- Ligne d'Esbly à Crécy-la-Chapelle
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Ligne
Esbly - Crécy-la-Chapelle
Un Avanto S70 à la gare d'EsblyPays France Historique Mise en service 1902 Électrification 1980 Concessionnaires EST (1886 - 1938)
SNCF (1938 - 2007)
RFF (à partir de 2007)Caractéristiques techniques Numéro officiel 071 000 Longueur 9,965 km Écartement Voie normale (1,435 m) Électrification 25 kV - 50 Hz Pente ou rampe maximale 9 ‰ Nombre de voies Voie unique Trafic Propriétaire RFF Exploitant(s) SNCF Trafic Schéma de la ligne Schéma de la ligne LégendeLigne Noisy-le-Sec - Strasbourg-Ville vers Paris-Est 36,142 0,000 Esbly (51m) Ligne Noisy-le-Sec - Strasbourg-Ville vers Strasbourg 0,834 Pont sur le canal de Chalifert (44m) 1,055 Les Champs-Forts (54m) 2,715 Montry - Condé (46m) 5,013 Couilly - Saint-Germain - Quincy (47m) 6,156 Pont sur le Grand Morin (60m) 8,159 Villiers-Montbarbin 52m) 9,883 Crécy-la-Chapelle (52m) 9,945 Feu rouge modifier Ligne d'Esbly à Crécy-la-Chapelle Réseau Transilien P Conduite (système) Conducteur Matériel utilisé U 25500 (Avanto S70)
(1 rame nécessaire sur les 15 livrées)Dépôt d’attache Pantin (Noisy-le-Sec) Points d’arrêt 2 à 5 Temps de parcours 9 à 13 min Distance moyenne entre points d’arrêt 2 475 m Communes desservies 8 Jours de fonctionnement Tous les jours Fréquentation
(moy. par an)850 voyageurs par jour Lignes connexes ♦ Lignes du Transilien
♦ « Régions » du Transilien
Paris-Nord • Paris-Est • Paris Sud-Est • Paris Rive-Gauche • Paris-Saint-Lazaremodifier La ligne Esbly - Crécy-la-Chapelle est une ligne ferroviaire de Seine-et-Marne, en Île-de-France, d'une longueur de dix kilomètres. Ouverte en 1902 à voie unique, elle est depuis essentiellement parcourue par un trafic de banlieue en provenance ou à destination de la gare d'Esbly, en correspondance avec les trains Paris-Est - Meaux, circulant sur cette autre branche de la ligne P du Transilien (Transilien P).
Elle constitue la ligne no 71 000 du réseau ferré national[1].
Sommaire
Histoire
1849 - 1902 : Les prémices
La ligne Paris - Strasbourg est ouverte le 5 juillet 1849 de Paris à Meaux via Esbly. Les habitants et élus de la vallée du Grand Morin, d'Esbly à Coulommiers, réclament alors la création d'une ligne secondaire afin de les desservir et d'apporter un développement économique à la vallée.
La ligne d'Esbly à Crécy voit le jour après vingt-trois années d'études, d'expropriations et de contestations. Après la défaite de 1870, le ministère de la Guerre souhaite rendre prioritaire la réalisation de lignes stratégiques pour doubler la ligne Paris - Strasbourg vers les frontières de l'Est. Une loi du 17 juillet 1879 arrête une liste de cinq nouvelles voies ferrées d’intérêt général, dont la ligne Esbly - Coulommiers fait partie. Les militaires veulent que la nouvelle ligne soit directe de Couilly à Meaux, mais les habitants de la vallée réclament par pétition une correspondance à Esbly, faisant valoir que les Briards seraient plus nombreux à se rendre à Paris qu'à Meaux.
En 1882, est enfin présenté et accepté le projet de construction d'une ligne d'Esbly à Coulommiers. En 1893, la déclaration d'utilité publique est prononcée par décret, et les travaux commencent en 1895.
1902 - 2011 : Le train
La ligne est ouverte le 11 juillet 1902, le lendemain pour les voyageurs. Elle est inaugurée officiellement le 20 juillet, par le député Gaston Menier ainsi que de nombreux élus de la région et des responsables de la Compagnie des chemins de fer de l'Est. La nouvelle ligne compte seize passages à niveau dont sept sont dotés de maisonnettes pour gardes. La gare terminale de Crécy est la première construite en 1902 suivant les nouvelles dispositions architecturales adoptées par la Compagnie de l'Est.
Au début du XXe siècle, la traction est assurée par des locomotives à vapeur 120 type 200 de l'Est tractant des voitures en bois ainsi que des voitures Bidel à impériale. Durant les années 1930, des locomotives 131 T Est V 613 à V 666 Série 8 (futures : 1-131 TA 613 à 637 et 647 à 666 ) remplacent les 120. Après la Seconde Guerre mondiale, elles sont remplacées par des 1-131 TB 1 à 50 tractant des voitures prussiennes à trois essieux.
Jusqu’en 1914, la ligne est desservie à raison de neuf circulations aller-retour entre 5 h 30 et 20 h 30, avec un temps de trajet compris entre 25 et 35 minutes. En 1935, on relève treize circulations, assurant toutes la correspondance, à Esbly, avec les trains de la grande ligne Paris - Strasbourg.
Vers 1942, les Allemands envisagent de faire prolonger la ligne jusqu’à Coulommiers, afin de joindre plus facilement leurs importantes installations de l’aérodrome de Mouroux. Mais le projet est abandonné.
En 1949, les trains à vapeur laissent place à des autorails légers Renault AEK. À la fin des années 1950, des autorails Picasso X 3800 remplacent les AEK vieillissants. Ils assurent la desserte de la ligne jusqu'en 1974 où leur capacité est jugée insuffisante.
Entre 1974 et 1980, une rame réversible Est de quatre voitures, toutes de deuxième classe, est tractée par une locomotive diesel BB 66000 du dépôt de Chalindrey.
En mai 1980, elle est électrifiée en 25 kV[2] alternatif par fil trolley simple. À partir du service d'été consécutif à l'électrification de la ligne, le nouveau service est assuré par une rame réversible inox tractée ou poussée par une BB 16500. Des autocars viennent par ailleurs remplacer les trains aux heures creuses. Ainsi les trains ne circulent plus les dimanches et jours fériés, un service d'autocars de remplacement étant assuré.
Le trafic de marchandises est pour l'essentiel constitué de bois et de fruits. La scierie à vapeur de Liary à Montry expédie de 600 à 700 wagons par an ; la halte de Montry reçoit les récoltes de fruits (pommes, poires, cassis, prunes ...) des producteurs de la région, ainsi que de la viande des abattoirs de Couilly. Durant les années 1970, le faible trafic résiduel de marchandises est assuré par un locotracteur Y 7400. La gare de Couilly - Saint-Germain - Quincy, par exemple, réceptionne des eaux et des boissons. La coopérative agricole de Crécy assure toutefois l'essentiel des échanges. Le trafic de marchandises diminue et la voie de débords de la gare de Couilly est finalement déposée. La halle est depuis transformée en garage.
Du 20 au 23 juin 2002, les communes desservies par la ligne Esbly - Crécy organisent des manifestations pour la célébration de son centenaire.
Pour des raisons de sécurité, la halte des Champs Forts est définitivement condamnée depuis le lundi 29 septembre 2008. En effet, jusqu'à fin septembre 2008, la ligne desservait aussi la gare des Champs-Forts, entre Esbly et Montry-Condé, aux heures scolaires uniquement, afin d'assurer la desserte du collège Louis Braille ; mais à la demande même du collège, cette halte a été supprimée.
Depuis 2011 : Le tram-train
Le 4 juillet 2011[3], les rames Avanto S70 de type tram-train, en surnombre sur la ligne T4[4],[5] ont remplacé les compositions BB 17000+RIB[3]. Ils ont jusqu'au 2 septembre 2011[3], circulé selon les horaires en vigueur depuis le 12 décembre 2010 :
- du lundi au vendredi :
- dans le sens de la pointe (vers Esbly le matin, vers Crécy le soir), il y avait deux trains par heure en moyenne, omnibus sur la totalité du parcours avec renforcement assuré par bus,
- en contre-pointe (vers Crécy le matin, vers Esbly le soir), il y avait deux trains par heure en moyenne, omnibus sur la totalité du parcours (la plupart du temps) ou directs entre les terminus extrêmes ;
- les samedis, il y avait un aller-retour toutes les heures en moyenne desservant toutes les gares du parcours ;
- les dimanches et fêtes, il y avait un service de substitution par bus avec, dans les deux sens de circulation, un départ chaque heure ou toutes les deux heures.
Cette exploitation estivale devait permettre un rodage du matériel et la finalisation de la formation des conducteurs[6]. L'arrivée des Avanto S70 n'a pas été accompagnée de travaux d'amélioration de la ligne ou des gares, la faiblesse du trafic, environ cinq cents voyageurs par jour, ne le justifiant pas[7].
Depuis le samedi 3 septembre 2011, au terme de la période de rodage débutée le 4 juillet 2011, les Avanto S70 sont exploités selon de nouveaux horaires, avec entre autres, une extension de l'amplitude horaire de fonctionnement d'une heure en soirée[3].
Infrastructure
La ligne est tracée dans la vallée du Grand Morin. Au départ d’Esbly, le tracé décrit une vaste courbe jusqu’à Couilly-Pont-aux-Dames, puis se poursuit en alignement droit jusqu'à Crécy-la-Chapelle. Le profil de la ligne est relativement difficile et comporte en particulier des rampes de 9 mm/m.
Elle est dotée d'une voie unique, sans aucun garage de croisement sur le parcours. Elle comporte trois gares et deux haltes, en plus de la gare d'Esbly sur la grande ligne de Strasbourg.
La liaison ferroviaire est électrifiée en 25 kV, possède une voie ferrée classique faisant partie du réseau ferré national, et une signalisation basée sur le cantonnement. Par ailleurs, elle est, depuis le 28 janvier 2007, équipée du système de communication GSM-R, norme de liaison radio sol-train progressivement déployée sur le réseau ferroviaire français.
Gares et haltes
Liste des gares et haltes
La liaison Esbly - Crécy-la-Chapelle du Transilien P relie Esbly à Crécy-en-Brie - La Chapelle en desservant huit communes. Elle bénéficie en gare d'Esbly d'une correspondance avec la ligne Paris - Meaux, qui la relie à Paris en une demi-heure.
Gare Zone Communes desservies Correspondances[8] o Esbly 5 Esbly o Montry - Condé 5 Montry, Condé-Sainte-Libiaire o Couilly - Saint-Germain - Quincy 5 Couilly-Pont-aux-Dames, Saint-Germain-sur-Morin, Quincy-Voisins o Villiers - Montbarbin 5 Villiers-sur-Morin, Crécy-la-Chapelle o Crécy-la-Chapelle 5 Crécy-la-Chapelle Plan des voies
Ateliers
Article détaillé : Ateliers du RER et Transilien.Le matériel roulant de cette liaison ferroviaire est entretenu au sein des ateliers du technicentre de Paris-Est, situé à Noisy-le-Sec en Seine-Saint-Denis[9], rénovés à l'occasion de la création du RER E[10].
Ce technicentre assure aujourd'hui la maintenance de l'ensemble des rames du réseau Transilien de Paris-Est : les vingt-huit rames Z 20500, les trente rames inox de banlieue (RIB) de la ligne Transilien P et les quinze tram-trains U 22500 (ligne T4 et liaison Esbly-Crécy). Il assure également la maintenance de la totalité des rames du RER E[9].
Le site de maintenance dispose d'un atelier de visite de 210 mètres de long sur 90 mètres de large équipé de dix voies spécialisés : une dans le levage simultané, une autre dans la dépose d'organes, deux dans le nettoyage, deux autres sur fosse dédiées au tram-train et quatre dernières également sur fosse pour les autres matériels roulants. L'atelier dispose également de nacelles élévatrices mobiles ainsi que de ponts roulants. Il dispose également d'un faisceau extérieur sur lequel sont assurées les opérations de courte durée (dépannage) et de nettoyage. Il est composé de dix-neuf voies, chacune longue de 245 mètres : cinq voies sont sur fosse avec un accès aux toitures des trains et quatorze voies sur terre-plein dont quatre équipées de quais[9].
Exploitation
La liaison Esbly - Crécy-la-Chapelle est une liaison ferroviaire entièrement exploitée par la SNCF dans le cadre de la ligne Transilien P, qui fonctionne de 5 h 00 à 22 h 00, à l'aide d'une des quinze rames tram-train U 25500. Elle permet de relier les terminus en huit (direct) à treize minutes (omnibus).
Noms des missions
Comme les autres lignes Transilien il existe un système de codes-missions. Composés de quatre lettres, ils apparaissent dans les horaires, et sur les écrans d'affichage. Ils sont utilisés par la SNCF pour l'exploitation de la ligne mais aussi pour faciliter la vie des voyageurs :
- E (Esbly)
- EICE : Dessert toutes les gares de Crécy à Esbly ;
- EIME : Direct de Crécy à Esbly.
- RICE : Dessert toutes les gares d'Esbly à Crécy ;
- RIME : Direct d'Esbly à Crécy.
Plan de transport
Depuis le samedi 3 septembre 2011, au terme de la période de rodage débutée le 4 juillet 2011, les Avanto S70 sont exploités selon de nouveaux horaires[3], avec entres autres, une extension de l'amplitude horaire de fonctionnement d'une heure en soirée. En effet, un départ supplémentaire d'Esbly et de Crécy a été créé en fin de service tous les jours de l'année : dernier départ d'Esbly à 22 h 6 au lieu de 21 h 8, dernier départ de Crécy à 22 h 37 au lieu de 21 h 30[6],[3],[11].
Du lundi au vendredi
Du lundi au vendredi, l'exploitation de la liaison comprend désormais[11] :
- entre 5 h et 8 h, deux trams-trains par heure omnibus entre Crécy et Esbly, un tram-train omnibus et un autre direct par heure entre Esbly et Crécy ;
- entre 8 h et 17 h, un tram-train par heure omnibus ;
- entre 17 h et 20 h, deux trams-trains par heure omnibus entre Esbly et Crécy, un tram-train omnibus et un autre direct par heure entre Crécy et Esbly ;
- entre 20 h et 22 h, un tram-train par heure omnibus.
Le renforcement par autocar assuré aux heures de pointe a été supprimé.
Samedis, dimanches et fêtes
Les samedis, dimanches et jours fériés, l'exploitation de la ligne comprend désormais toute la journée, un tram-train par heure. De ce fait, le service ferroviaire a été rétabli les dimanches et fêtes, et le service de substitution par autobus supprimé.
Matériel roulant
Article détaillé : Avanto.Le matériel roulant de la liaison Esbly-Crécy est le même que celui de la ligne de tram-train francilien T4, parce que le parc de rames est commun aux deux lignes[4],[5]. De ce fait, les rames peuvent circuler indifféremment sur le T4 et sur la liaison Esbly-Crécy. Le parc de rames est composé de quinze rames U 25500 construites par Siemens sous le nom d'Avanto.
L'exploitation de la liaison Esbly-Crécy ne nécessite en 2011, l'utilisation que d'une seule rame. Néanmoins, la circulation en unité multiple est possible, mobilisant alors deux des quinze rames du parc.
Le matériel roulant Avanto a été choisi à la suite de l'appel d'offres lancé par la SNCF en 2001 pour équiper la ligne, et remporté par le constructeur allemand Siemens, pays dont provient le concept tram-train. Ce fut le premier matériel de type tramway qui put circuler sur les voies de chemin de fer françaises.
Chaque rame est longue de trente-sept mètres est composée de cinq modules, offrant une capacité de 242 places dont 80 assises. Elles adoptent une livrée Transilien bleue nuit avec des berlingots de couleur au niveau des portes. La première rame a été livrée par voie routière en novembre 2005 et douze rames étaient disponibles pour la mise en service en novembre 2006. Le matériel est apte à une vitesse maximale de 100 km/h, qui est atteinte sur la ligne.
La rame TT07 a été baptisée Jérémy, en mémoire d'un jeune technicien de l'unité de production maintenance de Noisy-le-Sec décédé au cours d'un accident de la circulation en octobre 2006[12].
Le personnel d'exploitation
Depuis la mise en service des trams-trains sur la liaison Esbly - Crécy, la conduite des trains est assurée par des conducteurs Tram-Train (CRTT).
La gestion opérationnelle de la liaison Esbly - Crécy est assurée par les agents du Centre opérationnel Transilien (COT) des lignes E et P, notamment par le gestionnaire des moyens du centre d'exploitation de la ligne T4 basé à la station Gargan située sur cette ligne de tramway. Les agents contribuent ensemble à l'exécution du plan de transport de la liaison, en prenant si nécessaire les mesures visant à optimiser la gestion des moyens tant en matériel (trains) qu'en personnel (agents de conduite,...), que ce soit en situation normale comme en situation perturbée. Le plan de transport traduit les souhaits exprimés par le STIF, l'autorité organisatrice des transports en Île-de-France en termes d'horaires, de dessertes des trains... et détermine entre autres la composition des trains (train court ou long).
Ils gèrent également les perturbations qu'elles soient d'origine interne à la SNCF (train en panne, train avarié...) ou d'origine externe (tirages de signaux d'alarme abusifs, vandalisme, agression, obstruction de la fermeture des portes, intempéries, accident de personne...), quitte à adapter le plan de transport afin de permettre un retour à la normale du trafic, le plus rapidement possible et dans les meilleures conditions, en supprimant le minimum de trains et en tentant de réduire les retards. De ce fait, il est également chargé de communiquer à la clientèle, les informations concernant l'état du trafic et, si nécessaire, ses conséquences sur le plan de transport (trains retardés, supprimés, mise en place de bus de remplacement), afin de pouvoir lui offrir la meilleure qualité de service possible.
Projets
Doublement de la voie à Couilly
Un projet de doublement de la voie, à hauteur de la gare de Couilly - Saint-Germain - Quincy est en cours. Il devrait permettre le croisement de deux rames, et par conséquent, le doublement des fréquences[7].
Prolongement à Coulommiers
Un projet du département de Seine-et-Marne vise à prolonger la ligne de Crécy à la gare de Coulommiers, comme lors du projet initial[13].
Notes et références
- Réseau ferré de France (RFF) Nomenclature du réseau ferré aimablement communiquée par
- RFF - Carte des lignes électrifiées [PDF]
- Les brionautes de Crécy-la-Chapelle et du Pays Créçois : « Le tram Train sur la ligne, lundi prochain », article du 30 juin 2011
- Site des usagers Paris-Meaux-Crécy - "La Ligne Esbly-Crécy" [PDF]
- Transilien - Dossier de presse ligne P du 4 février 2009 [PDF]
- Brionautes.com Le Portail de Crécy et sa région - "A propos de l'arrivée du tram train sur la ligne Crécy-Esbly"
- Le Parisien - Le tram-train va remplacer les « p’tits gris », article du 22 juin 2010
- transports guidés (métros, trains, tramways, ...) et les correspondances en étroite relation avec la ligne sont données. Les autres correspondances, notamment les lignes de bus, sont reprises dans les articles de chaque station. Pour alléger le tableau, seules les correspondances avec les
- Association des usagers de la ligne Paris-Meaux/Crécy - Présentation du Technicentre de Paris-Est, consulté le 1er juin 2011 [PDF]
- RFF - Bilan LOTI du RER E, p. 20 et 21 [PDF]
- STIF - « Présentation de la SNCF au comité de ligne du RER E et ligne P de Paris Est du 27 juin 2011 », page 9 [PDF]
- Le Parisien, édition 93 du 19 novembre 2007 Source :
- « Seine&Marne en projets », Projet de territoire départemental, p. 26 du PDF, p. 51 « papier », consulté le 8 mai 2011. [PDF]
Bibliographie
- Bruno Carrière, Les trains de banlieue, tome I, 1997, 303 pages. (ISBN 2902808666)
- Bernard Collardey, Les trains de banlieue, tome II, 1999, 335 pages. (ISBN 2902808763)
- René-Charles Plancke, « La ligne Esbly - Crécy-la-Chapelle », dans Histoire du chemin de fer de Seine-et-Marne : tome I de la vapeur au TGV, édition Amatteis, Le Mée-sur-Seine, 1991 (ISBN 2-86849-105-7) pp. 299-311
Voir aussi
Articles connexes
- Ligne P du Transilien
- Ligne Paris - Strasbourg (dite Ligne 1)
- Syndicat des transports d'Île-de-France (STIF) • Transilien
- Transport ferroviaire en France
- Liste des lignes de chemin de fer de France
Liens externes
- Site consacré à la ligne Esbly - Crécy (vidéo en cabine de conduite)
- INA - Actualités régionales FR3 Île-de-France du 28 mai 1980 : Électrification ligne SNCF Esbly
Catégorie :- Ligne ferroviaire de Seine-et-Marne
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