Clos saint lazare

Clos saint lazare

Stains

Stains
Pays
drapeau de la France
     France
Région Île-de-France
Département Seine-Saint-Denis
Arrondissement Saint-Denis
Canton Stains
(chef-lieu)
Code Insee 93072
Code postal 93240
Maire
Mandat en cours
Michel Beaumale (PCF)
2008-2014
Intercommunalité Plaine Commune
Coordonnées
géographiques
48° 57′ 00″ Nord
       2° 23′ 00″ Est
/ 48.9500, 2.3833
48° 57′ 00″ N 2° 23′ 00″ E / 48.9500, 2.3833
Altitudes moyenne : 46 m
minimale : 21 m
maximale : 61 m
Superficie 5,39 km² (539 ha)
Population sans
doubles comptes
34 670 hab.
(2006)
Densité 6 432 hab./km²
Gentilé Stanois
Carte de localisation de Stains
Commune de la Seine-Saint-Denis (93)
Seine-Saint-Denis-Position.svg Localisation du département en France

Stains est une ville de la Seine-Saint-Denis (93), dans la région Île-de-France, membre de la Communauté d'agglomération de Plaine Commune.

Ses habitants sont les Stanois(es).

Sommaire

Géographie

Ancienne borne routière de la RN 301, rue Carnot
Plan à l'usage des livreurs, début du XXe siècle.
On y distingue clairement le réseau hydrographique de la commune, ainsi que le tracé du tramway"SdS" venant de Saint-Denis par le Carrefour du Globe. La RN 301 passe encore par la rue Carnot

La ville est située en banlieue nord de Paris, entre le centre de la capitale (14 km) et l'Aéroport Paris-Charles-de-Gaulle (16 km) sur la Route nationale 301.

Elle est aisément accessible par la sortie sortie 4 de l'autoroute A1

La commune fait partie de la Plaine de France.

Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[1], la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de la Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais à la Seine-Saint-Denis après un transfert administratif effectif le 1er janvier 1968.

Communes voisines

Économie

Nombre d’emplois : 6 805 (dont 40 % occupés par les Stanois.)

La ville compte 494 entreprises. Les principales sont Carrefour (hypermarché du Globe, avec 395 salariés), la clinique de l'Estrée (320 salariés) et Kremlin-Rexon (groupe Exel Industries (fabrication d'équipements de pulvérisation de produits liquides, 250 salariés)[2].

Secteurs d'activités

  • Industrie-BTP : 37,7 %
  • Tertiaire : 62,3 %
  • Commerces : 334

Une zone franche urbaine a été instaurée sur la commune de Stains, et concerne notamment la ZAC du Bois-Moussay.

Transports en commun

Le tramway desservait Stains depuis Saint-Denis
L'ancienne gare de Grande Ceinture
La station RER de Pierrefitte-Stains autrefois...

Hier : le tramway et la Grande Ceinture

  • La ligne Paris - Creil (RER D actuel) a une gare qui dessert à la fois Pierrefitte et Stains depuis la seconde moitié du XIXe siècle. En 1896, cette station était desservie par 13 trains allant sur Paris et 14 trains allant vers Creil, entre 5 heures du matin et minuit et demi.
  • La Grande Ceinture est une ligne de chemin de fer qui fait le tour de Paris depuis 1880 environ. Elle a accueilli des voyageurs jusqu'en 1939, et avait une gare à Stains. En 1896, cette gare était desservie par quatre trains par jour dans chaque direction.
  • Un tramway électrique fut exploité à partir du 1er juin 1910 entre Saint-Denis et la Place de Vatry à Stains. Elle portait le nom de ligne sDS des TPDS, puis, après leur fusion dans la STCRP, ce fut la ligne 79.
    La ligne a été prolongée du Barrage de Saint Denis à la Porte de la Chapelle le 26 janvier 1923, mais pour une faible durée : le terminus fut ramené au barrage de Saint Denis le 5 novembre 1923, avant la suppression complète de la ligne le 9 décembre 1935.

Aujourd'hui

La ville est desservie par les bus RATP suivants :

Les stations du RER les plus proches sont :

Le (M)(13) est accessible par :

Le (BUS) RATP 252 amène les stanois vers la Porte de la Chapelle (M)(12) ou la gare de Garges - Sarcelles (RER)(D )

Demain

Le prolongement du métro

Le prolongement de la ligne 13 du métro à Stains est demandée de longue date par les habitants et leur municipalité.

Il s'agirait de prolonger la ligne de Saint-Denis Université à La Cerisaie, où il serait en correspondance avec la Tangentielle Nord, avec une station intermédiaire au Globe

Toutefois, compte tenu de la saturation de la ligne 13, ce projet ne peut être réalisé avant que l'une des 2 branches de la ligne soit déconnectée, soit en en faisant une ligne autonome qui aurait son terminus à Saint-Lazare, soit en la raccordant à la ligne 14 (Météor).

La Tangentielle Nord

La Tangentielle Nord reliera Sartrouville à Noisy-le-sec par la création de nouvelles voies pour les voyageurs le long de la Grande Ceinture. L'ouverture de la première tranche (Epinay sur Seine RER - Le Bourget RER) est escomptée en 2014.

Deux gares de la tangentielle desserviraient la ville : Pierrefitte Stains et une gare créée à La Cerisaie, en correspondance avec le prolongement du métro.

Le TGV

Dans le cadre d'un projet de liaison TGV entre la Normandie (Cherbourg et Caen) et l'aéroport de Roissy, une gare TGV est envisagée à Stains, sur la Grande Ceinture.

Elle ne serait desservie que par quelques trains par jour, qui circuleraient à la vitesse autorisée sur la Grande Ceinture, c'est-à-dire lentement.

Historique

La rue Romaincourt, au début du XXe siècle
La rue Jean-Durand, au début du XXe siècle

Stains apparaît sous le nom de Setenis au XIIe siècle, Sextanis ou Stannisau XVe siècle, Stains en France en 1492. Le nom pourrait provenir de Stagna (lieu submergé) ou de Pays de Sexlius, du nom du propriétaire au IVe sicle[3].

La communauté érigée en paroisse indépendante en 1213 par distraction de la paroisse de Saint-Léger, par une charte de l'abbaye de Saint-Denis.

  • Commanderie de templiers au XIIIe siècle.
  • Seigneurie au XVe siècle :
    • de Jacques de Saint-Benoît, chambellan de Louis XI ;
    • de Nicole Poussin, avocat au Parlement ;
    • de Jean Ruzé, ministre des finances de Louis XII.
  • Seigneurie de Thou au XVIe siècle.
  • Achille de Harlay en devint propriétaire au début XVIIe siècle et y fit construire un château.
  • Seigneurie en 1740 de Benoît Dumas, directeur de la Compagnie des Indes.
  • Pendant la révolution, le cahier de doléance de la paroisse réclame l'égalité devant l'impôt, la suppression du privilège de la chasse, la gratuité de l'école et des soins pour les indigents.

L'industrialisation de la commune a débuté sous le Second Empire et s'est fortement développée durant la première moitié du XXe siècle, avant de décroître très fortement à partir des années 1970.

Stains eut beaucoup à souffrir de la guerre de 1870 qui provoqua la destruction du château et du parc.

Le site a inspiré Maurice Utrillo.

Population

Tableau démographique

Évolution démographique
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 080 987 809 829 946 936 993 1 046 932
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 038 1 280 1 571 1 448 1 577 1 868 2 288 2 500 2 707
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 959 3 102 3 584 5 641 10 081 14 539 17 604 18 382 19 028
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 - -
27 503 32 169 35 545 36 079 34 879 32 839 34 670 - -

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Sources : [4],[5]

Logement

Selon le recensement de 1999, la ville compte 11 598 résidences principales, dont 3 197 occupées par leur propriétaire.

La ville compte 6.849 logements HLM [6], gérés essentiellement par les bailleurs suivants :

  • OPHLM départemental de la Seine-Saint-Denis : 5 456
  • OPIEVOY : 532
  • Icade : 441
  • Société immobilière 3F : 621
  • SA HLM plaine de France : 463
  • Sageco : 136
  • SODEDAT-93 : 30
  • France-Habitation (ASTRIA): 111
  • SOFILOGIS : 32
  • La Résidence Urbaine de France : 90 [7].

Politique de la ville

La ville comprend une zone franche urbaine, dans le secteur du Bois Moussay, et trois ZUS : le Clos Saint-Lazare, Allende et le Moulin-Neuf.

La Municipalité et Plaine Commune ont conventionné avec l'ANRU des projets de rénovation urbaine portant sur la Cité Jardin (53 million d'euros), le Clos Saint-Lazare et Allende (173 millions d'euros) et Moulin Neuf (9 millions d'euros). Cette convention succède au GPV qui les concernait antérieurement.

La restructuration du Clos Saint-Lazare

Le Clos Saint-Lazare, vu de l'ouest

Le Clos Saint Lazare est la plus grande cité de la ville de Stains, avec ses (2 257 logements abritant 10 000 à 12 000 habitants) répartis dans 28 bâtiments d'habitat collectif, comptant 2 193 logements et 60 pavillons.


Le quartier du Clos Saint-Lazare est situé au sud-ouest de la ville, à 5 mn à pied du centre ville. Il occupe une superficie de 29 hectares.

Sous la direction de l'architecte coordinateur Clément Tambuté, ce grand ensemble a été réalisé sur des terrains maraîchers entre 1966 et 1970 par l'OPHLM de la Seine qui l'a géré jusqu'en 1982. Depuis, l'ensemble de la cité et du foncier est la propriété de l'ODHLM de la Seine-Saint-Denis (OPH de Seine Saint Denis depuis le passages des offices HLM en établissement public à vocation Industrielle et Commerciale, EPIC, en 2008).

Après une première réhabilitation dans les années 1980, la ville de Stains, en partenariat avec l’ODHLM départemental de la Seine-Saint-Denis et l’État, a entrepris depuis 1999 de transformer le quartier du Clos Saint-Lazare au moyen d'un ample projet urbain conventionné avec l'ANRU comprenant notamment la réhabilitation de 1277 logements, la démolition de 524 logements avec construction d'un même nombre de logements et la reconstruction d'un groupe scolaire[8].

Administration

Le Château de Stains, après les batailles de la Guerre franco-allemande de 1870
La légende du document original indique « En vain, le quartier général (prussien) essaya-t-il de s'installer au Château de Stains, dans cette belle résidence de la famille de Vatry qu'on voit trouée et démolie en partie : force fut aux prussiens, devant les obus de nos forts, de le transférer à Enghien.
Le 15 janvier
(1871) seulement, l'ennemi réussit à implanter une batterie à la Butte-Pinson, sur le flanc de la colline voisine de Stains. C'est de là que commença le bombardement de Saint-Denis. Jusque-là, l'artillerie du Général Bellemare avait pu paralyser le feu de l'ennemi »
Une vue d'un Stains encore rural, au tout début du XXe siècle
Derrière ce champ moissonné, une vue panoramique des lotissements de Stains (avant 1920)
Dès la fin du XIXe siècle se construisent des lotissements à Stains, tels celui-ci, qui est manifestement mal viabilisé : le chemin n'est que de la boue.

Situation administrative

Stains est constitué d'un unique canton dont il est le chef-lieu.

La ville fait par ailleurs partie de la communauté d'agglomération Plaine Commune.

Liste des maires successifs

Liste des maires successifs de Stains[9]
Période Identité Parti Qualité
1996 Michel Beaumale PCF Réélu pour le mandat 2008-2014
1977 1996 Louis Pierna PCF
1945 1977 Louis Bordes PCF
1941 1944 Edmond Podeur
1939 1941 Henri Bouveyron
1935 1939 Jean Chardavoine PCF
1929 1935 Henri Remond
1921 1929 Michel-Léon Brochet
1919 1921 Marc Disset
1917 1919 Charles Paty
1903 1919 François Begue
1902 1903 Auguste Comparois
1896 1902 Charles Solon
1890 1896 François Begue
1890 1890 Léopold Lecuyer
1888 1889 Georges Langlois
1878 1888 Jean-Pierre Aubert
1878 1878 Ernest Cerf
1865 1878 Nicolas Grivot
1860 1865 Pierre Bonnemain
1858 1860 Jean-Baptiste Cayron
1852 1857 Ferdinant Aubert
1847 1852 Alphée De Vatry
1830 1846 Toussaint Beaudoin
1824 1829 François Bernanada
1814 1824 Louis-Claude Bonnemain
1794 1814 Antoine Garde
1793 1794 François, Gérome Crocquefer
1789 1793 Jean-Louis Veilly

Élections

Pour les échéances électorales de 2007 Stains fait partie des 82 communes[10] de plus de 3500 habitants ayant utilisé les machines à voter, ce qui ne fut pas le cas pour les municipales de 2008.

Lors de ces dernières, la liste conduite par Michel Beaumale, maire sortant PCF a été élue dès le premier tour avec 53,4 % des suffrages exprimés[11].

Le Conseil municipal du 15 mars 2008 a donc réélu Michel Beaumale maire de Stains pour le mandat 2008-2014[12]

Sites et monuments

La mairie de Stains dans les années 1920
  • Une partie de la ville est située sur le Parc de La Courneuve.
  • Le château de Stains, construit par Arnaud-Claude Mottet au XVIIIe siècle, a été gravement endommagé pendant la guerre de 1870. En subsistent certains communs, dont les écuries, acquises par la commune en 1883, et qui abritent depuis l'Hôtel de Ville de Stains. Le parc du château, acquis par l'Office départemental d'HBM de la Seine (OPDHBMDS), a été loti pour devenir la Cité-Jardin.
  • Mairie. – Le 5 avril 1883, le conseil municipal vota l’acquisition des écuries et remises de l’ancien château de Stains, dont la famille Hainguerlot était propriétaire, comme héritière de Mme de Vatry. La vente eut lieu au prix de 33 000 francs. La restauration, exécutée en 1884, coûta 30 000 francs.
    Le bâtiment est situé avenue Hainguerlot, presque à l’angle de la rue Carnot. La superficie du terrain est de 28 ares 71 centiares. Il est composé d’un corps de logis avec cinq immenses fenêtres en façade, en retrait avec deux ailes reliées par une grille monumentale.
La porte monumentale est tout ce qui subsiste du Château de la Motte
Détail du fronton du Château de La Motte
  • Le château de la Motte a été détruit en 1819, et il n'en subsiste que le porche, réalisé en style rocaille par René Douin vers 1740.
  • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Stains a été construite dans la seconde moitié du XVIe siècle. Elle a été peinte par Maurice Utrillo dans le tableau Église de Stains (huile sur toile, 74 x 90 cm, Galerie Pétridès, c. 1930).
    Elle abrite un maître-autel et un retable classés monuments historiques. L'édifice a été fermé au public en 1995 a cause de risques d'écroulement. Malgré de nombreux mouvements des fidèles stanois, aucun projet de rénovation n'était encore prévu en 2006 à cause du coût élevé des travaux (7 millions d'euros) et du manque de ressources de la ville.
La Cité-Jardins
L'Église Notre-Dame-de-l'Assomption
  • La Cité-jardin de Stains, construite dans l'Entre-deux-guerres par les architectes Gonnot et Albenque à l'emplacement de l'ancien Château de Stains, afin de répondre à la demande de logements ouvriers, est une HBM dotée d'un confort important pour l'époque tout en conservant une architecture résidentielle.
    Aujourd’hui, elle appartient au patrimoine national et est inscrite à l’inventaire des sites pittoresques. Elle est souvent citée en référence par des architectes et urbanistes qui pensent qu’elle est l’une des plus belles et plus réussies de France.

Sa rénovation est menée par le bailleur et Plaine Commune.

  • La commune compte un patrimoine important de jardins ouvriers, notamment au nord de la rue du Moutiers.

Ville fleurie : 2 fleurs Ville fleurie.svg Ville fleurie.svg accordées en 2007 [13]

Principaux équipements

Santé

  • Clinique de l'Estrée

Enseignement

La commune accueille le Lycée Utrillo, ainsi que trois collèges et de nombreuses écoles

Culture

La salle de théâtre de la Cité-jardin, rénovée et rééquipée, sert de salle de théâtre, l'Espace Paul Éluard.

La ville dispose également d'une école de musique et de danse, d'une bibliothèque du réseau des médiathèques de Plaine Commune...

Jumelages

  • Italie Luco dei Marsi (Italie) depuis le 15 décembre 2000 : Collaboration multilatérale dans les domaines du sport, du tourisme, de l’environnement, du développement dans le domaine des NTIC, permettant la valorisation des richesses culturelles réciproques.
  • Drapeau du Royaume-Uni Cheshunt (Royaume-Uni) depuis 1965Modèle:Jumelage/Ville en lien rouge Modèle:Jumelage/Ville en lien rouge/Modèle Lien absent : Jumelage traditionnel
  • Drapeau de l'Allemagne Saalfeld (Allemagne) depuis le 4 mai 1964 : Jumelage pour des projets communs de paix et de collaboration entre les peuples allemand et français.
  • Drapeau de la Palestine Al Amari (Palestine) depuis le 15 janvier 1999Modèle:Jumelage/Ville en lien rouge Modèle:Jumelage/Ville en lien rouge/Modèle Lien absent : Coopération multilatérale avec le Camp de réfugiés palestiniens d'Al Amari (ou Am'ari) en Cisjordanie, en solidarité avec les forces de paix dans la région.
  • Cameroun Menguémé (Cameroun) depuis 2000Modèle:Jumelage/Ville en lien rouge Modèle:Jumelage/Ville en lien rouge/Modèle Lien absent : Accord de coopération portant sur la santé, l’éducation, l’assainissement, l’électrification rurale, la préservation de l’écosystème, le développement de l’agriculture, de l’élevage mais aussi de la culture, du sport et du tourisme.
  • Maroc Figuig (Maroc) depuis le 18 octobre 2002 Accord de coopération portant sur la citoyenneté des jeunes, les échanges culturels, la santé et la prévention, le développement local, l’urbanisme et l’environnement

Notes et références de l'article

  1. Journal Officiel, Loi n°64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne
  2. « Le guide des collectivités locales », dans "Bienvenue ! La Seine-Saint-Denis", édité par le Comité d'expansion (COMEX) de la Seine-Saint-Denis, Mai 2008 
  3. Source : Atlas du patrimoine du Pays de France, éd. par l'association du Pays de France-CDG, Juin 2006
  4. http://cassini.ehess.fr/ Population avant le recensement de 1962
  5. INSEE: Population depuis le recensement de 1962
  6. Source : INSEE, recensement général de la population de 1999
  7. Source : Site internet de la ville.
  8. Les 24 quartiers du CTRU de Plaine Commune sur le site de Plaine Commune. Consulté le 1er août 2008
  9. Liste des maires de Stains sur www.francegenweb.org
  10. La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr
  11. Résultats des élections municipales 2008 - 1er tour
    Votants 43,7%
    Exprimés 39,1%
    Liste Beaumale (PCF) - 53,4% des exprimés - 30 élus
    Liste Abdellali (UMP) - 36,1% des exprimés - 7 sièges
    Liste Teboul-Roques (PT) - 10,5% des exprimés - 2 sièges
    Source Le Parisien
  12. Source : site officiel de la ville
  13. Palmarès du concours Villes et villages fleuris - Seine Saint Denis. Consulté le 18 juin 2008

Voir aussi

Articles connexes

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Liens externes

Bibliographie

  • [pdf] Marc Couronné, La cité-jardin de Stains : Histoire d'un projet urbain et social, ed. Département de la Seine-Saint-Denis 2004, disponible en ligne ici
  • Benoît Pouvreau, Marc Couronné, Marie-Françoise Laborde, Guillaume Gaudry, Les cités-jardins de la banlieue du nord-est parisien, Éditions du moniteur, Paris, 2007, 143 p. (ISBN 978-2-281-19331-2)
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