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CDGVAL Année d’ouverture 3 avril 2007 Dernière extension 27 juin 2007 Exploitant Keolis/Siemens Conduite (système) Automatique (VAL) Matériel utilisé VAL 208 Points d’arrêt 5 / 2 (LISA) Longueur 3,5 / 0,6 km Distance moyenne entre points d’arrêt 875 / 600 m Communes desservies - Fréquentation
(moy. par an)10 millions modifier CDGVAL est un métro automatique de type VAL assurant un système de navettes gratuites, internes à l'aéroport Charles-de-Gaulle, situé en France à vingt-cinq kilomètres au nord-est de Paris. Les deux lignes en service depuis 2007 remplacent plusieurs lignes de bus de la plate-forme aéroportuaire, et empruntent pour l'essentiel l'infrastructure d'un projet avorté et coûteux de transport hectométrique de type SK. Les deux lignes, dont l'une a la particularité de fonctionner 24 heures sur 24, transportent dix millions de voyageurs par an. Elles apportent un important gain de temps aux passagers de Roissy ainsi qu'au 85 000 salariés de la plateforme aéroportuaire[1]. Le CDGVAL est exploité par Keolis pour le compte d'Aéroports de Paris[2].
Sommaire
Histoire
Articles détaillés : SK (transport) et SK 6000.L'aéroport Charles-de-Gaulle est le plus vaste d'Europe avec 3 500 hectares de superficie et ses aérogares sont relativement éloignées les unes des autres. Dès l'ouverture du terminal 2 en 1982, les liaisons entre aérogares, avec la gare ferroviaire de Roissypôle et les parkings éloignés s'opèrent par un système de navette bus, progressivement de plus en plus tributaires de la circulation routière croissante dans l'aéroport. Il n'est pas rare de mettre près d'une demi-heure pour relier les deux aérogares en heures de pointe. Ce constat et la nécessité d'offrir aux passagers un mode de transport performant et moderne amènent l'entreprise gestionnaire Aéroports de Paris à concevoir un système de transports en site propre.
Le système de métro automatique VAL est envisagé et les travaux d'infrastructure sont réalisés pour ce type de matériel. Mais le système de cabines SK 6000, petits véhicules entraînés par câble de la société française Soulé est finalement imposé par le pouvoir politique de l'époque à la société gestionnaire de l'aéroport, Aéroports de Paris (ADP) en 1992. Après les travaux d'adaptation de l'infrastructure, la ligne 1 est prévue pour une ouverture commerciale le 1er mai 1996. Cependant les tests d'exploitation de ce mode de transport hectométrique démontrent les nombreux défauts du système, finalement peu fiable et incapable de remplir les objectifs de disponibilité fixés, ce qui oblige ADP à trouver une solution alternative, malgré le coût élevé de l'investissement déjà réalisé, près de cent-cinquante millions d'euros de budget public. Le projet est ainsi abandonné en juin 1999 et ADP doit d'urgence investir afin de renouveler son parc d'autobus vieillissants et perpétuer la desserte routière. La ligne 2 du SK dont l'ouverture est prévue durant l’été 1997 ne dépasse pas le stade du gros œuvre, après un investissement de près d'un milliard de francs de l'époque[3]. Le nouveau projet CDGVAL est lancé en 2000 et retenu. Simple évolution de l'idée initiale, il reprend en grande partie le tracé du SK, mais adapte l'infrastructure existante à la circulation de matériels de type métro automatique[4]. Les travaux commencent fin 2003.
Développé par Siemens Mobility France (anciennement Matra Transport puis Siemens Transportation Systems), ce système automatique équipe déjà les villes françaises de Lille, Toulouse et Rennes, la ville italienne de Turin et l'aéroport de Chicago O'Hare. L'entreprise a fourni et installé sept rames de deux voitures de type VAL 208, le poste de commande centralisée (PCC), les automatismes, les équipements de voie, les installations de courants forts et faibles, les portes et façades palières des cinq stations et les équipements d'atelier[5].
L'inauguration est initialement prévue à l'automne 2006, dix ans après l'ouverture prévue de la ligne SK 6000, mais celle-ci n'a lieu qu'avec encore six mois de retard supplémentaire. La première ligne de CDGVAL est en service depuis le 4 avril 2007, après une marche à blanc commencée le 19 mars 2007. Les lignes de bus sont maintenues en doublon pendant la période de rodage d'une dizaine de jours. La ligne 2, dite LISA pour Liaison Interne Satellite Aérogare, est ouverte le 27 juin 2007 avec deux stations en zone sous douane. Ce nouveau métro représente un élément supplémentaire à la stratégie d’ADP pour assurer son développement : « Paris joue son attractivité face à d’autres métropoles, nous espérons constituer la porte d’entrée en Europe. »[6]. CDGVAL rencontre dès lors un grand succès avec près de 20 000 voyageurs par jour en moyenne dès les premières semaines d'exploitation[7].
Tracé et stations
CDGVAL est constitué de deux lignes à double voie équipées de pistes pour roulement sur pneumatiques, pour un matériel intégralement automatique et sans conducteur.
La première ligne dessert cinq stations, reliant les trois terminaux de l'aéroport, les gares RER et TGV, et les parcs de stationnement éloignés.
La seconde ligne, appelée LISA (Liaison Interne Satellite Aérogare), relie sous douane le terminal 2E au satellite S3.
La ligne 1 naît en impasse, à l'extérieur sur le côté sud de l'aérogare 1 par une station à quai central. Son tracé se dirige plein sud encadré par les voies routières de desserte de l'aérogare 1, passe sous le taxiway A et plusieurs voies routières avant d'obliquer vers l'est. La ligne dessert alors la station à quais latéraux Parc de stationnement PR, située en tranchée entre les parkings au sud et la route des Badauds au nord. Elle file alors toujours vers l'est avec une succession de tranchées couvertes, sous diverses voies routières et deux taxiways (N et F), puis en souterrain sous plusieurs bâtiments avant de desservir la station Terminal 3 - Roissypole, possédant un quai central pour les rames se dirigeant vers le terminal 2 (vitré dans l'autre direction), et un quai latéral pour les rames en direction du terminal 1. La ligne continue son parcours vers l'est en souterrain sous plusieurs bâtiments de Roissypôle, puis repasse à l'extérieur et oblique en direction du sud. Tout droit, une voie donne accès à l'atelier d'entretien du matériel roulant. Après la station Parc de stationnement PX, située à l'extérieur en tranchée, elle se poursuit en ligne droite plein sud, passe en souterrain sous les taxiways puis achève son parcours en impasse à l'extérieur, à la station Terminal 2 - Gare, à quai central. Son parcours total de 3 500 mètres en fait la seconde plus courte ligne de VAL en France après la ligne 2 du même réseau (LISA), et une des plus courtes du monde[8].
La ligne 2 naît à environ cinq cents mètres à l'est du terminus sud de la ligne 1. Elle se présente sous la forme d'une simple navette sans arrêt intermédiaire, en ligne presque droite de 650 mètres, du terminal 2E au satellite S3.
Stations
Les stations et rames des deux lignes sont accessibles aux personnes à mobilité réduite.
Ligne 1
Les stations desservies par la première ligne sont[9] :
- La station Terminal 1, située au niveau 2, entre les halls d’enregistrement 5 et 6 ;
- La station Terminal 3, située dans la salle d’échange de la gare RER Aéroport Charles de Gaulle 1 ;
- La station Terminal 2, située entre les halls 2D et 2F au niveau 4, dans la salle d’échange de la gare TGV/RER Aéroport Charles de Gaulle 2-TGV.
Des panneaux de signalisation et un cheminement piétonnier dirigent vers les stations à partir des parcs de stationnement PR (durée réduite) et PX (longue durée).
Station Lat/Long Communes desservies Correspondances[10] o Terminal 1 Mauregard o Parc de stationnement PR Roissy-en-France o Terminal 3 - Roissypole
(RER Aéroport Charles de Gaulle 1)Tremblay-en-France o Parc de stationnement PX Le Mesnil-Amelot o Terminal 2 - Gare
(RER Aéroport Charles de Gaulle 2 - TGV)Le Mesnil-Amelot
grandes lignesLigne 2
Les stations desservies par la deuxième ligne sont :
Station Lat/Long Communes desservies Correspondances[10] o Satellite S3 Le Mesnil-Amelot o Terminal 2E Le Mesnil-Amelot Architecture
Les aménagements ont été conçus par l'architecte Susan Dunne, qui a souhaité donner à la ligne une ambiance apaisante tout en répondant architecturalement aux éléments de l'aéroport.
C'est ainsi que la ligne circule pour la moitié de son parcours à l'air libre parmi des magnolias, saules et azalées. La station du terminal 1, bâtie en béton et en verre, présente un oculus de toiture permettant de percevoir le terminal aéroportuaire. La station du terminal 2 présente des clins d'œil architecturaux avec la gare RER-TGV, avec son toit en zinc, sa charpente métallique et son plafond en bois[11].
Atelier
L'entretien des rames est effectué à l'atelier garage-maintenance, situé au nord-est de la station Parc de stationnement PX et raccordé à la ligne par une voie unique, en partie dédoublée, qui sert de base d'essai pour les tests dynamiques des rames, comme le freinage d'urgence, ainsi qu'une voie dite « d'injection » permettant d'accueillir quatre rames de vingt-six mètres[réf. souhaitée]. L'atelier est accessible par trois voies dont une non électrifiée. Il comporte deux lignes de vérins fixes, une ligne mobile pour les rames de LISA, et une pour les rames devant subir une révision générale ou pour les trains de travaux. Le faisceau extérieur comporte une voie de garage pour quatre rames de vingt-six mètres, et une voie de lavage externe, à l'arrière de laquelle est garé le train-travaux de maintenance de la ligne[12],[13].
L'exploitation
Les contraintes liées à l'exploitation 24 heures sur 24, 365 jours par an ont impliqué la mise au point de modes de fonctionnement dégradés performants (voie unique temporaire, navette, terminus partiels...) qui font les particularités du système : notamment des aiguillages croisés pour passer d'une voie à l'autre entre chaque station[14], et des pilotes automatiques double sens permettant un fonctionnement dans les mêmes conditions dans les deux sens pour chaque voie. Ce système permet avec un maximum de souplesse de procéder à l'entretien ou de gérer une interruption de trafic sur une des voies sans interrompre la circulation sur la ligne. L'ensemble est géré depuis un poste de commande centralisé (PCC).
Ligne 1
La première ligne fonctionne 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Aux heures de grande fréquentation, on compte un train toutes les quatre minutes pour une durée maximale de trajet de huit minutes (contre une vingtaine de minutes, voire plus, par le système antérieur de navettes routières), soit une vitesse commerciale d'environ 25 km/h, et une vitesse de pointe des rames de 70 km/h. La fréquence des rames est de cinq minutes de 4 h 30 à 6 h 30, quatre minutes de 6 h 30 à 9 h 30, cinq minutes de 9 h 30 à 12 h, quatre minutes de 12 h à 15 h, cinq minutes de 15 h à 18 h, quatre minutes de 18 h à 21 h, cinq minutes de 21 h à 24 h, dix minutes de 0 h à 1 h et de 20 minutes de 1 h à 4 h 30 avec une circulation sur une seule voie uniquement entre 1 h et 4 h 30[15]. La circulation en situation normale se fait à droite, comme dans le métro de Paris.
Ligne 2 - LISA
La seconde ligne dite LISA relie le nouveau satellite S3 (dit « La Galerie Parisienne ») au Terminal 2E depuis le 27 juin 2007 avec deux stations en zone réservée. Elle fonctionne 20 heures sur 24, 7 jours sur 7. L’exploitation peut se réaliser en doublets de deux rames (unités multiples).
Le VAL permet de parcourir les 650 mètres qui séparent le terminal 2E du satellite S3 en quarante-cinq secondes. La ligne a une capacité de 4 500 passagers par heure, avec une rame toutes les deux minutes. À l'heure actuelle, la fréquence horaire selon les souhaits d'ADP est la suivante : trois minutes et vingt secondes de 4 h 30 à 5 h 30, deux minutes de 5 h 30 à 7 h, puis à nouveau trois minutes et vingt secondes de 7 h à 24 h.
L'entretien des quatre rames de LISA se fait dans le nouvel atelier, situé en arrière-gare du satellite S4, ouvert depuis le 15 avril 2011. Il est accessible uniquement par une seule voie. Le transfert des rames se fait à l'aide du train de travaux en attendant l'électrification de la voie prévue début août 2011.
Matériel roulant
Ce service de transport est fondé sur le système VAL. Il comprend deux lignes parcourues par des rames VAL 208 NG.
Le parc comporte onze rames (sept rames pour la ligne 1 et quatre rames pour LISA) de deux voitures de treize mètres de longueur. Sur la ligne 1, cinq rames assurent le service continu, une reste en réserve en cas de défaillance et la septième est en maintenance au garage-atelier. Sur la ligne LISA, deux rames assurent le service continu et la troisième est garée en arrière-station S3. En cas de panne d'une des deux rames en service, la troisième peut alors être mise en ligne manuellement (les automatismes s'arrêtent à la station S3) ou alors la fréquence de la ligne LISA est doublée avec la seule rame restante qui assure des rotations plus rapides (la ligne LISA fonctionne actuellement sous forme de navette sur les 2 voies). La quatrième rame, reçue depuis août 2011, subira des essais de nuit lors de l'électrification de la voie 1 entre les stations S3 et S4.
Chacune des rames est capable de transporter 120 passagers, soit un débit maximal théorique de 2 000 passagers par heure et par sens. Sur LISA, les rames peuvent fonctionner en unités multiples (UM). Les rames sont identiques aux nouvelles rames des réseaux de Turin et de Toulouse (ligne B), mais possèdent moins de sièges, à cause du temps de parcours réduit et de la nécessité de dégager de la place pour les bagages des voyageurs. Elles possèdent également une autre différence : les rames de CDGVAL sont équipées de vidéo embarquée, directement reliée au PCC de la ligne, et qui lui permet de surveiller l'intérieur des véhicules[16].
Chaque rame parcourt 120 000 km/an, soit un parcours légèrement supérieur à ceux constatés sur les réseaux VAL de transport urbain.
Le personnel d'exploitation
Aéroports de Paris a confié le marché d'exploitation et de maintenance de CDGVAL à la société Aérosat, filiale à 85 % de Keolis et à 15 % de Siemens, pour une durée de six ans à compter de la mise en service, plus une tranche conditionnelle de trois années supplémentaires[17]. L'exploitant doit assurer une disponibilité de 99,5 %, ce qui équivaut à une interruption théorique maximale de sept minutes par jour sur la ligne principale, disponibilité portée à 99,75 % pour la seconde ligne LISA. Le contrat d'Aérosat s'arrête aux portes palières, les stations étant directement gérées par ADP.
Le service est assuré par une soixantaine de salariés, dont :
- 34 pour l'exploitation (7 chefs de poste de commande centralisée, 12 opérateurs et 15 agents d'intervention en station) ;
- 24 techniciens chargés de la maintenance (matériel roulant, automatismes, voies, portes palières).
L'équipe d'encadrement est au complet depuis mai 2005. Les premiers techniciens ont été formés à partir d'octobre 2005 par les experts du groupe Keolis venant des réseaux Transpole et de STAR et ont achevé leur cursus de formation après cinq mois de cours et de stages pratiques dans d'autres réseaux du groupe. Les autres techniciens (exploitation et maintenance) sont arrivés durant le second semestre 2006[18].
Financement
Aéroport de Paris a investi 155 millions d'euros pour construire CDGVAL[19], l'exploitation se monte à un coût de fonctionnement de près de quatre millions d'euros par an. Le financement du fonctionnement des deux lignes, entretien, matériel et charges de personnel, est assuré par Aéroport de Paris[20].
L'utilisation des deux lignes est gratuite[21], la seconde n'étant cependant accessible qu'après un passage sous douane en possession d'un billet d'avion et d'une pièce d'identité valide.
Trafic
Le CDGVAL a transporté dix millions de passagers durant sa première année d'exploitation, soit en moyenne 25 000 par jour, conformément aux prévisions établies, dont environ une moitié de salariés de l’aéroport[22],[23].
Extensions
Ligne 1
Des mesures conservatoires permettent d'envisager une extension de la ligne 1 vers l'est, notamment une station 2E/2F (puis éventuellement vers le terminal régional 2G, la ligne 1 étant alors parallèle à la ligne 2).
La ligne 1 pourra aussi desservir le terminal T4, prévu au nord de l'aéroport pour la fin de la décennie 2010, assurant aussi une correspondance avec la station de la ligne rouge de Grand Paris Express qui est envisagée au niveau du terminal T4.
Ligne 2 - LISA
Une extension de LISA est prévue vers le futur satellite S4, jumeau du S3, actuellement en construction à quelques centaines de mètres à l'est de celui-ci et ouvrira à l'été 2012[24].
À terme les deux lignes pourraient être reliées entre elles par une liaison de service - afin de faciliter l'entretien - lors de prochaines extensions de la Ligne 1 vers le terminal d'aviation régionale Schengen 2G et de LISA vers le satellite S4. À cette occasion, la ligne 1 reprendrait une autre partie de l'infrastructure de la ligne du SK abandonnée.
Impact environnemental
Selon l'exploitant, la mise en service de CDGVAL, en supprimant les navettes bus antérieurement exploitées, a permis en un an d'économiser 750 tonnes de gazole, ainsi qu'une réduction de l'émission dans l'atmosphère de gaz à effet de serre, soit 15 tonnes d'oxyde d'azote et 2 000 tonnes de dioxyde de carbone[25]. Toutefois cette réduction reste marginale par rapport aux 3 700 tonnes d'oxyde d'azote et aux 3 000 000 tonnes environ de dioxyde de carbone produits par les seuls décollages et atterrissages en l'an 2000 (norme OACI LTO)[26], les émissions provoquées par les avions représentant entre 75 et 85 % de la pollution globale de l'aéroport, selon les composants[27].
Galerie
Notes et références
- CDGVal, une première en Europe avec Keolis sur keolis.com, Keolis. Consulté le 27 mars 2011
- CDGVAL : les coulisses du métro automatique sur http://www.tourisme93.com, Seine-Saint-Denis Tourisme. Consulté le 27 mars 2011
- Le métro fantôme de Roissy
- Métropole - Le SK de Roissy
- Siemens France - Faits marquants 2007
- Interview de Pierre Graff, PDG d’Aéroports de Paris (ADP), in Journal 20 minutes, Un métro interne gratuit pour fin 2006, article du 26 octobre 2005
- Keolis - Magazine Références n° 15, juin 2007, p 8-9 [PDF]
- La Vie du Rail magazine, n°3099 du 18 avril 2007, p. 13 Magazine
- Aéroports de Paris - Inauguration de CDGVAL, communiqué de presse [PDF]
- transports guidés (métros, trains, tramways, ...) et les correspondances en étroite relation avec la ligne sont données. Les autres correspondances, notamment les lignes de bus, sont reprises dans les articles de chaque station. Pour alléger le tableau, seules les correspondances avec les
- Aéroports de Paris. Revue Entre voisins avril-juin 2007 éditée par
- La Vie du Rail magazine, op. cit., p. 14
- Carto Métro - CDGVAL - LISA
- Revue Ville & Transport-Magazine du 28 mars 2007
- [selon un employé de la société exploitant le CDGVAL]
- La Vie du Rail magazine, op. cit., p. 13
- Imagine n°8, magazine de Siemens Transportation Systems, juin 2007, p. 6 [PDF]
- Keolis - Magazine Références n°9, décembre 2005, p 6 [PDF]
- Aéroports de Paris. Revue Paris-Aéroports magazine de mars 2007, éditée par
- Le Moniteur-expert - Le futur métro interne de Roissy ouvrira dans un an
- L'accès aux lignes nécessite cependant l'emprunt du RER B, du TGV, du réseau de bus desservant l'aéroport ou des parkings publics payants.
- Journal 20 minutes, Un métro interne gratuit pour fin 2006, article du 26 octobre 2005
- Métropole - Décollage réussi pour CDG VAL
- Aéroports de Paris : Programme prévisionnel d'investissement 2007 / 2011
- « Le saviez-vous ? 2 000 t de CO2 en moins avec le CDG Val », dans Le Parisien, édition Seine-Saint-Denis, 11 avril 2008
- UFCNA - Pollution Interne des aéroports d'Orly et de Roissy.
- Airparif - La qualité de l'air autour des plates-formes aéroportuaires de Roissy-Charles de Gaulle et du Bourget, n°21, février 2004 [PDF]
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Damien Albessard et Michel Barberon, « dossier CDGVAL », dans Ville & Transport-Magazine, éditions la Vie du Rail, 28 mars 2007.
Lien externe
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