- Robaais
-
Roubaix
Pour l’article homonyme, voir le compositeur François de Roubaix.Roubaix
DétailAdministration Pays France Région Nord-Pas-de-Calais Département Nord Arrondissement Arrondissement de Lille
(chef-lieu)Canton Chef-lieu de 4 cantons
canton de Roubaix-Centre
canton de Roubaix-Est
canton de Roubaix-Nord
canton de Roubaix-OuestCode Insee abr. 59512 Code postal 59100 Maire
Mandat en coursRené Vandierendonck
2008-2014Intercommunalité Lille Métropole Communauté urbaine Site internet http://www.ville-roubaix.fr/ Démographie Population 97 952 hab. (2006) Densité 7 404 hab./km² Gentilé Roubaisiens Géographie Coordonnées Altitudes mini. 17 m — maxi. 52 m Superficie 13,23 km² Roubaix (en néerlandais : Robaais) est une commune française située dans le département du Nord et la région Nord-Pas-de-Calais.
Sommaire
Toponymie
La ville est mentionnée au IXe siècle sous la forme latinisée (villa) Rusbaci, qui est un archétype toponymique fréquent au nord de la France, le plus souvent latinisé en Rosbaci- ou Resbaci-[1]. Albert Dauzat et Charles Rostaing[2] y voient un composé du germanique hros, cheval et baki, ruisseau. Cependant, la plupart des spécialistes[3]considère l'élément ros, comme issu du germanique raus, qui a donné le diminutif rosel > roseau. Phénomène du rhotacisme germanique de /s/ qui en fait l'équivalent du haut allemand Rohrbach.
Géographie
Roubaix est située non loin de la frontière belge à l’est de Lille et au sud de sa rivale, Tourcoing. Sa géographie est marquée par l’histoire industrielle de la région (filatures, charbon, métallurgie) et ses séquelles. Le canal de Roubaix traverse une partie de la ville ; il sera remis en navigation en 2010 (programme Blue Links). Ce canal desservait notamment le site la « Zone de l’Union » (qui sur Roubaix, Tourcoing et Wattrelos est l’un des plus grands chantiers de France avec la réhabilitation d’une friche industrielle de quatre-vingt hectares environ – dont l’ancienne brasserie Terken – pour en faire probablement une zone d’activité de haute qualité environnementale, en associant les habitants des quartiers au projet, dans une dynamique de démocratie participative sous l'impulsion du collectif de l'Union).
Communes limitrophes
Histoire
On voit une référence à Roubaix pour la première fois sur des cartes du IXe siècle. Roubaix est alors rattaché à l’évêché de Tournai. La ville passa du statut de simple bourgade à celui de ville importante sous le règne du seigneur Pierre de Roubaix au XVe siècle.
Au XIXe siècle, Roubaix a été une capitale mondiale du textile, abritant même la bourse de la laine (qui est aujourd’hui située en Australie). Son industrialisation fut très forte avec de nombreuses usines réparties sur toute la ville. La ville fut même appelée « ville aux mille cheminées ». Aujourd’hui, peu de ces vestiges subsistent mais les dernières cheminées encore debout sont toutes protégées.
La mairie de Roubaix témoigne de la grande prospérité passée de la ville. Sur son fronton sont représentés les différents métiers exercés dans la ville au XIXe siècle.
Héraldique
- Roubaix possède deux blasons:
- « Parti : au premier d’hermine au chef de gueules, au second d’azur au roc de sable encadré d’or, accompagné en chef d’une étoile du même accostée de deux canettes d’argent et en pointe d’une navette aussi d’or, à la bordure denchée du même »
- « D’hermines au chef de gueules » [4].
Démographie
L’urbanisation a conduit à la formation d’une agglomération continue entre Roubaix et ses voisines les plus peuplées, Lille et Tourcoing, sans compter des dizaines de communes moins peuplées de la communauté urbaine.
La ville dut son développement à l’industrie textile dont l’activité a beaucoup diminué par la suite. Peinant à se reconvertir, elle a vu partir de nombreux habitants (sa population dépassa cent vingt mille habitants dans la première moitié du XXe siècle). Aujourd’hui il reste l’École nationale supérieure des arts et industries textiles (ENSAIT), école d’ingénieurs textile.
Roubaix fut très longtemps la commune de France la plus peuplée à être ni chef-lieu de département ni chef-lieu d’arrondissement. C'est maintenant la troisième derrière Villeurbanne et Montreuil.
Pyramide des âges Roubaix moyenne nationale plus de 75 ans 5,4% 7,7% 60-74 ans 9,4% 13,6% 40-59 ans 20,2% 26% 20-39 ans 31,4% 28,1% Source Insee 1999 Administration
Mairie
Liste des maires successifs Période Identité Parti Qualité 18 mai 1884- 16 mai 1892 Julien Lagache 15 mai 1892- 17 décembre 1901 Henri Carrette 26 décembre 1901- 26 janvier 1902 Edouard Roussel 26 janvier mars 1902- 19 mai 1912 Eugène Motte FR 19 mai 1912- 7 mars 1915 Jean-Baptiste Lebas SFIO 7 mars 1915- 21 octobre 1918 Henri Therin 21 octobre 1918- juin 1940 Jean-Baptiste Lebas SFIO juin 1940- 17 août 1941 Fleuris Vanherpe 17 août 1941- janvier 1942 Marcel Guislain janvier 1942- mai 1942 Alphonse Verbeurgt mai 1942- août 1942 Charles Bauduin 1944 (élu en 1945) - mars 1977 Victor Provo PS mars 1977- 6 mars 1983 Pierre Prouvost PS 6 mars 1983- 18 mai 1994 André Diligent UDF-CDS sénateur 28 mai 1994 René Vandierendonck UDF-CDS, puis divers gauche puis PS Conseiller régional Les données antérieures ne sont pas encore connues. Liste des cantons
La ville de Roubaix fait partie de l’arrondissement de Lille et son territoire communal est concerné par quatre cantons :
- Le canton de Roubaix-Centre
- Le canton de Roubaix-Nord (qui comprend également une partie de la ville de Wattrelos)
- Le canton de Roubaix-Est (qui comprend une autre partie de la ville de Wattrelos)
- Le canton de Roubaix-Ouest (qui comprend également les villes de Croix et de Wasquehal)
Liste des quartiers
- Le centre-ville
- Barbieux
- Les Trois Ponts
- La Fraternité
- Le Pile
- Sainte-Élisabeth
- Le Sartel-Carihem
- L’Hommelet
- La Fosse-aux-Chênes
- Le Hutin
- Le Cartigny
- L’Entrepont
- L’Épeule
- Le Trichon
- L’Alouette
- Le Crouy
- Le Fresnoy Mackellerie
- L’Alma ou Alma-Gare
- Le Cul de Four
- Le Chemin-Neuf
- Édouard-Vaillant
- Les Hauts-Champs
- Justice
- Linné
- Moulin-Potennerie
- Nouveau-Roubaix
- Le Cartigny est le quartier situé au nord de la boucle du canal de Roubaix, traversé par la rue d’Alger, comprenant le vaste cimetière de Roubaix et des emprises industrielles importantes (La Lainière, Pennel et Flipo).
- Les Hauts-Champs ont donné leur nom au groupe d’hypermarchés Auchan.
- Les quartiers de l’Épeule, de l’Alouette et du Trichon sont regroupés en un comité de quartier.
- le Comité de Quartier de l’Hommelet édite LeBlog2Roubaix.Com[7].
- Le Frenoy Mackellerie est séparé au nord de la ville par la voie de chemin de fer, situé contre Tourcoing.
- Les Trois Ponts est un quartier composé uniquement de barres HLM et concentre les plus mauvais chiffres socioéconomiques de la ville.
- Le Pile est un quartier populaire situé entre le centre-ville et les Trois Ponts.
- Le quartier de Barbieux, qui tire son nom du Parc Barbieux, sépare en deux la ville de Croix. Il est l’un des quartiers les plus huppés de la ville.
Économie
Textile
Production
Roubaix est appelée le « Manchester français » au XIXe siècle, rivalisant et même dépassant la puissance textile anglaise.
Les ateliers textiles se développent beaucoup aux XVIIe et XVIIIe siècles. Il se crée de véritables dynasties de marchands-fabricants roubaisiens dont demeure aujourd’hui « Schlumberger » de NCS dans les quartiers limitrophes avec Tourcoing. En 1820, la machine à vapeur fait son apparition ; en 1843, ce sont les « self-acting mules » grâce à Louis Motte-Bossut permettant le développement des grands ateliers mécaniques. À la fin du XIXe siècle, le rayon d’action de la ville s’étend au monde entier. À l’Exposition universelle de 1889 à Paris, huit maisons roubaisiennes sont représentées. En 1911, Roubaix, centre européen du textile, reçoit la visite du président Armand Fallières. C'est l’apothéose : la ville héberge l’Exposition Internationale du textile et son hôtel de ville, œuvre de Victor Laloux édifié à la gloire de l’industrie textile, est inauguré. Cette grande prospérité économique liée en partie à la révolution industrielle n’est pas sans engendrer des conditions de travail difficiles.
Les quatre années d’occupation allemande durant la Première Guerre mondiale (1914-1918) laissent Roubaix nue et décharnée. Tous les stocks, tous les outils, beaucoup d’hommes ont disparu, on compte d’ailleurs soixante-quinze victimes à l’École nationale supérieure des arts et industries textiles (ENSAIT) de Roubaix. L’industrie textile est exsangue. Pourtant, en 1929, Roubaix a retrouvé sa place de capitale du textile. La crise de 1929 survient, puis les grèves de 1931-1932.
À partir de 1970, les difficultés s’accumulent sur l’industrie textile roubaisienne. Les dirigeants n’ont pas vraiment investi dans les textiles synthétiques ; le matériel de production est trop vieux pour soutenir une nouvelle course à la rentabilité. On commence à sentir la concurrence des ateliers des pays du Tiers Monde où les entreprises ne supportent pas les charges sociales pour une main d’œuvre bon marché. Les usines textiles ferment à Roubaix dès 1975 et leur matériel est souvent vendu dans ces pays. La ville s’enfonce dans le marasme et le chômage. La Lainière de Roubaix employant plus de dix mille personnes encore aux débuts des années 1970 ferme définitivement au tout début des années 2000.
Vente
Si la page de la production est close, des entreprises sont encore basées sur Roubaix et font de la vente (La Redoute, Les 3 Suisses, Camaïeu). La vente est assurée par des réseaux logistiques répartis aux quatre coins du monde.
Assurances
Le siège du courtier en assurances Vespieren a été longtemps situé à Roubaix mais a déménagé en 2008 à Wasquehal dans la ZAC du Grand Cottignies.
Commerce
Depuis les années 1980, la ville de Roubaix tente à l’image de Troyes de devenir une place importante du tourisme d’achat. Le précurseur de ce mouvement est L’Usine, située dans une ancienne usine, il est désormais rejoint par le centre Mc Arthur Glen.
Cultes
Chrétien
La ville de Roubaix est imprégnée de monuments témoignant de son socle historique chrétien :
- Église Notre Dame de l’Alliance, avenue Alfred Motte ;
- Église Saint Antoine, boulevard d’Armentières ;
- Église de la Trinité Saint Jean-Baptiste, boulevard du Cateau ;
- Église du Sacré Cœur, boulevard de Strasbourg ;
- Église Saint-Martin Notre Dame, rue du Curé ;
- Temple des réformés de France, rue des Arts ;
- Église Saint Elizabeth, rue Henri Lefebvre ;
- Église Saint-Joseph, rue de France ;
- Église Saint Michel, avenue Cordonnier ;
- Église Saint Rédempteur, rue Bourdaloue ;
- Église Saint François, rue Saint-Joseph;
- Aumônerie des Trois Ponts, avenue de Verdun.
Musulman
L’islam est une des religions majeures de Roubaix. Ses lieux de culte sont :
- Mosquée Abou Bakr, place Faidherbe ;
- Mosquée Da’wa, 12 rue Archimède ;
- Grande mosquée Sounna, 16-18 rue Saint-Maurice ;
- Grande mosquée Bilal, rue de l’Épeule ;
- Mosquée Eyüp Sultan ; 95 Rue de Daubenton
- Mosquée Arrahma, Trois ponts ;
- Mosquée rue de Croix (Épeule).
Culture
Depuis 2001, la ville de Roubaix est classée ville d’art et d’histoire.
Architecture
Religieuse
- L’église Saint-Joseph, église néogothique construite en 1878 par l’architecte Jean-Baptiste de Béthune. Elle a été classée au titre des monuments historiques en 1993.
- L’église Saint-Martin, la plus ancienne de la ville, dont l’origine pourrait remonter au IXe siècle (vers 881-887). Elle a été reconstruite de 1468 à 1521, à l’exception du chœur, et totalement remaniée et agrandie vers 1848 par Charles Leroy, architecte de la cathédrale de Lille.
- Le salon des Gobelins, salle de spectacle installée dans l’ancienne église Notre-Dame, bâtie entre 1844 et 1847 par l’architecte Achille Dewarlez. Désaffectée au culte en 1983, elle a été inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques la même année.
- La pagode Wat Bouddha Bouxa Voramahavihaan (Laos).
- La pagode raksmeysamaki (Cambodge).
- La pagode Ho Quoc de la communauté du sud-est asiatique du Nord de la France.
Industrielle
- Les châteaux d’industrie, les courées, les maisons 1930.
Civile
- La Piscine, œuvre d’Albert Baert, transformée en musée d’art et d’industrie par Jean-Paul Philippon. Édifiée entre 1927 et 1932 par l’architecte lillois Albert Baert, elle est fermée en 1985 pour des raisons de sécurité. Réhabilitée, elle abrite désormais, sur onze mille mètres carrés, les collections des Beaux-Arts et des Arts Décoratifs du Musée d’Art et d’Industrie de Roubaix, fermé au public en 1940.
- L’hôtel de ville, œuvre de l’architecte Victor Laloux, inauguré en 1911. Hymne à la gloire de l’industrie textile, elle est notamment remarquable par sa frise qui présente six tableaux illustrant les différents aspects du travail de la laine et du coton (la récolte du coton et la tonte de la laine, le lavage et le peignage, la filature, le tissage, la teinture et les apprêts et la manutention finale).
- La maison du peintre Rémy Cogghe, 22 rue Rémy-Cogghe, construite de 1893 à 1897 par l’architecte roubaisien Paul Destombes, inscrite à l’inventaire des monuments historiques en 1998.
- La maison de l’architecte Pierre Neveux, construite par lui-même en 1935, 40 rue Anatole-France. Contemporaine de la villa Cavrois de Robert Mallet-Stevens, elle associe des éléments de modernité et d’Art déco et a été inscrite à l’inventaire des monuments historiques en 1998.
Musées
- Le Musée d’art contemporain, La Piscine, Musée d’art et d’industrie. Ses collections présentent de la peinture, des échantillons textile, de la céramique, du mobilier, de la photo et de la sculpture des XIXe et XXe siècles.
- Le Musée du tissage : Manufacture des Flandres / Musée du Jacquard, musée de l’histoire du tissage et de la technique jacquard de 1804 jusqu’à nos jours où tous les métiers à tisser sont mis en fonction sous vos yeux.
Archives nationales
- Les Archives nationales du monde du travail, anciennement Centre des archives du monde du travail, inauguré en 1993. Elles sont logées dans les locaux de l’ancienne filature Motte-Bossut, construits entre 1862 et 1891. Ils sont inscrits à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1978.
Autres
- Le Parc Barbieux, d’une superficie de trente-quatre hectares, aménagé entre 1879 et 1905.
- Le Ballet du Nord ou Centre chorégraphique national de Roubaix, dirigé actuellement par Carolyn Carlson, (directrice artistique).
- La Condition publique, une des Maisons folies de Lille 2004. Centre culturel qui propose des concerts, des évènements mensuels, de nombreuses expositions, un bazar et un restaurant, abrité dans un bâtiment industriel de 1902 destiné au conditionnement de la laine et des soies et au contrôle de la qualité des textiles avant leur vente.
- Le grand cimetière de Roubaix représentatif d’une époque marquée par l’influence des grandes familles industrielles.
- La Gare de Roubaix
Gastronomie
Article détaillé : Brasseries du Nord Pas-de-Calais.Festival
- Le Salon de la BD et du graphisme
- Roubaix fête la vie de quartiers célèbre les associations et habitants qui montent des actions collectives dans le cadre du Fonds de Participation des Habitants
Éducation
Roubaix abrite :
- de nombreux colléges et lycées situés en ZEP (zone d’éducation prioritaire) ;
- l’École nationale supérieure des arts et industries textiles (ENSAIT) ;
- à partir d’octobre 2008, l’École nationale de la protection judiciaire de la jeunesse.
- l'UFR des LEA de l'université de Lille 3.
Sport
Article détaillé : Sport à Roubaix.- Athlétisme : la ville de Roubaix compte un club d’athlétisme (le Roubaix Athlétisme) et un club de marche athlétique (le Club des marcheurs de Roubaix) qui organise chaque année à la mi-septembre les 28 heures internationales de Roubaix à la marche.
- Aviron : Émile Delchambre, Henri Bouckaert, Henri Hazebrouck, Jean Cau et Charlot, membres du Cercle de l’Aviron de Roubaix furent champions olympiques en quatre avec barreur en 1900.
- Cyclisme : le vélo club de Roubaix est un des grands clubs formateurs du cyclisme (piste et route), de nombreux champions olympiques français y ont fait leur formation comme Arnaud Tournant. Le club est l’organisateur de la classique du Paris-Roubaix dont l’arrivée se déroule au vélodrome de Roubaix.
- Football : Roubaix a brillé en football en division professionnelle lorsque ses clubs ont su s’unir à ceux de Tourcoing : CO Roubaix-Tourcoing. Avant cela, entre les deux guerres en 1933, la finale de la Coupe de France de football a opposé deux clubs roubaisiens : l’Excelsior Athlétic Club de Roubaix contre le Racing Club de Roubaix. L’Excelsior a gagné 3 à 1.
Personnes célèbres liées à Roubaix ou nées à Roubaix
- Pierre de Roubaix (1415-1493), seigneur de Roubaix, y développe le commerce et la manufacture.
- Jules Bazile dit Jules Guesde (1847-1922), homme politique français, il fut député de Roubaix.
- Rémy Cogghe (1854-1935), peintre.
- Louis Loucheur (1872-1931), homme politique.
- Jean-Baptiste Lebas (1878-1944), homme politique, député maire de Roubaix, ministre du Front populaire, mort en camp de concentration.
- Léon Mathot (1886-1968), cinéaste.
- Raymond Dubly (1893-1988), footballeur.
- Yanette Delétang-Tardif (1902-1976), poétesse.
- Raymond Schmittlein (1904-1974), germaniste, homme politique français.
- Maxence Van Der Meersch (1907-1951), écrivain.
- Pierre Pflimlin (1907-2000), juriste, politicien.
- Viviane Romance (1912-1991), actrice.
- Pierre Pierrard (1920-2005), historien.
- Gaby Verlor (1921-2005), interprète, compositrice.
- Georges Delerue (1925-1992), compositeur de nombreuses musiques de films.
- Gérard Mulliez (né en 1931), homme d’affaires, fondateur d’Auchan.
- Pierre Delmar,(né en 1938), homme politique français.
- Gérard Vignoble (né en 1945), homme politique, maire de Wasquehal.
- Bruno Masure (né en 1947), journaliste télé.
- Bernard Arnault (né en 1949), homme d’affaires (groupe LVMH).
- Philippe Lefebvre (né en 1949), organiste.
- Alex Türk (né en 1950), sénateur.
- Étienne Chatiliez (né en 1952), cinéaste (La vie est un long fleuve tranquille…).
- Philippe Barraqué né en 1954, musicologue.
- Serge, Aldo et Bruno Cogoni artistes plus connus sous le nom « Les Sunlights » dans les années 1960 (Le Déserteur, Les Roses blanches, Ne joue pas au soldat…).
- Arnaud Desplechin (né en 1960), cinéaste.
- Éric Callens (né en 1962), auteur de littérature d’enfance et de jeunesse.
- Martial Mbandjock (né en 1985), athlète.
Jumelages
- Bradford (Royaume-Uni) depuis 1969
- Mönchengladbach (Allemagne) depuis 1969
- Verviers (Belgique) depuis 1969
- Skopje (Macédoine) depuis 1973
- Prato (Italie) depuis 1981
- Covilhã (Portugal) depuis 2000
- Bouira (Algérie)
- Sosnowiec (Pologne)
Notes et références
- ↑ Les noms de Lieux suivant: Robecq, Rolleboise, Rebais, Rebecques, Rebets, et Rebetz sont issus des mêmes racines.
- ↑ Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1978. Article Rebais, p. 559.
- ↑ Cf. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Editions Picard 1979. Ouvrage publié avec le soutien du Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Article Rançon et Rebets, p. 127.
- ↑ Source : Le généalogiste fou
- ↑ http://cassini.ehess.fr/ : notices communales avec tous les recensements
- ↑ INSEE : population de 1961 à 1999 et [1]
- ↑ [2]
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de la ville de Roubaix
- Site de l’Office de tourisme de Roubaix
- Annuaire des sites roubaisiens sur DMOZ
- Roubaix sur le site de l’Insee
- Portail du Nord-Pas-de-Calais
- Portail des communes de France
- Portail de la France
- Portail de Lille Métropole
Catégories : Roubaix | Ville d'art et d'histoire | Flandre romane | Armorial des communes du Nord | Nord | Lille Métropole
Wikimedia Foundation. 2010.