Montélimar

Montélimar

44° 33′ 29″ N 4° 45′ 03″ E / 44.55805556, 4.750833333

Montélimar
Vue du centre ville depuis le château des Adhémar
Vue du centre ville depuis le château des Adhémar
Armoiries
Détail
logo
Administration
Pays France
Région Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Canton Montélimar-1
et Montélimar-2
(chef-lieu)
Code commune 26198
Code postal 26200
Maire
Mandat en cours
Franck Reynier
2008-2014 (UMP)
Intercommunalité Communauté d'agglomération Montélimar-Sésame
Site web Montélimar.fr
Démographie
Population 36 194 hab. (2008)
Densité 773 hab./km²
Aire urbaine 71 764 hab. (2008)
Gentilé Montiliens / Montiliennes
Géographie
Coordonnées 44° 33′ 29″ Nord
       4° 45′ 03″ Est
/ 44.55805556, 4.750833333
Altitudes mini. 56 m — maxi. 213 m
Superficie 46,81 km2

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Montélimar (en occitan classique Monteleimar [muⁿtelejˈmar]), surnommée « Portes de Provence », est une commune française située dans le département de la Drôme et la région Rhône-Alpes entre Valence et Avignon.

Ses habitants sont appelés les Montiliens et Montiliennes[1].

Sommaire

Géographie

Montélimar est situé dans la moyenne vallée du Rhône au confluent des rivières Jabron et Roubion sur les promontoires de Géry et de Narbonne d'où on contrôle toute la plaine de la vallée du Rhône.

C'est une cité touristique située aux portes de La Provence, voisine des Gorges de l'Ardèche et au pied du Vercors.

Par la route, elle est à environ 40 minutes de Valence, 1h00 d'Avignon, 1h30 de Lyon, de Marseille, de Grenoble, de Montpellier, des Alpes et de la mer Méditerranée.

Montélimar est la porte nord de la Provence. Son écosystème est un mélange de Dauphiné et de Provence.

Accès

Bien que ne passant pas sur la commune, l'autoroute la plus proche est l'autoroute A7, à l'est. Deux sorties, appelées Montélimar-Nord (sortie 17, sur la commune des Tourrettes et Montélimar-Sud (N° 18, sur la commune de Malataverne) desservent la ville.

Les routes nationales 7 et 102 passent sur la commune, et les routes départementales 6, 56, 73, 237, 540 et 540A convergent toutes vers le centre ville.

Communes limitrophes

Relief et géologie

Le bassin de Montélimar s'étend du défilé de Cruas-Meysse au nord jusqu'au défilé de Donzère au sud et sur la plaine de la Valdaine et ses contreforts.

Le point le plus haut de la commune est situé à l'est-sud-est du centre ville, en bordure de commune, à proximité du plateau de Bondonneau.

Sismicité

Hydrographie

Montélimar et le Rhône

Le canal de dérivation de Montélimar passe sur la commune entre le centre ville et le Rhône, lui-même en bordure à l'extrême ouest de la commune.

Parmi les cours d'eau qui traverse la commune, on peut noter le Roubion, le Meyrol, le Jabron ou encore le Manson.

Climat

Il est généralement admis par les géographes et climatologues que le défilé de Donzère (commune presque voisine au sud), long de près de 3 km, marque la limite septentrionale du véritable climat méditerranéen dans la vallée du Rhône en termes d'ensoleillement et de cultures.

Histoire

Préhistoire

La présence humaine à l'emplacement de Montélimar est très ancienne. Les premières traces sont un ensemble de silex taillés datant de -50000 ans (époque du moustérien).

Le site de Gournier est occupé à partir de -6000 (mésolithique). La civilisation chasséenne s'y développe à partir de -3600 ans. Gournier en est un des lieux marquants.

Antiquité

Inscription latine de Montélimar mentionnant les utriculaires de Lyon

Après l'arrivée des Celtes, Montélimar devient le territoire des Ségovéllaunes. La capitale de ce peuple celte est positionnée sur les deux promontoires de la ville : l'oppidum de Géry, lieu de l'ancien confluent du Jabron et de Roubion, et sur l'extrémité de la côte de Narbonne. L'oppidum de Géry a souvent été assimilé au site de Dourion mentionné par Strabon, mais selon François Salviat cette identification est erronée[2].

Sous l'influence de la domination romaine au Ier siècle av. J.‑C., l'emplacement de Géry est progressivement abandonné au profit de la ville nouvelle à l'emplacement du centre-ville actuel de Montélimar. La ville se nomme alors Acunum, le relais de poste installé près du pont sur le Roubion et qui est signalé par la table de Peutinger. La Via Agrippa joue sans doute un rôle majeur pour le développement de l'agglomération[3]. On y trouve un forum, une basilique civile et des thermes. La petite ville est alimentée en eau par trois aqueducs dont un dessert l'établissement thermal de Bondonneau où l'on a retrouvé une centaine de petites piscines. Elle est aussi sans doute un relai pour le commerce régional comme en témoigne une inscription mentionnant des utriculaires.

Pendant les grandes invasions, la ville va se séparer en deux entités distinctes : la ville nouvelle autour du forum et du promontoire de Narbonne et Acunum qui va fortifier le pont sur le Roubion.

Moyen Âge

Pendant plusieurs siècles dont nous ne savons que peu de choses, la région de Montélimar est passée de mains en mains (royaume Burgonde, royaume Franc, Comtes de Valentinois, royaume de Provence).

À la fin du XIe siècle, on voit apparaître la famille d'Adhémar, sans doute originaire du Royans et qui peu à peu assoit son autorité sur la région. Guillaume-Hugues d'Adhémar est le premier seigneur de Montélimar (« seigneur de Monteil »). Il est le frère d'Adhémar de Monteil, évêque du Puy et légat du pape pour la première croisade. La famille règnera sur la région de Montélimar jusqu'au XIIIe siècle. Les d'Adhémar font construire leur palais (XIIe siècle) sur le promontoire de Narbonne à la place d'un vieux château.

Les d'Adhémar, au XIe siècle vont construire autour de leur fief de nombreux châteaux (Grignan, Châteauneuf-du-Rhône, Rochemaure et La Garde-Adhémar). La seigneurie comptera à son apogée une trentaine de châteaux.

En 1198 la seigneurie est partagée entre deux frères, Giraud et Lambert d'Adhémar.

Dès le milieu du XIIe siècle, la cité des d'Adhémar est désignée sous le nom de « Monteil des Aimar ». La forme définitive date de 1328.

En 1365 une partie de la ville (qui est une co-seigneurie) passe sous la protection de la papauté. Le pape fait rénover le palais seigneurial et entretenir les remparts.

En 1447 c'est le dauphin, le futur Louis XI qui devient maître de la ville et de son château.

En 1562, la ville est prise et pillée par le baron des Adrets, la garnison est tuée pour venger les massacres d’Orange[4].

XIXe siècle

Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795 et sous-préfecture de 1800 à 1926.

Blason

Armes de Montélimar

Les armes de Montélimar se blasonnent ainsi :
De gueules au monde d'azur cintré d'argent bordé d'or et croisé du même.

Administration

L'hôtel de ville
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1787 1790 Jean-Louis Cheynet  ? Maire, député aux États Généraux
1790 1791 François-Noé Bauthéac de Grandval  ? Avocat
1791 1792 Louis Pellapra  ? Avocat
1792 11 juin 1794 Alphonse-Laurent-Antoine de Salamon   Ex-visénéchal
28 juin 1794 janvier 1795 Jacques-Berthon Forquet  ? Avocat et juge
14 janvier 1795 2 novembre 1795 Jean-Charles Serret  ? Juge
12 novembre 1795 26 mars 1797 Joseph Pain  ? Avocat
28 mars 1797 12 octobre 1797 Jean-Baptiste-Agricol Péru  ? Médecin
10 octobre 1797 16 septembre 1799 Jean-Louis Pellapra  ? Général
17 septembre 1799 22 avril 1800 Charles Picot  ? Militaire
3 juin 1800 14 décembre 1800 Jean-Louis Cheynet  ? Avocat, maire par intérim
décembre 1800 18 mai 1806 Jacques-Charles-Louis Forquet  ? Commandant de la Garde nationale
1er mai 1806 10 avril 1813 Jean-Baptiste Grasson  ? Avoué
10 avril 1813 8 avril 1815 Henri-Louis de La Bruyère  ? Propriétaire
10 avril 1815 6 juillet 1815 Cyprien Massis-Cuchet  ? Médecin
7 juillet 1815 14 août 1816 Henri-Louis de La Bruyère  ? Propriétaire
2 septembre 1816 30 janvier 1822 Jean-Charles Serret  ? Juge
30 janvier 1822 28 mars 1824 Paul-François Beauthéac de Grandfont  ? Négociant
11 novembre 1824 1830 Jean-Pierre Marre  ? Négociant
4 septembre 1830 21 février 1831 Daniel Nicolas  ? Premier président de la Cour de Riom puis conseiller à la Cour de cassation
25 mars 1831 décembre 1831 Maurice-Auguste-Florian Odouard  ? Inspecteur des contributions
décembre 1831 janvier 1832 Marc-Etienne Bonnefoy  ? Négociant
janvier 1832 juin 1832 Cyprien Massis-Cuchet  ? Médecin
octobre 1832 avril 1834 Jean-Jacques Roux-Saint-Paul  ?  ?
6 janvier 1835 12 juillet 1846 Félix-Hilaire Laurans  ? Député de la Drôme de 1842 à 1846
22 octobre 1846 mai 1847 Charles-Antoine-Ennemond de Gailhard  ? Percepteur
7 juillet 1847 2 avril 1848 Louis-Ernest Messié  ? Avocat
avril 1848 1849 Frédéric-Jean-Baptiste Chare  ? Notaire
26 juillet 1852 7 juin 1861 Jen-Joseph Fleury-Bith  ? Notaire
9 septembre 1861 1865 Jean-Eugène Chabaud  ? Maître de poste
1865 1869 Pierre-Louis-Augustin Marre-Desmarais  ? Négociant
8 janvier 1870 6 septembre 1870 Louis-César Grasset  ? Médecin
7 septembre 1870 30 avril 1871 Charles-François-Justin Josserand  ? Juge
1870 8 août 1877 Émile Loubet Républicain de gauche Avocat, député puis sénateur, président du Sénat et président de la République
8 août 1877 3 janvier 1878 Alfred Messié  ? Avocat
janvier 1878 février 1899 Émile Loubet Républicain de gauche Avocat, député puis sénateur, président du Sénat et président de la République
1899 1908 Paul Gauthier  ? Notaire
1908 1925 Ferdinand Ravisa    ?
1925 1935 Roger Chancel  ?  ?
1935 1944 Édouard Tardieu  ?  ?
1944 1945 Marius Spezini SFIO  ?
1945 1947 Raymond Crozier  ?  ?
1947 1953 Marius Spezini SFIO  ?
1953 1958 Louis Chancel PRRRS Avocat
1958 1959 Me Rabatel  ?  ?
1959 1989 Maurice Pic PS Secrétaire d'Etat, Député, sénateur
1989 1999 Thierry Cornillet UDF-RAD Ingénieur
1999 2001 André Orts RPR Conseiller d'orientation
2001 en cours Franck Reynier UMP-Rad. Député
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Récompense

Démographie

Évolution démographique
(Source : Ehess[6] et INSEE[7])

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6 240 6 320 5 864 7 161 7 560 7 966 8 245 9 445 9 362
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
11 523 12 044 11 100 11 122 11 946 12 894 14 014 13 764 13 741
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
13 351 13 554 13 281 11 716 11 210 13 696 15 187 15 972 16 639
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
19 999 26 748 28 058 29 161 29 982 31 344 34 636 35 988 36 194

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Agglomération : Montélimar-Sésame

Cette communauté de communes a été créée le 1er janvier 1993, et comptait en 2005, 14 communes pour environ 50 000 habitants sur environ 221 km2 de superficie. Aujourd'hui il s'agit d'une communauté d'agglomérations de 15 communes pour un bassin montilien d'environ 70 000 habitants. [1]

Aire urbaine de Montélimar

L'aire urbaine de Montélimar regroupait en 2007 61 861 habitants (contre 58 700 habitants en 1999) sur une superficie de 37 689 hectares, soit une densité de population moyenne pour l'ensemble de cette aire urbaine de 164 habitants par kilomètre carré. En 2008, cette population était de 71 764 habitants sur un terrioire plus étendu.

Transports

La ville est située dans le sillon rhodanien, ce qui lui procure un accès facile à de nombreuses infrastructures.

Voies ferrées
Montélimar dispose d'une gare SNCF, baptisée gare de Montélimar. Jusqu'à l'arrivée des TGV dans la vallée du Rhône, certains trains rapides s'y arrêtaient. Depuis la mise en place de la desserte par TGV, ce sont 4 aller-retour quotidiens vers Paris qui sont assurés. La mise en service de la ligne TGV Méditerranée en juin 2001 a vu naître une desserte spécifique à la vallée du Rhône, desservant Valence-Ville, Montélimar, Orange, Avignon-Ville, Arles et Miramas, puisque les TGV pour Marseille et Montpellier circulent maintenant sur une voie dédiée à quelques kilomètres à l'est de la ville.
Un projet de gare sur la ligne TGV Méditerranée existe à Allan (à proximité de l'échangeur autoroutier Montélimar-Sud). Cette gare verrait alors se reporter les dessertes existant actuellement sur la ligne classique. Cependant, des discussions sont en cours afin d'améliorer la desserte de cette gare nouvelle (liaison TER, desserte depuis le sud de l'Ardèche…)…
La gare de Montélimar est desservie par de nombreux trains TER avec des dessertes cadencées dont des trains directs Avignon - Lyon donnant correspondance en gare de Valence-Ville avec des trains Valence - Annecy ou Valence - Genève desservant tous les deux gares de Grenoble, Grenoble et Grenoble-Universités-Gières, cette dernière donnant un accès direct aux Universités pour les étudiants de la région de Montélimar.

Routes et Autoroute
Montélimar est située à l'intersection de la route nationale 7 (Lyon-Valence / Avignon-Aix) et de la route nationale 102 (Aubenas-Le Puy-Clermont), une des principales voies de traversée du Massif Central. Cependant, c'est bien la première qui a le plus marqué la ville, que ce soit par les fameux « bouchons » dans les années 1960 ou par l'emballage des traditionnels nougats dans une boîte en forme de borne kilométrique « N7 ». L'ouverture d'une déviation Poids Lourds (plus tard intégrée dans la RN7) et de l'autoroute A7 vers 1968 a permis de réduire sensiblement les embouteillages. La commune est également desservie par les autocars départementaux.

Voies d'eau
La ville est située à proximité du Rhône. La dérivation de Montélimar entre Rochemaure et Châteauneuf-du-Rhône construite à la fin des années 1950 a contribué à la navigabilité du Rhône. Même si un quai a été établi le long du canal, l'utilisation de la voie d'eau au départ ou à l'arrivée de Montélimar reste faible.

Aérodrome
Un aérodrome de tourisme existe à Montélimar-Ancône (nord-ouest de la ville). Il est en particulier connu pour son « Musée européen de l'aviation de chasse », sa grande activité ULM avec notamment le premier centre ULM de France et le deuxième constructeur mondial d'ULM pendulaire : DTA.

Transports urbains
Depuis 1988, un réseau de transports urbains s'est développé progressivement. Depuis septembre 2010, ce réseau « Montélibus » comporte 6 lignes régulières, ainsi qu'un nouveau quai central (correspondances entre toutes les lignes)[8].

Économie

Culture

Lieux et monuments

Musique

  • La ville organise depuis 15 ans un festival « voix et guitares du monde ». Ce festival se déroule durant le mois de juillet sur divers lieux, non seulement dans Montélimar mais aussi dans les villages faisant partie de la communauté de communes (Sésame). Certaines scènes sont gratuites, cela permet à toute la population d'être de la fête.

Voici quelques célébrités qui ont participé au festival:

Jean-Louis Aubert, Calogero, Louis Bertignac, Cali, La Compagnie Créole, Louis Chedid, Claude Nougaro, Stephan Eicher, Noa, Maurane, Julien Clerc Paul Personne, MC Solaar, Sinsemilia, Patrick Bruel (2007), Enrico Macias (2007), Star Academy (2007), Sanseverino (2007), Jenifer (2008), Zucchero (2008), Opéra Carmen (2008)

Événements

Événements sportifs

Montélimar a accueilli le Tour de France, en tant que ville étape, les 15 et 16 juillet 2006. Il s'agissait de la 13e étape du Tour de France 2006 reliant Béziers à Montélimar, puis de la 14e étape du Tour de France 2006 reliant Montélimar à Gap

Montélimar fut le départ d'une étape du Paris-Nice le 13 mars 2008 (Montélimar - mont Ventoux)

Le Tour de France 2009 est revenu le 25 juillet 2009 (étape Montélimar — Mont Ventoux) avant dernière étape avant Paris.

Événements culturels

Le festival Sésame a lieu sur Montélimar et les communes de l'agglomération[16].

Cinéma

Montélimar a été le lieu de tournage de plusieurs films :

La Commission du film Drôme Ardèche, basée à Montélimar, assure l'accueil des tournages en Drôme et en Ardèche. Elle a pour mission de favoriser et de susciter les activités de tournages et de post-production cinéma et audiovisuel.

Spécialité

La grande spécialité de la ville est le nougat, une confiserie à base de miel et d'amandes, très proche du touron espagnol.

Jumelages

Personnalités

Margot Delaye par François Grellet
Président Émile Loubet

Notes et références

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 21/07/2008.
  2. F. Salviat, avec la collaboration de J. Benoît, « Le cadastre d'Orange, la route antique au sud de Montélimar, le problème de Dourion et le cours inférieur de la Berre », RAN, 1985, 18, p. 277-285.
  3. Sur le tracé de cette voie vers Montélimar, cf. C. Jung, « Le réseau viaire antique du Tricastin et de la Valdaine : relecture des travaux anciens et données nouvelles », RAN, 42, 2009, p. 85-113 Lire en ligne sur HAL
  4. Pierre Miquel, Les Guerres de religion, Club France Loisirs, 1980 (ISBN 978-2-7242-0785-9), p. 233
  5. Palmarès 2008 du Concours des villes et villages fleuris
  6. http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
  7. INSEE : Population depuis le recensement de 1962
  8. Site du réseau Montélibus
  9. Ministère de la Culture, base Mérimée, « Château des Adhémar ou des Papes » sur www.culture.gouv.fr.
  10. Ministère de la Culture, base Mérimée, « Tour de Narbonne » sur www.culture.gouv.fr.
  11. Ministère de la Culture, base Mérimée, « Porte Saint-Martin » sur www.culture.gouv.fr.
  12. Ministère de la Culture, base Mérimée, « Maison dite de Diane de Poitiers » sur www.culture.gouv.fr.
  13. Histoire
  14. Ministère de la Culture, base Mérimée, « Collégiale Sainte-Croix » sur www.culture.gouv.fr.
  15. Site du Palais des bonbons et du nougat de Montélimar.
  16. http://www.montelimar-tourisme.com/FR/montelimar-fiche-manifestation.php?id=3871

Voir aussi

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Articles connexes

Bibliographie

  • Stéphane Baumont (dir.), Histoire de Montélimar, 1992, Ed Privat.
  • Gaëlle Oberthur de la Roncière , Montélimar au temps des Adhémar, 1990, Plein-Ceintre éditions.
  • Baron de Coston, Histoire de Montélimar et des principales familles qui ont habité cette ville, 1878, 4 vol.

Liens externes



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