Cathédrale Notre-Dame de Reims

Cathédrale Notre-Dame de Reims
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Cathédrale Notre-Dame de Reims
Image illustrative de l'article Cathédrale Notre-Dame de Reims
Présentation
Culte Catholique romain
Type Cathédrale
Rattaché à Archidiocèse de Reims (siège)
Début de la construction 1211
Fin des travaux 1275 (gros œuvre)
Style(s) dominant(s) Gothique
Protection  Classé MH (1862)
 Patrimoine mondial (1991)
Site web www.cathedrale-reims.com/
Géographie
Pays Drapeau de France France
Région Champagne-Ardenne
Département Marne
Ville Reims
Coordonnées 49° 15′ 13″ N 4° 02′ 02″ E / 49.253611, 4.03388949° 15′ 13″ Nord
       4° 02′ 02″ Est
/ 49.253611, 4.033889
  

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Cathédrale Notre-Dame de Reims

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Cathédrale Notre-Dame de Reims

Notre-Dame de Reims est une cathédrale du XIIIe siècle, postérieure à Notre-Dame de Paris et Notre-Dame de Chartres, mais antérieure aux cathédrales Notre-Dame de Strasbourg, Notre-Dame d'Amiens et à celle de Beauvais. Consacrée à la Vierge Marie, la cathédrale a été achevée au XIVe siècle.

Il s'agit de l'une des réalisations majeures de l'art gothique en France, tant pour son architecture que pour sa statuaire qui ne compte pas moins de 2 303 statues. Elle est inscrite, à ce titre, au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1991. Haut lieu du tourisme champenois, elle a accueilli 1 500 000 visiteurs en 2007[1].

Sommaire

Historique

Origines

En 401, une première cathédrale est consacrée à Reims sur d'anciens thermes gallo-romains. Déjà dédiée à la Vierge Marie, cet édifice accueille le baptême de Clovis par l'évêque Remi (le 25 décembre d'une année comprise entre 496 et 499 selon certains historiens). En 816, Louis le Pieux choisit Reims pour y être sacré empereur. C'est le premier sacre d'un monarque français à Reims. En 852, l’évêque Hincmar consacre une deuxième cathédrale bâtie à l’emplacement de la première. Cette nouvelle cathédrale devient le lieu du sacre des rois de France.

À partir de 976, l'évêque Adalbéron fait embellir la cathédrale carolingienne. L'historien Richer, élève d'Adalbéron, donne une description très précise des travaux effectués par l'archevêque :

« Dans les premiers temps de sa promotion, il s'occupa beaucoup des bâtiments de son église. Il abattit entièrement les arcades qui, s'étendant depuis l'entrée jusqu'à près du quart de la basilique, la coupaient jusqu'en haut, en sorte que toute l'église, embellie, acquit plus d'étendue et une forme plus convenable. Il plaça, avec les honneurs qui lui étaient dus, le corps de saint Calixte, pape et martyr, à l'entrée même de l'église, c'est-à-dire dans un lieu plus apparent, et il y éleva un autel avec un oratoire très bien disposé pour ceux qui y viendraient prier. Il décora l'autel principal de croix d'or et l'enveloppa d'un treillis resplendissant (…). Il éclaira cette même église par des fenêtres où étaient représentées diverses histoires et la dota de cloches mugissantes à l'égal du tonnerre. »

— Richer de Reims, Histoires, v. 990[2].

Le 6 mai 1211, l'archevêque Albéric de Humbert lance la construction de la nouvelle cathédrale (l'édifice actuel), destinée à remplacer l'édifice carolingien détruit par un incendie vraisemblablement début 1207[3]. Quatre architectes se succédent sur le chantier dont le gros œuvre est achevé en 1275 : Jean d'Orbais, Jean-le-Loup, Gaucher de Reims et Bernard de Soissons.

Le 24 juillet 1481, un nouvel incendie, né de la négligence d'ouvriers travaillant à la toiture de la cathédrale, détruit les combles puis la charpente, provoquant l'effondrement d'une bonne partie du bâtiment[4]. À la différence de Louis XI, Charles VIII puis Louis XII apportent un soutien financier à la reconstruction du bâtiment, grâce, en particulier, à un octroi royal[4]. Ce bénéficie est suspendu en 1516 et les travaux doivent être interrompus avant l'achèvement des flèches.

Le lieu du sacre des rois de France

Sacre à Reims de Charles VII
Partie de la galerie des Rois

Le prestige de la sainte Ampoule et la puissance politique des archevêques de Reims aboutirent à partir d'Henri Ier (1027) à fixer définitivement le lieu du sacre à Reims. Tous les rois de France capétiens, à l'exception d'Hugues Capet, Robert II, Louis VI, Henri IV et Louis XVIII, se sont fait sacrer dans la cité rémoise.

Lorsque Louis IX se fait couronner en 1226, la cathédrale telle qu'on la connaît aujourd'hui est encore en construction.

Le sacre de Charles VII en 1429 revêt une importance toute particulière, en cela qu'il inverse le cours de la guerre de Cent Ans grâce à la ténacité de Jeanne d'Arc dont une statue trône dans la cathédrale.

La cathédrale glorifie la royauté. Sur la façade, au centre de la galerie des rois composée de 56 statues d'une hauteur de 4,5 mètres, Clovis trône entouré de sa femme Clotilde et de Remi.

Chronologie des sacres de monarques français en la cathédrale de Reims

La cathédrale au cours des siècles

Bien que Reims soit le symbole du pouvoir royal puisque les rois s'y font sacrer, les troubles de la Révolution française n'ont pas atteint l'ampleur que l'on a pu constater ailleurs comme à Chartres où la structure-même de la cathédrale s'est trouvée menacée[5]. Certaines statues sont cassées, des portails arrachés, le sceptre et la main de justice brûlés[6]. La cathédrale est transformée en magasin à fourrage et le projet de la raser est rapidement abandonné.

En 1860, Eugène Viollet-le-Duc dirige les travaux de restauration de la cathédrale de Reims[7].

La cathédrale martyre

Bombardement de la cathédrale

La cathédrale de Reims a été qualifiée de « cathédrale martyre » car, en 1914, peu après le début des hostilités, elle commence à être bombardée par les Allemands. Les premiers obus tombent sur la ville de Reims et sur la cathédrale le 4 septembre 1914, juste avant l'entrée dans la ville des troupes allemandes. En urgence, les abbés Jules Thinot et Maurice Landrieux installent un drapeau blanc pour faire cesser les bombardements.

Le 13 septembre, l'armée française reprend la ville, mais les Allemands se sont solidement retranchés aux environs immédiats de Reims et les bombardements reprennent le 14[8].

Le 19 septembre 1914, vingt-cinq obus touchent la cathédrale[9]. Un échafaudage resté en place sur la tour nord prend feu vers 15 h, permettant à l'incendie de se communiquer à toute la charpente. Le plomb de la toiture fond et se déverse par les gargouilles, détruisant la résidence des archevêques : le palais du Tau. Par la suite, les riverains le ramassèrent et le restituèrent à l'issue du conflit. La destruction du monument entraîne une forte vague d'émotion à travers le pays. Plusieurs prisonniers blessés allemands réfugiés dans la cathédrale sont tués[9].

La cathédrale est restaurée sous la direction d'Henri Deneux, natif de Reims et architecte en chef des monuments historiques, avec l'aide précieuse de mécènes américains (notamment la famille Rockefeller). Le chantier débute en 1919 et dure encore de nos jours. La charpente de chêne, détruite, est remplacée par une remarquable structure, plus légère et ininflammable, constituée de petits éléments préfabriqués en ciment-armé, reliés par des clavettes en chêne pour garantir la souplesse de l'ensemble.

détail des éléments de la charpente
Charpente (détail)

Deneux s'est inspiré d'un ingénieux système inventé par l'architecte Philibert Delorme au XVIe siècle. Son faible encombrement a permis le dégagement d'un vaste espace, formant une véritable nef, au-dessus du voûtement.

De nos jours, les clochers ne possèdent plus que deux cloches : Marie (7 tonnes et demie) et Charlotte (10 tonnes - à confirmer)[10]. Elles ne sont plus utilisées, de peur de continuer à fragiliser le bâtiment, fortement endommagé durant la Première Guerre mondiale[11].

Structures

Plan de la cathédrale de Reims

Rosaces

  • diamètre de la rosace ouest : 12,5 m (13,1 m pour les deux rosaces du transept de Notre-Dame de Paris)
  • diamètre de la rosace nord : 9,65 m
  • diamètre de la rosace sud : 9,65 m

Description

La hauteur de la nef sous voûte est de 38 mètres, elle est donc bien inférieure à celle de la cathédrale Notre-Dame d'Amiens (42,30 m) ou de celle de cathédrale Saint-Pierre de Beauvais (46,77 m). Toutefois, la relative étroitesse de la nef accentue l'impression de hauteur. Depuis l'extérieur, l'impression est, comme pour toutes les églises gothiques, celle d'un grand élan vers le ciel. Les deux tours occidentales sont dépourvues de flèches mais culminent tout de même à près de 82 mètres de hauteur.

Le point le plus élevé est l'ange du clocher situé au-dessus de l'abside à 87 mètres. L’orientation de la cathédrale est selon un axe Sud-Ouest Nord-Est. La cathédrale est donc orientée non pas vers l'Orient, mais dans l’axe du solstice d'été.

Intérieur

La façade intérieure

Le revers du portail central est célèbre pour la sculpture dite de la Communion du Chevalier[12].

Statuaire

Article détaillé : Ange au Sourire.
L'Ange au sourire

La cathédrale de Reims a une très riche statuaire qui est supérieure à celle de toutes les autres cathédrales européennes Le nombre de statues qui l'ornent, s'élève en effet à 2303[13]. On peut observer notamment sur le portail gauche la statue de l'Ange au Sourire, emblème de la ville de Reims, et celle de la Reine de Saba restaurée en 2006 - 2007. L'édifice se distingue par une rare unité de style, malgré une construction qui s'étendit sur plus de deux cents ans (principalement au XIIIe siècle). Le portail principal est dédié à Sainte Marie, ce qui est exceptionnel : en effet, c'est d'habitude le Christ sauveur (la pierre angulaire de l’Église) qui se trouve au trumeau du portail principal pour accueillir le visiteur. Il est probable que le portail du transept Nord, avec la statue du Christ Sauveur (le "Beau Dieu") et le jugement dernier, était à l'origine destiné à se trouver sur le portail principal mais que l'architecte en a décidé autrement en mettant Sainte Marie à la place d'honneur. A la gauche de Sainte Marie (à droite pour le spectateur), se trouve la scène de l'annonciation, avec le très réussi ange de l'annonciation, "jumeau" du célèbre ange au sourire.

À 50 mètres du sol, sur la face occidentale, se trouve la « galerie des rois » avec, au centre, le baptême de Clovis. Plus bas, on peut observer le récit du combat de David contre Goliath. La statue de Goliath, qui mesure plus de cinq mètres de haut (c'est la plus grande des statues de la façade), se trouve actuellement dans le palais de Tau. Juste au-dessus du grand portail, se trouve une copie du couronnement de la Vierge. L'original de cet ensemble grandiose se trouve également au palais de Tau (qui jouxte la cathédrale et qui est un musée que l'on peut visiter).

Vitraux

Malgré les destructions successives entamées au XVIIIe siècle, la cathédrale possède encore de nombreux vitraux du XIIIe siècle, regroupés dans les parties hautes de la nef, du chœur et du transept. Depuis la fin de la Première Guerre mondiale, la cathédrale reçoit, à intervalles irréguliers, des vitraux contemporains. Ce fut le cas notamment dans les années 1930 (petite rose du portail central de la façade ouest et baies des portails latéraux, rose du bras sud du transept), 1950 (vitrail du champagne), et dans les décennies 1960 et 1970. Après une longue interruption de plusieurs dizaines d'années, ce mouvement reprend avec l'inauguration en 2011, année du 800e anniversaire de la cathédrale, d'un nouveau vitrail dessiné par Imi Knoebel.

Les vitraux contemporains les plus célèbres sont trois fenêtres de Marc Chagall de 1974, situés dans la chapelle axiale : l'arbre de Jessé, les deux testaments et les grandes heures de Reims[14].

Toiture

La crête de faîtage de la toiture est ornée d'une alternance de trèfles et de fleurs de lys, rappelant que la cathédrale a été le lieu du sacre des rois de France. Supprimées et détruites à la Révolution, ces éléments ont été rétablis en 1924-1926 lors de la reconstruction qui a suivi les destructions de la Première Guerre mondiale[15]. La toiture est composée de plaques de plomb fixées à une armature de bois; elle porte un carillon à la croisée de la nef et du transept. Le plomb a en partie été récupéré dans les ruines après l'incendie de 1914

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Le labyrinthe

Labyrinthe de Reims

La cathédrale de Reims disposait d'un labyrinthe[16] situé dans le dallage des 3e et 4e travées de la nef. Il a été détruit par le chapitre en 1779[17].

De nos jours, la représentation graphique de ce labyrinthe, inclinée de 45°, est utilisée comme logo pour désigner un ouvrage qui a été classé ou inscrit monument historique.

Galerie

Notes et références

  1. Source : Tourisme en Champagne.
  2. Xavier Barral i Altet, « Le paysage architectural de l'an Mil », La France de l'an Mil, Seuil, Paris, 1990 (a), p. 182. .
  3. Historia n°773 de mai 2011, page 59
  4. a et b Historia n°773 de mai 2011, page 62
  5. François Souchal, Le Vandalisme de la Révolution, Nouvelles Éditions latines, 1993, p.61.
  6. François Souchal, op. cit., p.68.
  7. Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, Actes du Colloque international Viollet-le-Duc, Paris, 1980, Nouvelles Éditions latines, 1982, p.158.
  8. Yann Harlaut, L'incendie de la cathédrale de Reims, 19 septembre 1914. Fait imagé… Fait imaginé…, in Ouvrage collectif, Mythes et réalités de la cathédrale de Reims de 1825 à 1975, 2001, Somogy, p.70-79.
  9. a et b Hervé Chabaud, 1914-1918 Reims ville martyre, l'Union, 2009, p.6.
  10. Les deux bourdons ensemble: Reims cloches cathédrale 800 ans 15-05-2011 (YouTube 1:26 min)
  11. État de la cathédrale de Reims constaté le 12 août 1915 par le cardinal archevêque Louis-Joseph Luçon de Reims
  12. Voir : La Communion du Chevalier
  13. (en)Alain Erlande-Brandenburg, Reims Cathedral, Éditions Jean-Paul Gisserot, p.10.
  14. Les conditions artistiques, administratives et historiques de la réalisation des vitraux de Marc Chagall à la cathédrale de Reims
  15. themes=destru&part=3 Reims cathédrale de Champagne
  16. Description détaillée du labyrinthe de la cathédrale de Reims
  17. Histoire et description du labyrinthe sur le site de la Direction des affaires culturelles Champagne-Ardenne.

Annexes

Voir aussi

Liens externes

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Bibliographie

  • « Reims : la cathédrale en lumière », dans Le Moniteur des Travaux publics et du Bâtiment, 3 novembre 2006, n. 5371.
  • Boiret, Yves : « Restauration et conservation de la cathédrale de Reims », dans Les Dossiers d'archéologie, octobre 1993, n° 186.
  • Braive : « La restauration de la cathédrale de Reims », dans Travaux, octobre 1938, n. 70 .
  • Collombet, François Les plus belles cathédrales de France, Sélection du Readers Digest, Paris (France), (ISBN 2-7098-0888-9), 1997 ; p. 134-141.
  • Demouy, Patrick : Reims, la cathédrale, (ISBN 2-7369-0265-3), 2000.
  • Demouy, Patrick : « La Cathédrale Notre-Dame », dans Les Dossiers d'archéologie, octobre 1993, n. 186.
  • Demouy, Patrick : Notre-Dame de Reims, CNRS Éditions, (ISBN 2-271-05258-0), 2001.
  • Demouy, Patrick : « Reims, fille de Rome et église-mère des Francs », dans Les Dossiers d'archéologie, octobre 1993, n. 186.
  • Denizeau, Gérard : Histoire visuelle des Monuments de France, Larousse, Paris (France), (ISBN 2-03-505201-7), 2003 ; p. 102-104.
  • Denizeau, Gérard : "Larousse des cathédrales", Paris, 2009, 314 p. ((ISBN 978-2-03-583961-9))
  • Erlande-Brandenburg, Alain : Histoire de l'architecture française (tome 1), Éditions du Patrimoine, Mengès, Paris (France), (ISBN 2-85620-367-1), 1995.
  • Harlaut, Yann : Naissance d'un mythe. L'Ange au Sourire de Reims, (ISBN 978-2-87825-435-8), 2008.
  • Heinle, Erwin Türme aller Zeiten - aller Kulturen (3e édition), Deutsche Verlags-Anstalt, Stuttgart (Allemagne), (ISBN 3-421-02931-8), 1997 ; p. 141.
  • Honnecourt, Villard de : Livre de pourtraicture (Album de Villard de Honnecourt).
  • Kimpel, Dieter : L'Architecture gothique en France 1130-1270, Flammarion, Paris (France), (ISBN 2-08-010970-7), 1990.
  • Kurmann, Peter : La Cathédrale Notre-Dame de Reims, Monum, Éditions du Patrimoine, Paris (France), (ISBN 2-85822-614-8), 2001.
  • Mark, Robert : High Gothic Structure, The Art Museum, Princeton University, Princeton (États-Unis), (ISBN 0-943012-05-8), 1984; pp. 22–25.
  • Pallot-Frossard, Isabelle : « Le musée de l'œuvre de la cathédrale », dans Les Dossiers d'archéologie, octobre 1993, n. 186.
  • Pérouse de Montclos, Jean-Marie : Le Guide du Patrimoine : Champagne-Ardenne, Hachette, Paris (France), (ISBN 2-85822-614-8), 1995.
  • Stoddard, Whitney S. : Art & Architecture in Medieval France, Icon Éditions (Harper & Row Publishers), New York (États-Unis), (ISBN 0-06-430022-6), 1972 ; p. 197-209.

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