Eure-et-loir

Eure-et-loir

Eure-et-Loir

Le département d'Eure-et-Loir est un département français. C'est l'un des six départements formant la région Centre et son chef-lieu départemental est Chartres.

Il tire son nom des deux principales rivières qui le traversent, l'Eure, affluent de la Seine, et le Loir, affluent de la Sarthe[1]. L'Insee et la Poste lui attribuent le code 28.

Eure-et-Loir
Logo 28 eure et loir.jpg
Localisation de en France
Administration
Région Centre
Préfecture Chartres
Préfet de département Jean-Jacques Brot
Président du
conseil général
Albéric de Montgolfier (UMP)
Sous-préfecture(s) Châteaudun
Dreux
Nogent-le-Rotrou
Statistiques
Population totale 421 114 hab. (2006[2])
Densité 71 hab./km2
Superficie 5 880 km2
Subdivisions
Arrondissements 4
Cantons 29
Intercommunalités 28
Communes 403

Sommaire

Histoire

Le département a été créé à la Révolution française, le 4 mars 1790 en application de la loi du 22 décembre 1789, à partir, principalement, de parties des anciennes provinces de l'Orléanais (Beauce) et du Maine (Perche), mais aussi de l'Île-de-France (Drouais, Thimerais, Vallée de l'Avre, Hurepoix).

L’actuel département d'Eure-et-Loir correspond à la partie centrale du territoire des Carnutes dont Chartres était la capitale, sous le nom d’Autricum. Les Carnutes sont célèbres surtout pour leur lien, réel ou présumé, à la religion gauloise. C'est en un locus consecratus, dans la mythique « forêt des Carnutes », que les druides auraient tenu leur réunion annuelle. Au nord du département, le peuple gaulois des Durocasses avaient pour capitale Dreux.

Au Moyen Âge, le territoire actuel du département est dominé par la ville de Chartres. Elle se développe grâce à la culture des riches terres de Beauce (marché au blé) et à sa vocation religieuse due notamment à la présence de la relique du Voile de la Vierge (don de Charles-le-Chauve en 876). Sur l'impulsion de Fulbert de Chartres, elle sera le berceau d'une renaissance intellectuelle avec la fondation de l'École de Chartres. Au nord, Dreux, la vallée de l'Avre et le Thimerais, de même que le Comté du Perche à l'ouest, constituent des postes avancés des rois de France face aux ducs de Normandie. Les terres d'Eure-et-Loir, par leur intérêt stratégiques, sont donc très tôt ancrées dans la mouvance capétienne et progressivement rattachées aux anciennes provinces de l'Orléanais et de l'Île-de-France.

Durant la Guerre de Cent Ans, le territoire du département sera au centre de plusieurs conflits, en raison de sa proximité avec Paris et Orléans. Le traité de Brétigny, qui mit fin provisoirement à la guerre y sera signé près de Chartres.

À partir de la Renaissance, l'Eure-et-Loir devient également une région prisée par les rois de France pour y installer leurs favorites : Diane de Poitiers (Anet), puis Madame de Maintenon ou encore la marquise de Pompadour (Crécy-Couvé).

Le département est également marqué par la présence de Maximilien de Béthune, duc de Sully, décédé en son château de Villebon et inhumé à Nogent-le-Rotrou.

À la Révolution, il est dans un premier temps envisagé de créer un département beauceron. La Beauce a en effet l'avantage de n'avoir jamais été une province sous l'Ancien Régime. Sa dimension essentiellement géographique et non politique s'inscrivait donc parfaitement dans l'idéologie révolutionnaire. Ce projet sera principalement mis en échec par la volonté du roi de ne pas voir scindé en un nombre trop important de départements ses possessions franciliennes. La création du département dans sa configuration actuelle tient également aux résistances des terres du Thimerais et du Drouais à se voir agrégées à celles de l'ancienne Normandie et à l'impossibilité de conserver au Perche son unité, en partie pour des raisons politiques (ancien comté), et surtout à cause de l'absence d'une ville suffisamment importante pour se prévaloir du rang de chef-lieu de département. Chartres, avec entre-autres le général François Séverin Marceau, l'abbé Sieyès ou encore Brissot de Warville, chef de file des Girondins, donnera plusieurs grands hommes à la Révolution.

Au XIXe siècle, le nord du département connaît une forte industrialisation, avec notamment les imprimeurs Firmin Didot et les manufactures textiles des Waddington. Chartres conserve essentiellement sa vocation commerciale grâce à son important marché au blé et au commerce de la laine des nombreux élevages de moutons, dont la foire de Châteaudun est aussi un haut lieu. Le Perche qui s'est peu développé, et a connu une notable émigration vers le Québec les siècles précédents, devient une terre de nourrices réputées pour leur qualités maternelles auprès des familles aisées de Paris. Dreux deviendra également une ville industrielle, en particulier après la crise du phyloxera qui mettra définitivement à bas les vignes qui en faisaient la richesse. Le département est durement touché par la Guerre de 1870, avec la bataille de Loigny et l'incendie de Châteaudun par les troupes prussiennes.

Au XXe siècle, le département devient de plus en plus économiquement lié au développement de la région parisienne. Chartres et Dreux profitent pleinement de cette proximité avec l'implantation de plusieurs grandes entreprises (dont les futurs établissements de Philips), pendant que la vallée de l'Eure qui les relient devient un lieu de villégiature avec la construction de nombreuses résidences secondaires. Durant la Seconde Guerre mondiale, le département est marqué par son préfet Jean Moulin qui y fera son premier acte de Résistance face à l'occupant. La ville de Chartres est partiellement détruite par un bombardement en 1944 qui toucha particulière sa bibliothèque. La ville de La Loupe fut quant à elle presque totalement sinistrée. Après-Guerre, l'est du département intègre progressivement l'aire urbaine de Paris, les cantons d'Anet, Maintenon et Nogent-le-Roi, voire d'Auneau, devenant intimement liés à ceux du département des Yvelines limitrophes.

En politique, le département sera la terre d'élection et le berceau de plusieurs grandes figures des IIIe et IVe républiques : William Henry Waddington (ministre de l'instruction publique en 1873 et 1877), Maurice Viollette (ministre d'État sous le Front populaire), Paul Deschanel (président de la République en 1920), Maurice Bourgès-Maunoury (président du Conseil en 1957).

Au tournant des années 1980, Dreux deviendra une ville politiquement singulière en élisant comme maire en 1977, puis députée en 1981, Françoise Gaspard, l'une des premières femmes politiques ayant assumé publiquement son homosexualité, puis en étant le théâtre d'une alliance en 1983 entre la droite locale et le Front national mené par Jean-Pierre Stirbois, dont la veuve sera élue députée en 1989.

Blason

Blason non officiel.

Le blason (non officiel) du département d'Eure-et-Loir a été créé à partir de ceux du Comté du Perche (partie occidentale du département) et de l'Orléanais.

Politique

Département de tradition radicale-socialiste, l'Eure-et-Loir est aujourd'hui dominé par la droite.

À droite

Logo du Conseil général d'Eure-et-Loir

Le conseil général est à droite depuis 1986 et présidé depuis 2001 par Albéric de Montgolfier (UMP), à la tête d'une majorité de 19 membres sur 29.

Trois des quatre principales villes du département sont dirigées par des maires de droite :

Trois députés, Laure de La Raudière, Gérard Hamel et Jean-Pierre Gorges sont membres de l'UMP.

Les trois sénateurs d'Eure-et-Loir, Gérard Cornu, Albéric de Montgolfier et Joël Billard, sont également membres de l'UMP.

Quatre des cinq pays que compte le département sont dirigés par un président de droite : Gérard Cornu (Pays chartrain), Olivier Marleix (Pays Drouais - maire d'Anet), Martial Chevallier (Pays Beauce - maire du Puiset), Yani Pichard (Pays Perche d'Eure-et-Loir - maire d'Authon-du-Perche).

Le MPF compte de son côté deux conseillers municipaux à Chartres et plusieurs élus dans des communes rurales.

Au centre

Les centristes sont surtout présents dans le sud du département marqué par l'ancien président de la région Centre et député, Maurice Dousset, dont l'un des héritiers est Philippe Vigier député-maire Nouveau Centre de Cloyes-sur-le-Loir et président du Pays Dunois. Ils comptent également deux conseillers généraux (Marc Guerrini et Dominique Leblond).

Le MoDem compte plusieurs maires, dont Michel Scicluna à Auneau et un conseiller général, Jean-Pierre Gaboriau, également maire de Châteauneuf-en-Thymerais.

À gauche

La gauche, quant à elle, est présente dans plusieurs villes importantes :

Elle compte 10 conseillers généraux sur 29, dont le leader est Jacky Jaulneau (PS).

Voir aussi

Géographie

Carte d'Eure-et-Loir
Article détaillé : Géographie d'Eure-et-Loir.

Le département d'Eure-et-Loir fait partie de la région Centre. Le département s’étend au sud-ouest de l’agglomération parisienne et comprend plusieurs plateaux du Bassin parisien : au nord, le Thimerais ; à l’est, la Beauce ; au sud, le Dunois. Dans l’ouest du département, le relief s’élève et forme les collines du Perche, attenantes à la fois à la Normandie et aux Pays de la Loire. Le département a par ailleurs bénéficié de la création du Parc naturel régional du Perche. L'Eure et le Loir sont les principaux cours d’eau du département.

La forêt, avec près de 72000 hectares, est également présente :Senonches et Dreux abritant les massifs les plus importants. La vallée de l'Eure constitue également une trame verte et boisée qui contraste avec le plateau beauceron attenant. L'Eure-et-Loir est limitrophe des départements du Loir-et-Cher, du Loiret, de l'Essonne, des Yvelines, de l'Eure, de l'Orne et de la Sarthe.

Le Perche-Gouët marque la transition entre la Beauce et le Perche.

Géologie [3]

Schématiquement, quatre « régions » partagent le département: Le Perche, au Sud-Ouest; le « Faux Perche », à sa marge ; à l'Est et au Sud, la Beauce, avec la « Beauce chartraine », autour de Chartres ; et au Nord-Ouest on trouve le Drouais-Thimerais (autour de Dreux et de Châteauneuf-en-Thymerais). Le relief et la disposition des cours d’eau dans le Perche et en Beauce peuvent se déduire à partir d’une carte.

La répartition des cours d'eaux

La répartition des cours d'eau est différente : il y en a plus au Sud-Ouest, dans le Perche qu'en Beauce. S'il y a une petite différence de la pluviométrie, elle ne peut expliquer à elle seule cette disposition. Quoi qu'il en soit, on constate donc, que dans le Perche, l'eau ruisselle en surface et qu'en Beauce, ce n'est pas le cas. Elle s'infiltre : cela est du à une différence au niveau des roches du sous-sol. Le sous-sol du Perche est plutôt du sable et du grès, avec de l'argile à silex, et le sous-sol de Beauce, est lui, plutôt constitué de calcaire.

Le sous-sol du Perche

Concernant la géologie du Perche, la structure actuelle serait en lien avec la formation des Alpes. Lors de cet événement, les roches sédimentaires se sont plissées et cela a formé un bourrelet (anticlinal) dans la région du Perche. En effet, comme les roches du Massif armoricain sont « rigides » (il s'agit surtout de granite), elles se sont comportées comme un « mur » contre lequel se sont bloquées les roches sédimentaires du bassin parisien, donc du Perche. Le Perche se retrouve donc plus haut que la Beauce. D’autre part, les anciennes failles hercyniennes (ici du Massif Armoricain) ont rejouées et permis l’affaissement du sommet du bourrelet. Ainsi, actuellement, la zone centrale est de l’argile à silex et autour, on trouve du sable ou du grès. La présence d'argile, de grès ou de sable permet somme toute, à l'eau de ruisseler et de se rassembler en cours d’eaux. La pluviosité est relativement importante (700 mm).

Le sous-sol de la Beauce

Dans le calcaire de Beauce, on trouve des fossiles, notamment, des planorbes et des limnées (des espèces d’eau douce – qui existent toujours -) : il y avait donc un lac en Beauce, c’est lui qui a permis la formation de ce calcaire. On trouve aussi de l’argile à silex, par décalcification du calcaire (qui n’était donc pas pur). Le calcaire s’est dissout, l’argile et les morceaux de silex sont restés. Ainsi, en Beauce, le calcaire se dissout facilement et permet à l’eau de ruissellement de s’infiltrer et il n'y a pas (ou peu) de rivières. De plus, la pluviosité est relativement faible (500 mm).

Le relief

Le relief est différent au Sud-Ouest, et au Nord et Nord-Est: vallonné dans le Sud-Ouest, relativement plat au Nord et au Nord-Est.

  • D'une part, l'érosion (l'eau) a creusé des vallées dans le Sud-Ouest, donc des reliefs.
  • Dans le Nord et le Nord-Est, l'eau a « ramollie » la roche et a donc permis que la surface soit plate : c'est du calcaire plus ou moins argileux (en fait, le calcaire est naturellement dissout par l'eau de ruissellement qui est enrichie par du dioxyde de carbone rejeté par les êtres vivants du sol, et au final, cela peut former des « trous » ou des « fissures », appelées diaclases). Ainsi, l'eau s'infiltre relativement rapidement en profondeur (sans vraiment ruisseler) pour rejoindre la nappe phréatique retenue par les couches plus profondes et imperméables.

L'habitat en lien avec la géologie

Les constructions anciennes montrent en général le contenu du sous-sol : en Beauce, les anciennes maisons sont en calcaire, dans le Perche, elles sont en torchis, en conglomérat appelé « grison » (morceaux de silex cimenté par du calcaire et de l'argile), en brique et en grès « roussard » (il est de couleur rousse, car assez riche en fer oxydé : la rouille).

Ces constructions sont aussi en lien avec l'activité agricole.

Dans le Perche

Les fermes sont allongées (maison d’habitation que l’on agrandit avec le temps, lorsque les besoins s'en font sentir ou lorsqu'il y a suffisamment d'argent...) : on les appelle « longère » ; les champs sont délimités par des haies. Les animaux sont « parqués » par ces haies. [4]

En Beauce

Les cours des fermes sont fermées, mais les champs sont ouverts (open field). Cela permet de maintenir les animaux d’élevages dans la cours.

L'évolution du paysage

Il y a eu une diminution du nombre de parcelles (donc une modification du paysage), en Beauce et dans le Perche suite au remembrement entre le XIXe siècle et 1980, pour accroitre la surface et permettre l’utilisation du matériel agricole.

Climat

Le département présente un contraste climatique entre sa partie ouest et sud-ouest, humide et bocagère (qui fait partie du Perche) et sa partie sud et est, beauceronne, qui fait partie des régions les moins arrosées de France, avec le Haut-Languedoc.

Économie

Article détaillé : Économie d'Eure-et-Loir.

L'Eure-et-Loir est un département de tradition agricole (Beauce) mais aussi en pointe dans trois filières économiques :

  • la Cosmetic valley (pôle de compétitivité), qui constitue le premier pôle français de l'industrie de la beauté et du bien-être (parfums/cosmétique), avec de grands noms comme Guerlain, Paco Rabanne, Lolita Lempicka, JC Castelbajac, Jean-Paul Gaultier...
  • l'industrie pharmaceutique, autour de Dreux et Polepharma, qui regroupe les entreprises du secteur comme Leo Pharma, Ipsen, Novo Nordisk...
  • l'industrie agro-alimentaire, promue par Agrodynamic (pôle d'excellence rurale), avec deux entreprises importantes du secteur  : Ebly à Châteaudun et une filiale Andros à Auneau.
  • l'industrie et l'artisanat du bois et de l'ameublement autour de l'association Perchebois.
  • l'industrie du caoutchouc et des matières plastiques, à travers le pôle de compétitivité Elastopole.
  • Industrie mécanique OCTÉ

Lien externe : NouveauCIEL.com, site officiel du Comité de développement économique d'Eure-et-Loir (CODEL)

Démographie

Les habitants d'Eure-et-Loir sont les Eurélien(ne)s.

L'évolution démographique du département, bien que positive, cache des contrastes importants selon les secteurs

L'Est du département, dans la zone d'influence directe de Paris, bénéficie depuis quelques années, de l'arrivée conséquente d'une nouvelle population poussée hors de l'Île-de-France par la pression immobilière et à la recherche d'un cadre de vie plus provincial.Les agglomérations de Chartres et de Dreux, bien desservies en transports et en infrastructures, sont au cœur des bassins de vie les mieux pourvus.

À l'Ouest : le Perche et son cadre bucolique s'est revitalisé depuis la création du Parc naturel régional en 1998 grâce à une population plus touristique et aisée, en quête d'une résidence secondaire

Le Centre et le sud du département connaissent une évolution moins favorable. Si la région de Courville-sur-Eure, reliée à Paris et Chartres par le rail et proche de l'autoroute A11 se maintient bien, les secteurs de Châteaudun et d'Illiers-Combray, mal desservis, subissent un solde démographique nul, voire négatif.

Évolution démographique
1801 1821 1851 1891 1911 1921 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
257 263 264 218 294 662 284 272 271 880 251 085 277 394 302 064 335 151 362 873 393 076 407 665 421 114
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Histogramme
(Élaboration graphique par Wikipédia)

Lien externe : Revue Population et Avenir - Numéro hors série consacré à l'Eure-et-Loir (2002)

Culture

Personnalités

Hugues Capet
Henri IV
Diane de Poitiers
Sully
Saint-Simon
Madame de Maintenon
Sieyès
Marceau
Louis-Philippe
Marcel Proust
Hélène Boucher
Chaïm Soutine
Paul Deschanel
Jean Moulin
Stéphane Grappelli
Rhoda Scott
Jean Todt
Anna Gavalda
Guillaume Pépy

Moyen Âge

Renaissance

Époque moderne

Révolution française

XIXe et XXe siècles

Arts et lettres

Sciences

Religion

Armées

Sports

Culture, arts décoratifs, cinéma et médias

Politique

Entreprises

Tourisme

Article détaillé : Tourisme en Eure-et-Loir.

Communes ayant plus de 10% de résidences secondaires

Selon le recensement général de la population du 8 mars 1999, 9.2% des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires.

Ce tableau indique les principales communes de l'Eure-et-Loir dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10% des logements totaux.

Médias

Sports

Principaux clubs eureliens :

  • Football

masculin

  • FC Drouais évoluant pour la saison 09/10 en CFA2 groupe A (http://www.fcdrouais.fr/)
  • FC Chartres évoluant pour la saison 09/10 en DH (http://fcchartres.com/)
  • Amicale de Lucé évoluant pour la saison 09/10 en DHR (www.amicaledelucefootball.fr/)
  • OC Chateaudun évoluant pour la saison 09/10 en DHR (foot-chateaudun.org)
  • HB (Horizon Beaulieu) Chartres évoluant pour la saison 09/10 en DHR


  • Rugby

masculin


  • Basket-ball

feminin

masculin


  • Handball

feminin

masculin


  • Volley-ball

feminin

masculin


  • Tennis de table

masculin


  • Tennis

masculin

Notes et références

  1. On le rencontre parfois écrit Eure-et-Loire, ce qui est une erreur d'orthographe car le Loir est un affluent de la Sarthe tandis que la Loire est le fleuve bien connu (qui ne passe nullement en Eure-et-Loir, mais une cinquantaine de kilomètres au sud).
  2. [1] INSEE - Populations légales 2006.
  3. partie construite à partir des connaissances présentées au Compa, devant des élèves de 5° de collège
  4. Certaines habitations construites un peu plus tard sont fermées, comme celles construites en Beauce et présentées ci-dessous.
  5. voir Article de Jean Mesqui publié en 1980 par la Société archéologique d'Eure-et-Loir [http://www.mesqui.net/Articles_fortif/pdf/alluyes-et-bois-ruffin.pdf Alluyes et Bois-Ruffin. Deux donjons du XIIIe siècle
  6. Capital.fr Les petits secrets de Guillaume Pepy, nouveau président de la SNCF 21/02/2008 - site consulté le 16/11/2008
  7. [2] À partir du 4 décembre 2008 - brève sur le site intensite.net

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes


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48°20′N 01°25′E / 48.333, 1.417

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