- Pressignac
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Pressignac
Mairie et école de PressignacAdministration Pays France Région Poitou-Charentes Département Charente Arrondissement Confolens Canton Chabanais Code commune 16270 Code postal 16150 Maire
Mandat en coursMaurice Faure
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes de Haute-Charente Démographie Population 427 hab. (2007) Densité 15 hab./km² Gentilé Pressignacois Géographie Coordonnées Altitudes mini. 163 m — maxi. 282 m Superficie 28,15 km2 Pressignac (Pressinhac en limousin, dialecte occitan) est une commune française, située dans le département de la Charente et la région Poitou-Charentes. Le village se situe en Charente limousine, sur les premiers contreforts du Massif central et il est limitrophe de la Haute-Vienne.
Ses habitants sont appelés les Pressignacois et Pressignacoises.
Sommaire
Géographie
La commune de Pressignac est une commune de Charente limousine, limitrophe de la Haute-Vienne. Elle est une des plus importantes du canton de Chabanais par sa superficie. Elle est à peu près deux fois plus grande que la moyenne des communes françaises (1488 hectares). C'est une contrée d'élevage, arrosée par de nombreux cours d'eau. La commune appartient aux deux bassins de la Vienne et de la Charente, et la ligne de partage de ces deux bassins parcourt tout le sud de la commune, à l'altitude moyenne de 250 mètres.
Localisation et accès
Le bourg de Pressignac, à 6 km au sud de Chabanais, 22 km de Confolens et 50 km au nord-est d'Angoulême, est un bourg important, construit au sommet d'une haute colline, dominant la vallée de la Grêne.
Pressignac est aussi à 6 km à l'ouest de Rochechouart, et 40 km à l'ouest de Limoges[1].
Autrefois difficile d'accès, la commune est aujourd'hui à proximité de la route Centre-Europe Atlantique, de l'autoroute A 20 la reliant à Paris et Toulouse via Limoges, et du TGV Atlantique qui, par la gare d'Angoulême, permet de relier Bordeaux et Paris. La N.141, maillon de la route Centre-Europe Atlantique entre Angoulême et Limoges, passe à 6 km au nord du bourg, à Chabanais.
La commune elle-même est desservie par des routes de moindre importance, comme la D.160 et la D.161 qui se croisent au bourg.
La gare la plus proche est celle de Chabanais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.
Lieux-dits, hameaux et écarts
La commune présente un habitat très dispersé en dehors du bourg. Une trentaine de hameaux plus ou moins gros parsèment le territoire : Chez-Bande, Le Bonéthève, Bors, Le Bouchet, Le Bournet, Le Château Banal, La Chauffie, La Croix, Les Fayolles, Fontcevéranne, Fougeras, La Gardette, Les Gouttes, Le Grand Bois, Le Grand Chalais, La Guerlie, La Guierse, La Judie, Magnieras, Mandat, Chez-Mariaud, Chez Martin, La Martinie, Le Mas du Baud, Chez le Mineur, Pers, Le Petit Chalais, Puymis, Valette, Veilleraud, Vouéras.
Communes limitrophes
- en Charente : Chassenon (à 3,2 km à vol d'oiseau), Saint-Quentin-sur-Charente (3,9 km), Chabanais (3,9 km), Verneuil (Charente) (6,1 km), Lésignac-Durand (8 km), Massignac (8,5 km).
- en Haute-Vienne : Videix (5,6 km), Rochechouart (6,7 km), Vayres (10,6 km).
Relief
La commune de Pressignac présente un point culminant d'une altitude de 281 mètres au lieu-dit du Petit Chêne, non loin de Mandat. Le relief typique des contreforts du Massif central présente des plateaux vallonnés entaillés par les vallées de la Charente et de la Grêne.
Géologie
Comme toute la partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune se trouve sur le plateau du Limousin, partie occidentale du Massif central, composé de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.
Elle se situe aussi dans l'emprise d'un cratère météoritique, formé il y a environ 214 millions d'années, l'astroblème de Rochechouart-Chassenon.
La moitié occidentale de la commune est occupée par du granit, gneiss et un peu de diorite, ainsi que des arènes argilo-sableuses sur les sommets. La moitié orientale de la commune est couverte de brèche issue de la météorite[2],[3],[4].
En 2008, le lieu-dit de la Judie a été protégé en vue d'être de nouveau labellisé European Geopark par l'Unesco. Il l'a été sous l’appellation Astroblème-Châtaigneraie limousine d'octobre 2004 à juin 2006[5],[6]. En effet, des mesures de gravité et des calculs ont permis de le déterminer comme le centre exact de l'impact de la météorite, qui a formé un cratère de 20 km de diamètre.
Article connexe : astroblème de Rochechouart-Chassenon.Hydrographie
- La Charente: la commune est bordée au sud-ouest par le fleuve Charente sous la forme d'une retenue d'eau établie par le barrage de Lavaud (plage de la Guerlie).
- La Grêne : ruisseau se jetant dans la Vienne à Chabanais, il détermine la limite de la commune au nord-est avec Chassenon. Deux écluses jalonnent son cours à l'emplacement des anciens moulins de Labit et de la Soutière. De petits ruisseaux se jettent dans la Grêne : le Got du Ris qui prend sa source vers Puymis, les ruisseaux de Pomper et de Mandat qui se rejoignent au niveau de l'étang de la Chauffie, et le ruisseau de la Judie.
Climat
Le climat est de type océanique aquitain à nuances montagnardes et continentales.
Ville Ensoleillement
(h/an)Pluie
(mm/an)Neige
(j/an)Orage
(j/an)Brouillard
(j/an)Moyenne nationale 1 973 770 14 22 40 Pressignac[7] 1974 1023 18 23 85 Paris 1 630 642 15 19 13 Nice 2 668 767 1 31 1 Strasbourg 1 633 610 30 29 65 Brest 1 492 1 109 9 11 74 Toponymie
Première mention connue : de Presinhaco (1280, graphie occitane latinisée)
Du nom de personne latin Priscinus (sans rapport avec l'ethnicité du personnage, qui était certainement un indigène), suivi du suffixe -i-acum, d'origine gauloise, caractéristique de la propriété à l'époque gallo-romaine[8].
Homonymie étymologique avec les Pressigny et Précigné de langue d'oïl.
Histoire
La météorite
Il y a 214 millions d'années, un astéroïde d'un kilomètre et demi de diamètre percuta la Terre au lieu dit de La Judie. L'impact terrible laissa un cratère de 21 kilomètres de diamètre aujourd'hui disparu. Les roches du sous-sol furent modifiées sur plus de 5 kilomètres de profondeur. Les roches résultantes de ce cataclysme aux alentours de Pressignac sont uniques en leurs genres : fracturées, fondues, remuées, on les appelle des brèches d'impactite. Ces roches particulières ont été utilisées pour la construction des monuments et des maisons de la commune.
Article détaillé : Astroblème de Rochechouart-Chassenon.Le Néolithique
Le territoire communal est habité très tôt, sans doute dès le Néolithique, comme le prouvent les nombreuses haches et pointes de flèches retrouvées ici et là, en particulier autour du Camp de César[9]. Un polissoir à silex, d'un volume d'un mètre cube, a également été découvert en 1899 au Moulin Paute.
Protohistoire
La civilisation de Hallstatt, pendant l'âge du fer, utilise une route venant de Narbonne et se dirigeant vers Nantes et la Bretagne. Cette ancienne route traverse le territoire communal de Pressignac, passant par Mandat, le Bost de la Herse, la Motte, la Négrerie et le bois des Besses, et longeant deux édifices datant de cette époque :
Le tumulus de la Motte, appelé aussi tumulus du Bonéthève, est un tertre d'environ 13 mètres de diamètre et de 1,5 mètre de hauteur au milieu des bois. Il fut fouillé en 1881 par Louis Armand de Préville et l'abbé Arbellot. Il y fut découvert des cendres, une urne funéraire en forme de vase (conservé au musée archéologique d'Angoulême), un os et une molaire de cheval et une pièce de fer interprétée comme étant un morceau de mors de cheval (conservé à la société archéologique de la Charente). Datant de 500 avant J.C., il s'agirait de la tombe d'un important cavalier, incinéré avec son cheval.
Le camp de César, sur la colline du Petit Chêne, non loin de Mandat, est un carré d'environ 100 mètres de côté, entouré sur trois côtés d'un talus de presque trois mètres de large et un mètre de haut. Malgré son nom, ce n'était pas un camp romain, bien qu'ils aient pu effectivement réutiliser ce camp. Une des hypothèses est que ce camp devait être une sorte de caravansérail, étape sur cette route marchande de l'âge du fer. Les haches néolithiques trouvées en nombre aux alentours pourraient également faire penser à une occupation de ce lieu préhistorique. Ce terrain servit aussi beaucoup plus tard, peu avant la guerre de 1870, comme terrain de manœuvres militaires.
Le trésor de la Guierce
En 1849, un trésor fut découvert dans un champ, près du village de la Guierce[10]. Il avait été enfoui par un riche gallo-romain, vers 275 après Jésus-Christ, sous la menace d’une invasion. Ce trésor comprenait de la vaisselle, des vases, des bijoux, des monnaies de bronze, d’or et d’argent, et surtout un splendide vase en émail champlevé. Les historiens le savaient, mais ignoraient ce qu’il était devenu. Or, récemment, des personnes originaires de Pressignac, eurent la surprise de voir dans une vitrine du musée Dobrée de Nantes, des bijoux en or et en argent provenant du trésor de la Guierce. Quant au vase en émail champlevé, d’une inestimable valeur, il se trouve au Metropolitan Museum de New York[11]. Le reste a disparu.
Époque moderne
La paroisse faisait partie du diocèse et de la généralité de Limoges.
La Chauffie est un fief noble mouvant de la seigneurie de Chabanais attesté depuis le XIIe siècle situé le long de la chaussée romaine.
L'après guerre
Comme le souligne une plaque commémorative à la mairie, le président de la république François Mitterrand est passé à Pressignac en 1983 à l'occasion d'un voyage dans la région et sur l'invitation du député maire communiste André Soury[12].
Cette même année, un avion transportant de la drogue fit un atterrissage forcé dans un champ proche du Camp de César qui servit de cache pour la marchandise.
Le tour de France cycliste a traversé la commune de Pressignac en 1987 lors de la 11e étape du 11 juillet (Futuroscope-Chaumeil). Les villageois ont ainsi pu apercevoir le maillot jaune Charly Mottet et le peloton traverser le bourg à vive allure.
Administration
Municipalité
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1790 1790 François Dupont de la Serve[13] 1790 1790 Soulat[14] 1790 1791 Arnaud Bigaud 1791 1793 Jean-Baptiste Vidaud 1793 1813 François Pichon 1813 1840 Pierre Barrier Sainte-Marthe 1840 1849 Jean-Baptiste Augustin Barrier Sainte-Marthe 1849 1870 Pierre Couraud 1870 1871 Léonard Forestier 1871 1878 Pierre Couraud 1878 1884 Pierre Vigier Républicain 1884 1919 Antoine Dumas Conservateur 1919 1944 Octave Faubert Républicain 1945 1945 Henri Vigier[15] 1945 1947 François Boulesteix 1947 1959 François Blanchon 1959 1977 Marcel Quichaud 1977 1999 André Soury PCF Conseiller général du canton de Chabanais (1976-2001) 1999 2002 Jean-Sylvain Boutinaud PCF depuis 2003 Maurice Faure SE Ouvrier à la retraite Toutes les données ne sont pas encore connues. Canton
Intercommunalité
Pressignac fait partie, avec 35 autres communes de Charente, de la communauté de communes de Haute-Charente.
Urbanisme
La commune comptait en 1999 64,7 % de propriétaires et 16,9 % de locataires (respectivement 63,3 % et 31,4 % pour le département)[16]. Une particularité locale est la part des habitants logés gratuitement qui était de 18,4 % (contre 5,3 % pour le département), ce qui est assez répandu en milieu rural. Pressignac disposait de dix logements HLM en 1999, soit 4,8 % du parc.
L'habitat, majoritairement ancien (64,3 % du parc date d'avant 1949), est constitué quasi exclusivement de logements individuels (98,8 %) de grandes tailles (70 % possèdent quatre pièces ou d'avantage), ce qui est caractéristique d'un habitat rural ancien[17].
Démographie
Évolution démographique
D’après le recensement Insee de 2007, Pressignac compte 427 habitants (soit une diminution de 5 % par rapport à 1999). La commune occupe le 18 047e rang au niveau national, alors qu'elle était au 16 449e en 1999, et le 183e au niveau départemental sur 404 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Pressignac depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint 1800 avec 1 669 habitants.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (45 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (26,6 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,1 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 48,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 11,5 %, 15 à 29 ans = 7,7 %, 30 à 44 ans = 15,8 %, 45 à 59 ans = 21,5 %, plus de 60 ans = 43,6 %) ;
- 51,1 % de femmes (0 à 14 ans = 11 %, 15 à 29 ans = 7,3 %, 30 à 44 ans = 14,2 %, 45 à 59 ans = 21,1 %, plus de 60 ans = 46,3 %).
Économie
Taux de chômage
En 1999, le taux de chômage était de 14,2% (moyenne nationale 12,9%)[23]. Les données de 2006 laissent apparaitre un taux de chômage pour la zone d'emploi dont fait partie la commune de 7% (moyenne nationale 8,8%)[24].
Secteur primaire
Secteur secondaire
- Menuiserie - charpentes
Secteur tertiaire
- Boulangerie-pâtisserie.
- Gites ruraux.
- Tourisme rural : lacs de Haute-Charente (plage de la Guerlie : restaurant, camping), centre équestre dans le bourg, atelier de ferronnerie.
Culture et patrimoine
Culture
Une salle des fêtes en centre-bourg propose à travers les associations de la commune et la municipalité diverses animations et repas festifs tout le long de l'année. Un parking a été spécialement aménagé à proximité.
Patrimoine civil
- Château de La Chauffie (ruines) du XVe et XVIIe siècles.
- Château du Bonethève, édifié en 1878.
- La cigogne de Pers est un système de puits à balancier datant de plusieurs siècles. Un tronc de chêne de sept mètres de long pivote sur un support constitué d'un autre tronc et permet de puiser l'eau profonde du puits.
- Le monument aux morts, inauguré en 1923, est l'œuvre de l'entrepreneur Boulesteix. La commune a payé un lourd tribut durant les différentes guerres : cinquante-huit morts en 14-18, neuf en 39-45 et un en Indochine.
- La mairie et les anciennes écoles ont été construites en 1883. On y trouve un buste de Marianne datant lui de 1938.
- Trois lavoirs, celui du bourg (route de Verneuil), celui de Chez Martin et celui de Foncevéranne (récemment restauré).
- De nombreuses fontaines, parfois en pierres, comme celle des Gouttes et de Foncevéranne, restaurées récemment, de Chez Martin, du Bournet, de Bord et de la Guerlie. Mais aussi une multitude d'autres, comme la Fontaine des fées, dans la vallée de la Grêne, celle du bourg (Saint-Martin) ou du chemin de Pomper, par exemple. Certaines avaient dit-on des vertus curatives et étaient l'objet de dévotions.
Patrimoine religieux
- Église Saint-Martin : XIIe et XIIIe siècles. Style roman, chapelle gothique du XVe siècle. C’est une des rares églises de France à être bâtie en brèche d’impactite, roche issue de la chute d'une météorite. Elle est composée d'une nef en berceau brisée, suivie d'une travée entre doubleaux, devant un chœur à chevet plat éclairée par un triplet. Le clocher massif est contrebuté par deux gros contreforts, sur lequel s'ouvre le portail des fidèles à deux rouleaux garnis d'un boudin, et encadrée par un cordon. Au-dessus il existe une baie, avec appui sur consoles, pouvant former une bretèche.
- Retable de Saint-Martin : XVIIe siècle. Style baroque. Composé de trois toiles de 1676, peintes par Laroche, représentant saint Martin partageant son manteau, saint Martin évêque de Tours, et des pèlerins devant son tombeau. Restauré en 1987-88 et 1991-92. Inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques en 1982[25].
- Retable de la remise du Rosaire : XVIIe siècle. Style baroque. Une toile représente la remise du Rosaire à saint Dominique et à sainte Catherine de Sienne par la Vierge et l’Enfant-Jésus. Restauré en 1995. Inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques en 1982[26].
Patrimoine environnemental
- Plan d'eau de Lavaud sur la Charente (plage de la Guerlie accessible aux personnes à mobilité réduite, baignade surveillée, camping, restaurant, mini-golf, pédalos, centre équestre).
- Étang de la Chauffie (étang à carpes) : il fut aménagé à la fin du XVème siècle sur la propriété du Château de la Chauffie. Racheté par la commune en 1980, l'espace de 10 hectares est aménagé en lieu de détente[27].
- Vallée de la Grêne.
Le sentier de grande randonnée 48 traverse la commune pour rejoindre Rochechouart ou Confolens au pays de la mandragore.
Aux alentours
- Chassenon : thermes gallo-romains de Cassinomagus.
- Rochechouart : château de Rochechouart.
- Lac du Mas-Chaban.
Vie locale
Vie associative
Pressignac possède des associations participant à l'animation de la commune : les anciens combattants et prisonniers de guerre, l'association nature et randonnée qui propose des randonnées pédestres le long de chemins balisés ainsi que diverses festivités, le club des aînés, le comité des fêtes, la société de pêche, le comité de pêche de l'étang de la Chauffie et la société de chasse.
Culte
L'Église catholique est représentée actuellement par l'abbé Bernard Jobert, curé de Chabanais, qui célèbre assez régulièrement des messes à Pressignac.
Les curés de Pressignac- Du Breuil (? -1629)
- Guillaume de Malavergne (1629-1659)
- Vainet (1659-1677)
- J. Soury (1677-1678)
- M. de Beausoleil (1678-1679)
- J. Simon (1679-1683)
- Noaly (1683-1685)
- Lanouaille (1685-1686)
- Etienne Daniel de la Mazière (1686-1725)
- Léonard Daniel de la Mazière (1725-1762)
- Aymé Lepoivre (1762-1772)
- Léonard de la Couture (1772-1780)
- Jean Deval (1781-1791)
- Jean Marquet (1791-1793)
- Pierre Pailler-Lapeyrière (1794-1795)
- Jean-Baptiste Pailler-Lapeyrière (1800-1803)
- Jean-Baptiste Boutinaud-Bussac (1803-1833)
- Jean-Baptiste Buelly (1834-1848)
- Mathurin Dutreix (1848-1871)
- Jules Brugerolles (1871-1911)
- Pierre Leproux (1911-1918)
- Jean Couhé (1918-1933)
- Jean Balestrat (1933-1950)
- Jean-Marie Lecompte (1950-1955)
- Gaston Vincent (1955-1961)
- Jean-Marie Lecompte (1961-2005)
- Bernard Jobert (depuis 2005)
Personnalités liées à la commune
- André Soury, homme politique membre du parti communiste français et écrivain, député de la Charente de 1956 à 1958 et de 1978 à 1986 et maire de Pressignac de 1977 à 1999.
- André Berland, historien et biographe régional, originaire de Pressignac, et ayant écrit une monographie sur la commune.
- Jacques Goudeaux : auteur compositeur, poète, romancier, photographe.
Notes et références
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- BRGM sous Géoportail Carte du
- BRGM, « Notice de la feuille de Rochechouart » sur Infoterre, 1996, (ISBN 2-7159-1687-6). Consulté le 5 novembre 2011 [PDF]
- Décret n° 2008-977 du 18 septembre 2008 portant création de la réserve naturelle nationale de l'astroblème de Rochechouart-Chassenon (Haute-Vienne et Charente) », 2008. Consulté le 6 novembre 2011 Gouvernement français, «
- Astroblème Châtaigneraie Limousine », 2006. Consulté le 6 novembre 2011 European Geoparks, «
- l'Internaute, INSEE et Lameteo.org Données de la station de Limoges, sources
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, Paris, 1977, p. 188.
- Chéronnac et de son important atelier de tailleurs de pierres qui se trouvait à proximité. Certains outils néolithiques retrouvés sont en pierre rouge provenant de la carrière de Monthoume, non loin de
- ISSN 0151-6086), n°189 (mai-juin 2008) [lire en ligne (page consultée le 30 août 2008)] André Berland, Laurent Pelpel, « Le vase de la Guierce », dans Le Picton (
- Archéologie poitevine : Reproduire un vase émaillé
- Discours intégral de François Mitterrand à la mairie de Pressignac
- Angoumois de février à novembre 1790. Pour la partie de la commune située en
- Poitou de février à novembre 1790. Pour la partie de la commune située en
- 1945. Président de la délégation municipale de janvier à mai
- Données INSEE 1999
- Données INSEE 1999
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 5 septembre 2010
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 5 septembre 2010
- Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 5 septembre 2010
- Évolution et structure de la population à Pressignac en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 5 septembre 2010
- Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 5 septembre 2010
- Données INSEE, 1999
- Taux de chômage au sens du BIT, par zone d'emploi. Source : INSEE (2006).
- Retable de Saint-Martin, sur la base Palissy, ministère de la Culture
- Retable de la Vierge, sur la base Palissy, ministère de la Culture
- in journal Charente Libre, 10 août 2011
Pour approfondir
Bibliographie
- André Berland, Pressignac en Charente limousine autrefois, 1987, réédition 1995.
- André Berland, Laurent Pelpel, « Le vase de la Guierce », dans Le Picton (ISSN 0151-6086), n°189 (mai-juin 2008) [lire en ligne (page consultée le 30 août 2008)]
Articles connexes
- Liste des communes de la Charente
- Astroblème de Rochechouart-Chassenon
- Lac de Lavaud
- Charente limousine
Liens externes
- Pressignac sur le site du Pays Charente Limousine
Catégorie :- Commune de la Charente
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