Vivendi

Vivendi
Wiktfavicon en.svg Cet article a pour sujet la société Vivendi. Pour une définition du mot « vivendi », voir l’article vivendi du Wiktionnaire.
Logo de Vivendi
Création 1853 : Compagnie générale des eaux
Dates clés 1998 : nom Vivendi adopté
2000 : séparation d'avec Veolia Environnement et création de Vivendi Universal
2006 : Vivendi
Forme juridique Société anonyme
Action Euronext : VIV
Euronext : VIVA
Slogan « Les plus belles émotions du numérique. »
Siège social Drapeau de France Paris (France)
Direction Jean-Bernard Lévy, Président du directoire
Jean-René Fourtou, Président du conseil de surveillance
Activité Communication et divertissement
Filiales Groupe Canal+, SFR, Universal Music Group, Activision Blizzard, Maroc Telecom, GVT
Effectif 51 272 (31 décembre 2010)
Site web www.vivendi.fr
Capitalisation 20,033 milliards d'euros (07 septembre 2011) [1]
Chiffre d’affaires 28 878 M€ (31 décembre 2010)
en augmentation
Résultat net 2 698 M€ (31 décembre 2010)[2]
en augmentation

Vivendi est un groupe français spécialisé dans la communication et le divertissement. Cotée à Paris, son action appartient à l'indice CAC 40.
Vivendi est au coeur des univers des contenus, des plateformes et des réseaux interactifs.

Vivendi rassemble le numéro un mondial des jeux vidéo (Activision Blizzard), le numéro un mondial de la musique (Universal Music Group), le numéro un français des télécoms alternatifs (SFR), le numéro un marocain des télécoms (Maroc Telecom), le numéro un brésilien des télécoms alternatifs (GVT) et le numéro un français de la télévision payante (Groupe Canal+).

À l'origine spécialisé dans les services aux collectivités territoriales (eau, transport et environnement) sous le nom de Compagnie générale des eaux (parfois abrégé en Générale des Eaux ou en CGE), le groupe s'est peu à peu renforcé, à la fin des années 1990, dans les nouvelles technologies sous la présidence de Jean-Marie Messier. Après avoir connu d'énormes difficultés entre 2002 et 2004, le groupe, rebaptisé Vivendi Universal en 2000 puis Vivendi en 2006, s'est redressé et a repris les opérations de croissance externe pour renforcer ses positions et devenir leader mondial de la communication et du divertissement.

Vivendi est aujourd'hui l'un des principaux fournisseurs de contenus en Europe.

Sommaire

Historique

Un groupe de services plus que centenaire

La compagnie qui a donné naissance à Vivendi est née au milieu du XIXe siècle. En effet, créée par décret impérial en 1853, la Compagnie générale des eaux fournit alors de l'eau à Lyon[3]. Elle se diversifie au début des années 1980 en investissant dans la gestion des déchets, l'énergie, les transports, la construction et l'immobilier. Elle est alors spécialisée dans les délégations de services publics et les commandes des pouvoirs publics, proche des milieux politiques et dépendante des commandes de l'État et des collectivités territoriales.

L'ère Dejouany

La Compagnie Générale des Eaux se développe dans de nouveaux métiers sous la présidence de Guy Dejouany. En 1983, elle participe à la création de Canal+, la première chaîne de télévision payante en France. Dans les années 1990, elle commence à investir dans les télécommunications et les médias et, en 1996, elle crée Cegetel, une société de téléphonie fixe et mobile, possédant les marques Tam Tam (pager), Le 7 (téléphone) et SFR (mobile). Elle entre dans le capital d'AOL Europe. Toutefois, au milieu des années 1990, la Générale des Eaux reste une société orientée sur le marché français.

Les années J2M

Article détaillé : Jean-Marie Messier.

En 1996, Guy Dejouany choisit comme successeur une personne extérieure au groupe : Jean-Marie Messier. Ce jeune associé de Lazard arrive à la tête de la Compagnie Générale des Eaux le 27 juin. La Générale des Eaux compte alors diverses activités, dont la plus importante est l'eau. Elle est également présente dans l'électricité, les télécommunications, le bâtiment, la propreté... S'étant lui-même affublé du surnom J2M, le nouveau président décide d'investir, à un rythme effrené et sous le feu des projecteurs, dans les nouvelles technologies et des médias. Il se rebaptise ensuite J6M pour « Jean-Marie Messier, Moi-Même, Maître du Monde », appellation attribuée selon lui par les Guignols de l'Info, ces derniers prétendant le surnommer gros cul.

La marche forcée vers les médias

En 1997, Messier vend les cliniques de la Compagnie Générale des Eaux. Début 1998, la CGE se rapproche d'Havas[4], lui aussi plus que centenaire, renforçant ainsi sa participation dans Canal+ et acquérant du même coup des actifs dans la publicité.

Le premier logo de Vivendi

En mai 1998, la Compagnie Générale des Eaux change son nom en Vivendi. Le groupe compte alors deux pôles d'activités, la communication et l'environnement. Cette nouvelle dénomination plus internationale permet de se défaire de l'ancien nom, très lié aux activités dans l'eau.

  • Côté communication, les activités sont regroupées dans « Vivendi Communication », comprenant Cegetel, premier opérateur privé de télécommunications, Havas, avec ses pôles éditions et presse, et le groupe Canal+.
  • Côté environnement, les activités sont regroupées dans « Vivendi environnement  », comprenant notamment la Générale des Eaux, le leader mondial de son secteur, Dalkia, dans l'énergie, CGIS et SGE avec CBC, pour le BTP.

En mai 1998, Vivendi cède sa participation de 25% dans JCDecaux. L'année suivante, il vend SGE, son pôle de construction, qui sera à l'origine de VINCI, et CGIS. En juin 2000 a lieu la fusion avec Seagram et Canal+.

La chute

En juillet 2002, Jean-Marie Messier est contraint de démissionner de son poste de président : le groupe est au bord de la banqueroute. En effet, il est alors proche de la cessation de paiements, perdant un milliard de dollars par mois.

En mars 2003, Vivendi Universal annonce une perte comptable de 23 milliards d'euros alors qu'un an auparavant, son PDG déclarait qu'elle allait « mieux que bien ! ». L'évolution en bourse de CGE-Vivendi est la suivante[5]:

  • 1994 CGE 20e
  • 2000 Vivendi 120e
  • 2002 Vivendi 8/9e plus haut niveau atteint
  • décembre 2008 Vivendi 20/23e.

Le pôle environnement «Vivendi environnement» a été introduit en bourse en juillet 2000, Vivendi conservant plus de 70% du capital[6]. Vivendi se désengage ensuite progressivement de «Vivendi environnement» (renommé «Veolia Environnement» en 2003 puis «Veolia» en 2005). Le désengagement complet est achevé en juillet 2006[7].

Véolia est recentrée sur l'eau et les services aux collectivités. Elle est redevenue rentable.

Un groupe recomposé

Jean-René Fourtou est nommé président pendant l'été 2002. Aujourd'hui, il est président du conseil de surveillance, le président du directoire étant Jean-Bernard Lévy. Sous leur houlette, commence une réflexion sur la stratégie et l'avenir du groupe ainsi qu'un recentrage par des cessions d'actifs.

Fin 2003, Vivendi Universal revend la société d'édition Vivendi Universal Publishing (hors Vivendi Universal Games) à Lagardère, pour satisfaire ses besoins de liquidités. Seule filiale cessible immédiatement, sa vente permet le rachat des parts de BT Group dans Cegetel pour devenir majoritaire dans l'opérateur de téléphonie mobile SFR.

En 2003, s'avérant un échec, Vivendi Universal Net, qui regroupe les activités internet du groupe, héritage de l'ère Messier et de la bulle Internet, est démantelé. L'essentiel des activités internationales de Canal + est aussi cédé (Italie, Benelux, Scandinavie…) ou fermé (Maroc).

En mai 2004, Vivendi Universal vend ses actifs médias américains Vivendi Universal Entertainment à General Electric qui possède déjà le groupe NBC. En échange, Vivendi Universal récupère 20 % du nouveau groupe NBC Universal (soit le plafond de contrôle par un actionnaire étranger d'un des grands réseaux télévisés aux États-Unis, ici NBC en l'occurrence) et 14 milliards d'euros.

Un nouveau départ

En août 2004, Bercy accorde à Vivendi le régime fiscal du bénéfice mondial consolidé[8], renouvelé pour une durée de 3 ans le 13 mars 2009[9].

Le 20 avril 2006, le groupe reprend le nom de Vivendi.

Le lobbying et les exemptions fiscales

Vivendi a obtenu trois milliards de francs « d’exemption fiscale » pour sa fusion avec Pathé en 1999 puis cinq milliards de francs « d’exemption fiscale » lors de la fusion avec Universal[10].

Activités du groupe Vivendi

Vivendi est désormais un groupe recentré sur la communication et le divertissement.

Télécommunications

Vivendi est cofondateur du Groupe SFR-CEGETEL avec Vodafone et, dans la première période historique, avec Mannesmann, SBC, British Telecom. SFR est fortement contributeur au résultat et à la trésorerie de Vivendi. Cette activité télécommunication a été initiée sous l'ère de la Générale des Eaux (M. Dejouany).

SFR

Article détaillé : SFR.

SFR est le premier opérateur de télécommunications alternatif en France. Il est le premier opérateur alternatif mobile et fixe en Europe.

  • SFR (actionnaire unique à 100%, 44% ayant été racheté au britannique Vodafone, le 3 avril 2011).
    • Après avoir laissé Vivendi fusionner les différentes holdings de contrôle de Cegetel, SFR passe du statut de filiale à celui de maison mère de l'activité de télécommunications en France.
    • En 2005, l'activité de téléphone fixe, désormais la seule à garder l'appellation Cegetel, est apportée à Neuf Télécom en échange de 28 % du capital du nouvel ensemble. Rebaptisé Neuf Cegetel, l'opérateur fixe est détenu à 40,48% par SFR après divers rachats de parts minoritaires.
    • En décembre 2007, SFR annonce devenir l'actionnaire majoritaire de Neuf Cegetel, en rachetant les parts détenues par Robert-Louis Dreyfus soit 29,5 % du capital. En mai 2008, il lance une offre publique d'achat sur Neuf Cegetel, suivie d'une offre publique de retrait avec retrait obligatoire, qui lui permet de détenir 100% de Neuf Cegetel.
    • Vivendi a témoigné, à plusieurs reprises ces dernières années, de son interêt pour les télécommunications en affirmant vouloir racheter la participation de Vodafone dans SFR. En mars 2011, Vivendi rachète les 44% des parts du capital détenues par Vodafone[11].

Maroc Telecom

Article détaillé : Maroc Telecom.

Vivendi détient 53% de l'ancien opérateur historique marocain coté à la bourse de Casablanca et de Paris. Maroc Telecom est le premier opérateur fixe et mobile et de l'accès à Internet au Maroc. Le groupe s'est résolument engagé dans la voie du développement à l'international et est présent au Maroc, en Mauritanie, au Burkina Faso, au Gabon et au Mali.

GVT

Racheté en 2009, GVT est le premier opérateur alternatif de télécommunications au Brésil. Affichant un fort taux de croissance, il est l'opérateur haut débit brésilien le plus performant avec des solutions et des produits innovants dans la téléphonie fixe et l'Internet. GVT a connu un développement rapide et continu depuis se création en 2000. Il fait figure de leader dans les services de nouvelle génération que sont le haut et le très haut débit, les services Internet, la Voix sur IP, et, depuis le second semestre 2011, la télévision à péage par satellite utilisant la technologie de la TV sur IP. Implanté à Curitiba, dans l'Etat du Parana au Brésil, GVT est présent sur les plus grands marchés du Brésil et il poursuit sa stratégie de croissance en étendant la couverture de son réseau à de nouveaux marchés clés du pays.

Médias

Groupe Canal+

Article détaillé : Groupe Canal+.

Groupe Canal+ est le pôle Télévision et Cinéma du groupe. Il est le premier groupe de télévision payante en France. Il est leader dans l'édition de chaînes de télévision premium et thématiques et dans l'aggrégation et la distribution d'offres de télévision payante. Pionnier des nouveaux usages télévisuels, il est également un acteur de référence dans la production et la distribution de films. Il a comme principales entités :

Groupe Canal+ en 2011[12]

Activision-Blizzard

Article détaillé : Activision-Blizzard.

Activision-Blizzard est le pôle jeu du groupe, réputé pour son expertise dans les jeux en ligne avec le jeu World of Warcraft, qui compte plus de 12 millions d'abonnés.

Vivendi Games a fusionné en juillet 2008 avec Activision pour constituer Activision Blizzard, le numéro un mondial des jeux vidéo avec un chiffre d'affaires de 3,330 milliards d'euros en 2010 grâce notamment au succès de Call of Duty et World of Warcraft. Vivendi détient, au 30 juin 2011, 63 % du capital (non dilué) d'Activision Blizzard.

Universal Music Group

Universal Music Group est le numéro un mondial de la musique enregistrée, avec plus d'un disque sur quatre vendu dans le monde et le plus important catalogue de droits sur des œuvres musicales. Ses labels les plus connus sont :

Opérations récentes

  • Vivendi a racheté L'opérateur brésilien GVT.
  • Neuf Cegetel a racheté AOL France pour 288 millions d'euros.
  • Neuf Cegetel a racheté Club Internet - T-Online France SAS pour 460 millions d'euros.
  • Universal Music Group a racheté Bertelsmann Music Group Publishing pour 1,63 milliard d'euros.
  • SFR a racheté les activités fixe et internet Tele 2 France pour 353 millions d'euros.
  • Groupe Canal+ a fusionné la plupart de ses activités françaises avec TPS pour former Canal+ France.
  • SFR a racheté Neuf Cegetel.
  • Vivendi Games a fusionné avec Activision afin de former Activision-Blizzard, transaction évaluée à 18,9 milliards de dollars[13].
  • La participation de 20% dans NBC Universal, constituée au moment de la constitution de ce groupe en 2004, et en deux étapes fin 2010 et début 2011 à General Electric.
  • En avril 2011, Vivendi rachète les parts (43,9 % du capital) de Vodafone dans SFR pour 7.75 milliards d'euros.

Participations

  • L'opérateur mobile polonais PTC. En raison de nombreux litiges, cette participation a été réduite à zéro dans les comptes de Vivendi.

Direction de l'entreprise

Présidents et administrateurs du groupe

  • Fondateurs Assemblée générale constitutive 23/27 juillet 1853 : Louis Napoléon Lannes Duc de Montebello, vice-président, Comte Henri de Pourtalès-Gorgier, Comte Henri d'Avigdor, Jean Germain Henri Nouton, Joseph-Xavier de Lizardi, Auguste Dassier, John Masterman, John Sadleir, Major J.-A. Moore, Joseph Paxton.
  • Henri Siméon (1803-1874), comte de l'Empire, préfet et député, co-fondateur, premier président de 1853 à 1861.
  • Sir Edward Blount (1809-1905), administrateur en 1853, 2e président de 1861 à 1902, fondateur en 1864 puis président de la Société Générale de 1886 à 1901.
  • Barthélemy Prosper Enfantin dit le Père Enfantin (1796-1864), X 1813, administrateur et directeur de 1853 à sa mort.
  • Rodolphe Hottinguer (1835-1920), Régent de la Banque de France, Vice-Président de la Compagnie du PLM et de la Caisse d'Epargne, Président de la Banque Impériale Ottomane, administrateur en 1860 puis Président de la Générale des Eaux de 1902 à 1920.
  • Comte Foy, administrateur de 1876 à 1907, apparenté aux Pillet-Will et aux Gérard.
  • Comte Frédéric Pillet-Will, gendre du comte Foy, administrateur en 1907.
  • Albert Mallet, administrateur en 1879, Vice-Président de 1902 à 1924 puis remplacé par Jacques Mallet.
  • Alexandre Gérard (1819-1899), ingénieur civil, vice-président de Saint-Gobain, administrateur de la Générale des Eaux de 1879 à 1889, père du suivant :
  • Alphonse Gérard (1861-1945), X 1879, président de Saint-Gobain, administrateur en 1889, président de 1920 à 1945, père du suivant :
  • Robert Gérard (1899-1998), X-Mines, commandeur de la Légion d'honneur, administrateur puis président de 1946 à 1972.
  • Georges Huvelin (mort en 1976), X-Mines et école des Langues Orientales  : 1972 - 1976
  • Guy Dejouany : X-Pont&Chaussées 1976 - 1996
  • Jean-Marie Messier : 1996 - juillet 2002
  • Jean-René Fourtou : 2002 - 2005
  • Jean-Bernard Lévy : 2005 -

Conseil de surveillance

Le conseil de surveillance est composé de 12 membres[14]. Le montant annuel des jetons de présence alloués au conseil de surveillance est fixé à 1,5 million d'euros à compter de l'exercice 2008[15].

2011

  • Jean-René Fourtou (Président)
  • Henri Lachmann (Vice-Président, Président du Conseil de surveillance de Schneider Electric SA)
  • Claude Bébéar (Président d'honneur du Groupe Axa)
  • Daniel Camus (Administrateur indépendant de sociétés)
  • Jean-Yves Charlier (Directeur général de Promethean Limited)
  • Maureen Chiquet (Présidente-Directrice générale de Chanel)
  • Philippe Donnet (Membre du Conseil de surveillance de la Financière Miro)
  • Dominique Hériard Dubreuil (Présidente du Conseil de surveillance de Rémy Cointreau)
  • Aliza Jabès (Présidente du Groupe Nuxe)
  • Christophe de Margerie (Président-Directeur général de Total)
  • Pierre Rodocanachi (Directeur général de Management Patrimonial Conseil)
  • Jacqueline Tammenoms Bakker (Membre du Conseil de surveillance de Tesco PLC)

Directoire

Le directoire est composé de six membres[16]

Direction Générale

2011

  • Jean Bernard Lévy (Président du directoire)[17]
  • Philippe Capron (Directeur financier de Vivendi)
  • Jean François Dubos
  • Stéphane Roussel (Directeur des ressources humaines de Vivendi)
  • Régis Turrini (Directeur de la stratégie)
  • Simon Gillham (Directeur de la communication)
  • Sandrine Dufour (Directeur de l'innovation et Directeur financier adjoint)

Données financières

Données financières à base comparable, en millions d’euros
Années 2008 2007 2006 2005 2004
Chiffre d’affaires 25 392 21 657 20 044 19 484 17 883
  · SFR 11 553 9 018 8 678 8 687
  · Universal Music 4 650 4 870 4 955 4 893
  · Groupe Canal+ 4 554 4 363 3 630 3 452
  · Maroc Telecom 2 601 2 456 2 053 1 860
  · Vivendi Games 2 091 1 018 804 641
Résultat opérationnel ajusté 4 953 4 721 4 370 3 985 3 504
Résultat net part du groupe 2 603 2 625 4 033 3 154 3 767

Présentation, Chiffres clés 2005 [PDF]
Présentation, Chiffres clés 2007 [PDF]

Principaux actionnaires en 2010[18]

  1. BlackRock 5,01%
  2. Amundi 4,72%
  3. Capital Research and Management Company 4,67%
  4. Société Générale 4,03%
  5. Caisse des Dépôts et Consignations 3,80%
  6. Crédit Agricole 3,54%
  7. Emirates International Investment Company 2,82%
  8. Natixis Asset Management 2,48%
  9. AllianceBernstein 2,00%
  10. PEG Vivendi 1,55%
  11. Merrill Lynch 1,52%
  12. Crédit Suisse Securities 1,13%
  13. BNP Paribas 1,05%
  14. Prudential 0,90%
  15. UBS Investment Bank 0,85%
  16. Abu Dhabi Investment Authority 0,63%
  17. DNCA Finances 0,57%
  18. Société Générale Gestion 0,57%
  19. Crédit Agricole Structured AM 0,55%
  20. Rothschild - Asset Management 0,51%

Voir aussi

Notes et références

  1. VIVENDI sur le site de Boursorama, consulté le 07 septembre 2011.
  2. Résultat opérationnel ajusté de 5 726 M€ au 31 décembre 2010
  3. Historique disponible sur le site de Veolia Environnement et sur le document de référence 2000 de Vivendi
  4. Article paru dans L'Humanité du 26 février 1998
  5. Source Boursorama et rapport d'assemblée générale de Vivendi.
  6. Histoire Veolia environnement [1]
  7. Vivendi se désengage de Veolia
  8. Article de la Tribune du 27 août 2005.
  9. Article de la Tribune du 1er avril 2009.
  10. Roger Lenglet dans le livre L’industrie du mensonge chez Agone en 2004, également cité sur apinc.org
  11. Le Figaro.fr
  12. Lettre aux actionnaires Septembre 2011
  13. Vivendi et Activision vont créer Activision Blizzard, un leader mondial du divertissement interactif
  14. Liste du conseil
  15. Avis de convocation des actionnaires 2008, 14ème résolution, page 14
  16. Rémunérations pour Vivendi
  17. Avis de convocation à l'assemblée générale mixte du 30 avril 2009 page 30
  18. VIVENDI sur Boursorama

Vivendi est cité dans le morceau "La lutte du siècle" de Rockin'Squat

Bibliographie indicative

  • Daniel Fortin, Comment Jean-Marie Messier est devenu le patron le plus puissant de France, Éditions Assouline, Paris, 1999 ISBN 2-84323-183-3
  • Liliane Franck, Eau à tous les étages l'aventure de l'eau à domicile à travers l'histoire de la Compagnie Générale des Eaux, 410 pages, 1999.
  • Roger Lenglet et Jean-Luc Touly, L'eau des multinationales - Les vérités inavouables, éditions Fayard, 2006.
  • Roger Lenglet et Jean-Luc Touly, L'eau de Vivendi, éditions Patrick Lefrançois, 2004

Documentaire

  • Le whisky et l'eau - Les Bronfman et Vivendi Universal (version française de Whisky and Water), Handel Productions Inc et Arte France, 2006

Liens internes

Liens externes



Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Vivendi de Wikipédia en français (auteurs)

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