Robaais

Robaais

Roubaix

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Roubaix

Mairie de Roubaix
Mairie de Roubaix

Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Nord-Pas-de-Calais
Département Nord
Arrondissement Arrondissement de Lille
(chef-lieu)
Canton Chef-lieu de 4 cantons
canton de Roubaix-Centre
canton de Roubaix-Est
canton de Roubaix-Nord
canton de Roubaix-Ouest
Code Insee abr. 59512
Code postal 59100
Maire
Mandat en cours
René Vandierendonck
2008-2014
Intercommunalité Lille Métropole Communauté urbaine
Site internet http://www.ville-roubaix.fr/
Démographie
Population 97 952 hab. (2006)
Densité 7 404 hab./km²
Gentilé Roubaisiens
Géographie
Coordonnées 50° 41′ 24″ Nord
       3° 10′ 54″ Est
/ 50.69, 3.181666667
Altitudes mini. 17 m — maxi. 52 m
Superficie 13,23 km²

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Roubaix (en néerlandais : Robaais) est une commune française située dans le département du Nord et la région Nord-Pas-de-Calais.

Sommaire

Toponymie

La ville est mentionnée au IXe siècle sous la forme latinisée (villa) Rusbaci, qui est un archétype toponymique fréquent au nord de la France, le plus souvent latinisé en Rosbaci- ou Resbaci-[1]. Albert Dauzat et Charles Rostaing[2] y voient un composé du germanique hros, cheval et baki, ruisseau. Cependant, la plupart des spécialistes[3]considère l'élément ros, comme issu du germanique raus, qui a donné le diminutif rosel > roseau. Phénomène du rhotacisme germanique de /s/ qui en fait l'équivalent du haut allemand Rohrbach.

Géographie

Roubaix est située non loin de la frontière belge à l’est de Lille et au sud de sa rivale, Tourcoing. Sa géographie est marquée par l’histoire industrielle de la région (filatures, charbon, métallurgie) et ses séquelles. Le canal de Roubaix traverse une partie de la ville ; il sera remis en navigation en 2010 (programme Blue Links). Ce canal desservait notamment le site la « Zone de l’Union » (qui sur Roubaix, Tourcoing et Wattrelos est l’un des plus grands chantiers de France avec la réhabilitation d’une friche industrielle de quatre-vingt hectares environ – dont l’ancienne brasserie Terken – pour en faire probablement une zone d’activité de haute qualité environnementale, en associant les habitants des quartiers au projet, dans une dynamique de démocratie participative sous l'impulsion du collectif de l'Union).

Communes limitrophes

Rose des vents Tourcoing Wattrelos Rose des vents
Wasquehal N Leers
O    Roubaix    E
S
Croix Hem Lys-lez-Lannoy
Enclave: {{{enclave}}}

Histoire

On voit une référence à Roubaix pour la première fois sur des cartes du IXe siècle. Roubaix est alors rattaché à l’évêché de Tournai. La ville passa du statut de simple bourgade à celui de ville importante sous le règne du seigneur Pierre de Roubaix au XVe siècle.

Au XIXe siècle, Roubaix a été une capitale mondiale du textile, abritant même la bourse de la laine (qui est aujourd’hui située en Australie). Son industrialisation fut très forte avec de nombreuses usines réparties sur toute la ville. La ville fut même appelée « ville aux mille cheminées ». Aujourd’hui, peu de ces vestiges subsistent mais les dernières cheminées encore debout sont toutes protégées.

La mairie de Roubaix témoigne de la grande prospérité passée de la ville. Sur son fronton sont représentés les différents métiers exercés dans la ville au XIXe siècle.

Héraldique

Blason ville fr Roubaix (Nord).svg
  • « Parti : au premier d’hermine au chef de gueules, au second d’azur au roc de sable encadré d’or, accompagné en chef d’une étoile du même accostée de deux canettes d’argent et en pointe d’une navette aussi d’or, à la bordure denchée du même »
  • « D’hermines au chef de gueules » [4].

Démographie

Évolution démographique
(Source : Des villages de Cassini aux communes d’aujourd’hui[5] et INSEE[6])
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9 120 8 091 8 724 12 170 18 187 19 455 24 802 31 039 34 698
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
39 445 49 274 65 091 75 987 83 661 91 757 100 299 114 917 124 661
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
124 365 121 017 122 723 113 265 117 209 117 190 107 105 100 978 110 067
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 - -
112 856 114 547 109 553 101 602 97 746 96 984 97 952 - -

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Les Archives nationales du monde du travail dans l’ancienne usine Motte-Bossut

L’urbanisation a conduit à la formation d’une agglomération continue entre Roubaix et ses voisines les plus peuplées, Lille et Tourcoing, sans compter des dizaines de communes moins peuplées de la communauté urbaine.

La ville dut son développement à l’industrie textile dont l’activité a beaucoup diminué par la suite. Peinant à se reconvertir, elle a vu partir de nombreux habitants (sa population dépassa cent vingt mille habitants dans la première moitié du XXe siècle). Aujourd’hui il reste l’École nationale supérieure des arts et industries textiles (ENSAIT), école d’ingénieurs textile.

Roubaix fut très longtemps la commune de France la plus peuplée à être ni chef-lieu de département ni chef-lieu d’arrondissement. C'est maintenant la troisième derrière Villeurbanne et Montreuil.

Pyramide des âges
Roubaix moyenne nationale
plus de 75 ans 5,4% 7,7%
60-74 ans 9,4% 13,6%
40-59 ans 20,2% 26%
20-39 ans 31,4% 28,1%
Source Insee 1999

Administration

Mairie

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
18 mai 1884- 16 mai 1892 Julien Lagache
15 mai 1892- 17 décembre 1901 Henri Carrette
26 décembre 1901- 26 janvier 1902 Edouard Roussel
26 janvier mars 1902- 19 mai 1912 Eugène Motte FR
19 mai 1912- 7 mars 1915 Jean-Baptiste Lebas SFIO
7 mars 1915- 21 octobre 1918 Henri Therin
21 octobre 1918- juin 1940 Jean-Baptiste Lebas SFIO
juin 1940- 17 août 1941 Fleuris Vanherpe
17 août 1941- janvier 1942 Marcel Guislain
janvier 1942- mai 1942 Alphonse Verbeurgt
mai 1942- août 1942 Charles Bauduin
1944 (élu en 1945) - mars 1977 Victor Provo PS
mars 1977- 6 mars 1983 Pierre Prouvost PS
6 mars 1983- 18 mai 1994 André Diligent UDF-CDS sénateur
28 mai 1994 René Vandierendonck UDF-CDS, puis divers gauche puis PS Conseiller régional
Les données antérieures ne sont pas encore connues.

Liste des cantons

Les cantons de Roubaix dans leur arrondissement

La ville de Roubaix fait partie de l’arrondissement de Lille et son territoire communal est concerné par quatre cantons :

Liste des quartiers

  • Le centre-ville
  • Barbieux
  • Les Trois Ponts
  • La Fraternité
  • Le Pile
  • Sainte-Élisabeth
  • Le Sartel-Carihem
  • L’Hommelet
  • La Fosse-aux-Chênes
  • Le Hutin
  • Le Cartigny
  • L’Entrepont
  • L’Épeule
  • Le Trichon
  • L’Alouette
  • Le Crouy
  • Le Fresnoy Mackellerie
  • L’Alma ou Alma-Gare
  • Le Cul de Four
  • Le Chemin-Neuf
  • Édouard-Vaillant
  • Les Hauts-Champs
  • Justice
  • Linné
  • Moulin-Potennerie
  • Nouveau-Roubaix
  • Le Cartigny est le quartier situé au nord de la boucle du canal de Roubaix, traversé par la rue d’Alger, comprenant le vaste cimetière de Roubaix et des emprises industrielles importantes (La Lainière, Pennel et Flipo).
  • Les Hauts-Champs ont donné leur nom au groupe d’hypermarchés Auchan.
  • Les quartiers de l’Épeule, de l’Alouette et du Trichon sont regroupés en un comité de quartier.
  • le Comité de Quartier de l’Hommelet édite LeBlog2Roubaix.Com[7].
  • Le Frenoy Mackellerie est séparé au nord de la ville par la voie de chemin de fer, situé contre Tourcoing.
  • Les Trois Ponts est un quartier composé uniquement de barres HLM et concentre les plus mauvais chiffres socioéconomiques de la ville.
  • Le Pile est un quartier populaire situé entre le centre-ville et les Trois Ponts.
  • Le quartier de Barbieux, qui tire son nom du Parc Barbieux, sépare en deux la ville de Croix. Il est l’un des quartiers les plus huppés de la ville.

Économie

Textile

Production

Le peignage Motte à Roubaix

Roubaix est appelée le « Manchester français » au XIXe siècle, rivalisant et même dépassant la puissance textile anglaise.

Les ateliers textiles se développent beaucoup aux XVIIe et XVIIIe siècles. Il se crée de véritables dynasties de marchands-fabricants roubaisiens dont demeure aujourd’hui « Schlumberger » de NCS dans les quartiers limitrophes avec Tourcoing. En 1820, la machine à vapeur fait son apparition ; en 1843, ce sont les « self-acting mules » grâce à Louis Motte-Bossut permettant le développement des grands ateliers mécaniques. À la fin du XIXe siècle, le rayon d’action de la ville s’étend au monde entier. À l’Exposition universelle de 1889 à Paris, huit maisons roubaisiennes sont représentées. En 1911, Roubaix, centre européen du textile, reçoit la visite du président Armand Fallières. C'est l’apothéose : la ville héberge l’Exposition Internationale du textile et son hôtel de ville, œuvre de Victor Laloux édifié à la gloire de l’industrie textile, est inauguré. Cette grande prospérité économique liée en partie à la révolution industrielle n’est pas sans engendrer des conditions de travail difficiles.

Les quatre années d’occupation allemande durant la Première Guerre mondiale (1914-1918) laissent Roubaix nue et décharnée. Tous les stocks, tous les outils, beaucoup d’hommes ont disparu, on compte d’ailleurs soixante-quinze victimes à l’École nationale supérieure des arts et industries textiles (ENSAIT) de Roubaix. L’industrie textile est exsangue. Pourtant, en 1929, Roubaix a retrouvé sa place de capitale du textile. La crise de 1929 survient, puis les grèves de 1931-1932.

À partir de 1970, les difficultés s’accumulent sur l’industrie textile roubaisienne. Les dirigeants n’ont pas vraiment investi dans les textiles synthétiques ; le matériel de production est trop vieux pour soutenir une nouvelle course à la rentabilité. On commence à sentir la concurrence des ateliers des pays du Tiers Monde où les entreprises ne supportent pas les charges sociales pour une main d’œuvre bon marché. Les usines textiles ferment à Roubaix dès 1975 et leur matériel est souvent vendu dans ces pays. La ville s’enfonce dans le marasme et le chômage. La Lainière de Roubaix employant plus de dix mille personnes encore aux débuts des années 1970 ferme définitivement au tout début des années 2000.

Vente

Si la page de la production est close, des entreprises sont encore basées sur Roubaix et font de la vente (La Redoute, Les 3 Suisses, Camaïeu). La vente est assurée par des réseaux logistiques répartis aux quatre coins du monde.

Assurances

Le siège du courtier en assurances Vespieren a été longtemps situé à Roubaix mais a déménagé en 2008 à Wasquehal dans la ZAC du Grand Cottignies.

Commerce

Depuis les années 1980, la ville de Roubaix tente à l’image de Troyes de devenir une place importante du tourisme d’achat. Le précurseur de ce mouvement est L’Usine, située dans une ancienne usine, il est désormais rejoint par le centre Mc Arthur Glen.

Cultes

Chrétien

La ville de Roubaix est imprégnée de monuments témoignant de son socle historique chrétien :

  • Église Notre Dame de l’Alliance, avenue Alfred Motte ;
  • Église Saint Antoine, boulevard d’Armentières ;
  • Église de la Trinité Saint Jean-Baptiste, boulevard du Cateau ;
  • Église du Sacré Cœur, boulevard de Strasbourg ;
  • Église Saint-Martin Notre Dame, rue du Curé ;
  • Temple des réformés de France, rue des Arts ;
  • Église Saint Elizabeth, rue Henri Lefebvre ;
  • Église Saint-Joseph, rue de France ;
  • Église Saint Michel, avenue Cordonnier ;
  • Église Saint Rédempteur, rue Bourdaloue ;
  • Église Saint François, rue Saint-Joseph;
  • Aumônerie des Trois Ponts, avenue de Verdun.

Musulman

L’islam est une des religions majeures de Roubaix. Ses lieux de culte sont :

  • Mosquée Abou Bakr, place Faidherbe ;
  • Mosquée Da’wa, 12 rue Archimède ;
  • Grande mosquée Sounna, 16-18 rue Saint-Maurice ;
  • Grande mosquée Bilal, rue de l’Épeule ;
  • Mosquée Eyüp Sultan ; 95 Rue de Daubenton
  • Mosquée Arrahma, Trois ponts ;
  • Mosquée rue de Croix (Épeule).

Culture

Depuis 2001, la ville de Roubaix est classée ville d’art et d’histoire.

Architecture

Religieuse

L'église Saint-Martin
  • L’église Saint-Joseph, église néogothique construite en 1878 par l’architecte Jean-Baptiste de Béthune. Elle a été classée au titre des monuments historiques en 1993.
  • L’église Saint-Martin, la plus ancienne de la ville, dont l’origine pourrait remonter au IXe siècle (vers 881-887). Elle a été reconstruite de 1468 à 1521, à l’exception du chœur, et totalement remaniée et agrandie vers 1848 par Charles Leroy, architecte de la cathédrale de Lille.
  • Le salon des Gobelins, salle de spectacle installée dans l’ancienne église Notre-Dame, bâtie entre 1844 et 1847 par l’architecte Achille Dewarlez. Désaffectée au culte en 1983, elle a été inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques la même année.
  • La pagode Wat Bouddha Bouxa Voramahavihaan (Laos).
  • La pagode raksmeysamaki (Cambodge).
  • La pagode Ho Quoc de la communauté du sud-est asiatique du Nord de la France.

Industrielle

  • Les châteaux d’industrie, les courées, les maisons 1930.

Civile

  • La Piscine, œuvre d’Albert Baert, transformée en musée d’art et d’industrie par Jean-Paul Philippon. Édifiée entre 1927 et 1932 par l’architecte lillois Albert Baert, elle est fermée en 1985 pour des raisons de sécurité. Réhabilitée, elle abrite désormais, sur onze mille mètres carrés, les collections des Beaux-Arts et des Arts Décoratifs du Musée d’Art et d’Industrie de Roubaix, fermé au public en 1940.
  • L’hôtel de ville, œuvre de l’architecte Victor Laloux, inauguré en 1911. Hymne à la gloire de l’industrie textile, elle est notamment remarquable par sa frise qui présente six tableaux illustrant les différents aspects du travail de la laine et du coton (la récolte du coton et la tonte de la laine, le lavage et le peignage, la filature, le tissage, la teinture et les apprêts et la manutention finale).
  • La maison du peintre Rémy Cogghe, 22 rue Rémy-Cogghe, construite de 1893 à 1897 par l’architecte roubaisien Paul Destombes, inscrite à l’inventaire des monuments historiques en 1998.
  • La maison de l’architecte Pierre Neveux, construite par lui-même en 1935, 40 rue Anatole-France. Contemporaine de la villa Cavrois de Robert Mallet-Stevens, elle associe des éléments de modernité et d’Art déco et a été inscrite à l’inventaire des monuments historiques en 1998.

Musées

Musée d’art et d’industrie
  • Le Musée du tissage : Manufacture des Flandres / Musée du Jacquard, musée de l’histoire du tissage et de la technique jacquard de 1804 jusqu’à nos jours où tous les métiers à tisser sont mis en fonction sous vos yeux.

Archives nationales

  • Les Archives nationales du monde du travail, anciennement Centre des archives du monde du travail, inauguré en 1993. Elles sont logées dans les locaux de l’ancienne filature Motte-Bossut, construits entre 1862 et 1891. Ils sont inscrits à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1978.

Autres

La partie nord du parc Barbieux
  • Le Parc Barbieux, d’une superficie de trente-quatre hectares, aménagé entre 1879 et 1905.
  • Le Ballet du Nord ou Centre chorégraphique national de Roubaix, dirigé actuellement par Carolyn Carlson, (directrice artistique).
  • La Condition publique, une des Maisons folies de Lille 2004. Centre culturel qui propose des concerts, des évènements mensuels, de nombreuses expositions, un bazar et un restaurant, abrité dans un bâtiment industriel de 1902 destiné au conditionnement de la laine et des soies et au contrôle de la qualité des textiles avant leur vente.
  • Le grand cimetière de Roubaix représentatif d’une époque marquée par l’influence des grandes familles industrielles.
  • La Gare de Roubaix

Gastronomie

Article détaillé : Brasseries du Nord Pas-de-Calais.

Festival

  • Le Salon de la BD et du graphisme
  • Roubaix fête la vie de quartiers célèbre les associations et habitants qui montent des actions collectives dans le cadre du Fonds de Participation des Habitants

Éducation

Roubaix abrite :

Sport

Article détaillé : Sport à Roubaix.

Personnes célèbres liées à Roubaix ou nées à Roubaix

Jumelages

Notes et références

  1. Les noms de Lieux suivant: Robecq, Rolleboise, Rebais, Rebecques, Rebets, et Rebetz sont issus des mêmes racines.
  2. Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1978. Article Rebais, p. 559.
  3. Cf. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Editions Picard 1979. Ouvrage publié avec le soutien du Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Article Rançon et Rebets, p. 127.
  4. Source : Le généalogiste fou
  5. http://cassini.ehess.fr/ : notices communales avec tous les recensements
  6. INSEE : population de 1961 à 1999 et [1]
  7. [2]

Annexes

Articles connexes

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Liens externes


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