Bourreau

Bourreau
Peine de mort
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Mort · Crime capital · Couloir de la mort · Exécution sommaire
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Application de la peine de mort (par pays)
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Bourreau tranchant la tête d'une condamnée (Exécution de Léonora Galigaï, 1617)

Un bourreau est une personne chargée d'exécuter les décisions de justice, quand elles consistent en des peines corporelles, et notamment la peine de mort.

Sommaire

Historique

En France du Moyen Âge à l'Ancien Régime, chaque province, chaque bailliage, voire chaque ville, disposait d'un exécuteur des basses oeuvres et des hautes oeuvres qui portait le nom de bourreau. Ainsi, les modes d'exécution, les hautes œuvres, et les techniques utilisées différaient d'une région à l'autre.

Les conditions de vie des « exécuteurs des hautes œuvres » (comme ils étaient parfois nommés) n'étaient guère enviables. À la fois craint et méprisé, le bourreau était souvent contraint de résider en dehors des villes, vivant en paria et exerçant fréquemment des métiers en rapport avec les cadavres et la mort (équarrisseur, croque-mort, fossoyeur, etc.). Toutefois, ils jouissaient des revenus de certaines taxes -ainsi du droit de havage et de la possibilité de revendre tout ou partie des corps des suppliciés (plus ou moins légalement) à des médecins, alchimistes et autres sorcières[réf. nécessaire].
En France, cette condition peu enviable restera ancrée dans les mentalités jusqu’au tout début du XXe siècle. En effet, sous la présidence d’Armand Fallières, l’absence d’exécutions pendant trois ans (entre 1906 et 1909) pendant lesquels les risques d’abolition de la peine capitale furent sérieuses, ceci allant à l’encontre de l’opinion publique d’alors, rendront finalement les bourreaux très populaires.

Face à cet ostracisme forcé, de véritables dynasties de bourreaux purent ainsi voir le jour (comme les Sanson, les Férey, les Deibler, les Rogis, les Pierrepoint, les Reichhart, etc…).

Cependant, dans certains pays, comme au Royaume-Uni ou au Canada, on désignait parfois le bourreau parmi les membres d'une paroisse, même si cela n'était pas son métier d'origine. Dans certaines villes anglaises, au Moyen Âge, la charge d'exécuteur revenait même spécifiquement aux jeunes mariés.

En France avant la Révolution

En France avant la Révolution, chaque bailliage disposait d'un exécuteur des basses œuvres et des hautes œuvres qui portait le nom de bourreau. Ainsi, les modes d'exécution, les hautes œuvres, et les techniques utilisées différaient d'une région à l'autre.
Dans l'Est de la France, le bourreau était souvent issu de métiers en rapport avec les cadavres et la mort tels que équarrisseur, tanneur, bourrelier voire croque-mort, fossoyeur, etc. et était surnommé le riffleur[1].
Au sud de la Loire, le bourreau était souvent un occasionnel surnommé le bingre par les bourreaux dynastiques.
Toutefois, devant le manque de volontaires, les magistrats faisaient appel, parfois, à d’anciens criminels qu’ils sortaient de prison pour leur éviter, en échange, la corde ou les galères.
En Île-de-France, les bourreaux étaient au service du roi qui leur délivrait des lettres de provision, les rendant propriétaires de leur office. Le bourreau devenait alors officier du roi et transmettant par la suite sa charge à ses propres enfants, se faisant ainsi l’impensable fondateur d’une dynastie appelée : les bourreaux dynastiques.

Outre les exécutions, le bourreau était chargé préalablement à leur exécution de tourmenter, de torturer les condamnés à mort.
A titre d'exemple, on trouve des quittances comme celle de Geoffroy Thérage, le bourreau de Jehanne qui indique outre sa rémunération, le travail effectué [2] . Il est à noter, que ce maitre persécuteur des hautes œuvres du Roy, au bailliage de Rouen, n'était sûrement pas différent de ses collègues qui officiaient dans les autres juridictions.
Pendant les 25 années de son office, il mit au pilori, traîna des suppliciés sur une claie, décapita, pendit, trancha des mains, écartela avant de pendre les 4 membres et de mettre la tête sur une lance etc. En 1432, il va ainsi décapiter, écarteler, pendre les membres et mettre la tête sur une lance 104 fois.

Dans de telles conditions, il est normal que le bourreau suscitait une telle horreur, qu’il vivait reclus, à l’écart des honnêtes gens qui fuyaient tous son contact. On refusait ses enfants dans les écoles, et les marchands rechignaient à lui vendre leurs marchandises. En ville, le pain du bourreau était posé, sur l’étal, à l’envers et personne n’y touchait.
Le bourreau percevait ses émoluments sur une grande quantité en nature des marchands des halles : c’était le droit de havage qui permettait au bourreau de prendre une certaine quantité de légumes, de viande, de poisson dans les paniers sur lesquels il étendait la main. Ce droit fut aboli en 1775.

En 1791, la torture préalable à l’exécution fut supprimée et les peines de mort furent alors uniformisées sur l’ensemble du territoire français : « Tout condamné à mort aura la tête tranchée ».

Article détaillé : Droit de havage.

En France depuis la Révolution

A partir de 1791, il n'y eut plus qu'un exécuteur par département.
D'après le Dictionnaire de l'administration française de 1877-1885[3], la loi du 13 juin 1793 établira d'abord un « exécuteur des arrêts criminels » par départements, chacun assisté de deux aides, sauf celui de Paris qui en avait quatre. Le bourreau était chargé « d'exécuter les arrêts prononçant la peine de mort ».

Sous l'Empire et sous la Restauration, leur nombre fut réduit pour les amener à un par cour d'appel dès le Second Empire.
En 1832, il fut également chargé « de pourvoir à l'entretien et à l'établissement des bois de justice » et il fut décidé de diviser par deux le nombre de bourreaux au fur et à mesure des mises à la retraite, et de supprimer les aides dans la plupart des départements.
En 1849, il n'y a plus qu'un « exécuteur en chef » par ressort de cour d'appel et un « exécuteur-adjoint » dans chaque département où ne siège pas une cour d'appel.
Enfin, en 1850, il fut décidé que l'exécuteur en chef serait seul habilité à procéder et que les adjoints ne seraient plus assignés à des départements mais simplement à l'assistance de l'exécuteur en chef.

Le décret d'Adolphe Crémieux du 25 novembre 1870 finira par uniformiser la charge en supprimant les bourreaux de province, ne laissant plus qu'un seul « exécuteur en chef » pour tout le territoire national, avec cinq « exécuteur-adjoints ». Seul le bourreau de Corse restera en fonction jusqu'en 1875. L'Algérie, alors française, gardant, quant à elle, une équipe d'exécuteurs qui lui sera propre, jusqu'à l'indépendance du pays.

Le bourreau n'était pas fonctionnaire, mais « agent contractuel de l'État ». Sa fonction ne paraissait pas sur les comptes de la nation, il ne percevait donc pas de salaire, mais des gages versés par le ministère de la Justice. Selon des estimations, un « exécuteur en chef » gagnait moins qu'une secrétaire, et ses « aides », moins que des balayeurs. Ainsi, le revenu que Marcel Chevalier tirait de sa fonction de dernier exécuteur en chef, était en 1979 de 40 833 francs annuels, soit l'équivalent de celui d'un ouvrier d'administration ou d'un employé de bureau. Il s'agissait là de la somme qu'il s'auto-attribuait sur les 180 000 francs que lui versait le ministère, le reste servant à entretenir les bois de justice et à payer ses adjoints. Comme ses prédécesseurs, il ne s'agissait pas de son métier principal, puisque lui-même était imprimeur typographe (et fut d'ailleurs élu « meilleur ouvrier de France » dans sa jeunesse). Chevalier disait lui-même « je travaille deux fois ». Entré en fonction en 1976, son contrat a été rompu en 1981.

Quant à la transmission de la charge, elle se faisait toujours par cooptation (en France tout particulièrement), privilégiant les liens familiaux, survivance du système dynastique en vigueur depuis des siècles dans la profession, même si, selon Jacques Delarue, les candidatures spontanées ne manquaient pas auprès du ministère de la Justice. À défaut de filiation familiale, l'administration en la personne du directeur du département des arrêts criminels du ministère de la Justice utilisait la règle de l'ancienneté parmi les adjoints pour désigner le nouvel « exécuteur en chef ».

Bourreau au XXIe siècle

L'existence d'un « bourreau » seul en droit de tuer contre rémunération comme on le voyait en France ou au Royaume-Uni a toujours suscité la révulsion de la population[4], même lorsque celle-ci soutient la peine de mort[5]. De ce fait les pays évitent de désigner une seule personne comme ayant aptitude pour commettre l'acte létal.

En Indonésie

Des balles à blancs sont reparties au hasard dans les fusils du peloton d'exécution.

Au Japon

Les exécutions sont mises en œuvre par une équipe de surveillants du couloir de la mort, ceux-ci quittant ce poste tous les trois ans pour éviter qu'ils ne tissent trop de liens affectifs avec les condamnés[6]. Trois ou cinq surveillants sont tenus de presser chacun en même temps un bouton ouvrant la trappe de la potence sans savoir lequel est actif. Les surveillants apprennent le jour même qu'ils vont devoir participer à une exécution et ne peuvent refuser, au risque de perdre leur emploi. Mais il reçoivent pour chaque exécution à laquelle ils participent, une prime d'environ 180€ en plus de leur salaire réglementaire[7].

En Chine

L'exécution de la peine de mort est une des activités des policiers parmi d'autres. Dans le cadre des exécutions par balles, ceux-ci sont assignés à un entrainement les deux jours précédant pour s'assurer que le condamné mourra bien du premier coup. Comme au Japon, ils ne sont pas volontaires mais tout de même récompensés pour cette activité[8].

Aux États-Unis

Aux États-Unis les équipes sont différemment composées selon les États, certains autorisent la participation de professionnels médicaux, d'autres non.

A titre d'exemple, la Californie en 2007 a publié son très détaillé protocole d'exécution par injection létale[9]. Celui-ci prévoit que le directeur préside lors de l'exécution, ainsi qu’à la commission désignant et contrôlant la compétence des membres de la Lethal Injection Team, au nombre de vingt minimum. Un adjoint du directeur et un surveillant du grade de lieutenant ou capitaine (The Lethal Injection Team Leader) assurent la direction effective de l'équipe. Celle-ci est divisée en quatre sous-équipes : l'équipe de sécurité composée de surveillants chargés du condamné et des témoins ; l'équipe intraveineuse chargée d'insérer les cathéters ; l'équipe d'infusion chargée de préparer et injecter les produits et l'équipe des archives. Chacun des membres de l'équipe doit être volontaire, avoir de bons antécédents, une bonne expérience et ne pas avoir travaillé dans le couloir de la mort depuis au moins un an. Les membres se réunissent tous les mois pour s'entrainer et effectuer une simulation d'exécution.

En Arizona, il a été révélé qu'un médecin employé pour superviser les exécutions en 2010 et 2011 était payé 18 000 $ pour chacune d'entre-elle. Il a même perçu 12 000 $ pour une exécution qui n'a pas eu lieu ayant été suspendue au dernier moment. [10]

En Arabie saoudite

Muhammad Saad al-Beshi, 42 ans à l'époque, a accordé une rare interview en 2003 au journal Arab News[11]. Il y explique qu'il a débuté comme exécuteur en 1998 et qu'il était particulièrement stressé ce jour-là car les exécutions ont lieu en public ; il déclare également qu'il est aujourd'hui le père comblé de sept enfants, qui l'aident régulièrement à nettoyer son sabre sanglant. Il est presque sûr que son fils aîné va lui succéder dans sa profession qui l'amène à administrer des coups de fouet et à procéder à des démembrements de mains ou de pieds. Il ne compte plus depuis longtemps ses exécutions et, en général, il va voir la famille de la victime du condamné pour déculpabiliser peu avant l'exécution (sauf pour les trafiquants de drogue et les "sorcières", car il n'y a pas de victime). Il participe à la formation de jeunes futurs bourreaux. Il exécute les femmes au pistolet ou au sabre selon leur désir[12],[13]. Un autre bourreau, Abdallah Al-Bishi, a lui aussi été interviewé à la télévision. Il y explique que les condamnés sont anesthésiés localement avant les démembrements et qu'il lui est déjà arrivé d'exécuter des gens qu'il connaissait[14].

Au Bangladesh

Les exécutions sont mises en œuvre par détenus "fiables" ayant reçu une formation à cet effet[15],[16].

En Inde

Au Zimbabwe

Bourreaux célèbres

En Allemagne

Au Canada

Aux États-Unis

En France

D'après l'Arbre généalogique des bourreaux français[18] :

Voir aussi:

  • Jacques Joseph Durand, le Bourreau assassin de Laval
  • Les exécuteurs en Algérie :
    • Jacques Baroux (de 1843 à 1847)
    • Nicolas Wolf (de 1847 à 1855)
    • Antoine Rasseneux (de 1855 à 1885)
    • Gustave Rasseneux (de 1885 à 1906)
    • Pierre Lapeyre (de 1906 à 1928)
    • Henri Roch (de 1928 à 1944)
    • André Berger (de 1944 à 1957)
    • Maurice Meyssonnier (de 1957 à 1958) avec son fils Fernand Meyssonnier comme premier aide
  • On peut également citer quelques aides-bourreaux dont certains passeront à la postérité[19]
    • Charles-Henri-Constant Desmorest, en 1805-1813
    • Charles-Nicolas-Lubin Jouenne, en 1807-1809
    • Pierre-Nicolas Jouenne, en 1811-1812
    • Henri-Clément Sanson, en 1811-1840
    • Joseph-Nicolas Fauconnier, en 1819-1823
    • Jean Dupont, en 1828-1854
    • Henri-Charles Desmorest, en 1830-1840
    • Jacques-Henri Ganier, en 1840
    • Nicolas Chtarque, en 1841
    • Jean-Pierre Guerchoux, en 1842
    • Louis-Marie-Dauphin Benoist, en 1842-1844
    • Jean-Pierre Piot, en 1843-1847
    • Jean-Jacques Vollmar, en 1844-1849
    • Eugène Férey, en 1847
    • Jean-François Heidenreich, en 1848-1849
    • Nicolas-Placide Doubleau, en 1853
    • Pierre-Alexandre-Roland Leroy, en 1853
    • Louis-Julien-Fortuné Leroy, en 1853-1862
    • Léon Richim, en 1860-1866
    • Aimé-Eugène Etienne, en 1862-1890
    • Jean-Emile Grosholtz, en 1866-1871
    • Louis-Antoine-Stanislas Deibler, en 1871-1879
    • Edouard-Matthieu Desfourneaux, en 1871-1900
    • Alphonse-Léon Berger, en 1872-1906
    • Adolphe-Désiré Deville, en 1879-1900
    • Anatole-Joseph-François Deibler, en 1882-1885, puis en 1890-1898
    • Eugène-Clovis Rogis, en 1900-1911
    • Louis Rogis, en 1905-1930
    • Jules-Henri Desfourneaux, en 1909-1939
    • Gaston Bernoux, en 1912-1958
    • Ernest Deschamps, en 1912-1921
    • Léopold-Charles-Emile Desfourneaux, en 1912-1926
    • André-Albert Obrecht, en 1922-1951
    • René-Henri Desfourneaux, en 1925-1934
    • Robert Martin, en 1930-1945
    • Henri Sabin, en 1930-1951
    • Julien Guyot, en 1934-1958
    • Georges Martin, en 1939-1951
    • Georges-Emile Obrecht, vers 1940
    • Gustave Galland, en 1944
    • Georges Perruchot, en 1951-1976
    • Georges Ribour, en 1957-1958
    • Marcel Chevalier, en 1958-1976
    • Raymond Navarre, en 1959-1960
    • René Cheny, en 1960-1981
    • Roger Deshaes, en 1960-

Au Royaume-Uni

  • William Calcraft (1800 - 1879), exécuteur pendant 45 ans, de 1829 à 1874, la plus longue carrière de bourreau dans l’histoire britannique.
  • William Marwood (1820 -1883), exécuteur de 1872 à 1883, fut dans les années 1870, le bourreau qui modernisa la technique de la pendaison, notamment par l’invention (selon les sources) de la méthode du Long Drop.
  • John Ellis (1874 - 1932), qui officia de 1901 à 1924.
  • Les Pierrepoint : dont le plus illustre représentant fut Albert (1905 - 1992). Il fut l'un des derniers exécuteurs officiels au Royaume-Uni (les dernières exécutions datent de 1964). Il fut considéré comme l'exécuteur britannique le plus "prolifique" du XXe siècle : il officia dans 450 pendaisons entre 1932 et 1956, soit 433 hommes et 17 femmes.
  • Harry Allen (1911 - 1992), l’avant-dernier bourreau britannique. Il officia de 1956 à 1960.
  • Robert Leslie Stewart (1918 - 1989), le dernier exécuteur du royaume, il procéda à six exécutions durant sa courte carrière de 1960 à 1964.

En Suisse

En Israël

  • Shalom Nagar, agent pénitentiaire, a une seule pendaison à son actif et non la moindre, celle d’Adolf Eichmann.

Notes et références

  1. Revue française de généalogie, n°170
  2. Geoffroy Thérage, le bourreau de Jehanne
  3. http://gallica.bnf.fr/Search?q=ex%C3%A9cuteur+en+chef+des+arr%C3%AAts+criminels&p=1&lang=fr&ArianeWireRechercheHaut=palette
  4. Dans Le Roi des Montagnes, Edmond About fait ainsi parler un Grec : « Il y a une grande différence entre un bourreau et un brigand. Le métier de bourreau est infâme ; la profession de brigand est honorée. Le gouvernement est obligé de garder le bourreau d'Athènes au fort Palamède, sans quoi il serait assassiné ; tandis que personne ne veut de mal à Hadgi-Stavros, et que les plus honnêtes gens du royaume seraient fiers de lui donner la main. »
  5. [1]
  6. [2]
  7. http://www.statesman.com/news/world/japan-offers-rare-look-into-its-execution-chamber-883882.html http://www.japansociety.org/a_secret_theater
  8. [3]
  9. Voir en ligne
  10. http://www.therepublic.com/mobile/view/story/2172e9b1bd2c466d85f67bea5b242c3c/
  11. (en)[4]
  12. (en)Mahmoud Ahmad, « Kingdom’s Leading Executioner Says: ‘I Lead a Normal Life’ », Arab News, 5.6.2003. Consulté le 31.8.2009
  13. Article repris sur kabylie.com
  14. http://www.youtube.com/watch?v=UxmBp23W6nc
  15. http://www.dailynews.lk/2005/05/07/wld03.htm
  16. http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5i1MQxq-w1Vf24b56n1IrmkwOmS5Q?docId=CNG.5401286171fb743cb62f987a5daff4a2.381
  17. Blazek, Matthias, Scharfrichter in Preußen und im Deutschen Reich 1866–1945, Stuttgart, ibidem, 2010 ISBN 978-3-8382-0107-8.
  18. Arbre généalogique des bourreaux français
  19. [5]

Bibliographie

  • Dictionnaire historique et anecdotique des bourreaux de Michel et Danielle Demorest; Collection Gens de Justice Maisons-Alfort, France [6]
  • Dictionnaire généalogique des familles des bourreaux de Michel et Danielle Demorest; Editions généalogiques de la Voûte [7]

Voir aussi

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Liens externes


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  • bourreau — BOURREAU. s. m. Exécuteur de la haute Justice. Mourir par la main du Bourreau. Mettre ou livrer un criminel entre les mains du Bourreau. Le valet du Bourreau. f♛/b] On dit d Un homme qui se fait payer d avance, qu Il se fait payer enbourreau; et… …   Dictionnaire de l'Académie Française 1798

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