la ligne des Carpates ou ligne du Haut-Bugey
- la ligne Lyon - Genève par Ambérieu-en-Bugey, Culoz. Elle arrive en gare de Bellegarde par Arlod depuis Paris et Lyon et par le tunnel du Crédo depuis Genève.
- la ligne Longeray - Evian-les-Bains à la sortie du tunnel du Crédo
- la ligne Collonges - Divonne, branche de la ligne Lyon - Genèvequi dessert le Pays de Gex et qui est désormais desaffectée au transport de voyageurs.
L'histoire de la gare de Bellegarde
Chronologie
- le 20 juillet 1857, ouverture de la section Ambérieu - Seyssel de la compagnie du Lyon - Genève
- Le 30 août 1880, ouverture de la ligne Longeray - Evian-les-Bains entre Longeray et Thonon-les-Bains via Annemasse, par le PLM.
- Le 1er avril 1882, mise en service de la ligne entre La Cluse et Bellegarde-sur-Valserine, par la Compagnie des Dombes et du Sud-Est.
- En 1983, la Compagnie des Dombes et du Sud-Est est rachetée par le PLM.
- Le 1er août 1904, incendie du BV originel de Bellegarde, le nouveau bâtiment ouvert en 1913 brûlera le 9 avril 2003.
- En juin 1953, la relation estivale Grenoble - Digne est amorcée à Genève est assurée avec des autorails X 52000 et X 52100.
- Le 30/06/1954, 1ère circulation d'une RGP2 (série X 2700) entre Lyon-Perrache et Genève.
- Le 1er octobre 1955, création du train GC/CG "Le Catalan" Genève - Port-Bou via Bellegarde, Grenoble, Avignon, Montpellier et Perpignan, relation assurée en RGP 2 quadricaisses (X 2700 + XR 7700 + XR 7700 + X 2700).
- Le 16 décembre 1955, la section Culoz - Bellegarde est électrifiée le tout en 1 500 V continu.
- Le 10 juin 1959, les autorails panoramiques de la série X 4200, avec les X 4205 et X 4206, assurent pour la 1re fois la relation "Alpazur" Genève - Bellegarde - Grenoble - Veynes-Dévoluy - Digne (et retour) par la ligne des Alpes.
- Le 31 mai 1964, création du train rapide de 1re classe avec supplément GM/MG "Le Rhodanien" Genève - Marseille via Bellegarde, Grenoble et Avignon, assuré en rame RGP1 ex-TEE de la série X 2770.
- Le 31 mai 1969, dernier jour de circulation du train GC/CG "Le Catalan" Genève - Cerbère via Bellegarde, Chambéry et Grenoble.
- Le 1er juin 1969, création du Trans-Europ-Express (TEE) "Catalan-Talgo" Genève - Barcelone via Bellegarde, Chambéry et Grenoble.
- Le 17/12/1970, dernière circulation d'une RGP2 (série X 2700) du dépôt de Lyon-Vaise sur la relation GB/BG Genève - Bordeaux-Saint-Jean via Bellegarde, Lyon-Brotteaux, Montluçon et Limoges (et retour).
- Le 22 mai 1971, dernier jour de circulation de l'autorail rapide de 1re classe avec supplément GM/MG "Le Rhodanien" reliant Genève à Marseille via Bellegarde, Grenoble et Avignon, assuré en RGP1 ex-TEE X 2770 du dépôt de Marseille-Blancarde et remplacé le lendemain par un train classique offrant les deux classes.
- En 1972, on compte 12 allers-retours quotidiens entre Grenoble et Genève.
- Le 1er octobre 1972, mise en service des autorails X 4500 sur Valence - Grenoble - Chambéry - Bellegarde - Genève.
- Le 28 septembre 1975, le train TEE "Catalan-Talgo" Genève - Barcelone transite via Lyon au lieu de via Grenoble.
- Le 28 septembre 1975, mise en service des turbotrains ETG sur Valence - Grenoble - Chambéry - Bellegarde - Genève. Le succès fut tel qu'il a fallu rapidement faire circuler deux rames accouplées pour faire face à la demande.
- Le 22 septembre 1981, le TGV est mis en service, Bellegarde profite donc de 2 AR Paris - Genève en TGV mais qui entrainera la suppression des trains classiques de jour et de nuit sur cette relation.
- Le 23 mai 1982, le train "Catalan-Talgo" Genève - Barcelone perd sa qualité de TEE, est transformé en EC comportant les 2 classes passe toujours via Lyon.
- Le 23 mai 1982, création du train IC 5642/3 qui reprend le nom "Le Rhodanien", Genève - Marseille via Bellegarde, Chambéry, Grenoble, Valence et Avignon.
- A l'été 1983, un TGV Paris - Genève/Annecy est créé il est raccordé ou coupé à Culoz.
- A la fin de l'été 1984, le train la Rochelle - Saint-Gervais est supprimé. En 1985 les automotrices Z 7500, Z 9500 et 9600 sont mises en service sur des relations Lyon - Genève/Evian/Saint-Gervais.
- Le 31 mai 1987, le train EC "Catalan-Talgo" Genève - Barcelone repasse via Chambéry et Grenoble.
- En 1987, les BB 25200 rendues disponibles par l'arrivée des BB 22200 sont utilisées avec des rames corail réversibles sur Lyon - Genève.
- Le 24 septembre 1994, dernier jour de circulation de l'EC "Catalan-Talgo" Genève - Barcelone via Bellegarde, Chambéry et Grenoble.
- Le schéma directeur des liaisons ferroviaires à grande vitesse de 1991 retient la construction de la LGV des Titans le long de l'A40 permettant de réduire le trajet Paris - Genève[1]. Le coût élevé de l'opération, environ douze milliards de francs, fait abandonner le projet en 1997[2], remplacé par la réouverture de la ligne du Haut-Bugey[3], modernisée, qui permet un gain d'environ vingt à trente minutes par son tracé plus court de 47 kilomètres que l'axe existant via Ambérieu et Culoz.
- Dans les années 1990, en plus des TER seul le train de nuit Genève - Hendaye subsiste et, en 2001, la prolongation du train de nuit périodique Quimper - Lyon "Rhône-Océan" sur Genève permet la création d'un arrêt à Bellegarde.
- Le 9 avril 2003, le bâtiment principal de la gare brûle, cet incident accentue le projet de ligne du Haut-Bugey avec la construction d'un pôle multimodal.
- Le 9 décembre 2007, mise en place de l'horaire cadencé sur l'étoile de Lyon par la Région Rhône-Alpes, ceux-ci s'appliquent donc aux TER de la ligne Lyon-Part-Dieu - Genève-Cornavin/Évian-les-Bains/Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet
- Le 6 septembre 2009, mise en service progressive par la Région Rhône-Alpes des nouveaux automoteurs bi-modes B 82500 en remplacement des bruyants autorails X 72500 sur la ligne du Sillon Alpin, Genève - Bellegarde - Chambéry - Grenoble-Universités-Gières - Grenoble - Valence-TGV - Valence-Ville.
Dates-clés futures- En janvier 2010, mise en service technique de la ligne du Haut-Bugey et du pôle multimodal de Bellegarde-sur-Valserine.
- En juillet 2010, fermeture de l'actuelle gare et mise en service commerciale de la ligne du Haut-Bugey et du pôle multimodal de Bellegarde-sur-Valserine.
- Le 12 décembre 2010, retour partiel des TER entre Bourg-en-Bresse, Brion, Oyonnax et St Claude ainsi qu'entre Bourg-en-Bresse, Nurieux et Bellegarde[réf. nécessaire].
Un bâtiment fort de son passé
La gare de Bellegarde-sur-Valserine fut construite en 1907 dans un style art-déco et elle s'étend sur deux niveaux. Sa façade est décorée de 14 écussons polychromes représentant les villes de Grenoble, Saint-Claude, Genève, Lyon, Paris, Marseille, Mâcon, Lons-le-Saunier, Chambéry, Thonon, Bonneville, Seyssel, Annecy et Trévoux.
L'incendie de 2003
- Dans la nuit du 9 mai 2003, un violent incendie s'est déclaré peu avant 20h45 dans les bureaux du personnel à l'étage de la gare. Une épaisse fumée a rapidement recouvert l'établissement d'une chape ténébreuse, le temps que les employés de la gare fassent évacuer les quais, le hall d'accueil et le buffet. Puis, l'ensemble du toit s'est embrasé, quelques minutes après l'arrivée des sapeurs-pompiers de Bellegarde qui ont aussitôt lancé leur attaque contre la fournaise.
- S'il n'y a pas eu de dramatiques conséquences humaines, les dégâts matériels sont considérables et le bâtiment inutilisable pour une longue période.
- Le trafic ferroviaire a été complètement interrompu aux abords de la gare pour pouvoir permettre au pompiers de maitriser l'incendie avec lequel ils se sont battus toute la nuit.
- Comble de l'atmosphère étrange qui baignait sur Bellegarde, des flocons de neige ont fait leur apparition au petit matin. Sans même fêter son centenaire, la gare de Bellegarde a donc été la proie des flammes pour la troisième fois, 99 ans après l'incendie de 1904.
- Quant au trafic, il a été rétabli dès 4 heures du matin le lendemain et les perturbations n'ont pas pris de proportions insurmontables : 4 ou 5 trains de voyageurs ont été arrêtés, puis déroutés, d'autres ont reporté leur départ.
- Un train de marchandises a patienté jusqu'à 2 heures du matin sous le tunnel du Crédo, à quelques kilomètres de Bellegarde, et un itinéraire de déviation a été mis en place via Aix-les-Bains et Annecy.
- Au lever du jour, la gare exposait en un dramatique spectacle son squelette noirci aux regards des curieux venus constater de leurs yeux la violente disparition du seul monument classé de la ville.
La nouvelle gare TGV
- Ce chantier découle d’un autre, d’intérêt national puisqu’il s’agit de la ligne TGV Paris-Genève. Afin de raccourcir les trajets et par conséquent les durées de voyage, il a été décidé de changer l’itinéraire actuel passant par Culoz pour lui préférer le tracé direct Bourg-en-Bresse-Bellegarde de l’ancienne ligne des Carpates (ou ligne du Haut-Bugey) désaffectée depuis 1990.
- Ce chantier colossal est l’occasion de repenser les services publics de transport en termes d’intermodularité. Ainsi, la gare de Bellegarde va-t-elle laisser la place à un pôle multimodal moderne et favorisant les connexions entre les trains régionaux (TER), les trains nationaux (TGV), les modes routiers (bus urbains et interurbains, véhicules particuliers, taxis) et les piétons. Deux parkings de 215 places au total seront construits. Une étude sur le stationnement est actuellement diligentée par la mairie. Si ses conclusions en faisaient sentir le besoin, un troisième parc, d’une capacité de 150 places, pourrait également voir le jour près du pôle.
- L’architecture retenue est une coupole translucide à double enveloppe dont les matériaux et la structure ont été imaginés pour créer un phénomène de circulation d’air, procurant naturellement fraîcheur en été et chaleur en hiver. Tous les services aux voyageurs prendront place sous le dôme (billetterie et commerces). Les cheminements ont bien sûr été conçus pour une accessibilité maximale, notamment pour les personnes à mobilité réduite et les voyageurs avec bagages.
Bibliographie
- Livre : "Les Chemins de fer du PLM" par Jean-Chaintreau, Jean Cuynat et Georges Mathieu, Éditions La Vie du Rail et La Régordanne, paru en 1993.
- Livre : "Histoire du réseau ferroviaire français", par Patricia et Pierre Laederich, André Jacquot et Marc Gayda, Éditions de l'Ormet à Valignat (03), paru en 1996.
- Livre : "La légende des Trans Europ Express" (TEE), de Maurice Mertens et de Jean-Pierre Malaspina, aux Éditions LR-Presse.
- Revue : "Le Train", avec numéro hors série "Les archives du PLM", tome 1 l'histoire de la Compagnie des origines à 1899, par Jean-Marc Dupuy, paru en 2008.
- Revue : "Le Train", avec numéro spécial 57 - 1/2009 "Les trains des Alpes", par Jean Tricoire, paru en avril 2009.
- Revue : "Voies Ferrées", article de William Lachenal sur "Les atouts d'un raccordement" (CEVA) avec présentation de la ligne du "Sillon Alpin" de Valence à Genève via Grenoble, no 11 de mai-juin 1982.
- Revue : "Connaissance du Rail, article de William Lachenal sur le "Sillon Alpin" ligne Valence - Grenoble - Genève, pages 42 à 51, numéro 302-303 d'octobre-novembre 2006.
- Revue : "Voies Ferrées", avec article "Un nom, un train : Le Rhodanien", par Jean-Pierre Malaspina, paru pages 48 et 49 dans le no 167 de mai-juin 2008.
- Indicateurs horaires SNCF de 1938 à 2005.
Sources
Notes et Références
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- La gare de Bellegarde-sur-Valserine sur Gares en mouvement, un site officiel de la SNCF
- Le pôle multimodal sur le site de la ville de Bellegarde
- Le pôle multimodal de Bellegarde-sur-Valserine (Document PDF)
- Projet de requalification de l'actuel bâtiment de la gare en siège de la Communauté de Communes du Bassin Bellegardien (CCBB)
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