- Toerkonje
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Tourcoing
Tourcoing
DétailAdministration Pays France Région Nord-Pas-de-Calais Département Nord Arrondissement Lille Canton chef-lieu des cantons de :
Tourcoing-Nord
Tourcoing-Nord-Est
Tourcoing-SudCode Insee abr. 59599 Code postal 59200 Maire
Mandat en coursMichel-François Delannoy (PS)
2008-2014Intercommunalité Lille Métropole Communauté urbaine Site internet http://www.tourcoing.fr Démographie Population 92 357 hab. (2006) Densité 6 080 hab./km² Gentilé Tourquennois Géographie Coordonnées Altitudes mini. 24 m — maxi. 49 m Superficie 15,19 km² Tourcoing (en néerlandais : Toerkonje), commune française située dans le département du Nord (59). Elle est le chef-lieu de trois cantons.
Forte d'une population d'un peu moins de cent mille âmes[1], limitrophe de la Belgique, Tourcoing forme une grande métropole avec ses deux partenaires, Lille et Roubaix, auxquelles on ajoute parfois Mouscron.
La ville demeure célèbre pour le prodigieux essor économique qu'elle a connu durant la Révolution industrielle au XIXe siècle, grâce au textile. Elle est surnommée « la cité du Broutteux ».
Sommaire
Géographie
Tourcoing fait partie intégrante de la plaine des Flandres.
Le relief de Tourcoing est donc essentiellement plat, à une hauteur d'un peu moins d'une cinquantaine de mètres au-dessus du niveau de la mer.
Par rapport aux villes voisines de moindre importance (Roncq, Halluin, Neuville-en-Ferrain et Mouscron), Tourcoing donne l'impression d'être un "vallon" entouré de quelques rares collines (Mont d'Halluin, Mont-à-Leux à Wattrelos...). La ville possède néanmoins des quartiers avec un peu plus de relief, tel le Brun-Pain et les Francs.
Tourcoing n'est traversé par aucune rivière d'importance. Cette terre humide comporte par contre de nombreux ruisseaux de plus ou moins grand débit d'eau, entre autres l'Espierre et la Becque de Neuville. Ces cours d'eau sont à présent souterrains suite à l'expansion urbaine. La seule voie navigable et actuellement à l'air libre est le canal de Tourcoing, creusé au XIXe siècle suite à l'industrialisation et au prodigieux essor économique de la ville. Ce canal, qui est une ramification du canal de Roubaix qui joint la Deûle à l'Escaut, a été en partie rouvert à la navigation touristique en 2008 (programme Blue Links). Il sert de cadre durant la saison estivale au festival de Tourcoing Plage.
Communes limitrophes
Histoire
Pour plus de détails, voir l'article Histoire de Tourcoing.
La première mention de Tourcoing dans un texte officiel remonte à 1080 : il s'agit d'un acte de donation de l'abbaye d'Harelbecque, qui a pour témoin un certain Saswalus de Turconium.[2]
En 1130, la première église, dédiée à Saint Vaast (qui deviendra par la suite l'église Saint Christophe), est construite. La seigneurie de Tourcoing, qui se compose d'un bourg agricole dont les habitants augmentent leurs revenus en faisant de la draperie, surmonte difficilement les ravages de la Guerre de Cent Ans et des guerres de religion. En 1360, ses habitants obtiennent un sceau royal attestant la qualité de leurs draps. En 1491, Maximilien d’Autriche, qui domine alors la Flandre, lui accorde une franche foire. En 1668, la châtellenie de Lille, dont fait partie Tourcoing, est définitivement rattachée à la France. À la Révolution, la ville compte près de 15 000 habitants. Le 29 floréal an II (18 mai 1794), Tourcoing est le lieu d'une importante bataille entre les armées révolutionnaires françaises et celles de la première coalition. La victoire française conduisit peu après la bataille de Fleurus (1794).
Au XIXe siècle, elle prendra un essor extraordinaire suite à la révolution industrielle et sera l'une des « reines du textile »[3]. Sa population atteint bientôt les cent mille habitants. En 1860, l'église Saint Christophe est considérablement agrandie par l'architecte Charles Leroy. Elle devient l'un des plus beaux édifices néo-gothiques du Nord. En 1885, construction de l'actuel hôtel de ville. En 1906 enfin, à l'occasion de l'exposition internationale des industries textiles (qui se déroulent à Tourcoing), est édifié le beffroi de la Chambre de commerce[4]. La ville est particulièrement marquée par le mandat du maire Gustave Dron (maire de 1899 à 1919 et 1925 à 1930), qui entreprit une grande œuvre sociale.[5]
Par la suite, Tourcoing subit les difficiles occupations allemandes durant la Première Guerre mondiale et la Seconde Guerre mondiale. Un quartier de l'avenue de la Marne sera réquisitionné par l'armée allemande pour y établir le quartier général de la plus importante armée allemande du front Ouest. La "Cité du Broutteux" a été gravement touchée par la crise textile des années 1970.
Héraldique
Les armes de Tourcoing se blasonnent ainsi : « D'argent à la croix de sable chargée de cinq besants d'or ».
Administration
L’échevinage de Tourcoing existe au moins depuis 1432. Le premier bailli fut Gautier des Prés, et les premiers échevins Pierrart de Falempin et Jean Noblet. En 1447, on trouve comme échevins : Jean du Castel, Arnoul le Maître, Jean Noblet et comme bailli Guillaume du Bus.[6]
Il existait également un échevinage spécifique au quartier des Poutrains, qui était à l'époque une baronnie indépendante (il faut préciser que Tourcoing, sous l’Ancien Régime, constituait une seule et même paroisse mais se divisait en un véritable imbroglio de fiefs féodaux).[7]Tourcoing et tous ses quartiers devinrent administrativement une Ville avec conseil municipal en 1790.[8]
Liste des maires successifs Période Identité Parti Qualité 1790 1791 Louis Desurmont 1791 1792 Pierre Motte-Florin 1792 1795 Louis Desurmont 1795 1798 Antoine Lehoucq 1798 1798 Jean-Baptiste Wattel-Florin 1798 1798 Antoine Lehoucq 1798 1799 Charles Delzenne 1799 1800 Philippe-François Suin 1800 1800 Jean Wattine 1800 1808 Louis Desurmont fils 1808 1816 Pierre Delahaye 1816 1822 Fidèle Dewavrin-Frys 1822 1830 Laurent Destombes-Roussel Monarchiste légitimiste 1830 1837 Auguste Cordonnier Conservateur catholique 1837 1847 André Delahaye fils Conservateur catholique 1847 1849 Carlos Masurel 1852 1853 Louis Wattine 1853 1855 Carlos Masurel 1857 1870 Charles Roussel 1870 1879 André Delahaye 1879 1881 Désiré Debuchy 1881 1899 Victor Hassebroucq 1899 1919 Gustave Dron Radical 1919 1925 François Leduc 1925 1930 Gustave Dron Radical 1930 1930 Jules Brassart 1930 1935 Albert Inghels Socialiste 1935 1941 Edmond Salembien Radical Socialiste 1944 1947 Fernand Lamblin Maire à la Libération 1947 1959 Louis Paris Socialiste 1959 1977 René Lecocq Gaulliste 1977 1979 Guy Chatiliez Socialiste 1979 1983 Maurice Devloo PS 1983 1989 Stéphane Dermaux UDF 1989 2008 Jean-Pierre Balduyck PS 2008 → en cours Michel-François Delannoy PS Toutes les données ne sont pas encore connues. La ville est chef-lieu de trois cantons :
- Le canton de Tourcoing-Nord est formé d’une partie de Tourcoing et des communes de Bousbecque, Halluin, Linselles et Roncq (59 748 habitants)
- Le canton de Tourcoing-Nord-Est est formé d’une partie de Tourcoing et de la commune de Neuville-en-Ferrain (51 340 habitants)
- Le canton de Tourcoing-Sud est formé d’une partie de Tourcoing et de la commune de Mouvaux (48 891 habitants)
Démographie
Graphique d'évolution de la populationMonuments et architecture
Édifices tourquennois majeurs :
- Église Saint Christophe[10] (XIe ‑ XIIIe siècles, XVe ‑ XVIe siècles et XIXe siècle) : Remarquable association de pierres et de briques, récemment restaurée, agrémentée d'un clocher haut de 80 mètres et d'un carillon de 62 cloches, l'église Saint Christophe est considérée comme l'un des plus beaux édifices néo-gothiques du Nord.
- Hôtel de ville[11] (1885): Construit sur les plans de l'architecte Charles Maillard, l'hôtel de ville de Tourcoing est caractéristique du style Napoléon III. De vastes proportions, il s'agit d'un des plus beaux témoignages de la réussite économique d'une époque. À noter, son grand hall en atrium et la décoration intérieure des salles
Article détaillé : Hôtel de ville de Tourcoing.- L'Ancienne Chambre de commerce et son beffroi[12] (1906) : Ce beffroi d'angle, de style éclectique, rappelle la Renaissance Flamande. Il fut édifié à la gloire de la prospérité de Tourcoing à l'occasion de l'Exposition internationale des Industries textiles de 1906.
- L'hospice d'Havré[13] (XVIIe siècle) : fondé en 1260 par Mahaut de Guisnes, le cloître et la chapelle datent du XVIIe siècle. Réhabilité en "Maison Folie" à l'occasion de Lille 2004 (capitale européenne de la culture cette année-là), l'hospice d'Havré est actuellement un haut lieu culturel tourquennois.
Architecture civile :
- La gare de Tourcoing (1906), construite à l'occasion de l'Exposition internationale textile.
- Le lycée d'État Gambetta[14] (1885), typique de la fin du XIXe siècle.
- Le lycée Colbert[15] (1935), dans un style néo-flamand.
- Stand de Tir (1905).
- Hôpital Gustave-Dron (1905).
- Le Bureau de Bienfaisance (1894).
- Centre-ville et alentours (particulièrement rue Nationale et rue de Lille) : un grand nombre d'hôtels particuliers (anciennes résidences des familles industrielles textiles) en cours de restauration (notamment l'hôtel Rasson-Wattine), construits à la fin du XIXe siècle dans un style éclectique inspiré de la Renaissance.
- L'École Nationale des Douanes construite en 2004 par le cabinet d'architechture Jean Nouvel est un bel exemple d'architecture contemporaine. Son hall d'entrée est décoré par une oeuvre d'Aki Kuroda inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 2009.
Architecture religieuse :
- Église Notre-Dame des Anges[16] (1850), dont l'intérieur témoigne d'un style Napoléon III flamboyant.
- Chapelle Notre-Dame de la Marlière[17], ensemble des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècle, lieu de pèlerinage.
- Institution libre du Sacré-Cœur[18], hall d'entrée et Cour d'Honneur (1885), Chapelle (1859).
- Dans tous les quartiers de la ville, des églises (généralement en briques) datées de la deuxième moitié du XIXe siècle, notamment l'église Sainte-Anne au Brun-Pain et l'église Notre-Dame de la Consolation au Pont de Neuville.
Le proche canal de Roubaix sera remis en navigation en 2008 (programme Blue Links). Il desservait notamment le site la « Zone de l’Union » (qui sur 80 ha de Roubaix, Tourcoing, et Wattrelos est l’un des plus grands chantiers de France (réhabilitation d’une friche industrielle de 80 ha environ, dont anciennes brasserie Terken) pour en faire probablement une zones d’activité de haute qualité environnementale, en associant les habitants des quartiers au projet, dans une dynamique de démocratie participative.
Personnalités liées à la commune
- Michel-François Delannoy, sociologue, conseiller général et Maire de Tourcoing depuis le 15 mars 2008.
- Jean-Pierre Balduyck (né en 1941), syndicaliste et homme politique, Maire de 1989 à 2008
- Bézu (1943-2007), chanteur
- Gustave Charpentier (1860-1956), compositeur et musicien
- Raymond Devos (1922-2006), humoriste et comédien
- Gustave Dron (1846-1930), médecin ; Maire de 1899 à 1919 et de 1925 à 1930, renommé pour sa vaste action sociale
- Brigitte Fossey (née en 1946), actrice
- Brigitte Lahaie (née en 1955), actrice pornographique
- Chantal Ladesou, comédienne
- Joseph-Charles Lefèbvre (1892-1973), évêque de Bourges
- Marcel Lefebvre (1905-1991), évêque traditionnaliste
- Léon Marescaux (1874-1949), député sous la Troisième République
- Henri Padou (1898-1981), champion olympique de water polo
- Albert Roussel (1869-1937), compositeur
- Christian Vanneste (né en 1947), homme politique
- Jules Watteeuw, dit le Broutteux (1849-1947), écrivain, journaliste et poète patoisant
- Jean Willerval (1924-1996), architecte
- Jennifer Messelier mannequin française
Enseignement
Pour plus de détails, voir Liste des établissements d'enseignement à Tourcoing.
Tourcoing draine la majeure partie des élèves de son bassin de population, qui se compose des communes plus ou moins limitrophes de Roncq, Neuville-en-Ferrain, Halluin, Mouvaux, Linselles, Bondues, Bousbecque et Comines ; en témoigne le réseau de transport scolaire qui débouche toujours sur le centre-ville de Tourcoing.
Tourcoing compte deux prestigieux établissements d'enseignement secondaire, historiquement liés à la ville : pour l'enseignement privé catholique, l'Institution libre du Sacré-Cœur[19], fondée en 1666 ; pour l'enseignement public, le Lycée d'Etat Gambetta[20], créé en 1885.
La carte scolaire de Tourcoing est riche : une vingtaine d'établissements secondaires, dont deux lycées d'enseignement général, deux lycées d'enseignement technologique, et un lycée d'enseignement professionnel. On notera le nombre relativement important de collège privés catholiques.
Depuis 2004, l'École Nationale des Douanes s'est installée à Tourcoing.
Sport
- Football : Tourcoing n'a brillé en football que lorsque ses clubs ont su s'unir à ceux de Roubaix pour créer le CO Roubaix-Tourcoing plus connu sous l'appellation CORT. Le club actuel se nomme le TFC (Tourcoing Football Club).[21]
- Volley-ball : La ville dispose d'un club de volley au sein de l'élite, le Tourcoing Lille Métropole Volley-Ball plus connu sous l'appellation TLM. Dispute régulièrement les coupes d'Europe.[22]
- Basket-ball : La ville compte également un club jouant en Excellence Régionale, l'Association Jeune Garde Tourcoing. [23] et [24]
- Athlétisme : Un club de haut niveau, l'Union sportive tourquennoise, entraînant notamment Robert Korzeniowski triple champion olympique, double champion du monde et détenteur du record du monde du 50 kilomètres marche.[25]
- Lutte : Un club de lutte réputé, le lutteur club de Tourcoing, dont est membre Vanessa Boubryemm, médaille d'or des championnats d'Europe 2006 (moins de 51kg en lutte féminine).[26]
- Water polo : Les Enfants de Neptune (ENT), dans l'élite française et européenne.
- Escrime : Centre d'initiation à l'escrime de Tourcoing (CIET) où a évolué Didier Flament, champion olympique en 1980.[27]
Vie culturelle
La Ville compte également de nombreuses structures artistiques et culturelles (liste non-exhaustive) :
Théâtre
- Le Théâtre municipal (à l'italienne), le Salon de Théâtre et le Théâtre de l'Idéal pour les infrastructures communales.
- La Virgule, Centre Transfrontalier de Création Théâtrale, dirigé par Jean-Marc Chotteau, troupe professionnelle.[28]
- Théâtre du Broutteux (marionnettes).[29]
- L'Hospice d'Havré, centre culturel polyvalent
Musique
- Le Conservatoire de musique et de danse[30]
- L'Atelier lyrique de Jean-Claude Malgoire
- Les Crick-Sicks, chorale d'hommes[31]
- L'Orchestre d'harmonie de la ville[32]
- Le Grand Mix, salle de concert[33]
- Tourcoing Jazz Festival Planètes (22e édition en 2008) www.tourcoing-jazz-festival.com
Musées
- Musée des Beaux-Arts[34]
- Musée du 5 juin 1944[35]
- Centre d'histoire locale
- Musée du Carillon (l'église Saint-Christophe abrite dans son clocher le plus grand carillon de France, avec 62 cloches)[36]
Arts
- Le Fresnoy - Studio national des arts contemporains[37]
- L'École régionale supérieure d'expression plastique (ERSEP) : enseignement supérieur des Beaux-Arts.
Tourcoing, sinistrée par la crise des années 1970, remonte lentement la pente depuis quelque temps, malgré un taux de chômage élevé et une forte insécurité dans certains quartiers. Elle souffre cependant de la comparaison avec Lille, la capitale régionale qui a réussi sa reconversion économique, ainsi que Roubaix, la "rivale" de toujours, qui a enclenché le processus de relèvement plus tôt grâce à l'aide de la Communauté Urbaine Lille Métropole.
La Ville a cependant accompli divers travaux de grande ampleur :
- La prolongation de la ligne de métro jusqu’à l'hôpital Dron, situé près de la frontière belge avec Mouscron
- Il y a déjà quelques années, la restauration complète de l'église Saint-Christophe, considérée comme le joyau de la ville
- La récente rénovation de l'hospice d'Havré et sa reconversion en centre artistique et culturel[38]
- La construction de la nouvelle piscine Tourcoing-les-Bains (dans le respect des façades anciennes de l'ex-caserne des pompiers du XIXe siècle, à côté de l'hôtel de ville), s'est achevée au premier semestre 2008. C'est un centre nautique multifonctions partagés en plusieurs espaces : aquatique (pataugeoire, toboggans, bassin sportif...), zen (hammams, saunas, banquettes massantes...), power plate et fitness (cardiotraining, fitness).
Ce dernier projet répond à la tradition tourquennoise en matière de natation : c'est à l'initiative de Gustave Dron, le fameux maire de Tourcoing, que la première piscine de la ville fut construite en 1904 : ce bâtiment, typique de l'architecture locale du début du XXe siècle, subsiste toujours aujourd'hui, mais est actuellement fermé et n'a pas encore de nouvelle affectation.
Sont encore en projet ou en chantier :
- La création d'un centre commercial et de galeries marchandes dans le centre-ville, afin de redynamiser ce dernier (ce centre commercial devrait voir le jour d'ici à 2009)[39]
Jumelage
La ville de Tourcoing est jumelée avec huit villes[40] :
- Berlin (Allemagne)
- Biella (Italie)
- Bottrop (Allemagne)
- Guimarães (Portugal)
- Jastrzębie Zdrój (Pologne)
- Mouscron (Belgique)
- Mühlhausen (Allemagne)
- Rochdale (Royaume-Uni)
- Lod (Israël)
Un neuvième jumelage devrait être officialisé courant 2009 :
Festivités
- Grand prix international de lutte[41]
- Franche Foire[42]
- Tourcoing Plage[43]
- Contest roller : championnat Sunride Tour indoor place Mitterrand
- Challenge d'escrime[44]
- Fête des allumoirs
- Festival de jazz[45]
- Boucles tourquennoises (athlétisme)[46]
Bibliographie
- (fr) Henri Leblanc, Histoire du Collège de Tourcoing, Imprimerie Jean Mathon (Tourcoing), 1870[47]
- (fr) J.-E. Van Den Driessche, Histoire de Tourcoing, Editions La Découvrance, impression originale 1928[48]
- (fr) Jules Watteeuw, Chansons, fables et pasquilles tourquennoises, Tourcoing, Imprimerie Frère-Glorieux, 1883
Notes et références
- ↑ Tourcoing en chiffres, sur le site de la ville [1]
- ↑ Histoire de Tourcoing, sur le site de la Ville[2]
- ↑ Tourcoing, fiche pratique sur le site de Lille Métropole [3]
- ↑ Chambre de Commerce, sur le site de l'office de tourisme de Tourcoing [4]
- ↑ Biographie de Gustave Dron, sur le site du Sénat de la République française [5]
- ↑ Histoire de Tourcoing, J-E Van Den Driessche (1928)
- ↑ Ibid.
- ↑ Ibid.
- ↑ Tourcoing sur le site de l'Insee
- ↑ Patrimoine tourquennois sur le site de l'office de tourisme de Tourcoing [6]
- ↑ Patrimoine de Tourcoing, sur le site de la Ville [7]
- ↑ Le Centre d'Histoire Locale, sur le site de la Ville [8]
- ↑ L'Hospice d'Havré, sur le site de la ville [9]
- ↑ Site internet du lycée Gambetta (Tourcoing) [10]
- ↑ Site internet de l'Institut Colbert (Tourcoing) [11]
- ↑ Patrimoine religieux, sur le site de l'office de tourisme de Tourcoing [12]
- ↑ Patrimoine religieux, sur le site de l'office de tourisme de Tourcoing [La Chapelle Notre-Dame de la Marlière, sur le site de l'Office de Tourisme de Tourcoing [13]
- ↑ Site internet de l'Institution Libre du Sacré-Cœur [14]
- ↑ Par tradition séculaire, encore surnommée simplement Collège de Tourcoing.
- ↑ le plus souvent surnommé lycée de Tourcoing ; le "Collège" ecclésiastique et le "Lycée" laïc se livraient autrefois une lutte féroce, ce qui n'est plus le cas de nos jours.
- ↑ Site internet du TFC [15]
- ↑ Site internet du TLM [16]
- ↑ le site officiel du club de la Jeune Garde Tourcoing section basket[17]
- ↑ Page Sports, sur le site internet de la Ville de Tourcoing[18]
- ↑ Site internet de l'Union sportive tourquennoise [19]
- ↑ Le Lutteur Club de Tourcoing, sur l'Annuaire des Sports [20]
- ↑ Le Centre d'Initiation à l'Escrime de Tourcoing, sur le site de la Ville [21]
- ↑ Site de la Compagnie théâtrale "La Virgule" [22]
- ↑ Le Théâtre du Broutteux sur le site de l'Office du tourisme de Tourcoing [23]
- ↑ Le Conservatoire de Musique à Rayonnement Départemental (site internet de la Ville de Tourcoing [24]
- ↑ Site de l'association musicale des Cricks-Sicks [25]
- ↑ Site officiel de l'Harmonie municipale de Tourcoing[26]
- ↑ Le Grand Mix, site officiel [27]
- ↑ Musée des Baux-Arts de Tourcoing, fiche pratique sur le site "Amis des Musées"[28]
- ↑ Site officiel du Musée "Message Verlaine" à Tourcoing
- ↑ Le Musée du Carillon sur le site de l'Office du tourisme de Tourcoing [29]
- ↑ Le Fresnoy, sur son site officiel [30]
- ↑ Les grands projets de la Ville sur le site de la Ville de Tourcoing [31]
- ↑ Ibid.[32]
- ↑ Jumelages tourquennois sur le site internet de la Ville de Tourcoing[33]
- ↑ Clubs sportifs de haut niveau à Tourcoing sur le site de la Ville [34]
- ↑ La Franche Foire sur le site de l'office du tourisme de Tourcoing [35]
- ↑ Site officiel de l'opération "Tourcoing Plage" [36]
- ↑ Clubs sportifs de haut niveau à Tourcoing sur le ste de la Ville [37]
- ↑ Site officiel du "Tourcoing Jazz Festival" [38]
- ↑ Clubs sportifs de haut niveau à Tourcoing sur le site de la Ville [39]
- ↑ Site de l'Université de Lille III [40]
- ↑ Site de l'Université de Lille III [41]
Voir aussi
- Une locomotive électrique de la SNCF porte le nom de Tourcoing, de la série BB 15000, son n° est 115059.
Articles connexes
Géographie Histoire et patrimoine Personnalités Autres - Institution libre du Sacré-Cœur
- Lycée Gambetta de Tourcoing
- Musée du 5 juin 1944
- Musée des Beaux-Arts
- Zone de l'Union
- Le Fresnoy
- Géants du Nord
- Fête des allumoirs
- Cimetières Militaires du Commonwealth :
- Tourcoing (Pont-Neuville) Communal Cemetery
Liens externes
- Site de la mairie
- Liens tourquennois sur DMOZ
- Tourcoing sur le site de l'Institut géographique national
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